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SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyMar 14 Fév - 16:29



    La Saint Valentin une fête que tout le monde aime. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce jour là tout le monde chercher à se caser, comme il y a environ autant de garçon que de demoiselle dans cette école, les couples se forment. Souvent pour la soirée, rares sont les couples qui arrivaient à tenir plus. Après vous avez ceux qui venaient avec la fille qu’ils avaient avec eux depuis un certains temps. Andrea lui faisait partit des très rares pour ne pas dire très très rares qui n’avaient même pas pris la peine de venir.
    Son cousin avait tout fait pour le persuader de venir, il lui disait que les filles se battraient certainement pour le voir. Il n’avait pas du tout cru son cousin. Voilà certainement pourquoi en cette soirée il n’avait rien changé, il avait prévu d’aller à la salle de musculation faire sa séance quotidienne, puis un tour à la piscine. Bien sur il lui fallait éviter tous couloirs ou il pourrait croiser du monde. Etre seul durant cette fête ne le dérangeait pas, ne pas concourir pour le trophée de plus beau male de la soirée encore moins. Mais bien sur ce qui le faisait chié en temps que nouveau c’est d’être celui qu’on traite d’asociale, celui qui est tout seul et qui ne fait pas d’effort. Bien sur il avait des connaissances, bien sur il avait des amies filles, bien sur certaines auraient voulut venir avec lui. Mais à quoi bon aller à une soirée avec une fille pour qui vous n’avez pas de sentiment, car après tout la Saint Valentin sa reste une histoire de sentiment non ?

    Alors que la fête battait certainement son plein, le jeune homme en short de sport et avec sa serviette autour du coup se baladait discrètement, prenant les chemins sans lumières, regardant bien si il n’y avait personne. Oui il aurait pu avoir un caractère que l’on peut appelé étrange mais tout le monde s’en foutait ce soir. Arrivé à la salle il mit la musique forte, un moyen de ne pas entendre les bruits de la fête. Durant sa séance il avait fait tout pour souffrir plus, un moyen de vite s’endormir ce soir et surtout de reprendre demain comme si de rien n’était. Vous croyez quoi ? Que sa ne lui fait pas quelque chose d’être seul alors que les autres font la fête ? Si mais voilà, depuis cette histoire à la piscine il ne savait pas sur quel pied danser avec Ais’. Alors l’inviter à la soirée aurait surement été quelque chose de trop fort pour elle. Les deux baisers, le départ précipité trop de chose en trop peu de temps pour les deux anciens amis.
    Durant sa séance donc (oui je reprends mes esprits), il avait eut la visite de son cousin. Gauthier il l’aimait tellement ce mec, quand il avait quelque chose en tête il ne l’avait pas ailleurs. Il était venu le voir seul heureusement sinon Andrea aurait tapé un scandale. Lui apportant une coupe de champagne, un beau geste de la part de son cousin, mais l’Italien du refuser, une goutte d’alcool et il était partit au pays de Candy. Peut être que se geste était prémédité ?

    Minuit, il se souviendra de cette heure toute sa vie. Le passage entre le 14 et le 15 février, un passage ou la musique se coupa net, laissant place à une flash info. Ce flash info était sur Berkeley, il y avait quelqu’un de fou allié qui avait tiré plusieurs fois, les pompiers avaient été appelés, la polie aussi mais voilà quelque chose n’allait pas. Andrea venait de tout stopper, pensant à Gauthier oui, à Cadence mais surtout à Aislynn. Cassandra elle n’y avait pas été préférant aller en boite, c’était déjà ça de pris.
    N’écoutant rien, ne pensant à rien même pas au danger. Il se mit à courir, un peu n’ importe où car il ne connaissait pas franchement l’université. Quelqu’un l’avait forcé à le suivre il était partit en douce, il voulait trouver Ais. Il fut contraint d’aller dans la grande salle la cherchant du regard il ne la vit pas, la panique montait encore plus. Voir du sang et des gens blessés cela ne lui faisait rien. Ancien volontaire dans les pompiers en Italie il avait déjà vu ça, mais si Ais était touchée ?

    Arpentant les couloirs, en short, en sueur et avec sa serviette qui elle était sèche au bras. Après cinq minute de recherche une trace de sang, quelqu’un avait transporté un corps. La main droite du jeune homme tremblée, il tenta d’ouvrir la porte mais elle était fermée. Qu’est ce qui se cachait derrière ? Le tireur fou ? Une personne blessée ? Aislynn ?
    Rien que cette pensé lui donna du courage et une force presque surhumaine, un coup de pied et la porte s’ouvrit. Coutumier du fait ce n’était pas la porte qu’il ouvrait de cette manière, et là… C’était la belle blonde à genoux du sang partout. Puis la un flou, il ne dirigeait rien il la souleva avec violence. Puis voyant qu’elle n’avait rien la serra fort contre lui avant de se pencher sur Camélia une Epsilon qu’il connaissait que très peu.

      Elle est blessé ou ?

    Lui demanda le calme enfin retrouvé. Il chercha lui-même voyant que Aislynn n’était pas en super forme, une balle dans la jambe, du sang de perdu l’artère était peut être touché. Il mit ses deux mains sur la plaie, appuyant de toutes ses forces, sentant la chaleur du sang coulé sur ses doigts. Il avait fait sa de nombreuses fois, mais il n’était pas seul, il était entouré de gens qui savaient quoi faire.

      Ais, calme-toi s’il te plait. Met la couverture sur elle et appel les pompiers !

    D’un calme presque surprenant, Ais ne voyait pas que Drea était tout aussi paniqué qu’elle. Ses mains tremblaient, tout son corps tremblait. Peur de quoi ? Il n’en savait rien

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyMer 15 Fév - 22:01

    La situation se déroulait bien trop vite. Je respira longuement et reprit constance. Ce n'était pas une garce dans son genre qui devait m'empêcher de rester calme et non-plus Jayan. Après tout, nous n'étions pas ensemble ... Enfin je ne savais plus trop quoi penser. Il me disait qu'il voulait être avec moi puis lorsque je lui disais que je comprenais enfin et que j'entrevoyais vraiment un avenir pour nous deux, il embrassait une fille sous mes yeux, sans se retirer, la dévorant du regard et pour finir en parlait comme si ce n'était pas le soucis majeur de la soirée ! J'eus une moue de désapprobation envers Jayan. D'accord, ce n'était pas mon copain ou quoi que ce soit qui aurait pu mériter ce titre en vue de nos échecs à se faire comprendre dans ce sens. Néanmoins, nos paroles avaient été assez clairs pour que nous hésitions au moins un minimum avant de nous jeter à la gorge d'une autre personne non ? A moins que j'étais trop rouillée et qu'à force d'avoir trop joué avec les hommes j'avais totalement oublié d'apprendre à les connaître et à savoir comment ils réagissaient la plupart du temps. Les paroles de Jayan m'avais exaspéré et je n'avais qu'une envie lui dire qu'il pouvait oublier mes paroles et continuer à m'appeler "la meilleure pote qu'il n'est jamais eu". Si l'amour et les sentiments étaient aussi compliqué je préférais renoncé. Je l'avais déjà fait, je pouvais très bien recommencer, ce n'était pas si compliqué et cela m'éviterais de souffrir. J'étais peut-être une égoïste mais si cela pouvait m'empêcher de retomber dans un tourbillon de malheurs alors soit ! Je ne répliqua rien aux paroles de la brune. Qu'elle aille aux diables, je n'avais besoin de prouver à personnes mes intentions et je n'avais pas besoin non-plus que mes paroles soient retournées contre moi. Mais alors que j'ouvrais la bouche pour faire part de ces pensées à Jayan, et que Camélia partait, un regard de victoire ornant son visage, les portes se fermèrent dans un grand bruit et j'eus un temps de réaction. Des coups de feu retentirent, puis des cris et enfin plusieurs lumières vacillèrent laissant à la scène un goût sombre et amère. J'avais l'impression de vivre la scène d'une vision extérieur et ce ne fut que le réflexe de Jayan de me pousser alors qu'un tir se pointait sur moi que je repris mes esprits. Non pas ça, tout sauf ça, j'avais bien trop connu la mort dans ma vie ou les malheurs pour que quelque chose de pire que le retour de mes sentiments viennent assombrir le tableau. Jayan ?! Mais il m'empoignais déjà la main pour se réfugier derrière le buffet. Mon coeur battait la chamade pendant que mon esprit essayait de comprendre ce qui était en train de se passer. J'avais peur. Je ne voulais pas revivre la perte d'un être cher. Je commençais déjà à me dire que j'allais revivre mon passé, que tout allait s'écrouler de nouveau et je regrettais de m'être encore mise à ressentir pour des gens. Et voila qu'au moment où je me réfugiais aux côtés de Jayan, je tournais la tête pour appercevoir Zayn et malgré la panique je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche à la vue de Nikki à ses côtés. Quand les chats ne sont pas là les souris dansent à ce que je vois ... Mais ce n'était pas le temps de plaisanter. Et merde, si ce n'était pas les balles qui nous toucheraient ce serait la rancoeur de Jayan envers Zayn. Je me tourna tout de même vers le gamma avec un regard inquiet. T'as rien toi ? Je n'aurais peut-être pas dû m'en inquiéter mais je n'y pouvais rien. En dehors de Zayn Ashlynn ou encore Jayan, peu de monde avait de l'importance pour moi ...
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyMer 15 Fév - 23:25

    Cette Saint-Valentin marquerait vraiment les esprits de tous, cette année. Alors que je pensais vivre une super soirée à critiquer, à en mettre plein la tête aux trois quart des couples présents dans la salle, j’étais loin d’imaginer tout ce qui arriverait ensuite. D’abord ma cousine détestable, la nièce de Cruella était dans la place, et bon, évidemment j’avais tellement d’importance pour elle, qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de venir me voir pour essayer de me pourrir la soirée. Comme quoi, je n’avais pas juste l’intention de critiquer que les gens en couple, même les célibataires auraient leur dose. Enfin sur la Hastings-Matveïv. Sa réflexion m’avait bien fait rire toute de même, et je ne me gênais pas pour rire à son nez, ouvertement. La pauvre, elle était tellement ancré sur sa haine qu’elle ne connaissait même pas mon ancien nom de famille – qui était celui de sa tante par la même occasion – Sorenson ? perdue ma grande, moi c’était Sorensen ! « Arrête toi là Hastings, moi au moins elle a daigné me donner ce nom tout de même. Rappelle moi le tient pour voir ? Oui c’est ça Hastings-Matveïv, même pas un rapport avec la famille Sorensen. Alors à ton avis de qui elle a le plus honte à l’heure actuelle ? » Allez mange un peu ça, moi je retourne m’amuser, et éclate toi bien seule dans ton coin. Je retournais vers ma cousine, Dylan, on avait eu l’occassion déjà de bien boire, de trinquer à cette fête à la con, purement commercial et sans intérêt – mauvaise foi de célibataire. En tant que romantique, ou du moins de ce qu’il pouvait en avoir en moi, on n’avait pas besoin d’un jour particulier pour dire « je t’aime » à quelqu’un. Enfin soit, j’étais jamais tombée amoureuse non plus, donc c’était à voir.

    Je ne savais plus vraiment à combien de verres j’étais, deux peut être, mais je me sentais bien, pas trop alcoolisée, mais pas trop sobre non plus. Dylan me proposait d’aller danser pour dire de compenser cette soirée, et de la voir sous un meilleur angle. Pourquoi pas après tout. « Let’s go. On va montrer un peu ce que c’est que de mettre l’ambiance ! Un petit clin d’œil à ma Dydy, et je prenais sa main pour aller rejoindre la piste. Une chance pour nous, ça avait beau être la Saint-Valentin, il n’y avait pas que des slows durant la soirée, et on profitait d’un moment un peu plus rythmé pour se déhancher. J’aimais bien ce moment de la soirée, où en dansant tu oubliais tout ce qui pouvait se passer autour de toi. Je commençais enfin à me détendre, quand l’événement le plus improbable qui soit se dérouler juste là sous nos yeux. Normalement, une princesse devait partir et perdre une pantoufle de verre, que son prince charmant lui ramènerait après. Là c’était des balle sortant d’une arme à feu qui se perdait dans la foule. Un coup, deux coups… J’avais du mal à comprendre ce qui se passait, alors que tout le monde autour de moi s’agitait pour s’enfuir le plus rapidement possible. Je regardais autour de moi, Dylan avait déjà disparu. Dylaaaaan ?! . J’hurlais presque à travers la salle mais le brouhaha des gens en panique masquaient ma voix. La musique était arrêtée, les gens courraient, et comme la plus part des gens, je me cachais directement derrière le buffet de la cafétéria. C’est pas possible, c’est pas possible… Je me parlais à moi-même, même si les personnes à côté de moi devait me prendre pour une folle car on pouvait m’entendre. Je cherchais mon téléphone pour savoir si Dylan allait bien. Même si je n’avais plus mon sac, j’avais pour habitude de laisser mon téléphone dans le décolté de la robe. Je me doutais bien qu’un jour où l’autre cette technique serait utile. Le bruit des gens qui couraient été de plus en faible, et ça me faisait de plus en plus peur. Je le sortais et envoyait mon message. ‘tu es où ? tu es blessée ?’ Et une blonde restait une blonde en tout circonstance, la sonnerie des messages se mets à chantonner dans cette pièce avec les autres étudiants. « chut chut chut » disais-je tout bas en m’acharnant sur les touches de mon téléphone pour arrêter la sonnerie. Pourvu que personne, ou du moins les tueurs, n’étaient dans la salle. J’enlevais de suite cette sonnerie de message. Je respirais difficilement avec ce stress. J’avais tout prévu dans cette circonstance, sauf la crise d’asthme. Ce n’était pas le moment pour me faire ça, non ce n’était pas le moment. J’attendais le message de Dylan désespérément, pourvu qu’elle ait son téléphone. J’inspirais et je soufflais lentement, je n’avais absolument rien pour contrôler ma crise d’asthme à part ça.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyVen 17 Fév - 16:02

Voilà Stephen et Emy tous deux dans cette sale de fête, téléphone confisquéà l’entrée, le peintre se demandait bien pourquoi, mais de toute façon, cela n’avait pas tant d’importance, il n’y avait aucune raison de l’utiliser ce soir. Emy s’était dirigé vers une table prête à prendre un jus d’orange, alcoolisé ? Le peintre s’était posé la question, il était même sur le point de prévenir Emy et de lui dire de faire attentions, toujours conscient de la maladie de la belle même s’il ne la « soulait » pas trop avec ça, il passait son temps à veiller du coin de l’œil, c’était même devenu son sport numéro un…
Mais après tout, ce soir c’était fête non ? une boisson alcoolisée n’allaient pas la tuer et il n’avait pas forcément conscience de cette possible future greffe et de l’impact que cela pourrait avoir, bien qu’il s’était renseigné, notamment au près de Marvin et qu’il savait que cette grèfe serait son remède, il soupira… oui en fait, il se remémorait cette conversation avec son ami étudiant en médecin et qui plus est, qui s’était déjà occupé d’Emy, le peintre soupira alors, puis il alla chercher un jus d’orange lui aussi, prêt d’Emy, puis d’un coup, sans prévenir, il déposa un baiser sur ses lèvres en lui souriant, et puis, ils avaient passé le stade de ne plus oser se manifester en publique, ils étaient ensemble et cela commençait à se savoir dans leurs entourages respectifs, puis aussitôt il bu son jus… visiblement si l’alcool y était présent, c’était à très petit dose si bien qu’il ne le sentait pas… Il ne dit alors rien et laissa Emy boire.
La soirée passé, quelques bonjours, quelques rigolade, chacun étant d’ailleurs allé dans son coin histoire de saluer des personnes de leurs confréries respectives afin de ne pas jouer les sauvages, le temps était finalement passé assez vite, puis alors qu’il devait être prêt de minuit, Stephen revint retrouver sa belle, et ce soir le mot était faible d’ailleurs pour elle, tant il avait les yeux brillant en la regardant, il la prit alors dans ses bras puis déposa un baiser sur ses lèvres, il dit alors


-on a pas encore eut l’occasion de danser ensemble j’me trompe ?

Stephen était il en train de l’inviter à danser ??? Il allait tomber autre chose que de la pluie ce soir, mais cet effet de surprise laissa, en quelques secondes, place à un autre effet de surprise d’un tout autre genre, alors que 12 coups de feux raisonnèrent dans la salle des fêtes, un par secondes comme sonnant les douze coups de minuit, des cris commencèrent alors à se faire entendre, Stephen comme par réflexe, serre Emy dans ses bras et plongea derrière une table sur laquelle était entreposé des bouteilles et quelques verres, son regard avait tout à coup changé, il se revoyant plus de quinze ans en arrière à Sarajevo… Il serrait Emy presque frénétiquement contre lui, plutôt mourir que de la voir prendre une seule de ces balles, regardant ses tireurs qui tenaient leurs arme, la peur au ventre de voir le sang couler, de revoir des scènes qu’il aurait aimé ne jamais revoir…
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyVen 17 Fév - 17:41

  • Et bien nous étions venus jusqu’ici en tant que couple, cela résonnait étrangement dans mon esprit mais c’était tout de même agréable, bien que cela m’effrayait tout de même toujours avec cette maladie qui mettait en suspens notre relation, le fait de faire des projets d’avenir, bref mais ce soir ce n’était que pour passer une bonne soirée, le jour de la Saint Valentin, dans des tenues plus chics, plus classes, pour un thème particulier, ou chacun viendrait en couple ou non, certes il y aurait du rebondissement je pense, en voyant telle ou telle personne ensemble qu’il y aurait forcément des retombées, de la jalousie, de nouveaux couples ou encore des séparations surtout dans ce genre d’événements au sein de Berkeley ou le Doyen n’était nullement au courant de tout ce qui se tramait et encore heureux d’ailleurs !

    Partie chercher de quoi boire il vint ensuite me rejoindre sans que je ne fasse réellement attention, tant j’étais hésitante sur le choix de la boisson, idiot pour certains mais important pour moi, à l’approche de mes résultats sanguins que soudainement il m’embrassa sans crier gare en me souriant, sans savoir pourquoi je jetais un coup œil furtif à la salle lui rendant son sourire presque gênée sachant que le beau peintre tatoué n’était pas du genre démonstratif du moins pas en public !

    Levant également mon verre à ma bouche je le bus en petite gorgée , puis quelques tours d’horizons, quelques paroles échangées, des sourires, un peu de bla-bla et pour finir allant chacun voir ses amis ou encore des personnes non côtoyées pour l’autre par politesse, et aussi heureuse pour ma part de revoir certaines têtes même s’il y en avait qui semblait être occupé, mais le fait de voir leur visage était apaisant, tel que Zayn, Esmé, Jayan et d’autres bien entendus. La soirée se passa des plus agréablement que possible quand Stephen revint de nouveau vers moi, me regardant avec un air qui en disant loin et j’aimais sa façon de me voir, me prenant dans ses bras avant de m’embrasser de nouveau, à cet instant j‘étais pleinement heureuse comme jamais, rien ni personne ne pourrait gâcher cet instant et encore moins lorsqu’il prit la parole pour une chose totalement surprenante.

    « -on a pas encore eut l’occasion de danser ensemble j’me trompe ? »

    Je n’eus pas le temps de répondre qu’un boucan d’enfer se fit entendre, puis suivirent des cris, ou je me retrouvais propulser à terre en moins de deux secondes derrière une table serrée fortement par Stephen. Le souffle coupé je tentais de voir ce qui se passait, entendant toujours ses hurlements, la bonne humeur et la joie, faisant place ce soir soudainement à la panique, à la peur !

    -C’est quoi ça ?!

    Je voulais voir par curiosité comme poussé par mon instinct me dégageant doucement de l’emprise de Stephen, et quel spectacle hallucinant, que le mieux était encore de se faire tout petit sans se faire remarquer pour ne pas attirer l’attention de ses détraqués armées !
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyDim 19 Fév - 11:08


Le pire jour de l’année, vraiment. Niais à souhait, tous ces couples qui profitent du jour le plus commercial de l’année pour s’embrasser à en perdre haleine, comme si le monde allait s’arrêter dès demain, dès que leurs lèvres perdraient tout contact. C’était ridicule, tout ce qui avait attrait à cet événement l’ exaspérait au plus haut point. Sans Cadence, jamais elle ne se serait rendue à cette soirée. Cependant, avec son amie, elles venaient avec une idée en tête : changer cette soirée idiote simplement grâce à leur présence divine. Elles étaient faites pour cela, où qu’elles aillent, quoi qu’elles fassent, elles pouvaient rendre n’importe quel événement inoubliable, d’une heure de cours de littérature endormante à souhait à la soirée de la saint valentin organisée pour rendre le dean dingue. Si seulement elles savaient, qu’elles n’auraient pas le temps de faire de cette soirée leur soirée…que quelqu’un allait les battre à leur propre jeu. In the worst case scenario, malheureusement. Pour l’instant cependant, cette idée lui paraissant inconcevable, la blondinette n’avait qu’une idée en tête : laisser Cadence discuter avec un charmant inconnu quelques secondes, remplir son verre au plus vite, pour que tout devienne plus intéressant très vite. Après avoir murmuré à son amie son idée, elle fut surprise une seconde par Damian, apparition soudaine, baiser mouillé sur sa joue, décidément joueur, celui-là. Mon dieu, s’il savait à qui il avait affaire, pauvre garçon adorablement sexy. Lui répondant d’un clin d’œil aux multiples significations, la jeune femme s’éclipsa en direction des boissons. Alcool, vite, emplit mes veines avant que je ne vomisse devant toutes ces décorations roses agressives. Un murmure dans son oreille, douce voix qu’elle reconnaitrait entre mille. Tournant la tête, elle laissa un large sourire se poser sur ses lèvres. Oswald, ami, et plus de si affinités, d’ailleurs. « Oswald…merci, je te retourne le compliment, répondit-elle d’une voix suave, sa main se posant sur l’avant-bras du jeune homme. Son sourire s’élargit à sa réflexion, se muant en un rire. Oh, ne t’inquiètes pas pour cela, je n’ai pas fini de te surprendre. Elle attrapa entre ses doigts vernis le verre de champagne qu’il lui tendit. Merci, exactement ce dont j’avais besoin. Passant une mèche de cheveux tombante derrière ses oreilles, elle tourna alors la tête afin de repérer son amie. Non, bien sûr que non, répondit-elle dans un rire, comme si c’était la question la plus ridicule au monde. Je suis venue avec Cadence, juste là-bas. Elle leva son verre et le tourna en direction de son amie, toujours en discussion avec le jeune homme, tournant cependant la tête vers eux comme par magie. Autumn lui fit un clin d’œil. Tiens, apparemment elle m’a repérée…et toi aussi. Vous vous connaissez ? demanda-t-elle, fronçant légèrement les sourcils. Elle inclina ensuite son verre. Cheers, que cette soirée soit inoubliable. » s’exclama-t-elle alors, à peine quelques secondes avant le premier coup de minuit.

Midnight, l’heure où les carrosses se transforment en citrouilles, l’heure où tout bascule. Cette soirée, ces douze coups fatals n’échapperaient pas à la règle. D’autres coups, plus retentissants, plus effrayants, s’ajoutaient au bruit familier de l’horloge. Fronçant les sourcils, perplexe, la jeune femme écouta les trois premiers claquements, regarda les éclats de verre des fenêtres s’écrouler à ses pieds, les étudiants s’agiter, se bousculer dans tous les sens, analysa les éclairs de terreur flasher momentanément les visages de tous les individus présents dans la pièce, même ceux qui paraissaient les plus indifférents à la vie. Son regard papillonna de personnes en personnes, ses oreilles finissant enfin par repérer l’origine des bruits. Des coups de feu. Des étudiants, au milieu de la foule, armés de pistolets et de regards de déments, tiraient sur les fenêtres, les portes, le plafond, les coups de feu rythmant chacun des coups de minuit. La jeune femme ne chercha pas plus à comprendre. Après les fenêtres, après avoir visé tout et n’importe quoi afin d’être certains que tous soient dévorés par leur propre peur, ils y passeraient tous. Un par un, tir au hasard dans la foule, il n’y avait aucune chance que chacun s’en sorte indemne, que ce soit physiquement ou mentalement. Ses pensées la contrôlant, elle s’était laissée emporter par la soudaine bousculade, ayant ainsi brisé son verre de champagne sur le parquet, s’étant ainsi éloignée d’Oswald, qu’elle ne parvenait même plus à distinguer dans le capharnaüm qu’était devenu cette soirée. Alors qu’elle devait connaître une bonne cinquantaine de personnes ici, de vue, et plus de si affinités, elle ne pensait qu’à son amie qu’elle avait abandonné quelques secondes à peine auparavant. Cadence, qui, il y a quelques minutes, devait être en grande discussion avec un charmant jeune homme. Qui, peut-être, était criblée d’éclats de verre à cet instant précis. Poussant les personnes autour d’elle sans ménagement, ses talons claquant beaucoup trop violemment sur le sol, alors qu’un instant de calme étrange survint après les 11 coups de feu, Autumn chercha du regard son amie, priant tous ces dieux auxquels elle n’avait jamais cru qu’elle aille bien. Elle finit par la trouver au milieu de la foule. S’empressant d’agripper son bras, elle la jaugea de haut en bas une longue seconde, à la recherche d’une quelconque trace de sang, blessure, ou autre. « Cadence, mon dieu, ça va, tu n’as rien ? Il faut qu’on se casse d’ici. Et tout de suite. » Evidemment, qui voudrait rester avec les tueurs fous. Son regard s’agita à nouveau, à la recherche d’une sortie, d’une échappatoire au bain de sang qui s’annonçait imminent.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyDim 19 Fév - 12:47

Minuit tapante. L’heure où Princesse Cendrillon réendosse le rôle de femme de ménage de sa cruelle belle-mère, son énorme carrosse se métamorphosant en citrouille. Mais aussi, l’heure où Manon Petrov-Versier décide de reprendre son activité favorite : enterrer le San Mercury plus bas que terre avec une classe innée et déconcertante. J’écoutai attentivement sa tirade ne désirant en manquer aucun mot, il avait le don d’accaparer toute mon attention là où certain n’arrivait guère à me distraire le temps de quelques secondes. A croire que c’était la Saint Petrov-Versier entre le retour du Adriel et du Damian, je me sentais comblée presqu’au bord de la crise d’hystérie, intérieurement parlant bien entendu. Les hostilités avaient débutée avec Augusto & Constance et se termineraient avec le roi des cons autrement dit mon proxénète tant adooooré. Adoré, je ne vous le fais pas dire. « Tu sais, on dit que les gens se bonifient avec le temps… Si seulement je pouvais en dire autant de toi ! » Abruti, qu’est-ce que j’en avais à faire de me bonifier avec le temps ? Au contraire, plus les années passaient et plus le degré de ma méchanceté gratuite s’intensifiait, ce qui n’avait pas pour but de me déplaire. Après tout, il valait mieux être une cruelle connasse qu’une naïve et sans intérêt gentille jeune fille, true story. Prête à le massacrer de ma divine et stridente voix, m’acharnant sur lui comme à notre belle époque où nous formions le duo des deux pénibles iotas se chamaillant sans arrêt, je fus coupée court. Oh seigneur, après Gusto, Eden, Constance et Damian , qui osait être le prochain à m’affronter en face ? Qu’on daigne me laisser en paix, le iota et moi-même avions du temps à rattraper ou plutôt des disputes. M’arrêtant net sur ma lancée, je m’aperçus que le monde ne tournait pas autour de ma petite personne et que si ce jeune homme m’avait poussé ce n’était point afin de se mesurer à moi mais pour …. sauver sa propre vie. Paralysée tel un piquet, je n’osais guère me retourner, affronter la réalité en face, affronter que moi aussi ce soir deviendrait peut-être mon dernier soir. Sursautant à chacun des coups de feu, pour la première fois de ma vie je me sentais dans l’insécurité la plus totale, trop habituée à avoir ce que je désire et cette fusillade ne faisait pas partie de mes plans. Les cris fusèrent dans tous les coins tandis que certains cherchaient à sauver leur peau, d’autres tentaient de sauver leur moitié ou du moins les personnes qu’ils appréciaient. Les yeux écarquillés, la peur de la vérité me submergeait au plus haut point et instinctivement je m’abaissai ne voulant en aucun cas recevoir une des balles de l’un des tireurs. Plongée dans mes sinistres songes, une voix que j’aurais pu reconnaitre entre mille et sa main posée sur mon bras me forçant à courir me tirèrent de ma rêvasserie. Damian. « Cours ! » Courir sur des échasses Louboutin se révélait être du domaine du l’impossible, ayant pourtant comme habitude d’être perchée sur des talons de plus de treize centimètres. Néanmoins, je me laissai docilement ‘porter’ par le San Mercury, plus préoccupé par notre –sa- survie que par ma difficulté de courir ô grande sportive iota que j’étais. Les portes de la cafétéria se refermèrent derrière nous, nous donnant comme sensation d’être plus à l’abri qu’au préalable mais non, les tirs s’enchainaient de tous les côtés notre dernière chance de survivre semblait moindre, priant pour ne pas croiser l’arme fatale de l’un des tireurs fous. Cours, cours, cours …. Pour une fois je faisais exactement ce que l’on me disait de faire. Essoufflée comme jamais, je retins le bras du San Mercury le forçant à se stopper à son tour. Je le regardai complétement dépitée, prête à lui dire qu’il pouvait y aller sans moi, que je ne ferai que le retenir et qu’il devait sauver SA vie sans se préoccuper de la mienne. Quelle bonté d’âme cette Petrov-Versier. « Tu vois, c’est le karma, t’as été une garce, maintenant l’univers se venge en voulant tous nous descendre ! » abruti, et dire que j’allais te faire grâce de quelques gentillesses, tu peux toujours courir ( c’est le cas de le dire ) maintenant. Je levai les yeux vers le ciel, exaspérée par son attitude, même dans de telles circonstances il s’amusait à m’envoyer des mesquineries. « Laisse-moi te rappeler que la dernière fois que t’as essayé de me sauver monsieur super-zéro, on s’est retrouvé en prison alors lâche moi avec ton Karma. Pour la deuxième fois, ce sera de ta faute et on y passera tous les deux. Seigneur, j’espère que tu seras le premier ! » Pestais-je d’un coup, me retenir de le chambrer ne faisait pas parti de mes qualités aussi nombreuses soient-elles. Ah le retour de mon super-zéro, presque orgasmique à me demander comment j’avais pu passer autant de temps sans avoir cette envie de lui cracher en pleine face. Ferme-la! » Oh putain, putain, putain j’entends des pas se rapprocher de nous, à peine avait-on eu le temps de reprendre notre petit jeu que nous devions, déjà, y mettre un terme. Balayant les alentours du regard, j’aperçus une silhouette au loin dans un coin prête à tourner et donc à nous découvrir. « Il est là !! » murmurais-je sur un ton au bord de la crise cardiaque, pas le temps de réfléchir à un plan, il ne nous restait plus qu’une seule chose à faire : courir, encore. Cette fois, je pris moi-même le bras du San Mercury et nous commençâmes à parcourir les couloirs de l’université à toute vitesse. « Inutile de vous enfouir, vous ne m’échapperez pas San Mercury et Petrov-Versier. » D’où tu te permets de m’appeler par mon nom de famille gros lard ? L’air pétrifiée, je fixai le iota à mes côtés ce bœuf nous avait reconnu ô cruelle réalité de notre popularité. Le pauvre semblait tellement gras que sa vitesse ne dépassait pas la notre, mon gros quand on se lance dans une course poursuite, au moins on perd du poids et on fait du sport afin d’être au top de sa forme. L’espace entre nous ne faisait qu’augmenter au fur et à mesure que les secondes, minutes passaient. Je ne savais pas si je devais remercier le seigneur ou la nourriture que ce porc avait ingurgitée. « Il est hors de question que je me fasse tuer par un gros. Ce serait le comble en plus de périr avec toi ! » ça c’est fait proxénète !
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyLun 20 Fév - 15:28


« L’IDÉAL DE L'AMITIÉ C'EST DE SE SENTIR UN ET DE RESTER DEUX.» Loin de tout, loin de la foule. Dans ce couloir sombre, j'avais retrouvé le corps de ma meilleure amie sans vie. Les mains tremblantes, je l'avais voyagé jusqu'à cette petite pièce juste à côté. Je ne voulais pas que la personne revienne sur ses pas, s'assurer que le travail avait été bien fait. Je n'ose même pas imaginer où était le tireur et où il se cachait mais aussi pourquoi il avait agis de la sorte. Qu'importe même les raisons, pour moi cela n'avait aucune validité. Prendre la vie d'un autre n'est pas quelque chose qui arrive sans avoir en retour un prix à payer. Néanmoins, je priais pour que ça n'arrive pas. Quand brusquement, il arriva. C'est avec son pied qu'il poussa la porte et arriva à entrer. Il me remarqua directement. Les yeux remplis de larme et l'angoisse se lisant sur mon visage. Andréa était là et pourtant je restais sous le choc de la situation. Ne réalisant directement pas sa tenue, je ne pensais qu'à Camélia. Je voulais qu'elle ouvre les yeux, qu'elle me sourie et que tout retrouve un ordre cohérent. « Elle est blessée ? » J'avais arraché un morceau de ma robe pour essayer de tenir la plaie fermer et espérer que le sang s'arrête de couler. Qu'est ce que je ferais sans elle, sans mon double ? Je n'ose même pas imaginée. Andréa arriva jusqu'à moi, je ne sais pas par quel miracle ou sort du destin. Je n'allais plus être seule à affronter cela. Les larmes s'échappaient des mon regard. Je ne pouvais pas contrôler ma peur. Je surmontais déjà bien des stades en étant là à ses côtés, la voyant perdre son sang, j'arrivais à me concentrer et à ne pas tomber dans les vapes. Depuis l'accident, les marres de cette substances rouges n'étaient plus vraiment mes amies. J'en tournais encore de l'oeil mais pas ce soir, pas devant elle. La voix tremblante, j'osais à peine le regarder tellement j'étais dans un moment de désarroi complet. «  La blessure se trouve au niveau de sa jambe, je suppose. J'ai essayé mais .. mais ... Il ne faut pas que je la laisse partir.  » Toute la force que je n'avais pas, il l'avait. Reprenant le relais, il pressait à son tour la jambe de Camelia. Je pleurais dès à présent à chaudes larmes. Je craignais le pire et je ne pouvais pas l'accepter. Simplement parce que je ne saurais pas le surmonter. Je ne saurais pas traverser encore ce type d'étape. L'année passée m'avait suffit. Camélia n'avait pas le droit de laisser son coeur s'arrêter et je ferais mon possible pour la sortir de cette pièce en vie. La voix de mon ami me rappela à l'ordre. Je ne sais pas comment il faisait pour garder son franc froid. Il me donna un ordre que je prie avec volonté. Je devais mettre tous les moyens en place pour la sauver. Attrapant mon portable au vol, je composais le numéro tant bien que mal. La voix toujours aussi fébrile, j'essayais d'expliquer la situation. «  Nous sommes dans le bâtiment principal de l'université de Berkeley. Je ne sais pas ce qu'il se passe. Arrêter avec vos questions. Je ne sais pas ce qui se passe. Arrêtez de discuter et faites savoir aux pompiers qu'on est là. Elle baigne dans une marre de sang. Magnez vous !  » J'étais complètement sans politesse. Cette femme au bout du fil me disait déjà être au courant de la situation mais souhaitait savoir plus d'éléments. Qu'est ce que je pouvais savoir de plus ? Quoi elle croyait que j'avais vu un tireur ? Oh mon dieu, je n'ose même pas imaginé si j'avais vu la scène, si j'avais vu cette personne pointer son arme vers ma meilleure amie. Je n'ose même pas penser de ce que j'aurai pu faire. Bien souvent, trop inconsciente, je fonce et puis j'en ramasse les conséquences. D'ailleurs ça avait été le cas avec le jeune homme en question. On s'était embrassé, j'avais pris la fuite mais il m'avait rattrapé pour rendre la monnaie de ma pièce. Silencieusement et en retrait, je n'avais plus eu de nouvelles et je ne lui en avais pas donner non plus. Le voir là me rassurait. Il y avait quelque chose de particulier entre nous. Néanmoins, je ne pense pas que se soit le bon endroit pour en discuter. En sachant que depuis quelques jours, j'avais déjà évité l'affaire, ne sachant pas quoi dire ou faire. Heureusement qu'il était là. Je ne sais pas comment je pourrais le remercier. En plus s'il m'aide à la garder en vie, je lui en serais éternellement reconnaissante. Reprenant place à ses côtés, je déposais mon regard dans le sien et à l'aide. J'attrapais le drap qu'il avait amené de je ne sais pas où, je lui frottais le front et ajoutais : «  Merci d'être là. » Les larmes coulaient encore le long de mon visage. La peur n'avait pas disparue même s'il était là qu'il m'aidait à ne pas devenir complètement dingue. Comment est ce que Andréa était arrivé jusqu'à moi ? Est ce qu'il se promenait par hasard ? Vu sa tenue, ça me laisserait penser qu'il n'était pas là pour l'évènement à moi que se soit son style, de se ramener vêtu de la sorte. On ne sait jamais. Enfin voilà, je ne sais pas vraiment ce qui se passe et ce qui va se passer. Je veux juste me réveiller de ce cauchemar. Je veux qu'on me pince et que je me dise que tout ceci est le fruit de mon imagination. Je ne veux pas comprendre ce qu'il se passe. Je ne sais pas jusque quand je tiendrai le coup mais je remercie, je ne sais quelle force, d'avoir mis Andréa sur mon chemin, de m'avoir trouvé. Sans avoir idée moi – même de ce qui se passe à l'extérieur de cette pièce..
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you SUJET COMMUN • valentine's day, I hate you - Page 10 EmptyLun 20 Fév - 21:53

    Nikki n’était pas des plus heureuse d’être là, et encore moins lorsqu’elle voyait Zayn entouré de plusieurs femmes, bien plus belles qu’elle. Elle n’avait plus du tout confiance en elle lorsqu’il s’agissait de lui, et elle détestait ce sentiment de vulnérabilité. Elle savait qu’ils s’étaient embrassés, elle lui avait fait croire qu’elle s’en fichait alors que ce n’était pas le cas. Mais elle n’avait pas eu le choix, vu qu’il n’avait pas paru apprécié, ou alors c’était un défis comme un autre pour lui. Elle ne savait plus trop comment elle devait se comporter avec lui, mais elle savait que pour le moment elle n’arrivait pas à être aimable en sa compagnie. Elle entendit ensuite le nom de sa femme, et elle ne cacha en rien sa colère. Elle ferma doucement les yeux, histoire de se calmer, et elle lui répondit d’un ton froid. « J’avais oublié que quand Ebony ordonne, Zayn rampe… » La jeune femme n’arrivait clairement pas à se calmer, elle avait envie de le frapper, de lui crier dessus, de l’insulter pour qu’il comprenne combien il ne voyait pas que la femme qui l’aimait le plus se trouvait justement en face de lui. Elle prit donc un verre tout en se promettant de finir la soirée avec un homme sans se soucier des conséquences et de ce qui pourrait arriver ensuite. Elle décida donc de le laisser en plan, pour oublier combien elle avait mal au cœur de se dire qu’il n’y aurait jamais rien entre eux à cause de sa femme et surtout à cause du fait qu’elle ne semblait pas l’intéresser autant que les autres femmes à cette soirée. Elle sentit une main l’attraper alors qu’elle était en train de prendre la fuite. Elle la reconnu et elle s’en voulu encore plus de la reconnaître. Elle allait devoir se faire violence pour nier ses sentiments pour lui, et elle savait que ce ne serait en rien une chose facile à faire. Elle se laissa doucement guider tout en essayant de ne pas comprendre ce qu’il venait de dire. Content ? Il se moquait d’elle sûrement… Elle décida d’enfin le regarder, et elle comprit qu’il était en train de la scanner. Était-elle tout aussi bien que les autres ? Elle en doutait, mais en entendant sa remarque, elle ne pu retenir un petit sourire assez sincère. « Je pensais que tu aurais envie d’être seul pour avoir une chance de… les draguer. Et… merci, t’es pas mal non plus. » Elle aurait aimé ne pas dire cette dernière remarque, mais elle était déjà en train de lui montrer combien elle était en colère, et il allait se douter de quelque chose. Elle ne savait plus trop quoi penser, est-ce qu’il lui disait tout cela pour lui faire plaisir, elle ne savait plus. Elle suivit ensuite son regard, et elle comprit qu’en fin de compte, c’était que du vent tout ce qui venait de se passer. Elle allait le laisser encore une fois en plan lorsqu’elle entendit des coups de feu. Elle eut énormément de mal à réaliser ce qui était en train de se passer, et elle ne savait que faire. Elle n’eut d’ailleurs pas le temps de dire ouf qu’elle sentit tirer sur sa main et elle suivit Zayn. Même en colère, elle savait qu’elle pourrait lui confier sa vie. Nikki se concentra néanmoins sur sa respiration pour ne pas faire une crise, et elle avait son inhalateur dans son sac en cas de besoin. Elle se retrouva donc derrière le buffet, son cœur battant encore plus vite et la pensée que c’était sa dernière soirée vivante. Une folle envie de se confesser à Zayn lui vint, mais au moment ou elle avait eut envie de prendre la parole, Zayn passa une main sur son visage et il semblait inquiet. « Je vais bien, t’en fait pas… et toi ? » Après sa seconde remarque, elle regarda autour d’elle, sans réellement comprendre ce qui était en train de se passer. Elle ferma doucement les yeux ensuite pour respirer calmement et elle entendit du bruit proche d’eux. Elle vit sans souci Ebony, et elle décida de ne pas y faire trop attention. Elle se colla encore plus contre Zayn, en faisant semblant d’être apeurée. Seulement, elle pensait faire semblant, alors qu’elle l’était réellement. Elle ne voulait en aucun cas perdre Zayn, et elle ne voulait pas voir Ebony gagner encore plus de terrain dans la vie du jeune homme. Et pourtant, si seulement elle avait eu le courage de prononcer ces mots : je t’aime.


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