the great escape
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Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools.

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Kevin F. Tatcher
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 19 Juil - 15:26

Je venais d’emménager il y a seulement quelques jours. J’avais décidé de quitter mon appartement du Bronx dans lequel j’étais depuis dix ans maintenant. Je voulais me rapprocher un peu plus de mon poste de police. Je voulais quitter le Bronx, et atterrir à Manhattan. Seulement avec mon salaire, je n’avais pu que me prendre un petit appartement dans le quartier d’Harlem. Je n’avais pas énormément bougé. Je me retrouvais dans le même genre de quartier, même genre d’appartement. Je pouvais juste dire que j’habitais dans Manhattan maintenant, et non plus dans le Bronx. Avant de déménager ici, je connaissais le quartier de réputation, j’y étais passé de temps en temps pour des enquêtes. Mais à part cela, je n’en connaissais pas plus sur le quartier. Alors une fois que je terminais le rangement de la journée, je décidais de sortir pour faire un petit tour. Une petite balade qui m’aiderait à en apprendre davantage sur mon nouveau quartier. Les voisins, les alentours. Je cherchais surtout à savoir où j’allais maintenant faire mes courses. J’étais aussi à la recherche de petits endroits où je pourrais passer mon temps, pour prendre un petit café, ou un dessert. Ou même l’endroit où je pourrais aller manger les soirs où je ne ressens pas l’envie de me faire à manger. Oui, il fallait que je fasse un tour pour que je voie à quoi allait rimer ma nouvelle vie. Une fois que je fis dehors de mon immeuble, je regardais autour de moi. Au moins la rue est plus sympathique que mon ancienne. Déjà un bon point. Je me mis à avancer, ne sachant même pas où j’allais. Je comptais juste flâner dans les rues. Jusqu’au moment où je sentis qu’une jeune femme était embêtée par des hommes du quartier. Oh, ils n’étaient pas si méchants que cela, ils la draguaient juste. Seulement cela semblait gêner la jeune femme qui se mit à marcher d’un pas plus rapide. Je changeais de trottoir, pour me retrouver derrière elle, et dire « Ne vous en faites pas je suis de la police, ils ne vont plus vous embêter. » Je jetais un coup d’œil à ces hommes, qui à ma vue, se retirèrent et continuèrent leurs occupations sans se préoccuper de nous. Je me mis alors à côté de la femme, et c’est là que je la reconnus. « Madame Williamson? » Évidemment que ce n’était pas une femme qui vivait dans les parages sinon elles se seraient défendus face à ces hommes, mais je ne m’étais pas attendu à celle-là. Elle était loin de chez elle. « Vous vous êtes perdues ? » Je ne voyais pas d’autres explications pour sa présence dans ce quartier. Elle était toujours aussi belle. Je me rappelais de la première fois où je l’avais rencontré. Mes yeux avaient eu du mal à se défaire d’elle. Seulement je ne peux pas flirter avec les gens qui ont un rapport avec mes enquêtes. Ce qui est très con, car tout le monde peut intervenir une fois dans mes enquêtes. Il semblerait qu’ils veuillent que les policiers restent célibataires. Eh bien moi, je ne suis pas d’accord avec ça.
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 19 Juil - 18:18

On peut se tutoyer non ?
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« -Hé jolie blonde vient passé un moment avec nous… »
C’est une des rares phrases que j’ai entendu correctement depuis qu’ils ont commencé à me suivre dans la rue. Ils ne sont que 3 mais c’est assez pour m’importuner. Je n’ai pas de temps à perdre en leur répondant, et je dois avouer que je ne suis pas à l’aise du tout. Je suis sûre qu’en plus ils sont très au courant du fait qu’ils m’incommodent. Je me contente donc de marcher plus vite, dans l’espoir de mettre le plus de distance entre eux et moi. Le problème c’est les chaussures que je porte aux pieds : elles ne sont pas vraiment adaptées à des cavalcades dans Harlem.
Mais tout commence par cette question : que fais à Harlem ? Et bien la réponse est simple je rends visite à ma tante qui n’a jamais voulu habiter autre part qu’ici malgré le fait que mon père lui ait proposé plusieurs fois des logements plus gracieux, je vis moi même dans le midtown ce qu’il n’arrive pas à comprendre… Il ne peut pas se mettre dans le crâne que nous ne sommes pas tous comme lui et que certain notamment comme moi aimons avoir une certaine indépendance. Mais bon, je ne pourrais tout de même pas vivre dans ce quartier de New York… Je n’ai même pas la tenue adaptée, j’ai essayé de faire soft, mais étant donné que c’est une personne de ma famille que vais voir le short et les basket ne sont pas de rigueur, j’ai donc enfiler une combi-short légère vert émeraude, et une paire de sandale à talon. Pour le reste j’ai tressé mes cheveux sur le côté, et un léger make up pour couronner le tout. Rien d’excentrique non plus…

« -Ne vous en faites pas je suis de la police, ils ne vont plus vous embêter. »
Je ne peux m’empêcher de me figer en entendant les premiers mots, cette voix là ne m’est pas hostile, mais elle est proche de moi et je ne l’avais pas entendu venir.
Je décide donc de me retourner au bout de quelques secondes pour tomber sur une connaissance.
« -Madame Williamson? »
A l’évidence il est aussi surpris que moi qu’on se retrouve ici.
Remettons les choses dans le contexte : j’ai rencontré Kevin Tatcher dans le cadre d’une enquête contre l’un de mes employés, j’ai du le voir 2 ou 3 fois en tout, mais je dois avouer qu’il a retenu mon attention, j’avais déjà eut affaire à des hommes en uniforme et aucun ne m’avait aussi bien traitée que cet officier. Un peu plus détendue, mais ne manquant pas de jeter un regard vers mes oppresseurs.
« -Offier Tatcher qu’elle bonne surprise! »
Je n’ai jamais autant pensé ses mots. Complètement rassurée à présent je retrouve mon aplomb laissant cet incident derrière moi.
«-Vous vous êtes perdues ? »
Je secoue la tête doucement avec un sourire amusé. Je ne suis pas perdue même si je dois donner l’impression de l’être.
« -On ne perd pas une New Yorkaise dans sa propre ville. »
Ca c’est bien vrai, même si je ne côtoie pas les bas fonds de la grosse pommes j’y suis déjà passé plusieurs fois notamment quand j’étais plus jeune.
« Je suis venue voir ma tante qui habite le quartier, vous vivez ici vous même ? »
Ne sachant pas qu’elle attitude adopter je décide de rester sur celle que nous avons toujours eut l’un envers l’autre : polie et réservée, mais toujours avec le sourire. Le regard bleu de mon interlocuteur me cause quelques secondes de trouble, et le fait que je lui soit redevable de m’avoir évité l’enfer n’arrange pas vraiment les choses sur ma manière de le percevoir à présent. Je ne m’étais pas rendue compte qu’il était aussi grand… A vrai dire je ne crois pas l’avoir vu avec autre chose que son uniforme non plus, et ma conclusion sur le sujet est que les deux lui vont comme un gant.
✻✻✻
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Kevin F. Tatcher
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 19 Juil - 21:59

Je ne portais peut-être pas mon uniforme, mais je me sens H24 comme un policier. Si je vois qu’on a besoin de moi, je suis là. Pas besoin de mon badge ou d’une arme pour venir en aide à quelqu’un. D’ailleurs j’aidais déjà mes semblables lorsque je n’étais pas encore un policier. Je ne compte pas toutes les fois où j’ai aidé des femmes à se débarrasser d’hommes dans mon ancien bar, ou des hommes qui s’étaient foutus dans la galère sans réussir à en sortir. Je n’avais peur de rien. S’il m’arrivait quelque chose en aidant une personne, je le prendrais bien. Je préfère mourir en ayant aidé quelqu’un plutôt que de mourir tout seul, de vieillesse. C’est surement toute cette attention qui a fait de moi un policier, il y a maintenant deux ans. Je ne fais pas partie de ces policiers qui ont toujours eu voulu faire ça de leur vie. Moi, l’idée ne m’est venue qu’il y a quatre ans. Et sur un coup de tête je me suis inscris à l’académie. Voilà où j’en suis maintenant : continuer à aider les autres, mais en tant que policier. Bien que là j’aidais cette femme en tant que citoyen. Je ne pensais pas que les trois hommes allaient se retirer, vu comment j’étais habillé. Pas du tout comme eux. J’avais une belle chemise bleue, et s’ils l’avaient voulu ils auraient pu venir me chercher des problèmes. Mais c’est surtout mon allure et ma confiance qui les aient fait partir. Tout est dans l’assurance, vraiment. Même si on est policier, avec une arme à la main, si on n’est pas confiant, la personne en face va le voir et en profiter pour vous la mettre en l’envers. Il ne faut pas montrer la peur. Seulement je n’ai jamais peur moi. Bon, je mens un peu là, mais il est rare que la peur prenne possession de mes sentiments. Je fus étonné de voir la jeune femme ici, mais j’étais plutôt heureux de la voir. Ca changeait de nos rencontres faites par l’enquête. Nous ne pouvions pas parler de ce que nous souhaitions réellement. Toutes nos conversations reposaient sur l’enquête, et rien que ça. Mais, maintenant, ici, tout changeait. Nous pouvions parler de ce qui passionnait. Je fus surpris d’entendre qu’elle avait une tante qui habitait dans le quartier. J’imaginais toute sa famille vivant en plein Manhattan, là où je n’habiterais surement jamais. « Oui, je viens juste d’emménager. Mais j’habitais dans le Bronx avant. Je ne change pas vraiment de quartier en fin de compte. » Je lui désignais du doigt mon immeuble. Je ne savais pas trop pourquoi je le lui montrais. Mais le geste était venu tout seul. Puis sait-on jamais si elle se fait embêtée de nouveau par des hommes en venant voir sa tante. « Vous ne devriez pas venir aussi bien habillée comme ça ici. Ça donne des idées malsaines à certaines personnes… » Puis je la regardais, et je remarquais qu’elle n’était pas si bien habillée que cela. Elle était juste très jolie. « Cachez-vous sous des survêtements, une capuche, ou je ne sais quoi. Ca cacherait votre beauté. » Mon regard se posa sur le sien. « Non pas que je veuille que vous la cachiez… votre beauté. Je veux seulement que rien ne nous arrive. Et c’est mauvais d’être jolie fille dans ce quartier. » Bon ok Kevin, tais toi, tu deviens aussi cons que ces mecs de tout à l’heure. Elle va bientôt prier pour qu’ils reviennent juste pour se débarrasser de moi. « Vous voulez que je vous accompagne jusqu’à chez votre tante ? » De toute façon je n’avais rien d’autre à faire. Alors pourquoi pas me balader en belle compagnie ?
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 19 Juil - 23:51

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« -Oui, je viens juste d’emménager. Mais j’habitais dans le Bronx avant. Je ne change pas vraiment de quartier en fin de compte. »
Je ne m’attendais pas à faire cette rencontre là ici. Mais le monde est petit n’est ce pas ce qu’on dit ? Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas et ça n’a pas été toujours vrai. En tout cas je suis vraiment soulagé qu’il soit là pour me débarrasser des hommes qui m’importunais depuis déjà deux blocs. Je ne pensais pas qu’il vivait ici cependant, mais après tout pourquoi pas ? Tout le monde ne vit pas dans le Upton, même moi je n’y suis pas.
« -Le quartier est sympa, j’y viens depuis que je suis enfant, mais il y a des perturbateurs partout. »
Je suis la direction de son doigt et mes yeux tombent sur un immeuble qui ressemble beaucoup à celui de ma tante, et j'acquiesce avec un sourire à cette information, c’est toujours bon à avoir l’adresse d’un policier, surtout lors d’un jour comme celui là où je me fais embêtée dans la rue. C’est vrai que même si je connais les rues je suis assez étrangère à ce monde je n’ai pas été élevée ici, et je n’y venais que pour voir ma tante, mes yeux d’enfants n’avaient pas le même regard sur la ville et sur les gens qui la fréquentaient à l’époque et autant dire qu’une gamine blonde passait complètement inaperçue dans cette jungle, maintenant les choses sont différentes, j’ai conscience que mon apparence déteint dans le tableau.
D’ailleurs il ne tarde pas à me le faire remarquer.
« -Vous ne devriez pas venir aussi bien habillée comme ça ici. Ça donne des idées malsaines à certaines personnes… »
Je ne peux m’empêcher de faire la grimace sans perdre pour autant mon sourire.
« -Dans quel monde vit on si on ne peut plus s’habiller comme on veut… »

Le sujet aurait put se terminer comme ça, mais non. L’officier me sort une remarque à laquelle je ne m’attendais pas.
« -Cachez-vous sous des survêtements, une capuche, ou je ne sais quoi. Ca cacherait votre beauté. »
Il marque une pause avant de reprendre:
« -Non pas que je veuille que vous la cachiez… votre beauté. Je veux seulement que rien ne nous arrive. Et c’est mauvais d’être jolie fille dans ce quartier. »
Je le regarde s'emmêler et je ne peux m’empêcher de le trouver craquant comme ça. Je me contente de me moquer gentiment.
« -Merci Kevin. »
Non le compliment n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, et oui j’ai pris la peine de rougir légèrement.
Après tout ça fait toujours plaisir ce genre de compliment non ? Je ne vois pas pourquoi je le refuserais cependant je ne pensais pas qu’il dirait quelque chose comme ça, à vrai dire nous n’avons jamais eut d’autres relations que celle concernant le travail. Que quelqu’un vous plaise physiquement est une chose, le reste … C’est plus difficile déjà. Ce n’est pas mon expérience minable qui parle, juste le bon sens.

Il décide cependant de prendre la tangente.
« -Vous voulez que je vous accompagne jusqu’à chez votre tante ? »
A vrai dire j’en viens, mais une autre idée me vient à l’esprit.
« -J’en viens, mais j’avais prévu d’aller faire un tour en ville et peut être boire un café. Vous voulez vous joindre à moi ? »
Etant habituée à être seule je dois avouer que je ne serais pas contre un peu de compagnie.
✻✻✻
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyVen 24 Juil - 12:59

Il est vrai que le quartier a l’air plutôt sympa. Et qui plus est, Harlem a changé depuis l’ancien temps. Avant aujourd’hui c’était vraiment un quartier à pas du tout fréquenté, que ce soit de jour ou de nuit. Mais aujourd’hui, il n’y a aucuns problèmes si les touristes souhaitent visiter Harlem. Il y a quelques problèmes qui persistent, mais on ne refait pas un quartier aussi facilement. Et Harlem se distinguait au Bronx grâce à ce changement. Alors à aucun moment je ne regrettais d’avoir déménagé. Evidemment que j’aimerais me rapprocher du centre de Manhattan, mais pour cela il faut que le salaire suive, or c’est loin d’être le cas. Harlem n’est pas si mal, surtout si je me mets à rencontrer d’aussi belles femmes en sortant de chez moi. Et des femmes comme Alice. Je ne pense pas que j’aurais pu la rencontrer dans le Bronx. Non, là-bas, je ne pouvais que rencontrer des filles comme Madison. Je l’apprécie énormément, mais elle est très différente de cette autre blonde. On ne peut pas les comparer. « Quand j’étais petit j’étais encore au Canada. » Et depuis mes 18 ans, je n’y suis pas retourné. Surement parce que j’avais peur de rencontrer mon ex là-bas. Mais maintenant que je sais qu’elle est ici, dans le Bronx. Il se pourrait que je me décide à revoir une fois ma famille là-bas. Ca ne serait pas une mauvaise idée. Faire comme madame Williamson et rendre visite de temps en temps à ma famille. « Dans le nôtre… malheureusement. » Je n’allais pas lui faire la liste des femmes qui se sont fait agressées. Et la plus part du temps il s’agissait de femmes un peu trop bien habillée pour le quartier dans lequel elles étaient. Oui, je sais que les femmes d’aujourd’hui veulent s’habiller comme elles le sentent. Pour autant il faut faire attention. Elle ne va pas toujours tomber sur moi en venant ici, ou même ailleurs. Je protège dès que je le peux, mais je n’en suis pas pour autant un super héros qui va toujours arriver lorsqu’elle va en avoir besoin. Je ne suis qu’un homme comme un autre. La regardant dans les yeux, je lui proposais alors de l’accompagner jusqu’à sa destination. Mais je m’étais trompé, ou alors j’avais très mal compris. Elle en venait. Je souris, et c’est là qu’une idée me vint. « Vous ne voulez pas monter chez moi ? » A son regard qu’elle posa sur moi, je rajoutais « J’ai du café aussi. » Mon regard restait dans le sien. Attendant une réponse de sa part. Je décidais alors de rajouter quelque chose pour la convaincre. « Je viens d’emménager, j’aurais bien besoin d’un œil féminin pour me dire comment est-ce que c’est. » Allez, vous ne pouvez plus me dire non maintenant. Je la pris même par la main, pour l’obliger en quelque sorte à venir. Je ne savais même pas pourquoi je voulais à tout prix qu’elle vienne, mais je le voulais. Une fois qu’on fut devant ma porte, je dis « Vous allez être la première à voir mon nouveau chez moi. Quelle chance ! » Et j’ouvris la porte, on entra dans un beau petit appartement. Que j’avais un peu décoré comme l’ancien. Au fond, je savais que les femmes aimaient. C’était juste un argument comme un autre pour qu’elle me suive et vienne ici.
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 2 Aoû - 15:02

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« -Quand j’étais petit j’étais encore au Canada. »
Au Canada donc ? J’ignorais complètement que Kevin était canadien d’origine, mais comment l’aurais je sut ? Nous n’avons jamais parlé de ce genre de chose auparavant. Le Canada me semble une destination bien exotique pour moi qui est surtout passé mon temps aux Etats Unis et plus précisément à New York. Oh bien entendu nous avons pas mal voyagé durant mon enfance et mon adolescence, mais à vrai dire nous étions surtout enfermés dans des hôtels, et tout ce que j’ai vu de ces endroits paradisiaques étaient dans les livres des hôtels. Ma mère n’étaient pas une férue des musées surtout si elles les avaient déjà fait, du fait j’ai du me cultiver seule la plupart du temps. J’ai bien réussis ma part du travail, mais voir les oeuvres en temps réel n’est pas la même chose que dans des livres, le ressentis est loin d’être le même.
« -Vous êtes partit quand du Canada ?»
Le fait est que je n’ai jamais remarqué une quelconque d’accent canadien quand il parlait, peut être est il arrivé très tôt aux Etat Unis et l’a t’il perdu ? Tout est possible à vrai dire les accents dépendent des gens non ?

« -Dans le nôtre… malheureusement. »
Ma question n’attendait pas vraiment de réponse mais je ne peux qu’acquiescer en entendant sa réponse. Notre monde n’est décidément pas tout rose, mais je suppose que la vie aurait moins de piquant si ça ne se passait pas comme ça, on ne ferait que passer dans un monde sans y faire de vague sans que notre passage ne se remarque, et ça serait définitivement triste.
« -Ne nous plaignons pas dans un autre monde nous nous serions sans doute pas rencontrés.  »
Je suis une éternelle optimiste c’est vrai et je ne peux pas m’empêcher d’essayer de trouver une note positive partout, sinon je ne ferais que déprimer. Et dieu sait si j’ai des raisons de le faire en ce moment, et pourtant j’essaye de garder toujours le sourire.


Puisqu’il n’a pas l’air de vouloir me quitter de sitôt je lui propose de m’accompagner dans le reste de mon épopée, mais il me propose plutôt d’aller chez lui.
« - Vous ne voulez pas monter chez moi ? »
Je ne réponds rien le laissant développer de lui même ce qu’il me propose avant de prendre une décision. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance, mais il reste un parfait étranger et je ne connais pas vraiment ses intentions, je doute qu’il soit un violeur en série, mais je n’ai pas l’habitude de ce genre de proposition.
« -J’ai du café aussi. »
Il marque une pause.
« -Je viens d’emménager, j’aurais bien besoin d’un œil féminin pour me dire comment est-ce que c’est. »
Il me regarde bien dans les yeux cette fois, et même si son dernier argument est le pire que je n’ai jamais entendu, je n’ai pas le coeur à lui refuser, surtout qu’il sait que je n’ai pas mieux à faire…
« -Entendu. »
J’attends donc qu’il se décide, et il ne met pas longtemps à réagir : il prend ma main et m’entraîne vers l’immeuble qu’il m’a désigné il y a quelque minutes à peine. Je regarde nos mains enlacés sans savoir vraiment quoi pensé, jusqu’à ce que le rouge me monte aux joues une fois que l’information a éclaté dans mon cerveau. Pourtant je ne la retire pas pour autant, ça fait une éternité que personne ne m’a pris par la main j’avais oublié que c’était une sensation agréable.
On monte des marches puis nous finissons par arriver devant une porte.
« -Vous allez être la première à voir mon nouveau chez moi. Quelle chance ! »
Je libère sa main pour qu’il puisse ouvrir la porte, ce qu’il fait avant de me laisser pénétrer dans l’appartement la première.
Je découvre un appartement qui n’a définitivement pas besoin du moindre conseil pour être aménagé, et puis je dois avouer que je ne serais pas d’une grande aide de toute façon j’ai tendance à aimer toujours les mêmes choses en matière de déco : des meubles foncés, et le blanc… Avec ça vous avez un aperçu de ma maison, hormis ma chambre qui est que dans les tons clairs.
« -C’est mal d’attirer les femmes avec de faux prétexte ! Cet appartement est mieux décoré que le miens ! »
Bien entendu ce n’est pas une accusation et je dis ça sur un ton amusé.
Je continue à jeter un coup d'oeil autour de moi alors que je m'avance au milieu de la pièce. C'est un endroit chaleureux, je ne doute pas qu'il doit se sentir bien ici. La vue est même assez jolie d'ici. Elle ressemble beaucoup à celle de ma tante.

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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 2 Aoû - 17:30

Etant policier, je connais pas mal de choses sur cette gente dame. Madame Williamson. Mariée. Mais cela n’empêche pas que je la trouve toujours aussi jolie. Ce n’est pas parce qu’on se marie, qu’on devient moche. Non. Cette dame je la trouve très charmante, et j’en étais désolé qu’elle soit déjà mariée. Bien qu’aussi jolie qu’elle, c’était évident qu’elle devait déjà être mariée. Je connaissais aussi sa date de naissance, sa ville de naissance. Son nom de jeune fille. Presque toute sa vie. Tout ce dont un policier aurait besoin de savoir. J’avais lu tout ce qu’on pouvait sur elle. J’en savais donc des choses sur elle. Mais quant à elle, on ne pourrait pas dire la même chose. Au fond, elle ne connait que mon prénom, mon nom, mon métier et maintenant où j’habite. On n’avait jamais eu l’occasion d’en savoir un peu plus l’un sur l’autre. Je n’avais pas trouvé le courage de l’inviter à se revoir, étant donné qu’elle était déjà à un autre. Mais maintenant qu’on se retrouvait par hasard dans la rue, pourquoi pas une petite discussion. Il n’y a rien de mal là-dedans. « Je suis parti lorsque j’avais 18 ans. Donc ça fait maintenant dix ans que je suis ici. » Dix ans… déjà. C’est fou comment le temps passe à une allure phénoménale. J’ai l’impression que je suis arrivé ici il y a encore quelques semaines. Et tout cela ne me rajeunit pas du tout non plus. Je réalise mon âge et tout ce temps où je suis à New York. Tout cela me fait halluciner. « C’est vrai. » Mais peut-être que dans un autre monde, vous ne seriez pas mariée, et j’aurais toutes mes chances avec vous. Que j’avais envie de lui dire, mais je m’abstins. Quelle opinion aurait-elle des policiers après cela ? Ce qui ne me stoppa tout de même pas pour l’inviter chez moi. Surement que je souhaitais nous retrouver dans un endroit un peu plus intime qu’un simple café. Cette dame n’était pas facile. Et bizarrement ça me plaisait. Ça me plaisait de devoir trouver des excuses pour qu’elle accepte mon offre, et qu’elle me suive. Enfin, elle accepta. Ce sur quoi je la pris pour la main. Sans même avoir d’arrières pensés. Je lui avais pris la main, et ce geste était totalement innocent. Une fois à l’intérieur, elle me dit qu’elle appréciait la décoration. Cool. Je la regardais, et lui sourit. Je me rapprochais d’elle, mais c’était simplement pour ma rapprocher de ma porte et la fermer. Je continuais à sourire. A savoir pourquoi. « Attirer les femmes ? » Je lui demandais, d’un ton angélique. Je me rapprochais encore une fois d’elle. « Je vous ai attiré chez moi ? » Une fois que je me retrouvais proche d’elle, je posais mon regard bleu azur dans le sien. « C’était peut-être pour pouvoir faire ça… » Je posais ma main sur sa joue, et doucement je rapprochais mes lèvres des siennes. Pour enfin que nos lèvres se touchent. Mais sans plus. Je ne voulais pas qu’elle se sente trop mal à l’aise. Et puis, ne pas oublier qu’elle a un mari. Et puis merde. D’un coup je me décollais d’elle. « Alors, vous voulez un café ? » Je me dirigeais vers ma cuisine, puis une fois dedans, je lui criais. « Promis, je vous demanderais rien en échange. » Ce n’était qu’un petit baiser. J’avais juste voulu goûter à ces belles lèvres. Alors que je préparais le café, j’entendis une porte s’ouvrir. J’accourus dans le salon, pour voir ce qui arrivait. Mais non. Ce n’était qu’Alice qui visitait, et qui venait de trouver ma chambre. Et moi qui avais cru qu’elle prenait la fuite…
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MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 2 Aoû - 18:25

On peut se tutoyer non ?
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« Je suis parti lorsque j’avais 18 ans. Donc ça fait maintenant dix ans que je suis ici. »
10 + 18, 28. Bien Alice tu sais compter !
Ca fait donc deux ans de plus que moi. Je ne sais pas ce que je peux faire de cette information à vrai dire, mais je la met dans un coin de mon cerveau. A vrai dire je ne suis jamais posé la question de savoir quel âge il pouvait bien avoir, à vrai dire j’aurais dit le même que moi, et je ne me serais pas trompée de beaucoup. J’évolue dans un monde où l’âge est important je suppose que c’est pour ça que je l’ai tout de suite identifiée… A vrai dire je fais partie des plus jeunes dans l’entreprise, et surtout à un poste aussi élevé que le miens, en général les gens ne sont pas très à l’aise avec ça, ni même avec le fait que je sois une femme. Peu importe à vrai pour moi c’est pareil, et j’ai appris à faire avec depuis le temps. Mais c’est vrai que j’ai l’oeil maintenant pour deviner l’âge des gens sans trop me tromper.
« C’est vrai. »
Il semble réfléchir à un tas de chose, mais ne rajoute rien, et je décide de suivre son mouvement et de rester aussi muette qu’une carpe.
A vrai dire sa main dans la mienne me coupe aussi le sifflet, c’est typiquement devant ce genre de comportement qui semble si naturel aux autres que je reste complètement coincée. J’ai fini par me l’avouer à moi même en fait, je m’en rends compte : je ne sais pas comment agir dans beaucoup de situation qui sorte un peu de l’ordinaire. J’essaye de camoufler de mon mieux mais si les gens commencent à me connaître un peu plus ils s’en rendent compte.

« -Attirer les femmes ? »
Je ne peux m’empêcher d’émettre un rire cristallin devant sa tête qui se veut sans doute innocente. Il revient vers moi, jusqu’à ce que je comprenne qu’il va fermer la porte. Intérieurement je me reproche de ne pas l’avoir fait seule, parfois j’ai vraiment l’impression d’être une assistée pour nombre de chose.
« -Je vous ai attiré chez moi ? »
Je lève les yeux pour croiser les siens, il est plus proche de moi qu’il ne l’aura jamais été. Je décide de rester dans le jeu que j’ai commencé.
« -Même si c’était avec le pire argument du monde je crains de devoir répondre que oui. »
Peut être que c’est juste après ça que j’ai réalisé que la situation m’a complètement échappé des mains, peut être que c’est justement quand il ouvre la bouche pour dire :
« -C’était peut-être pour pouvoir faire ça… »
Ou sans doute encore plus quand sa main se pose sur ma joue pour venir attirer mon visage près du siens et pour que nos lèvres se rencontrent l’espace d’une fraction de seconde. Toujours est il que je réalise très bien que je suis incapable de contrôler quoi que se soit de ce qui se passe. Et encore moins les battements de mon coeur qui ne se calme pas même si il s’est éloigné de moi, et qu’il a disparut de mon champ de vision. J’ai vaguement entendu quand il m’a proposé le café, et je ne suis pas sûre d’avoir esquissé le moindre geste pour lui répondre.
Je suis complètement sonnée à vrai dire, mon cerveau tourne dans la semoule. Un tas d’idée contradictoire sont entrain de voler dans ma tête. Mais c’est sans parler du sentiments qui me chatouille encore l’estomac. On est très loin de ce qu’il s’est passé lors de la dernière soirée avec Andrew, de penser à ça me ramène au fait que je suis mariée… Et je dois avouer que d’un seul coup je suis emplie de déception. Je ne dois pas rêver à ce qui ne pourrait se passer, mais ce serait mentir que de dire que je repousserais Kevin si il revenait à la charge et décidait de m’embrasser encore une fois.

Pour reprendre mes idées je décide donc de vaquer dans l’appartement, et je commence par ouvrir une porte entrouverte (je tombe sur la salle de bain). Finalement j’en ouvre une autre après celle là, et je tombe sur la chambre à coucher de Kevin. Un frisson me parcours, et je décide que c’est une très mauvaise idée de m’attarder à regarder ce genre d’endroit.
Alors que je me détourne je me retrouve face à un Kevin visiblement alarmé. J’aimerais reculé, mais ça signifierais rentrer dans la chambre, et là tout de suite ça ne me semble pas une idée géniale, je suis dans un état trop indéfinis pour le moment. La meilleure défense que je connais encore dans ce genre de situation est de ne pas perdre la face et donc je décide de reprendre mes esprits contre mon gré.
« -Je me suis permise de continuer la visite seule puisque je suis venue pour parler décoration. »
Je lui accorde un sourire, et me soustrait à son aura qui me perturbe beaucoup trop maintenant. Du fait je continue mon inspection fictive tout en tentant de reprendre mes esprits.

Mon coeur c’est légèrement calmé du fait que Kevin ne soit plus si proche de moi, et j’arrive de nouveau à connecter deux idées ensemble. Du fait je repense à ce qu’il s’est dit avant, et je me demande si ça lui arrive souvent de faire ce genre de chose… Je me raidis légèrement à ce genre de pensées, je suis assez naïve en temps normal et je n’aime pas me faire avoir.
Finalement n’ayant plus rien d’autre à découvrir je décide d’aller m’asseoir sur le canapé. Je croise mes jambes et pose mes mains sur mes genoux.
Kevin apporte le café, et je prends la tasse avec un merci et un nouveau sourire. Dire que je me sens prise au piège ne reflètent pas la vérité car je ne pousserais pas le vice aussi loin. Cependant je dois avouer qu'il y a des choses que j'ai envie de dire qui ne franchissent pas la barrière de mes lèvres car je ne sais comment formuler ce que j'ai en tête.
« -Bon à l'évidence ce n'est pas pour faire la visite que je suis venue... ? »

✻✻✻
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Kevin F. Tatcher
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Kevin F. Tatcher
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Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Empty
MessageSujet: Re: Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. Cet abject rebut de l'humanité mélangé dans un chaos de stupre et d'alcools. EmptyDim 2 Aoû - 19:00

J’étais sorti de chez moi, et me voilà de nouveau à l’appartement. Mais cette fois-ci, en très bonne compagnie. Elle n’est pas la première femme que je ramène chez moi, mais elle est bien la première à venir dans cet appartement. Elle est en quelque sorte une privilégiée, et elle devrait bien le prendre. Ce n’est pas rien d’être la première à voir mon nouveau chez-moi. L’appartement avait changé, mais j’avais essayé de garder la même décoration. Les filles l’avaient apprécié dans l’ancien appartement, alors pourquoi pas dans celui-ci. J’avais tout de même changé quelques meubles. Je ne voulais pas avoir l’impression d’être dans mon ancien appartement. Donc j’avais conduis cette jolie femme dans ce nouveau chez moi. Je voulais voir si mes changements pouvaient toujours plaire aux femmes. Donc oui, je l’avais amenée chez moi pour la décoration, mais pas que. Tout proche d’elle, je lui répondis « Je ne vous ai pas forcé à ce que je sache. Vous auriez pu dire non, et vous en allez. » Alors oui, je l’avais peut-être attirée ici, mais elle s’était laissée faire. Et je voulais le lui montrer. Peu importe ce qu’elle pourrait me dire, au fond, je suis sûr qu’elle est contente d’être ici. Ce n’est pas comme si je l’avais menacé pour qu’elle rentre chez moi. Enfin je ne crois pas que je l’ai fait. J’ai juste fait une proposition. Proposition qu’elle a acceptée en me suivant. Mais ce qu’elle n’avait surement pas accepté c’était ce doux baiser que je lui avais déposé sur ces lèvres. Et pour lui montrer que je ne voulais pas plus, ou du moins que je n’irais pas plus loin, j’allais dans la cuisine pour préparer ce café. Je ne voulais pas qu’elle pense que je l’avais emmené ici pour finaliser quoique ce soit avec elle. Non. Je profitais juste d’être seul avec moi pour l’embrasser doucement. Ne pouvant pas me le permettre dans la rue, au cas où son mari nous verrait, ou quelqu’un qu’elle connaitrait. Ce n’était qu’un baiser. Un petit bisou que se font les enfants. Ce n’était pas si grave que ça le paraissait, et pourtant je m’en cachais. Je ne pense pas que son mari apprécierait de savoir qu’un autre homme convoite sa femme. Alors que je vaguais à mes pensées, j’entendis ce bruit de porte. Un bruit qui me fit sursauter et qui me fit peur. Une frayeur pour rien, étant donné qu’elle était toujours là. A visiter. « Faites donc. » Et je retournais au café. Lorsque je revins, je vis la jeune femme assise dans mon canapé, à attendre. Je m’assis à ses côtés. Juste après avoir pris sa tasse, elle me demanda indirectement ce qu’elle était venue faire ici. « A votre avis, pourquoi êtes-vous venues ? » Lui demandais-je très gentiment, avec ce sourire charmeur sur le visage. Je posais ma tasse sur ma table basse, et ma main vint se poser sur sa jambe. « Je suis désolé si je vous ai mise mal à l’aise tout à l’heure. » Ma main, qui jusque-là était sur sa jambe, vint se déposer sur sa joue, de nouveau. Pour ensuite venir se déposer sur ses lèvres. « C’est que ces lèvres m’ont appelé… Ainsi que tout chez vous. » J’attendis qu’elle finit avec sa gorgée de café, pour me rapprocher de nouveau d’elle. Ma main se baladait maintenant dans ses longs cheveux blonds, et alors que mes lèvres se trouvaient à un seul petit centimètre des siennes, je lui dis. « Dites-moi si vous ne voulez pas. » Au diable le mari. Je ne connais pas leur relation. Ils sont peut-être dans une relation libre. Ce qui me plairait fortement. Mon visage se rapprochait dangereusement de celui d’Alice. Jusqu’à ce que mes lèvres touchent de nouveau les siennes. Mais cette fois-ci, le baiser en était un vrai. Il n’y avait pas que nos lèvres qui entraient en jeu. Non. Nos langues jouaient aussi le jeu. Je me stoppais alors net d’un coup. « Je vous promets que je ne vous ai pas amené ici, pour ça. Enfin… j’en ai envie depuis la première fois que je vous ai vu. Seulement je n’ai jamais osé faire ce pas envers vous… Pour plusieurs raisons. » Je la regardais, pour qu’elle puisse apercevoir la sincérité dans mon regard. « On peut se tutoyer, Alice ? »
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