Eden A. Hastings-Matveïv ▬ 415-112-420

THANKS XO MONSTER · Invité

EDEN

La princesse est surement trop occupée à dépenser une fortune dans des magasins hors de prix pour te répondre. Si tu es aussi populaire, beau et friqué que moi, ce qui m'étonnerait fortement, tu peux laisser un message. Call you back !

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babi pelizza da volpedo is calling eden hastings-matveïv ► Elle va le tuer. Littéralement, au premier sens du terme. Qu’est-ce qu’elle aurait aimé lui claquer sa porte en pleine poire afin de lui montrer pour la énième fois son mécontentement excepté, qu’elle ne possède qu’on long morceau de tissus en guise de ‘porte’. Magnifique. Elle songe d’ailleurs à aller piquer sa crise auprès du doyen Fredericksen, lui démontrer par a +b qu’il est grand temps que les travaux dans leur appartement commencent. Leur appartement. Seigneur elle n’arrivait toujours pas à s’y faire. Il l’emmerdait profondément avec ses sautes d’humeur ce Caleb. Un moment tout va bien et puis l’autre, c’est le tonnerre qui gronde. Et c’est exactement ce qui venait de se passer. Pauvre gars, qu’il aille donc se faire soigner au lieu de lui pourrir son propre espace vital. Elle inspire et puis elle expire. Elle reproduit ce schéma plusieurs fois afin de calmer ses envies de meurtres. Mais rien n’y fait. Il faut qu’elle râle, qu’elle clame haut et fort à quel point c’est un véritable cauchemar de cohabiter avec lui. Elle avait besoin d’une oreille attentive, et qui d’autre que sa meilleure, sa plus belle pour jouer ce rôle ? Personne. Elle s’allonge délicatement sur son lit, grande précieuse qu’elle est, son dos sur ses couvertures de soie rose et elle compose un numéro qu’elle connait par cœur. «.Deden !.» qu’elle s’empresse de hurler dès que la principale intéressée ait, enfin, décroché son téléphone. Deden, mais quel adorable surnom. «.Seigneur ! Tu en as mis du temps. Qu’as-tu de mieux à faire que de répondre aux appels de la meilleure des meilleures amies ?.» Elle râle juste pour le plaisir de râler. Elle adore faire ça et souvent, elle se demande si elle préfère pester contre le monde entier ou faire chauffer sa carte de crédit. Et puis, plus sérieusement, princesse Babi passait avant tout et tout le monde. Quoi que… «.Non, en fait je n’ai pas envie de le savoir.» Si toi et ton ‘nouveau’ chéri, vous vous adonniez à des pratiques pas très catholiques, c’est très bien pour vous mais la Babi, elle se passera volontiers des détails. Ou elle fera semblant d’écouter Eden, si l’envie lui prenait de le lui raconter. Soudain, le son d’une porte qui claque la ramène doucement à la réalité. Oh le traite, il avait pris son idée … sauf qu’elle n’avait absolument pas pensé à la porte principale. Du grand Babi. «.J’en ai marre de lui. J’ai le pire colocataire du monde !.» qu’elle commence à pester contre le Caleb. Ca y est, la machine Babi Pelizza Da Volpedo est en route. «.T’as entendu la porte ? Non mais monsieur a –encore- mal pris une de mes blagues. Je ne sais pas dans quel monde il vit celui-là mais le mot humour ne fait définitivement pas parti de son dictionnaire !» Le sens de l’humour ? Les blagues ? Les jeux de mots ? Caleb tout ça, il ne connait pas. «.En plus tu sais comment il a osé me surnommer ? Barbie ! B-a-r-b-i-e ! Je crois qu’il est suicidaire sur les bords.» Et c’est peu le cas de le dire…. «.Dommage qu’il ne soit pas muet parce que si tu le voyais, je suis certaine qu’il serait capable de rendre George Clooney homosexuel.» Ce qu’elle essaye de dire à sa Deden favorite c’est que son colocataire, physiquement parlant, c’est un dieu vivant. «.En plus j’aime bien son prénom, il s’appelle Caleb.» Et là elle arrête son monologue et tente de reprendre sa respiration. Babi elle a toujours tendance à parler à une vitesse hallucinante, sans prêter attention si la personne au bout du fil a bien compris ou non. Néanmoins, la situation semblait claire … Et elle attendait impatiemment la réaction de sa brune favorite. Autrement dit : profère donc des méchancetés gratuites sur Caleb en ma compagnie, je me porterai mieux.

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Sa Babi. Elle était si heureuse de l'avoir enfin à ses côtés, si reconnaissante de pouvoir désormais la voir autre part qu'en plein milieu de la brousse lors d'une mission humanitaire et de pouvoir parler fringues et vernis avec son estimée meilleure amie sans se faire fusiller du regard par une femme n'ayant pour seule vétuste tenue une feuille de bananier. Oui. Le bonheur de l'avoir auprès d'elle était inestimable. Elle avait Maisy, elle avait Babi. La brune et la blonde. Elle ne pouvait rêver mieux. Depuis leurs retrouvailles ô combien niaises, c'est avec un plaisir au goût tout particulier qu'Eden accueillait les nombreux coups de téléphone de sa Babi. Et celui-ci ne dérogea par à la règle, malgré le retard déjà considérable qu'elle avait pour son rendez-vous avec Adriel. Un coup de blush termina de la préparer, mettant en valeur ses traits si parfaits quand le téléphone sonna. Dans son sac à main ? Non. Sous le coussin ? Non. Derrière le fauteuil ? Non. Entre les oreillers ? TROUVÉ ! Après des recherches dignes d'une fouille archéologique, Eden mit enfin la main sur son précieux téléphone. Si elle s'était donné tant de mal c'est parce qu'elle savait très bien qui était au bout du fil, ayant attribué des sonneries particulières à l'élite dont Babi faisait bien évidement partie. Salut Babibelle ! répondit-t-elle enjouée. Babibelle où le doux surnom dont Babi avait écopée quand elle avait commencé à la surnommer Deden parce que soyons clairs, c'était bien la seule qui puisse l'appeler de cette manière sans qu'elle bronche la Deden. Désolée, j'étais en train de faire passer un casting pour voir si je trouvais plus parfaite meilleure amie, mais il s'avère que non. plaisanta-t-elle. S'envoyer des fleurs faisaient partie de leurs activités favorites, elles étaient merveilleuses, grandioses, parfaites et s'appréciaient à leur juste valeur. Bien sûr qu'elle plaisantait, Babi était irremplaçable. Au ton qu'elle prenait, Eden réalise ô combien l'esprit de la blonde était mal placé. Tu sais que même une Lambda m'a fait l'affront de se présenter ! ajouta-t-elle avant de se reprendre. Ne prends pas ça personnellement trésor, toi c'est passager, c'est juste un mauvais coup du sort, une erreur monumentale, mais elle, elle était Lambda jusqu'à la moelle j'peux te dire. corrigea-t-elle. C'est comme une mauvaise gastro, ça passera comme c'est venu et tu intégreras l'élite avant même qu'on s'aperçoive que sa meilleure amie était Lambda. Eden ne comprenait même pas comment, avec un pedigree comme celui de Babi cette dernière n'avait pas intégré les Epsilons, l'élite de l'élite, la crème de la crème sur le champs. Les PDV, ce n'était pas les poissonniers du coin quand même. Breeeeeef, que me vaux l'honneur de ton appel ? Tu voulais entendre le son de la perfection résonner dans ton combiné ? questionna-t-elle avec humour et curiosité. Non pas que Babi ai besoin d'une raison pour appeler Eden, et inversement. Une Babi que rien ne semblait bien pouvoir arrêter entama alors un long monologue. Eden regretta presque d'avoir posé cette fameuse question à l'instant où le prénom de Caleb arriva dans la conversation. Caleb. Le prénom du correspondant de Babi lui fit presque lâcher le combiné. Elle n'en connaissait pas quinze des Caleb, seulement un, son cousin. Elle ne pouvait cependant pas prendre cela pour argent comptant car à part sa petite personne peu de gens trouvait grâce aux yeux de son altesse Matveïv et méritait que mademoiselle ne leur accorde assez de sa céleste attention. Quoi que, un beau mâle répondant au nom de Caleb ne pouvait être que son cousin. Et c'est quoi son nom de famille ? demanda-t-elle en essayant de prendre un air détaché, alors qu'en temps normal, les deux copines auraient déjà été en train d'élaborer un plan pour éliminer le parasite de la planète. Allez Babi, un petit effort, je sais que les fringues sont plus importants que les mathématiques pour toi mais 1 + 1 jusqu'à preuve du contraire, ça fait deux et un Hastings plus un autre, ça fait deux personnes de la même famille.

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babi pelizza da volpedo is calling eden hastings-matveïv ► Babibelle. Elle ne sait franchement pas comment prendre la chose mais puisque c’est Eden, elle décide de laisser couler. Et puis, Babi elle est belle. Plus qu’un babibel certes, mais le surnom est plutôt bien trouvé. Bientôt, elles allaient probablement pouvoir faire un concours du surnom le plus ridicule qui soit. Merci Eden et Babi pour tant d’imagination. D’un coup, l’humeur de notre princesse italienne change radicalement. D’énervée par ce maudit Caleb, la voix de sa meilleure amie l’apaise même si elle désire toujours lui claquer sa tronche de dieu vivant dans le mur. «.Pardon ?.» Elle coupe presque sa préférée dans son élan. Comment ça une remplaçante ? Comment pouvait-on vouloir remplacer mademoiselle Babi Pelizza Da Volpedo ? Humour, humour Babi. «.Lambda ou pas, aucune n’arrive au talon de ma Louboutin.» qu’elle rétorque sur un ton des plus hautains avant d’étouffer un petit rire. Elle entre dans le jeu de sa Deden même si, une part d’elle est convaincue qu’aucune fille ne peut être meilleure amie qu’elle. De plus, c’est la Deden de Babibelle et de personne d’autre. «.Je suis irremplaçable. Tu devrais pourtant le savoir, ‘trésor’.» elle prononce son dernier mot de la même manière qu’Eden afin d’accentuer son ton narquois. «.Et puis c’est pas gentil Deden! Marissa n’aurait jamais fait ça à Summer !.» Babi, elle adore se comparer à des personnages de série et Eden n’échappe pas à la règle non plus. Leur amitié était comme celle de Marissa et Summer mais en mieux. Elle rigole de sa propre comparaison avant de reprendre un air plus grave lorsque sa plus belle lui demande la raison de son appel. Ah, elle l’avait presque oublié celui-là. Ce satané Caleb. Elle part dans sa tirade sans fin, dans son long monologue et la seule chose qu’elle se permet de faire ( mise à part de parler, forcément ), c’est de respirer. Elle doit évacuer toute sa colère afin de se sentir mieux, de se sentir plus légère. D’habitude, Eden elle part toujours au quart de tour et se met à critiquer ouvertement les personnes que Babi ne porte pas dans son cœur. Sauf là, c’est le néant total. Pourquoi diable lui demande-t-elle son nom de famille ? Qu’est-ce qu’elle s’en fiche de ça Babi, elle veut juste qu’Eden rentre dans son jeu de méchancetés gratuites contre Caleb. Elle est tellement surprise par sa réaction qu’elle sort la première chose qui lui passe par la tête. «.Non mais je ne sais pas moi ! Je ne me suis pas intéressée à sa vie.» true story. Babi elle sait juste que Caleb c’est le pire lunatique au monde, après s’il préfère les pommes vertes ou les pommes rouges, elle s’en fout. «.Et puis qu’est-ce que ça change ?.» Elle préfère la questionner sur le ‘pourquoi du comment’, ça ne ressemble tellement pas à Eden ce genre de comportement. «.Ce n’est pas comme si il était le fils d’Obama.» Bah non, il est blanc. Ha ha ha. Et même si Caleb aurait été le fils d’un président ou d’une personnalité célèbre, ça n’aurait rien changé pour Babi. Un con reste un con même avec un nom de famille faisait référence à la haute société. «.Je crois que son nom se termine par fi.. fel… Fields. Je crois que c’est ça.» C’est bon maintenant Deden ? Est-ce qu’on peut reprendre nos bonnes vieilles habitudes et ainsi, critiquer monsieur Caleb en paix ? Oh l'insolente!

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Un rire lui échappa quand elle entendit sa Babi s'offusquer à l'autre bout du combiné de son petit air supérieur. « J'ai dis que j'organisais un casting pour essayer de trouver une Babibelle encore plus belle! Tu peux toujours te présenter avec une perruque si tu veux. » répéta-t-elle par pure provocation pour répondre à sa question. C'était du grand Babi ça. Personne ne fonçait plus tête baissée qu'elle. Ce n'était pas seulement un, mais les deux pieds que l'italienne mettait tout le temps dans le plat. Son petit ton hautain pouvait en agacer, Eden l'adorait. C'est bien simple, la russe l'adorait avec ses qualités et ses défauts, même si cette dernière vous dira toujours que sa meilleure amie n'avait aucun défaut. Bah oui, depuis quand être dédaigneux en était un ? Surement depuis qu'être modeste était devenu une qualité ! Sacrilège. « Oh ça va, tu sais très bien que oui! » lança-t-elle en riant, décidant d'arrêter de provoquer une Babi déjà largement à bout, qui parvint quand même à lui offrir le délicieux rire tonitruant qu'Eden aimait tant entendre. Cette douce mélodie enjouée qui pouvait sécher toutes les larmes de la russe, apaiser toutes les tempêtes. Oui, sa Babi était aussi unique qu'irremplaçable et elle le savait très bien, elle allait seulement à la pêche aux compliments, son activité favorite quand elle n'était pas en train de critiquer. Elle faisait fort actuellement en s'adonnant au deux en même temps. Ce psychopathe de colocataire avait l'air d'être une sacrée perle et Eden l'aurait bien rhabillé pour trois hivers consécutifs - elle en a largement les moyens - si le prénom de ce dernier ne lui avait pas semblé si familier. La réponse de Babi lui décrocha ce sourire si particulier qu'elle ne réservait qu'à l'élite de l'élite, à la crème de la crème : Elmas, Babi, Maisy, Jack et Adriel. Bien sûr qu'elle ne s'était pas intéressée à sa vie, voyons. Babi est.. Babi, tout simplement! Babi elle s'intéresse à ses chaussures, à ses fringues, à Eden et c'est déjà pas mal. C'est alors que la blonde égocentrique se rappela d'un détail ayant toute son importance. Fields. Cette seule partie suffit à Eden, elle connaissait déjà le reste du nom de son colocataire. Son nom et pas seulement car elle avait passé une partie de sa ie à ses côtés. Caleb Hastings-Fields. Son petit cousin, son petit frère, son préféré. Elle aurait peut-être poussé le vice dans d'autres circonstances mais là, elle n'avait absolument pas envie de rire. Elle savait parfaitement que son cousin pouvait avoir des comportements étranges en raison de sa maladie. Un lourd secret pesant comme une épée de Damoclès au dessus de la tête des membres du clan Hastings. La brune garda tout de même la face devant Babi, elle n'y était pour rien après tout. Elle qui confiait d'habitude à sa meilleure amie les moindres détails de son quotidien allait devoir faire une entorse à cette règle. « Et laisse moi deviner, un brun, absolument magnifique au regard azur ? Et il a une cousine absolument divine ? » fit-t-elle mine de demander. « Ce n'est pas le fils de Mr. Obama mais c'est le fils de Mme Fields... » Cela lui faisait probablement une belle jambe, mais Eden voulait laisser durer un peu le suspens, après tout, autant en rire qu'en pleurer. « ... et de Mr. Hastings. » ajouta-t-elle la voix empreinte de malice. Elle marqua une légère pause, histoire de laisser à Babi le temps de vouloir disparaitre trois fois sous la terre. « Babibelle, sa cousine c'est moiiiiiiiii ! » ajouta-t-elle avec enthousiasme. Surprise ! Elle se passa bien d'ajouter que c'était elle qui avait spécialement demander à ce que ces deux là soient ensembles, ce n'était pas vraiment le moment opportun.

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babi pelizza da volpedo is calling eden hastings-matveïv ► Son rire cristallin accompagne celui de sa préférence ultime alors qu’elle frappe dans ses mains telle une otarie suite à la remarque d’Eden. Elle avait gagné la partie haut la main puisque la brunette venait d’avouer que oui, Babi elle était irremplaçable. ‘Je sais’ qu’elle pense la Pelizza Da Volpedo sans pour autant le clamer à voix haute. Babi, elle est comme une drogue une fois qu’on y a gouté, on ne peut plus s’en passer. Babibelle la drogue de Deden. La classe. Et puis, elles enchainement sur un autre sujet, tout aussi intéressant : le Caleb. L’incompréhension parait sur le visage de l’italienne tandis que le comportent d’Eden est de plus en plus étrange. Elle essaye de se rappeler son nom de famille afin d’éclairer la situation et là c’est le drame. Pourquoi Eden se met-elle à décrire correctement Caleb ? Pourquoi diable parle-t-elle d’une cousine absolument divine ? Elle se met limite à penser que sa meilleure amie est malade et qu’elle a pris trop de médicaments, ce qui expliquerait la bizarrerie de leur conversation. Le fils de Mme Fields, ha ha elle ne l’aurait pas compris toute seule ça. Et puis, c’est la révélation ultime, le choc du siècle. La bouche ouverte, encore choquée des propos d’Eden, elle essaye de se faire le film dans sa tête mais …. Non. Elle est trop abasourdie par la nouvelle pour oser penser correctement. Caleb, le cousin d’Eden. Eden, la cousine de Caleb. «.De quoi ?.» qu’elle lance sans réfléchir. «.Pourquoi ? Comment ? Quoi ?.» Interrogatoire quand tu nous tiens. Jamais ô grand jamais elle n’aurait deviné que Caleb puisse être de famille avec une perfection comme sa Eden. Il était tellement …. Caleb. «.Mais c’est horrible !.» Pourquoi, seigneur ? Pourquoi ? Néanmoins tout prenait du sens maintenant. Voilà pourquoi Caleb, avait eu, lui aussi, droit à un traitement de faveur concernant son - leur – appartement chez les lambdas. «.Enfin, je suis contente que tu retrouves ton cousin, vraiment mais …. » mais avec qui elle va critiquer alors Babi ? «.Bref, changeons de sujet.» Elle redevient alors tout de suite plus enthousiaste la Babi. Elle a envie de lui raconter à quel point ses nouveaux précieux sont merveilleux, à quel point le soleil de Californie aime sa peau d’italienne bronzée. Une vraie conversation de filles qui en ennuierait plus d’un sauf Eden et Babi. Elles ont pour habitude de tout se raconter, absolument tout… Et c’est là qu’une petite ampoule rouge clignote dans la tête de notre grande drama queen. Adriel Eynsford-Baxter. Elle devait absolument en parler à sa plus belle. Babi avait toujours été loyale et franche envers elle et ce n’est pas maintenant que cela allait changer. Elle inspire profondément histoire de se donner du courage. «.Je ne sais même pas comment tourner ça, vraiment.» Ma très chère Eden , j’avais juste qu’une envie en voyant ton copain : celle de me le taper. C’est ça Babi, ferme là et tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de prendre la parole.«.Ecoute jusqu’au bout et si t’as toujours envie de me tuer après et bien …. Pense que je suis ta meilleure amie et que je suis trop belle pour mourir aussi jeune.» Elle parle vite, trop vite mais elle préfère prévenir l’epsilon que la suite de la conversation n’allait sûrement pas lui plaire… «.J’ai rencontré Adriel……. sauf que je ne savais pas – encore- ce qu’il représentait pour toi.» Bim bam boum, la bombe est doucement lâchée. Tic. Toc. Tic. Toc.

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Un nouveau rire lui échappa en imaginant la mine complètement déconfite que Babi devait se trainer. Et oui ma chère Babi, je t'aime beaucoup mais si tu étais un peu moins nombriliste - tu ne serais d'ailleurs plus Babi dans ce cas là - tu te serais sans doute rappeler que j'avais un cousin répondant au doux nom de Caleb, mais soit. Les questions de Babi fusées, témoignant de sa gêne, ce qui ne manqua pas de prolonger le rire de la russe. « Pourquoi ? Et bien parce que nos parents sont frères et soeurs. » commença-t-elle d'un air malicieux. « Enfin, pas tous qu'on soit bien d'accord, sinon ça ferait bizarre. » rectifia-t-elle. Pas de consanguin chez les Hastings, merci. « Comment ? Tu veux vraiment que je te dises comment on fait les bébés ? » demanda-t-elle d'un air espiègle. Ma douce Babi, à d'autre. Le sport de chambre a aussi peu de secrets pour toi que pour moi. « Tout de suite les grands mots, horrible, horrible. Quand même pas, t'as vu ses yeux attends ? » Non, non, Eden n'était absolument pas en train d'essayer de caser sa meilleure copine avec son cousin, pas du tout. Quoi que, elle serait au moins sur d'être non seulement le témoin du mariage, mais aussi la demoiselle d'honneur, mais également la marraine de leurs futurs enfants. Eden se voyait déjà cajoler les futurs et adorables mini Caleb/Babi quand la blonde la tira de ses pensées on ne peut plus niaises. « Allons, tu viens de m'annoncer que tu étais sur le point de tuer un membre de ma famille, je suis prête à tout entendre. » lança-t-elle, curieuse de savoir ce que Babi avait tant de mal à lui avouer. Elles savaient tout l'une de l'autre, du plus gros complexe au petit bouton mal placé, alors elle n'était plus à une révélation près. Alors qu'Eden imaginait déjà l'emplacement du probable nouveau bouton de Babi - postérieur, pied, poitrine et autre joyauseries - la blonde lança la bombe. Finalement non, Eden n'était peut-être pas prête à tout entendre. En tous cas, aussi ouverte d'esprit, merveilleuse et parfaite soit-t-elle, elle pouvait devenir la pire des garces quand les six lettres magiques rentraient en jeu : A-D-R-I-E-L. « Non mais c'est pas possible Babi. C'est pas croyable, tu t'intéresses à ce que je te dis ou tu es trop nombriliste pour te rappeler des détails de ma vie ? Caleb, passe encore mais Adriel, ADRIEL! Je t'en ai parlé mille fois. » brailla la russe. Et non, ce n'était pas un euphémisme. Stressée d'en découvrir plus sur les révélations de Babi, mais absolument révulsée à l'idée de se froisser avec sa meilleure amie, elle baissa d'un ton. « Comment ça avant de savoir ce qu'il représentait pour moi? Que s'est-t-il passé ? » questionna-t-elle, la voix empreinte d'une angoisse peu masquée. Non Adriel n'aurait jamais fait quoi que ce soit avec Babi. Babi la séductrice, devant ce bel étalon passe encore, ne sachant que c'était l'Adriel d'Eden en personne, mais lui non. Elle ne pouvait pas le croire. Eden ne pouvait s'empêcher de voir en lui le parfait prince charmant, malgré ses défauts qui lui apparaissaient comme les plus belles des qualités. Pitié, non, que l'infidélité ne s'ajoute pas à cette liste. Combattre Lily-Rose et toutes les dindonnes qui lui courraient après, passe encore, mais pas Babi, non. Pas sa Babi.

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» Eden A. Hastings-Matveïv - @mrs_magnificent
» like a virgin. touch for the very first time ▬eden
» WILLA-EDEN ▬ inside the chaos.
» Il en est des baisers comme des confidences.▬ Danahiel & Eden.
» Coleen J. Blythe Hermès-Cador ▬ Pour le pire, c'est moi la meilleure ▬

Eden A. Hastings-Matveïv ▬ 415-112-420

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