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SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ?

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? - Page 4 EmptyDim 25 Aoû - 16:44

Après m'être libéré plus par chance que par réelle maîtrise, je cours aussi vite que je peux pour m'enfuir de ce bâtiment et retrouver l'air libre. Des témoins. Il me faut absolument des témoins. Ce que j'ai mal calculé, c'était l'agencement du bâtiment dans lequel cette cinglée m'avait traîné… Non, Kenzo n'a pas un sens de l'orientation hors du commun dans ce genre d'environnement. Lâchez-moi en pleine nature et là, Robinson Crusoé n'a qu'à bien se tenir. Par contre, dans un environnement urbain que je n'ai pas encore eu pleinement le temps de maîtriser, c'est la catastrophe intégrale. Un aveugle s'y retrouverait plus rapidement, c'est dire. Au terme de nombreux détours certainement tous plus inutiles les uns que les autres, j'aperçois une porte de secours que j'ouvre à la volée pour me jeter à l'extérieur. En revanche, se faire réceptionner par un type apparemment taillé pour le corps à corps, c'est loin d'être une partie de plaisir. Je regarde Joe Shark s'éloigner en courant après qu'il m'ait maîtrisé sans difficulté – un coup pour l'égo, moi qui me pensais suffisamment costaud pour tenir tête à des types dans son genre – je suis réceptionné par mon oncle qui s'agenouille près de moi avec sa sympathie poussée à l'extrême. Si, apparemment, c'est possible : on ne dit pas "mon bébé" à un jeune homme de vingt-et-un ans si on n'a pas un tant soit peu de sang de Bisounours dans les veines. "Mais je ne suis pas un bébé, je peux me… aïe… débrouiller…" Certes, j'ai connu pire comme accident. Un boulet maladroit de ma trempe s'est déjà cassé bien des choses avant d'en arriver là, mais je sens une douleur un peu au-dessus de l'abdomen qui pourrait me faire penser que Noah n'a pas tout à fait tort. En relevant la tête, j'aperçois une chevelure blonde que je connais parfaitement. Presley. "Quoi ?! Mais c'est… comment elle a…? Mais enfin, j'lui ai rien fait !" Enfin, pas que je me souvienne. Sur l'instant, je suis stupéfait et en pleine réflexion sur ce qui pourrait me faire penser qu'elle aurait suffisamment de choses à me reprocher pour m'asphyxier et me kidnapper. C'est qu'il faut de la volonté pour qu'un si petit bout de femme me traîne sur une si grande distance ! Néanmoins, tout change lorsque j'aperçois qu'elle tient une arme posée sur la tempe de Meleya. Mes yeux s'écarquillent, mon cœur se met à battre à toute vitesse, mes mains deviennent moites. Non. Non, pas ma Meleya. Pas elle. Elle est beaucoup trop gentille pour qu'on la menace. La peur m'envahit de plus en plus dès lors que le visage de Meleya laisse apparaître des crispations forcément liées à sa grossesse vu la position de ses mains. J'étais là quand on lui a annoncé qu'elle était enceinte, j'ai même été le premier à le savoir. Même si j'ai une peur panique des bébés vu ma maladresse redoutable, je m'étais promis intérieurement de l'aider autant que je pourrais depuis la disparition de son mari. Meleya, c'est un peu cette fille fragile et si parfaite que j'ai juré de protéger et de garder à mes côtés quoiqu'il arrive. "Presley, laisses… aïe…" Impossible de me lever, j'ai vraiment mal au niveau des côtes. Mon regard noisette glisse de Meleya à mon père, arme en main. Où il l'a trouvée, cette arme ? Et Joe aussi ? Pourtant, lorsque j'arrive à capter le regard bleu acier de William, je me fais presque suppliant. Je ne veux pas qu'il arrive quelque chose à Meleya. L'Epsilon de l'autre jour s'approche de Presley, m'apprenant au passage qu'il est son frère à en croire ses paroles... et j'espère qu'il va parvenir à la convaincre afin que Joe et William puisse entrer en action sans faire le moindre mal à qui que ce soit. Pour mettre fin à ce cauchemar.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? - Page 4 EmptyLun 26 Aoû - 19:00


Quinn ne sembla pas apprécier les rats. Une chose qu’Aengus pouvait largement comprendre. Pourtant, les petits rongeurs n’éveillaient aucun ressentiment chez elle. Au contraire, ils avaient l’air de grosses peluches. Peut être adopterait elle l’un d’eux ou un plus propre et domestiqué. Si jamais elle se faisait mordre, la douleur l’énerverait et une infection lui pendait au nez. La poisse la poursuivait. Parfois, elle se croyait maudite ou quelque chose du même ordre. Alors qu’elle s’apprêtait à faire une nouvelle blague avec sa lampe de poche, une main s’abattit sur son poignet.

« Hey ! » S’écria t elle scandalisée, prête à cogner.

Tony, de son côté, avait attrapé la lampe torche d’Aengus pour la braquer en direction de la sortie. Peut être qu’il avait encore plus peur des rats que Quinn, elle-même, ou alors les plaisanteries d’Aengus lui tapaient sur le système. Tout était possible. Affirmant qu’il n’y avait rien ici et qu’il était temps de sortir avant qu’Aengus ne rende dingue avec ses farces stupide, il embarqua sa petite amie.

« Hey ! Mais attend ! Quinny ! »

Et voilà, au passage, une main attrapa celle de Quinn pour être sûre de ne pas la perdre. Elle se fit douce dans le geste, juste pour l’inciter à suivre le mouvement et non l’embarquer comme un wagon de marchandise. Imaginez qu’elle disparaisse à son tour ! Non merci. Jamais Aengus ne pourrait supporter l’idée que Quinn souffre parce qu’elle l’avait laissé derrière.

« On dirait que Tony a plus peur des rats que toi Quinny ! » Pouffa Aengus en tentant de dégager son bras de l’emprise de Tony. « A A A la queuelele ! » Chantonna t elle, forçant le trait pour faire autant de bruit possible et chanter aussi faux qu’elle ne le pourrait. Discrétion garantie avec Blondie !

Pourtant, son petit côté taquin caché une fureur grandissante. Qu’il la lâche merde ! Ce mec devait avoir trop fait de musculation. Sa matière grise avait probablement migrée dans ses muscles. Parfois, la blonde s’interrogeait sur la présence de cerveau dans la tête de son tendre petit ami.  Heureusement que son autre main tenait Quinn ou Aengus aurait déjà collé son poing dans les flancs de Tony.

Lorsque la lumière envahi ses petits yeux, la blonde plissa le nez. Mais pourquoi le soleil brillait ? Alors que tous semblaient plus ou moins fuir les lieux, la cours, Aengus resta un moment sans comprendre. Homme armé un, homme armé deux, type qui parle à une fille qui tient une autre fille en cloque, un gars blessé, Noah…tient toujours où il ne faut pas celui là… Et aussitôt, son sang ne fit qu’un tour. Qu’est ce qu’il se passait ? Sans chercher à voir plus loin, Aengus se plaça instinctivement devant Quinny en la poussant doucement pour retourner à l’intérieur. Hors de question de se prendre une balle perdue ! Pourtant, Tony, cet idiot, avait refermé la porte. Impossible de faire marche arrière, la porte ne s’ouvrait que de l’intérieur. Autant longer les murs.

« Ca pu sévère ici. » Murmura Aengus en jetant un coup d’œil à Quinny puis Tony. Heureusement qu'ils n'étaient pas tombés en plein milieu! On pouvait toujours ne pas les voir! « On ferait mieux de se barrer avant qu’il nous arrive un truc. »

Ou que Quinny assiste à un spectacle trop traumatisant. Quelqu’un finirait blessé, enfin, il y avait des chances.  Alors qu’elle avait fait un vacarme d’enfer, Aengus tentait maintenant de se faire toute petite.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? - Page 4 EmptyMar 27 Aoû - 20:59


. presley f. eynsford-lewis : i can be a freak everyday of every weeks .

Tenant son arme à la main, Presley ne savait plus vraiment où donner de la tête. Elle n’avait pas vraiment prévu de faire du mal à qui que ce soit. Riley avait été trop loin et l’accident était vite arrivé. Il est vrai qu’elle aurait pu appeler la police et les pompiers. Mais elle avait préféré fuir et passer à autre chose. Elle n’avait plus pris ses cachets depuis bientôt quatre mois. Un traitement ? Pas n’importe lequel. Presley a été diagnostiquée bipolaire, il y a maintenant un an avant même son arrivée à Berkeley. Seulement personne n’était au courant pas même son frère. Mais maintenant, elle ne pourra plus le cacher à personne. Toujours avec Meleya sous le bras elle se demandait encore ce qu’elle allait faire d’elle. Allait-elle lui tirer dessus ou pas, elle n’en n’avait pas forcément envie mais si quelqu’un s’approchait d’elle de trop près, elle se sentirait obligée de le faire. Elle ne veut pas aller en prison. Surtout pas à son âge. Elle voyait Joe s’approcher d’elle et elle resserrait son étreinte d’autant plus. « Je vous ai dit ne pas approcher. » Presley commençait à trembler et de voir Joe ne la mettait pas plus à l’aise, bien au contraire. Elle se sentait cernée. Comme prise au piège à son propre jeu. Elle avait envie de tirer sur Joe pour qu’il arrête d’avancer. « J’ai rien fais, c’est dans ma tête, on m’y a forcé, je n’avais pas le choix mais, mais je le voulais pas. » Sa voix devenait de plus en plus tremblante. Elle disait vrai, elle avait comme une deuxième personne en elle qui l’avait conseillé, syndrome de sa bipolarité. Elle entendit derrière elle une deuxième personne avec une arme et c’est en tournant légèrement la tête qu’elle aperçut l’autre homme armé, avec son arme braquée sur elle. Elle sera encore son coude et Meleya devait avoir de plus en plus de mal à respirer. Mais Presley en avait rien à faire pour le moment, elle ne pensait qu’à une seule chose : ne pas aller en prison. « Laissez-moi, je ne vous fais pas confiance. Vous allez m’emmener en prison, je le sais. Mais je n’ai rien fais, ce n’est pas moi, c’est cette voix. » Joe s’approchait de plus en plus et Presley ne tardait pas à paniquer encore et encore, elle pointa alors une nouvelle fois l’arme sur Joe et elle tira sans se poser aucune question. Tout le monde se mit à terre mais une chance pour eux la balle fit chou plan sur le sol. Joe s’arrêta net, et Presley pointa à nouveau son arme sur Meleya. Son regard rempli de colère changea du tout au tout quand Adriel arriva près d’elle. Elle se radoucit alors aussitôt. Son frère avait cet avantage sur elle … elle se sentait protégée et en sécurité. La douce Presley fit alors son apparition, elle ne lâchait pas Meleya mais elle avait déjà un peu plus desserré son étreinte autour de la jeune femme enceinte. « Adriel … je ne sais pas ce qu’il m’arrive, je ne sais pas pourquoi j’ai fait tout ça. » Consciente que son frère l’aidera, elle n’allait rien lui cacher de son état. Il lui demandait de lâcher Meleya mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait pas prendre ce risque. Si jamais elle la lâchait elle irait directement avec les deux inspecteurs et elle ne reverrait plus jamais son frère. « Adriel je ne peux pas la lâcher. » Elle resserra de nouveau son étreinte sur Meleya et elle pointa alors son arme de nouveau sur sa tête. Elle ne la lâcherait pas, à moins que ce soit sur qu’elle n’aille pas en prison. « Si jamais je la lâche, que je la libère ils vont m’emmener en prison, tu le sais. » Adriel s’approchait de plus en plus, elle voulait tirer, mais elle n’arrivait pas à s’y résoudre. Cette petite voix dans sa tête la forcait à tirer mais le reste de son esprit encore saint ne pouvait pas le faire. Tirer sur Adriel cela lui semblait impossible. C’est délicatement qu’il arriva encore et retira Melaya de l’étreinte de Presley. Il voulait à présent son arme et Presley maintenant tremblait de tout son être. C’est la main tremblante qu’elle lâcha alors l’arme à terre. Elle s’approcha alors aussitôt d’Adriel pour se glisser dans une étreinte presque forcée pour ne pas qu’on l’emmène. « Ne les laisse pas m’emmener Adriel je t’en supplie. J’ai besoin d’aide, pas de prison s’il te plait. » Elle ne voulait regarder personne, la tête sur le torse de l’epsilon, elle y resta planquée, elle sentait le monde s’agiter autour d’eux. Elle savait qu’ils l’emmèneraient, ils ne pouvaient pas faire autrement mais elle ne le voulait pas. Elle resterait accrochée à Adriel coûte que coûte.
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? SUJET COMMUN ▶ Quand va-t-il s'arrêter ? Quand arrivera-t-on à le démasquer ? - Page 4 EmptyMer 28 Aoû - 18:36



    Qu'est-ce que Davy peut lui taper sur le système là maintenant …  Se mêler aux omegas et boire comme un trou alors que la veille elle s'est fait tabassée, s'est retrouvée à l'hôpital et donc a été gavé de médicaments, mais non, bien sur, il faut qu'elle mélange alcool et médicaments, comme si ce n'était pas grave. Cela le rends fou de la voir se comporter de cette manière, si inconsciemment. Elle pourrait aggraver son état avec ces conneries mais apparemment, cela ne semble pas l'affecter. De surcroit, elle ose dire que cela pourrait être cool qu'elle soit morte et là, en ce moment précis, il n'a qu'une envie Wren, la secouer, l'étrangler même tellement elle l'agace. « Davy arrête de sortir des conneries plus grosse que toi veux-tu ! » Pas de Jones, pas de petit surnom affectif en ce moment même. Elle l'agace bien trop pour qu'il arrive à être gentil avec elle. Pourtant, c'est Wren, le gros nounours, le bisounours niais, le sauveur, mais non, il n'arrive pas à cet instant précis à être doux avec elle. « Davy je te jure, je vais t'enterrer moi-même si tu continues à sortir de grosses conneries et t'auras ma dépression sur la conscience, même pendant que tu seras au paradis, ou en  enfer peut-être, ça ne m'étonnerait même pas. » Il est méchant Wren, il en a conscience mais il s'en fout si ça peut permettre à Davy de réaliser les conneries qu'elle peut sortir. Et puis, de toute manière, l'alpha le sait pertinemment, Wren ne pourrait jamais lui faire du mal, du moins, pas intentionnellement, pas comme la dernière fois à Londres. Pourtant, il n'a pas le temps de réagir, que Davy décide d'appliquer sa règle du You Only Live Once, plaque fermement ses deux mains sur ses joues, avant de poser ses lèvres sur les siennes, avec force, avant de se retirer et de rire comme une bécasse. Sur le moment, Wren reste bouche bée, sans savoir quoi dire, sans savoir comment réagir. En même temps, ce n'est pas tous les jours qu'une demoiselle décide de l'embrasser comme ça, de surcroit quand quelques jours auparavant elle était prête à lui en coller une dans la  tronche. «Décidément, Davy Jones Lancaster, vous est une demoiselle pleine de surprises! » Il préfère en rigoler, et surtout, cela lui fait plaisir de voir qu'elle pense à autre chose que s'enfiler une bouteille de Vodka mélangé à une boite de Xanax. Mais pour lui, ce n'est pas suffisant, et il veut éloigner sa Jones de toutes ces tentations. Il l'attrape comme une princesse et l'embarque bien loin de tous ces alcoolos d'oméga. Cela n'empêche pas Davy de délirer encore une fois. « T'inquiètes pas pour ça va, tes seins je les verrai un jour Jones, mais pas dans la rue, pas comme ça !» Il se rends compte que Jones, il l'apprécie bien plus qu'auparavant, et il se dit que s'il doit voir son amie dénudée, ce ne serait certainement pas dans ces conditions, no way. Mais un bruit les dérange derrière, un bruit qui inquiète le jeune iota vu les emmerdes qui les poursuivent ce moment. Il n'en faut pas plus à Davy pour agiter les buissons à la recherche de ce bruit, ce qui a le don de faire exorbiter les yeux du iota. Comment ne peut-elle pas être consciente des risques qu'elle prends? C'est alors que surprise, un jeune couple s'enfuit en courant, à moitié nu, l'excitation encore bien apparente sur eux. Il secoue la tête d'un air désespéré de voir que certaines personnes n'ont absolument aucune gêne, aucun soucis à agir de la sorte. C'est alors que Davy se pose face à lui et le regarde d'un air absolument sérieux, air qui détonne totalement de l'humeur du jour de la demoiselle. Et là, Wren se mort les lèvres pour ne pas rire, pour ne pas foutre en l'air le sérieux de Davy mais cela se révèle très dur. Et puis merde, autant rentrer dans son jeu. Il prends les mains de la jeune femme dans les siennes, et plonge son regard dans celui de l'alpha. « Tu as un énorme chapeau haut de forme qui vient d'apparaître comme par magie. Ca tombe bien, c'est le chapeau des magiciens. Allez, avoue tu m'as caché faire partie de la famille de Houdini hein ! » Il dit ça lui aussi avec le plus grand sérieux dont il est capable avant d'exploser de rire, presque à s'en tordre les côtes tellement Davy le fait rire. « Faut que tu me dises quelle drogue t'as pris, c'est de la bonne Jones !» Il sait qu'il risque de se prendre une claque sur la tête pour s'être moqué d'elle mais c'est de sa faute avec ses conneries grosses comme le monde. Il a encore envie d'en rire un bon coup, mais il entends un coup de feu, et un attroupement de personnes se fait à une centaine de mètres d'eux. Sa raison lui dit de rester ici afin de protéger Davy, mais cette dernière, intriguée et surtout shootée aux médicaments décide de suivre le bruit qu'elle a entendu. Aujourd'hui Davy, elle est comme les enfants. Elle s'intéresse à un truc mais dès que quelque chose d'autre de plus intéressant se présente à elle, elle oublie le reste et fonce, peut importe ce que cela pourrait lui coûter. Il n'a pas le temps de dire ouf qu'elle est déjà bien devant lui, à croire que l'alcool lui donne des ailes ou une vitesse de ninja. Il court presque pour la rattraper et finalement, ils arrivent vers l'origine du bruit, ce qui lui glace le sang. Une jeune femme hurle, un pistolet pointé sur la tempe d'une autre, enceinte qui plus est, qu'il reconnait comme étant la doyenne des alphas, la fameuse doyenne alpha que Davy disait ne pouvoir louper tellement son gros bide se voyait. Attrapant Davy par la main avant qu'elle ne fasse un geste de trop, il l'attire vers lui et l'encercle de ses bras, évitant ainsi qu'elle ne s'échappe une fois de plus. « S'il te plait Jones, ne fais pas de conneries, reste collée à moi !» qu'il lui murmure doucement à l'oreille, presque d'un ton suppliant.

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Le lieu dans lequel nous nous trouvions ne m'inspirait rien de positif, suscitant des angoisses périlleuses et arquées qui provoquaient un braquement de mes muscles. Je me demandais encore ce qui avait fait pour que j'accepte de venir ici, sans doute l'inconscience, cette partie de moi qui m'abritait éternellement, me faisant parcourir le danger comme lorsque mes jambes parcourent les rues désertes mais sécurisées du centre ville. Cet endroit offrait peu de luminosité, assaillit par l'ombre, laissant mon esprit se concentrer sur un seul désir : sortir de ce trou noir effrayant. Ses désirs ne semblaient pas être uniques, ils semblaient même tout partagés, notamment par le petit ami de Gus. Cette situation devenait à la fois rassurante mais bien plus puissante en matière de noircir les faits. Si les hommes craignaient également quelque chose, tout devait être destiné au néant. La réalité ne concordait pas avec les disneys, je le savais plus ou moins, mais je me mentais à moi même, désirant faire perdurer ce rêve qui s'opposait à la vie cruelle. L'homme de la situation, expression bien ironique, saisissait la main de Gus qui au passage tentait de me saisir afin d'éviter sans doute une perte supplémentaire. Compter sur les mâles? Un mensonge quand je percevais la situation présente, qui d'ailleurs ne pouvait être que commenté par mes lèvres.   « Mais quel homme tu fais ! Je ne demande même pas à savoir comment tu aurais réagis si nous avions eu des ennuis. » Je ne déclarais pas cela pour faire part d'une quelconque méchanceté, je disais simplement le fond de ma pensée qui avait clairement fait ressentir son besoin d'exister en tant que plaisanterie plus ou moins nette. Seulement, elle laissait bien mûrir l'avenir qui aurait pu être une éventualité, les deux jeunes filles dans l'obligation de se défendre par leur propre moyen. Le cauchemar et ses compléments se dissipaient peu à peu, au fur et à mesure que la lumière s'intensifiait, abîmant mes yeux qui devenaient soudainement très sensibles à la lumière du jour. La tranquillité angoissante devenait un vacarme général ahurissant, concrétisant l'action que mon esprit était loin d'alimenter. Le spectacle actuel laissait des frissons dans le dos. Deux hommes armés semblant être en conflit avec une blonde armée elle aussi, ayant prit dans ses bras une Alpha, et tout cela ressemblait à n'importe quelle situation, sauf une étreinte amicale. Gus ne fit qu'un tour avant de foncer droit vers l'endroit qu'ils venaient de quitter, et deviner son angoisse n'était pas une peine perdue. Étrangement, je me sentais davantage à mon aise à l'air libre que dans ce semblant de caniveau, quand bien même le danger semblait plus certain à la surface. Mes yeux observaient la scène avec attention, laissant une fois de plus mon inconscience me dominer, s'opposant avec la paranoïa de Gus. « Je crois que tout est terminé en fait Gus. » Cette phrase était double, elle signalait non seulement que l'épisode auquel nous venions d'assister venait d'être clos, mais cela annonçait également l'arrêt de cette peur constante, l'arrêt de la coupable, l'arrêt de la meurtrière. L'histoire venait d'être fini, et pour une fois, ma poisse ne semblait pas être présente, et ce, même à la perception de ce cher Kenzo.
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corbeille
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