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Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV

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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyVen 11 Fév - 22:14

    C'est alors que je sortais de la boutique que je réalisa que je n'avais pas une seule fois pensée à mes problèmes. Enfin, j'avais réussit à vivre un moment pour moi, sans prendre conscience de ce que cela pouvait me coûter ou ce que j'allais devoir faire pour rattraper le coup. Non, là, il y a quelques minutes, dans les bras de celui qui me faisait rire, qui faisant tant battre mon coeur, je m'étais laissée à un désir inavoué, un désir que j'avais voulu partager avec lui, avec le frère de ma meilleure amie mais bien plus encore, avec un homme dont j'avais fait la rencontre il y a quelques mois et dont j'imaginais la présence près de moi lorsque je rêvassais. Etrange non comme en peu de temps, une personne pouvait se faire une place dans votre coeur. J'aimais beaucoup Estevan et il y avait ce quelque chose entre nous de plus que je n'arrivais pas à déterminer et au lieu de m'exaspérer, j'en ressentais un chaleureux bien-être. C'était peut-être ça de s'amuser sans penser réellement à après. Chose que je ne faisais pas souvent. Il y avait trop de faits dans ma vie que je ne pouvais oublier. Les études d'abord, puis cette fameuse vie à Paris où j'avais vécut d'ivresses et d'hommes à tout va, paparazzis dans mon sac, coqueluche de toutes les stars et des magasines. Mais qu'importe, je voulais prévoir sagement de terminer l'université sans me poser de questions. Maintenant c'était sûr, je m'en posais certaines. Je me demandais seulement comment cela allait être de retour à Berkeley; Question qui me tracassait et dont je ne pouvais enlever de mon esprit. Que faire ? Ou plutôt comment réagir face à lui ? Oublier tout ? Mimer quelques rires à ses côtés pour cacher ma gène ? Ou etait-ce plutôt pour cacher mon envie de recommencer une nouvelle fois ? Partager un moment de faiblesse dans ses lèvres, l'embrasser avidement comme notre toute première fois, caresser les moindres parcelles de son corps qui me procuraient tant de plaisirs ... J'en frissonais d'avance et n'imaginais pas un futur où je devrais me retenir pour pouvoir lui montrer mon affection. Imaginez un peu rien que chez lui, en rendant visite à sa soeur. Je me voyais bien passer devant la chambre d'Estevan, regarder le lit, lui poser dessus, avec grande envie pendant que Fleur m'attendrait dans sa chambre. Etrange non ? Surréaliste je dirais et de toute manière, tant que nous ne serions pas rentrée, j'avouais que j'allais me poser beaucoup de questions. Mais après tout, je savais qu'Estevan était le genre à me pousser à laisser parler mon corps et mes désirs plutôt que ma tête. Je le savais aimer prendre les choses en main. J'espérais simplement qu'il ne voyait pas dans notre relation qu'un plan cul parmis tant d'autres car étrangement, je ne voyais pas ça de cette manière. Il y avait ce quelque chose de fort entre nous et en aucun cas je ne pouvais le désigner néanmoins, je savais que je n'aurais pas partager cet intimité avec tous les hommes de ma connaissance, loin de là, je n'étais pas ainsi ...

    J'avoue qu'elle était pratique. Ne t'inquiètes pas, j'en ais plein des comme celle-là, peut-être que si tu passes un jour à la maison je te ferais un petit essayage pour que tu me donnes ton avis ...

    Je lui fis un sourire et apperçus enfin que sa main était dans la mienne. Je sentais enfin pourquoi on disait de Paris que c'était une ville magique. Ici au moins, je n'avais besoin de me cacher et de sentir la présence du jeune homme à mes côtés me faisait énormément de bien après les dernières semaines que j'avais passé à Berkeley aux côtés de William ... Je l'embrassa encore et encore espérant que nous ne bouchions pas trop les rues piétonnes par nos arrêts multiples mais c'était si bon de sentir de nouveau ses lèvres qui m'avaient tant manqué contre les miennes ... Enfin, il me parla de Fleur. Il ne prononça pas son nom du moins mais je compris parfaitement à qui il faisait référence. J'avais énormément de mal pour garder un secret c'était certain et devant Fleur, j'allais avoir du mal à ne pas lui confesser ce qui c'était passé. Mais le regard de Estevan, si insistant dans le mien me faisait fondre et je ne pouvais lui dire non. Après tout, j'avais très envie que cela continue entre nous et ne voulais pas gâcher cette intimité que nous avions maintenant. Intimité que j'espérais garder ...

    C'est d'accord... Je ne sais pas pour toi mais ... Ce qui s'est passé n'était pas qu'une passade pour moi, j'espère que tu t'en rend compte.

    Trop inconfiante ? Oui sûrement mais je ne voulais pas être la fille qu'on jetait du jour au lendemain sans un mot après avoir profité du bon temps ! Nan, je savais qu'Estevan n'était pas ainsi mais après tout, qui étais-je pour prétendre le connaître réellement ? Je caressa son visage, ses yeux dans les miens et je me mordilla la lèvre inférieur. Non, Estevan était différent et se qu'il dégageait me donnait envie de l'embrasser. Ce que je fis rapidement après l'avoir regarder attentivement, comblée par sa présence à mes côtés ...
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyMar 8 Mar - 1:44

    « D'autres? Je n'attends que ça de les voir alors. »

    Pleins d'autre? Que demander de mieux, de plus? Certes ces robes ne pouvaient servir que dans certains domaines avec eux.. mais on pouvait avoir mieux, parce exemple Florence, tout simplement, elle et seulement elle et pas toutes ces robes. M'enfin, il ne fallait pas trop rêver après tout.. * ne pas oublier ta soeur Estevan, ne pas oublier ta soeur..! * Mais comment résister après une telle réflexion. Une invitation pareil, comme résister? Comment ne pas céder à la tentation? Une seule barrière était présente, ou plutôt deux.. Sa soeur Fleur, certes, si elle le savait, Estevan n'imaginait pas sa réaction, bien trop dur. Quoiqu'elle pourrait toujours les surprendre non? Mais il ne valait mieux pas.. ils la connaissaient beaucoup trop pour. La deuxième barrière? Sa conscience. Okay c'est un Delta, et tous les Deltas ont cette réputation, cette sale réputation d'un côté, de coureurs de jupons, de ceux qui se tapent toutes les filles, tout ce qui bouge, tout ce qu'ils veulent sauf que.. Estevan avait beau être chez les Deltas, l'une de ses soeurs est dans la confrérie des Iotas, et l'autre dans la confrérie des Alphas, et ça, ça fait réfléchir.. D'un côté on peut faire tâche à leur réputation qui sait. D'un autre on peut imaginer aucune répercutions. Ce qu'il voulait absolument pour elle, le meilleur, même si pour Constance, il n'avait pas vraiment de soucis à se faire, la queen des Iotas, l'une des plus respectées et craintes même de l'université de Berkeley. Quoique, ce n'était pas une raison. Fleur pouvait aussi penser qu'Estevan avait couché avec sa meilleure amie comme de la simple chair dixit certains parlant de femmes, mais ce n'était pas le cas, vraiment pas le cas, alors comment faire? Le secret était vraiment la meilleure solution, vraiment.. Donc il pouvait accepter non? Du moins, si personne ne le savait, il n'y aurait pas de soucis si? Alors pourquoi se retenir? A voir.. a méditer. Non! Il n'y avait rien à réfléchir à la situation, plus c'était fait naturellement, mieux c'était non? Donc..

    « Invitation fréquente chez toi donc, sans aucun problème ma chère. »

    Les expressions sur le visage, les mêmes que leur première nuit ensemble. Les humains ne changent vraiment pas, même avec le temps, surtout quand ils revoient une personne qui leur est chère. Penser que Florence n'était pas une personne importante pour Estevan, c'était mal le connaître, se fourvoyant complètement. Florence c'est celle qui redonne le sourire quand il le faut, qui a vécu et qui vit des choses, différentes de tous les jeunes que l'on peut connaître à leurs âges, c'est celle que vous pourrez rencontrer par hasard dans la rue et pourquoi se réjouir de passer du temps avec elle. Car Florence, malgré sa grande popularité restait elle, pas de grosse tête ni rien, juste le parfait milieu. Elle était parfaite. C'était sa Florence. Et elle n'avait pas intérêt à changer non plus. Gâchis total pour une si belle personnalité, personne. Des baisers par ci, des baisers par là, corps contre corps, cette envie irrésistible de l'avoir contre lui, de l'embrasser, de ne plus pouvoir se passer d'elle. Non ce n'était pas de l'amour, peut être bien quelques sentiments, mais pas assez pour dire qu'il l'aimait. C'est une personne tellement attachante qu'il ne pourrait s'en séparer.

    « Tu n'es pas la seule.. croit moi.. »

    A quoi bon mentir? Je ne dirais rien que la vérité, toute la vérité, je le jure. Cette phrase se rapportait bien à la situation. Il n'avait aucunement envie de mentir, juste passer un instant inoubliable avec elle, la plus beau des cadeaux. Mais ce qu'elle venait de dire le touchait particulièrement, comme dit, Florence n'était pas un objet, une fille d'un nuit avec qui il couchait et à qui il n'allait plus donner de nouvelles ou autre. Il l'a connaissait, et savait qu'elle n'était pas du genre à coucher avec tout le monde, du moins a faire gaffe quand même, donc Estevan est un mec bien non? Pour un Delta encore plus non? Un mordillement de lèvre, un baiser, il ne pouvait rêver mieux pour le coup. Si peut être être quelque part, d'un peu moins encombrant pour les autres. Mais ça donner un peu plus de piquant non? Un baiser prolongé, qui ne finissait pas, il ne pouvait se défaire de sa bouche, de ses lèvres, de son odeur.. Et un klaxon retentit. Et mince hein ! On ne peut donc jamais être tranquille dans ces rues (a). En plein milieu ça c'était sur que non m'enfin bon. Il se dégagea alors d'elle, faisant un signe d'excuse au chauffeur, qui avait vu une belle chose au moins aujourd'hui non? Attrapant Florence contre lui, il passa son bras autour de ses épaules et en avant la musique. Pourquoi ne pas se montrer au jour? Après tout, ils étaient à Paris et non à San Fransisco, qui pourrait bien les déranger ici? Mais avant, Estevan emmena Florence se balader dans des grands parcs dont il connaissait bien l'existence, passant du temps dans ces endroits alors qu'il n'aimait pas tant que ça Paris à l'époque. Se promenant tranquille dans la même position, il comprit mieux pourquoi on appelait Paris comme ça. Voilà une des raisons qu'Estevan prenait en compte, le pourquoi du comment il aimait bien Paris maintenant. Enfin, aimer était un bien grand mot, mais il préférait vis-à-vis d'avant. Il déposa un baiser tendre sur sa tête tout en reprenant tranquillement la parole.

    « Ces parcs sont toutes mon adolescence. J'espère que tu te rends compte le privilège que tu as du fait que je t'y emmené hein? »

    Sourire ironique sur les lèvres, il savait que Florence comprendrait ce qu'il disait. Quoique, on ne pouvait pas dire qu'il avait amené tant de filles que ça ici, même presque pas.. Paris avant ce n'était pas la même chose. Maintenant, c'est bien mieux, surtout en sa présence.. Surtout quand il pouvait être libre de ses faits et gestes, quand il le voulait..
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyDim 20 Mar - 18:48

    Je pensa. Ou du moins je me souvenais. Mes yeux s'ouvrirent devant une immense maison. Pendant un instant qui m'avait semblé une éternité, j'avais revécu la même scène que je me remémorais sans arrêt lorsque je n'y prétais pas garde. J'étais comme esclave de mes souvenirs et celui-là ne céssait de venir me perturber sans que je ne puisse l'en empêcher. J'eus une moue déconcertante. Je n'aurais dû y penser aussi souvent, malheureusement, ce week-end à paris avait été l'un des meilleurs moments que j'avais passé avec quelqu'un depuis bien longtemps et cela me faisait du bien de me rappeler ces doux moments de plaisirs et d'oublis plutôt que ce que je vivais en ce moment, période sombre de ma vie où j'avais l'impression d'errer dans un trou noir béant où les bords ne faisaient que se refermer de plus en plus sur moi. J'avais beau crier, beau hurler, la pression ne s'enlevait pas de ma poitrine et je restais plantée là, dans mes peurs, devant cette maison, à chacun de ses endroits avec la même stupeur. Incapable de bouger et de prendre une décision. Oui, à ce moment précis, j'étais indécise. Il m'avait fallut un simple petit moment d'abandon, que mes yeux se ferment pour que je revois tout d'un coup cette rencontre à Paris, cette scène, son rire, sa bouche, ses yeux me dévorant d'envie. C'était trop, pourquoi tout était aussi compliqué ? Oui, je me prenais beaucoup trop la tête; Je l'imaginais pourtant tout le contraire de moi. Je ne voyais pas ce qu'il me trouvait vraiment. Après tout, comment pouvait-on réussir à gérer une bi-polaire ? Indécision, changement d'humeur brutal ... Mais ça il ne le savait pas, encore heureux, j'étais bien contente que mon secret reste bien protégé. Mais à quel prix ? En ce moment j'avais peur que je rechute. Mon histoire avec William venait de se finir et je commençais à douter de tout, épuisant les stocks de calmants que me prescrivait le médecin. Je n'avais personne à qui demander de l'aide. Personne pour m'aider. J'étais seule devant un mur...

    Porte d'entrée, je la connaissais que trop bien. J'avais tellement pris l'habitude depuis toute petite de l'ouvrir sans même prendre la peine de sonner que cela me faisait bizarre aujourd'hui d'hésiter devant elle comme si tout avait changé, que ce n'était plus cette bonne vieille porte d'entrée. La rue était déserte et je soupira ma main tendu impuissante à toquer sur le bois massif qui me séparait de ma meilleure amie. Je soupira et me retourna, les yeux baissés vers le sol, mes long cheveux blonds voltigeant autour de moi. Une lâche, peut-être mais j'étais dans un état de confusion totale entre Willaim, Estevan, la maladie ... Soudain, j'eus un choc et recula brusquement. J'avais heurté par inadvertance, la seule personne que je ne voulais pas voir aujourd'hui ... Ou peut-être que si ... Estevan était là, dans l'allée et moi je semblais idiote maintenant. J'esquissa un sourire après le choc et parla enfin après quelques secondes à rester bloquée devant lui :

    Désolé ! Sa va ? Sa devient une habitude chez nous de se rentrer devant !

    J'eus un sourire mais je me demandais bien où en était notre relation à présent ...
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyLun 28 Mar - 16:21

    Les cours c'est bien - pour les gens qui aiment aller en cours oui c'est sûr -, mais voir ses potes c'est mieux. Surtout quand c'est sa bande de potes, les 6 mousquetaires, inchangeable, insupportable ensemble, il suffisait de voir comment cette bande s'était formée aussi et vous aurez de suite la réponse. Pas besoin de s'en souvenir et de s'étaler sur la sujet, les meilleures soirées sont celles qui ne sont pas révélées. Et c'était l'une d'entre elles. Le temps passait, bien trop lentement pour lui. Sortir de cette salle au plus vite serait une très bonne solution à son ennui total et perpétuel. Si seulement la machine à avancer le temps existait, ça serait le bonheur absolue.. enfin bref. Les minutes passèrent et enfin vint la sonnerie, le son de la délivrance pour Estevan. Premier à sortir de la classe ou presque, il se dépêcha comme jamais. Pourquoi? Il devait rejoindre cette fameuse bande de potes dans les instants qui suivaient. Sauf que lui devait rentrer chez lui poser deux trois affaires et repartir aussitôt. Une rencontre inattendue serait vraiment la dernière chose qui devait se produire s'il voulait être à l'heure. Et vu que ça n'avait pas l'aie d'être son jour de chance - quoique revoir certaines personnes ne ferait pas de mal -, c'était sûr et certain qu'il allait lui en arrivait une. Se pressant dans le campus, il courait limite, rendant par politesse sur la coup des signes de bonjour, mais bien plus attentivement à ces chers mesdemoiselles. Delta un jour, delta toujours.

    Marchant dans les rues, essayant de ne pas bousculer les gens par ci par là, Estevan se pressait comme jamais. Mais ce temps là gagné.. Et boum. Qui pouvait se trouver sur son chemin alors qu'il était tant pressé? Levant la tête doucement pour ne pas bousculer à nouveau quelqu'un d'autre, il l'a vit elle, devant lui.. Florence. Il ne l'avait pas revu depuis Paris. Ça faisait vraiment un bout de temps. Et en plus avec ce qui s'était passé entre eux.. on ne peut pas dire qu'ils ne se retrouvent jamais par hasard eux non pas du tout. Toujours à se bousculer, et toujours à se finir de la même façon.. Outch. Non mais là c'était vraiment pas possible, déjà il n'avait pas du tout le temps de parler à qui que ce soit, même s'il allait parler quand même un peu avec Florence, normal quoi, mais par contre pas se finir comme la dernière fois, même s'il y avait sa chambre à deux pas.. bien sûr, on y pense pas on n'y pense pas, surtout pas ! Sinon.. Que lui dire? Que faire? Il valait mieux qu'elle engage la discution, il ne serait que dire sur le coup.. Mais une question me turlupinait.. Que faisait-elle ici? Voir Fleur? Alors qu'elle habite avec ses alphas chéris maintenant? Réponse à suivre peut être qui sait.. Lâchant un rire, elle n'avait pas tord, une habitude..

    « Tu as bien raison, une habitude.. bizarre? Et oui ça va et toi Flo'? »

    Ça faisait du bien quand même de la revoir. Après tout ce qui s'était passé, voir d'autres visages qui lui été familier ne pouvait que vous rendre heureux encore et encore. Et elle, elle avait toujours ce sourire et bien d'autres choses qui faisait qu'on était bien en sa compagnie. Pourquoi ils ne s'étaient pas revus avant? Très bonne question. Quoique.. avec ce qui s'était passé entre eux.. Ce n'était pas si dur que ça de savoir le pourquoi du comment. Sourire aux lèvres, même s'il était pressé, il ne pouvait s'empêcher de parler quand même un peu avec elle. Quelles retrouvailles encore et encore !

    « Il y a un moment que je ne t'ai pas vu ou tout simplement croisée. »

    C'était simple, précis et net. Au moins elle savait qu'il avait fait attention à ceci, ce n'est pas ce que toutes les filles aiment d'habitude? Savoir qu'on pense à elles? Si, alors bon, elle devrait être contente, et même, se voir, c'était la meilleure des choses. Et puis tant pis s'il arrivait à la bourre, ils pouvaient attendre. Il n'avait pas revu Florence depuis tellement longtemps.. ouais trois mois quoi, ça faisait une éternité.
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptySam 23 Avr - 19:40

Trois mois déjà que je ne l'avais pas regardé en face, que je n'avais pas plongé mes yeux clairs dans les siens pour y découvrire ce même désir enfouie que nous laissions s'échapper lorsque nos corps contrôlaient nos esprits ... Bonne ou mauvais augure de le revoir, qu'importe de toute manière je ne pouvais plus résister, le mal était fait, à quoi bon reculer, dire quoi que ce soit pour partir en retrait ? Se cacher, se mettre dans l'ombre... La première fois avait été censée être la dernière. Je ne voulais pas partir dans ces histoires de coucheries qu'apparemment toutes les jeunes femmes américaines s'amusaient à traquer dans le seul but de se sentir adulées et désirées par le reste de la gente masculine. Non, moi j'avais décidé de rester sur mes positions, de ne pas me fier à ces sourires charmeurs qu'on voyait arriver de loin, à ces compliments futils qu'on savait vrai mais durant combien de temps dans la bouche de cet homme ... Mais je me méfiais trop souvent de tout et c'était peut-être ça mon problème ! Un nouveau sourire s'étala sur mon visage. Depuis ma rupture avec William rien n'était pareille et même si notre relation n'avait pas forcémment duré longtemps, j'avais éprouvé énormément de sentiments pour cet homme que j'avais laissé m'échapper alors que j'aurais peut-être put le retenir comme toutes l'aurait fait. Mais j'étais faible et lasse de supplier les gens de rester, faible de voir à quel point cette vie tournait tournait sans que je ne m'en apperçoive. Qu'importe, en revoyant Estevan, je comprenais que la vie avait bien tourné depuis notre dernière séparation à Paris. PAris ... Ce fameux Paris où je m'étais enfin sentie comme chez moi. Je n'avais aucune envie d'imaginer ma vie autrement que dans la belle capitale de l'amour mais je devais d'abord terminer mes études ici avant d'imaginer retourner sur les podiums et diriger enfin ma vie, le magasine de ma tante, l'héritage de ma famille ... Estevan toujours droit devant moi me contemplais et je n'arrivais pas du tout à discerner ce à quoi il pouvait bien penser à ce moment même où nos regards se croisaient. Drôle de surprise de le trouver là, ou peut-être pas, il était chez lui après tout ... Son si doux visage soulevait en moi plusieurs flashbacks des plus plaisants. Et pourtant, j'étais toujours en "deuil" de ma relation qui avait finalement mal tournée. Enfin, je ne pouvais pas vraiment dire qu'elle avait mal tourné, après tout, j'en étais persuadée, la fin était inévitable. Nous nous cachions bien dans notre amour. Nous savions tous les deux, que une rupture était sur le point de surgir au moment où nous nous épanouissions. Il n'était fait que pour une femme, le passé l'avait déjà montré. J'avais juste espéré que ce ne soit pas le cas ... J'avais tord, je passais à la suite de ma vie ... Et qui je retrouvais alors ...

Sa va bien ! Mieux maintenant ...

Je ne savais même pas si il était au courant de mon histoire avec WIlliam. Bon d'un côté, ça avait très vite fait le tour de l'université; La star du cinéma et l'étoile montante de la mode, couple indiscutable qui en avait séduit plus d'un et jasé beaucoup d'autres mais erreurs quand tu nous tiens ..

Sa fait longtemps oui, trop longtemps même, j'ai été très occupé ces derniers temps, je m'en veux de n'avoir pas pris de nouvelles ...

Je lui souris, c'est vrai qu'avec toutes mes histoires j'oubliais souvent le principal et éloignais les gens de ma vie pour me consacrer à la mienne qui n'était pourtant pas très active en ce moment ! Lasse de tout, je me demandais bien si Estevan serait le piment qui allait la redorer un peu; Je l'espérais ... Mais n'avait-il pas vécut d'autres histoires de son côté aussi ? Quelques mois suffisaient pour changer une personne, j'étais curieuse d'en apprendre d'avantage sur ces derniers occupations ... Je me tourna rapidement vers la porte d'entrée de la demeure de l'homme à laquelle je tournais le dos et regarda de nouveau Este :

J'étais en faîte venue pour voir Fleur mais j'ai longtemps hésité, j'avais peur de tomber nez à nez avec toi ...

Cette franchise déconcertante me fit sourire, je n'aurais jamais osé il y a encore quelque temps exprimer vraiment mes doutes mais apparemment, il y avait un début à tout ! Je lui fis un sourire penaud et me mordilla la lèvre inférieur, un tic toujours aussi prononcé ..

Tu m'as manqué ...

Pendant qu'on y était, autant être franche jusqu'au bout non ?
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyMar 26 Avr - 23:10

SUJET TERMINÉE MERCI FLO' :plop:
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV Lorsqu'une ville et un visage familier se mélent ... PV - Page 3 EmptyVen 6 Mai - 15:05

sujet classé - corbeille
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