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C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT)

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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptySam 23 Juil - 11:13

  • Si je devais pousser ma réflexion sur ce qui se passait entre Alcide et moi à cet instant même, je me poserais bien évidemment certaines questions, premièrement à se demander si ce n’était pas le fait que je me sois confié à lui qui nous a poussé à rejoindre sa chambre. Cela pouvait déstabilisant dans pareil moment. Mais Al’ était mon ami le plus cher, il endossait plusieurs rôle à la fois, et représentait diverses choses pour moi. C’était un excellent professeur je parle du point de vue professionnelle, bien qu’il était tout aussi très doué dans un autre domaine…c’était mon grand ami, et était même devenu cet après-midi mon confident. Avais-je choisi la bonne personne pour cela ? Malgré son étonnement et sa déception d’apprendre une telle chose à mon sujet, cette maladie qui faisait partie de moi, il ne me lâcha pas, au contraire il me soutenait et m’encourageait à ne pas baisser les bras. Il avait été furieux de savoir que cette chose me rongeait de l’intérieur se sentant bien impuissant face à cette révélation que sur l’instant je crus avoir fait une belle erreur jusqu’à ce qu’il s’approche de moi, et me fasse comprendre que j’avais bien fait. De là en avait découlé un sujet presque idyllique se voyant avec une famille et Elyott. Chacun de nous avait pensé à cette hypothèse mais enfin de compte Alcide avait raison, nous n’étions pas fait pour être un couple remplis de sentiments de ce genre, mais plutôt des amis avec quelques particularités, certains appellent cela « une amitié améliorée », ce terme me convenait assez, avec une petite différence, c’est que je faisais partie de sa vie mais aussi de celle d’Elyott son filleul pour qui je m’étais prise d’affection et vis-versa. Avoir un enfant dans sa vie était une chose merveilleuse, une accroche de plus que cela me fit ressentir une drôle de sensation. Surtout que je savais qu’à son retour je devrais lui annoncer ce que serait ma vie pour les prochains mois, non pas dans les détails mais qu’il sache pourquoi je serais moins présente pour lui, à ses côtés, que cela me fit me serrer l’estomac. J’eus un instant de panique de peur, j’aimais contrôler les choses pour ne pas perdre pieds mais dans ce cas de figure il était impossible pour moi de changer de direction, seulement à garder le cap droit comme en pleine tempête, devant affronter ces éléments déchainant de ma triste vie. Je ne pus que prendre de la distance tournant le dos à mon ami pour ne pas défaillir face à lui. Son geste de colère lui ayant écorché vivement le poing m’avait fait me sentir mal car j’étais fautive de ce comportement étonnant. Alcide était un homme doux, souriant, avec un charme fou et un regard qui donnait envie d’en apprendre davantage sur lui. Et si on avait le privilège de rentrer dans son cercle « personnel » on pouvait découvrir des tas de choses agréables, comme sa façon de prendre soin des femmes, de leur donner du plaisir, pour cela il était le maître. Je connaissais cette facette qu’il avait aimant partager de bons moments avec la gente féminine, à chacun ses envies non ? Que cela ne me dérangeait guère sachant pertinemment ou était ma place vis-à-vis des autres femmes. Je ne serais jamais sa compagne mais cette place attitrée que j’avais était un privilège. Il m’avait laissé entrer dans sa vie personnelle et celle du petit blondinet, comme une sorte de membre de la famille. Au fond j’avais la meilleure place qu’il soit et c’était un peu la famille que je n’avais plus eu depuis des années, vivant avec ma seule amie, la solitude pendant bien longtemps, trop longtemps !

    Face à l’annonce de cette maladie, cette fichue leucémie, je m’étais sentie à part, voyant l’existence autrement, visualisant certains moments de ma vie, on cogite pas mal non plus, on se dit qu’on aurait pu faire les choses autrement, dire à certaines personnes à quel point on les aime pensant que la fin était proche. Bien sûr j’avais envisagé toutes les fins possibles ce fut même pour cela que j’étais venu rendre visite à Alcide pour ne pas qu’il soit pris à la gorge si un jour prochain je devais fermer les yeux. Cela n’empêcherait pas le fait qu’il s’inquiète, qu’il me voye autrement que celle qu’il avait connu jadis, mais je voulais être cette même Emy Conway face au monde entier et à lui. Ce n’est pas sous prétexte que j’ai un cancer que je suis différente. Bien évidemment que je serais plus stressée par moment, plus fatiguée et parfois même de sale humeur mais je serais la même personne, aimant les mêmes choses, ayant toujours ses mêmes amis. Si je n’en aurais rien dit, Al’ aurait cru à quoi ? à un trop plein de fatigue avec les examens de fin d’année qui avait fait que les révisions avaient été imposante, même pour une alpha telle que moi. Bien que malade et me sentant perdue ne pouvant donc me débattre seule, Alcide vint m’entourer de ses bras, m’apportant de la chaleur humaine et du réconfort qu’il ne me tardait pas à me laisser faire sous la tentation de me laisser aller à me détendre, j’en avais besoin et Alcide était la personne adéquate. J’avais une confiance aveugle en lui, que je pouvais fermer les yeux et me laisser emporter, chose que je fis lorsqu’il me porta jusqu’à sa chambre après des baisers échangés, des caresses, quelques mots qui avaient fait qu’on avait souris. Voilà des moments simples de la vie qu’on devrait apprécier encore plus. J’avais comme pris les devants, lui ôtant sa chemise, retirant la ceinture de son pantalon que j’avais fait glisser, libérant son bas ventre jusqu’à ce qu’il reprenne la situation en main, le sentant comme déglutir sous mes faits et gestes, me poussant à lui lancer de nouveau un sourire après ce baiser plus prononcé ou j’avais pu gouter à la douceur de sa langue, ou ses mains se posèrent sur moi. Les baisers, les caresses ressenties que dans un murmure tandis que ses mains me faisant frissonner allant de mon bas ventre à mon nombril, jusqu’à ma poitrine il me murmura à l’oreille des paroles très envieuses, qui eurent le don de faire accélérer davantage mon rythme cardiaque et sentir mon souffle s’alourdir. Je ne doutais pas des capacités d’Alcide en la manière, il savait s’y faire avec les femmes, et l’on avait beau faire l’amour avec lui de multiples fois que jamais cela ne présentait de la même manière, sa façon de faire était différente à chaque fois et j’en eus encore la preuve lorsqu’après m’avoir ôté mon tee-shirt , il dégrafa mon soutien-gorge, puis de ses dents me retirait son sous-vêtements sans me lâcher du regard, c’était très existant que je ne détournais pas les yeux de ses prunelles, un léger sourire coquin aux lèvres que je l’aidais à me débarrasser de ce fin vêtement. Sentir sa langue sur l’extrémité de mon sein avait une saveur des plus agréables, sensuelles ainsi que sa main ferme que je ne pus que fermer un instant les yeux pour en apprécier le geste. Ses mains descendirent le long de mes hanches pour venir se débarrasser de mon pantalon, tandis que je laissais échapper un soupire lorsqu’il me mordillait doucement le téton. C’était exquis cette sensation entre le fait de ressentir un tel plaisir partagé avec ce petit côté qui pouvait faire mal sans être une réelle souffrance, décuplant le plaisir du moins pour la part puisque certaines femmes avaient horreur de ce genre de pratique, mais en amour, en sexe lorsque deux êtres étaient si complices, on pouvait tout se permettre du moment que cela ne tournait pas à la perversité. Moi j’avais ce côté sauvage ou parfois je me sentais décoller de terre, ne pensant qu’à prendre et donner du plaisir sans réfléchir voilà ce qu’était pour moi l’extase même !
    Le professeur poursuivit dans sa lancée, un chemin partant de ma poitrine ferme et dressée jusqu’à mon bas ventre pour enfin, une fois mon pantalon retirer, se retrouver entre mes cuisses ou je pus sentir comme mon pouls à cet endroit précis. Je l’invitais donc à venir me découvrir et non cette fois c-i je ne le stopperais pas, je le laisserai aller à son plus grand plaisir à savoir me faire jouir. Les hommes aimaient entendre leur partenaire gémir sous leurs caresses ou encore sous l’effet que pouvait procurer l’excitation d’une langue sur une zone érogène parmi d’autre… Allongée sur le dos me laissant faire je caressais sa chevelure grisonnante comme pour le solliciter à commencer le voyage pour le 7ème ciel, lui appartenant pour l’instant car je comptais bien moi aussi reprendre les rênes un peu plus tard. Donner et recevoir n’était pas la même chose que je voulais qu’il prenne lui aussi ce même voyage en ma compagnie et pourquoi pas en même temps, il y avait des pratiques ou l’on pouvait prendre ce même plaisir à deux en simultané…
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyMer 27 Juil - 12:35

    La tête placée entre les cuisses d’Emy, van Stexhe prenait plaisir à respirer le parfum intime de la jeune femme. Il posait les lèvres sur le pubis de la demoiselle, embrassant çà et là, laissant parfois son souffle chaud frôler cette partie du corps de miss Conway…
    Alcide descendait lentement, il arriva bientôt à la commissure des lèvres intimes de l’étudiante. Il y déposa encore quelques baisers, descendant toujours, jusqu’à arriver près de l’orée de ce que les Anciens appelaient « l’antre de Vénus ». Là, il embrassa encore, puis passa doucement la langue verticalement, de bas en haut, comme pour inviter le corps d’Emy à s’ouvrir davantage pour lui. Entre ses lèvres, l’homme aspira doucement celles, intimes, de la jeune fille, il se mit à les suçoter avec douceur, délicatement, invitant dans sa bouche ces parties légèrement charnues pour les y caresser ensuite, lentement, de la langue…

    Le cunnilingus, Alcide le considérait comme un baiser intime. Il s’agissait d’une union de lèvres, avant tout, d’un partage de fluides corporels, salive et lymphe, d’un mélange à doser savamment, en se laissant guider par le désir, l’envie et l’instinct…
    Les yeux fermés, l’enseignant laissait sa bouche faire son travail, officiant comme une bienheureuse. Il continua à capturer entre ses lèvres les replis cutanés de la vulve de miss Conway, à leur réserver le traitement adéquat à ses yeux, à savoir ce suçotement délicat des lèvres extérieures, puis intérieures.

    Van Stexhe n’était pas un débutant dans le domaine et il ne s’en tenait pas à un cycle pré-écrit, il était plutôt du genre à improviser, dans ce genre de situation, à lécher langoureusement, en ménageant de petites pauses pour laisser les sensations envahir petit à petit le corps de son amie. Ce qu’il était en train de faire, au fond, c’était préparer, progressivement, le clitoris de la demoiselle à une stimulation plus directe. Il variait ses caresses, rendant toujours sans cesse imprévisible ce qui allait suivre, provoquant l’attente du corps en haleine, variait la vitesse de ses coups de langue, tantôt rapide, tantôt douce et lente…
    La langue de l’homme voyageait à présent autour du petit bouton de rose, comme on dit, de la jeune femme. À ce stade, il espérait que le niveau d’excitation d’Emy était déjà bien haut. Oh, évidemment, il était conscient des mouvements que faisait le bassin de la belle, bassin qui bougeait à son rythme qui avait déjà changé plusieurs fois depuis le début de ce traitement, mais Alcide prenait son temps, cherchant à l’exciter le plus possible avant de « l’achever ».

    Le professeur utilisait sa langue en essayant de la rendre agile, pour approcher le clitoris de manière à l’exciter sans l’étreindre. Il tournait autour de lui, sans jamais l’atteindre vraiment… Puis il recommença à explorer la vulve de miss Conway. Petites et grandes lèvres, commissure ventrale… il se laissa même égarer sur le périnée, jusques aux confins de l’anus, avant de revenir, de remonter… la langue, désormais en pointe, vint caresser, flatteuse, les sillons sensibles qui se trouvaient entre le capuchon clitoridien et les grandes lèvres, de chaque côté, de bas en haut et de haut en bas, alternant parfois en dessinant des cercles sous le frein et par-dessus le capuchon, faisant rouler sous sa langue la tige du clitoris de la jeune femme…

    Après cela, Alcide se remit à lécher les petites lèvres, à appuyer sa langue à plat contre le frein, puis il effleura doucement et délicatement le gland du clitoris, glissa la langue sur la commissure ventrale, pressa la tige, embrassa la vulve…
    Et là, pris d’une inspiration soudaine, du bout de la langue, van Stexhe se mit à tracer des mots sur le sexe féminin. Il commença à dessiner des lettres, une par une, explorant des zones et des angles quelque peu imprévisibles. Les mots que l’homme traçait étaient des mots d’amitié, des mots de soutien, des encouragements… mais Al se doutait bien qu’il devait être difficile, voire impossible, pour Emy de deviner ce que pouvaient bien être ces mots.

    Ensuite, l’homme reprit les baisers avec les lèvres, gratifiant les petites lèvres de la jeune femme de caresses, avant de les aspirer, les avaler, les sucer et les masser dans sa bouche. Et puis, enfin, il s’attaqua au clitoris, plaquant la langue pour le masser comme par un effet de vague, à travers son capuchon… et sous la langue, van Stexhe put sentir la turgescence de l’organe du plaisir.
    Alcide n’hésitait pas à exprimer en soupirant doucement et en gémissant légèrement, comme pour assurer Emy qu’il aimait ce qu’il faisait, tout en sachant très bien que ces souffles et ces sons acheminaient des vibrations que la jeune femme devait apprécier. Il savait qu’il pouvait aussi prononcer les phonèmes sans les sonoriser, mais il aimait exprimer ce qu’il ressentait en pratiquant ce cunnilingus.

    L’étape suivante fut une pénétration linguale, des caresses procurant généralement assez bien d’excitation pour la compagne bénéficiant de ce traitement. Avant d’insérer la langue, Alcide prit les petites lèvres et le capuchon du clitoris dans sa bouche… Alors il pointa la langue et commença des mouvements de va-et-vient rapides, comme s’il simulait un coït… La lèvre supérieure de l’homme vint alors frotter le gland du clitoris…

    Écartant les lèvres d’Emy, il appuya la bouche, lèvres et langue, sur toute la zone, en léchant vers le haut, de la vulve au sommet du capuchon. Il replia la pointe de la langue et commença juste sous le gland du clitoris, sur le frein, pour atteindre le dessous du capuchon. Il tenta des cercles, des coups de langue transversaux, des diagonales… Van Stexhe appuya la tête contre sa cuisse pour continuer à lécher, du coin inférieur au coin supérieur opposé.
    Pinçant encore le gland du clitoris entre les lèvres, Alcide le happa, l’aspira doucement, faisant affluer le sang et, certainement, augmenter la sensibilité d’Emy, sans doute déjà exacerbée…

    Tout cela prenait du temps, certes, et demandait un investissement personnel assez prenant, mais, à vrai dire, cela faisait plaisir à van Stexhe que tout cela puisse se passer aussi bien, car, évidemment, du point de vue du professeur de psychologie et de critique, tout se déroulait très bien pour le moment et il parviendrait à atteindre son but, l’homme en était sûr. Il était prêt à recueillir dans sa bouche, comme dans un récipient quelconque, tout ce que la belle allait bien pouvoir lui donner… Il était prêt à se repaître de ces secrétions, à les savourer, à les apprécier…
    Au fond, pour un homme, c’est terriblement agréable qu’une femme avale le sperme relâché dans sa bouche… alors pour une femme, ça devait être à peu près la même chose. Alcide ne se formalisait jamais de tout cela, lui il se laissait aller, il faisait ce que bon lui semblait, se donnant la peine d’essayer de combler ses partenaires à sa manière, en étant attentif à ce que lui disait le corps de la jeune femme, en écoutant les moindres de ses désirs, même ceux qui n’étaient pas clairement exprimés…

    Ses mains caressaient les cuisses de miss Conway, doucement, comme s’il s’était agi de quelque chose de très fragile dont il fallait prendre grand soin. Il sentait bien, aussi, son propre corps ressentir l’excitation procurée par le cunnilingus qu’il prodiguait à Emy. Car, oui, ça l’excitait. Et pas qu’un peu.



[HJ : il faudrait peut-être éditer le titre du sujet et préciser qu'il devient hot C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 277800]
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyMer 17 Aoû - 17:06

  • Je m’étais totalement laissé aller à lui de toutes sortes de manières mais le fait qu’il prenne possession de son corps ainsi me fit me sentir comme prisonnière de mon être. Son souffle sur ma peau me faisait me sentir dans un état presque second que je ne voulais me débattre, mais simplement m’abandonner à lui. Ses lèvres douces contre ma peau me firent frissonner doucement telle une douce caresse. Descendant peu à peu avec légèreté n’atteignant pas de suite mon point fatidique qui ne demandait qu’à être exploré jusqu’à que je sente sa langue venir se poser sur mon entre-jambe ou je m’ouvris davantage pour l’inviter plus aisément. Les premières sensations étaient presque cruelles me faisant patienter avant de ressentir cette emprise de sa bouche sur ma partie intime. C’était agréable, cela m’existait me rappelant notre première fois chez moi, ce fameux soir de clair de lune.

    Je n’allais pas cette fois-ci me retirer et faire que cela s’arrête et il prenait plaisir à découvrir cette partie de mon corps que je ne lui avais offerte qu’un court instant mais là je me laisserais aller à mes envies, mes désirs et aux siens. Je sentais mon corps réagir sous ses coups de langues avisés que je me mordais doucement la lèvre inférieure avant de ne laisser échapper un léger soupir passant mes mains dans la chevelure grisonnante, pour l’inciter à poursuivre. Il était doué et savait procurer du plaisir aux femmes c’était indéniable.

    Il avait une façon de faire qui mettait mon corps en haleine, je ne savais pas s’il s’arrêterait là ou s’il poursuivrait, à pour mon plus grand bonheur il me fit languir, tantôt sa langue était active, tantôt elle se faisait plus lente, plus précise ou non que j’étais enivrée de multitudes de sensations, me cambrant peu à peu, frissonnant.

    J’étais arrivée à un stade où je n’étais pas sûre de pouvoir tenir encore bien longtemps dans cet état de transe, mon corps étant réceptacle de toute part, gémissant ne pouvant me retenir. J’avais envie de lui, de son corps, de le sentir encore plus présent sur ma personne, mais je me laissais aller au maximum de mes envies sentant les battements de mon cœur en ce point précis qu’Alcide prenait grand soin d’exciter.
    Comment rester insensible ou inerte face à une telle pratique ? C’était impossible !

    C’était un supplice, sentir sa langue tourner autour du point sensible. Il ne tarda pas à revenir sur le point G en s’égarant également sur le périnée, zone que je trouvais tout aussi érogène. C’était plus qu’existant, que je gémissais davantage, sentant l’orgasme arriver, mes mains comme agrippant ses cheveux, ma respiration plus saccadée, mon souffle plus lourd, j’étais à lui totalement. Les sensations étaient décuplées, plus appuyées, que plus rien ne comptait excepté le fait que nous étions là, lui et moi à partager ce moment très intime. En plus d’être un excellent ami, il était très bon amant !

    Comment pouvais-je savoir ce qu’inscrivait mon ami tant mon corps se cambrait davantage et que mes neurones semblaient se déconnecter de toute réflexion. J’appréciais ces moindres gestes, le moindre trajet emprunté de sa langue sur mon sexe. Je gémissais, je déglutissais tant c’était bon, sentant mon corps se décharger peu à peu dans sa bouche, sentant une chaleur s’évacuer de mon être, j’étais au bord de la jouissance même.

    Parmi mes gémissements, je pouvais entendre ceux d’Alcide se joindre aux miens, son souffle lourd, plus imposant, c’était l’extase, tous deux apprécions cette pratique, que mon corps réagissait encore plus sans même que je ne puisse le contrôler. Mon Dieu comment pouvais-je ne pas aimer, ne pas me laisser aller, que je commençais à entrer dans une jouissance que je sentais mon bas-ventre se contracter peu à peu sous l’effet de cette fulgurante excitation que me procurait alcide avec ces jeux de langues.

    Là ce fut l’achèvement, il entra en moi de telle façon que je ne pus me retenir avec des gémissements plus bruyants, écartant davantage les jambes pour mieux le laisser venir s’approprié mon corps. Soufflant mon prénom pendant qu’il s’exécutait à me faire atteindre l’orgasme. Oui il y avait toutes sortes d’orgasmes et pour dire vrai je les appréciais tous, procurant chacune une sensation différente, un plaisir plus ou moins intense. Mais du moment que vous êtes avec une personne de confiance vous pouvez tout vous permettre, c’est ce que je faisais avec Alcide, aucune peur, aucune crainte. Une totale confiance !

    J’étais dans une excitation telle que seule mes envies et mes désirs avaient le dessus, plus moyens de penser à quoi que ce soit, seulement à profiter de ce moments de plaisirs charnels. Toujours les mains dans ses cheveux j’arrivais au bout de mes capacités à me contenir pour ne pas exploser, mais à l’instant même où je voulus comme le repousser il plaqua sa tête contre ma cuisse pour augmenter encore le désir que j’en agrippais la couverture qui était sur son lit gémissent, jouissant ne cachant plus mes éclats de voix bien au contraire, mon corps presque rigide sous l’effet qu’il me faisait. De là je ne pus plus rien contrôler que je me sentis aller à l’explosion même sentant ensuite ses mains sur mes cuisses, mon corps réclamait le sien, mais je savais que si nous passions à l’acte dès maintenant que je ne tiendrais pas longtemps alors pour récupérer j’avais eu une idée ou plutôt une envie, celle de lui faire profiter de la même chose à son tour. Me redressant doucement je l’invitais à venir rejoindre mes lèvres, celles qui ornaient mon visage avec un regard quelques peu sauvages et envieuses, les yeux pétillants avant de ne l’embrasser fougueusement goûtant à ma propre saveur chose qui ne me dérangeait absolument pas, l’enlaçant aussi par la même occasion. Bien que nous ne soyons pas amants avec des sentiments amoureux, ce n’était pas non plus que du sexe, nous étions amis, d’excellents amis et j’aimais avoir un contact de ce genre ou les sentiments « amicaux dans notre cas faisait partie de notre moment d’intimité partagé. J’étais encore quelques peu essoufflée, l’air me manquant et probablement radieuse ! Mes mains caressaient son dos, étant face à lui, et l’entourant de mes jambes, posant mes lèvres dans le creux de son cou, laissant ma langue remonter de celui-ci jusqu’à son lobe…

    Tu souhaites toujours dominer ? Car si tel est le cas, tu sais que je ne suis pas du genre à me laisser faire en tout temps, j’aime aussi prendre des directives et crois-moi j’en ai réellement envie.

    Je me collais davantage à lui mon poitrine contre son torse, sentant son membre redressé contre ma partie intime, il me désirait, il avait envie de moi, mais avant de passer à l’acte même de la pénétration il devait encore subir un châtiment.

    J’avais pensé à pleins de choses, comme tracer un chemin du bout de ma langue de ton cou à torse, descendant jusqu’à ton nombril ou là je pourrais continuer ma trajectoire pour explorer ce membre viril que je sens là – je frottais doucement mon sexe contre le sien- et pourquoi pas l’explorer de ma bouche habile, hein qu’en dis-tu ?Tu pourrais sentir cette même chaleur que j'ai ressentie, en apprécier chaque geste...

    Le sourire aux lèvres, je le regardais. Chez certains le fait de leur dire les choses pouvait tout aussi les mettre dans un état presque second, augmentant leur excitation et je comptais lui faire atteindre le 7ème ciel de diverses manières… J’attendais toutefois un mot ou une réaction de sa part face à mes paroles dites avec sensualité, envie, excitation…
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyVen 19 Aoû - 15:07

    Les réactions d’Emy ne se firent pas attendre suite au traitement que lui réservait Alcide. Tantôt elle se cambrait, tantôt elle gémissait, s’ouvrait plus encore à lui ou se raidissait complètement. Le moins qu’on pouvait dire, c’était que la jeune femme était amplement réceptive. Et cela faisait plaisir à voir, à sentir et à entendre.
    Très vite, elle avait glissé les mains dans les cheveux de l’homme, comme pour l’encourager à continuer, comme pour lui indiquer les mouvements qu’elle désirait qu’il fasse… mais van Stexhe n’en faisait qu’à sa tête, ce que n’avait pas l’air de déprécier son amie. Lorsqu’elle se libéra totalement, inondant la bouche du quinquagénaire de sa lymphe douce-amère, Alcide se sentit victorieux, comme s’il avait réussi à prouver par des méthodes raisonnables et folles en même temps que peu lui importait la maladie de la jeune femme, tant qu’elle restait elle-même. Ensemble, ils défiaient le monde et ses interdits. Il n’en fallait pas plus.

    Oui, l’amitié entre ces deux-là était un peu bizarre au regard des moments d’intimité qu’ils partageaient, mais c’était plus qu’une amitié améliorée, en réalité. Il y avait dans le partage de leurs corps quelque chose d’un autre ordre que le simple fait d’apporter du plaisir à l’autre. Il y avait cette confiance indicible, cette sincérité remarquable et cette véritable complicité qui rendait les choses tout à fait naturelles. Aux yeux d’Alcide, tout concordait pour que miss Conway et lui puissent être plus que des amis sans être vraiment des amants. Le sexe faisait partie de leur amitié, tout simplement. Et ça avait un côté rassurant, parfois. Ainsi, malgré l’annonce du cancer d’Emy, Alcide était toujours capable de prendre soin d’elle de cette manière, la mauvaise nouvelle ne le faisait pas reculer, peut-être même l’encourageait-elle d’autant plus à gratifier son amie de son savoir-faire. Et elle, eh bien, malgré ce qu’elle vivait, elle devait se sentir toujours désirable, ce qui était très important pour une jeune femme de son âge.

    Emy s’essoufflait, Alcide se repaissait. Tout aurait pu rester comme cela, mais seules les personnes ne connaissant pas ou connaissant mal miss Conway et Mr van Stexhe pouvaient croire pareille chose. Alcide aimait faire jouir les femmes. Mais il aimait encore plus lorsqu’elles avaient plusieurs orgasmes en sa compagnie. Cela faisait partie, en quelque sorte, de sa fierté personnelle : il était capable d’amener plusieurs fois une femme au paroxysme de son plaisir et c’était ce qui encourageait généralement les jeunes et moins jeunes femmes à lui céder plus d’une fois. Du moins, c’était ce que pensait l’homme.

    Il s’était mis à caresser les cuisses de sa jeune amie avec envie, parce que, oui, évidemment, van Stexhe la désirait, c’était indéniable. Il aimait beaucoup Emy et il appréciait son corps également. Cela voulait tout dire. En réalité, lorsqu’il avait, plus tôt, été question d’un éventuel rapprochement entre elle et lui, comme un couple, il savait pertinemment que c’était là quelque chose dont lui-même avait rêvé à plusieurs reprises. Cette réciprocité avait quelque chose d’un peu effrayant, alors il avait préféré mettre un terme tout de suite à ces idées. Pourtant, oui, dans un passé plus ou moins proche, il y avait pensé. Mais à l’heure qu’il était, nulle raison de remettre cela sur le tapis. Emy le prendrait pour un fou ou, à tout le moins, pour un type ne sachant pas ce qu’il voulait.

    Alors l’homme se laissait aller, choisissant volontairement de permettre à son propre corps et à ses propres instincts de le guider en tout… jusqu’à ce que miss Conway vint se redresser doucement, invitant Alcide à venir l’embrasser, ce qu’il fit sans rechigner. Elle avait dans les yeux cette lueur quelque peu sauvage qui ajoutait encore à son charme, sans parler de l’expression de son visage… C’était sans compter, aussi, la fougue qui anima la jeune fille au moment où elle embrassa et enlaça son aîné. Van Stexhe suivit le mouvement, refermant les bras sur la belle et répondant à ce baiser tandis que miss Conway lui caressait le dos tout en lui enceignant la taille de ses jambes longilignes, comme si elle l’emprisonnait pour mieux profiter encore des instants à venir. Alors elle l’embrassa dans le creux du cou, là où lui-même adorait poser les lèvres sur ses compagnes et partenaires, avant de remonter la langue jusqu’à son oreille, provoquant un long frisson dans tout le corps masculin.

    Quand Emy prit la parole, en se collant contre lui, comme pour faire fusionner sa poitrine avec le torse d’Alcide, comme pour mieux permettre un rapprochement de leurs entrejambes respectifs, van Stexhe se mordit la lèvre inférieure. Elle évoquait tant de choses excitantes qu’il semblait à l’homme que son érection devenait de plus en plus rigide, si c’était possible. Des fourmis semblaient peupler son bas-ventre et descendre vers son pubis, chassées par les pulsations du cœur d’Alcide qui paraissait battre dans son corps tout entier.
    Lui qui brûlait déjà de désir, entendre cela ne fit qu’augmenter la soif qu’il avait d’une union intime avec Emy… Comment aurait-il pu résister à une telle proposition ? C’était comme si on demandait à un gamin s’il voulait un de ses bonbons préférés ou s’il préférait une cuillère d’huile de foie de morue ! Sans dire un mot, mais souriant, van Stexhe se pencha sur la bouche de son amie pour l’embrasser à nouveau durant un moment, avant de reculer légèrement pour lui murmurer à l’oreille :


    "Attends un peu…"

    Se reculant encore, Alcide finit par se détacher de l’étreinte de miss Conway et, roulant à côté d’elle sur le lit, il tendit le bras pour ouvrir un tiroir de sa table de chevet. Fouillant un peu à l’intérieur, il tâtonnait pour trouver un petit ustensile qui lui semblait indispensable dans la situation présente. Et quand il l’eut trouvé, il s’en empara, le cachant dans le creux de sa paume, avant de refermer le tiroir et de revenir près d’Emy, l’objet en main. Avec un sourire, il annonça :

    "Mademoiselle Conway, j’accepte votre proposition avec grand plaisir !" Il ponctua cette phrase d’un baiser sur ses lèvres, puis, lui prenant la main, il y glissa le cockring qu’il avait pris dans son tiroir. "Tiens, enfile-moi ça, on en profitera tous les deux plus longtemps, comme ça…"

    Le cockring était une merveilleuse invention en matière de sextoys. Il s’agissait tout bêtement d’un anneau à faire glisser jusqu’à la base du sexe masculin, afin de serrer la base en question. Cela retardait le moment de l’éjaculation et, après libération des fluides, cela permettait de prolonger l’érection. Sans oublier les sensations que l’objet métallique procurait à celui qui le portait… Vraiment, une invention merveilleuse…

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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyVen 19 Aoû - 17:16

  • Je ne pouvais plus me cacher, je ne pouvais plus stopper la machine, celle du désir que me procurait Alcide et en même temps je n’avais pas envie de me freiner en pleine excitation car oui mon corps s’était ouvert entièrement au professeur, il lui appartenait, et je n’avais aucune envie que cela cesse me contenant au maximum de mes possibilités. Mes éclats de voix vinrent envahir la pièce où nous nous trouvions allongées sur son lit en plein préliminaire. J’étais expressive, et cela ne me dérangeait guère car c’était un moment partagé avec mon grand ami Alcide. Une totale confiance que je m’étais même allé à me déverser dans sa bouche une réelle sensation de bonheur, il avait réussi à avoir le dessus à tel point que j’avais pris un pied, un premier orgasme. Le connaissant maintenant de ce côté-là, je savais qu’il était capable de faire jouir une femme à de multiples reprises et cela ne faisait qu’agrandir mon désir.

    Je ne trouvais rien de chiquant là-dedans, nous étions proches, unis de manière à ce que certaines personnes ne pourraient comprendre ce lien entre nous, c’était différent de tout et jamais je n’avais eu une telle relation avec quelqu’un, ce lien était indescriptible mais servait désormais à mon bien-être et à mon équilibre. Sans sous-entendus, aucuns remords, aucuns regrets, simplement de la satisfaction en tout point et une amitié indestructible que même les yeux bandés et guidée au son de sa voix je n’aurais aucune crainte à suivre ses directives.

    J’oubliais totalement ma maladie celle qui me rongeait de l’intérieur mais cet exemple ci dans les bras d’Alcide me fit comprendre que cette fichue « chose » que je portais en moi n’arriverais pas à ses fins, que je la combattrais au maximum, que j’étais une battante et que jamais cette leucémie ne prendrait le dessus de sur ma vie, jamais ! Bien sûr je n’étais sure de rien mais le mieux était encore de ne rien changer et de vivre pleinement ce que je compris d’ailleurs sur le moment avant de m’être effondrée face à Alcide à l’annonce de mon verdict médical. J’étais bien plus forte que cela et j’allais le prouver. Je me sentais « femme » à part entière et Al’ n’avait pas pris cette décision de passer du bon temps ensemble par pitié mais simplement par envie, ce qui faisait toute la différence. J’étais Miss Emy Conway, la combative.

    J’étais en pleine reprise de mon souffle, pour poursuivre, bien sûr que nous n’allions pas nous arrêter en ce début de chemin, ce n’était qu’un petit encas et pour cause, me redressant je jouais avec les mots pour l’inciter à me désirer encore plus et à partager ce qu’il venait de me faire subir. J’aimais que les deux êtres soient comblés. Et ressentir ce sentiment sur l’autre personne, le sentir se raidir sous ses doigts, ses gestes, sentir la respiration de l’autre se saccader, la peau frissonner à mon contact, tant de sensations qui faisaient partie du plaisir charnel.

    Faire l’amour était à la portée de tous, mais partager une complicité, une confiance aveugle était encore plus rare à mon avis. C’était réciproque, nos sentiments quel qu’ils soient étaient les mêmes et cela nous suffisait amplement, on savait à qui l’on avait à faire, on appréciait grandement la personne avec qui l’on était tout comme nos corps étaient en parfaite harmonie, s’assemblant comme un puzzle pouvant avoir de multiples facettes concordantes. C’est pourquoi je m’étais posé des questions sur un éventuel avenir avec lui, pendant un long moment cette idée fusionnait dans mon cerveau que cela ne m’aurait pas choqué mais lui en ayant parlé précédemment dans sa cuisine, il avait été clair que je n’avais pas eu le droit de lui avouer une telle chose après l’annonce désastreuse que je venais de lui dire.

    Je me sentais tout autre, presque féline, la température de mon corps s’était élevée, mon souffle était plus lourde, puis attendant que ma proie prise en griffe réagisse, ce que fit Alcide en m’embrassant, baiser que je lui rendis avec fougue soudain il se recula, je savais que faire parcourir ma langue sur son corps et au creux de son cou allait l’amener à frissonner davantage à mon plus grand plaisir…Il se mit à me murmurer quelques mots qui sur le coup me surprirent, je le regardais donc avec un air interrogateur puis le vit doucement se défaire de mon emprise, le libérant en desserrant l’étreinte de mes jambes autour de sa taille, ne sachant vraiment pas à quoi m’en tenir. Je l’observais sentant mon corps devenir peu à peu à température normale. Se roulant vers son chevet il semblait y chercher quelque chose, un préservatif peut-être, bien que cela m’étonnait quelque peu non pas que nous étions inconscients de pratiquer sans se protéger, mais ayant trouvé ce dont il avait besoin il revint à mes côtés un sourire se dessinant sur son visage, qu’étonnée je me demandais bien ce que cela pouvait être…

    Puis ses lèvres se décelèrent de nouveau ou il employa une formule de politesse et d’un ton distingué ces quelques paroles.

    Ses lèvres de nouveau sur les miennes, il me glissa une chose en main, un anneau pénien pour augmenter le désir et le faire durer bien plus longtemps. Je n’étais pas très adepte de ce genre de chose, mais pourquoi pas, après tout j’aimais découvrir de nouvelles choses, de nouvelles sensations alors l’anneau en main, et un sourire radieux aux lèvres je le fis basculer en arrière presqu’avec violence lui jetant en regard taquin, mes mains lui caressant le torse tandis que ma langue s’amusait à jouer avec l’extrémité de ses pectoraux

    Si tel est ton désir mon cher…

    Léchant le pourtour rosacée e chacun des deux, avant de les mordiller gentiment puis le bout de ma langue descendit lentement mais avec force tantôt effleurant sa peau et tantôt la faisant plus pointilleuse jusqu’à son bras ventre ou je laissais défiler lentement ma bouche découvrir ou plutôt redécouvrir cette partie intime de son corps. Je ne voulais pas trop non plus l’exciter pour pouvoir enfiler l’anneau, chose que je fis très sensuellement tout en regardant le professeur, son membre en main.

    Je n’avais qu’une envie lui sauter dessus mais avant tout je voulais qu’il profite du même supplice que moi, posant mes lèvres sur son entre-jambe l’embrassant et le stimulant avec des va et vient lents, sensuels, parfois plus intenses, plus rapides, tandis qu’une de mes mains caressait son torse, redescendant jusqu’à ses cuisses. Je m’activais en fonction de mon ressenti, de son souffle, de sa façon de bouger sous mes mouvements parfois à la limite de la perversion. Peu importe, je me sentais « chienne « en cet instant, rien de vulgaire simplement l’effet du désir et de l’envie. Je le regardais, tout en continuant avec sensualité, puis prenant l’objet du désir telle une glace, passant la langue de part et d’autre. Puis sans plus me préoccuper d’une certaine manière de son bon vouloir je pensais à moi, à l’envie grandissante que cela me faisait de l’avoir en ma possession lui et son corps tout entier, que je ne voulais plus m’arrêter, ne souhaitant qu’une chose, l’entendre et le sentir vibrer sous l’effet de ma bouche sur son membre viril, voulait qu’il prenne un pied tel que celui que j’avais eu un peu plus tôt, qu’il s’abandonne tout à moi de multiples façons…
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyLun 22 Aoû - 13:03

    Il ne fallait parfois pas chercher bien loin pour avoir l'impression d'exister. L'être humain est ainsi fait que le moindre petit événement peut chambouler une vie entière... dans le bon sens comme dans le mauvais sens, d'ailleurs. C'était valable pour Alcide, bien sûr, comme c'était valable pour tous les êtres humains, sans aucun doute. La condition humaine a cette particularité d'être extrêmement inflençable et ce, de tout temps et de tout lieu, peu importait le contexte, finalement, les faits étaient là, il n'était tout simplement pas possible d'échapper à ce corollaire de l'existence humaine. Homme ou femme, adulte ou enfant, tout un tas de choses permettait d'avancer, comme de reculer, dans la vie.
    Et de ces diverses influences possibles, les rencontres sont très certainement à la fois les plus importantes et les plus imprévisibles. Il n'y avait aucune certitude dans le fait de croiser la route d'une personne : la reverrons-nous un jour ? Deviendrons-nous proches ? Pourrons-nous envisager de faire un bout de chemin ensemble ?
    Pour le cas d'Emy Conway, ces trois questions avaient trouvé une réponse positive. Ce n'était pas toujours ainsi que cela se passait, mais cette jeune femme était particulière. Elle avait quelque chose d'assez exceptionnel aux yeux de van Stexhe et, s'il avait pu envisager, ne fût-ce qu'un instant, lors de leur première rencontre, de la mettre dans son lit sans que rien ne vienne ensuite l'obliger à quoi que ce soit, il n'avait pas été mécontent d'attendre le bon moment. Car la première fois qu'il avait découvert le corps d'Emy, la première fois qu'il se l'était approprié, pour ainsi dire, et qu'il avait passé la nuit avec elle, en remettant cela à plusieurs reprises, il avait réellement pu savourer chaque instant, comme si le simple fait d'attendre, de n'être plus en couple avec Lucie, de croiser Emy par hasard et de lui permettre de jouer son rôle d'amie n'avait fait que décupler les sensations et le plaisir possibles. Ce soir-là, le professeur avait compris à quel point l'amitié qui les liait l'un à l'autre n'avait rien à voir avec autre chose. Le désir qu'il avait éprouvé le premier soir n'avait jamais disparu, certes, mais parfois, l'homme s'était dit que s'il avait insisté le soir de leur rencontre, il n'aurait jamais eu la chance de découvrir la personnalité réelle de cette jeune femme, il n'aurait jamais pu non plus s'en faire une si bonne amie et il ne serait sans doute pas là, chez lui, avec elle, occupé à lui montrer à quel point il continuait et continuerait sans doute à la désirer.

    Recevoir une jeune femme chez lui, ce n'était déjà pas quelque chose de vraiment très courant. Ouvrir la porte de sa demeure à une histoire de cul, cela n'arrivait que si la fille en question en valait la peine. La preuve qu'Alcide était un peu difficile sur le sujet, c'était qu'il n'avait couché dans son loft qu'avec Addison, Lexie et il s'apprêtait à le faire avec Emy. Par respect pour Elyott, le quinquagénaire évitait de ramener trop de femmes ici. Parce qu'il fallait un certain équilibre pour l'enfant, mais aussi parce qu'il ne voulait pas avoir à expliquer à ce petit garçon de sept ans comment il se faisait que son père n'avait qu'une seule amoureuse tandis que son parrain, Alcide, en avait plein de différentes... et puis, au fond, le sexe dans des lieux insolites, c'était très agréable aussi. En tout cas, l'homme s'amusait bien dans ces situations-là, que ce soit avec Lexie ou avec Olive, ça avait toujours son charme... Avec Sacha aussi, d'ailleurs... Et puis, c'était aussi un peu ce vers quoi il voulait aller avec sa collègue, Gemma. Bref, van Stexhe ne s'ennuyait pas vraiment, mais cela ne l'empêchait pas de ressentir une profonde solitude à un tout autre niveau.
    D'accord, ses bras étaient souvent le lieu où il reccueillait des femmes, mais depuis Lucie, jamais plus il ne s'était autorisé à espérer plus que cela. Du sexe, tout simplement. Sans sentiments la plupart du temps, parfois un peu quand même, mais la relation qui se rapprochait le plus du sexe avec des sentiments, c'était celle qu'Alcide entretenait avec Emy. Toutefois, il s'était bien gardé d'avouer cela à la jeune femme, parce que ça ne se disait pas, parce qu'il lui avait dit qu'il n'était pas possible d'envisager autre chose que cette amitié améliorée entre elle et lui... et puis aussi parce que ce n'était pas si mal, en fin de compte. D'ailleurs, miss Conway ne s'en plaignait pas non plus et elle semblait très bine s'en accomoder, elle aussi.

    Alcide s'était détaché d'elle un instant, le temps de trouver l'anneau pénien qu'il convoitait, puis avait rejoint les lèvres de la jeune femme, lui glissant l'objet de métal entre les doigts avec pour consigne de le lui enfiler pour que tous deux puissent profiter plus longuement de l'érection de van Stexhe et du plaisir que pouvaient procurer de tels ébats.
    Emy lui accorda un sourire avant de le pousser sur le lit, le faisant basculer avec une certaine sauvagerie qui faisait plaisir à voir. Elle le caressait de ses mains, puis de la langue, jouant à goûter les zones érogènes de ses pectoraux, soit en en léchant les aréoles, soit en en mordillant carrément les extrémités, provoquant chez l'home une foule de sensations qui semblaient partir de ses pectoraux pour aller se nicher un peu partout dans son corps, remontant dans le haut de son torse ou descendant le long de l'échine... Cette délicate petite souffrance lui avait toujours procuré un plaisir indicible et presque coupable : n'était-il pas de l'ordre de la perversion de prendre goût à certaines souffrances ? Mais bon, ce n'était pas du masochisme, loin de là, c'était quelque chose de savoureux, d'agréable, à la limite entre plaisir et douleur, juste sur le fil, ce qui faisait que, la situation aidant, ces sensations étaient interprétées comme du plaisir. La seule fois où l'homme n'avait pas apprécié ce traitement, c'était il y avait pas mal de temps, quand une fille, plus que débutante dans le domaine du sexe, avait accepté de le mordiller, mais qu'elle s'était un peu emballée et l'avait mordu jusqu'au sang. Avec Emy, c'était loin d'être cela.

    Sans pour autant gémir, Alcide avait fermé les yeux. Il était couché sur le dos, les bras écartés, totalement livré aux bons soins de sa chère amie, et il lui faisait parfaitement confiance. Elle le connaissait suffisamment pour savoir ou pour deviner ce que l'homme pouvait bien apprécier, il le savait pour l'avoir déjà vécu, miss Conway s'y prenait comme une déesse lorsqu'elle y mettait tout son coeur. Enfin, peut-être pas comme une déesse, parce que foncièrement, il n'était pas vraiment possible de faire l'amour à un être surnaturel, mais en tout cas, van Stexhe trouvait qu'elle s'y prenait à merveille et que cela ne pouvait que faire croître l'envie et le désir.
    Quand elle lui enfila le cockring, l'homme eut le droit de la voir à l'oeuvre, tandis qu'elle le regardait, et, sincèrement, une telle vision, c'était comme regarder un show érotique. Voir son propre sexe tout à fait soumis aux bons soins de cette jeune femme, c'était carrément excitant et l'homme vit bientôt sa jeune amie se pencher vers son pénis, ce qui le poussa à agripper la couverture comme pour mieux s'assurer de rester sur place et de ne pas fondre suite aux traitements que l'étudiante lui réservait.
    Emy le caressait aussi bien de la bouche que des mains et Alcide avait tendance à essayer de se confondre avec le matelas. Il avait l'impression de s'enfoncer dans l'objet et que seul son sexe restait en dehors, toujours aussi soumis à la bonne volonté de miss Conway... dans ces cas-là, il est quasiment impossible de contrôler son corps comme on le voudrait. Tout disparaissait, exception faite de la bouche qui s'activait sur son membre, inondant peu à peu le corps tout entier d'une vague de chaleur, de petits papillons un peu partout et puis poussant la respiration à se saccader... Tout était hors de contrôle, en réalité, et si van Stexhe avait voulu décider de quelque chose, quoi que ce soit, il aurait été bien en peine de le faire. Toute réflexion lui était désormais interdite et, les yeux fermés, il fut bien forcé de déglutir à plusieurs reprises, surtout lorsque la langue d'Emy s'était mise à s'occuper du gland, insistant parfois juste à l'orée de l'urêtre, ce qui n'était pas étranger à la coupure de souffle dont fut victime van Stexhe une première fois.

    Le souffle coupé, le sexe turgescent et quelque peu tremblant, l'homme sut que si la jeune femme continuait de la sorte, il éjaculerait. Se redressant soudain, Alcide se mit à caresser les cheveux de sa partenaire, tout doucement, tandis qu'il enfonçait son sexe un peu plus dans la bouche d'Emy...
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyLun 22 Aoû - 17:43

  • Etant venue ici pour annoncer une triste nouvelle en soit, je me retrouvais nue dans la chambre du professeur qu’était Alcide et mon grand ami par la même occasion, à entamer les préliminaires qui se faisaient vraiment intenses, prenant le soin de faire partager à l’autre les délices d’un corps contre un autre sous toutes ses formes, ici ou les baisers linguales étaient la priorité, un baiser intime faisant se sentir « vivant ». Je ne pensais plus à ma maladie et me retrouvais en phase avec moi-même retrouvant ainsi la vraie Emy Conway que j’étais. Cela me rendit plus forte, car malgré tout cela pouvait changer des tas de choses vis – à –vis des autres, de mes amis, de tous ceux qui étaient au courant. J’avais même perdu des amis à cause de mon état de santé, certains ne voulant pas me voir dépérir sous leurs yeux, immobiles ne pouvant rien faire pour me soulager. Au fond je pouvais les comprendre ce n’était évident pour personne mais alcide était le seul à vraiment me soutenir et cela me touchait de telle façon qu’il était une personne encore plus spéciale pour moi.

    Lors de notre première rencontre à cette projection jamais je n’avais pensé que cela irait à ce stade d’amitié si prononcé, mais je ne regrettais en rien la moindre parole à son égard, le moindre geste, car si tout était à refaire je le referais exactement pareil excepté peut-être le fait de lui avoir quelques peu ouvert mon cœur lui disant que j’avais des sentiments pour lui mais à un mauvais moment de notre relation surtout après lui avoir révélé ma faiblesse qu’était cette leucémie. Je n’étais pas entré dans les détails mais je le tiendrais au courant de l’évolution ou de la régression de mon état général.

    Mais même avec toutes ses choses qui intervenaient dans notre vie, je n’avais jamais cessé non plus de ressentir ce sentiment de bien-être avec Alcide, ouvert à tout et sur tout que rien ne semblait être gênant entre nous. Le seul petit hic pourrait être cette attirance continue qui n’avait changé en rien et qui se révélait être toujours présente à chacune de nos rencontres, brèves ou pas d’ailleurs ; cela me faisait penser que parfois dans les couloirs de Berkeley lorsque nos regards se croisaient, je pouvais sentir mon cœur battre plus que de raison m’imaginant dans ses bras, dans son lit ou ailleurs, sentant une excitation monter en moi.

    Installes tous deux dans sa chambre à chauffer l’atmosphère, que nos corps se réclamaient et réagissaient sous les caresses de chacun de nous, ne faisaient que faire grandir ce désir, j’étais entrée en sa demeure, sous son toit, sur son lit sachant que désormais il était « parent » et étant proche de lui, je savais qu’il se préservais de ne pas ramener une tonne de conquête en ces lieux, voire que très peu pour ne pas perturber Elyott s’il devait un jour le surprendre au lit avec une jolie jeune femme. Il ne fallait pas confondre amour et sexe, que croirait le petit blondinet s’il voyait un beau matin Alcide non seul sous sa couette ? Une éventuelle « maman » de substitution…Bref, pour l’instant il n’était pas là, et nous pouvions en profiter avant d’aller allé le récupérer chez son ami Bryan. Cette relation que nous entretenions n’était pas si dérangeante que cela, du moment où l’on ne se posait pas de questions, car si toutefois nous devions creuser un peu plus côté sentiment et incluant son filleul, cette relation que nous avions ne serait plus la même j’en étais sûr et puis n’était-ce pas suffisant d’une certaine manière. Je me savais aimer à la manière d’Alcide, que je lui étais précieuse et vis-versa, et que rien ni personne ne changerait cela. Alors autant profiter et poursuivre ainsi, simplement…

    Ayant changé les rôles du dominant-dominé, j’avais pris le dessus voulant qu’il apprécie chacune de mes caresses faites de mes mains ou encore plus accentuées de ma bouche. Je ne souhaitais qu’une seule chose, qu’il me désire, qu’il prenne un plaisir lui aussi, d’une grandeur telle que je le l’avais ressenti préalablement par sa façon de faire habile. Je ne me sentais plus vraiment comme une personne ayant des principes, seuls le désir comptait, l’envie et l’appel des corps. Je pouvais sentir Alcide profiter de ma façon de faire levant un bref instant les yeux sur sa personne, qui se raidissait. Sa posture sur le dos le faisait s’ouvrir totalement à moi et j’aimais cela, qu’il s’abandonne à moi entièrement sans aucune retenue. Des longs va et viens, de l’effleurement à l’insistance, tout un mélange qui faisait que je ne savais qu’il tiendrait encore longtemps comme cela, mais le but principal était qu’il se sente transporter pleinement. Je pouvais le sentir se raidir de multiples façons sous mes gestes prononcés, ma bouche enveloppant la partie intégrante de son entre-jambe qui devait être au maximum de ses possibilités tant l’excitation était présente et que le désir ne devait plus être bien loin. Son souffle se saccadait de plus en plus, ce qui me ravi je devais l’avouer et cela avait le don de m’exciter de nouveau ; entendre l’autre personne succomber à vos caresses étaient comme un privilège, qui flattait. Je pouvais ensuite sentir la sensibilité que ma bouche avait sur son pénis, m’attardant quelques peu lentement et doucement dessus ce qui eut le don de faire son petit effet, quand je le sentis se redresser, ses mains caressant ma longue chevelure brune défaite, insistant sur la pratique atteignant le moment fatidique de l’explosion après tout pourquoi me refuser à une telle chose ?

    Accédant à sa demande indirecte, je poursuivais avec lenteur et de manière prononcée pour enfin le sentir se déverser en moi, ne me stoppant pas pour autant, voulant lui faire atteindre le 7ème ciel de cette première façon. Je n’omis pas non plus d’accompagner la fin de mes caresses buccales avec quelques gémissements avant de ne le sentir se relâcher totalement et attendant maintenant ses directives, ne voulant pas non plus le voir faire un malaise, il avait tout de même un certain âge et trop d’effort ou trop d’émotions pouvaient parfois amenés le corps à faire une petite rupture…alors m’essayant sensuellement la lèvre inférieure, je reviens vers lui à sa hauteur, posant mes lèvres délicates au creux de son cou, mes mains l’enlaçant, l’entendant reprendre sa respiration.

    Tout va comme tu veux Monsieur Van Stexhe ? Lui murmurais-je avec une vois des plus sensuelles, douces qu’il ne me connaissait pas.

    J’étais guidée par mon corps et celui-ci me faisait être différente, plus réceptive, plus ouverte, plus sauvage s’il le fallait aussi, mon cerveau en totale ébullition que rien n’était plus interdit, pouvant se permettre tout allant même jusqu’à la perversion.
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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyMar 23 Aoû - 18:50

    Il paraît que l’on peut compter ses amis sur les doigts d’une main. Sur ses doigts, Alcide pouvait compter Edward, Samuel, Howard, Cheyenne et Emy. Chacun à leur manière, ils étaient tous importants pour le quinquagénaire. Et Emy était assez proche de ce que l’on pouvait appeler, assez communément, une meilleure amie. A ceci près que van Stexhe préférait la considérait comme quelqu’un de sa famille plutôt que comme une amie comme les autres. Il la voyait plus comme une sœur ou quelque chose comme cela, bien qu’il n’ait jamais couché avec sa sœur et n’avait jamais eu ni l’envie ni l’intention de le faire.
    Elle était capable de le comprendre, il le savait. Elle était capable, aussi, de lui apporter certaines choses dont il avait besoin… et il espérait pouvoir le faire pour elle également. Jusqu’ici, il ne pensait pas avoir commis d’erreur, pas avec elle, jamais. Et il se laissait pourtant guider par l’instinct, rien d’autre.
    Pourtant, dès leur première rencontre, il lui avait dit qu’elle était tout à fait son genre de femme. Sans doute miss Conway n’avait-elle jamais oublié ces paroles… et lui non plus. Il ne le lui avait jamais dit, mais chaque fois qu’il la voyait, même de loin – car sa silhouette était reconnaissable entre mille pour lui – il éprouvait la même sensation, ce désir qui grimpait en lui. Toutefois, il ne fallait pas penser en ces termes. Le fait qu’Alcide la laisse entrer dans sa vie comme il l’avait fait était déjà quelque chose de très important pour lui. Cela, il se disait que la jeune femme le savait, qu’elle comprenait parfaitement la place qu’elle occupait dans sa vie. Et lui n’était pas dupe de ce qu’il ressentait dans cette histoire. Quand le désir se mêlait à une amitié si forte, cela pouvait devenir une véritable addiction. Sans que ce ne soit à proprement parler de l’amour, ça n’en était pas si loin que ça… Mais il ne fallait pas y penser. Car la femme que van Stexhe pensait aimer pour de bon n’était autre qu’Eileen Dawson… peut-être Emy pouvait-elle être celle qui pouvait aider Alcide à y voir plus clair dans tout ça.

    Le sexe avec Emy, c’était ce que l’homme connaissait de plus proche de l’union amoureuse. Même si pour le moment, il était plutôt loin d’éprouver autre chose que du plaisir.
    Alcide était soumis aux bons soins de la jeune femme et il frissonnait. Tout ce qui l’envahissait n’était que plaisir, il n’y avait rien d’autre à dire. La bouche d’Emy allait et venait, ses lèvres se posaient, effleuraient, caressaient… sa langue titillait, léchait, caressait… et le sexe d’Alcide réagissait à ces stimuli de manière clairement réceptive. Alors forcément, au bout d’un moment, l’homme ne put plus tenir et, s’enfonçant plus profondément dans la bouche de son amie, presque jusqu’à sa gorge, il finit par se libérer, se relâchant sans même pensé à essayer de se retenir un peu plus longtemps. Le souffle court, les tremblements de l’homme prirent fin tandis qu’il s’était raidi de toute la longueur de son corps.
    Il s’était libéré, il avait profité pleinement des bons soins d’Emy et, à présent, reprenant peu à peu son souffle, couché toujours sur le dos, le quinquagénaire vit bientôt la jeune fille se redresser, s’essuyant la lèvre de manière plus que suggestive, et venir à sa hauteur, l’embrassant au creux du cou et l’enlaçant doucement…
    Quand elle lui adressa la parole, ce fut pour lui demander si tout allait bien et ce, de manière à nouveau très suggestive. Elle était à sa hauteur, nue contre lui et lui, eh bien, il se devait de récupérer un peu avant de passer aux « choses sérieuses »… Alcide lui caressa de nouveau les cheveux, enroulant une mèche couleur châtain autour de son index…


    "Pourquoi irais-je mal avec ce que tu viens de m’offrir ?"

    Van Stexhe soupirait d’aise. Il se sentait bien, pour le moment, c’était habituel après la jouissance… il ne pouvait penser à rien d’autre que ce vide qui avait pris place dans son esprit… Il chercha la bouche de miss Conway, l’embrassa, d’abord doucement, puis avec de plus en plus de ferveur, avec une certaine sauvagerie… Son érection était maintenue grâce à l’anneau pénien, mais il allait lui falloir un bon quart d’heure pour récupérer pleinement tous ses moyens, toutes ses facultés… alors, là, il pourrait s’occuper d’Emy comme elle le voudrait… et comme il le voulait, lui aussi.

    * A peu près trois quarts d’heure plus tard *

    Van Stexhe se laissa tomber sur le matelas, le souffle à nouveau court, le corps entièrement satisfait et l’envie de rester là, couché, avec sa partenaire serrée contre lui, était plus forte que tout. Une fois encore, l’homme avait pris son pied avec miss Conway. Chaque fois, avec elle, il se sentait comme repu. Elle et lui, pour ça, étaient assez fusionnels, ils s’emboîtaient parfaitement et chaque geste était entre eux comme une évidence. Il l’embrassa encore, la regardant droit dans les yeux et souriant.

    "Tu sais à quel point tu es géniale, Emy ?" Le professeur ponctua ses paroles par un baiser déposé au coin des lèvres de la belle, puis il la serra contre lui, l’étreignant comme s’il ne l’avait pas vue depuis bien longtemps. "Je pourrais rester des heures comme ça, avec toi…"

    Des heures… il espérait bien qu’ils pourraient fêter ensemble, dans quelque temps, la guérison de la jeune femme. Alors là, il serait tout à fait partant pour passer vingt-quatre heures au lit avec elle, à festoyer pour l’occasion, à faire l’amour encore et encore, à lui donner du plaisir, à la rendre heureuse… Oui, c’était ce qui arriverait. Van Stexhe y croyait dur comme fer.

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MessageSujet: Re: C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) C'est l'occasion pour moi de t'avouer certaines choses [Alcide] (HOT) - Page 3 EmptyMer 24 Aoû - 10:54

  • Pour ma part, Alcide faisait partie de ces gens particuliers qui faisaient que ma vie était meilleure, qu’elle avait un sens et qui m’aidait à avancer. Les loyaux, les vrais amis étaient rares, mais le peu que j’avais étaient satisfaisants et unique en leur genre. Alcide était en tête de liste, il reflétait la sincérité, la maturité (bien que parfois il savait se comporter en grand-enfant, un côté que j’aimais aussi chez lui),la sagesse et l’expérience de la vie sans oublier le fait qu’il savait comment me faire rebondir comme ce fut le cas, là chez lui. Il arrivait toujours à me faire me sentir mieux, que ce soit pour une situation difficile ou en ce cas présent pour ma maladie que je pensais combattre par tous les moyens. C’était comme le grand-duc, je le mettais sur un pied d’estale il était mon meilleur ami, le considérant même comme mon protecteur. C’était la seule personne à m’apporter diverses choses en même temps et vis-versa. On ressent des choses parfois tellement évidentes qu’on n’avait même pas besoin d’en parler, lui et moi on se comprenait tout simplement et sur bien des sujets d’ailleurs.

    Alcide était le genre d’homme à mes yeux le plus parfait que je connaisse, même si la perfection n’existe il s’en rapprochait, tout en ayant ses petits péchés mignons tel que le volage allant butiner d’une fleur à l’autre, mais c’était cela qui faisait qu’il était cet homme-là. Personnellement je ne m’étais jamais posé la question à savoir combien de femmes il avait comme « maitresses » ? Ou encore comment il se sentait avec elles, les autres ? Mais je m’en fichais car je savais que j’étais à part ; prétentieuse, moi ? Certainement pas, mais nous avions ce lien indéniable qui faisait que c’était exceptionnel entre nous deux et que ce serait toujours le cas, même si l’un de nous, un jour prochain devrait se mettre en couple ce qui changerait certaines choses entre Al’ et moi, mais cette amitié serait toujours intact et sincère.Chacun faisait partie de la vie de l’autre à forte dose, et puis Elyott aussi.

    Il n’était pas question d' « amour » entre le professeur et moi, du moins pas de sentiments amoureux, simplement le fait d’être bien, serein et…A bien y réfléchir, si l’on approfondissait la question cela en était toutefois proche…Mais pourquoi se torturer l’esprit alors que nous étions bien ainsi, c’était parfait dans l’état actuel des choses, non ?

    M’occupant d’Alcide le sentant se raidir sous mes gestes, de diverse manières, je savais qu’il appréciait grandement l’attention que j’avais pour lui et sur lui, jusqu’au moment fatidique où il se lâcha entièrement dans un râle immense de pur bonheur. Son souffle court, la réaction de son corps après cette intense délivrance montrant qu’il avait pris un pied fou me rendit tout bonnement heureuse ! Oui le fait de savoir que j’avais pu lui faire partager un tel plaisir, bien que ce ne fût pas la première fois d’ailleurs, je le rejoignis tandis qu’il était allongé sur le dos l’enlaçant doucement, lui demandant si tout allait bien, avec un petit sourire aux coins des lèvres. Il me caressa les cheveux, enroulant même une mèche de de ma chevelure abondante. Et ces mots me firent sourire davantage. Je me sentais vraiment bien, à ma place et loin de tout. Agréable sensation depuis bien longtemps, ne laissant aucune place au stress et aux difficultés de la vie. Se penchant vers moi, il m’embrassa doucement avant de ne se faire plus envieux sans retenue, un long moment à se caresser tendrement, se câliner le temps qu’il puisse se remettre de ses émotions pour la grande aventure qui avait duré plus de Trois quart d’heure. 45minutes où nos corps s’étaient assemblés de nouveau, changeant de position, diversifiant les rôles de dominant et de dominé qu’après une jouissance partagée, tous deux, nous nous étions laissés aller sur le dos le souffle encore saccadé.
    Je le regardais, toujours ce sourire suspendu aux lèvres, les yeux comme émerveillés, où il serrait dans ses bras, sentant la chaleur de son corps contre le mien ayant toujours un frisson après l’acte, tandis qu’il plongea son regard dans le mien.

    Et bien maintenant que tu me le dis…en fait je le savais déjà ! Je suis génialissime et tu es un privilégié, veinard va !

    Je venais de retrouver ma joie de vivre, cette petite étincelle que je croyais perdue avec cette fichue maladie qui m’avait fait flancher le moral, mais là plus rien, la vie valait la peine d’être vécue et je me persuadais que je gagnerais contre cette chose qui était en moi, qui faisait partie de moi…

    L’expression de mon visage était détendue, sereine, et le fait d’avoir aussi de l’intention après avoir fait l’amour, même si nous n’étions pas amant ou amoureux était toujours très agréable et réconfortant. Puis la suite de ses mots se fit entendre en moi comme le gong. Me redressant pour me poser sur son torse le regardant un instant t après de nouveau un doux baiser, je repris.

    En parlant d’heure, elle tourne et il va falloir aller chercher Elyott, alors debout. Et tu ne vois aucun inconvénient à ce que j’empreinte ta salle d’eau, n’est-ce pas ?

    Je laissais de nouveau un petit blanc s’installer avant de reprendre la parole une fois encore.

    Moi aussi je pourrais… mais vu l’effet que tu me fais à chacune de nos croisades ou de nos rencontres, je crains fort que je ne sois plus souvent sur toi à gouter ton corps que dans tes bras à me réchauffer, lançais-je accompagné d’un clin d’œil.

    Puis en faisait exprès je passais au-dessus de lui sensuellement histoire de le taquiner pour me rendre à sa salle de bain pour y prendre une bonne douche avant d’aller récupérer le petit blondinet avec qui je devrais discuter de certaines choses beaucoup moins drôle ce qui, à cette pensée me fit avoir une expression de pâleur un court instant. Je ramassais mes affaires et allais rejoindre la salle d’eau me faufilant sous la douche, ou l’eau chaude coulant sur mon corps me fit un bien fou…
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