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![Soleil et glandage...un subtil mélange! [ PV Tom ] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Soleil et glandage...un subtil mélange! [ PV Tom ] Sam 3 Avr - 22:04 | |
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Voilà deux heures qu'il était levé, mais Oh combien il aimerait se détendre et ne pas aller au cours. Bathélémy se traina nonchalamment à travers les couloirs de l'université, n'hésitant pas à bâiller si besoin est. Il soupira d'ennui et, même s'il appréçia ses cours, il ne fut guère dans un état de concentration suffisant pour subir toute une journée de leçon. Lorsqu'il vit la porte de la classe dans laquelle il devrait avoir cours, il s'arrêta un instant et fit demi tour, l'air molasson. Il aperçut son professeur au loin, mais détourna le regard, l'air de rien et prit un autre couloir, soulagé de ne pas s'être encore une fois fait réprimander par le vieillard. Finalement, il se retrouva devant une fenêtre et lorsqu'il vit le soleil s'étendre sur toute le région, ainsi que le parc qui s'étala devant lui, la seule envie qui lui vint à l'esprit fut de prendre l'air.
Un soudain élan de vivacité le reprit à l'idée de s'oxygéner et, lorsqu'il s'éclipsa à l'extérieur, il se sentit bien...Aussi bien que dans son lit, imaginez-vous? Il soupira, non pas d'ennui, mais de joie et traversa le parking avant de rejoindre promptement le parc. Vêtu d'un simple jeans et d'un tee-shirt noir, le jeune français prit le sentier qui s'insinua à travers le parc et marcha, tout simplement. Une main en poche, l'autre tenant son sac, il constata que le beau temps attira pas mal de jeunes gens au coeur du parc, plusieurs d'entre eux furent entassés en petit groupe par-ci et par-là. Bart les observa et passa son chemin lorsqu'il ne reconnut aucune tête...Après tout, avec les centaines d'étudiants qui déambulèrent à Berkeley, il fut tout à fait normal de ne pas connaître la majorité d'étudiants.
Après quelques minutes de marche, il vit un petit coin sur le côté qui l'intéressa, assez pour le pousser hors du sentier, jeter son sac sur le sol et se laisser tomber comme une vulgaire carpette sur le dos, appréçiant l'herbe tiède sur laquelle il fut couché. Il se laissa ainsi dorloter au soleil, l'esprit dénudé de tout ce qui conçernait l'université. Il croisa ses bras, posa sa tête dessus et constata qu'il aurait du prendre des lunettes de soleil avec lui.
* on va faire avec... *
Il avait chaud, il avait faim, mais la flemme le rongea de toute part, à tel point qu'il fut bien trop paresseux pour prendre un petit encas dans son sac.
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