Il était 7h du matin et le réveille sonna dans la chambre de Michael. Machinalement il l'éteint d'un geste de la main, il regarde à côté de lui, la place est vide, il posa alors son regard sur la photo posé sur la table de chevet du même côté. C'est la photo de Léa, sa femme, tout les matins il regarde sa femme avant de se levé et lui parle dans sa tête. Après 5 minutes de silence vu de l'extérieur il se leva et alla dans la salle de bain prendre une douche et se préparé. Lorsqu'il allait au boulot il prenait pas forcément soin de lui puisqu'il était prof de sport, alors une fois la douche finit il enfila son jogging ainsi qu'un tee-shirt blanc et une veste de jogging. Mais lorsque c'était le week-end il faisait un petit effort pour son fils et mettez un jean avec un tee-shirt. Une fois habillé Michael alla dans la cuisine servir le petit déjeuner, même si il n'avait pas faim comme chaque matin, il était obligé de prendre un petit déjeuner si il voulait tenir toute la matiné en faisant du sport. Alors qu'il était en train de faire chauffer le café et préparer un bol de céréale au chocolat avec jus d'orange et tartine, son fils montra le bout de son né. Jason avait 10 ans et directement encore en pyjama il alla faire un câlin à son père. Michael deposa un baiser sur son front et le serra fort contre lui. puis Jason se détacha de son père et se mit sur sa chaise pour petit-déjeuner. Michael ne pu s'empécher de le regarder, Il avait les même yeux et le même sourire que sa mère, les même mimiques aussi comme lorsqu'il buvait du lait il avait toujours la petite moustache blanche qui lui restait.

- bien dormit mon bonhomme ?

Jason lui dit que oui et se mit à lui raconter son rêve et comme très souvent il rêver de sa maman. Si seulement elle pouvait être encore là se disait Michael, si seulement elle pouvait le rassurait, et si seulement elle pouvait tout simplement le voir et elle aussi le serrer dans ses bras. Une fois le petit déjeuner finit. Jason partit s'habiller dans sa chambre. pendant que Michael ranger tout. Une fois tout prêt il le prit par la main et ils descendirent ensemble dans le parking souterrain de l'immeuble pour aller chercher la voiture. Une fois Jason bien attaché derrière, Michael l'emmena à l'école tout prêt de Berkeley. Puis il se dirigea vers le parking des profs de la fac. Il était 8h, il se dirigea ensuite vers la salle des profs pour préparer son planning de la journée car il commençait à 9h. La journée se passa bien, dans le calme surtout. Il était 16h et son fils finissait l'école à 17h alors il préférait attendre ici dans la salle des profs que l'heure tourne en lisant un magasine de sport et surtout en revassant un peu. Il lisait deux à trois lignes puis il se mit à penser à sa femme, elle lui manquait tellement... même après 10 ans, elle lui manquait toujours autant. Retrouver l'amour, au fond de lui il le voudrait mais il se méfie car Michael pense que si toute les femmes qui lui sont proche meurt c'est à cause de lui. Pourtant il voit bien que son fils aurait besoin parfois d'une présence féminine et qu'il aimerait voir son papa heureux car il ne l'à jamais vraiment vu sourire. Mais Michael n'y arrive pas.... il à peur de perdre à nouveau la femme qu'il pourrait aimer.

Michael&Gemma

Il était vers sept heures du matin, que je me trouvais déjà débout.. Je ne cachais pas que j'avais du mal à dormir en ce moment. Certainement à cause de mon fils. Il avait en quelque sorte disparue de la circulation sans me laisser un seul mot. Je m'inquiétais plus que tout , car, je ne voulais pas que les flics viennent sonner à ma porte pour m'annoncer qu'il a été arrêté la nuit précédent. J'en avais marre qu'il disparaisse la nuit sans rien me dire. Bon ok, il a 20 ans, mais il vit sous mon toit, donc, j'avais encore le droit de lui faire des remarques, de le punir, de lui imposer de petites règles qui lui déplait. Marvin a fort changer depuis la mort de son petit frère, et je peux le comprendre. Ce n'est toujours pas facile de gérer une perdre aussi grande; je l'aimais et je l'aimerais toujours mon petit garçon. Et je m'en foutrais certainement toute ma vie d'avoir laissé mon arme de service charger au- dessus de mon meuble. Comment, j'ai pu être aussi idiote ? Jamais, je ne m'en serais douté que Calvin aurait la fâcheuse idée de s'amuser en cachette avec mon arme. Rien au monde, je me pardonnerais ... J'aurais pu éviter sa mort, si j'avais déchargé l'arme, mais aussi planquer autre part. Mais, je ne pensais pas que mon petit garçon allait trouver l'arme ... Quelle idée aussi d'avoir osé toucher à ça. Je lui en voulais car, ce n'était plus un gamin, il savait bien qu'en prenant cette arme pour jouer, qu'il commettait une grosse bêtise. J'aurais aimé le surprendre avec cette arme et le gueuler comme ce n'est pas permis. Mais non, j'ai préféré rester dehors avec la famille à faire un bon barbecue sous un soleil pétant. Ça devait être normalement une belle journée et non, une journée d'enfer. Quand j'ai vu mon fils étaler sur sa mare de sang, j'ai cru que j'allais mourir sur place. Cette scène, je ne pourrais certainement jamais l'oublier. Elle sera gravée dans ma mémoire jusqu'à la fin de mes jours. Mon fils était toute ma vie, c'était comme si on m'avait enlevé une partie de moi... Il me manque, et rien au monde, je ne pourrai le remplacer. Ni même la venue d'un autre bébé. D'ailleurs, j'étais clair avec mon mari, je ne voulais plus d'autres enfants. J'avais déjà assez souffert avec la perdre de mon fils, je ne voulais pas revivre ça. J'avais si peur de perdre un autre, et avec un bébé sous la main, je ne pourrais plus surveiller mon Marvin comme je voudrais... j'espérais vivement qu'il ne soit rien arrivé cette nuit. J'aurais du m'en douter qu'il n'allait pas rentrer car il n'a même pas pris la peine de rentrer pour diner. Je m'inquiétais vraiment mais bon, mon mari me rassurait toujours en disant qu'il a certainement logé chez l'un de ses camarades…

Bref, je me dirigeais en vitesse vers ma salle de bain qui se trouvait à proximité de ma chambre. Sans attendre, je laissais tomber ma petite nuisette en sois, et je filais sous la douche laissant l'eau bouillante couler sur mon corps, détendant mes muscles un peu trop étirer. Cela me faisait un bien fou mais malheureusement, je ne pouvais pas rester éternellement sous l'eau surtout que dans moins de trente minutes, je devais être à l'université. Comme à ma grande habitude, j'allais encore arriver en retard. Je sais que je devrais me lever plus tôt, mais j'étais bien trop fainéante pour me lever de si bonne heure. Surtout qu'à cette heure là, mon mari était encore dans son lit, ce qui ne facilitait pas la tâche, et m'encouragea pas du tout pour sortir de mon lit. Après avoir pris une bonne douche, que je me précipitais dans ma chambre, essayant tant bien que mal, de ne pas réveiller mon tendre mari qui dormait paisiblement dans notre lit. J'avais opté pour quelque chose de très simple, un pantalon noir classique et une chemise blanche ...

Ensuite, je descendis en bas, mais avant cela, j'avais déposé délicatement un tendre baiser sur les lèvres de mon mari tout en lui souhaitant de passer une belle journée. Pusi, avant de rejoindre la porte d'entrer, je fis un grand détour pour passer dans la cuisine afin de me prendre une pomme en guise de petit déjeuner. Je sais que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée, mais je manquais tellement de temps que je ne pouvais pas me permettre de me faire autre chose que prendre une pomme. Une bonne dizaine de minute plus tard, je me trouvais déjà devant l'université garant ma caisse dans l'emplacement adéquat pour les professeurs. Je jetais un bref coup d'oeil sur ma montre qui m'indiquait qu'il était huit heures piles. Bah, je n'étais ni à l'avance, ni trop tard, j'étais pour une fois à l'heure. Je me dirigeais en vitesse vers la salle de professeur afin d'indiquer ma présence avant de passer de longues heures à apprendre aux élèves des nouvelles choses.

Il était environ seize heures quand je finissais enfin mon dernier cours. Il était temps surtout que je n'avais pas pris de pause depuis midi. Ne voulant pas ramener toutes les feuilles jusqu'à ma voiture, je décidais de les mettre en attenant dans mon casier à la salle de professeur. J'ouvrais difficilement la porte mais j'y arrivais quand même. J'affichais un sourire quand je vis le jeune qui lisait un magasine sur la grande table. Je déposais mon gros tas de feuille dessus...


GEMMA ▬ « Wow, mine de rien, mais c'est lourd quand même. . »


Dis-je en souriant. Il devait être le professeur de gym, en tout cas, les messes baissent étaient vraies. Il était vraiment craquant, et si mignon.


GEMMA ▬ « Je pense que nous nous ne sommes pas encore présenter, je suis Gemma Nightingale, professeur de langue »


Il n'avait pas jeté un seul regard vers moi, comme si, je le dérangeais dans sa lecteur. Ce n'est qu'un journal qui raconte des conneries sur des gens, rien de très intéressant.

Alors que j'étais en train de lire tranquillement mon magasine de sort, ou plutôt en train de penser à ma femme défunte tout en faisant semblant de lire un magasine de sport pour ne pas être déranger. Mais une femme vient me déranger tout de même en laissant tomber bruyamment son paquet de feuille à corriger je la regarda vie fait du coin de l'oeil. C'était une jolie femme ma pas mon style du tout et certainement une nouvelle prof de la fac, mais en même temps je m'en fichait totalement. Lorsqu'elle me regarda je replongea dans mon magasine faisant comme si je ne l'avais pas vu, c'est à ce moment là qu'elle me parla pour se présenter à moi, elle était donc la nouvelle prof de langue et s'appelait Gemma machin... un nom imprononçable pour moi. Je ne pouvais donc plus l'éviter et je lève le regard vers elle, en silence je me lève et lui présenta ma main pour lui serrer la sienne en guise de bonjour et je finit par lui parler calmement d'une manière un peu monotone et sans vie. pour tout dire c'était mon ton de voix naturel depuis la mort de ma femme, j'était devenue un peu comme un "zombie" sauf quand j'étais avec mon fils car je me forçait à être heureux pour lui, pour qu'il soit heureux lui et qu'il ne vivent pas avec le fantôme de sa mère sans arrêt.

- Bonjour, je suis Michael Carrington, professeur de sport.

puis je me rassoit après lui avoir serrer la main et je me remet à ma lecture pour cette fois ci vraiment lire car en tournant les pages je venait de voir un article sur le hockey sur glace, ma passion. Je ne regrettais pas d'avoir tout abandonner car je l'avais fait pour mon fils, ma seule raison de vivre mais cela me manquait quand même un peu... même beaucoup à vrai dire et reprendre ce sport me plairais beaucoup, en tant qu'entraineur chez les pro ou même les amateurs et je rêverais aussi de voir mon fils faire du hockey mais il ne sais même pas que je suis un champion de hockey sur glace. Je ne lui est rien dit car il serait triste que j'ai tout quitter juste pour lui. Mais je comptait lui en parler dans quelques temps car je le trouve assez grand pour comprendre ma démarche et comprendre que je ne regrette absolument rien. Mais si jamais je devenez entraineur je resterais aussi prof de sport à harvard car je ne roule pas sur l'or et ça serait un bon complément de salaire je pense. Surtout cela permettrait de remplir mes journées complètement et du coup penser moins à ma femme. Alors que je pensais à tout ça je m'étais même pas aperçue que Gemma la prof de langue me parler et je n'avais rien entendue, je la regarda alors et lui sourie d'une manière embarassé.

- je suis désolé j'était dans mes pensés je ne vous ai pas écoutais. Vous disiez ?

Hum professeur de Sport ? Cela m'aurait étonné, vu son beau physique à faire croquer toutes les jeunes femmes, je le voyais mal faire autre chose. Il n'avait pas l'air d'être très enthousiasme de me parler. Peut-être que je le dérangeais dans ses affaires. Je ne voyais pas ce qu'un professeur de gym peut faire dans une salle de prof, à part se reposer le temps de reprendre des forces. Je m'étais assise à ses côtés, prenant en même temps un magasine qui trainait sur la grande table. Je n'ai jamais crus toutes ses histoires que les magasine poeple balançaient sur les stars de l'année. Il faut vraiment être débile pour croire cela. Je regardais le jeune homme à mes côtés, tout en affichant un sourire ... J'ajoutais donc ;


GEMMA ▬ « Enchanté, Michael.» Dis-je en souriant avant d’ajouter quelque minute plus tard « Vous travaillez ici depuis longtemps ? »


Rien, n'était-il en train de me foutre un vent ? Si, je le dérangeais tant que ça, qu'il me le dise en face et non pas qu'il m'ignore. Je soupirais et je jetais mon regard de nouveau sur le magasine. Tant pis pour lui, si, il ne voulait pas parler, je ne vais pas en faire un drame ... Je lisais un article qui m'intriguait beaucoup. Mon tendre mari qui faisait la promotion de son nouveau film, la parodie de - Beverly Hill 90210 -, des années 1990. J'avoue que je n'ai jamais regardé entièrement l'une des créations de mon mari. Ce qu'il faisait, je m'en fichais un peu. Si, il aime sa passion, tant mieux pour lui. Je ne pouvais pas lui priver de ce qu'il aime surtout que part ma faute. Il a dû faire beaucoup de sacrifice et il est peut-être temps pour moi, de le laisser le champ libre et faire ce qu'il souhaite. Je ne cachais pas que je suis très jalouse mais, je le fais confiance en ce qui concernait la fidélité. Façon, si j'apprenais qu'il m'a trompé avec l'une de ses employés, il est clair que je lui ferais la tête pendant un long moment mais, je ne demanderais pas pour autant le divorce. Il a bien le droit de s'amuser un tout petit peu comme je le fais avec Alcide. Cela dit, tant que mon mari n'est pas au courant de mes aventures extra conjugale, j'allais en profiter un petit moment. Je ne sais pas ce qu'il se passera le jour où il apprendra. Bon, Il aura deux solutions logiques soient il me quittait, ou alors, il ferme les yeux et qu'il me pardonne pour mes pêchés.

Alors que le jeune homme s'excusa de ne pas m'avoir écouter, que je replongeais mon regard vers lui. Qu'avait-il pour être aussi discret ? Je ne le connaissais pas donc, je pouvais vraiment me permettre de lui demander ce qu'il n'allait ou pas. J'ajoutais donc ;


GEMMA ▬ « Et bien, je ne disais pas grand-chose. Simplement, je voulais savoir '' combien de temps vous travailliez ici...'' C'était juste histoire de taper une conversation mais, je vois que je vous dérange... »


Je fermais le magasine et je me levais.