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SUJET COMMUN • suck me, beautiful

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyMer 25 Juil - 14:55







Voilà il fallait que j’aille avec Max dans ce nouveau lieu, l’hôtel où se trouvait les participants, je ne savais pas que je trouverais des personnes que je n’avais pas vu depuis longtemps. Après la course poursuite avec Max et son fils dans les rues de la ville. Je me souvenais encore des soucis avec la police et de toute la paperasse qu’on avait dû faire pour réussir à sortir de toute cette pagaille. Je me disais aussi que pour une fois, je me souviendrais donc de cette fameuse réunion qui risquerait donc de me rendre encore plus dingue. Il y avait dans cette folie, une petite chose qui me disait que je devais aussi faire un effort. Je me rappelais que j’étais donc venue avec le but de trouver encore des personnes pour papoter de ce qu’ils sont devenus. Enfin, en passant l’entrée ; je me retrouvais devant l’organisateur puis je l’entendais me demander.

- « Veuillez prendre votre prénom et le mettre sur votre chemise. »

Le prenant, je l’accrochais et donc, je sentais qu’il était nécessaire pour moi de ne pas le perdre. Ayant donc encore une petite chose à faire, je souriais tout en signant le livre pour dire que j’étais venue à la petite réception. Tout en avançant dans les pièces, je voyais qu’il y avait des anciens élèves avec leurs marmots. Regardant tout cela attentivement, je réalisais que pour ma part, je n’avais pas encore eu l’intention de le faire. Et tout simplement parce que je ne voyais pas comment faire le truc sans m’attacher à une personne. Entendant le monde qui se trouvait là, je me demandais bien si je reverrais les gens que j’avais connus avant. Seulement pour ma part, je n’avais pas encore vu tout le monde, je désirais juste voir s’il y avait encore un ancien étudiant. Mais bon, pour la simple bonne raison que je ne voulais pas les voir de suite, je me concentrais sur le reste.

La salle était grande, je constatais qu’il y avait pleins de monde. Regardant autour de moi, je remarquais aussi que la musique était douce et agréable. Ensuite, je prenais donc place à une table, je ne savais pas s’il était possible de manger un peu. Voyant qu’il y avait un petit peu de chips sur la table, j’en grignotais en espérant voir encore une personne. Mais bon pour ma part, je me rendais compte que cela n’était pas finalement une bonne idée d’être venue. Puis c’est à ce moment-là que le journaliste et venue vers moi. Ne voulant pas le voir, je faisais mine que je ne l’avais pas vu. Après une minute ou deux, je l’entendais me demander une question.

- « Mlle Kobayashi, vous allez sortir un nouvel album ? »
- « Pour le moment cela n’est pas au programme. »
- « Aux dernières nouvelles votre père est toujours ambassadeur, à la dernière réception, vous avez joué remarquablement bien au piano. Comptez-vous en faire une composition ? »
- « Comme vous l’ait dit plus haut, pour le moment, cela n’est pas au programme. »
- « Il y a un piano ici, est-ce que vous nous ferez le plaisir d’en jouer ? »
- « Oui si c’est vous qui payez. »

Le regardant se décomposer sur sa chaise, il se levait donc dépité de constater que je ne céderais pas. Souriant triomphante de ma mauvaise humeur, je regardais la pendule. Pourquoi être venue après un si long trajet ? Je devais avoir un grain de folie…. Puis tournant la chaise, je voyais les gens papoter, je me disais qu’il était bien pour moi de les observer, puis la feuille indiquant les gens me donneraient des indications si l’une d’entre elles vient à la table.


© Kimiko


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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyVen 27 Juil - 15:20


are you living your dream ? I honestly had to think.
zachariah la tour dubois & tyler resse w.-sinclair.
Les prunelles fixaient sur l’asphalte, elle observait la route se faire engloutir sous les roues de la voiture, silencieuse depuis que le moteur avait été mis en route par Zachariah. Visiblement concentré sur sa conduite, elle n'osait même pas tourner son regard bleu vers lui et l'honorer d'un semblant de causette. Elle sentait qu'ils s'éloignaient de jour en jour mais elle demeurait parfaite spectatrice, indifférente à la crise qu'ils traversaient, ou plutôt qu'elle leur faisait traverser. Le désir de voir un jour une petite blonde au regard azur ou un petit ange qui aurait les mêmes talents musicaux que son père la consumée chaque jour un peu plus, la forçant à se replier sur elle-même davantage. « Tu penses qu'il y aura du monde ? », demanda-t-elle d'une voix absente, les iris contemplant les maisons familières qui bordaient la route, rafraîchissant sa mémoire sur ses souvenirs étudiants. Cette époque lui semblait tellement plus simple, une ère avec peu de responsabilités et peu d'angoisse, à l'époque, elle se rappelait rêver souvent mais à présent ses nuits étaient envahies de cauchemar. Mais dix ans la séparaient de ses années insouciantes, depuis elle avait fini par perdre sa bonne humeur légendaire qui l'habitait pour chaque occasion, tout était devenu trop sérieux à son goût, autant professionnellement que sur le plan de sa vie privée. La voiture tourna sur sa droite et elle sut que les façades berkeléenne apparaîtraient au prochain tournant, renfermant les visages de sa promotion, vieillis d'une dizaine d'années, tous s'obligeant à sourire pour faire bonne figure et certains pressés d'épater la galerie. « Ça fait longtemps que je n'ai pas vu Calypso.. ». Quelques mails échangés, quelques conversations téléphoniques brèves, elle était en grande partie la raison de sa venue ici malgré la distance qui n'avait fini de se creuser depuis qu'elles avaient été séparées par madame Brightside, sa mère adoptive. Toutefois elle restait la seule personne présente pour qui elle ferait l'effort de sourire. Elle n'aimait pas voir le grand monde ces temps-ci et préférait se rapprocher de ses soeurs, d'ailleurs, Micah était restée à Rome à son grand déplaisir, elle avait pris l'habitude de se reposer sur ses épaules. « Oh.. Tu as vu toutes ces caméras ? Je ne pensais pas que les médias seraient si nombreux. », nota-t-elle d'une voix monotone alors que zachariah garait leur voiture de location. L'équipe médiatique accentua son malaise, elle n'avait pas la force de subir les questions des journalistes, surtout qu'elle n'était pas présente le jour du bal sanglant mais que son rôle s'était résumé à observer le corps universitaire en deuil pendant des mois. Pourtant toute cette technologie faisait parti de son paysage quotidien, en tant qu'ambassadrice, elle était une grande abonnée aux interviews politiques et aux assauts perpétuels des reporters. « Si on fait demi-tour maintenant, on pourrait encore attraper une séance de cinéma. », suggéra-t-elle en haussant les épaules, toujours sans le regarder. Se terrer dans une salle obscure et pouvoir rester silencieux pendant deux heures, le rêve ultime. « Excusez-moi. Vous pouvez rentrer par la porte qui est juste sur votre droite là-bas. C'est moins dangereux, une fille a été assommé par une perche-micro tout à l'heure. ». Elle se retourna et croisa un t-shirt noir avec une inscription « Chanel 8 Team » blanche trônant sur le torse de leur nouvel interlocuteur. Elle releva la tête pour découvrir le visage du geek par excellence, sûrement un des organisateurs de la réunion 2022 et par la même occasion, le héros qui arrivait comme une pirouette de rattrapage après ses dernières paroles. Une petite pensée pour la malheureuse victime, elle lui offrit son premier sourire de la journée, ou plutôt risette. « Merci pour l'info. ». Attrapant le bras de Zachariah au passage, elle l'entraîna sur la minuscule allée qui les menait à ladite porte, pressée de fuir le technicien qui était visiblement un grand bavard, capable de leur énumérer chaque diamètre de prise jack. Instantanément, elle reperdit son sourire une fois qu'ils firent volte-face et sa poigne se fit plus faible sur le bras de zachariah, comme si ses muscles étaient constitués de guimauve. « Allez, zouu dans la cage aux lions. ». La comparaison était on ne peut mieux choisi, à l'heure actuelle, elle ne savait pas comment se vendre et appréhendais toutes les questions que ses petits camarades pouvaient lui poser. Elle ne s’épanouissait plus professionnellement, son couple battait de l'aile et si certains malins avaient décidé de ramener leurs chérubins à cette réunion, un mouchoir ne serait pas du luxe.

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyVen 27 Juil - 16:26

SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 Tumblr_m6r0xdTOuA1qclilyo1_250 SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 Tumblr_m6r0xdTOuA1qclilyo2_250
SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 Tumblr_m6r0xdTOuA1qclilyo3_250 SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 Tumblr_m6r0xdTOuA1qclilyo4_250
IT'S HARD TO REMEMBER THE PEOPLE WE USED TO BE. IT'S EVEN HARDER TO PICTURE THAT YOU'RE NOT HERE NEXT TO ME.
Si l’on m’avait dit que moi, Damian San Mercury, je remettrais les pieds dans l’enceinte de Berkeley, je ne l’aurais pas cru. Et je suis à peu près certain que personne ne l’aurait cru, non plus. Ancien Iota devenu héros martyre, mort durant la fusillade du 14 février des années plus tôt, très peu de personnes pouvaient imaginer que j’étais encore bel et bien en vie, n’en déplaisent aux gens qui ne me portaient pas dans leur cœur. Même encore maintenant, alors que je venais d’enfiler mon plus beau costume et que mes cheveux ébouriffés étaient plus ou moins coiffés, j’hésitais toujours à rejoindre le cortège des anciens étudiants venus se donner en spectacle devant des caméras de télévision. C’était peut-être ça qui m’effrayait le plus, être scruté minutieusement par des dizaines de caméras une fois que l’on se serait rendu compte que j’étais toujours en vie, mais peut-être m’estimais-je trop important, peut-être que tout le monde se moquerait bien de me savoir toujours vivant. « Tu es prêt ? On va être en retard. Et coiffe tes cheveux, pour l’amour de dieu Damian, à chaque fois je suis obligée de te le dire ! » Un éclat de voix suivi d’un rire cristallin tandis que j’affichais une mine boudeuse auprès de ma compagne depuis déjà un moment, Beth. Une femme merveilleuse, qui avait su panser mes blessures au détour d’une rencontre anodine. Je tentai maladroitement de plaquer mes cheveux sur mon crâne, en priant pour que la gravité fasse son boulot et les empêche de se relever. Peine perdue. Ils se remirent automatiquement en place. Et puis merde, ça irait très bien comme ça. « Mais ils sont coiffés mes cheveux, je n’y peux rien s’ils n’en font qu’à leur tête ! » rétorquai-je tandis qu’elle roulait des yeux. Une dernière retouche à ma cravate pour la remettre bien droite et nous filions déjà en direction de mon ancienne université que j’avais quittée sans souvenirs, perdu et à l’article de la mort. Rapatrié en extrême urgence à Dublin, ma ville d’origine, où j’étais resté plusieurs mois dans le coma pour qu’à mon réveil je ne me souvienne même plus avoir remis les pieds à Berkeley deux mois seulement avant la fusillade. Pour moi, j’étais resté à Dublin. Mes parents avaient été évasifs concernant mon état, m’expliquant que j’avais été victime d’une fusillade sans jamais rentrer dans les détails. Après tout, j’étais un miraculé, c’était bien tout ce qui comptait. Dans le taxi nous conduisant à l’université, Beth prit ma main. Elle sentait que j’étais nerveux, ce qui ne m’arrivait que très rarement, prouvant bien que je n’étais pas tout à fait serein à l’idée de revenir là-bas, surtout maintenant que je savais à peu près tout ce qui s’était passé entre mon retour et le quatorze février grâce à une personne que j’avais décidément bien du mal à oublier. J’étais aussi inquiet par rapport à cela, elle serait là, c’était inévitable, la Petrov-Versier ne manquait jamais une occasion de se montrer. Prenant une profonde inspiration, j’adressai un sourire se voulant rassurant à Beth, qui me le rendit tout en restant silencieuse. Les flashs crépitaient de part et d’autre sur le chemin entre le taxi et les portes d’entrée, ce qui me confortait dans l’idée que c’était vraiment stupide de ma part d’être venu ici. « Il est encore temps de repartir si tu ne sens pas à l’aise… » commenta ma petite amie, toujours compatissante, sachant à quel point la situation était difficile pour moi. Et encore, elle n’était pas au courant du quart du tiers de mon inquiétude. Je serrai sa main d’autant plus fort. « Ca va aller, ne t’inquiètes pas. » L’espoir furtif que des souvenirs précis me reviendraient en tête à l’approche de Berkeley fut déçu. Pas une once de souvenir que je n’aie entendue de la bouche de Manon. Aucun souvenir propre à mon esprit. Whatever. « Bon et bien dans ce cas, c’est parti » fit-elle en souriant. Nous traversâmes l’allée tandis que j’apercevais ici et là des anciens étudiants, interviewés par les caméras. En mon for intérieur, je priais pour qu’on me laisse tranquille mais quelles étaient les chances pour que ça arrive… Et ça ne manqua pas, alors que nous allions franchir les portes, nous fûmes interrompus par un journaliste qui commença son florilège de questions, me demandant qui j’étais, si j’avais vécu la fusillade, comment j’avais réussi à me reconstruire, le tout sans reprendre son souffle. Du calme l’ami, ne va pas t’étouffer avec tes questions. « Je suis navré mais je n’ai aucun envie de vous répondre. Je vous souhaite une très bonne soirée. » répondis-je au journaliste apparemment très surpris que je n’aie pas envie de m’exhiber sous les caméras. Je mettais un point d’honneur à ce que ma vie privée le restât et comme je n’étais absolument pas célèbre, je n’avais donc rien à dire à cette horde d’enragés. Il me fallut quelques secondes pour que mes yeux s’habituent à la lumière des projecteurs partout dans la bibliothèque, décorée pour l’occasion. Cela me rappela immédiatement ce bal de fin d’année auquel j’avais participé dans la bibliothèque, des années plus tôt, avec Plum. Ironie du sort, c’était avec sa jumelle que j’entretenais une relation compliquée, tandis que je n’avais jamais eu aucune nouvelle de Plum une fois définitivement séparés. J’aperçus au loin un McFendders très en forme, prêt à se rendre ridicule encore une fois, pour changer, une Jacqueline qui n’avait pas changée, une La Tour Dubois qui d’après ce que je savais était au sommet de sa gloire et nulle trace de Manon. Si seulement cela pouvait continuer ainsi… J’attrapai deux coupes de champagne, et en tendit une à Beth qui devait se sentir probablement aussi mal à l’aise que moi au milieu de tous ces inconnus. Les deux paumés du quartier, en somme. Courage, fuyons, me dictait mon instinct. Et alors que nous nous avancions un peu plus loin dans la bibliothèque, je l’aperçus au loin, discutant avec je ne savais trop qui. La Petrov-Versier en chair et en os, probablement vêtue d’une robe de sa création. Avec un peu de chance elle ne m’apercevrait pas. Avec un peu de chance elle ne m’apercevrait pas. Avec un peu de chance elle… Et bah non, Dieu devait avoir décidé qu’aujourd’hui ça ne serait pas mon jour de chance et nos regards se croisèrent avant que je ne détourne vivement le mien. Le cœur battant, je commençais à entamer une discussion avec Beth pour masquer mon embarras, en espérant pour ma raison que cet échange de regard soit le premier et le dernier de la soirée, et en priant pour que ce ne soit pas le cas.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyDim 29 Juil - 13:08

❝Every radio round the world know me 'Cause that's where I be. I am a Diva.❞ Confortablement installée sur une table avec, de fabuleux draps en soie, moi la grande Camélia Peerson-Barckley plus connu sous le nom de Camélia Pelizza Da Volpedo je profitais de mon instant de plaisir de la semaine, sentant ces mains douce et ferme se baladant le long de mon dos, mes yeux fermées je ne pensais pas un seule instant à cette fameuse réunion de mon université. Les retrouvailles, dix ans après, je n’avais pas vraiment envie d’y aller, mais en même temps j’avais envie de faire profiter tout le monde de mon bonheur et de ma pure réussite en tant qu’actrice à succès. Succès ? Que dis-je de mon immense popularité grandissante de jours en jours. Après avoir été diplômé en droit de l’université de Berkeley High School, je m’étais directement inscrite dans une grande école d’art de la comédie, nommé les cours Florent à Paris j’ai donc vécu prés de un an à Paris partager entre mes cours et mon travaille d’avocate à temps plein dans un petit cabinet très peu connu. Après un an de pur plaisir, je reçu une offre d’emploi que je ne pouvais refuser. Devenir la collaboratrice du grand cabinet nommé Lewis & Miller. Offre reçu et accepté, Camélia fait ses bagages disent au revoir à personne et s’envole pour New York bitch. Seule elle s’en alla rejoindre celui qui était cher à son cœur, le grand et fabuleux Augusto. Le temps passe et les choses changent. Je vivais maintenant auprès de ceux à qui j’accordais de l’importance. Aislynn Woobleforth, Manon Petrov-Versier, Adriel Eynsford-Baxter et bien entendu Augusto Pelizza Da Volpedo. Dix années plus tard, j’étais présente dans la crème de la very important person actrice à temps complet je ne passé pas deux rues sans qu’un paparazzi ne pointent le bout de son nez pour figer chaque instant de ma personne. Ayant l’habitude j’étais toujours très apprêter et prête à poser pour le bas peuple. Sournoisement je m’efforçais de lancé ce fameux regard et ce fameux profil qui m’embellissait plus qu’autre chose. Ma vie sentimentale avait aussi changé, j’étais mariée maintenant, mariée depuis cinq années avec celui qui m’avait tant fait rêver à l’université. Me faire rêver jusqu'à le haïr de toutes mes forces. Voilà que maintenant je m’étais retrouvé avec comme je l’appelle mon partenaire des grandes œuvres et accessoirement l’homme de ma vie monsieur Jayan Peerson-Barckley. Très avancé dans sa vie politique, nous étions connu tout les deux de la même manière mais pour des activités différentes. Les tabloïds américain raffoler de toutes nos sorties et nous étions même passé par-dessus le fameux couple d’Hollywood Brangelina. Sans vraiment le vouloir nous étions devenus un couple mythique. Notre petite merveille Farrah Jewel Peerson-Barckley était ma précieuse, ma plus belle et notre plus belle œuvre. Les magnifiques yeux bleus de papa accompagné de la chevelure brune fleurissante de maman donnaient un melting pot de beauté à couper le souffle. J’étais maintenant sortie de ma séance relaxation et j’étais prête a allait chercher ma robe spécialement créer pour l’occasion. Me rendant dans un des nombreux ateliers de la Petrov-Versier l’assistante me fit patienter moins de dix seconde pour me donner les deux robes que je tenais à aller chercher moi-même. Aujourd’hui exit toutes les autres marque, la plupart du temps mon seule et unique créateur se trouve être une amie chère a mon cœur. Création de robe unique en un seul exemplaire pour un personnage unique que je suis. Il était maintenant l’heure pour moi de partir à cette fameuse reunion. Limousine en bas du loft j’attrapa ma plus belle et pris mon mari par le bras pour qu’il puisse enfin lâcher son ordinateur qui lui servait d’outils de travail. Dans la voiture, Mon mari Jayan et moi parlions de toutes ceux que nous avions pas envie de revoir et de ce qui au contraire serait les bienvenue. Pour ma part ce que je voulais revoir je les vois déjà en tant normal donc cette réunion pour moi n’était qu’un étalage de bonheur auprès de tous ces étudiants qui n’avait donc rien réussi dans la vie. Sortant de la limousine, une armée de photographe nous attendais déjà devant l’entrée principale, c’est comme d’habitude la tête haute et un sourire radieux sur le visage que nous nous dirigeâmes vers l’entré du campus. Une fois à l’intérieur moi et ma petite famille allons directement vers mon autre famille à savoir monsieur Augusto Pelizza Da Volpedo. Un paquet en main, je fis une bise à mon frère et offris une bise a ses deux acolytes à ses cotés. « Bon Anniversaire Enzo, mais quand tu viendra chez moi, j’ai encore quelques paquet à te donner » lui dis-je à moitié hystérique, je lui donna un bisoux et repris la paroles pour tout le monde. « Bonsoir tout le monde. » je me tournis rapidement vers ma fille et la poussa vers Manon. « Tu n’a pas quelques chose à demandé a Tata Manon ? » mine boudeuse la beauté n’étais pas encore à son aise, j’allais donc m’en charger pour elle. « Elle veut une robe de princesse pour son anniversaire et bien entendu de ta création, si tu n’y vois pas d’inconvénient ? » Un sourire se dressa sur mon visage et mon téléphone vibra. Accompagné de plusieurs appelles en absence, j’ouvris un message envoyé quelques minutes plutôt par celle qui était en face de moi, et je pus voir avec tristesse que j’avais loupé un moment magique avec le petit McFendders quel dommage.
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Zachariah La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Zachariah La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyLun 30 Juil - 12:26


Les roues de la voiture de location glissaient sur le goudron parfaitement lisse de la route. Mes prunelles restaient coincées sur les kilomètres qui défilaient. Un silence de mort régnait dans l’habitacle du véhicule. Je ne parlais pas de peur de dire quelque chose qui déplairait à Tyler. Depuis des semaines (pour ne pas dire des mois), la communication entre nous deux était quasiment inexistante. Nous nous enfoncions de plus en plus et une mauvaise issue pour notre relation risquait d’être inévitable si nous ne parvenions pas à crever l’abcès qui nous bouffait la vie. Finalement Tyler qui s’était emmurée dans un mutisme profond prit la parole. Le ton qu’elle employait était morne et sans vie. Elle était bien loin le temps où la blondinette respirait la joie de vivre et où ses rires résonnaient à toute heure du jour. « Oui certainement. Certains viendront exposer leur réussite pour rabaisser leurs anciens camarades. Et d’autres viendront juste pour pouvoir passer à la télévision. » Quant à nous … Eh bien nous venions sans grand entrain. Notre but n’était pas d’être interrogé par une horde de journalistes tous plus friands les uns que les autres de scoop sur notre vie privée. Et nous n’avions pas comme projet de prouver aux yeux du monde que notre réussite professionnelle n’était plus à démontrer. Pour ma part, j’espérais juste pouvoir revoir quelques anciens compagnons de confrérie que j’avais perdu de vue au fil des années. Ma sœur devait être également présente avec son fils et j’avais hâte de voir la transformation de ce bébé en petit bonhomme qui court partout. Toutefois, je pressentais que la vision d’Enzo ne ravirait pas Tyler outre mesure. Nous n’avions pas d’enfant et pourtant ce n’était pas faute de ne pas en vouloir. Je ne l’avais pas prévenu de la présence de ma famille côté la tour dubois. D’ailleurs en parlant de famille, elle mit sur le tapis l’une de ses sœurs, Calypso. « Dans son dernier mail, elle t’a promis de faire une apparition ce soir. Tu la verras, j’en suis certain. » Et je croisais les doigts pour que Calypso soit effectivement de la partie. Peut-être qu’avec elle au moins, Tyler parviendrait à sourire durant quelques minutes avant de remettre son masque de tristesse. Ou alors, un miracle se produirait. Elle réussirait à passer une bonne soirée en la compagnie de la brune. « Tu sais si d’autres de tes amis seront également de la partie ? » Là encore, ce ne pourrait qu’être bénéfique pour Tyler. Quelques minutes plus tard, les pneus crissèrent sur les gravillons d’un parking où toutes les voitures des anciens étudiants de Berkeley étaient garées. Nous étions fin prêts pour pénétrer dans la bibliothèque, endroit où se déroulait la soirée des retrouvailles. Ou plutôt pour la soirée de commémoration du tragique accident qui avait eu lieu dix ans auparavant. A sa proposition, mes yeux se levèrent discrètement vers le ciel. Elle cherchait à s’enfuir pour ne pas avoir à affronter les autres. Je me plantais face à elle tout en la forçant à me regarder. « Tyler, je t’en prie, arrête de te ronger intérieurement. Essaye de profiter de la soirée, essayons de redevenir les insouciants que nous étions durant nos études. » J’étais prêt à poursuivre lorsqu’un organisateur, ou que sais-je, vint se mettre à nos côtés pour nous donner ses instructions. Agacé d’être interrompu de la sorte, je soupirais tout en le laissant blablater comme un âne. Tyler se chargea de le congédier rapidement et c’est bras dessus dessous que nous partîmes vers l’entrée. Glissant ma main dans le creux de ses reins, je murmurais doucement. « Tout va bien se passer. » Et je la poussais tranquillement vers la salle. J’entendis des petits pas se rapprocher de nous et une bouille ravissante s’arrêta devant nous. Voilà que mon Enzo s’accrochait à ma jambe. Souriant, je me penchais vers lui pour le prendre dans mes bras. Puis je sortis une boîte de la poche de mon pantalon de costume pour la lui tendre. « Joyeux anniversaire mon grand. Je t’ai acheté un cadeau. » Ravi, le gamin ouvrit la boîte et y découvrit une gourmette en or blanc avec son prénom de gravé dessus. Il me planta un bisou sur la joue et se tourna pour passer ses bras autour du cou de Tyler avant de lui faire un bisou aussi. Puis il repartit aussi vit pour montrer son acquisition à sa mère.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyMer 1 Aoû - 10:40


Tous venaient donc dans un but bien précis, briller plus fort que les autres et les éblouir. Elle modéra le soupir d'exaspération qui menaça de filtrer ses lèvres, sentant déjà les regards évaluateurs lui parcourir le dos alors qu'elle rêvait de se terrer dans l'obscurité. Le mot "abattue" écrit sur le front, les premiers ragots ne tarderaient pas a être murmurés et un journaliste pourrait même capturer son visage pour les tons dramatiques de son reportage. Pourtant elle ne dit rien, ne lui faisant pas part de ses appréhensions une fois la réunion atteinte et le laissant poursuivre sur le sujet Caypso. Elle misait tant sur son apparition, son visage émergeant parmi les autres constituerait sûrement sa plus grande joie de la soirée. Tapotant du doigt le rebord de la vitre en unique réponse, elle continuait de fixer la route d'un oeil sans vie, rendant le silence encore plus pesant. « Peut-être Meleya. Je n'ai pas eu de nouvelles des soeurs russes ni de Francesca. », répondit-elle sans certitude. A vrai dire, elle avait seulement envoyé quelques emails hier pour s'informer auprès des filles. Cela faisait trois semaines qu'elle n'avait pas répondu aux tentatives de Eden pour la joindre, et elle avait fini par envoyer paître Francesca pour vivre au mieux sa solitude, elle ne se reconnaissait plus. Les roues de la voiture enfin arrêtées, l'air libre lui fit du bien, la soulageant un peu de la pression qui lui confinait la poitrine. Mais elle savait qu'elle étoufferait à nouveau très bientôt, enfermée entre les murs de la bibliothèque. A contre coeur, elle dût plonger ses prunelles dans celles de Zachariah, feignant l'écouter alors que tout ses conseils se dissipaient déjà dans son esprit. Les insouciants d'avant, alors qu'elle savait qu'elle ne pourra jamais serrer dans ses bras une représentation miniature d'elle et de Zachariah. Toutefois, elle fut épargnée de toute réponse à fournir par un tiers qui leur donnèrent des instructions qu'elle s'empressa de suivre. Dernière parole rassurante du La Tour Dubois, avant de s'engouffrer dans la salle, qui la laissa dubitative. « Je ne sais pas. ». De toute manière en ce moment elle ne savait rien, elle ne vivait plus, elle subissait la vie, se laissant porter par le courant sans aucune forme de résistance. L'un des moments qu'elle redoutait tant finit par se présenter sous l'allure d'Enzo, le neveu de son cher et tendre. Une grande banane sur le visage, le petit Pelizza Da Volpedo fêtait son anniversaire, encore plus mignon et adorable que dans son souvenir et ravivant sa peine malgré lui. Essayant tant bien que mal de prendre exemple sur la petite bouille et de calquer son sourire, elle le laissa enfouir ses mains sous ses cheveux et lui donner une bise. « Bon anniversaire Enzo. Ce que tu as grandi depuis la dernière fois. ». Savant pertinemment que son ton n'était pas convaincant, elle le laissa repartir vers ses parents, oubliant de lui faire montrer son âge avec ses doigts ou une autre activité de ce genre. « Ça ne va pas du tout bien se passer. », dit-elle plutôt pour elle-même que celui qui l'écoutait. Il ne pouvait pas la comprendre, personne le pouvait, elle n'y arrivait tout simplement pas. Faire semblant, se réjouir des retrouvailles avec ses anciens camarades de classe alors qu'elle s'était enfermée dans un deuil et qu'elle n'en voyait pas le bout. Elle balaya la salle du regard, tout ce qu'elle voyait c'était des mômes à chaque recoin, même une femme enceinte là-bas sur sa droite. Qu'elle avait été idiote de venir, elle se sentait comme une personne affamée depuis trois semaines à qui on faisait comparaître sous les yeux un gros gâteau à la crème, le plus délicieux qui soit. Puis rien à faire de dramatiser, bien sûr qu'il y avait pire catastrophe dans la vie mais elle avait fini par devenir égoïste comme la nature l'avait été avec elle. « Enfin bon. Qui veux-tu aller voir en premier ? », demanda-t-elle avec un peu plus de froideur qu'elle ne l'aurait voulu. Fais ta petite tournée, moi je te suis, je sers des mains, je dis bonjour, et avec un peu de chance, on rentrera plus tôt. « En évitant les ex petites amies si tu veux bien. ». Voilà, elle en devenait désagréable et elle se maudirait en rentrant, culpabilisant sur les moments infernaux qu'elle lui faisait passer, oui c'est ça, elle était devenue infernale ces derniers mois et si on ne la stoppait pas, elle atteindrait le sommet de son art avant que les deuxièmes coupes de champagne ne soient servies. « L'avantage, c'est que je peux boire ça. ». Elle se servit sur un plateau à côté, menaçant de vider son verre d'un trait. Pas de bébé en route, alcool à gogo, il faut bien trouver une maigre consolation quelque part.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyMer 1 Aoû - 11:45

SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 270127963619TytyZach

THE WORLD WAS ON FIRE, NO ONE COULD SAVE ME BUT YOU. STRANGE WHAT DESIRE WILL MAKE FOOLISH PEOPLE DO.
Tandis que certains devaient sûrement considérer cette réunion comme un cauchemar les ramenant tout droit dix ans plus tôt, personnellement je trouvais que c’était une aubaine. Pouvoir mépriser les trois quart de la foule de mon regard glacial en constatant qu’ils n’avaient pas changé, n’avaient pas réussi, étaient toujours aussi misérables même dix ans après. « Dis, Cecil, tu me présenteras aux gens ? » Rien qu’à entendre sa voix mon corps tout entier se crispa, marquant mon exaspération certaine. Olivia, ma fiancée, une fille sortie de dieu seul savait où que j’utilisais simplement comme couverture pour qu’on me fiche une paix royale. Officiellement, Olivia et moi formions le couple parfait, éperdument amoureux. Officieusement… les contacts physiques entre nous étaient inexistants et je passais mon temps à la tromper à tour de bras avec n’importe quelle fille ne me dégoûtant pas. Déchéance pour celui qui à Berkeley était connu pour choisir ses proies avec sérieux. Mais enfin, ma carrière passait avant tout et surtout bien avant la gente féminine qui restait pour moi une énigme sur laquelle je n’avais pas envie de m’attarder. Se marier et avoir des gosses, c’était bon pour les romantiques en mal d’amour qui croyaient encore aux contes de fée. « N’y compte même pas. Tu me suivras bien sagement et par pitié, Olivia, ne prononce pas un mot pendant cette soirée, ne me fais pas honte. Te supporter au quotidien se révèle déjà bien assez difficile comme ça. »Des mots cassants qui n’entamèrent toutefois pas son sourire. Incompréhensible. Plus j’étais méchant, plus elle semblait contente, elle dépassait toutes mes espérances question stupidité et masochisme. Ma foi, si ça lui convenait, j’en étais comblé, je pouvais ainsi déverser ma frustration et mon agacement sur elle chaque fois que l’envie m’en prenait en étant certain qu’elle ne broncherait pas. Soit elle était folle amoureuse de moi – ce qui était une hypothèse tout à fait vraisemblable – soit… soit je n’en savais rien et de toute façon je m’en foutais royalement. Le véhicule qui nous menait à Berkeley s’arrêta brusquement. Et aucun pourboire pour la conduite, merci, bonne soirée, à vous aussi, une porte qui claque et nous nous retrouvions en face de l’endroit qui avait bercé mes années étudiantes. Berkeley, University of California, et sept années d’études entrecoupées de deux années de césure, un parcours presque sans faute, si l’on exceptait la partie Russie. Et la partie stage. Si l’on exceptait en fait tout ce qui avait un rapport avec Tyler. Olivia trépignait d’impatience à l’idée de voir cet endroit si cher à mon cœur. Parviendrait-elle à ne pas s’humilier devant tout le monde ce soir ? La question restait entière. Avec un peu de chance, je jouerais même la mascarade du Cecil fou amoureux une bonne partie de la soirée. Je m’en réjouissais d’avance… « C’est dingue, c’est tellement grand, rien à voir avec mon université. » Et oui, pauvre ignorante, ici nous étions aux Etats-Unis, pas en Ecosse. Je me contentai de lui adresser un sourire creux, tandis que nous faisions notre entrée dans le saint des saints. Je voyais certains anciens camarades se débattre devant les caméras que j’esquivais adroitement. Aucune envie de raconter à qui que ce soit ce que j’étais devenu, même s’il n’y avait pas à en avoir honte bien au contraire. Médecin sportif, tout ce pour quoi j’avais travaillé si durement dans mes études. Mon père aurait été déçu, de savoir que je n’avais pas repris son cabinet de neurochirurgie, mais la plus grosse déception serait toujours mon frère, devenu militaire à seize ans. Qu’importait, nos contacts étaient toujours aussi fréquents et il restait le seul à qui j’accordais un semblant d’intérêt. Les liens du sang, probablement. J’observai les personnes présentes dans la bibliothèque, certaines me reconnurent et m’adressèrent un sourire et un signe de main. Hum, navré, je ne sais pas qui tu es, je ne réponds pas. Les seuls que je gratifiais moi-même d’un sourire furent Constance, Augusto et Manon, mais là encore, cela sonnait creux. Des années passées à leur côté, et plus aucun contact une fois rentré à Londres. Apparemment l’amitié avait pour limite la distance géographique mais à vrai dire cela m’était égal. « Tu connais Manon Petrov-Versier ? Mais je l’adore, c’est ma créatrice préférée ! » trépigna Olivia. Oh, will you please shut the fuck up, pauvre idiote. Je roulais des yeux mais me tut une nouvelle fois. Reste cool, Cecil, le meilleur reste à venir. Et le meilleur venait de se montrer à moi en la personne de Tyler. La cerise sur le gâteau. Mon seul regret était qu’elle n’avait pas l’air particulièrement enjouée. Dommage, il aurait été très amusant de gâcher sa soirée moi-même mais quelqu’un d’autre semblait l’avoir fait pour moi. Qu’à cela ne tienne. Je pris Olivia par la main, feignant le grand amour tandis que je m’approchai de Tyler et de ce que je supposais être son petit ami. Oui, il me disait vaguement quelque chose, le frère La Tour Dubois, mais je ne l’avais jamais côtoyé. « Tiens donc, quelle bonne surprise. Tyler Reese Brightside. Oh, excuse-moi, je manque à tous mes devoirs, voici Olivia, ma fiancée. » J’accentuai la partie fiancée en étudiant son comportement. Il y avait une chance sur deux pour qu’elle croie à mon petit jeu. Mais si elle me connaissait suffisamment, elle se douterait bien que celui qu’elle avait vu la tromper sous ses yeux en arrivant à Londres était toujours là et n’avait pas changé. Si elle me connaissait bien, c’était là tout l’enjeu de la discussion.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyLun 6 Aoû - 3:57

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♣Un imbécile restera toujours un imbécile, mais une pétasse elle aura une belle carrière devant elle♣

"Cela faisait pile dix ans que j'avais quitté Berkeley, et je m'en foutez encore. J'avais une belle carrière, toujours une beauté et apparence de fille de 19 ans, et toujours autant d'homme. Tous ce que j'avais rencontrer là-bas, je ne m'en rappelait plus, ou presque, avec eux c'était de l'histoire ancienne, mais lorsqu'on m'avait proposé de tous les revoir, et bien j'ai toute suite accepté, en dix ans on fait des gosses, on se marie, on veux se tuer, on trompe des gens, on devient quelqu'un d'autre, et ça ma plus de savoir ce qu'ils sont devenues, mais je suis aussi surtout venue car la télé était là."

Bref; hyper charger je reçus dix texto, plus une montagne de courrier et de mails que je devait lire, et je vit une lettre "BERKELEY 2012" et ne pouvant m’empêcher de lire la lettre curieuse, je cria à l'homme super séduisant et bourrer -tout nu- qu'il peut retourner chez lui -Je me fait souvent des hommes, mais pas toujours soul hein, quand même, je préfère quand mes prois d'un soir en boite son réveiller pour ce dire "Je fait l'amour à une star !".-Maaaaaaaais , on à mêêêêême pas cooouuucher ! Vieeens par lààà toooooi...-Je ne couche pas avec les mecs trop soul, désolé, puis là j'ai un rôle pour un super film ok, donc dégage et reprend tes vêtements ! Mentir est une de mes nouvelles spécialité, enfin je l'ai dompté quoi. Il repartit bourrer et essaya même de m'embrasser, il lui fallut une gifle pour qu'il dégage et me laisse en paix. Alors que disait ma lettre rose senteur mandarine ... "Elèves de l'année 2012, vous êtes convier à venir à notre réunion des anciens élèves. " Vous pouvez venir avec vos enfants ..." Je fit un "beurk" "... Et avec votre mari(e)..." Et encore un "beurk" "... Ou autre voir seul. Ça sera comme redevenir élève, sans les travaux..." -Ça c'est bien, me moquez de ce qu'ils sont devenue, rider et tout pleins de gosses, marier à des incapable ! Je ria. -Et tout le monde me courrera après, je suis super connue de toute manière, même si certain -en zappant sur des chaines- sont connue aussi enfin, je l'ai ai "zappé",car ils n'auront jamais mon talent. "... Une bonne ocasion de tous se revoir, et ..." " -"Et blablabla, blablabli !" Je résume je vais tous les revoirs ! Oh ! Je soupira. "...et le jour est marqué au dos de l'enveloppe. A bientôt ancien Berkeléen. Le directeur." - Je vais venir alors, quesque je vais bien rire moi dit donc. Je choisissa une robe sublime de fine graines de sable d'argent, décolletée et dos nue, sans manches laissant apparaître le début de mon 95 D, oui il à augmenter. Et elle était courte, avec talons de diamant assortit. Touche légère de maquillage, imperfection cacher ... Mais quesque que je dit là, j'ai pas d’imperfection moi ! Et je pris juste un petit temps fou à me coiffer, aider par Charlotte une de mes coiffeuse, chignon laqué avec quelques mèches qui ;rebellent s'était enfuis de celui ci. Je pris mon sac Jean Paul Gauthier pour son défilé en Californie, il me l'avait donné; il venait de sa collection "Bling d'or ou d 'argent" rien de mieux pour briller dans le soir sous quelques lumières. Mon carrosse d'or, forme citrouille et apparence à la cendrillon ,j'arrive avec des crises cardiaques, des applaudissement, des autographes et fans, mais mes gardes du corps les empêchèrent de passer. -Hey la compagnie, Blair est là !Je fit un beau sourire glossé et continua à avançer. Belle époque en 2022. J'entra dans mon ancienne université ou j'avais vécus mes plus beau souvenirs, et ma plus grand popularité, en oubliant celle-ci, et j'arriva dans la Bibliothèque, que j'avais tant évité -je regarda tout le monde, un petit rire au parent avec leurs enfant entrain de pleurer et je fit tout de suite interviewer par channel 8 et bombarder de flash, tellement j'était connue.-Alors, pouvons nous vous posez quelques questions !? Demandèrent-ils, pleins de micros autours de moi.-Laissait moi réfléchir ... *Non !* Oui, avec grand plaisir, j'a encore le temps pur des questions.-Nous savons que même si vous n'avez pas été à la fusillade, vous avez été à Berkeley, pouvez vous nous parler de cette université ? -Cette université est pas mal, même si ce n'est pas comme ça que je suis devenue célèbre je vous la recommande, bonne ambiance et bonne étude.Cette phrase fut terminer par un sourire, montrant mes dents blanches. -Et Berkeley vous a t-il aidée à être ce que vous êtes aujourd'hui ?-Oui, cette université m'a aidée à faire mes choix, elle ma fait un grand progrès dans ma vie. Et oui je mentait encore. Un de mes gardes pris un verre d'une boisson étrange et me la donna, après l'avoir tester, et je l'avala d'un coup, sec. Puis, 'ai complètement oublier de vous dire, j'avais appelée une amie pour m'accompagner qui arriva quelques minutes après. -Hey, coucou Blair !A ça vue je fit un grand sourire. -Coucou Steaçy ! Elle m'accompagné souvent, celle là, au boite, ou en interview. J'allais devoir la présenter au Paparazzi, et au gars connue, pour avoir une cote plus élevé avec certaines photos.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN • suck me, beautiful SUJET COMMUN • suck me, beautiful - Page 3 EmptyMar 7 Aoû - 0:24

❝.Were we just as obnoxious as these kids back in the day? No, our generation was definitely more mature.❞
Être officiel ou ne pas être officiel, telle était la question. Pour ce très cher Drew Mcffenders la réponse semblait évidente, même plus que ça. De son plus bel habit et tel un prince, il conjura le sort en nous offrant une deuxième déclaration dite ‘ d’officielle’. On le remercie chaleureusement pour ce magnifique moment nous ramenant douze ans en arrière. Nostalgique, je me remémorai mon premier bal dans l’enceinte de Berkeley en compagnie d’Havier, là où pour la première fois mes yeux avaient scintillé ( olé ) en découvrant mes deux plus beaux arrivés ensemble. Douze ans plus tard, ils vécurent heureux et eurent même un enfant. Toujours croire les prédictions de la Petrov-Versier, toujours. Perchée sur mes talons aiguilles, je détaillai l’immense bibliothèque d’un regard inquisiteur, prenant soin de dévisager quelques personnes au loin. Après tout, aucun dicton ne disait que quiconque se bonifiait avec le temps. Ah si, peut-être. Accompagnée par mes trois visions favorites, le grand manitou manquait à l’appel, le connaissant sur le bout des doigts monsieur Pelizza Da Volpedo devait probablement se pavaner devant les journalistes tel un dieu descendant des enfers. ‘Regardez-moi, dix ans après je suis toujours le plus beau’. Merci Gusgus, au revoir Gusgus. Tiens, quand on parle du loup le voici en bonne et due forme, toujours fidèle à lui-même. « Bonjour à toi aussi Augusto. Oh mais toi aussi tu m’as terriblement manqué depuis tout ce temps. » Ma coupe de champagne en main, je m’étais adressée à lui sur un ton on ne peut plus sarcastique, mon sourire faussement sincère caractérisait à merveille l’ironie de mes propos. Constance et moi-même étions parties depuis une semaine et pour cause, nous avions tourné dans l’un des épisodes d’American next top-model où nous nous étions métamorphosées en membres du jury le temps d’une émission. Pauvres candidats, oui je sais. « A nos chères et tendres retrouvailles ! » lançai-je, beaucoup plus enjouée quant à la perspective que notre golden trio reprenne du service accompagné cette fois de deux nouveaux membres aussi prestigieux ( si ce n’est plus ) que les membres d’origine. Que nous étions décidemment bien trop beaux, bien trop parfaits dans nos vêtements haute couture créés par mes soins, bien au dessus de tout le monde comme nous en avions l’habitude. « On va se mettre d’accord, pour la fin de la soirée je veux que tout redevienne comme avant. Comme avant signifie un Augusto et une Constance ‘rigolant’ à tout va ! » exigeai-je fièrement, connaissant les nouveaux rapports qui unissaient mes préférences mais pas pour ce soir, ce soir c’était golden trio et rien d’autre. De plus, cette place d’intermédiaire moralisatrice demeurait celle de la La Tour Dubois, excédée par mes multiples disputes avec le Pelizza Da Volpedo. Gusto pas content, Manon capricieuse à souhait, Constance exaspérée par tant d’immaturité ! Voilà comment notre trio se comportait depuis la nuit des temps. A peine avais-je eu le temps de conclure ma supplique qu’une voix que je reconnaitrai entre mille me tira de ma rêvasserie ‘pelizza petrov-duboisienne.’ « Lennon-Barckley ! » La Reagan, plus belle que jamais dans cette somptueuse robe rouge signée de la meilleure des créatrices, la seule et unique blonde pour laquelle je portais un intérêt certain. Cette fille demeurait la joie de vivre incarnée, contrastant avec l’humeur de monsieur grognon ici présent à mes côtés. Viens donc nous apporter un peu de fraicheur Riri. « Seigneur, ne parle pas de Gosling ici, ça va me mettre dans tous mes états ! » true story. Quand je commençais à déblatérer sur Gosling et ses atouts physiques incroyablement inégalables, personne ne pouvait arrêter la tornade petrov-versier dans sa lancée, personne. Lui adressant un sourire, sincère cette fois, j’acquiesçai suite à sa demande officielle, toujours prête à aider lorsqu’il s’agit d’histoire de vengeance et en prime avec le gosling. On te venge et après on se les tape tous les deux. Awesome. Déjà parée à commettre l’irréparable en compagnie de notre starlette internationale, je me préparai à prendre la poudre d’escampette, tant pis pour cette maudite réunion, ryan avant tout… quand soudain, notre Camélia fit sa grande entrée telle ….. telle une Camélia en puissance accompagnée par notre Farrah nationale. « Je n’y vois aucun inconvénient. Après tout, les robes de princesse doivent être crées par des princesses. » soulignai-je l’air de rien, précisant une nouvelle fois quelle magnifique princesse j’étais. Inutile de le repréciser ? Toute la salle était déjà au courant de mon statut ? Je m’en fiche. But miss Charlotte, you said ‘later’ two hours ago. – Travis, when a lady says ‘later’ she really means ‘not ever’

« Amuse-toi bien ma plus belle. Quant à vous, faites donc trèèès attention à elle !! » Volant un tendre baiser à la plus belle des Jade, je me retournai vers cette jeune femme qui aura donc l’honneur de s’occuper de mon bien le plus précieux, la chair de ma chair, la prunelle de mes yeux. La dévisageant sans aucune honte, j’aurais probablement pu la menacer que s’il arrivait quelque chose à mon eynsford-baxter elle ne sortirait point vivante d’ici mais mon air mesquin de redoutable diablotin en disait déjà long sur mes pensées. Amuse-toi bien ma Jadou, essaye donc de te sociabiliser avec les enfants du bas peuple avant qu’Enzo n’arrive et ne les tue tous un par un. C’est seule, cette fois, que je fis ma seconde entrée dans cette immense bibliothèque bien plus peuplée qu’il y a quelques minutes. Divine, je scrutai les environs d’un air hautain à la recherche d’une tête connue, quelqu’un avec qui j’avais pu partager des bons moments, quelqu’un qui n’avait guère subi mes foudres, autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Mon regard défiait les uns, dévisageait les autres quand d’un coup…. Bim badaboum. Qu’est-ce qu’il fichait ici ? Alors que tout Berkeley le croit ( ou plutôt le croyait ) mort, monsieur daigne descendre de son paradis caché et en prime en compagnie d’une inconnue. Inconnue, pas tant que ça, elle devait probablement être la nouvelle femme de sa vie ou que sais-je encore. Amère, j’avais la nette envie de les tuer sur place, tous les deux. Lui, pour oser pointer le bout de son nez ici même et elle, pour avoir pris ma place. Mes prunelles soutenant les sienne le temps de quelques secondes, juste le temps de lui annoncer clairement que la déclaration de guerre ‘ officielle’ était lancée. Chacun son truc Mcffenders. Bonjour je m’appelle Damian San Mercury, je viens jouer au mort ressuscité afin d’être la star du jour et j’étale mon bonheur en vous présentant la cruche de ma vie. Connard. Détournant une nouvelle fois mon regard vers l’assemblée, j’aperçus au loin mon nouveau joujou du moment, celui qui sans s’en apercevoir allait me mener tout droit vers la victoire. Je vous présente Thiago, ancien roi des delta/beta, et comme tout dragueur invétéré qui se respecte, il avait essayé tant bien que mal durant cinq longues et pénibles années de me mettre le grappin dessus mais sans succès. Manon Petrov-Versier ne fricotait pas avec les Delta, c’était bien connu. Aujourd’hui semble être ton jour de chance Thiago, enjoy. Séductrice hors pair, je retrouvai les joies de charmer un sculptural apollon dont la vie semblait …. A vrai dire, je n’en avais que faire de sa vie, de son boulot, tout ce qui m’intéressait était de toucher ce San Mercury. Voire même de le blesser. L’écoutant d’une oreille très peu attentive, je me contentai d’être faussement passionnée par notre conversation, souriant quelques fois lui démontrant mon intérêt soudain pour sa petite personne. Trop facile. Monsieur Thiago ou plutôt le prototype même du gars qui n’a pas réellement grandi, ni muri, essayant d’attraper ses proies du passé déclarant monts et merveilles. Puérile petit espagnol, néanmoins il était terriblement beau et stupide ce qui m’arrangeait plutôt bien. Lui susurrant quelques paroles dans son oreille – le tout sous les jolis yeux du San Mercury- je fis mine de ne pas entendre ses dires, c’est vrai que la musique allait tellement fort et ne parlons même pas du brouhaha, seigneur. Grande comédienne, j’avais appris avec le temps à manier cet art à la perfection et Thiago fonçait tout droit dans le mur, la tête la première. Sentant l’emprise de sa main sur mon poignet, je devinai aisément que nous allions poursuivre notre conversation – si passionnante soit-elle- à l’air frais, là où il pourra désormais entendre ma voix si mélodieuse. Très bien, allons dehors mais avant tout, faisons un petit détour du côté de chez Damian, comme ça juste pour rire. Mon bras enroulé dans celui de mon objet du jour, nous nous avançâmes vers la grande porte d’entrée quand malencontreusement je bousculai une jeune femme s’apprêtant à gouter aux délices de cet irrésistible champagne. « Oh vos Louboutin, honte à moi ! » m’exclamai-je faussement désolée d’avoir ruiné cette paire de chaussures si précieuse soit-elle. A vrai dire, si quelqu’un avait osé toucher à mes louboutin, il serait mort dans la seconde même. Détournant mes prunelles vers mon ancien super-héros ( mooon ), je lui offris le plus beau des sourires sarcastiques, lui prédisant que le manon’s show n’était point encore fini. « Damian! Que le destin est terriblement bien fait ! » ça, c’est le cas de le dire ! Le contemplant de bas en haut mon air mesquin collé sur mon visage, je remarquai que monsieur avait pris soin de choisir ses propres vêtements ne faisant pas partis de ma collection. Grossière erreur, tout comme ta petite cruche. « Je me présente, Manon Petrov-Versier mais vous devez probablement déjà le savoir. » Forcément qu’elle le savait, tout le monde le savait. Si mon prénom ne lui disait rien en tout cas, mon nom de famille lui voulait clairement tout dire. Petrov-Versier. La nouvelle grande marque de prêts à porter de luxe et bien plus encore. Faisant mine d’être totalement désintéressée par le San Mercury, je me contentai d’analyser sa dulcinée à la loupe et comme Blair dirait : Once men have tasted caviar, it baffles me how they settle for catfish . « Et vous êtes ……. ? » lançai-je, cette fois intéressée. Curieuse comme jamais, je me languissais de connaitre les détails de leur relation, ce qu’elle représentait réellement à ses yeux. Pas grand-chose, ce n’était pas possible autrement. La détaillant de plus belle, ‘une futilité’ placée sur son annulaire gauche me glaça le sang, tiens prends toi ça en pleine tronche Petrov-Versier. « …… fiancés ! » surprise, mes iris ne pouvaient s’empêcher de contempler cette fameuse bague de fiançailles. Pire qu’une claque dans ma tronche, pire qu’un poignard planté droit dans le cœur, pire que tout et en prime je sentais mon visage se décomposer petit à petit. Ne désirant paraitre faible aux yeux de quiconque, je restai stoïque tentant de paraitre impassible. Foutue bague, foutue Damian, foutue fiancée, allez donc royalement vous faire foutre. « C’est le moment des félicitations c’est ça ? » questionnai-je sans pour autant attendre une réelle réponse, celle-ci semblait tellement évidente. J’avais envie de lui crever les yeux avec mes talons, de m’enfuir et de ne plus jamais revenir, de retrouver mes deux acolytes préférés et ainsi pouvoir retourner à New-York dans mon chez moi. Je voulais crier, juste crier, évacuer toute ma colère. « Et bien, toutes mes félicitations. » Je m’étais adressée à elle accompagnée de mon sourire le plus faux qui soit, tout sonnait faux et si seulement ces pseudo fiançailles pouvaient l’être …. Reportant mon attention vers ce très cher Damian, je décidai de lui porter le coup de grâce à la Petrov-Versier. « Hum. J’espère vraiment qu’elle te donnera l’enfant que j’ai toujours refusé de te donner. Tu pourras enfin avoir ce que tu as toujours désiré c'est merveilleux. Pas avec la même personne mais bon ça n’a pas l’air de te poser problème San Mercury. » pestai-je d’une traite, souriant de plus belle quant à l’idée de l’avoir blessé. Je le connaissais suffisamment pour savoir que le sujet ‘ enfant’ demeurait un sujet tabou. Combien de fois lui avais-je répété ne pas vouloir d’un deuxième enfant ? Que Jade serait la seule et l’unique comme je l’avais toujours rêvé. ? Combien de disputes n’avions-nous pas eu à ce sujet ? Des centaines et des centaines. « Sur ce, nous avons bien d’autres choses plus passionnantes à faire ! » Autrement dit, ciao ciao, faites votre vie, moi j’embarque monsieur muscles ancien delta et je te laisse en compagnie de ta nouvelle dulcinée après avoir lâché une bombe petrov-versienne. Satisfaite de ma petite personne, je le regardai une dernière fois avant d’entreprendre ma marche vers l’entrée principale. ❝ J’suis devenue barge quand j’étais avec toi. L’amour est pas censé avoir cet effet là, je peux pas recommencer. ❞

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