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Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées.

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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyJeu 29 Avr - 21:29



    Il devrait attendre jusqu'à demain ? Le café devrait attendre le lendemain matin ? Alors est-ce que ça voulait dire que...qu'il...enfin qu'il comptait passer la nuit ici ? Chez elle ? Là ? Étonnée comme jamais, elle ne le fut pas très longtemps au vu du fait qu'elle sentit les lèvres de l'homme contre les siennes. Maria savait pourtant que c'était quelque chose de mal au vu de son passé, mais étrangement, elle n'arrivait pas à ne pas profiter de ce que Maxence lui offrait présentement, comme si au fond, elle en crevait d'envie. C'est ainsi qu'elle profita du baiser qu'elle partageait avec Maxence tout en glissant l'une de ses mains dans les cheveux de l'homme. Resserrant sa main, le baiser s'atténua progressivement jusqu'à se terminer laissant les deux adultes pantois comme jamais. Ne quittant pas un seul instant Maxence des yeux, elle sentit ses mains desserrant leur étreinte autour de sa taille, ce qui la déçu légèrement, mais en même temps ce comportement était tout à fait compréhensible. A tout les coups, il devait s'attendre à ce que Maria l'envoi balader et lui demande de partir sur le champ.

    Ils restèrent ainsi, muets, l'un face à l'autre durant deux bonnes minutes. Et c'est alors que Maxence prit les devants en se reculant tout en commençant à se retourner pour partir.

    * Ne fais pas ça....*

    « Maxence. »

    L'appeler était sans doute un peu romanesque, mais c'était tout ce qu'elle avait trouvé pour faire en sorte qu'il comprenne qu'elle le voulait ici, avec elle ce soir. Après tout, c'était la suite logique des évènements au vu de leur passé commun à Paris cinq ans plus tôt, non ?

    « Reste. »

    Et elle se rapprocha de lui pour ensuite lui sauter dans les bras et profiter d'un autre baiser, celui-ci se trouvant être bien plus langoureux et passionné que le précédent. Les mains de l'homme sous ses cuisses pour la retenir, Maria avait enroulée ses jambes autour de sa taille pour qu'ils aient un minimum d'équilibre, l'un comme l'autre. Ses deux mains dans le cou de Maxence, la brunette s'étonna elle-même de l'ampleur que prenaient soudainement les évènements, mais d'un côté elle l'avait voulue. Sinon pourquoi lui aurait-elle proposé un café ? Franchement. Sentant soudainement l'homme reculer tout en continuant à l'embrasser passionnément, elle fit tout son possible pour l'empêcher de heurter aux murs ainsi qu'aux meubles qu'il pouvait potentiellement rencontrer sur son chemin, celui-ci les menant tranquillement mais sûrement dans la chambre de Maria se trouvant à vrai dire au premier. Heureusement qu'il n'y avait qu'un étage dans cette maison. Évidemment ce fut le rôle de la brunette que de guider tant bien que mal Maxence dans sa chambre. Quelques murmures entre deux baisers savoureux, elle lui avait dit où aller et il avait su trouver sans aucun soucis. Une fois devant la chambre, la porte de celle-ci étant fermée, Maria s'y retrouva plaquée ne tenant même pas compte de la douleur que la poignée lui procurait au niveau des reins, tout ce qui comptait pour elle sur le moment, c'était de le sentir contre elle, au plus près d'elle. Maria en voulait d'ailleurs plus. Ouvrant la porte aussi difficilement qu'elle le put, la brunette et l'homme terminèrent leur course allongés sur le lit, Maxence ayant déjà attaqué la fermeture éclaire de la robe noire de la brunette. Maria elle, lui ôta violemment sa veste ne le voulant pas vêtu trop longtemps non plus.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyJeu 29 Avr - 21:47

    Maxence savait que de l’embrasser était sans doute une mauvaise idée, mais il en avait eu envie. Mais le comportement qu’elle avait avec lui, lui avait fait pensé qu’elle avait envie de l’embrasser. L’embrassant, il sentit la jeune femme passer une main dans ses cheveux. Souriant contre les lèvres de la jeune femme, il la laissa contre lui. Puis, le baiser prenant fin, Maxence resta fixer la jeune femme dans les yeux, tout en lu laissait le loisir de partir si c’est ce qu’elle voulait. La fixant alors dans les yeux pour savoir ce qu’elle voulait vraiment, il restait là, comme un idiot. Une superbe femme prolonge un baiser avec lui et tout ce qu’il trouve à faire, c’est rien ! Quel abruti ! Mais alors qu’elle ne faisait que le regarder et ne disait rien et ne bougeait pas, il se dit que c’était sans doute mieux de partir. Elle n’avait sans doute pas besoin de lui. La lâchant totalement, il préféra partir de la maison, c’était sans doute mieux. Il ne voulait pas non plus qu’elle lui en veuille, mais qu’elle se veuille à elle non plus après ce qu’ils pourraient faire. Seulement, à l’écoute de son prénom, il se retourna vers la jeune femme. Hésitant sur ce qu’il devait faire, il la regarda et l’entendant dire de rester, il fut un peu surprit, mais il apprécia cela.

    La voyant alors se rapprocher, il la laissa faire et elle sauta dans ses bras. La prenant contre lui, dans ses bras, il la laissa passer ses jambes autour de ses hanches. Sentant les bras de la jeune femme autour de son cou, il profita du baiser qu’elle lui offrait et se décida à bouger. Ils n’allaient pas rester dans la cuisine, si ? Non quand même pas ! Enfin en tout cas pas pour cette fois. Enfin s’il y avait une prochaine fois. Mais Maxence ne préférait pas penser à ça pour le moment. Tout ce qu’il voulait, c’était de pouvoir profiter de la jeune femme et qu’ils se retrouvent comme il y a cinq ans. Ils étaient sobres cette fois-ci et complètement conscient de ce qu’ils allaient faire. Peut-être qu’ils le regretteraient, mais il ne voulait pas penser à ça pour le moment, mais juste profiter des moments qu’ils allaient passer ensemble. Commençant donc à marcher, il fit de son mieux pour suivre les instructions de la jeune femme sur le chemin à prendre pour aller à sa chambre.

    Arrivant devant la porte de la chambre, il la plaqua à la porte. Le long du trajet il n’avait pas décollé ses lèvres de celles de la jeune femme, ne voulant pas rompre ce contact. Il avait aussi peur de lire dans le regard de la jeune femme de la peur ou un regret sur ce qu’ils étaient en train de faire. Maxence laissa Maria ouvrit la porte comme elle pouvait et ils se retrouvèrent finalement sur le lit de la jeune femme. Le professeur de philosophie avait commencé à lui enlever une partie de la fermeture éclaire de sa robe, mais il leva ses bras pour que Maria puisse lui enlever sa veste. Arrivant finalement avec l’aide de Maria à lui enlever sa robe, il fixa le corps de la jeune femme. Des souvenirs lui arrivèrent alors d’il y a cinq ans. Ce qu’ils avaient fait il y a cinq ans et le fait qu’il était partit avant qu’elle ne se réveille. Seulement cette fois-ci il n’avait pas envie de partir avant qu’elle ne se réveille. Il ne savait pas s’il pourrait rester, mais pour le moment, il fixait la jeune femme.

    Détaillant le corps qu’il avait sous les yeux, il vit le ventre de Maria bouger légèrement et il comprit qu’elle rigolait un peu. Relevant alors les yeux vers elle, il la vit sourire. Il en fit autant. Puis, il l’embrassa à nouveau et sentit les mains de la jeune femme s’activer sur sa chemise. La laissant faire, il se rendit alors compte de ce qu’il faisait, mais si elle semblait aussi active, c’est qu’elle voulait le faire non ? Maxence espérait en tout cas qu’elle ne regretterait pas par la suite ce qu’ils allaient faire.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyJeu 29 Avr - 22:14



    Maria ne tarda pas à être totalement libérée de sa robe alors qu'elle, était en train de lui retirer entièrement sa veste, elle avait étrangement l'impression de retomber cinq ans en arrière. Et encore plus étrange, cela ne l'effrayait même pas, elle en avait juste envie. Bien évidemment, dès le lendemain tout serait beaucoup plus compliqué mais pour le moment, tout ce qui comptait réellement à ses yeux, c'est qu'il soit là avec elle, maintenant dans cette chambre en train de faire ce qu'il faisait, point barre. Décollant finalement leurs lèvres un instant, Maria ne put s'empêcher de sourire en le voyant comme un gosse devant un jouet, il semblait émerveillé et c'était bien cela qui l'avait fait sourire. Posant alors ses mains sur le torse de l'homme, la brunette s'activa vivement à lui retirer sa chemise devenue trop encombrante à ses yeux, ce n'était pas comme si il en avait besoin là, tout de suite, maintenant de cette foutue chemise. Contrairement à Maxence, Maria ne cherchait même pas un seul instant à réfléchir et donc à comprendre le pourquoi de la situation, tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle en mourrait d'envie, et qu'elle avait besoin d'assouvir cette envie, et maintenant. Alors ce n'était pas vraiment comme si monsieur était contre cela non plus, ainsi tout allait pour le mieux, enfin selon Maria. Pas forcément pour l'homme par contre. Mais ça, en même temps, Maria ne pouvait pas vraiment le deviner toute seule, et comme il ne disait rien du tout...

    La chemise de l'homme ouverte, la brunette la lui ôta totalement et se remémora une fois de plus la nuit à Paris d'il y avait cinq ans auparavant. Sentant soudainement les lèvres de l'homme dans son cou, elle plaqua violemment ses mains dans le dos de l'homme. Elle n'arrivait déjà plus à contenir cette vague de chaleur la prenait au vif d'un coup, une envie incomparable la prenait, il fallait dire aussi que les nuits avec un homme...elle n'en avait pas eu depuis...Paris en fait. Maria ne s'était jamais sentie apte à se redonner à un homme après la mort de Matthew et encore moins en pensant que Maxence avait fuit comme un lâche après leur nuit à Paris. La voilà la fameuse vérité redoutée par tous, le fait qu'elle ne veuille plus souffrir et donc qu'elle préfère fermer son cœur aux hommes. Tout simplement. Glissant alors ses deux mains au niveau de la ceinture de l'homme ne demandant qu'une chose pour le moment, pouvoir la lui retirer au plus rapidement. Malheureusement pour la brunette, ainsi que pour Maxence finalement, sa ceinture fit des siennes...foutues ceintures !

    « Quelle idée de mettre des ceintures aussi... »

    Murmura t-elle tout en bataillant comme une dingue avec l'objet jusqu'à avoir le dernier mot, résultat ; la ceinture vola à l'autre bout de la chambre sans que l'un ou l'autre ne sache réellement où elle avait pu atterrir, il fallait dire les choses telles qu'elles étaient : ils s'en foutaient complètement de la ceinture. Ce fut ensuite au pantalon de Maxence de passer à la trappe, et celui-ci ne fit vraiment pas long feu, Maria n'en pouvait plus et elle devinait la même chose chez l'homme.

    « Je me réveille seule, tu es un homme mort. »

    Lui murmura t-elle au creux de l'oreille avant de la lui mordiller du bout de ses dents.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyJeu 29 Avr - 22:30

    Il y a cinq ans Maxence avait eu une vie sexuelle d’une nuit. Depuis ce jour là avec Maria à Paris il n’avait pas eu de vie sexuelle. Comme s’il se refusait à aller vers une autre femme depuis Maria. Puis aujourd’hui il se retrouvait à nouveau avec elle, mais cette fois-ci chez elle. Max n’était pas sûr qu’elle allait apprécier, parce qu’il avait peur qu’elle regrette. C’est ça qu’il ne voulait pas. Mais pourquoi en fait ? Il n’était même pas certain de la réponse. Parce qu’il ressentait plus pour Maria qu’il ne pouvait le dire ? Maxence essaya plutôt de se concentrer sur le moment qu’il vivait avec la jeune femme et pas à autre chose. Quand elle fut en sous vêtements, il la regarda avec envie. Puis, il laissa la jeune femme lui enlever sa veste. Puis, elle s’attaqua à sa chemise et il la laissa faire à nouveau. Maxence revenait à chaque fois cinq ans en arrière, mais à un moment toujours aussi agréable. Alors, levant les bras pour que sa chemise finisse au sol après bien d’autres vêtements, il l’embrassa dans le cou. Il ne pouvait pas rester inactif tout de même. Pas avec une jeune femme comme Maria qui était là et qui se donnait à lui une nouvelle fois.

    Maxence profita donc pour l’embrasser dans le cou et il sentit les mains de la jeune femme dans son dos. Continuant de l’embrasser dans le cou, il sentit les mains de la jeune femme descendre vers son pantalon. La laissant à nouveau faire, il la sentit batailler avec sa ceinture. Puis, l’écoutant parler, il esquissa un sourire et la vit enfin venir à bout de cette fichue ceinture. Maxence ne voulait pas faire marche arrière et Maria non plus apparemment. Alors, il la laissa lui enlever son pantalon et ils se retrouvèrent finalement au même niveau. Il ne restait que leurs sous vêtements avant de pouvoir à nouveau se retrouver. L’écoutant alors parler à son oreille, il esquissa un sourire et l’embrassa dans le cou et remonta ensuite à ses lèvres. Puis, la fixant dans les yeux, il chercha le fait qu’elle ne veuille plus, mais il ne le vit pas. L’embrassant à nouveau, il était temps de passer aux choses sérieuses et pas de parler.

    Je ne partirais pas.

    Baisers, caresses, gémissements, souvenirs et bien d’autres avaient fait se dérouler un nouveau moment intime entre les deux adultes. Maxence était allongé sur le dos, fixant le plafond et essayant de retrouver une respiration normale. Il sentait la jeune femme à ses côtés qui semblait en faire autant. Mais il sentait aussi les jambes de Maria sur les siennes, mais il ne dit rien. La position n’était pas désagréable, donc il ne la repousserait pas. Fermant les yeux quelques secondes, il sentit une main sur son torse et il sourit. Ouvrant les yeux, il vit Maria le regarder et il ouvrit les bras, ne sachant pas si elle viendrait contre lui. Elle semblait hésité et il ne voulait pas la forcer. Puis, il la vit venir contre lui et il sourit de plus belle. L’entourant de son bras, il la laissa se blottir contre lui et il commença à caresser doucement son bras. Maxence ne préférai pas parler, ne voulant pas briser le moment et encore moins dire une énormité, alors il préférait se taire et profiter.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyVen 30 Avr - 19:14



    Il lui avait dit qu'il ne partirait pas le lendemain matin, et sans trop savoir pourquoi Maria savait qu'elle pouvait lui faire confiance et qu'ainsi, elle ne se retrouverait pas seule le lendemain matin en se réveillant. Cela la soulageant grandement, c'est un peu grâce à cette confirmation que Maria accepta de se laisser complètement aller dans les bras de Maxence. Il fallait aussi dire qu'elle s'y sentait bien et qu'elle avait comme l'impression de retrouver quelque chose qu'elle avait perdue, même si en soi, ce n'était pas vraiment le cas mais bon.

    C'est ainsi que, se laissant complètement aller, Maria eut l'agréable sensation de redécouvrir le plaisir de la chair humaine. Oui, dit comme cela on pourrait penser qu'elle est étrange, mais en même temps, il fallait la comprendre, elle n'avait pas partagée son lit ou n'importe quel lit d'ailleurs avec un homme depuis...Paris avec ce même homme avec qui en ce moment elle était en train de savourer une nuit on ne peut plus délicieuse. Soupirer sous les caresses de Maxence, profiter de ce corps tout contre le sien...voilà ce dont se plaisait à faire Maria durant ce fameux moment ne faisant que leur appartenir.




    Le souffle court, le cœur palpitant comme jamais, Maria avait le regard qui – à première vue – fixait le plafond, mais en réalité, elle avait la tête ailleurs. Ce qu'il venait de se passer lui avait plu et même bien plus qu'elle ne pouvait le pensait au moment présent. Soudain, elle entendit l'homme bouger un petit peu ce qui la sortie de son monde à elle. Souriant, elle tourna la tête et le regarda avec un regard qui en disait long sur ce qu'elle pensait de ce qu'il venait de se produire entre elle et Maxence. Le voyant alors ouvrir son bras pour qu'elle puisse venir contre lui, Maria eut comme une soudaine et quoique légèrement embêtante hésitation. Mais pourquoi hésiter maintenant au vu du fait qu'ils venaient de coucher ensemble une deuxième fois en cinq ans ?! Franchement, ce n'était pas comme si ils en étaient encore à s'éviter...

    Se rapprochant de Maxence, Maria apprécia ce contact et ferma les yeux en sentant les doigts de l'homme caresser très délicatement sa peau. Depuis combien de temps ne s'était-elle pas sentie aussi bien franchement ? Impossible à dire exactement, tout ce dont elle avait conscience c'était du fait que ça remontait à un long moment en fait.

    « Merci. »

    Se contenta t-elle de dire ne sachant pas réellement si le moment était vraiment propice à la discussion, ainsi elle préférait écourter la chose en le remerciant d'être resté ce soir et ça s'arrêtait là. A vrai dire, Maria ne se sentait pas le cœur à discuter, elle voulait juste se reposer dans ses bras profitant ainsi d'une sérénité qu'elle n'avait pas eu l'occasion d'avoir depuis trop longtemps selon elle.

    Remontant les draps sur eux deux, Maria se cala encore un peu mieux dans les bras de Maxence et s'endormit bien plus rapidement qu'elle ne put s'en croire capable, elle était fatiguée, et même si ce n'était pas réellement correct de le dire ; il y avait des raisons.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptyVen 30 Avr - 20:02

    Maxence n’aurait jamais imaginé coucher encore une fois avec Maria O‘Berkeley. D’ailleurs en cinq ans il n’avait pas eu une seule partenaire sexuelle. Il n’avait plus de vie sexuelle d’ailleurs et il devait avouer que ça n’était pas très rassurant quand on regarde tous les tests qui prouvent que les adultes font en moyennes temps de fois l’amour. Enfin bref, Max’ n’était de toute façon pas attiré par ce genre de test donc il ne les regardaient pas. Là pour le moment, il fixait le plafond qui se trouvait au-dessus de lui et il regarda vers la jeune femme. Puis, il tourna la tête vers elle et lui proposa de venir contre lui. Pas besoin de mots pour ça, juste ouvrir ses bras et elle vint y prendre place. Il devait avouer qu’il se sentait bien et qu’il ne changerait de place pour rien au monde d’ailleurs. La laissant donc prendre place contre lui, il l’écouta le remercier et il sourit. Il n’était pas certain de savoir pourquoi, mais il ne préférait pas le lui demander. Il savait que ça cacherait le moment et il n’avait pas envie de ça. Puis, il laissa la jeune femme remonter les draps sur eux et il continua de lui caresser le bras. Maxence sentit que Maria se détendait et il comprit qu’elle avait finit par s’endormir.

    Merci aussi.

    Le temps qu’elle s’endorme, il avait réfléchit à son remerciement et il avait cru le comprendre. Il ne lui répondait pas juste un merci banal, non pour lui aussi c’était un merci sincère. Ca faisait longtemps qu’il n’avait pas ressentit ça et il devait avouer que quelque part ça lui faisait un peu peur. Mais à trop réfléchir, il finit lui aussi par s’endormir. Son sommeil fut léger et sans aucune part d’ombre. Au contraire, c’est avec une certaine détente qu’il se réveilla le lendemain matin. Voyant que Maria était à ses côtés allongée, le visage vers lui, ça le fit sourire. Continuant de fixer la jeune femme, il l’embrassa sur le front et sortit du lit. Passant son caleçon et sa chemise qu’il ferma un peu, il alla dans le couloir et regarda autour de lui. La jeune femme dormait encore, alors autant visiter un peu la maison après tout. Il serait bien resté lui aussi au lit, mais visiter n’était pas interdit surtout si elle ne le savait pas. Après tout, faire un petit tour et revenir ne lui était pas interdit. Alors, il partit dans la cuisine, la regarda plus que la veille au soir. Puis, il arriva au salon et sourit en voyant tout ce qu’il y avait. Des livres, des Cds, des DVDs. Tout ce qu’on trouve dans un salon, mais il ne savait pourquoi il aimait ce salon. Enfin bref, il alla vers les Cds et regarda quel genre de musique elle pouvait bien écouter. Puis, il passa aux DVDs et arriva enfin aux livres. Il fut intrigué par un livre de médecin et voulu le prendre seulement il entendit et surtout vit qu’une bonne dizaine de livres tombèrent dans un bruit sourd. Faisant une grimace, il n’entendit pas de bruit et il soupira.

    *C’est bon, elle dort encore.*

    Il rangea alors les livres, y comprit celui qu’il avait prit, seulement son regard fut attiré par quelque chose de plus gros qu’un livre. Fronçant les sourcils, il le prit dans ses mains et regarda derrière lui. Elle n’était pas là, il pouvait regarder non ? Hésitant, il ouvrit cette chose qui se trouva être un album photo. Il sourit alors en voyant Maria bébé.

    *Jolie bébé déjà.*

    Souriant, il continua de tourner les pages et fut assez surprit de voir des photos de la conférence d’il y a cinq ans. Maxence se souvenait d’avoir fait quelques photos avec elle. D’ailleurs, il en avait gardé lui aussi, mais ça il ne l’avait dit à personne. Il devait vraiment avouer que c’était elle qui l’avait poussé à faire ses photos. Il n’aime pas être prit en photo, il ne savait plus comment elle avait réussit à la convaincre, mais il s’était laissé tirer le portrait comme on dit. Puis, il garda une des photos de la conférence en mains et vit ensuite des photos de Maria et d’un homme. Ils semblaient souriant tout les deux et ça fait froncer les sourcils de Maxence.

    *Oh non !*

    Max se demanda alors si la jeune femme avait déjà une personne dans sa vie et qu’elle ne lui en avait pas parlé. C’est alors qu’il entendit des bruits de pas derrière lui et qu’il vit Maria qui se tenait là. Maxence n’osa pas parler, de peur qu’elle lui en veuille déjà d’avoir fouiller, alors il ne fit que la regarder.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptySam 1 Mai - 21:16



    La nuit qu'elle avait passée aux côtés de Maxence avait été tout simplement magique, depuis bien longtemps la belle ne s'était plus sentie aussi femme. Et voilà qu'il débarquait de nouveau dans sa vie, et dans ses draps par la même occasion. Un sommeil des plus calme l'avait prise quelques instants après avoir trouvé refuge dans les bras de son amant, enfin amant, c'était beaucoup dire, disons que pour le moment Maxence était “le mec avec qui elle s'était envoyée en l'air”. En fait, elle ne savait pas vraiment ce que leur nuit indiquait, est-ce que cela signifiait le fait qu'ils étaient dorénavant plus proches et donc amenés à partager plus de leur temps ensemble ou tout simplement qu'ils avaient dérapé et que ainsi il valait mieux pour eux et leurs relations professionnelles qu'ils s'évitent ? Maria n'en savait rien et ce n'est pas réellement avec ces pensées là qu'elle plongea dans les bras de Morphée, non à vrai dire, elle avait plutôt pensé à ce qui s'était passé et en bien. Les complications ; elle verrait ça plus tard.




    Les premiers rayons du soleil faisaient déjà leur apparition dans la chambre de Maria ce qui ne tarda malheureusement pas à réveiller cette dernière pourtant plongée jusqu'à présent dans un profond sommeil on ne peut plus réparateur. Il fallait dire aussi qu'après ce qu'il s'était passé avec Maxence, elle avait besoin de se reposer un peu. Question de ne pas être trop exténuée lorsqu'elle devrait aller à l'université. Se passant une main sur le visage, Maria soupira de bien-être mais n'ayant pas vraiment envie d'ouvrir les yeux tout de suite, Maria passa son bras dans le lit s'attendant à y trouver un corps mais...rien. Le vide, le néant oui ! Ouvrant les yeux brutalement, Maria constata qu'elle était effectivement on ne peut plus seule dans son lit...

    * L'enfoiré ! *

    Ce fut sa première pensée. Elle qui lui avait pourtant dit qu'elle voulait se réveiller avec lui, bien tiens...c'était encore raté apparemment. Monsieur avait sans doute eu “peur” et était rentré à Berkeley. A pieds. Comme un con. Et bien, c'était bien fait pour lui ! Il n'avait qu'à rester là. Soupirant cette fois-ci d'agacement, Maria attrapa son BlackBerry posé sur sa table de chevet et regarda si elle n'avait pas de message ou même d'appel manqué. Rien. Génial, en prime de se retrouver seule dans son lit après avoir partagé sa nuit avec un homme, elle était délaissée de tout le monde. Déçue, voilà comment se sentait Maria soudainement. Elle qui pensait réellement pouvoir faire confiance à Maxence en se disant qu'elle aurait le plaisir de se réveiller dans ses bras, c'était vraiment raté. Soudain, elle entendit un vacarme provenir du salon, un bruit sourd en fait.

    * Qu'est-ce que...il est encore là ?! *

    Ne s'y attendant finalement plu, elle se redressa vivement dans le lit n'omettant pas de tirer les draps contre son corps ne voulant – même si elle était seule – ne pas laisser paraître une quelque parcelle de sa nudité en ce moment. Se mettant soudainement à sourire, Maria eut le plaisir de voir que Maxence avait laissé des vêtements à lui dans la chambre. Donc il était encore là, et elle était allé trop vite en besogne en pensant qu'il était parti comme un voleur.

    * Génial. *

    Se passant une main dans les cheveux ; les ramenant ainsi en arrière, Maria fixa sa chambre du regard cherchant quelque chose à se mettre sur le dos pour sortir de la pièce sans paraître nue aux yeux de l'homme, même s'il avait eu plus que la possibilité de la contempler durant la nuit. Trouvant finalement, elle attrapa son peignoir et l'enfila avant de quitter la chambre pour se rendre au salon où était sans doute Maxence en ce moment. Se rendant donc dans le salon, elle fut extrêmement surprise de le voir avec...son album photo entièrement personnel entre les mains. Non mais...

    « Tu te permets souvent de fouiller chez les femmes avec qui tu couches ? »

    Elle avait demandé cela d'un ton un peu sec, malheureusement pour l'homme, il n'avait pas fouiller dans le passé de la bonne personne.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptySam 1 Mai - 21:33

    Maxence pensait qu’il aurait pû faire un tour dans la maison de Maria sans qu’elle ne s’en aperçoive et ensuite retourner dans le lit, ni vue, ni connu. Le problème fut qu’il fit tomber des livres et également un album photo. La curiosité étant la plus forte, il regarda les photographies. Il avait alors cru comprendre qui étaient sur les différents clichés. Ses parents, sa soeur, vu la ressemblance qu’elle avait avec Maria. Puis d’autres personnes plus âgées qui devaient être les grands-parents. Mais pour d’autres personnes il n’en avait aucune idée. Pour certaines vu l’âge de Maria c’était des amis d’enfance, puis de faculté. Il fut alors surprit de voir des photos de Paris où ils étaient tout les deux dessus. Ca l’avait fait sourire de savoir qu’elle aussi les avaient gardés finalement. Puis, il y avait Maria avec un homme. Tout les deux très souriants. Maxence ne savait pas si c’était un petit ami. Il pensa alors à un mari, vu la façon dont ils se regardaient ou étaient sur les photographies. C’est alors qu’il se demanda si cet homme était avec Maria. Donc elle n’était pas célibataire comme il pensait ? A vrai dire, il ne savait plus très bien ce qu’il devait penser à ce moment là. Vu l’allure de la jeune femme, les photographies ne dataient pas trop. Mais il entendit du bruit et vit Maria qui se tenait là. La regardant, il n’osait pas parler et entendant ce qu’elle disait, il prit la photographie où ils étaient tout les deux dessus, datant de Paris.

    Tu gardes souvent des photos des hommes avec qui tu couches ?

    Sa question n’était sans aucun doute pas la bonne, mais c’est la seule qu’il avait eu sur le moment.

    Je pensais que comme j’étais partit tu en aurais plutôt fait des miettes.

    Posant ensuite la photo à sa place, il regarda celle de l’homme souriant avec Maria et fixa ensuite la jeune femme.

    Tu as déjà quelqu’un dans ta vie ?

    La voyant surprise par la question, il prit la photo avec l’homme souriant et la regardant.

    Vous étiez déjà ensemble qu’on s’est rencontrés à Paris ?

    Maxence ne savait pas à quoi il s’attaquait et s’il avait sû il n’aurait pas demandé, mais là il voulait si Maria était seule ou pas.
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MessageSujet: Re: Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. Bien habillés, bien mangés et plus si affinitées. - Page 4 EmptySam 1 Mai - 22:27

    L'entendant lui répondre en une question si elle gardait souvent des photos des hommes avec qui elle couchait, Maria eut bien envie de prendre la mouche de suite, mais elle préféra tenter de garder un certain contrôle. Resserrant ses bras contre elle, elle continua simplement d'écouter Maxence lui dire qu'il était étonné qu'elle ait gardé des photos d'eux deux lors de leur voyage à Paris. Quoi ? C'était interdit de garder ces photos-là ? Après tout, elles faisaient parties de sa vie, de son passé, d'elle-même, alors bon, Maria avait bien le droit d'avoir ces photos, point. C'est lorsqu'il continua de Maria se sentit mal...le fait d'entendre qui que ce soit lui demander si elle avait déjà quelqu'un dans sa vie...alors ça, oui ça passait mal pour la brunette ayant vécue un passé douloureux. Soudain, Maxence lui montra une photo d'elle et Matthew, une photo qui remontait à quelques mois avant le décès de Matthew. Déglutissant alors, Maria eut l'impression que son cœur avait manqué un battement. Revoir ces photos lui faisaient autant de bien que de mal, le souvenir de cet homme, son amour pour lui ; cela lui faisait du bien, mais le souvenir de sa mort le jour où il avait décidé de la demander en mariage, ça c'était quelque chose d'extrêmement difficile pour Maria. Pour qui ne le serait-ce pas d'un côté ?

    « Tu prends tes affaires, et tu t'en vas. Tu oublies cette nuit, tu m'oublies. Tu t'en vas ! »

    Sentant que les larmes lui montaient progressivement, Maria voulait qu'il s'en aille, ce qu'il avait fait dépassait clairement l'entendement, il n'avait pas à fouiller dans sa vie comme cela, et surtout pas à lui demander des choses comme si elle avait un homme dans sa vie. Bien-sûr, elle semblait tellement être le genre de femmes à tromper l'homme qu'elle “aime”.

    « VAS T-EN !! »

    Hurla t-elle d'un seul coup ne supportant plus de le voir, il avait été trop loin pour Maria. Enfin, la vérité était qu'elle refusait de parler de Matthew, selon elle, c'était trop tôt depuis son décès. Se passant une main sur le visage, elle alla dans sa cuisine bien décidée à aller se faire un café comme si cela allait pouvoir la calmer un minimum. Ce que lui avait dit, ou plutôt demandé Maxence lui avait vraiment fait du mal, même si en soi, il n'avait rien fait de si méchant, c'était juste qu'il était mal tombé.
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