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Toujours éviter de vexer une femme [Roman]

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MessageSujet: Re: Toujours éviter de vexer une femme [Roman] Toujours éviter de vexer une femme [Roman] - Page 2 EmptyMer 21 Mai - 23:13


Toujours éviter de véxer une femme.



Roman&Catalina ⊹ Je n'avais jamais été aussi blessant avec Catalina. Du moins pas avec ce sérieux qui se lisait dans mon regard et qui ne vrillait pas du sien, noir de rage devant mes paroles des plus déplacées. D'habitude on rigolait. On s'envoyait des pics à tout va pour déstabiliser l'autre. On se cherchait, on essayait de se blesser par des paroles qu'on ne savait forcément pas vrai parce que ça faisait partit du processus. De notre jeu permanent. Mais c'était la première fois que je pouvais lui cracher de telles paroles au visage sans strier une seconde, l'air dur qui ne s'égare pas de mon visage impérieux. Je sens ma mâchoire se serrée et je contiens l'envie irrépressible d'essayer de faire reset sur ce moment et de tout oublier pour passer à autre chose. Mais souvent on a pas le choix. Et c'est comme ça qu'est né le mot regret. Alors je la regarde longuement et bien que j'essaie de toutes mes forces d'appuyer sur mes paroles par mon expression froide et distante, j'avouais que je crevais d'envie au fond de me faire pardonner, de lui faire oublier que j'avais pu lui sortir ce genre de conneries. Parce que je le savais assez pour dire que Catalina pouvait avoir tous les hommes de la terre pour elle seul. Elle était magnifique. Mais attention, ce qui était différent chez elle c'est qu'elle ne ressemblait pas à toutes ces poufs à la La Tour Du Bois, Woobleforth et j'en passe. Non non. Elle c'était une toute autre beauté. Une fleur qu'on avait peur de toucher mais dont l'envie était si irrépressible qu'on venait tout de même s’enivrer de son parfum quitte à se piquer au passage par des épines qu'on avait pas vu avant. C'était le piège. Tant de douceur et de grâce dans un visage ne pouvait dévoiler qu'une partie bien cachée. Qui s'omnolait et qu'on était peu à connaître. Moi je savais que ces traits innocents, ce visage bienveillant et cet air mystérieux renfermait en réalité un tempérament de feu qui, lorsqu'il se montrait enfin, pouvait faire bien plus de dégâts que les talons stratosphériques d'une Rosenbach ou que les ongles manucurées de la Hasting-Fields. Mais je l'avais touché. J'ai faillit attendre la gifle qui ne tarderait pas mais je préférais ça à l'idée de devoir dévoiler ce secret. Je me le devais malgré mes conneries des plus exemplaires dans mes anciennes histoires. Ma relation entière avec Catalina était une connerie je le savais. Coucher avec votre amie d'enfance et ça vous retombera dessus. Chaque jour je le voyais mais je ne pouvais m'en empêcher. Elle était bien la seule avec qui je pouvais être autant lié et partager aussi ce genre de moments. Toujours est-il qu'elle explose enfin. Comme si elle n'avait pu garder son calme plus longtemps. L'ais-je mérité ? Le fou en moi dirait que non. L'ami loyal dirait que oui. D'ailleurs les deux se combattent en moi et je ne peux m'empêcher toute fois de rester impassible face à ses paroles. C'est le plus horripilant. De faire une tête qui ne montre même pas si on est touché par sa propre arrogance ou non. Et puis elle commence à s'en aller, coupant définitivement le lien qui était entre nous quelques secondes avant pour filer vers la porte fermée et derrière laquelle, j'imagine déjà les employés collés pour ne pas louper une miette de ce qui se trame ici. Raison de plus pour fermer ma bouche et m'en tenir à mon beau bobard. Un connard l'aurait laissé filé. Mais un connard l'est bien moins sans son amie d'enfance, celle qui l'a toujours poussé dans cette direction. Alors je me retourne et la rattrapa pour poser toute ma prestance entre elle et la porte qui condamnerait sûrement notre relation à vivre une longue agonie ou elle ne me donnerait plus de nouvelles et où évidemment, j'aurais dû faire le premier pas. Une évidence avec elle. Hors de question cependant que l'un de nous s'abaisse à ça. Mais lorsque j'ouvre la bouche ce n'est pas absolument pas le discours que j'ai préparé dans ma tête qui sort en premier. D'autres partenaires de jeu ? Ha ben très bien. Là je craquais parce que j'en avais clairement mal de me sentir aussi protecteur et possessif avec cette fille et pourtant je l'étais depuis ma plus tendre enfance. Elle était tout pour moi, elle me connaissait par coeur et forcément, à l'instar de la prendre pour une soeur, j'étais tout de même d'une possessivité hors norme quand bien même je ne l'étais jamais dans ma vie de tous les jours parce que je me foutais royalement de ce genre de sensations. Ce qui m'attriste clairement c'est que tu te rabaisses à jouer le même jeu que toutes ces filles dont tu te foutais royalement. Tu les traitais de tous les noms quand elles venaient me demander mes faveurs parce que tu trouvais qu'elles ne se respectaient pas. Aujourd'hui t'en penses quoi toi ? De voir que finalement tu commences à les pousser pour entrer dans le même sac ? Ma voix n'avait pas haussé d'un ton. Je la fixais longuement d'un regard pesant. Mes paroles pouvaient sembler offensantes et pourtant elle me connaissait assez pour savoir que je n'étais pas en train de lui faire la morale mais d'essayer de lui faire comprendre quelque chose. Et peut-être qu'elle avait grandit. Mais ça je n'étais pas près de le remarquer lorsqu'il ne s'agissait pas d'être à mes côtés. Catalina sérieusement, on peut pas arrêter ces conneries ?



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MessageSujet: Re: Toujours éviter de vexer une femme [Roman] Toujours éviter de vexer une femme [Roman] - Page 2 EmptyVen 23 Mai - 15:42


Catalina & Roman
tu n'es plus mon plus beau, enfin pour l'instant

Catalina s'était clairement retenue pour ne pas frapper Roman à l'instant où il avait sorti ses paroles à son encontre. Mais finalement son geste n'aurait en rien refléter la déception qu'elle pouvait ressentir vis-à-vis de lui. Elle ne savait même pas comment il osait avoir de telles paroles pour elle. A l'instant, elle ne le comprenait clairement plus et se demandait comment elle avait pu rester tant de temps à ses côtés. Aujourd'hui, il envoyait juste tout balader et il la prenait pour une grande idiote. Oui c'était le ressenti qu'elle avait à présent. Il la dégoutait, il n'y avait pas d'autre mot et son regard démontrait bien ce sentiment à son égard. Il venait de la rabaisser comme il l'avait jamais fait, remettant en cause leur relation qui était assez bizarre je l'entend bien mais qui était à eux. Cela lui faisait mal de penser qu'au final il trouvait ce petit plus entre eux comme une sorte de geste de dépravé qui ne devrait pas avoir lieu d'être. S'il pensait cela alors il n'avait rien compris à ce qu'ils étaient, d'accord c'était difficile d'expliquer et ils ne partageaient pas leurs ébats avec tout le monde, mais c'était un moyen pour eux de montrer l'affection qu'ils avaient l'un pour l'autre sans pour autant penser à plus entre eux, non il n'avait jamais été question de ça entre eux. Ils étaient des amis d'enfance, des meilleurs amis, ils étaient très proche et partager quelque chose que peu d'amitié peu supporter mais eux le faisaient à merveille, enfin jusqu'à présent.. Catalina avait le regard noir, son visage n'était plus si angélique, non on pouvait clairement voir toute sorte de sentiments négatifs sur celui-ci comme la colère ou encore la déception. Il l'avait tellement dégouté qu'elle n'avait plus envie de le voir. C'est pour cela qu'après lui avoir dit ce qu'elle avait sur le cœur -ou presque car il y aurait beaucoup à dire- qu'elle se dirigea pour prendre la porte, et là ne comptait pas sur elle pour le rappeler, non elle n'avait clairement plus envie d'entendre parler de lui pour les prochains mois. Oui, Cat' était excessive, mais elle était comme ça, entière avec les personnes qu'elle aime et quand elle pense être prise pour une idiote, ça la braque de suite. Mais voila que Roman le voyait d'un autre œil et lui barra la route, se mettant juste devant la porte pour ne pas qu'elle passe. Elle eut l'air de lui demander rien que par l'expression de son visage qui était quelque peu blasé s'il était sérieux de lui poser cette question. Non mais il l'arrêtait juste pour lui faire cette remarque?! Là il ne faisait que l'énerver qu'un peu plus. Ah bin très bien oui, c'est ma vie Roman, j'en fais ce que je veux. Lui déclara t-elle sur un ton assez dur et sans appel, elle ne supportait pas lorsqu'il mettait le nez dans ce qu'elle faisait à ce niveau. Mais voila elle le savait pas mal possessif et protecteur donc à chaque fois ça partait en clash entre eux. Et voila qu'il lui faisait la moral ou en tout cas qu'il voulait lui faire comprendre quelque chose mais là elle se sentit qu'encore un peu plus blessée mais elle ne montra rien, non elle n'avait plus envie de lui donner ce plaisir, lui qui semblait si bon pour juger aujourd'hui. Elle replaça alors son masque de glace sur son visage, n'ayant plus rien envie de lui donner. J'en penses qu'elles devraient me faire une plus grande place. Lui déclara-t-elle clairement pour le provoquer mais surtout elle n'avait aucune envie de répondre à ses questions, comme elle l'a dit plus tôt c'est sa vie, elle en fait ce qu'elle veut et ça n'allait en aucun cas être lui qui allait pouvoir lui faire ouvrir les yeux ou quoi que ce soit là-dessus. Cela faisait maintenant plusieurs années qu'elle ne croyait plus en l'amour, on l'avait bien trop prise pour une idiote comme ça, elle n'avait plus envie de risquer de se brûler les ailes une fois de plus. Oui, c'était triste d'entendre ce discours de la part d'une jeune fille comme elle mais il fallait se rendre à l'évidence.. Maintenant, elle préférait ne pas se prendre la tête, ça allait d'ailleurs beaucoup mieux dans sa vie. Son expression n'avait pas bougé, toujours aussi froide, elle lui offrait le visage qu'elle pouvait montrer à tout ceux qui ne comptaient pas pour elle. Sa dernière question la fit doucement rire jaune intérieurement. Par conneries, il voulait parler de leurs petits plus ou bien de toutes ces disputes non mais parce que là elle commençait à avoir du mal à le suivre, mais vus tout son discours, elle comprenait mieux que cela s'apparenter à la première option. Pas de problème, on fait comme monsieur veut. Encore dans la provocation, soutenant son regard comme peu pouvait prétendre pouvoir le faire. Maintenant tu peux t'enlever de la sortie? Lui fit-elle n'ayant même plus envie de le toucher elle-même pour le pousser de devant la porte. Mais elle se sentait bouillonnait encore de l'intérieur donc il avait intérêt à rapidement s’exécuter sinon elle risquait de lui dire ses quatre vérités..



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MessageSujet: Re: Toujours éviter de vexer une femme [Roman] Toujours éviter de vexer une femme [Roman] - Page 2 EmptyMar 27 Mai - 23:01


Toujours éviter de véxer une femme.



Roman&Catalina ⊹ Elle ne semblait pas trépigner d'impatience à l'envie de me serrer contre elle et d'oublier ces histoires qui nous séparaient aujourd'hui. Mais j'avais bien d'autres choses à penser. J'avais à penser au fait qu'il fallait que je préserve ma réputation, que je gère l'irruption volcanique que Jules pouvait représenter quand elle s'y mettait et surtout, il fallait que j'essaie de faire profil bas. Comment faire avec un caractère comme le mien ? Je n'avais toujours pas trouvé. En faîtes j'avouais qu'en ce moment je commençais à avoir bien du mal à savoir quelle voie choisir et même à me reconnaître. peut-être que c'était le mieux si je ne m'éparpillais pas dans tous les sens en quête de nombreuses autres demoiselles à courtiser. Après tout, moi, lorsque je mettais mis en couple avec Jules j'avais de suite pensé que j'allais devoir faire semblant devant les caméras, pareil à l'université rapidement pour ne pas avoir à ce que quelqu'un vienne révéler mes moindres petits secrets. Mais j'avais aussi pensé que j'allais pouvoir continuer ma vie de débauche d'une manière bien plus discrète. Après tout, il n'était pas rare que les femmes se jettent sur moi. Ce n'était pas des illusions mais la vérité. Il m'était arrivé plusieurs fois d'ouvrir la porte de ma chambre étudiante à l'époque pour qu'une fille me repousse à l'intérieur et s'empare de mes lèvres. Evidemment j'avouais que je n'étais pas indifférent à ces manières qu'elles avaient de me surprend à chaque endroit où j'allais et bien sûr on ne pouvait pas dire que j'avais freiné leurs ardeurs. Il avait suffit que je leur montre un brin d'intérêt, un ou deux regards lancés au travers d'un couloir pour créer l'espoir infime au fond d'elle que finalement, elles pouvaient être dans les bonnes faveurs du Roman Da Russo. Et alors là elles se pliaient en quatre et attendaient le bon moment pour frapper. Mais à défaut de leur offrir plus qu'une porte d'entrée, elles finissaient par s'y engouffrer toutes seules sans que je ne me brûle les ailes et j'en savourais chaque instant. Le lendemain était bien sûr une autre histoire puisque je ne donnais jamais suite et qu'elles devenaient un objet inutile. Elles toutes sauf Catalina. Mais Jules m'avait clairement fait comprendre que, si je voulais remonter ma côte auprès des investisseurs en prônant une stabilité dans mon couple il allait falloir vraiment jouer le jeu. Et elle m'avait dit clairement, pointant un doigt menaçant sur moi, les yeux brûlant de nombreuses menaces qu'il n'y avait pas intérêt à, si elle acceptait notre marché, que je fasse quoi que ce soit à côté qui pourrait venir lui nuit. Alors j'avais dû accepté parce que je n'y avais pas pensé et qu'elle avait totalement raison. Sauf que je me faisais avoir à mon propre piège en vue des nombreuses frasques que cela engendraient dans ma vie. Et le pire était que je devais supporter ses sautes d'humeur incessantes. Ou ces envies intempestives de me sauter dessus. On allait clairement pas préciser quels moments je préférais dans notre relation. Mais à en voir Catalina j'avouais qu'il y avait bien une chose sur laquelle j'étais d'accord, je n'avais jamais su retenir mes mots. Avec personne. Alors ils sortaient tout simplement et blessaient d'une manière que je ne voulais pas. Alors tout était dans l'intonation, la manière dont on pouvait dire certains propos. Je ne l'agressais pas à ce moment précis mais cela me décevait d'elle. Si ça la touchait ? Évidemment, il n'y avait qu'à voir son visage. Oui, ça j'ai bien compris. J'ai rien à dire en faites. Ma mâchoire se compresse devant la colère qui se lit dans mes yeux. Mais je ne dis rien d'irréfléchit pour une fois parce qu'au fond de moi, je sais qu'elle a totalement raison. Sauf que je la connais depuis qu'elle est petite. Je ne pouvais décemment pas paraître pour un simple observation de sa vie. Ces nombreuses années à ses côtés nous avaient rapproché ce qui était le bon point mais le mauvais était sûrement qu'on trouvait aujourd'hui légitime d'avoir son mot à dire sur tout ce qui se passait dans la vie de l'autre. Mauvais point ou pas, je ne pouvais m'en empêcher et me le permettais. Un sourire s'esquisse sur mon visage à ses paroles et je relève son menton pour qu'elle me regarde bien droit dans les yeux. Arrête de faire celle qui est jalouse. Tu n'as aucune raison pour ça. Je n'allais pas lui faire l'éloge de l'importance qu'elle avait dans ma vie mais au moi les mots étaient prononcées. Elle en faisait ce qu'elle voulait. Je m'écarte alors devant son ordre sec. Malgré mes paroles j'ai peur de n'avoir pas apaisé la bête. Ben voila, c'est ce que j'essaie de te faire comprendre depuis le début ! Un sourire qui suit des yeux levés au ciel. Mais cette ironie mal placée, va t'elle bien la prendre sachant que ce n'est pas comme si on s'était réconcilié réellement ! Je joue toujours parce que c'est ce que je fais de mieux. Néanmoins j'ai dû mal à m'imaginer qu'elle pourrait partir ainsi, après une dispute pareille. m'enfin nous connaissant, ça n'aurait certainement pas duré bien longtemps...[/color]



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MessageSujet: Re: Toujours éviter de vexer une femme [Roman] Toujours éviter de vexer une femme [Roman] - Page 2 EmptyLun 2 Juin - 15:32


Catalina & Roman
tu n'es plus mon plus beau, enfin pour l'instant

Catalina n'en revenait simplement pas que Roman puisse lui parler ainsi, la mettre face à ce genre de vérité qui il le savait, pouvait être blessante. Il connaissait sa vie, il l'avait suivi à chaque étape et donc savait qu'il n'avait aucun droit de lui faire ce genre de remarque sur les hommes alors qu'il savait pertinemment qu'au début, elle avait essayé tout ce qui était histoire d'amour.. Mais voila à croire que tout ça n'était pas faite pour elle puisqu'à chaque fois elle avait été déçue ou pire dupée. Il venait clairement de toucher un point sensible et elle le détestait pour cela. La jeune femme ne savait faire qu'une chose dans ce genre de situation où elle se sentait blessée, se renfermée complétement et agir avec lui comme s'il s'agissait d'un simple inconnu qui ne comptait aucunement pour elle. Elle le regardait avec ce regard froid et lui jetait des réflexions acerbes qui elle savait très bien ne lui plairaient pas, mais c'était le but. C'est bien, il avait compris, il n'avait rien à dire sur ce qu'elle faisait de sa vie, elle espérait qu'il l’intègre une bonne fois pour toute. A ce moment précis, elle ne savait plus où ils en étaient eux deux, elle était dans le flou total, mais savait au moins une chose, c'est qu'elle n'avait plus envie de le voir, là, maintenant. Cette dispute avait son importance, pour elle, ce n'était pas une de ses disputes qu'ils pouvaient avoir toutes les semaines, non celle-là l'avait blessé donc elle la retiendrait. Si elle partait maintenant, elle savait très bien qu'elle ne ferait pas le premier pas vers lui parce qu'il l'avait clairement rejeté plus tôt. Elle avait sa fierté mais aussi détestait qu'il la mette ainsi de côté et qu'il puisse avoir de tels propos à son égard. La belle brune se tenait face à lui, ne sourcillant pas, certes elle faisait plus d'une tête de moins que lui mais avait autant de puissance que lui à ce moment. Voila qu'il venait se permettre de relever son menton pour qu'elle le regarde dans les yeux, okay pas de problème, il aurait le droit à ce regard froid et en même temps remonté. Son expression de visage prit alors un air agacé lorsqu'il la traita de jalouse, mais même ses prochaines paroles ne l’apaisèrent pas, elle était têtue et complétement braquée. Laisses-moi penser ce que je veux. Lui fit-elle en secouant légèrement la tête tout en se reculant légèrement, n'ayant plus envie de tout ça, elle voulait juste que ce moment désagréable s'arrête. Son ironie par la suite, ne fit que l'exaspérer et surtout elle n'était clairement pas la bienvenue à ce moment. Il se prenait pour un petit prince, la bonne parole a parlé. Okay, il était temps que Cat' quitte les lieux avant de dire des choses qu'elle regretterait. Hum.. Elle ne lui dit même pas au revoir, rien, même pas un dernier regard, elle ouvrit la porte et s'en alla de ce bureau. Altercation intéressante, elle avait compris bien des choses, certainement trop naïve qu'elle était, mais une chose était sûr, c'est qu'elle retiendrait toutes ses paroles, et surtout ce qu'il ne voulait plus.



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MessageSujet: Re: Toujours éviter de vexer une femme [Roman] Toujours éviter de vexer une femme [Roman] - Page 2 EmptyMer 4 Juin - 21:40

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