Balade crépusculaire [Emy] {Hot}

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Je ne sais pas pourquoi j'avais posé une telle question, les choses paraissaient claires non? Alcide prit la paroles comme pour me rassurer, je l'écoutais, le regardait attentivement puis un léger sourire illumina mon visage, tandis que nous étions toujours dans les bras l'un de l'autre. Sentir ses lèvres dans mon cou, ne put que me faire perdre pied tout en me faisant prendre conscience que le choix était vite fait. Je voulais passer cette nuit avec lui, après tout nous ne faisions rien de mal, nous étions adultes, consentants, même si lui était professeur e tmoi étudiante, mais peu importe chacun de nous garderait cela pour soi, non? Je ne doutais nullement de lui, j'avais confiance, même si une petite chose m'intriguais, je devais bien l'avouer, il était d'âge mûr, intéressant, cultivé et bonx nombres de femmes avaient dû passer des moments agréables dnas le creux de ses bras, de ce fait il devait avoir une grande expérience, sexuellement parlant. Bien sûr j'avais eu des conquêtes à mon actif, mais c'était lors de soirée arrosée, où se passaient que des choses dirons nous plutôt classiques, une simple coucherie, pas de pratiques hors norme, tout juste du sexe, histoire de passer un bon moment à s'éclater, avec une autre personne. Et puis je pensais que certaines pratiques devaient se faire en compagnie de personnes choisies, dans un climat de confiance, à croire que tout se faisait sur cette base...

Le sourire aux lèvres, je le contemplais, puis l'idée de la douche ne me déplaisait en rien, mais tout arrêter de la sorte reviendrait à gâcher ce moment, alors, je l'enlaçais davantage, passant mes mains de son cou à ses joues et l'attirer à moi, sans le quitter du regard, puis une fois mon souffle tout proche du sien prêt à se mélanger, je repris tout doucement.

Après cette balade crépusculaire, on pourrait tout aussi voir l'aurore se lever sur la mer, dis-je en frôlant ses lèvres, avant de m'abandonner totalement à lui, reprenant mes caresses, dans une lancée de baisers fougueux, désireux, ce genre de baiser qu'on donne pour avoir en retour toute l'attention demandée, voulut. Mes mains, se posèrent sur son torse avant de ne descendre lentement jusqu'à la ceinture de son pantalon, la déserrant, pour ensuite ouvrir son pantalon. Mes fines mains, remontèrent sous son tee-shirt, avec aisance, et douceur, du creux de ses reins que je touchais à peine du bout de mes doigts. Mes baisers bien qu'ennivrant restèrent plutôt chastes sur l'instant, des gestes lents, mais si perceptibles. Puis arriver à hauteur de son torse encore entretenus pour son âge, je le lui ôtais, le jetant à terre. Je pus admirer le haut de son corps, qu ne faisait qu'accélérer mon rythme cardiaque, et élargissant mon sourire. J'aimais cette sensation, celle que l'on ressentait lorsqu'on se dénudait, peu à peu face à une autre personne, au début d'une rencontre, laissant voir la personne telle qu'elle. Son corps, peu à peu, un regard, un geste, une infime sensation d'étourdissement...Bref, m'écartant ensuite de lui, une fois à demi-nu, je laissais ma veste rejoindre son tee-shirt et sa chemise précédemment retirés, prenant une inspiration, avant de me coller à lui, pour l'embrasser de nouveau, moins chastement cette fois-ci, étant plus désireuse, sentir de nouveaux son étreinte sur ma personne, mon corps frémir sous ses caresses légères, sentir mon corps tout entier frissonner, entrant dans un changement de température, un souffle plus lourd, un désir plus grand, mais cette sensation devait se perdurer. Je me collais encore plus contre lui, et puis être entre ses bras qui savaient parfaitement se diriger, était un réel supplice, un supplice que l'on voudrait ne pas voir se terminer mais bien au contraire.

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Au sourire qu’elle venait de lui faire, Alcide comprit que si Emy avait eu quelques craintes, ce ne devait plus être le cas à présent. Son sourire était léger, mais lumineux. Typiquement le genre de sourire qui brise la glace et déplace des montagnes. Un sourire qu’on a envie de voir plus souvent se peindre sur les visages des jolies filles…
En embrassant miss Conway dans le cou, van Stexhe avait voulu lui montrer qu’il était un homme doux, qu’il pouvait être tendre et qu’il était à l’écoute de ses partenaires. Pas question pour lui de forcer une fille à se plier à ses envies masculines si elle ne le désirait pas également. C’était aussi simple que cela… et jusqu’à présent, il n’y avait jamais eu de problèmes avec cette façon de faire.

Tandis que la jeune femme le regardait, lui se montrait patient. La question venue un peu plus tôt pouvait signifier beaucoup au niveau des craintes d’Emy et, par conséquent, van Stexhe patientait, attendant que sa belle amie ait pris une décision. Puis, quand elle l’enlaça et attira son visage un peu plus vers le sien, alors que leurs yeux ne se quittaient plus, comme s’ils étaient reliés entre eux par un fil incassable, elle parla et fit sourire l’homme.
Voir le lever du jour sur la mer… voilà une superbe image. Avec le clair de lune, c’était sans aucun doute les deux clichés les plus connus des moments romantiques. Et, à vrai dire, le côté cliché mis à part, l’idée ne déplaisait pas du tout à van Stexhe.

"Il y a longtemps que je n’ai plus contemplé le lever du soleil, tu sais… voir celui-là avec toi, ce serait doublement magnifique…"

Elle avait frôlé ses lèvres, doucement, avant de reprendre ses caresses et ses baisers, de plus en plus entreprenants, puis les mains de la jeune femme étaient descendues de son torse jusqu’à sa ceinture et là, il n’y avait plus la possibilité de faire marche arrière.
Alcide aimait sentir les mains de la belle s’occuper ainsi de ses vêtements, il avait l’impression d’être un cadeau qu’elle déballait et c’était une impression tout à fait stimulante… et quand il vit miss Conway ôter sa veste après lui avoir enlevé sa chemise et son tee-shirt, l’homme eut très envie de déballer son cadeau, lui aussi… mais déjà, Emy s’était collée à lui, l’embrassant de plus en plus fougueusement, indiquant clairement qu’elle éprouvait le même désir que lui. Alors il l’étreignit, il enfouit son visage dans ses cheveux et laissa ses mains passer doucement dans le dos de la belle. Et, comme par réflexe, tandis que la main gauche de l’homme se laissait glisser sur les fesses d’Emy, l’autre main se glissa sous son haut, dans le dos, pour découvrir la sensation qu’était celle de la peau de la jeune Alpha.

L’espace entre eux avait été réduit à sa plus simple expression et les mains ne cessaient de s’affairer, à l’instar des deux bouches qui semblaient ne plus vouloir se quitter… mais van Stexhe mit fin à ce langoureux baiser pour laisser ses lèvres descendre lentement au creux du cou de miss Conway. C’était sans doute l’une des parties du corps féminin qu’il préférait. La peau y était souvent très douce, presque tendre, avait-il parfois envie de dire, et c’était une sorte de charnière entre la tête et le corps, un passage presque obligatoire dans chaque découverte d’une femme qu’il faisait, en somme…
Déposant en cet endroit une kyrielle de petits baisers, l’homme remonta doucement la main gauche pour la faire glisser sur la hanche d’Emy, afin de chercher l’ouverture du vêtement qui cachait ses jambes. Les jambes aussi, c’était quelque chose qu’il aimait. Surtout lorsqu’elles paraissaient bien longues… et quand il trouva, il ouvrit tout en se mettant à chercher à nouveau la bouche de la jeune femme pour y poser ses lèvres. Une fois le vêtement prêt à être ôté, les mains remontèrent légèrement, pour s’attaquer au tee-shirt de miss Conway. Alcide le lui retira doucement, en la caressant toujours, en prenant bien son temps pour faire croître encore le désir…

"Dis-moi, qu’est-ce qui te ferait plaisir, Emy… ?"

L’homme avait parlé d’une voix douce, non sans cesser de couvrir la belle de baisers et de caresses. Il voulait qu’elle se sente en sécurité, qu’elle sache qu’elle pouvait lui demander tout ce qu’elle voulait, qu’il était prêt à tout pour qu’elle se sente bien avec lui, pour qu’elle obtienne satisfaction de ses besoins et de ses désirs…

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C'était si...intense, tout avait été vite dans le sens où l'on se retrouvait chez moi, l'un près de l'autre à échanger des baisers, des caresses, nos souffles mêlés, nos rythmes cardiaques battant plus forts, la sensation dégagée par ce moment. Je voulais être sûre de ne pas faire fausse route avec Alcide. Nous étions tous deux amis, nous le savions, comme nous sachions que peu importait ce qui se passerait entre nous ce soir ne changerait en rien notre lien. Cette réticence au début à me laisser aller était parce qu'il m'intimidait au plus point, mais j'aimais cela, me sentir comme fragile aux creux de ses bras, sous ses caresses légères, c'était ennivrant. J'aurai voulu à plusieurs reprises lui sauter dessus, me faire plus entreprenante, mais pas tout de suite, je voulais faire durer le plaisir, faire en sorte que la température monte encore dans la pièce. Sentir le sang dans nos veines monter en pression peu à peu. Retirant les vêtements du professeur, et ôtant ma veste Alcide, poursuivit le tracé de mon corps avec ses mains.

Il était ravi par ses paroles de rester là, cette nuit avec moi, que je souriais et mourrait d'impatience de partager tant de choses avec lui. Mais je pris mon mal en patience, je voulais profiter de chaque moment, de chacun de ses baisers. Il était adroit en tout point, il avait de l'expérience c'était indéniable, que je pourrais me laisser guider aux moindres de ses désirs...

La découverte du corps de l'un et de l'autre était une chose qui me faisait frissonner, surtout quand le contact de la peau entrait en jeu. La chaleur de sa main dans mon dos, me relaxait, tandis que celle qui descendit sur mes fesses, faisait qu'accroître mon désir pour lui. Je n'étais pas du genre d'habitude à me contenir mais Alcide serait l'exception même. Les yeux fermés pour apprécier davantage les moindres sensations éprouvées, il se détacha de mes lèvres, empruntant le chemin de mon cou. Je me mordillais la lèvre inférieur, quel supplice me faisait-il endurer?! Mon coeur s'affolait de plus en plus, me retenant toujours pour prolonger ce moment de découverte. Son souffle contre ma peau, ses lèvres se posant à cet endroit si perceptible...Je l'enlaçais passant doucement une main dans sa chevelure grisante, il faisait monter la température de mon être tout entier. Ce que nous faisions était mal d'un point de vue éthique, mais tellement excitant. Je ne tiendrais plus longtemps...et quoi que je puisse faire, Al' était un homme ouvert d'esprit et je n'avais donc aucun soucis à me faire si toutefois je me montrais vraiment entreprenante, et puis il était une sorte de fantasme. ou tout était permis dans l'interdit même!

Ouvrant mon pantalon comme pour me libérer, il ôta par la suite mon haut qui rejoignit ses vêtemens au sol, nos bouches de nouveau jointes. Nous étions si proche de la fusion qu'une ennivrance s'empara de moi, lorsqu'il reprit la parole.

"Dis-moi, qu’est-ce qui te ferait plaisir, Emy… ?"

Cette phrase résonnait en moi, que passant mes mains sur son visage après un baiser des plus expressifs, je lui rétorquais.

A toi de me dire Alcide, surprends moi. Dis je tout en redescendant mes mains le long de son corps jusqu'à son pantalon que j'ouvrisdavantage d'un coup pour le faire rejoindre le carrelage. Peut-être sauvage dans mon geste, mais quand vous ressentez une vraie attirance, un désir ardent, que vos plusions prennent le dessus de votre raison, alors tout est permis. Et j'avais tendance à être comme cela en tant normal, j'aimais le sexe, m'éclater, et me savoir avec Alcide, à franchir ce cap, était très...captivant. C'est pour cela que je ne fis pas attention sur le moment que je venais de le tutoyer.

Ne restant plus que son caleçon, je ne pus résister à le regarder. Puis m'approchant de nouveau de lui, je collais ma poitrine encore vêtue contre son torse, avec une telle passion, plus libérée, plus entreprenante, sans oublie de le caresser du creux des reins, à ses fesses, avant de ne murmurer à son oreille.

Tout nous est permis cette nuit, c'est la nôtre, rien que la nôtre, dis je ne lui lançant un regard plus sûr, reculant ensuite d'un pas, me mordillant les lèvres, avant de ne retirer moi-même son pantalon avec sensualité sans le quitter des yeux, comme pour me découvrir face à lui, lentement, faisant qu'augmenter son envie face à ma personne. Je poussais ensuite mon vêtement puis m'avança vers lui tel un félin à patte de velours, soutenant son regard et détachant mes cheveux dans geste tout aussi lent. Je passais ensuite mon bras autour de son cou tandis que ma main se posa son torse, je me collais de nouveau à lui, mon bassin contre le sien, des points culminants, ou le désir se fit ressentir, ou seuls deux morceaux de tissus séparaient nos parties intimes...Et où mes lèvres se posèrent sur les siennes, pour un baiser chaste comme pour attiser encore plus le désir...Le faire languir, à son tour, mais tiendrait il face à ma provocation naissante?

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Face à une femme, Alcide pouvait adopter plusieurs comportements. Soit la femme en question le laissait complètement indifférent et il pouvait alors se comporter avec elle comme avec un mec, sans aucune arrière-pensée… soit la femme l’attirait et alors là, c’était tout à fait autre chose : l’homme adoptait une attitude tout à fait autre. Il pouvait être charmant, attentionné, romantique, même, et tout faire pour mettre cette femme dans son lit. Ce qui finissait souvent par arriver, un jour ou l’autre.
Cette attitude, c’était typiquement celle qu’il avait eue le soir où il avait fait la connaissance d’Emy Conway. Il avait très vite vu en cette jeune fille une demoiselle plaisante, tout à fait à son goût et parfaitement sympathique, en plus de cela…

Alors ce soir, évidemment, il n’y avait pas à se poser de question : van Stexhe était prêt à passer avec elle une soirée et une nuit très excitantes. Il voyait bien que ce désir était réciproque, de toute manière, alors à quoi bon se priver ? Se priver des bonnes choses, ce n’était pas son genre. Alors voilà, il n’y avait pas à chercher midi à quatorze heures.

Dans le salon d’Emy, debout, les deux personnes s’étaient assez bien rapprochées et il y avait peu de chances qu’elles en restent là, car, à force de faire durer le temps de la découverte, viendrait bien un moment où tomberaient les masques et où chacun se révèlerait tel qu’il était.
A travers les caresses et les baisers, un tas d’émotions pouvaient passer et celle qu’Alcide percevait le plus, comme si elle était la seule émotion, d’ailleurs, était celle du désir, de plus en plus ardent, un désir sans cesse renouvelé, un désir qui donnait envie de foncer tête baissée dans l’aventure sans avoir à réfléchir et sans avoir à penser aux conséquences de tout cela. De toute manière, les choses étaient très claires, entre miss Conway et le professeur, s’il devait y avoir quelque chose ce soir – et le contraire aurait vraiment étonné Alcide, soit dit en passant – cela n’altèrerait en rien leur amitié. Après tout, il n’était pas interdit de s’amuser entre amis.

Enlacés en une étreinte plutôt serrée, l’homme et la jeune fille s’adonnaient au déshabillage lascif et lent, une méthode qui ne pouvait, en réalité, que faire monter plus encore le désir pour l’autre. Prendre son temps de cette manière ne déplaisait pas à van Stexhe. Il aimait prendre son temps lorsque c’était possible… et ce soir, c’était tout à fait faisable.
Il l’avait laissée lui ôter son pantalon, il l’avait regardée enlever le sien et ce qu’il découvrait était loin de le laisser de glace. Puis, la jeune femme lui avait demandé de la surprendre. Il avait souri. C’était bien un truc de femmes, ça. Elles voulaient souvent être surprises, et, le plus souvent, elles le demandaient lorsque l’homme n’avait pas grand-chose sous la main et n’avait presque pas de temps pour réfléchir et organiser quelque chose d’exceptionnel.
Et puis, sincèrement, comment voulez-vous réfléchir avec une jeune femme délicieuse collée contre vous ?

Emy s’était reculée légèrement, d’un pas, et elle se mordait la lèvre, semblant attendre qu’Alcide agisse. Mais elle se contenta de pousser au loin son pantalon, avant de revenir vers lui et de se coller à nouveau contre son corps, uniquement habillée de ses sous-vêtements. Toujours souriant, l’homme l’accueillit et, passant les mains au niveau des cuisses de la belle, il la caressa doucement avant de l’attirer à lui et de la soulever en plaçant ses mains sous les fesses de miss Conway.
Cette manière de porter une femme, ça avait l’avantage de laisser à l’homme le dessus, tout en permettant aux parties intimes des partenaires d’être très proches, séparées uniquement par le tissu qui les cachait… Embrassant encore les lèvres de l’étudiante, Alcide lui répondit à voix basse :

"Indique-moi la route, je t’emmène où tu veux…"

Et là, il pourrait la surprendre. Car oui, le salon, ce n’était pas son endroit préféré pour ce genre de galipettes. D’abord parce que le tapis ou le canapé, ça avait tendance à lui faire mal au dos… ensuite parce que la proximité du mini-bar lui donnait soif et presque envie de se prendre une bonne murge et enfin, parce qu’il préférait de loin une étreinte bien faite que quelque chose qui semblait complètement improvisé.

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L'ambiance était des plus légères dnas le sens oùalcide et moi nous nous entendions bien, nous étions proches, des amis, et ce soir seront bien plus "amants" pour une nuit, ce qui ne me déplaisait guère, au contraire, j'étais dans un état d'apesanteur face à lui. Ce petit jeu de séduction me ressemblait au fond, j'avais toujours eu ce côté de bad girl que peu connaissait, mais ce soir Alcide en verrait tous mes côtés. Je n'avais pas peur de me livrer à lui, au contraire, j'avais plutôt hâte de le surprendre peut-être, même s'il avait dû connaître des jeunes femmes bien plus entreprenantes, plus chaudes que je ne l'étais, mais chaque personne était différente, les ressentis aussi et puis je savais qu'une chose spéciale nous liait lui et moi ce qui rendait les choses, notre rapprochement plus intense!

Après avoir lancé mon pantalon à l'écart sur le sol après l'avoir ôté avec délicatesse et lenteur, je m'approchais de lui, sensuellement, me faisant désirer peu à peu, quand étant collée à son corps, je sentis ses mains sur mes cuisses, avant de ne me porter contre son bassin. Une sensation qui me fit intensément plaisir en tout point. Mes jambes autour de sa taille, je pouvais sentir à travers ces bouts de tissus nos intimités ne demandant qu'une chose, mais à quoi bon se précipiter? Nous avions toute la nuit devant nous et le petit matin. Ce serait une première pour moi, de passer la nuit avec une personne et de rester dans le même lit au petit jour, j'avais souvent eu des histoires de ce genre, une nuit intense remplie de sexe, mais prenant toujours la fuite au petit matin pour ne pas créer de situation délicate avec des explications ou un éventuel attachement de la part de mes partenaires, mais là, c'était l'exception, Alcide van Stexhe!

Puis d'un murmure il me demanda de lui indiquer le chemin à prendre, ce qui me fit sourire après avoir partagé un baiser, sentant la douceur de ses lèvres sur les miennes. Il me faisait fondre, et mon envie se faisait grandissante!

"Indique-moi la route, je t’emmène où tu veux…"

Salle d'eau, troisième porte à droite dans le couloir, pour commencer...

Accrochée à lui, l'entourant de mes bras, mes mains sur sa nuque, passant dans sa chevelure, et mon bassin oppressant le sien par un mouvement de ma part, je l'embrassais avec fougue, tantot avec envie , tantot avec délicatesse,nos lèvres collées où je mordillais doucement sa lèvres inférieure sans pour autant réellement le mordre, ma poitrine contre son torse, sentant ses mains virils sous mes fesses, endroit qui me faisait toujours un effet frissonant, non loin du point culminant, où les sensations pouvaient être tout aussi plaisantes que si l'on caressait une autre partie du corps.

Nous dirigeant vers la salle de bain je lui indiquais la douche, bien plus pratique et plus agréable aussi pour ce genre de chose. Je ne voulais pas qu'il me lâche jusqu'au moment où nous entrions dans cet espace ou je fis couler l'eau sur nos corps. En sous-vêtement tous deux, l'eau ruisselait sur nos peaux, traversant nos derniers morceaux de tissus, mon ensemble blanc, laissait peu à peu apparaitre les formes de mon corps, le dessin parfait de ma poitrine comme un voile qui se retirait peu à peu laissant apparaitre ma nudité peu à peu. Je sentais mon souffle se faire plus lourd, mon envie s'aggrandir, puis mes lèvres rejoignirent de nouveau ses lèvres pour un baiser ayant beaucoup moins de retenue, ne laissant qu'une seule pensée à mon partenaire, que désormais on pouvait se lâcher, qu'il pouvait me surprendre en tout point que j'étais à lui...

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Raaah, les femmes et le pouvoir qu'elles exerçaient ! C'était dingue. Et quand on y était soumis, par la force des choses dirons-nous, il était impossible de s'en dépêtrer. Après ça, on s'étonne qu'Adam avait croqué le fruit défendu avec Eve...
Alors voilà, lorsque les caresses du sexe de la jeune femme sur le sien se firent lascives et insistantes à la fois, Alcide sentit un frisson lui parcourir l'échine de haut en bas, puis de bas en haut, tandis que son bas-ventre commençait à abriter une pieuvre qui dansait la gigue au beau milieu de ses organes.

Sa pomme d'Adam, saillante à souhait, montrait bien à quel point les choses devenaient difficilement supportables pour l'homme... car, après tout et malgré tout, il n'était justement qu'un homme ! Et quand on est un homme, qu'on est en train de porter une femme qui est occupée à vous chauffer comme un barbecue, croyez-moi, il est sincèrement très complexe de rester concentré sur la route à emprunter. Et dans ces cas-là, on remercie Dieu d'avoir créé des lignes droites… (comment ça, c'est pas Dieu qui les a faites ?)
Suivant le chemin indiqué par miss Conway, van Stexhe se dirigea vers la porte de la salle de bains, les deux amis finirent dans la douche, que la jeune femme mit en route assez rapidement pour qu’ils s’y engouffrent, tous deux encore enlacés.

Pour Alcide, une femme était en quelque sorte un héros. De ceux dont le monde est peuplé et dont on ne parle pas assez. Quel mec pourrait se vanter d’être capable de porter neuf mois durant un poids au cœur de son ventre ? Quel mec serait capable de supporter la douleur et la souffrance de l’accouchement ? Quand il avait accompagné Gwendoline à la clinique pour son premier enfant, Mr van Stexhe avait bien vu que ce n’était pas une partie de plaisir ! Quant aux neuf mois passés avec un être vivant qui grandissait dans son ventre, en tant que frère, il en gardait le souvenir de changements d’humeur intempestifs, de nausées, d’un constant besoin d’être rassurée… Oui, les femmes étaient de véritables héros, d’un tout autre ordre que les Batman, Superman et autres types hyper musclés et parfois dotés de multiples pouvoirs. Les femmes étaient les héros de toujours, ceux sans qui le monde ne pourrait être en équilibre…

Vous comprendrez alors ce que l’homme ressentait en portant Emy jusqu’à la douche. Il avait l’impression, chaque fois qu’une femme lui permettait ce genre de choses, d’être un homme privilégié, autorisé à apporter un peu de plaisir à une héroïne des temps modernes. C’était une question de respect et de fascination. La femme, c’était une œuvre d’art. Pour la comprendre, ce n’était pas toujours facile et l’Artiste avait volontairement mis beaucoup de mystère dans ce magnifique chef-d’œuvre…
Jamais il ne prendrait le risque de faire quelque chose pouvait blesser une femme. Bien sûr, comme tout être humain, Al avait des défauts et était parfois un peu maladroit, mais il n’aurait pas pris la jeune femme dans ses bras s’il n’avait été certain de pouvoir lui assurer un atterrissage tout en douceur dans le bac de douche. C’est ce qui se passa.

Là, s’embrassant à nouveau sous l’eau tiède qui ruisselait sur leurs corps enlacés, l’homme ne put que remarquer la transparence nouvelle des sous-vêtements de sa compagne. Le tissu, humidifié, faisait plus que suggérer des formes pleines, de jolies courbes pleines de promesses. Sans mettre fin à leur baiser, Alcide laissa ses mains remonter lentement dans le dos de la jeune fille pour dégrafer son soutien-gorge.
L’impatience de l’homme était à son comble et cela se traduisait physiquement, comme pour tout homme en bonne santé. Couvrant la peau nue de la jolie demoiselle de ses baisers insistants, l’enseignant ressentait cette fringale de caresses, de peau et de formes qui l’envahissait et guidait ses gestes et sa bouche. L’effet lingerie transparente combiné à l’effet Emy était on ne peut plus fort, dans une telle situation… et Alcide ignorait les bruits de la vie environnante. Seuls comptaient Emy Conway et l’instant présent… Ses lèvres rejoignirent à nouveau le creux du cou de la jeune femme, tandis que ses mains venaient de se poser délicatement sur le tissu du soutien-gorge, au niveau des bretelles, pour les faire descendre tout doucement, non sans caresser encore la peau de la demoiselle. Une fois cette barrière de tissu tombée, Al laissa ses mains continuer leur découverte, l’une s’aventurant à nouveau sur les fesses d’Emy tandis que l’autre optait pour sa poitrine.

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Je me laissais guider, aller à lui, portée dans ses bras virils, il avait un tel effet sur moi que cela en devenait presque effrayant dans le sens où je me demandais à quel moment j'allais défaillir, mais il fallait que cela dur, ce moment de découverte de l'un et de l'autre sous les baisers, les caresses ennivrantes... Dans un début d'excitation, un rapprochement des corps, des intimités, cette chaleur qui grimpait peu à peu et l'idée de la douche était en soit un remède temporaire pour se rafraîchir et faire perdurer notre désir commun. J'avais envie de lui, et vis versa. L'eau coulait sur nos peaux, dans cette douche où Alcide me posa délicatement à terre, une sensation agréable de pouvoir comme glisser tout contre lui se fit ressentir. Sensation de chaud par l'eau de la douche, et de froid par les frissons provoqués. C'était suffoquant!

J'avais l'impresison d'être comme du crystal, à la fois fragile et précieux entre ses mains dans la façon dont se comportait le professeur avec moi. Faisant attention à ne pas me brusquer, comme attendant le moindre signe de ma part pour pouvoir avancer dans cette nuit, il était d'une douceur et d'un touché incroyable. Chacune de ses caresses sur mon corps était différente, que j'en appréciais le moindre contact.

Nos lèvres avaient du mal à se séparer même un court instant, cette envie montante, une respiration lourde, accélérée, et ces petites étoiles dans les yeux que je ressentais sous l'effet des baisers d'Alcide dans mon cou, de ses mains dans mon dos qui dégraffèrent mon soutien-gorge pour pouvoir bientôt libérer ma poitrine, avant que celles-ci ne prennent deux chemins opposés, l'une rejoignant mes seins tandis que l'autre descendit sur mes fesses. Le creux des reins, cette chute avait toujours été chez moi un point culminant, pourquoi? Je n'en savais rien. Mais je trouvais cet endroit du corps très expressif à sa manière, lorsque l'on fait l'amour, le mouvement provenait de là, les coups de reins offrant un rythme effreiné ou à l'inverse, bref...pour atteindre ensuite l'extase.

Il avait une façon de s'y prendre qui m'ennivrait, il avait un savoir-faire, c'était assuré, il passa ses doigts au niveau des bretelles et fit tomber mon sous-vêtement dans la douche. Puis ne voulant pas succomber rapidement sous ses caresses, étant plutôt une femme très réceptive à ce genre de chose, je voulais continuer avec ses préliminaires, pour ne pas passer à l'acte de suite, même si mon envie grandissante ne cessait de croître...Je le poussais doucement contre la paroi de la cabine de douche, puis lui déposait des baisers de ses lèvres à son cou, de son torse développé. Mes mains de chaque côté de ses flancs, rejoingnaient le creux de ses reins du bout des doigts, ma bouche insistante suivant la trajectoire en ligne droite pour arriver à son nombril. Mes mains s'incrustèrent entre sa peau et son caleçon qui laissait apparaître un membre envieu de tout chose, ce qui me fit sourire intérieurement, satisfaite de voir que je pouvais faire un tel effet sur un homme, c'était flatteur et encore plus excitant!
Baissant son dernier vêtement, où je me retrouvais accroupie face à lui, lui ôtant ensuite son caleçon, je poursuivis mes caresses de ses mollets jusqu'à ses cuisses tout en frottant mon corps contre le sien, qui désormais était nu et magnifique. Sensuellement, je remontais sur son corps, ma poitrine nue, telle une caresse contre son entre-jambe dressé, une délicieuse sensation, regardant Alcide, non pas avec un regard de perversité, mais de désir charnel qui m'envahissait.

Mais retarder l'inévitable avait un côté des plus plaisant surtout lorsque vous sentez que votre partenaire est au bord du gouffre, ne voulant qu'une chose, vous attrapper pour vous couvrir de sensation fortes. Etait ce le but recherché? En toute fin? Oui bien évidemment. Ne le lâchant pas du regard, et le caressant toujours de mon corps à demi-nue, je ne pus m'empêcher de lui sourire doucement, avant de n'effleurer ses lèvres comme hésitante, pour un baiser volé, le regardant une seconde fois tout sourire envieux, avant de coller mes lèvres délicatement sur les siennes, avec une réelle douceur, où le souffle de ma bouche vînt se poser sur le visage d'Alcide, avant que mes lèvres ne s'entre-ouvre contre les siennes, laissant ma langue pénétrer lentement dans celle de mon amant d'un soir pour une folle danse. Mes mains ayant atteint le sommet de son cou passant par ses épaules pour un baiser fougueux et bien plus expressif, envieux reflétant cette envie qui commençait à me serrer le bas du ventre peu à peu...

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Bien que le désir soit commandé par le cerveau conscient, il fait partie de ces éléments difficilement maîtrisables qui font pourtant partie de vous. Et Alcide, comme tout un chacun, était soumis à la bonne volonté de son propre corps.
Dans cette douche, en si charmante compagnie, comment aurait-il pu résister ? Tous les éléments semblaient réunis pour que le professeur et l’étudiante passent ensemble un moment inoubliable, de ceux dont on se rappelle par la suite avec l’arrière-goût doux-amer de la nostalgie…
Envahi par une multitude de sensations qui convergeaient toutes vers le désir, Alcide n’était que douceur, dans cette douche. Il prenait le temps d’effleurer chaque partie du corps d’Emy, découvrant ce que jusqu’alors des vêtements l’avaient toujours de voir ou de toucher. Elle avait la peau douce, la toucher était très agréable et l’homme, toujours avide de nouvelles parcelles de ce corps, de plus de peau, de plus encore de ce corps, ne pouvait cesser de balader les mains sur la jeune fille…

Quand van Stexhe posa les yeux sur la poitrine de la belle Alpha, il sut pourquoi il avait toujours aimé cette partie-là du corps de chaque femme. Chaque poitrine était différente et chaque caresse aussi. Il commença par une caresse englobant un sein à la fois, puis recentra sa main sur l’aréole, effleurant du pouce le sommet de l’organe…

Et puis, soudain, ce fut Emy qui agit, le poussant contre la paroi de la cabine, avec une douceur qui ne nécessitait aucune résistance de la part du professeur qui, de toute manière, n’avait aucune envie de résister ni de ne pas profiter de la vue que lui offrait la situation. Ainsi adossé, Alcide se retrouva couvert de baisers, sur les lèvres, le cou, le torse… Il se demandait bien jusqu’où miss Conway comptait descendre… les mains de la jeune fille s’étaient rejointes dans le bas de son dos, provoquant mille frissons qui semblèrent remonter tout le long de sa colonne vertébrale, et la bouche de la demoiselle arriva à son nombril.
À ce moment-là, quelque chose se passa dans le bas-ventre d’Alcide, juste sous son nombril… Il y eut comme un tourbillon de fourmis sous sa peau, quelque part au milieu de ses organes internes… et cela ne s’arrêta pas lorsqu’il sentit les mains de la demoiselle glisser entre le tissu de son caleçon et sa peau… Elle fit descendre le sous-vêtement et s’accroupit face à lui, continuant des caresses, sur ses jambes, cette fois, puis, sa poitrine nue vint se faufiler sur le sexe de l’homme dont la respiration se saccada momentanément, tandis que son cœur sembla louper un battement.

Alcide ferma les yeux un instant et déglutit. Les circonstances alimentaient en lui une kyrielle d’émotions et de sensations. Bon sang, il ne pourrait pas patienter éternellement, il aimait les caresses, il aimait les multiples effets que tout cela lui procurait, mais bon sang, c’était bien trop intense pour durer des heures… Tous ses sens étaient en éveil, il voulait qu’Emy ressente la même chose… L’envie était forte, très forte… Sentir contre lui le corps presque entièrement dénudé de cette jeune femme, c’était trop excitant pour ne pas réagir… Ce corps qui remontait doucement contre lui, ce corps dont le point culminant s’approchait de sa tête… Van Stexhe la vit sourire, puis il sentit l’effleurement des lèvres d’Emy sur les siennes… avec un souffle qui lui donna l’impression d’être brûlant… et là, la jeune femme laissa sa langue intrusive prendre possession de la bouche d’Alcide. Tout doucement, d’abord, puis, alors que ses mains avaient rejoint la nuque du professeur, cette langue se fit endiablée…
Un french kiss… un baiser intime où les corps s’interpénètrent, d’une certaine manière. L’homme se prit au jeu, caressant du bout de la langue celle d’Emy, puis l’enroulant autour, passant dessus et dessous…

Van Stexhe glissa la main droite au creux des reins de l’étudiante et, laissant son bassin se coller contre celui de la jeune femme, il fit glisser la main gauche sur la cuisse de la belle qui portait toujours un dernier rempart de tissu… un rempart qu’il fallait faire tomber… ce que l’homme s’employa à faire, sans cesser d’embrasser sa partenaire. Il était pressé, il avait envie de commencer les choses sérieuses et cet empressement le rendait un peu maladroit… pas moyen d’enlever à Emy son dernier vêtement, l’enseignant se débattait avec l’élastique, essayait de faire descendre le sous-vêtement blanc, sans y parvenir tout à fait… il l’aurait bien arraché, mais il ne voulait pas risquer d’irriter sa compagne de ce soir… alors Alcide essayait, tant bien que mal, en commençant doucement à s’énerver sur ce fichu tissu…

Invité

Je n'étais pas si démonstrative d'habitude, j'étais plutôt du genre à passer à l'acte pour le simple plaisir de prendre mon pied, juste pour le sexe, pour mon plaisir personnel avant tout. C'était ma face cachée, mon défaut, mais ici avec Alcide je voulais que les choses perdurent encore et encore. J'aurai pu à notre arrivée ici, lui sauter dessus, le dévêtir et faire qu'on fasse l'amour ensemble, aussitôt mais pas avec Alcide, pas comme ça.

Cette soirée était plaisante, une bonne compagnie, un clair de lune, toujours ses sous-entendus cette fois-ci plus approfondis, plus rapprochés, puis l'invitation d'un dernier verre, chez moi dans ma villa, où personne n'était encore venu, Alcide était le premier qui entrait ici, dans mon petit monde.
Et puis nous savions tous deux que tôt ou tard les choses prendraient une toute autre tournure, on s'attirait c'était indéniable, tant physiquement que par l'aspect de la personnalité. Un verre vite bu et à peine goûter pour Al' que je m'étais empressée à aller vers lui. Attendre devenait un supplice, il me plaisait énormément et bien plus encore. Puis tout s'enchainait à une vitesse que nos vêtements nous quittèrent pour rejoindre le sol carrelé au ton blanc et nos deux corps commencèrent un rapprochement très agréable, surtout lorsqu'il me porta dans ses bras, mes jambes autour de son bassin, ses mains virils à hauteur de mes fesses, c'était excitant. Puis le moment du passage de la douche, une eau chaude ruisselante sur nos corps, des baisers échangés, une tendresse hors paire. Ses mains parcourant mon corps me firent frémir après avoir remonté le long de son corps qui réagissait à mon touché du bout de mes doigts, quand je m'amusais plus ou moins à l'embrasser avec fougue, une french kiss des plus envieux, ce qui devait l'exciter davantage je pouvais sentir son envie grandissante contre moi, il avait envie de moi.

Goûtant encore ma peau, il ôta mon soutien-gorge me retrouvant la poitrine nue qui se raffermissait sous l'effet de ses gestes, de ses mains habiles qui me fit avoir un souffle plus court sans quitter ses lèvres, sa peau. Il voyageait sur mon corps, nous étions presque à armes égales, même s'il me restait encore une pièce de tissu recouvrant mon intimité sur lequel Alcide semblait ne pas avoir le dessus. Cela me fit sourire, puis me décollant de lui doucement, soutenant son regard, toujours un léger sourire aux lèvres, je pris la parole.

C'est aussi simple qu'un paquet cadeau, dis je tout en prenant ses mains pour les poser de chaque côté de mes hanches, il suffit simplement de tirer sur le noeud, poursuivis-je en continuant les gestes que l'élastique se fit plus ample ensuite tout entier, Je me manquais pas de le regarder. Toujours ses mains dans les miennes, je l'aidais à me retirer ce dernier obstacle entre nous avant de ne le lancer plus loin dans le bac de douche.

Nous sommes à égalité désormai, et j'espère que le cadeau est plaisant.

Mais je ne comptais pas en rester là et je voulais le récomposer à ma manière d'avoir été si patient et si doux.Faisant un pas vers lui, je m'approchais tout près de lui, déposant mes lèvres délicates sur son torse, ses pectoraux ou j'aimais titiller doucement les tétons cela avit un effet aphrodisiaque parait-il chez certains hommes, entre deux lappées sensuelles, mes mains descendant le longs de ses flancs jusqu'à ce qu'une d'elle se dirige vers son membre dressé. J'aimais caresser la partie inférieure de cet endroit, malaxant doucement avant de ne faire quelques gestes habiles tout en douceur faisant grandir encore son envie. Je le sentais se raidir sous mon touché, ce qui me fit mordre un peu plus les extrémités de son torse qui pointaient... Atroce souffrance, non? Je le sentais aux bords d'émotions fortes, mais cela me plaisait d'autant plus que l'acte serait fort et intense du moins je l'espérais.

J'aurais pu être plus expressive encore dans mes gestes, mais j'aimais cette sensation que j'avais sur lui de domination, même si je n'étais pas contre d'être dominée. une sorte de jeux pendant l'acte, qui rendait les choses plus excitantes, plus chaudes et qui faisait que l'envie était plus intense, plus présente, où même les interdits n'en étaient plus quand toutes sortes de sensations s'emparaient de vous, parfois même de schoses inavouables...

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