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Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV

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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyMar 21 Déc - 11:47

    Impossible impossible, non pas tant que ça mais bon.. Plus il y pensé et plus il se demandait pourquoi il n'avait pas revu Florence depuis autant de temps? De la gêne? Timidité? Pas envies d'avoir de nouvelles de son côté pour lui? Autres? Une question pas résolu, mais il comptait bien la résoudre dans l'après-midi, pas question de l'inverse, et puis c'est tout. Après tout, il en fallait de la chance non pour tomber, oui là tomber est vraiment le verbe exact, sur Florence, ou plutôt l'inverse, alors qu'il était à Paris au lieu de San Fransisco, et elle aussi, et en pleine rue comme ça, alors qu'aucun signe, ou presque, ne destinait à ce genre de situation. Coïncidence? Surement, mais le destin avait bien fait les choses après tout. Enfin bref, ils étaient là, tous les deux, ensemble alors que ce n'était pas arrivé depuis un loonnggg moment alors c'était Estevan qui allait s'en plaindre.

    « Je peux te dire que je comprends parfaitement ce que c'est de quitter tous ces proches pour vivre autre part, une nouvelle vie, un nouvel entourage, et une nouvelle ville.. Mais je vois que tu t'en ai bien sorti tout de même, et puis dit toi d'un côté que si t'avais pas fait tout ce chemin, on ne se serait jamais rencontrés hein (a) ! »


    Estevan avait cette bouille, celle qui voulait tout dire, du moins, que les filles pouvaient comprendre. En l'occurrence, c'était Florence. Ou du moins, il l'espérait. Oui c'était évident, Flo' devant lui, ça ne le laissait pas indifférent. Mais comment faire? Fin il ne ressentait pas de sentiments envers elle, du moins pas à ce qu'il sache oO Mais ça l'étonnerait, vu ce qui lui était arrivé précédemment, avec qu'il en ai à nouveau, il allait falloir du temps..Mais là n'était donc pas la question. La question était, qu'est ce qu'il ressentait pour Florence? Cette attirance qu'il avait pour elle. Purement sexuel? Non, Estevan ne pensait pas ceci, et c'était ça si on peut dire le problème. Si ce n'était pas de l'amour, si ce n'était pas purement sexuel c'était quoi? Ça il ne savait pas.. Mais fallait bien découvrir un jour non? Du moins, il l'espérait.. Pour le moment, il penchait pour de l'amitié, avec quelques peu d'ambigüité. Mais ce n'était pas le moment d'y penser, là direction les magasins. Wuuf, ça allait être marrant.. A la réflexion de Florence il lâcha un petit rire, innocent. Non elle n'avait pas le choix et il avait l'impression que ça ne la dérangeait aucunement, la preuve, elle rentra directement dans la boutique où il l'avait amené. Il ne s'était pas trompé apparemment, il connaissait ses goûts plus qu'il ne le croyait. Parfait non? En tout cas, la robe qu'elle portait, elle avait besoin d'être changé donc. Et à peine rentré dans la boutique, Florence avait trouvé son bonheur, si c'était pas dingue ça peut être? C'était Flo' en même temps, où elle posait la main, elle trouvait beau. 'Marque c'était pratique, pas trois cents ans pour choisir un truc.. quoique ça restait à voir quand il y avait plusieurs trucs. Ce qui faisait bien rire Estevan des fois. Enfin bref, quand il vit la robe, il hocha la tête. Ouais pas mal pas mal, mais il préférait la voir sur elle. Une fermeture éclair en plus.. Huuh il voyait venir le truc d'ici. La connaissant elle allait lui demander. Leur jeu, du moins si ça arrivait, il dirait pas non, bien au contraire (a) ! A son enthousiasme pour cette robe Prada, c'était surement celle là qu'elle allait prendre. Direction cabines d'essayage donc. Estevan attendit contre l'arête d'un mur, bras croisé, dans la direction des cabines, soit dos au reste du magasin. Personne dans les cabines, parfait.. Haan Estevan, reprend tes esprits c'est pas le moment, pas embrasser Florence, pas l'embrasser..! Fallait qu'il se retienne.. ça allait être dur.. plus facile à dire qu'à faire.. Puis elle sorti des cabines. Étincelante, comme toujours à vrai dire.. Et le moment qu'il attendait arriva, ou du moins ce qu'il avait prévu qui arriverait. La fermeture éclair. Avec un regard charmeur, s'approcha d'elle.

    « Avec plaisir..! »

    Il l'a fit tourner sur celle même pour avoir la fermeture en face de lui. Au final, elle était dos à lui. Remontant délicatement cette fameuse fermeture éclair, sous sa longue chevelure blonde, sa nuque dénuée.. Non n'allons pas plus loin, du calme les hormones, c'était Florence, la meilleure amie de sa soeur Fleur, oui mais elle, il avait couché avec elle déjà, et recommencer.. il ne dirait pas non.. Cette robe lui allait magnifiquement bien, comme tout à vrai dire, même rien (a) Ayant fini de remonter la fermeture, il posa ses mains sur ses hanches et la colla contre lui. Il vint pour l'embrasser dans son coup, à droite, mais se retint au presque au dernier moment, et remontant quelques peu, pour l'embrasser juste sur le milieu de la joue au final. Un baiser tendre.. Heureusement qu'il n'y avait personne dans les cabines et pas beaucoup de monde dans la boutique, personne ne les voyaient. En revanche, eux se voyaient, la glace en face d'eux, leur reflet. Non de diou, quel supplice la vie des fois! Non Estevan aller se retenir, et éloigna un peu sa tête de Florence, mais ne bougeant pas plus, il allait bien voir ce qu'il allait se passer de toute façon..!
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyMer 22 Déc - 14:10

    ... si t'avais pas fait tout ce chemin, on ne se serait jamais rencontrés hein (a) ! Je ne pouvais m'empêcher de sourire à la vue de son minois qui venait me sursurrer de belles phrases bien tournées. Il n'arrêta pas dans ses phrases de lancer de petits sous-entendus mais je ne céssais non-plus de les intercepter au vol pour en lire la subtilité. J'essayais pourtant de n'y prêter aucune attention mais ces petites remarques me faisaient chaud au coeur. Il ne m'avait finalement pas oublié. Cela faisait très plaisir. Le soir où nous nous étions enfin parlé pour la première fois avait l'une des plus belles nuits que j'avais passé depuis mon arrivée à berkeley. En faîtes, en me voyant ainsi à ses côtés et aux côtés finalement de tous les autres hommes de BCU, on pouvait se dire que j'étais quelqu'un d'assez timide envers la gente masculine. Non, en faîtes c'était une grosse erreur mais c'était simplement que j'avais préféré tirer un trait sur mon ancienne audace et mon côté de grande séductrice parisienne pour essayer de tirer un trait sur les hommes. Et oui, la célébrité m'étais souvent monté à la tête et c'est ainsi que j'avais adoré me vanter de la collection parfaite de mannequins et riches héritiers avec lesquels j'arrivais à me présenter devant les photographes. Maintenant, ayant envie de changer totalement de vie, je mettais dis que je devais essayer de faire profil bas et ne plus penser à tout cela. Garçons, soirées mondaines et tout le tralala. Me contenter d'être présentable, avoir de bonnes notes et enfin de faire peau neuve. Néenmoins j'avais plus de mal que prévue à jouer les petites filles modèles dans ce pays où personne ne me connaissait. La preuve, il n'avait fallut que de plusieurs verres pour que je dévoile à Estevan mon côté complètement folle et délurée. Mais sachant très bien que cela n'était pas bon pour ma santé, ma maladie ne me permettant pas d'aller trop loin dans l'exès, j'avais préféré feindre l'oublit. Pourtant j'étais loin d'avoir oublié mais bien sûr, Estevan était ensuite partit en France et j'avais eut alors le temps d'essayer de ne plus penser à ce moment qui m'avais fait un peu dériver ... Vint enfin le vieux coup de la fermeture éclair. Et oui, il fallait le dire, c'était vieux comme tout mais en général, cela faisait toujours son effet et puis je ne pouvais renier toutes ces années passées à jouer aux princesses et croqueuse d'hommes !

    Merci ...

    Je sentis alors ses mains se posées sur moi et je me dis alors que cela avait peut-être été une mauvaise idée. Un frisson me parcourut. Frisson non de peur et de frustration mais de désir insasiable que j'avais envie d'assouvir ici, maintenant, tant qu'il n'y avait personne ... Mais, non, il ne fallait pas ! Du moins cette petite voix qui avait prit le contrôle de mon corps depuis plusieurs mois et qui m'avais toujours tenut à respecter la voix de la sagesse, commençait à ne devenir qu'un simple mirage au fond de ma tête. Enfin, mon dos fut recouvert de l'étoffe de soie que j'apprécia en fermant les yeux. Puis un soufle vint souligner mon envie. J'ouvris doucement les yeux et observa douceureusement estevan dans le mirroir qui nous faisait face. J'étais plaquée contre lui maintenant. Irrésistiblement, nos corps s'étaient attachés comme deux aimants qui se rappelaient quelques souvenirs d'un beau soir d'été ... Puis vint le frôlement de ses lèvres dans mon cou puis celles-ci se posèrent finalement sur ma joue. Chaleur que je retrouvais enfin. Son parfum m'envouta et ses mains toujours sur moi me donnait totalement envie de reprendre là où nous nous étions arrêté la dernière fois. Je me retourna lentement ne sachant pas si ce que j'allais faire allé être interpréter comme un regret dans le futur mais je ne pus m'en empêcher. Un instant d'hésitation puis je me retrouva face à lui, et après une hésitation, déposa un baiser sur ses lèvres. Je me recula alors légèrement comme surprise moi-même de ce que j'avais fait puis baissa les yeux me sentant mal à l'aise de l'effet qu'il m'avait produit :

    Je suis désolée ... Je ne sais pas ce qu'il m'a prit ...

    Mais j'en avais bien envie, c'était sûr. Alors pourquoi s'excuser ?
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyJeu 23 Déc - 14:37

    Au semblant de ce qui pouvait se passer, les deux jeunes gens étaient tout à fait conscient de leurs actes, soft. Au détriment de certains regards qui pouvaient passer par là, Estevan n'en avait que faire, il n'y avait qu'elle qui comptait, et ça, personne ne pouvait l'empêcher de ses actes ou même ceux de Florence. Et pourtant.. ces fameux coups de la fermeture éclair, presque toutes ces combines, celles qui étaient universelles si on peut dire, elles avaient beau être classique, elles marchaient toujours autant.. Après tout, qui n'a jamais rêvé d'être collé serré avec une fille qu'il désire, à la "rhabiller"? Qu'on me montre cette personne sur le champs, car toute personne à des pulsions et des envies, des désirs, alors on peut dire des choses, mais on en fait tout autre chose généralement, sauf quand on se connaissait et qu'on ne se voilait pas la face. Estevan était dans ce cas. Avoir Florence contre lui ne le laissait pas indifférent. Les souvenirs resurgissaient, leur nuit passé ensemble. Oui on peut trouver ça radotant de s'en souvenir, encore & encore, mais pas pour lui. Elle, c'est une fille extraordinaire, on n'en rencontre pas deux comme ça dans sa vie, alors autant garder des souvenirs agréables, proches, intimes. Et c'est ce qu'il faisait, car oui, le premier grand souvenir qui lui revient à chaque fois, c'était cette soirée, cette fameuse soirée passé tous les deux dans une piscine inconnu. Mais il n'y avait pas que ces souvenirs là, il y avait les fois où sa soeur lui parlait d'elle, où ils s'étaient rencontrés pour la première fois et pleins d'autres encore, mais pour certains, ces souvenirs là, ils passent à la trappe, aucune importance, alors que pourtant, c'est la base d'une relation souvent, du moins pour le point de vue d'Estevan. Oublier les premiers instants quand on rencontre une nouvelle personne, c'est comme oublier son premier amour.. c'est tout bonnement impossible pour lui, mais pour d'autres, apparemment si, ça pouvait ce faire. Et ça, ça l'exaspéré. Et c'était dommage.
    A son merci, un sourire apparu sur son visage. Pas pour le merci en lui même, mais la façon dont elle l'avait dit. Toujours serré contre elle, il divagua dans ses pensées. Ohhh grand Dieu qu'est ce qu'il faisait? Il ne s'en rendait peut être pas compte sur le coup. quoique si, il savait ce qu'il faisait, il le savait très bien! Estevan devait se calmer, calmer ses ardeurs et ses pulsions. Il en avait trop fait en ce moment, s'amuser beaucoup trop avec les filles, 'marque un homme & un Delta en prime, c'était normal d'un côté si on peut dire, mais il fallait qu'il se calme. Il ne pouvait pas continuer comme ça à s'amuser. Il était à Paris certes, pas à San Fransisco, mais ça ne lui donnait pas pour autant le droit de tout faire, des permissions par ci & par là. Pas qu'il avait besoin qu'on lui en donne, au contraire, il n'en avait pas besoin, mais il savait pertinemment qu'il fallait qu'il arrête de jouer comme ça. En regardant son entourage, il ne pouvait encore plus qu'arrêter. En même temps, il savait, il faut profiter de sa jeunesse et blablabli & blablabla, mais là, c'était peut être un peu trop, et ça ne le ressemblait pas tant que ça. Car tout le temps qu'il passait avec elles, il ne les passaient pas avec Elles, ses précieuses. Et il s'en voulait énormément. Fleur était partie en Suisse, sans dire un mot, même pas à Constance. Tout n'était qu'erreurs ou du moins un peu la catastrophe, et il s'en voulait, de ne pas avoir passé assez de temps avec elle.. peut être que s'il était resté un peu plus à ses côtés des choses auraient changé..? Non ce n'était pas entièrement sa faute, mais lui, il voulait qu'elle revienne. Absolument. La maison n'était pas la même sans elle. La famille n'était pas la même sans elle. Heureusement qu'il y avait sa soeur Cosntance qui était là, mais ce n'est pas non plus le joie, et la preuve, elle allait repartir avant la fin du voyage. Si c'était pas triste ça.. Là aussi, il n'avait pas assez passé du temps avec elle, sa meilleure. Même s'il la voyait tous les jours, ce n'était pas suffisant, 'fin, il en avait l'impression.. Son côté protecteur était là, et voir ses deux soeurs souffrir, peut être plus que ce qu'elles prétendent et montrent, à cause des pas mal de choses, mais en particulier de leur copain respectifs, ou plutôt leurs exs, à voir ça, sans pouvoir agir, ça, il ne pouvait pas.. Fallait qu'il arrête tout ça. Fini. Finito. Il allait se reprendre en main et aider ses soeurs, enfin pour le moment Constance, il serait là à chaque fois qu'elle en aurait besoin, essayant de la canaliser, et pour Fleur, tout faire pour quelle revienne, même s'il fallait gravir certaines limites. Il le ferait. C'étaient Elles, c'est pas n'importe qui..

    Estevan fut extirpé de ses pensées par Florence alors que celle-ci bougeait dans ses bras. Il espérait qu'elle n'avait pas vu son moment de pensées, son moment où il était parti ailleurs, repensant à un monde meilleur.. Et là arriva ce qu'il avait imaginé.. ce baiser.. quelques peu furtif mais il était là.. A la réflexion de Florence il eu un léger rire. Il l'a regarda droit dans les yeux, sa main gauche sur sa hanche, sa main droite s'approchant de la bouche de Flo', posant un doit dessus. Que répondre à ça? Tout simplement la vérité, après tout, s'il n'en avait pas eu envie, il se serait écarté tout de suite, ou il n'aurait certainement pas posé ses mains sur ses hanches en premier..

    « Chuut' ne dit plus un mot.. Ce n'est rien.. après tout, c'est humain non? »


    Oui mais que faire? Estevan voulait se calmer, sauf que là, c'était pas vraiment possible.. Il ne pouvait pas non plus de dégager d'elle comme ça, alors que justement il avait fait le premier pas si on peut dire. Il l'a regarda toujours dans les yeux, son regard ne chavirant pas, se plongeant dedans, dans cette marrée d'eau bleu, magnifique.. Que faire? Il n'allait plus se mettre dans des situations pareilles, mais là.. Après tout, sa soeur Fleur était partie en Suisse et ne savait pas quand elle allait rentrer, encore faudrait-il qu'elle donne des nouvelles, et maintenant Constance qui rentrait à San Fransisco.. Il était à Paris, et il ne verrait Florence surement pas de si tôt à nouveau, surtout dans une situation comme telle, du moins, il ne pensait pas, alors pourquoi se priver..? Pourquoi réfléchir encore? Peser le pour et le contre, il en avait pour des heures s'il continuait comme ça.. Passant délicatement sa main dans son cou et ses cheveux, il l'embrassa.. passionnément, et ça, il n'était pas près de le regretter.
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyLun 27 Déc - 19:31

    La phrase d'Estevan me faisait quelque peu devenir coupable vis à vis de ce que je venais de faire. Effectivement, ayant été traitée toute ma vie comme une princesse, j'avais toujours eut l'impression d'être au-dessus des règles et des lois qui m'entourais. La preuve, il suffisait que au milieu d'une fête mondaine l'on se fasse prendre par la police avec de la drogue ou autres substances illlicites et que l'on montre seulement notre nom pour que tout d'un coup cela devienne "une simple broutille" pour ces policiers qui repartaient comme s'ils n'avaient rien vut. Mouais, on se demandait bien comment la loi régissait autour de nous après avoir vut cela ! Une nouvelle fois je me mordilla la lèvre inférieur comme une enfant qui avait commis une bêtise. Je ne connaissais pas vraiment grand chose d'Estevan. Du moins, je ne connaissais que ce que ça soeur m'en avait dit. Je l'avais embrassé sans savoir s'il était avec quelqu'un, sans savoir si une autre fille partageait une part dans son coeur. Je l'avais embrassé sans réfléchir comme je l'avais déjà fait lors de cette fameuse soirée où je mettais vut redevenir cette fameuse femme complètement hors de contrôle. Un premier sourire vint s'épanouire sur mon visage puis un deuxième lorsque mes yeux rencontrèrent de nouveau ceux du bel homme. Je savais parfaitement qu'il en avait envie à présent. Après tout, je n'étais pas la seule coupable puisqu'il m'avait montré beaucoup plus d'attention que je ne lui en aurais donné autrement. Ou peut-être que j'aurais fait pareille. C'était vrai que ces souvenirs nous avaient énormément rapproché et n'était-ce pas le destin qui nous avait réunit aujourd'hui pour voir où ces souvenirs allaient finalement nous mener dans l'avenir ? Certe, ses mains m'avaient troublé. Ces mains que je connaissais si bien et qui m'avais carresser plusieurs fois il y a plusieurs fois. Ces lèvres que je venais de froler. Celles qui m'avais fait succomber et couvertes de baisers ... J'en frissona de nouveau. Ne m'étais-je pas promit d'arrêter toutes ces bêtises ? Cela me parraissait maintenant mission impossible devant son beau regard de braise qui m'envoyais pourtant un message bien troublant. Il ne fallut que quelques secondes pour que sa réponse fuse et pourtant j'aurais crut que des heures s'étaient écoulées. Je voyais bien qu'il semblait noyé dans ses pensées. Cette attente était plus qu'intriguante et pire, cela me donnait vraiment envie de me cacher. J'avais peut-être réellement commis une erreur en l'embrassant. Et puis, je le savais, ses problèmes de famille devaient aussi le perturber tout autant et étant très attaché à leur famille, je savais parfaitement de quoi il s'agissait. Après tout, combien de fois j'avais passé des nuits, des journées même des semaines chez eux à trainasser aux côtés de Fleur ... Partit en Suisse, malheureusement. J'avais l'impression d'avoir été abandonné mais qu'importe, j'avais enfin reçut des nouvelles il y a peu de temps et avait eut une très longue discussion avec elle. Bien sûr, j'avais promis de ne rien dire, à personne. Nous étions comme deux soeurs, les deux doigts de la main, j'allais me taire, pour son bien mais j'étais sûr malgré moi que la meilleure chose aurait été de l'aider autrement mais quoi faire ? Moi qui était nul en relation amicale, je voulais dire "vraie" relation amicale avait du mal à savoir comment réagir. Pourtant, elle m'avait choisit comme meilleure amie et me voilà, en plus de tous ses problèmes à embrasser son frère. Culpabilité sûrement partagée avec Estevan...

    Oui mais, c'est que je n'ai pas l'habitude d' ...

    D'embrasser le frère de mes amis ? D'embrasser quelqu'un que je ne connaissais à peine ? De me livrer corps et âme à une personne au beau milieu d'une boutique ? J'avais je ne saurais ce que ma bouche aurait délivré comme message puisqu'Estevan après une hésitation m'embrassait de nouveau et d'une manière beaucoup plus pressante me faisant abandonner toutes les barrières que je m'étais dréssée entre lui et moi pour éviter une seconde humiliation. Bon, j'avouais que ces baisers répétées me faisaient fondre littéralement. Je ne l'aimais pas c'était sûr mais c'était tout à fait autre chose. Quoi que comment aurais-je put dire ce que je ressentais envers lui ? Je n'avais jamais aimé aucun homme, n'étais jamais tombée amoureuse. Je ne connaissais pas ce sentiment alors comment aurais-je put juger de mon ressentis à présent ? Après tant de questions, je me laissa submerger par l'envie de reprendre l'histoire que nous avions commencé et achevé sur cette fameuse plage. Je le tira à moi et l'entraîna dans la cabine ou je ferma expréssément la porte. Etait-ce vraiment la nouvelle moi qui agissait dorénavant ? Cela me laissait perplexe de voir comment un homme pouvait bousculer toutes vos certitudes. Mais voilà, ce n'était pas un homme comme les autres ... C'était Lui ...

    Si on se fait prendre je nierais tout et dirais que tu m'as attiré de force pour me séquestrer !

    Je ris et l'embrassa de nouveau caressant sa nuque d'une main ...
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyVen 31 Déc - 0:55

    Pas besoin de finir sa phrase, du moins pas pour tout de suite.. Il voudrait bien savoir la fin après..juste après leur baiser. Profiteur? Lui non jamais, c'est bien connu pourtant. Après tout choisir, entre, avoir la fin d'une phrase ou un baiser, le choix était vite fait pour lui. Et certes, il aurait pu avoir le choix, car les deux auraient très bien pu arriver dans l'autre sens, mais non, Estevan préféré embrasser passionnément Florence d'abord (a) Après tout, de un c'est humain, et de deux, la natre nous fait comme elle nous fait, il est Delta, pas pour rien.. et puis ça faisait depuis le début de leur retrouvailles à peu près qu'il le désirait. Pas qu'il ne pense qu'à ça, non non, bien au contraire, mais il en avait envie, point barre, pas de compte à rendre là-dessus. Et puis Florence n'avait pas qu'à être aussi.. sexy Sensuelle? Belle? Et bien d'autres choses encore donc.. pas que de sa faute (a). Enfin bref, un baiser, c'est tout ce qu'il demandait, du moins, pour le moment.. Faut pas croire qu'il va s'en tenir qu'à là, bisoux bisoux par ci par là, mais après la totale? Non quand même pas, puis ils étaient dans un magasin, fallait pas pousser le bouchon après tout, ce serait mal les connaitre.
    Oublier toutes les pensées, se lâcher complètement, c'était son seul désir. S'imaginer sans soucis, relâcher toute la pression, se sentir libre, libre dans ses bras, léger comme l'air, léger comme leur relation. Qu'une simple envie lui venant, qu'il pouvait la réaliser, que tout ce qu'il voulait faire ou qu'il se passe se réalise, sans problèmes, sans soucis, savoir qu'on peut savourer chaque instant alors que certaines choses nous entourent, mais que faire d'elles, les mettre de côté, pour son bien, pour le bien de son entourage. Se sentir libre comme l'air. Pendant un petit moment. Et se laisser aller. Si seulement c'était possible, il le ferai, il ne quitterait même jamais cette situation d'ailleurs, les pensées superflus parties, les bonnes pensées, pures et saines, ou presque, rien que ça, ça serait parfait. Et si ça pouvait être le cas avec Florence, là, à ce moment là, ça l'arrangerait pas mal, même s'il savait que c'était tout bonnement impossible, que trop de conséquences arriveraient par derrière, et rapidement même.
    Est-ce vraiment raisonnable ce qu'il faisait? Après tout avait-il pensé à tout ce qui allait s'en suivre? Non pas vriament, et encore moins réfléchi mais que faire, profiter de la vie, lui ça lui parle, et c'est exactement ce qu'il faisait, à cet instant précis surtout. Un temps pour tout, et le baiser s'échappa. Du moins pour le moment. Et elle l'attira dans la cabine. Que devait-il faire? Laisser ses pulsions d'hommes prendre le dessus, ou se ressaisir et faire comme tout débile aurait fait, prendre des jambes à son cou et partir en courant comme jamais. Non ce n'était vraiment pas le style d'Estevan, se dégonfler, jamais il ne l'avait fait, et il n'allait pas commencer si tôt, surtout avec Florence devant lui. Dans les cabines, espérant que personne ne les ai vu, elle habillé de sa robe Prada, il ne désirait qu'une chose, il l'a désirait. A sa réflexion, il redescendit quand même sur Terre quelques instants, elle avait le chic de lui faire oublier où ils étaient et quand ils y étaient. Le temps passait avec elle, jamais il ne voyait le temps défilait avec elle, il ne pouvait pas s'ennuyer, en même temps, comme pourvoir avec Flo'?

    « T'as pas fini ta phrase tout à l'heure qu'est ce que tu disais?! »

    Vu qu'il était un peu redescendu, la réalité le rattrapait, et il voulait savoir la fin, alors autant saisir l'occasion non? Sauf que.. Florence ne lui laisse pas le temps de dire un quelconque autre mot qu'elle l'embrassait déjà. Elle était craquante, il ne pouvait le nier, et tant qu'à faire, autant en profiter. Peut être il n'aurait pas du faire ça, m'enfin, sur le coup, il n'allait pas le regretter non plus.. Prenant Florence par les hanches accompagné de leur baiser fougueux, il l'a plaqua contre l'un des murs, celui en face du miroir. Pouvait continuer à se leurrer sur son sort mais il en avait réellement envie, surtout avec elle. Celle dont il avait l'impression qu'elle lui résistait, mais ce n'était qu'une impression, tout simplement parce qu'il ne se voyait pas assez souvent, mais quand il se voyait.. oh non il ne le regrettait pas. Remontant ses mains sur les joues de Florence, leur baiser étant des plus déchainés, le piment qui amenait le tout, c'était la peur de se faire voir, de se faire remarquer autant par le bruit qu'autre chose. Mais qu'est ce qu'il s'en fichait, il était là avec elle, et ça, il ne l'échangerait pas.

    « Ca ce n'est pas grave t'inquiète pas! »

    Entre deux respirations Estevan réussi à souffler une phrase, souffle limite coupé. Descendant sa main pour attraper le bout de la fermeture éclair, il l'a descendit délicatement au début puis d'un coup, beaucoup plus rapidement, l'envie étant là. Il aimait beaucoup cette robe au final, très pratique faut l'avouer. Avant d'enlever la robe il se dégagea, juste la tête de Florence pendant quelques secondes des, yeux dans les yeux. Oui l'envie se lisait bien dans leur yeux, la passion, déchainés. Reprenant un brin de souffle il l'embrassa de nouveau puis la colla contre lui, sa jambe relevé sur ses hanches. Il descendit dans son cou, des baisers tout aussi passionnés et sauvages. Ses mains redescendant délicatement sur ses hanches en épousant ses formes, il l'embrassa de nouveau, descendant cette fois-ci sa robe, non sans difficultés vu que leurs corps ne se lâchaient pas. Il se décala de quelques centimètres pour l'observer. Oh non elle n'avait pas changer, exactement comme dans ses souvenirs, il s'en rappelait bien, l'alcool aucune répercutions sur eux. Se recollant à elle, il ne voulait plus la lâchait, son corps avait un magnétisme avec elle, ne pas l'avoir contre lui provoquait une certaine sensation de vide en lui, impossible. Il la toucha, ses mains désirant son corps, ne s'en détachant pas, se rappelant exactement ses formes, finissant par ses fesses..il lâcha toute emprise sur sa raison, seul son désir parlait. Après tout, maintenant qu'ils en étaient là, Estevan pouvait se lâchait, complètement.. et il allait bien en profiter.
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyLun 3 Jan - 23:00

    Sa y était, je ne pouvais dorénavant plus penser normalement ni ne me comporter normalement. Il y avait quelque chose qui me poussait totalement à lui sans que je ne puisse y résister. Je me dégoutais pour cela d'ailleurs. Après tout, n'étais-je pas celle qui c'était juré d'éviter les relations dans ce genre là ? C'était celles-là qui la plupart du temps vous faisait mal au mauvais endroit. C'était ces relations qui faisaient que vous pouviez en souffrir sans vraiment le savoir ni le vouloir. Car bien que l'on parlait d'amusement, je ne pouvais nier qu'Estevan m'était totalement indifférente et je pouvais dire que cela m'allais être difficile à concevoir si entre nous deux, en rentrant à BCU, nous allions faire comme si rien ne s'était passé. D'ailleurs cela risquait d'être plus difficile que prévut lorsqu'on pensait que c'était le frère de Fleur et que forcémment, lorsqu'elle rentrerais au pays, si toutefois elle reviendrait dans l'année, j'allais passer énormément de temps chez elle à m'occuper de sa personne et de son enfant comme j'aurais voulut le faire avant qu'elle ne s'enfuit sans laisser trace de vie nulle part. Et durant ces moments passés dans la demeure des La Tour Du Bois ? J'allais forcémment appercevoir Estevan ? Allait-il faire comme si j'étais une simple connaissance ? Allait-il metraiter comme ces simples filles qui avaient eu un jour l'audace de tomber dans son lit pour ensuite disparaître de sa vie ? Je n'aimais pas ça. C'est pour ça que la plupart du temps je refusais les nuits sans lendemain. Je comprenais que pour beaucoup de filles cela puissent être plaisants. J'en étais certaines moi-même ! Mais je ne comprenais néenmoins pas comment elles nepouvaient voir ça comme un amusement. Sans aucun ressentis, du sexe pour du sexe. Il fallait une attirance non ? Quelque chose d'un peu plus, pas vrai ? Pourtant, en pensant à cela, je me disais que je ne pouvais pas vraiment comprendre l'esprit américain. Après tout, je n'étais pas née ici et avais été élevé d'une manière qui faisait que je n'acceptais pas forcémment ce qui avais été déclaré ici. Mais après tout, pourquoi essayer de faire comme elle, ne penser à rien ? Essayer de penser au plaisir que je pourrais partager avec Estevan sans lendemain, sans plus rien d'autre que cela ? ... Mais voilà, Estevan avait été le seul étudiant qui m'avait vraiment montré une différence parmis tout ces autres étudiants. Avec Estevan, cela avait été l'une des rares fois où j'avais réussit à être moi-même, sans dérapage (ou du moins pas ceux que j'entrevoyais), sans ombre au tableau. Un homme qui me montrait à quel point l'on pouvait se tromper lourdement sur ce qu'on se pensait capable de ressentir pour quelqu'un. J'avais sous-estimé Estevan, il était beaucoup mieux que tous les frissons que j'avais pu ressentir avec un homme. Il était beaucoup plus que le simple frère de ma meilleure amie. Aujourd'hui, pour la seconde fois je le voyais mais mieux, je le comprenais enfin et commençais à me rendre compte que ce ne serait pas là qu'enfin notre histoire s'arrêterait ...

    C'est que je n'ai pas l'habitude de sauter sur les gens ainsi ... J'aimerais dire, j'ai envie de te connaître mais je crois qu'on est déjà en bonne voie !

    Effectivement, vue d'un certain point, on pouvait dire au moins qu'on se découvrait de nouveau tous les deux et je devais dire que ce n'était pas plus mal ! Je m'étais surprise à le tirer contre moi tel un aimant que j'avais besoin de retrouver à mes côtés pour qu'enfin nous soyons réunis de nouveau. Sa peau collée à la mienne je sentais les battements de son coeur jouer avec les miens tels un chef d'orchestre. Je savourais enfin ce moment, fermant les yeux. N'imaginant plus aucune autre chose. Seulement les baisers qu'ils m'offraient avaient de l'importance dorénavant. Seules ses caresses me faisaient encore réfléchir pour agir en même temps que lui. Il m'ota ma robe rapidement. Plutôt pratique cette Prada finalement... Mais je lui hota finalement son haut laissant sa peau nue contre la sienne réchauffer mon corps. Mon esprit était enfin partit, se baladant à travers plaisir et envie. Tout n'était plus que passion au milieu de cette simple cabine d'essayage et j'eus un sourire à sa rélféxion ...

    C'est plus exitant ainsi ...

    Effectivement, le fait qu'on puisse nous attraper à tout moment rendait encore plus alléchant ce moment dont je profitais pleinement alors que je m'étais résignée à ne plus jamais recommencer. Mais c'était si bon ! Ses derniers vêtements enlevés, je fis glisser ma jambe en haut de la sienne restant toujours plaquée contre lui comme si je ne pouvais m'en défaire. Ce moment était si précieux que je voulais absolumment qu'il soit parfait pour moi comme pour lui ...
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyMar 11 Jan - 14:59

    La question "Que devait-il faire?" ne se posait même plus. Profiter, profiter, et prendre du plaisir, du moins ne pas se laisser abattre par la situation. Fallait dire aussi que Florence n'était pas une simple fille. Il ne savait pas si elle avait de l'expérience, du moins une grande expérience niveau séduction, mais lui, trouver que oui, la preuve elle l'avait attiré dans ses filets. Too bad pour lui hein.. Ne pas dire non, bonne résolution que certains devraient prendre. En tout cas, lui ça lui était bénéfique de dire oui (a). Sa confrérie lui collait bien à la peau, vraiment, surtout sur certains moments de sa vie, et il s'en rendait bien compte, mais bon être un Delta, ça n'a pas de prix, pour tout le reste il y Mastercard, oui oui on connait le refrain. Mais ce n'est pas pour autant qu'il parlait et penser avec autre chose que son cerveau. Il était toujours le même, juste bien plus libéré, enfin libéré.. Plus expressif, attentionné aux autres. Et en l'occurrence, c'était bien pour Florence, surtout elle, celle qu'il ne voulait en aucunement décevoir, sur tous les points, bien évidement! Enfin bref, dans la cabine, les deux jeunes s'embrassant passionnément, de plaisir, ne pouvant s'arrêter, espérant quand même ne pas se faire prendre, ce qui ajouter du piquant, laissez le désir monter.

    « Oui oui je comprends ne t'inquiète pas Flo', ce n'est pas mon genre non plus, mais avec toi.. »

    Le jeune homme parlait, un peu essoufflé ce qui ajouta un mystère à sa phrase, quoique, elle n'était pas si difficile que ça à comprendre. La regardant, le relookant même, sans être vulgaire bien évidemment, Estevan, pour une fois, voulait être plus doux, du moins prêter bien plus d'attention à sa partenaire qu'aux autres. Un si bon souvenir de leur fois ensemble, si ne voulait que laisser ce souvenir intense, même l'amplifier si possible, ce qui pouvait être possible. Délicatement, passant ses mains sur ses hanches, il pouvait continuer ainsi pendant des heures, lui ça ne le dérangerai pas du tout, normal en même temps. Descendant, l'embrassa dans le cou avec envie, il l'a plaqua à nouveau contre le mur de la cabine, celle ci était en sous-vêtements, déjà si on peut dire ou non, il l'a souleva du sol pour qu'elle passe ses jambes autour de ses hanches. Continuant à l'embrasser, le souffle se faisant de plus en plus rapide, il ne pouvait que la désirer tendrement.

    « Oui je pense aussi.. »

    Estevan épousa les lèvres de Florence, avec calme au début, puis avec plus de force, sauvage ou presque, mais toujours délicatement, sans problème. Corps contre corps, le Delta qu'il était ne pouvait se résigner, ce qui était fait était fait, et il retira son soutien gorge. Regard et baiser venant sensuel, il épousa d'abord sa poitrine puis l'embrassa. Ne voulant pas la brusquer, il ne savait pas après tout si certaines résistances étant présente pour elle, elle avait peut être changé, il n'en savait rien. Du moins, vu ce qu'il s'était passé jusqu'à présent, il n'avait pas l'impression qu'il y en avait mais on ne sait jamais. Soyons toujours très prudent. Tel était une de leurs devises. Prudent dans tous les sens bien sur. Remontant sur ses lèvres plus tendrement, adressant un regard interrogateur, il espérait qu'elle comprendrait, ne voulait briser cette alchimie, cette passion qui régnait. Attendant sa réponse il eu un petit sourire en voyant sa coupe de cheveux, toute ébouriffer. Ce qu'il lui rappelait leur première nuit ensemble. Ils avaient rit quand même ce soir là, ne jamais oublier l'humour, le rire quand on fait l'amour avec quelqu'un, ça détend l'atmosphère et ça laisse de meilleurs souvenirs d'un côté au lieu de penser qu'au sexe toute la durée, ce qui est normal certes, mais le plaisir de l'autre est aussi une chose importante. Toujours dans la même position, l'envie étant presque à son summum, lui ne pouvait se contenir indéfiniment certes, être patient c'est bien, mais il n'était pas le seul à vouloir amplifier la situation, il suffisait de les regarder. Un ton voluptueux, et sensuel, il approcha sa tête d'elle sentant le souffle de Florence sur son visage.

    « Comment t'arrive à me mettre dans un état pareil Florence..? »

    Certes le souffle coupé, mais ça ne l'empêchait pas de recommencer, encore et encore, mais au risque de se répéter, il ne voulait la brusquer, et son plaisir à elle comptait aussi énormément. Attendant un certain signal, du moins qu'elle se lance ou autre pour lui montrer ses envies, ses désirs, sa bouche était sienne, ne se décrochant pas de celle-ci..!

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyLun 24 Jan - 20:20

    Nous étions tous les deux d'accord pour dire que ce que nous faisions était inhabituel ! Enfin, ce qui l'était, c'était de se retrouver ainsi, à ses sauter dessus sans la moindre raison apparente, la seule étant la seule attraction de nos chairs qui ne pouvait plus se détacher à présent. Ce qui l'étais aussi était sûrement l'endroit dans lequel nous étions et qui augmentait un peu plus mon désir à chaque fois qu'Estevan jouait avec mon corps. mais j'étais trop désireuse de continuer que je ne disais rien à propos des doutes que j'avais pu ressentir avant. Qu'importe les autres, qu'importe mes bonnes manières que j'avais tant bien que mal essayé d'adopter au début de l'année. Au diable les regards accusateurs que j'atendais de la part de la seule qui était toujours là pour moi. Du moins qui l'avais toujours été; Elle m'avait abandonné sans un mot. Elle m'avait laissé, ma meilleure amie, pour fuir lâchement. Je ne disais pas que j'aurais agit autrement et je savais que la situation de Fleur était très compliquée. S'il n'y aurait eu que moi, j'étais presque certaine que j'aurais fait une crise dont je ne m'en serais pas sortit indemne. Mais la question ne se posait pas sur moi mais sur Fleur et je lui en voulais égoïstement de me planter là. Toute seule, sans personne à qui réellement me confier. J'avais des amis certe. J'avais une confrérie dans laquelle je me sentais comme dans une vraie famille. Mais ce n'était pas pareille sans elle. C'était comme une soeur pour moi et c'est vrai qu'avec la mort de mes parents, lorsque je l'avais rencontré, elle avait tout de suite pris une place très importante dans mon coeur n'ayant jamais vraiment connut l'amour d'une personne de votre famille autre que ma cousine. Donc je pouvais dire que le problème qui touchait la famille La tour du bois, il me touchait aussi, autant qu'eux j'en étais sûr ...

    Je crois qu'on ne trouvera pas de réponse à cette question ...

    C'était exacte, je ne savais pas réellement pourquoi ni comment on en arrivait à ce stade. Toujours dans une situation aussi extrème. Etrange lorsqu'on savait qu'à chaque fois qu'on avait entendu parlé de l'un et de l'autre, jamais nous n'aurions pensé que plusieurs mois et même années plus tard nous en serions à ce point là, à faire des bêtises dans une cabine d'essayage, au beau milieu d'un magasine d'une avenue parisienne ! Etrange, apétissant même ... Je me mordis la lèvre inférieur suite à ces longues caresses qu'il m'apportait. La chaleur qu'il me procurait grandissait en moi et je ne comprenais visiblement pas comment il faisait pour me faire ressentir tout cela à la fois. C'était inexplicable et extrèmement bon tout à la fois ... Je pris mon pied durant tout l'instant que dura ce moment intime puis enfin, cela prit fin, je sentis mon soufle se calmer et mes pieds touchés enfin le sol. Je me redressa, mon coeur encore bringballant par les émotions fortes qu'il venait de subir. Ce n'était pas tous les jours qu'un homme me faisait autant d'effet et je devais dire que je ne pouvais dire comme cela se faisait. En plus avec quelqu'un que je connaissais finalement depuis toujours mais d'une manière indirecte ... Je n'étais pas préssée de partir. Mon corps toujours collé au sien, j'embrassa maintes et maintes fois encore ses lèvres, Nos deux corps brulant reprenant peu à peu constance. Je me rhabilla enfin tout en volant quelques baisers furtifs à l'homme qui me faisait face.

    J'arrive pas à comprendre ce qu'il vient de se passer ... Mais j'ai adoré ...

    Je ne pouvais pas me voiler la face et culpabiliser jusqu'à je ne savais quand. J'espérais que le plaisir avait été partagé puis avec un sourire complice à son égard, je sortis discrètement la tête de la cabine pour voir que personne n'était là. Par chance, les vendeuses ne semblaient pas être préssés de retourner vers nous ! Je sortis enfin et attendis Estevan qui me suivit alors. Je glissa ma main dans la sienne et l'entrena vers la sortie. Fuck la robe, c'était lui que je choisissais ! Je le tira en direction de la sortie et me retiens de rire devant le regard des veudeses fixant nos dos d'un air accusateur puis je lâcha un rire en attérissant dans la rue ;

    Tu as vu leur tête ?

    Je ris, consciente que je qui venais de se passer n'allait pas en rester là pour autant ...
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 2 EmptyMer 2 Fév - 15:37

    « Je ne pense pas non plus, mais après tout, ça fait quoi? »

    Ils se posaient beaucoup trop de questions, avaient beau vivre correctement, même comme il faut, profiter du moment, trop de questions venaient. Les stopper et continuer tendrement et sensuellement était la meilleure solution, du moins, aux yeux d'Estevan. Ils ne pouvaient se voiler la face, et ils venaient bien de se le prouver. Mainte et mainte caresses, sur les hanches, sur sur ses jambes, l'attraction ne baissait pas et les instants qui suivirent venaient bien de le prouver. Moment d'extase, moment intense, pour être poli, mais n'en disons pas plus, leur intimité reste la leur, aucune infraction. Alors qu'Estevan reposa délicatement Florence au sol, un sourire béat aux lèvres, il lâcha un petit rire, pas nerveux, mais plutôt d'amusement, et de joie. Elle qu'il avait rencontré à une fameuse soirée, nuit merveilleuse passée avec elle, Florence venait de lui rappeler ces instants parfait, même en mieux. Oui, cette fois-ci, il y avait des vendeuses à côté, et alors? Rien n'empêcher rien, la preuve. Surtout quand Flo' était dans les parages. Estevan avait beau être un Delta, avec cette réputation de coureur de jupons, comme on leur attribut si bien à tous, en sa compagnie, il pouvait se lâcher, pas qu'il n'était plus le même, mais il était au naturel, vraiment, pouvait éprouver chaque sensation avec elle, sentir ses envies, les pulsassions de son coeur, ses frissons. Il pouvait la comprendre, la connaître par coeur, à n'importe quel moment malgré le fait que c'était pas vraiment le cas. Merci qui? Merci Fleur de ne pas les avoir présenter avant, ça aurait été bien plus amusant et passionnant. Mais ne regardons pas le passé, le présent est tellement parfait à ses côtés malgré les soucis extérieurs. Oui, il l'épanouissait, on pouvait dire ça comme ça, il se sentait libre, vivre comme il le voulait, et surtout avec elle, ce qui était la chose la plus important. Des baisers volés par ci par là, ils ne pouvaient se lâcher, et pourtant il le fallait bien, sortir de ce magasin au plus vite était une bonne idée, avant qu'ils se fassent jeter peut être, mais les vendeuses n'oseraient pas, il ne valait mieux pas.. Malgré son attirance encore bien présente pour Florence, Estevan se dégagea quelques peu d'elle pour se rhabiller. Lui volant à son tour quelques baisers, il ne pouvait s'en empêcher. La phrase de Flo' le fit sourire, d'un sourire approbateur, et "content" de lui, et de ce qui venait de ce passer. Passant sa main droite dans ses cheveux, il s'approcha d'elle.

    « J'ai adoré aussi croit moi.. mais je pense savoir deux trois du pourquoi du comment c'est arrivé.. »

    Et il ne le regrettait aucunement. Il s'approcha d'elle un peu plus, pour finalement l'embrasser, l'embrasser une dernière fois passionnément aux abris des regards, aux abris des jugements, juste elle et lui. Reculant avant de ne pouvoir s'arrêter de s'emporter, à nouveau même, il la regarda dans les yeux, ses si magnifiques yeux dans lesquels il pouvait se plonger dedans pendant des heures et des heures.. à la croquer. Il n'allait pas se priver de toutes pensées, ou bien carrément culpabiliser, au contraire. Pourquoi devait-il s'en priver? Aucun soucis, il était très bien dans ses baskets, ne devait rendre de compte à personne, juste lui et elle comme il avait dit, et personne d'autre, même pas une personne qu'ils connaissent si bien l'un l'autre, même pas elle. Il assumait totalement, et même avec grand plaisir. Mais ce n'était pas le moment de penser à ça, c'était le moment de sortir d'ici au plus vite comme avait déjà entreprit Florence. Estevan attrapa ses dernières affaires restées dans la cabine, par terre ou suspendu. Voyant Flo' ouvrir la cabine et commencer à partir, il lui emboita le pas, et le plus rapidement que possible. Enfin dehors, il pu rire avec elle. La situation était bien ironique, et puis, ils avaient du prendre cher par les vendeuses, qui n'était pas bête quand même et avait du largement comprendre. Qui pourrait être dupe après tout?

    « Ohh oui, mais c'est ça qui est bien, on s'en fou, tant que je suis avec toi. »

    Il l'attira dans la rue, a marcher, la tirant délicatement par la main. A part les vendeuses, personne ne savait quoique ce soit, alors il n'avait pas à s'inquiéter. Et puis pourquoi s'inquiéter après tout? Il n'avait rien fait de mal si? Pouvait-il entendre un air et une morale accusatrice venant de sa soeur Fleur? Pourquoi? Et elle n'avait pas à le savoir, elle ne pouvait pas le savoir, sauf si Florence lui disait, mais sur ce point là, il n'avait pas réellement de soucis à se faire vu ce qu'elle venait de lui dire quelques instants plus tôt dans cette fameuse cabine. D'ailleurs en parlant de cabine, elle n'avait pas de robe, du moins si la sienne, mais toute sale. Tous leurs ébats l'avait chambouler, n'y pensant réellement plus. Sauf qu'elle avait trop de classe, beaucoup trop de classe pour pouvoir se balader comme ça dans la rue, beaucoup trop de prestiges et de beauté. Il fallait qu'ils lui trouvent une robe, et après au moins on en parlerait plus, pourrait faire tout ce qu'ils voudraient. Comme si ce n'était pas déjà fait voyons (a) !

    « Flo' on a oublié de t'acheter la robe, une robe belle et si pratique après tout.. ! »

    Fallait avouer qu'elle était bien pratique, elle avait bien servi, quoique, c'était plutôt l'inverse, et ça ne l'avait pas dérangé le moins du monde, ne les avaient pas dérangés le moins du monde même. Un sourire amusé sur ses lèvres apparu. C'était une belle après midi, qui allait se prolonger, il n'était pas prêt de la laisser partir, oh non. Et il espérait que c'était une envie partagé après ce qu'ils venaient de vivre, à nouveau. Mais un petit problème existait. Minime mais là. Ou plutôt deux. De un, que voulait dire ce qui venait de se passer entre eux? Était-ce juste du sexe ou bien plus que ça? Estevan ne pouvait pas répondre à cette question, pas encore sorti de ce qui venait de se passer, et n'avait pas envie, du moins pas pour le moment, de mettre ce sujet sur le tapis, juste laisser faire, et profiter, profiter de ces instants avec elle.. Il ne fallait plus y penser, mais plutôt penser à l'autre petit soucis. Sa soeur. Si elle apprenait tout ceci? Que dirait-elle? Surtout que madame avait les hormones en feu, comme tout le monde disait, surtout avec sa fugue en Suisse, avec tout ce qui venait de aller se passer, quand elle allait accoucher, qu'est ce que se serait.. Il ne valait mieux pas qu'elle l'apprenne et si elle l'apprenait, ça serait de la bouche d'Estevan ou bien de Florence.. Oh et puis, si elle l'apprenait de quelqu'un d'autre, que faire? Ce qui était fait était fait, ils ne pouvaient rien y faire, et si elle osait leur reprocher, ils pourraient très bien ne rien dire, et oublier ce qu'elle venait de dire.. Comme dit si bien une chanson: would you lie with me and just forget the world? C'était bien la situation de Florence et Estevan, ne rien dire et en profiter tout autant. Marchant dans les rues, plus précisément dans une rue pas spécialement fréquenté, et en l'occurrence, il n'y avait personne, parfait, toujours tirant Florence par la main dans la rue, il entrelaça ses doigts dans les siens et se retourna vers elle. Plongeant son regard dans le sien, il ne savait comment demander, ou plutôt communiquer sa pensée. Il prit sa tête entre ses deux mains, se rapprochant d'elle, tête à quelques centimètres de la sienne comme son corps, il réussi à s'exprimer correctement.

    « Florence.. ce qui vient de se passer, ça reste entre nous? Du moins, personne n'a besoin de le savoir tant que nous le vivons tous les deux, sans aucun scrupules, du moins c'est mon cas, pas à devoir se justifier auprès des autres, et encore moins à tu sais qui.. Alors dit moi s'il te plaît ce que tu en penses, c'est important pour moi..! »

    Il ne disait ça en aucunement méchamment, au contraire, ce qu'il vivait avec elle, si ça pouvait durer, il en redemanderait encore et encore tellement il était bien avec elle, avec cette fille si parfaite à ses yeux, vraiment partout.. Sourire charmeur aux lèvres, il l'embrassa sans attendre sa réponse, son envie n'avait pas baisser de lui voler des baisers, encore, mais passionnément, langoureusement, et avec une envie qu'il n'avait pour aucune autre fille.. seulement elle.. l'embrasser avec amitié et plus si affinités comme on dit..
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