Pauvre petit franco-Russe qui se sentait totalement seul en ce moment, il venait d’arriver aux USA, et se sentait totalement pommé. C’était une ville beaucoup trop grande pour lui, Paris il y avait plein de point repère mais là tout se ressemblait dans cette ville. Et à chaque fois il se perdait et en plus il ne connaissait absolument personne ici. Et il ne savait pas vraiment quoi faire, quand il rentrait dans sa chambre il était totalement seul, quand il allait en cour c’était totalement seul fasse à ses feuilles ses livres et en cours de peinture c’était pareil, fasse à un chevalet ou les couleurs venaient s’animer.

Finalement, il prit sur lui et ce soir il sortait dans un bar, il était neuf heures, et alla en ville par le moyen de sa voiture, et s’arrêta devant un café qui avait l’air vraiment sympathique, pour faire des rencontres il n’y avait pas mieux.

Il entra, il était habillé de sa veste en cuir noir, et habillé d’un blue jean délavé denim et aussi une chemise blanche entrouverte sur un torse imberbe. Sa chevelure blonde coiffée, et des yeux bleus transparents, cherchant un coin ou s’assoir. Finalement se fut à une table pour deux fort charmante, qu’il prit place.

Il se commanda un bloody Merry, un cocktail à base de jus de tomate et de vodka, sûrement à cause de son coté Russe qui ressortait et le jus de tomate pour se coté français. Il bu une gorgée, et finalement se fut au bout d’une heure tout seul qu’il en commanda un second et se disait qu’il n’allait pas rester longtemps, finalement point de vu rencontre il ne faisait rien du tout, et se sentait encore plus seul que dans sa chambre, des groupes d’amis se retrouvaient et aussi des couples, s’en était plus que déprimant.

Il regardait miné son verre, il ne se fera jamais à la vie aux States, tout simplement parce que les gens ne s’intéressent pas aux autres, en France parfois c’est tout de même beaucoup plus chaleureux.

Il avait très peu de conquêtes d’une soirée, mais cela pouvait lui arriver de temps en temps, et cela fut le cas il n’y a pas très longtemps, il sortait de temps en temps en boîte, et avait fait la connaissance d’un jeune homme, ils avaient couchés ensemble, et comme d’habitude, il attendait que l’homme d’un soir, ce soit endormit, et il partait.

Maximilliant ne voulait pas s’attaché, c’était très important, il leva les yeux, et c’est alors qu’il vit le jeune homme en question accosté au bar, en train de boire une vodka, on reconnaissait la plupart du temps les boissons au verre. Il se leva de sa place. Avec grâce il alla jusque ce bar, et posa son verre et prit place à coté de cet inconnu pour lui.

« Bonsoir… »

Il ne savait pas s’il allait le reconnaitre, il allait peut-être tout simplement l’envoyé balader et oublier ce qui c’était passé ce fameux soir entre les deux jeunes gens, il croisa les jambes et bu une gorgée, il avait trouvé très beau le jeune homme, attirant à souhait, mais ce n’était que pour un soir. Est-ce que cela allait recommencer.

« Comment vas-tu depuis ce temps ? »

Il recroisait très rarement ses anciennes conquêtes, sur Paris cela lui était arrivé, il avait 16 ans pour sa première fois, mais Maximillian avait une certaine maturité pour son âge, quelqu’un de brillant, puisqu’il avait 16 ans quand il rentra pour sa première année aux beaux arts. Et pour venir enfin ici. Une fois il avait revu un homme après, mais cet homme lui en avait voulu, d’être partit sans rien dire. Comme ça.

« Je te dérange peut-être ? »

Il dit cela assez simplement, il passa une main dans ses cheveux blonds, comme d’habitude il était vraiment très élégants.

Il avait remarqué tout à fait la gêne du jeune homme, elle était même compréhensible, cela n’était jamais très évident de revoir une conquête, mais il ne venait pas s’assoir à ce bar avec une idée derrière la tête au contraire, il avait juste envie de sympathiser, il ne savait pas s’ils allaient remettre le couvert.

Il faillit changer de place mais au final un sourire avec une réponse, ce qui n’était pas trop mal en soit, il bu une gorgée de sa boisson alcoolisée même s’il n’insisterait pas sur ce genre de boissons de toute façon.

« Humm…Je vais on ne peut mieux… »

Il ne savait pas quoi dire, il avait été pris dans le feu de la boîte la dernière fois, ils avaient danser, peu parler, beaucoup fait l’amour, et maintenant ? Il ne savait pu quoi faire, il se concentra tout simplement.

« Sinon je m’appel Maximillian, je ne sais pas si tu le savais. Tu attends quelqu’un ? »

Il lui avait donné son prénom, ce qui était plutôt rare pour Max quand il croisait une ancienne conquête d’un soir, mais peu importe, ce n’était pas sa préoccupation, parlait et discutait, ne pas se sentir seul, était surtout l’objectif de ce soir, si le jeune homme était d’accord bien entendu, sinon il abandonnerait s’il voyait qu’il était trop gêné.

Il étira ses jambes et les croisa à nouveau frolant légèrement la jambe de ce bel inconnu, inconsciemment. Il continuait de sourire.

Il sentait ce malaise qu’il y avait entre les deux jeunes gens, il pouvait presque le toucher, c’était énorme, il s’appelait Anton, il c’était tous les deux présenter maintenant, et il n’attendait personne, il n’y avait que sourire, et boisson, il ne bougeait pas du tout, il se sentait mal aussi, non pour ce qu’il avait fait, il n’avait pas pour habitude de regretter une bonne partie de jambe en l’air, non pour ça il n’y avait aucuns soucis.

Mais Anton, semblait avoir quelque chose, il y eut un blanc jusqu’au moment ou il s’excusa de ne rien dire. Dans un cas comme celui-ci, soit il partait soit il crevait l’absés et il pensait que c’était la meilleure des solutions à moins que Anton ne réagisse mal, il ne savait pas quoi penser pour le moment.

« C’est à cause de l’autre nuit, ce qui c’est passé entre toi et moi…Je sais…mais je respecte ce que nous avons fait, et ne le divulguerait pas, je n’ais pas pour habitude de faire étalage de ma vie privée sur la place publique, maintenant…. »

Il ne savait pas si c’était un rapport avec la nuit passée, ou comment elle c’était terminé, c'est-à-dire Anton seul dans le lit, personne ne pouvait comprendre ce qu’il disait, il choisissait soigneusement ses mots afin qu’il ne fasse pas allusion directement au fait, qu’il était à quatre pattes sur un lit, et le jeune Anton derrière lui. Même si ce bref passage de souvenir, lui était agréable.

« Si c’est parce que je suis partit avant le matin, je fais toujours ça, ne te méprends pas, non que tu ais été mauvais…Mais j’ais peur de m’attaché si je reste. »

Il ne savait pas s’il devait lui dire ou pas, il resta de marbre, perdant tout sourire, il sentait qu’Anton allait mal prendre tout ce qu’il disait.

Il ne su quoi dire sur le moment, il resta muet quelques minutes, il ne pouvait pas dire quelque chose de raisonnable, mais fut scotché par les paroles du jeune homme, ne sachant pas trop quoi dire. Sur le moment il avait envie de parler dire quelque chose. Mais il en était incapable, il voyait Anton comme une personne normale et non comme une conquête et c’était sûrement leurs visions des choses qui entraînait cette petite discorde entre eux deux. Pas discorde mais plutôt un malaise certain.

Il commanda cette fois un cocktail aux fruits, il avait envie de dire quelque chose, mais finalement il intervint.

« Je regrette rien…Et si c’était à refaire, je le ferait, je te le dit tout de suite…Mais comporte toi normalement, j’ais été ton amant d’un soir et alors ? Tu as aimé, enfin je l’espère et on ne va pas en pleurer. »

La différence était aussi dans le fait que Maximillian, pour ainsi dire, acceptait son homosexualité vraiment très bien, il était épanouit avec les hommes et ne voyait pas ça comme une malédiction peut-être que pour Anton c’était totalement différent.

« Maintenant…Soit tu me dis que tu préférerais en rester là avec moi et je pars maintenant du bar soit je reste et on discute comme des gens civilisés autour d'un verre tout en rigolant? Je ne serais pas vexer par l’une ou l’autre de ses propositions. »

Il laissait passer le jeune homme avant lui, toujours préférant prendre selon ce que pensait le jeune homme que lui. Et préférait faire selon Anton que selon sa propre pensée, il voyait les choses plus justes ainsi.