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Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools.

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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyDim 2 Aoû - 20:03

On peut se tutoyer non ?
Kevin&Alice

flirt (n,m) : aventure amoureuse ✻✻✻

« -Je ne vous ai pas forcé à ce que je sache. Vous auriez pu dire non, et vous en allez. »
Touché. J’arbore un sourire vaincu, je dois avouer que je n’ai pas grand chose à redire sur ça, mais je n’avais pas non plus d’argument à lui avancer pour refuser son invitation, pourquoi aurais je refuser de toute manière ? Kevin venait de me sauver d’une mauvaise passe avec les garçons qui me suivaient dans la rue, et nous nous entendions bien lors de l’enquête. J’ai été vraiment très soulagée de tomber sur lui tout à l’heure, et la moindre des choses était sans doute de répondre à sa requête ce que j’ai fait en parfaite fille de bonne famille.
« -Vous marquez un point... »
Un autre point marqué avec ce baiser auquel je ne m’attendais absolument pas. Qu’est qui aurait put m’y préparer, on peut inviter des gens chez sois sans les embrasser à tout prix non ? Je ne connais pas Kevin c’est bien vrai, hors mis les quelques fois où je l’ai vu à mon bureau je dois avouer que je ne sais pas beaucoup plus de choses sur lui. Le fait que je le trouve séduisant n’était pas non plus un bon point pour cette relation vouée à l’échec dès le début à cause de mon mariage avec Andrew… A vrai dire je crois que c’est la première fois que je me prends à vraiment regretter ce mariage, jusque là j’ai surtout pris les choses comme elles venaient sans forcément chercher à lutter contre le courant. Bien entendu j’ai des raisons de vouloir rester mariée même si l’homme en question ne me respecte pas, et préférerait sans doute n’avoir rien à faire avec moi. Pourquoi Andrew ressemble t il tant à mon frère et pas à quelqu’un comme Kevin ? Me voilà entrain de comparer ces trois là, la belle affaire ! Pire encore d’imaginer à être marier à Kevin ? Depuis quand arrive je a de telles conclusions ? Je ne sais vraiment plus où donner de là tête, ce baiser qui n’a duré que très peu de temps m’a complètement retourné le cerveau…

Alors que je me retrouve toute seule je décide qu’il est grand temps que je me mette à faire quelque chose car le manque d’occupation m’oblige à penser à ce qu’il vient de se passer. Je décide donc de continuer mon exploration. Ce qui fait automatiquement réagir Kevin qui revient vers moi. Je le rassure en lui disant que je visite. Croyait il que j’étais partie? peut être, mais l’idée ne m’a même pas effleurée l’esprit, je n’en ai pas envie -alors que je devrais - et surtout je suis beaucoup trop polie pour prendre la fuite. Un jour ma bonne éducation me perdra.
Une fois que j’ai fini le tour du propriétaire, je vais me poser sur le canapé, je ne reste pas seule longtemps puisque Kevin ramène les cafés. Maintenant qu’il est revenu mon léger mal être est revenu, et une boule dans mon ventre commence à se former. Je ne peux pas tourner autour du pot plus longtemps, et décide de passer à l’attaque de manière détournée mais efficace à mon sens.
«- A votre avis, pourquoi êtes-vous venues ? »
Il répond à ma question par une question. J’ai bien mon idée sur la question, mais ce que je veux entendre dois venir de lui pas de ce que je pense qu’il se passe dans sa tête. Son sourire me trouble et je dois détourner le regard quelques secondes avant d’y revenir.
« -Avant que vous m’embrassiez j’avais encore la réponse à cette question. »
Alice c’est mal de mentir… Rappelle toi de ce que tes parents disaient ! Et pourtant je ne suis pas capable de dire autre chose. Mais si moi j’étais attirée je n’étais pas sûre que la réciproque soit vraie.

Je l’observe poser sa tasse, tandis que je bois une gorgée de la mienne. Je suis des yeux la main de Kevin jusqu’à ce qu’elle se pose sur ma jambe nue. La chaleur de cette présence me picota doucement la peau, et me rappela encore une fois la dernière fois que ça m’étais arrivé, mais ça n’a rien de comparable.
« Je suis désolé si je vous ai mise mal à l’aise tout à l’heure. »
A nouveau mon cerceau comment à pédaler dans le vide et tout se passe comme si je n’étais plus tout à fait maîtresse de mon corps.
« -Je… »
Rien ne sort de plus car ma respiration se bloque toute seule alors que sa main s’envole vers ma joue. Les miennes serrent fort la tasse, et je finis par devoir desserrer mes doigts par peur de d'exploser sous la pression.
«- C’est que ces lèvres m’ont appelé… Ainsi que tout chez vous. »
Je sais que mes joues rosissent et je ne peux strictement rien y faire. Je ne m’attends tellement pas à ce genre de déclaration que chaque mots me martèlent un peu plus la poitrine. Finalement je décide tout de même que poser cette fichu tasse serait beaucoup moins dangereux, mais je suis incapable de bouger pour le faire. A vrai dire j’ai peur qu’en bougeant sa main se retire de mon visage, et mette fin à ce moment… je ne sais pas si il pourrait il y en avoir plusieurs comme celui ci…

A présent il est si proche de moi que je sens son parfum qui m’a échappé dans l’échange de toute à l’heure tant il a été bref. Je suis incapable de penser à autre chose entre ça et sa main dans mes cheveux.
L’envie qu’il m’embrasse maintenant se fait vraiment pressante pourtant je suis une poupée de chiffon entre ses doigts. Je ne m’autorise pas à chercher le contact pour différentes raisons que j’ai déjà cité, et pour autant j’en ai tellement envie que je ne pourrais pas le repousser. Je n’avais jamais réalisé à quel point ça m’avait manqué, et que ça soit Kevin ne gâche absolument rien.
«- Dites-moi si vous ne voulez pas. »
Je fais plutôt comme depuis quelques longues secondes et conserve le silence. Vient enfin le moment que j’attends depuis que sa main s’est posée sur moi. Nos lèvres se rencontrent à nouveau, et je m’abandonne complètement à ce baiser qui n’a rien à voir avec le premier. Une de mes mains se détache de la tasse pour venir doucement se poser sur le torse de Kevin, et y reste même quand il rompt le contact.
« -Je vous promets que je ne vous ai pas amené ici, pour ça. Enfin… j’en ai envie depuis la première fois que je vous ai vu. Seulement je n’ai jamais osé faire ce pas envers vous… Pour plusieurs raisons. »
Je devine que dans les raisons le fait que je sois mariée compte beaucoup, ça ne m’étonne pas, c’est d’ailleurs la seule vraie raison qui m’empêche de me livrer complètement à ce bel amant.
« -Vous auriez peut être dût… C’était moins compliqué avant. »
J’ai lâché ça dans un souffle puisque je n’en ai plus.
« -On peut se tutoyer, Alice ? »
J’hoche la tête.

Je m’écarte un peu pour poser ma tasse à côté de celle de Kevin.
« -Je suis mariée tu sais ? »
Je me sens un peu horrible : je ne parle quasiment pas, et quand je le fais je ne tourne pas autour du pot et énonce les problèmes. Déformation professionnelle je suppose.
J’ai dit ça en regardant ma tasse, mais finis par reporter mon attention sur Kevin. Je suppose que mon regard trahit plus l’envie qu’il m’embrasse encore une fois, que celle d’avoir ce genre de discutions, mais qu’y puis je ?

✻✻✻
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyDim 2 Aoû - 20:48

Je me suis surpris de temps à autres de rêver d’Alice, d’un soit disant futur avec elle. Comme on peut le faire avec n’importe quelle personne qui nous intéresse. On s’imagine un possible futur, juste pour savoir si on fait le premier pas ou pas. Seulement ça a toujours été difficile d’imaginer quoique ce soit avec elle, étant donné que je savais qu’elle était mariée. Je n’ai jamais voulu être le mec qui chamboule tout un couple. Je n’aimerais pas qu’on me fasse un tel coup. Et pourtant, voilà que je l’avais invité chez moi, pour ensuite partager nos deux lèvres. J’essayais de me détester, mais à chaque fois que mon regard se portait sur la jeune femme, j’arrêtais de m’en vouloir. Je ne pourrais pas dire pourquoi, mais j’avais cette impression que je ne faisais pas une grosse erreur en l’embrassant. Chaque couple est unique, et surement que celui-ci a ses propres secrets. Puis, elle semblait assez réceptive à mes propositions, ainsi qu’à ces doux baisers. Je ne la forçais à rien. Alors que nous étions sur mon canapé, avec nos cafés, elle m’avoua qu’elle avait une réponse à ma question. Mais cela avant que je l’embrasse. Cette réponse me fit plus sourire qu’autre chose. Je me surpris même à rire légèrement. « Et quelle était cette réponse ? » Je pose surement trop de questions. Oui, j’en pose trop. « Désolé, je pose trop de questions. Déformation professionnelle. Avec tous les interrogatoires que je passe, je commence à ne faire que parler en posant des questions. C’est assez bizarre. Pour moi, comme pour mes interlocuteurs. » Il faut vraiment que je me mette à arrêter de poser des questions. Lorsque je suis Kevin, et non l’agent Tatcher. Mais le fait que j’ai envie de savoir ce qu’elle pensait, ne m’aidait pas. J’avais envie de savoir ce qu’elle pensait de moi, et de mes intentions. Je la poussais un peu à bout, mais gentiment. Je ne me sens pas insistant, juste curieux. Et je fais surement mieux passer la pilule en échangeant ce baiser avec elle. J’en ai embrassé des filles. Chaque baiser est différent. Et celui partagé avec Alice me convenait parfaitement. Très différent des autres. Surement parce qu’il s’agit d’une femme mariée. Ça doit être ça oui. « C’est toujours compliqué… surtout quand… » J’avais envie de lui dire que je savais qu’elle était mariée, seulement je ne savais pas comment le lui dire. Je ne veux pas passer pour le mec qui fout la merde dans son mariage. Qui sait tout sur son situation amoureuse, mais qui l’embrasse tout de même. Pourtant, il faudra bien qu’on en parle un jour, n’est-ce-pas ? « Non rien, laissez tomber. » Elle fut d’accord pour qu’on se tutoie, ce qui allait donc nous rapprocher encore plus. Et là d’un coup je pris peur. Je fis presque un bond en arrière. En fait il ne s’agissait que de deux centimètres en arrière. « Je sais… » Qu’est-ce que je pouvais bien rajouter à cela ? Je le savais, et je l’embrassais quand même. Quel genre de mec suis-je ? « Et moi je suis célibataire et con. » Je me levais pour la laisser toute seule. J’allais me cacher dans la cuisine. Juste le temps de me poser des questions. Savoir ce que j’étais en train de faire avec Alice. Après quelques secondes, je revins dans le salon, avec du sucre. « J’avais oublié le sucre. » D’accord, je suis le roi des excuses pourries. Je posais le sucre entre nos deux tasses. Puis je posais mes fesses sur le canapé, tout en laissant un espace entre nous deux. « Tu es mariée, et je n’aurais pas dû t’embrasser. Tu sais, je ne suis pas comme ça. Je ne brise pas des couples… Non ce n’est même pas un couple là… c’est un mariage. C’est pire. » Oui, je n’aurais pas dû l’embrasser. Mais surtout : elle n’aurait pas dû m’embrasser non plus. « Et puis toi aussi… t’es mariée et tu m’embrasses. Tu m’expliques ? » Je ne voulais pas me culpabiliser si c’était pour qu’elle me dise qu’ils allaient divorcer, ou je ne sais quoi. Tout en attendant sa réponse, mes yeux se baladaient sur ses lèvres. Son cou. Sa poitrine. Et alors que je la fixais un peu trop, je me ressaisis. Ce n’est qu’une poitrine. J’en ai déjà vu.
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyDim 2 Aoû - 22:48

On peut se tutoyer non ?
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« Et quelle était cette réponse ? »
Encore une fois je ne pus m’empêcher de rire. Une question, encore une question, mais il semble s’en rendre compte par lui même et se reprend.
« -Désolé, je pose trop de questions. Déformation professionnelle. Avec tous les interrogatoires que je passe, je commence à ne faire que parler en posant des questions. C’est assez bizarre. Pour moi, comme pour mes interlocuteurs. »
Je lui souris comprenant complètement ce qu’est ce genre de déformation professionnelle.
« -Je comprends, il m’arrive à peut près la même chose. Je donne des directives comme si j’étais au bureau, après je me rends compte que j’abuse… »
Les postes à responsabilités entraîne l’habitude de prendre les situations sur ses épaules.

Les choses allaient nettement plus vite que je ne l’avais imaginé, bien entendu ce n’était pas la première fois que nous nous voyions, mais disons que là les choses sont complètement différentes, rien que le contexte n’a strictement rien à voir avec ce dont nous avions l’habitude. Je ne pensais pas être capable de me laisser aller de la sorte non plus. Depuis cette histoire de mariage, et avec le travail je ne sors plus de chez moi… Et pour une fois que je le fais je tombe sur Kevin, et voilà la situation dans laquelle nous nous trouvons maintenant.
Je n’était pas sûre de l’attirer de plus. Mais à en croire ce qu’il dit il m’a remarqué depuis la première fois qu’on s’est vu, je suppose que c’est pareil pour moi. En même je vois les mêmes personnes tout les jours je suppose que ça n’aide pas à rencontrer de nouvelles personnes, dans son travail ça ne doit pas être la même, je dirais même que ça doit être le contraire. Il doit voir des femmes différentes tout les jours.
« -C’est toujours compliqué… surtout quand… »
Il n’a pas besoin de rajouter quoi que se soit je sais déjà de quoi si parle, ça serait moins compliqué si je n’étais pas mariée. Et en même temps ça irait plus vite si je n’étais pas mariée, je dois avouer que ça me fait peur, je suis à peine rentrée chez lui que je tombais déjà sous ses lèvres.
«- Non rien, laissez tomber. »
Je baisse les yeux coupable de ma situation.
« -Je sais… »

Puis qu’il me demande si on peut se tutoyer j’en profite pour attaquer les choses sérieuses, je ne voudrais pas que ça finisse en queue de poisson, ce genre de sensation me plait trop pour y renoncer par des nons dits, et des interdits…
« -Et moi je suis célibataire et con. »
Il se lève et je le regarde partir à regret, cependant je le laisse partir. Je reprends mon café en attendant qu’il revienne, et me mort la lèvre songeusement. J’ai repris mes esprits et je me sens plus à l’aise maintenant même si j’ai du mal à réaliser dans quelle situation je suis. Je pense que je n’avais pas réalisé à quel point il me plaisait avant maintenant, du moins pas avant que ça se réalisé et que je puisse le toucher. Je n’ai jamais été le genre de fille qui désirait les choses, j’ai plus ou moins laissé les choses venir et du fait je n’ai eut que de très rare relations, je sais qu’il n’est pas forcément facile de m’approcher et je suis trop handicapée sentimentalement pour entreprendre les choses… Souvent j’en souffre, mais j’ai du mal à lutter contre mon naturel. Maintenant je réalise ce que je désirais en secret.
J’entends les pas de Kevin revenir vers moi, et je repose la tasse sur la table.
« -J’avais oublié le sucre. »
Je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire amusé.
« -Il va falloir faire quelque chose pour les excuses tu sais… C’est de pire en pire. »
J’essaye de détendre la situation, mais ça n’a jamais été mon point fort.

« Tu es mariée, et je n’aurais pas dû t’embrasser. Tu sais, je ne suis pas comme ça. Je ne brise pas des couples… Non ce n’est même pas un couple là… c’est un mariage. C’est pire. »
Je ne peux m’empêcher de grimacer. Effectivement ce n’est pas un couple, ce n’est rien du vent, un papier signé alors que ni Andrew ni moi étions présents…. Mais maintenant c’est fait. Je comprends ce qu’il peut ressentir. Et je réalise maintenant pour quel genre de femme je dois passer, pour lui je dois être de celles qui trompent leur mari, et ça m’horrifie au plus au point, il faut que je rectifie la situation…
J’ouvre la bouche pour parler, mais il me devance. Je referme donc la bouche, je dois ressemble à un poisson maintenant.
« -Et puis toi aussi… t’es mariée et tu m’embrasses. Tu m’expliques ? »
Viens l’heure de parler. Je suis capable de le faire, ce n’est pas la première fois que je m’explique sur mon mariage.
Mais tout d’abord je décide de prendre la main de Kevin dans la mienne en espérant qu’il ne me repousse pas.
« -Tu n’es pas con, et ce n’est pas un couple que je partage avec Andrew, pas même un mariage, juste un papier. Je ne porte même pas son nom de famille… Le père d’Andrew, M. Walton, a décidé avec mon père de nous marier alors que nous étions un peu plus jeune pour satisfaire leurs vieilles ambitions, leur deux familles réunies… Aucun de nous ne veut de ce mariage, l’ennui c’est que mon père me menace de m’enlever mon futur rôle au sein de la société si je ne reste pas mariée avec Andrew. »
J’ai parlé avec douceur, mais j’ai tenté d’être le plus claire possible.
« -Je n’aime pas Andrew, je ne l’aimais pas, et ne l’aimerais jamais, c’est l’homme le plus horrible qu’il ait été donné à la terre de porter, avec mon frère bien entendu. Mais c’est dur de faire entendre raison à mon père, et moi je n’ai que cette entreprise. »
Je baisse les yeux. La dure réalité de la vie.

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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyDim 2 Aoû - 23:11

Elle était la première que je ramenais dans cet appartement, et la première que j’embrassais ici. Et je venais d’emménager il y a seulement quelques jours. J’allais surement trop vite avec elle. Mais à mon goût ça n’allait pas assez vite au contraire. On se connait maintenant depuis des mois. Et c’est toujours resté purement professionnel pendant trop longtemps. N’allez pas penser que je veux draguer toutes les filles que je croise dans mes affaires. Non. Alice est spéciale. Elle dégage quelque chose qui m’attire. Son regard. Son sourire. Son parfum. Je ne pensais même plus à Madison. Pourtant, ces derniers jours c’est à elle que je pensais le plus. Ces deux belles blondes vont me rendre fou. Je le sais. Et je ne fais rien pour arranger les choses. J’aurais pu ne pas embrasser Alice, et me focaliser sur Mady. Mais non. J’en avais décidé autrement. J’avais pris le choix d’embrasser Madame Williamson. De gouter à ses lèvres. Des lèvres qui appartiennent à un autre. Je me mettais dans une sale situation. Je n’aurais pas dû. J’aurais surement du rester sur Madison. Elle est aussi célibataire que moi. Il faut croire que je n’aime pas tout ce qui est dans la simplicité. (…) L’heure des révélations se fit sonner. Je lui avouais ce que je ressentais en ce moment. Par rapport à cette situation, du fait qu’elle soit mariée. Je lui dis explicitement que ce n’était pas du tout dans mon genre que de draguer les femmes mariées. Non. Elle était la seule. Mais au fond, je n’étais pas le seul fautif, car elle avait répondu à ces baisers. Je lui demandais donc des explications. Je ne voulais pas être dans le flou dans cette relation. Si on peut appeler ça une relation. Ce fut à son tour de me prendre la main. Je fronçais les sourcils, car ça s’annonçait mal. Si elle allait me donner une bonne nouvelle, elle ne m’aurait pas pris la main. Non ? Seulement ce que j’entendis ne fut pas du tout ce que j’imaginais. Un mariage arrangé ? Ça existe encore ça ? Elle vient vraiment d’un autre monde celle-là. Je fus désolé pour elle : d’être mariée à un homme qu’elle n’aime pas. Mais de l’autre côté j’étais heureux. Cela voulait dire que je pouvais l’embrasser autant que je le souhaitais. Étant donné que ce mariage ne signifie rien. Une fois qu’elle m’expliqua tout, je la vis baisser les yeux. De ma main je lui relevais le visage pour qu’elle me regarde. Je ne dis mots, je l’embrassais tout simplement. Il n’y avait pas de mots. Je ne voulais pas dire que j’étais désolé de sa situation car je ne l’étais pas. J’étais tout simplement heureux de savoir que ce mariage était faux. Mais je ne voulais pas non plus trop en discuter. Je ne saurais pas quoi dire de plus. C’est une fâcheuse situation, et c’est trop compliqué pour moi. C’est le genre de situation que je n’aurais jamais connu, au vu de ma famille modeste. Une fois le baiser terminé, je lui pris la main. J’ouvris de nouveau la porte qui menait à ma chambre. « Tu la trouves comment ma chambre alors ? Ça fait trop mec ou pas ? » Parce que oui, la décoration de ma chambre était très différente de celle du salon. J’avais souhaité que ma chambre soit un peu plus personnelle. Seulement si je souhaite ramener des femmes dans ma chambre, il faut que ça leur plaise. Seulement j’avais peur que ça fasse trop hommes, et que les femmes ne s’y sentent pas à l’aise. Je la pris dans mes bras, et la jetais sur mon lit. Juste pour qu’elle teste le matelas. Je vins alors la rejoindre, et je me mis à sauter sur le lit. Comme un enfant. « Avoue que ça fait longtemps que tu n’as pas sauté sur un lit comme ça. »
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyLun 3 Aoû - 0:30

On peut se tutoyer non ?
Kevin&Alice

flirt (n,m) : aventure amoureuse ✻✻✻

Les choses ne se passent jamais comme on le prévoit, et même souvent il se passe des choses qu’on n’aurait jamais put imaginer. Être avec Kevin chez lui déjà ça n’était pas dans mes plans, mais l’embrasser, me sentir bien près de lui et avoir envie que ça recommence ? Ca me semble iréel, et je ne sais vraiment pas comment gérer cette situation, il y a Andrew, qui saisira cette “erreur” et en profitera. Mais puis je vivre toute ma vie comme ça ? Ne pas être avec la personne que j’aime juste parce que mon père m’a enlevé cette chance ? Je ne suis pas entrain de dire que j’aime Kevin, je ne pense pas être amoureuse de lui, mais il me plait, surtout en ce moment. Comment gérer tout ça ? Qu’est que va devenir ce moment passé ensemble une fois la porte d’entrée passée ? Autant de question qui me font peur, je ne peux pas prévoir demain maintenant.

Et puis avant de penser à demain il faut penser à maintenant, et maintenant il s’agit de dire à Kevin la vérité sur ce mariage qui n’a ni queue ni tête. Je vois son visage qui se détend au fur et à mesure que je parle et ça me rassure. Je ne voudrais pas qu’il me prenne pour ce que je ne suis pas surtout. J’aime que les choses soient claires, je ne suis vraiment pas à l’aise avec les malentendus et déteste quand ils s’installent. Malgré tout quand je finis de parler je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers ma tasse quelque peu mal à l’aise.
Il ne fait pas de commentaire, mais glisse sa main sous mon menton pour me forcer à lever le visage vers lui. Il s’approche pour m’embrasser, je réponds à son baiser sans même plus y réfléchir maintenant, je ne dirais pas que c’est devenu un geste normal, mais disons que maintenant que je suis plus à l’aise avec ça, je peux y répondre librement. Bien sûr ça ne serait pas la même chose si nous étions dans la rue, mais si c’était le cas ça ne se serait pas passé comme ça…
Finalement on s’éloigne et Kevin se lève m’entraînant à sa suite. Je me demande où il va quand il prend la direction de sa chambre. Assez sceptique je le suis pourtant comme la femme docile que j’ai appris à être.
« Tu la trouves comment ma chambre alors ? Ça fait trop mec ou pas ? »
Je lui souris avec un faux air triste.
« -Ca fait… J’en sais strictement rien, la déco ce n’est pas mon truc, faire à manger non plus d’ailleurs… Je crois que je serais jamais une femme qui reste à la maison pour s’en occuper, je ne saurais même pas comment m’y prendre. »
C’est fou comme c’est beaucoup trop vrai.
« -Tout ce que je peux dire c’est que j’aime bien, ça te va ? »
J’ose un sourire d’ange histoire de rattraper mon manque de connaissance en matière de déco.

Comment j'atterris sur le lit en rebondissant et manquant de finir par terre je ne sais pas vraiment. Mais je dois avouer que ça me prend tellement de court que je ne peux m’empêcher de rire comme une idiote.
« Avoue que ça fait longtemps que tu n’as pas sauté sur un lit comme ça. »
Longtemps ? Je crois que je ne l’ai jamais fait.
Je m’assois sur le haut du lit m’étant débarrassée de mes chaussures et les replie sous moi en tailleur. Je regarde Kevin continuer à sauter rebondissant du coup moi aussi du même coup.
« -Je crois que je n’ai jamais sauté sur un lit. Avec mon frère on avait essayé et la gouvernante nous avait punit, c’est pour dire... »
Je n’ai jamais eut de vraies occupations de petite fille normale, et je n’aurais jamais les occupations d’une femme normale je suppose.
D’un geste je renvoie mes cheveux derrière mon épaules et sourit à Kevin.
« -Ma vie doit te sembler horrible ! »
Je sais que c’est à peu près ce que pense tout ceux qui sont étranger aux manières auxquelles j’ai toujours été habituée.
Mais assiste là j’ai l’impression d’avoir régressée de 10 ans au moins… A quand remonte la dernière fois que je suis rentrée dans la chambre d’un homme sans que ça finisse rapidement sans vêtement ?

✻✻✻
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyLun 3 Aoû - 2:46

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Maintenant j’en savais beaucoup plus sur elle, et son mariage. J’étais heureux de le savoir. Et pourquoi ? Egoïstement évidemment. J’étais heureux de le savoir, juste parce que du coup je pouvais l’embrasser autant de fois que je le souhaitais, sans m’en vouloir. J’aurais pu décider d’en savoir plus sur ce mariage. J’aurais pu m’asseoir tranquillement près d’elle, et lui poser des questions. J’en avais. Les mariages arrangés me sont tellement loin que j’ai pleins de questions en tête. Je décidais de mettre de côté ma curiosité pour une fois. Je ne voulais pas la mettre plus mal à l’aise que ça. Je décidais de passer outre, faire comme si elle n’avait rien dit. Je la voyais maintenant comme une femme aussi célibataire que moi. Les questions sur son mariage je les réserve pour une autre fois. Aujourd’hui, je veux juste m’amuser. Et pas sexuellement parlant. Même si ça pouvait prêter à confusion lorsque je l’emmenais dans ma chambre. Non, je n’allais pas lui sauter dessus une fois que je l’avais jeté sur le lit. Non, je me mis juste à sauter sur le lit. Quelque chose que je n’avais pas fait depuis longtemps. Mais j’avais toujours aimé le faire. Combien de fois mes parents m’avaient grondé pour cette bêtise ? Un nombre incalculable. Je pense même qu’ils ont arrêté par la suite. Ils voyaient bien que ça ne servait à rien. Ils auraient dû me priver de lit pour que j’arrête, et encore. J’aurais utilisé leur lit. Je repensais à ce qu’Alice me dit : qu’elle aimait ma chambre. C’est tout ce que je souhaitais entendre. J’allais donc laisser la décoration telle quelle. Alors que je sautais sur le lit, je l’entendis me dire qu’elle n’avait jamais fait ça. Ça me choqua tellement que j’en tombais du lit. J’avais fait mon saut mais je m’étais mal réceptionné. Je me retrouvais donc les fesses à terre. Je me relevais vite, et des gros yeux sur le visage, je lui demandais. « QUOI ? T’as jamais sauté sur un lit ? T’as jamais réveillé tes parents en sautant sur leur lit ? » Je n’arrivais pas à croire qu’une enfant n’ait pas connu ça. Surement parce que c’est toute mon enfance. « Mais t’a raté toute ton enfance. » Ça pouvait sembler méchant, dit comme ça. Mais c’est ce que je pensais à cet instant précis. J’avais presque pitié d’elle. « C’est pire qu’horrible oui. Je vais y remédier. » Je remontais sur mon lit, tout en essayant de la lever avec moi. Une fois qu’on fut tous les deux debout sur le matelas, je me mis à sauter. Tout seul. Alice ne me suivait pas. Trop coincée. Je décidais donc de lui faire des guillis. « C’est soit tu sautes, soit je te fais des guillis. » Ca aussi elle n’a pas du connaitre. Ses parents ne devaient pas être du genre à lui en faire, juste pour la voir rire, sourire, s’amuser avec elle. Très bien. Elle n’a jamais été une enfant, et bien elle allait en devenir une avec moi. Et puis ça passera le temps. Ça m’évitera de lui enlever tous ces vêtements et lui faire l’amour sur ce lit. J’en ai envie, seulement il ne faut pas. Je ne veux pas qu’elle pense que je l’ai attiré chez moi juste pour ça. Pas pour notre premier vrai rendez-vous. Si on peut appeler cette journée un rendez-vous…  


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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyLun 3 Aoû - 12:11

On peut se tutoyer non ?
Kevin&Alice

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Il y a tellement de choses que je n’ai pas faite. Je pense que je ne m’en rendrais jamais compte de toute puisqu’après tout ce n’est pas dans mon éducation. En un sens ce n’est pas un manque, mais bel et bien une différence. Je ne dis pas que nos parents nous aimaient pas, mais disons qu’ils le montraient différemment : ma mère avait tendance à être overprotectrice, et mon père absent. Quand il revenait de ses prétendus voyages il nous couvrait de cadeau avec ma soeur, tandis que mes frères eux avaient surtout droit à des réprimandes sur leur note et leur comportement. Ma mère a souvent essayé de combler le vide mais c’était impossible de rééquilibrer la situation, c’était beaucoup trop bancale. On craignait trop mon père et adorait notre mère, même quand elle a reprit le travail elle était moins là, et donc nous avions une gouvernante mais elle était toujours là comme une présence rassurante.
« -QUOI ? T’as jamais sauté sur un lit ? T’as jamais réveillé tes parents en sautant sur leur lit ? »
J’hoche la tête de droite à gauche, même si je ne peux m’empêcher d’être amusée par l’expression effarouchée de Kevin. et surtout par le fait qu’il soit par terre sur les fesses après une chute mémorable ! Pourquoi ne filme t’on jamais dans ce genre de situation ?
« -A vrai dire non, mes parents se levaient toujours avant nous. »
Je n’ai pas vraiment envie de m’étendre sur le fait que mon père dormait rarement à la maison. Ce qu’il s’est passé chez moi n’est pas un fait unique, je sais que dans beaucoup de familles de notre genre les maris sont absents et trompent leur femme. Je ne trouve pas que ça soit quelque chose à faire, et à la place de ma mère j’aurais sans doute réagit d’une manière différente que me taire et sourire, mais qu’est que je peux changer à cette histoire là ? Maintenant il est trop tard ma mère n’est plus de ce monde et mon père est mon chef direct.
« -Mais t’a raté toute ton enfance. »
J’aimerais lui dire à quel point il a raison, et à quel point je n’ai pas eut d’enfance car quand ma mère a recommencé à travailler j’ai essayé de faire de mon mieux pour que les jumeaux n’en souffre pas, mais non je me contente de rire. Les histoires seront pour plus tard si jamais il y a un plus tard.
« -Je veux bien te croire. »
Je ne m’empêcher de penser qu’il doit me prendre pour une extraterrestre, mais tant pis.
« C’est pire qu’horrible oui. Je vais y remédier. »
Je lève un sourcil interrogateur. Je me demande ce qui pourrait bien faire pour rattraper mes jeunes années. Il escalade à nouveau le lit, et une fois debout dessus il m’oblige à en faire de même. Hum je ne suis pas sûre d’être capable de faire ça, en plus le lit va sans doute finir par craquer si nous sautons tout les dessus.
« -C’est soit tu sautes, soit je te fais des guillis. »
Je le regarde les yeux écarquillés, oh non pas ça !
« -Tu sais je ne voudrais pas devoir t’acheter un nouveau lit parce que j’ai cassé celui là en sautant dessus… »
Sauf que quand je sens qu’il va effectivement mettre son plan à exécution. Ses mains s’abattent sur moi et je ne peux rien faire pour lutter contre la réaction naturelle du corps dans ce genre de situation, je finis par tomber sur le lit en riant et essayant de le repousser de mon mieux, mais ce n’est pas facile avec ma force inexistante.
« -Stooooop, s’il te plait stop… »
J’aimerais reprendre mon souffle mais je ne peux pas tant je ris. Malgré tout il finit par arrêter progressivement. Je m’allonge sur le dos en respirant fort, j’ai mal aux côtes d’avoir été torturée de la sorte.
« -C’est bien plus horrible ça que de pas l’avoir subit ! C’est une vraie torture. »
Je suis toujours essoufflée, mais j’arrive quand même à me redresser sur les coudes. J’aimerais dire que ma vengeance sera terrible, mais que puis je faire pour me venger ?
J’ai bien une idée mais c’est vicelard, et ça serait entrer sur un terrain qui me terrifie au sens propre du terme.

Mais qu’importe la vie sans prendre de risque ça n’existe pas. Et puis pour l’instant je ne fais rien de mal.
« -Je me rends c’est bon j’en peux plus... »
Je lève la main droite comme si je jurais de ne plus en pouvoir et si j’avais put hisser un drapeau blanc je l’aurais fais mais je n’en ai pas.
Je me redresse cette fois ci pour me retrouver assise sur mon lit, face à Kevin. Je reprends petit à petit mon sérieux, et cette fois ci -et pour la première fois-c’est moi qui fait la démarche de l’embrasser. Mais je l’avoue si je le fais c’est parce que ça fait partie de mon plan… Mon but est de le distraire le temps que je lui rende la pareille en lui faisant des chatouilles à mon tour. L’ennui c’est que c’est facile de se prendre au jeu et rapidement sous le feu de ses lèvres j’en oublie mes plans de vengeance…
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptyJeu 20 Aoû - 18:06

Je n’avais jamais imaginé me retrouver sur mon lit, en compagnie de cette jolie demoiselle. A sauter comme un gamin, et à l’inciter à faire de même. Comme un jeune enfant incitant son amie à commettre une bêtise. Heureusement nous sommes des adultes, et personne ne nous grondera pas derrière pour avoir fait cette bêtise. En soit, sauter sur un lit n’est pas vraiment une bêtise. On saute bien sur des trampolines… Seulement les parents l’interdisent car ils ont tous peur de devoir racheter un lit par la suite. Je n’avais pas cette peur. Enfin, évidemment que nous pourrions casser ce lit, mais je m’en fichais de devoir en racheter un. Au pire, je ne le ferais pas, et je mettrais seulement mon matelas par terre. Ça devient à la mode ce genre de lit, qui n’en est pas vraiment un. C’est juste un matelas qu’on met au sol. Mais si je fais cela, je pourrais sauter autant de fois que je veux sur mon matelas. Et j’inviterais Alice pour m’y accompagner. Je venais de lui dire que j’allais remédier au fait qu’elle n’avait pas eu d’enfance. Et je comptais bien tenir ces paroles. Je sautais donc, tout en l’invitant à faire de même. Seulement, elle semblait ne pas y arriver. Elle n’arrivait pas à se lâcher, et me suivre. Je décidais donc de lui faire des chatouilles. On continue dans les infanteries. Non, elle n’allait pas s’en sortir aussi facilement. Elle demanda vite la paix, en agitant le drapeau blanc, ou plutôt sa main droite. Je me couchais donc sur le lit. Faire des chatouilles à une fille qui se débat c’est fatiguant quand même. « Tu ne vas pas me dire non plus que tu n’as pas connu les chatouilles. » Si elle me répondait par la négative, je serais encore plus choqué que je ne le suis déjà. Pour moi, tout ce que je venais de faire, c’est la base d’une enfance normale. Mais surement chez moi. Peut-être que chez les autres familles, ça ne l’est tout simplement pas. Puis après tout, nous ne venons pas vraiment du même monde, elle, et moi. Alors que je la vis s’asseoir sur le lit, j’en fis de même. Et c’est là qu’elle prit l’initiative de m’embrasser, à son tour. Je fis durer le baiser, tout en la couchant par la suite sur le lit. Me retrouvant sur elle. Nous ne jouions plus à des jeux d’enfants. Non. C’était bien des jeux d’adultes sur lesquels on arrivait. J’essayais alors de passer ma main sous ses vêtements, mais je me rendis compte qu’elle portait une combi. Je déteste ces vêtements. Le pire des vêtements. Mais c’était surement un signe pour me dire de stopper là. Et c’est ce que je fis. « Désolé. » Je lui avais dit que je ne l’avais pas emmené ici pour cela, alors il faut bien que je le lui prouve. Jusqu’ici, tout prouvait le contraire. Je l’avais embrassé, emmené dans ma chambre. N’importe qui prendrait ça pour des avances sexuelles. « Dis-moi que tu n’as jamais couché avec quelqu’un aussi, ça m’aiderait surement. » Décidais-je de lui dire sur le ton de l’humour. Après tout jusqu’ici, elle n’avait jamais connu mes jeux. Elle pourrait bien être vierge, bien que je m’en doute. Une aussi belle femme qu’elle, et surtout mariée. Quoique pour m’aider à ne pas lui sauter de nouveau dessus, il faudrait surement qu’on sorte de cette pièce. Je n’y arrivais tout simplement pas. Je restais couché, aux côtés de la belle, à la fixer dans les yeux. Ses beaux yeux bleus.
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. - Page 2 EmptySam 22 Aoû - 14:17

On peut se tutoyer non ?
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Ca doit être une des premières fois où je me retrouve sur un lit pour faire autre chose que des câlins ou dormir. C’est clair que pour moi c’est loin d’être naturel et ça se voit sans doute à mon attitude ainsi qu’à mon visage légèrement crispé.
Et quand vient l’heure des chatouilles je dois dire que c’est pire encore, c’est le genre de choses que je faisais à mes cadets mais je ne l‘ai pas souvent subit.
Je hoche donc la tête de gauche à droite complètement à bout de souffle.
« -C’est pas comme si c’était agréable de toute façon. »
Plus je parle et plus j’ai l’impression de le choquer… Jusque là je n’avais pas vraiment eut la situation d’avoir grandit si différemment des autres, car c’est vrai la plupart du temps je me retrouve avec des gens du même milieu social que moi et par conséquent qui ont plus ou moins vécu le même genre d’enfance que moi, voir le même genre de vie. Ce n’est définitivement pas le cas de Kévin, et je comprends que du coup ça puisse le choquer ce que je lui raconte. Et pourtant c’est la dure réalité de ce qu’il s’est passé tout au long de mon enfance, adolescence, et vie plus généralement.

« -C’est moi qui ai lancé les hostilités… »
J’ai lâché ça dans un souffle. Je te de reprendre mes esprits mais je dois avouer que pour l’instant tout se mélange dans ma tête, depuis que je suis rentrée dans cette chambre, non plutôt depuis le premier baiser échanger avec Kevin j’ai l’impression d’être dans le corps de quelqu’un d’autre, d’être dans une bulle, et que les choses se déroulent sans que j’ai le moindre contrôle dessus. A vrai dire ce qui est entrain de se passer ne me dérange absolument pas, au contraire même j’en profite… Et j’en profite tellement que j’en reste sans voix. L’ennui c’est que d’une part ça ne me ressemble pas, et de l’autre part que c’est complètement en contradiction avec ce que je suis, et ça me fait peur. Qu’est qu’il peut se passer maintenant ? J’ai clairement sentit l’envie de Kevin d’aller plus loin, et tout mon corps ne demande que ça. Mais c’est loin d’être raisonnable, et je ne crois pas en une relation qui ne serait que physique de toute façon ce n’est pas ce que je veux.
Allonger sur le dos j’essaye de faire le point, mais tout me pousse à rechercher son contact encore une fois.
« -Désolée tu ne peux pas avoir toutes mes premières fois… »
Je rajoute ça sur le même ton que lui, puis je finis par me redresser sur les coudes. Mais mon sourire amusé finit par passer plus vite que je ne l’aurais souhaiter. Les questions commencent à se bousculer dans ma tête. Les yeux toujours rivés sur ceux de Kevin je ne peux m’empêcher de froncer légèrement les sourcils.

« -Au risque de devoir jouer les rabats joie, j’aimerais comprendre ce qu’il se passe… Enfin surtout où on va. »
J’aimerais que la réponse ne soit pas dans le mur. C’est pas comme si un jour j’arrêtais de me poser des questions. Souvent d’ailleurs j’ai la tête trop sur les épaules, je suis froide on me le dit, et je mets du temps à me réchauffer et à faire confiance.
✻✻✻
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