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This must be how it feels to have a home [Eirk]

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MessageSujet: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyLun 19 Déc - 4:56

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Je venais de passer un temps des fêtes plutôt hors de mes habitudes de vie. Moi qui adorais ce temps de l’année pour être entouré de ma famille, j’avais encore plus apprécié celui de l’an dernier car j’avais revu Eirik pour deux semaines dans lesquels j’avais passée collée à mon jumeau comme un véritable pot de colle. Évidement, tout ça c’était avant que tout dérape, avant Mikael et avant que j’ai été assez stupide pour laisser un mec me faire croire que l’homme le plus extraordinaire de la terre n’était pas mon jumeau. Ce pourquoi cet année la situation avait été tout autre. Je n’étais pas allé dans ma famille pour ce temps de l’année. Déjà mon père avallait difficilement mon transfert à Bekley, seul les mots de Sullivan avait réussi à ce qu’il ne me coupe pas les vivres et qu’il ne m’égorge pas. Maman prenait la situation durement, mais pour ce côté, Eirik lui avait fait comprendre mon besoin d’être avec lui. C’était déjà une relation peu plaisante avec mes parents, qui ne me donnait aucune envie de les confronté. Rajoutons à cet idée qu’à Narvik je risquais de croisé celui qui m’avait mis dans un état si lamentable que j’avais voulu m’enlever la vie. Et comme si tout était pour m’indiquer qu’il serait une terrible idée d’aller là bas; Payson irait rencontrer mes géniteurs. À cette nouvelle, je m’autorisais à parler avec mon jumeau sur mon malaise et nous avions convenu qu’il serait mieux que je reste ici. La première raison était pour éviter un drame là bas, mais je crois que la véritable était qu’il avait besoin d’un petit congé de moi. J’avais été un réel boulet les derniers temps, au point où il je l’avais blessé tout en détruisant presque son couple; bref une belle garce de première. C’est suite à ses mots durs lors de mon dernier dérapage que j’avais décidé de me reprendre en main. Eirik avait raison, la vrai Viktoria était partie pour être une pleurnicharde défaitiste de service. Enfin, le lendemain matin, après mon réveil plus que difficile je m’étais fais cette promesse secrète de me botter les fesses pour cesser ma rupture avec Mikael me détruire ainsi.

Je devais donc trouver quoi faire pour Noël. Or je ne voulais pas le passer seul à San Fransisco. Certes, j’aurai toute les vacances pour passer un maximum de temps avec mon petit copain. Nous ne serions pas pris par nos obligations universitaires et pourrions passer la journée au lit si bon nous semblait. L’idée m’emballa. Je m’étais mise à rêver du moment où lui et moi pourrions vivre notre amour au grand air. Certes, dès le départ nous savions ce que comportait notre relation interdite, nous cacher étant la priorité. Mais il était vrai que par moment, j’aimerais pouvoir enlacer, embrasser et même voir mon petit-ami librement. Ce pourquoi l’idée d’un voyage au loin me sembla bon. La chaleur d’un soleil cuisant me revigorait, je pourrais avoir une peau bronzée d’enfer et personne n’aura son mot à dire si je roulais une pelle à l’apollon qui me tiendrait la main. Ce pourquoi, alors qu’Eirik s’envola vers notre Norvège natale avec sa copine, moi j’emmenais le mien dans une croisière des caraïbes. Le voyage se déroula à merveille. De purs moments de liberté qui emplirent mon cœur d’amour. Pouvoir diner main dans la main, danser devant tout le monde et faire l’amour dans une chambre de luxe avait été un voyage de rêve. J’avais pu Skyper avec ma famille le matin de Noël pour leurs envoyer mes vœux. Enfin, plutôt à ma mère qui s’était levée tôt alors que moi j’allais me couché aux aurores. Pacey m’avait fait passer un merveilleux moment. Et si nous oublions ce petit écart de sa demande trop rapide en mariage –chose que nous nous étions promis d’oublier- tout s’était déroulé dans la perfection.

Nous avions passé notre dernière journée sur le bateau jusqu’à minuit en attendant le nouvel an où j’ai pu embrasser mon copain sous un tonnerre de feu d’artifice. Bref une véritable scène de film. De retour à San Fransisco au courant de la journée, j’avais passé la nuit chez Pacey. Le lendemain matin au réveil je lui fis part de mon intention de retourner à ma chambre universitaire. Chose qu’il me refusa en m’attirant dans son lit. Je dût protester, lui expliquant que j’avais besoin de nouveau vêtements car ceux de ma valise avaient besoin d’un bon tour dans la machine à laver, et surtout n’était pas assez chaud pour le froid de canard qu’il y avait dehors. Après un petit déjeuner et des dizaines de baiser, il me laissa partir. Je lui promis de le rappeler au courant de la journée pour fixer notre rendez-vous du soir; j’allai passer les derniers jours de congé chez lui avant de revenir à notre horaire d’école; visite la fin de semaine et baiser voler dans des couloirs vides la semaine. Les bus étant hors service, je pris donc un taxi pour retourner à mon appartement que je croyais vide. Ma surprise fut grande de voir mon frère dormant pénard sur son lit. Après avoir déposer ma valise dans ma chambre, je me dirigeai sur la pointe des pieds m’accouder dans son cadre de porte. J’adorais voir mon frère dormir. Il était tellement beau dans cette situation. Mon frère ainsi paisible, c’était une image plus qu’adorable. Mais alors, une idée espiègle me vint en tête. Il y avait une tradition ce Noël qui n’avait pas été honnoré vu mon absence. J’allais devoir corriger le tir et tout de suite. Un grand sourire sur les lèvres je me dirigeai vers lui à pas de loup, savourant d’avance la tronche qu’il allait faire. Puis, sans attendre, je me jettai littéralement sur lui pour le réveiller. «C’est Noël! C’est noël! C’est noel! Je veux mon cadeaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaau. Eiiiiiriiiik c’est Noël lève toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii» Ce n’était pas Noël, mais franchement, je m’en fichais complètement. Éclantant de rire, je fus plus qu’heureuse; la tradition se poursuivait.




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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyLun 19 Déc - 11:16

Pour une fois le jeune homme avait passé ses fêtes loin de sa jumelle, ce qui n'était pas plus mal en soi. Même si leur relation c'était nettement améliorée depuis qu'il lui avait mis les points sur les i concernant son comportement, il avait aimé le fait de passer les vacances de Noël avec sa petite amie et du profiter du temps qu'il pouvait avoir avec elle. Rien qu'avec qu'elle... Cela leur avait fait du bien en quelque sorte, et puis, cela avait permis à Viktoria de passer plus de temps en compagnie de Pacey. D'autres part, comme Eirik avait emmené Payson à Narvik -que les deux femmes ne pouvaient pas s'entendre-, et que par dessus le marché les parents Pedersen risquaient de ne pas trop apprécier de voir débarquer Viktoria. En effet, depuis qu'elle s'était "enfuie" de la maison familiale, les relations déjà assez tendues entre elle et leurs parents s'étaient encore plus dégradés. Bien qu'Eirik savait pertinemment qu'en retournant à Narvik, il en prendrait pour son grade pour avoir aider sa soeur, le fait que Sullivan soit intervenu en leur faveur et que l'ainé soit présent pendant les vacances faciliterait grandement les choses, et cela avait rassuré le jeune sampi.
Bref les vacances avec Payson s'étaient donc plus ou moins bien passées. Suivant les moments, la jeune femme était plus ou moins distante avec lui mais ne voulait pas s'expliquer sur la cause. Et étant sûrement trop gentil -ou trop con-, lui n'avait pas insisté, jugeant qu'elle lui dirait quand elle se sentirait prête. Cette distance jouait néanmoins sur le moral du jeune homme qui se demandait bien ce qu'il avait bien pu faire pour mériter cela... Cela ajouté au fait qu'il avait appris que sa chère et tendre avait déjà couché avec son frère aîné, que le couple avait cru pendant un moment que la demoiselle était enceinte et plein d'autres petites choses.. les vacances avaient été au final mouvementés mais plutôt bénéfiques malgré tout. Eirik avait eu ce qu'il voulait, à savoir passer du temps avec l'ex Iota, même s'il est vrai qu'il aurait préféré qu'ils soient parfois un peu plus proche, mais bon, c'était la vie, il ne voulait pas l'obliger à coucher avec lui si elle en avait pas envie. Enfin bref, heureusement que ce point-là n'avait pas crée trop de tensions dans le couple, parce qu'il ne manquait plus qu'une petite engueulade pour bien clore le tout. Peut-être parce qu'il était assez patient et gentil pour supporter la situation sans broncher, sans l'obliger à lui parler; ou bien alors parce que Payson arrivait à le manipuler comme elle le voulait.. les deux solutions étaient plus que probables, et il y avait certainement des deux mêlés.

Enfin bref, les vacances étaient finies, le couple était rentré à San Francisco pour leurs études. Pour la première fois depuis de nombreuses nuits ils avaient fait lits à part, chacun dans leur chambre... Non pas qu'ils étaient fâchés ou autre, mais tout simplement ils avaient passé une soirée en compagnie de gens différents... Bref, Eirik s'était donc endormi seul dans son lit et dormait paisiblement jusqu'au moment ou un truc lui sauta dessus en hurlant que c'était Noël. Surpris, il sursauta d'un bon mètre et jeta un regard à sa jumelle qui venait de le réveiller. t'as de la chance que je ne suis pas cardiaque, sinon tu m'aurais littéralement tué. lui souffla t-il amusé alors que son cœur qui battait la chamade tentait de reprendre un rythme un peu plus normal. Au bout d'une minute pendant laquelle il eut droit aux baisers sur la joue de sa sœur, il la prit dans ses bras de façon à la coincer et la décoiffa bien gentiment comme il faut avant de la relâcher et lui envoyer son oreiller dans la tête. Ensuite il lui tira tout bonnement la langue. Non, il n'était pas fâché, même plutôt amusé par la situation... même si cette scène paraissait étrange elle était plutôt normale pour les jumeaux qui, mis ensemble avaient parfois des attitudes un peu étranges. Vieille folle vient me faire un câlin, parce que tu m'as trop manqué pendant ces quinze jours. Il la prit dans ses bras, tendrement cette fois pour qu'ils se fassent un énorme câlin. Ton cadeau est caché dans la chambre.... T'as cas le chercher le temps que je m'habille une miette plus... Oui, parce que bon, pris au réveil, il n'avait qu'un très grand tee-shirt et un boxer, il préférait se vêtir un peu plus avant de continuer les festivités avec sa jumelle... Il prit donc ses vêtements, alla se doucher et se changer en moins de cinq minutes et quand il revient tout propre, Viktoria était toujours en train de chercher et visiblement elle n'avait pas remarqué qu'il était revenu. Prenant un oreiller, il lui lança juste sur la tête, pour une fois il avait visé juste si bien.... Paniiierrrrr Oh oui il savait que dans moins d'une minute sa soeur aurait riposté certainement qu'elle lui aurait sauté dessus, et qu'ils se chamailleraient pour savoir qui faisait le plus gros câlin à l'autre ou des choses dans ce genre-là.... qu'ils faisaient depuis qu'ils avaient cinq ans... Autrement dit, mis ensemble, ils avaient généralement la mentalité de petits enfants, mais c'était certainement cela qui était drôle... et au moins ils avaient retrouvé leur proximité, le fait qu'ils soient si proches, si liés, et c'était un point plus que positif pour eux deux et pour leur moral... N'est-ce pas Viktoria ?!
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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyMar 20 Déc - 5:25

J’aimais mon frère. À en crevé. Et retourner habiter avec lui me l’avait rappelé. En tant que personne, il était absolument génial. Mais c’était ses petites manies qui m’avaient manquées. Lui et ses sacs de bonbons qu’il refusait souvent de pigé, son bandeau bleu qui lui donnait un air absolument adorable, son rire si unique, son odeur, ses expressions dans ses phrases. Même son style vestimentaire m’avait manqué. Il avait ce don si unique de prendre des vêtements qu’on pourrait croire ringards voir laids et de les rendre totalement dans le vent. Mais pas pour tout le monde. Son style lui était unique et réservé. Ses potes avaient essayé à Narvik, le désastre s’était dissipé lorsqu’ils eurent des copines dans leurs vies leurs disant quoi mettre. Même en ce moment, vêtue dans ce pyjama simple, je le trouvais beau. Car oui, je n’avais pas honte de le dire, moi, je trouve mon frère bel homme. Enfin, là n’était pas le but de ma visite. C’était surtout de le réveiller comme à chaque Noël, rigoler un brin, lui donner mes cadeaux et s’il n’avait rien de prévu, passé la journée avec lui. Quinze jours, c’était long sans lui au final. Bon sang, comment avais-je tenu plus de six mois? «T’as de la chance que je ne suis pas cardiaque, sinon tu m'aurais littéralement tué.» J’éclatai de rire, totalement hilare de la tronche qu’il me tirait en ce moment. Les yeux grands ouverts, sans le souffle. C’était un très beau tableau. «T’as pas intérêt à mourir, sinon je te tue. » J’hurlais toujours en rigolant lorsqu’il m’attrapa de sorte à ce que je ne puisse pas me libéré. Tentant de me débattre mais sans succès, je me fis ébouriffé les cheveux alors que je venais de les coiffé. Râlant, je lui remis sa grimace de mon cœur lorsqu’il me libéra. «. Vieille folle vient me faire un câlin, parce que tu m'as trop manqué pendant ces quinze jours.» Je rigolai et je me jetai sur mon frère pour le faire tomber sur le lit. Rigolant avec lui, je lui fis une énorme et puissante étreinte dans laquelle je tentais de mettre tout mon amour pour lui. Je lui plaquai un second baiser sur la joue. «C’est toi qui est vieux. Folle je ne dis pas mais je ne suis pas vieille. »

Après une longue accolade, il ne finit pas se libéré en me lançant «Ton cadeau est caché dans la chambre.... T'as cas le chercher le temps que je m'habille une miette plus...» Je souris, énervée comme une puce. J’avais fait de gros efforts tout le mois de décembre pour ne pas regarder dans sa chambre pour savoir ce qu’il m’avait acheté. Maintenant que j’étais autorisé à foutre sa chambre en bordel, je n’allais pas me gêner. Je le regardai donc sortir de sa chambre et je me mis à regarder sa chambre. Je regardai un brin sous le lit sans y voir quelque chose qui pouvait m’intéresser. Je me mis à scanner la chambre avec les yeux. Son bureau? Surement pas, il ne l’aurait pas mis à un endroit que je pouvais voir à l’œil nu. Je me dirigeai donc logiquement dans sa penderie. J’y trouvais des vêtements qui, de mémoire, n’avait jamais été porté par mon frère. Du moins, s’il ne les portait pas j’allais l’obliger. Oh il aurait de la classe dans ca. Oh et ça, c’était totalement la bonne couleur pour lui. Manquerait plus que des souliers noirs et il pourrait aller dans des soirées chics sans avoir a porter de veston. Je me secouai la tête. Ce n’était pas le temps de faire l’inventaire et le ménage de la garde-robe de mon jumeau –quoi que j’adore ce sport que je n’ai pas pratiquer depuis un certain temps- là, c’était le temps de la recherche. Et surtout de la découverte de ce qu’il avait bien pu me donner. Je n’en méritais même pas un après l’épouvantable peste que j’avais été cette année. Si le Père Noël aurait existé, il serait venu par la cheminé me voir, non pas pour me donner un présent, mais me donner une raclée. Je pouffais de rire à l’image de moi qui se faisait battre par ce gros homme rouge. Classe.

«Arg!» Dis-je soudainement alors qu’un objet m’avait sortit de mes recherches. «Paniiierrrrr» Je regardai mon frère qui éclatait de rire totalement outré. Je fis un petit bruit exagérée de soupir et je lui remis l’oreiller sur la tronche. Ce qui manqua totalement son coup et alla placarder le mur à ses côtés. Ce qui le fit encore plus rire. «Ah non c’est pas juste.» Je me jetais sur lui pour commencer à me bagarrer avec lui. Rigolant je m’agrippais à lui en lui donnant des petits coups, éclatant de rire. J’adorais ces moments avec mon frère. Ils avaient toujours le don d’énerver mes parents, mais c’était dans ces moments là que je me sentais connecté à mon jumeau. Avec l’habitude d’une famille nous excluant, nous nous étions créé un monde où simplement l’autre suffisait pour exister. Ce pourquoi notre possessivité était excessive parfois. Mais au final, ca finissait toujours par des rires, des coups de pied et des pancakes aux formes étranges. Je fini par lui mordre doucement le bras, ne le blessant tout de même pas, avant d’éclater de rire. «Alllezzz t’es nuuul je veux mon cadeaaaaaaaaaaaau» nous étions rendu dans le salon à nous bagarrer. J’ignorais si Felina et Callum étaient à la maison. Franchement je m’en contre balançait. Tout ce que je voulais c’était mon frère, des rires, des calins et mon cadeau. Et pour qu’il me réponde enfin, je m’agripait son dos, le forçant à me porter dans ses bras.
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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyMer 21 Déc - 15:13

La bonne humeur et la convivialité était revenue à peu près à la normale entre les jumeaux; ce qui n'était pas plus mal après la "longue période" où leurs relations avaient été tendu. Un miracle de noël ?! Non pas du tout, loin de là même. Eirik avait juste fait comprendre d'une manière peu diplomatique à sa sœur, que leurs engueulades ne pourraient se terminer que quand elle arrêterait de faire sa gamine écervelée qui ne ressemblait pas du tout à la Viktoria qu'il avait connu. Bien qu'il se doutait que ces quelques paroles avaient été assez dures à entendre pour sa moitié, au moins le bénéfice n'était pas négligeable et il regrettait nullement ce geste. Ce matin-là, la jeune sampi avait été visiblement d'une humeur assez joueuse étant donné qu'elle réveilla son frangin d'une manière peu conventionnelle. Le pauvre Eirik fut réveillé en sursaut et mit quelques grosses secondes à comprendre que non, il ne se faisait pas attaquer... que c'était juste sa jumelle qui voulait l'emmerder un peu. En même temps si je suis déjà mort, t'auras du mal à me tuer de nouveau. Sauf si j'ai plusieurs vie et que, comme le phœnix je renais de mes cendres, ce dont je doute.... ou si je suis un mort vivant et j'ai l'impression d'être plus vivant que mort pour l'instant. Désolé pour toi, tu n'auras pas ce privilège de me tuer si je meurs. Et voilà, la discussion tournait une nouvelle fois à l'absurde. Déjà que les deux séparés arrivaient à sortir des phrases assez improbables, alors les deux réunis c'était cent fois pire. Au moins sa phrase avait eu le don de faire rire Viktoria, ce qui était déjà pas mal. Histoire de se "venger" de se réveille, il l'attrapa de façon à ce qu'elle ne puisse pas trop bouger et la décoiffa généreusement en veillant à ne pas lui faire. Elle l'avait emmerdé en le réveillant et bien c'était un juste retour de bâton. Finalement il se décida à la libérer de son étreinte et lui quémanda un câlin. Si je suis vieux, techniquement t'es vieille aussi, étant donné que t'es née avant moi...
Le jeune homme laissa ensuite entendre à sa jumelle que le cadeau qu'il lui avait fait était caché dans sa chambre le temps qu'il aille s'habiller un peu plus. Il l'avait si bien caché qu'il se doutait que la demoiselle ne le trouverait pas... et c'était bien le but qu'elle ne le trouve pas afin de l'exciter comme une puce un peu plus. Quelques grosses minutes plus tard le jeune homme revint donc au près de sa soeur, et comme cette dernière ne l'avait pas réellement remarqué, bien trop occupée par sa fouille, il lui lança un oreiller sur la tête pour lui signaler qu'il était là. Par miracle -parce que oui, ça relevait du miracle- il la toucha. VICTOIRE. Tandis qu'elle -toujours par miracle- le rata. Mouahah. Le jeune homme rigola donc de la situation plutôt cocasse, jusqu'à ce que sa jumelle le plaque doucement par terre et tente de le maitriser. Moui, ça c'était pas encore gagné ! Il avait beau ne pas être très épais, il était quand même plus fort que sa jumelle, néanmoins il la laissa faire sans trop tenter de se défendre. Allez, ce n'est pas Noël tous les jours, et puis il fallait en profiter tant qu'il n'y devait il y avoir personne dans l'appartement... du moins il fallait l'espérer. Et comme à chaque fois, Viktoria voulant gagner à tout fit style de le mordre. Hum. A la limite il préférait ça, que la jeune femme lui lèche la figure comme pourrait le faire un chien. Puisque j'suis nuuuullll, t'auras rien, na! fit il en faisant semblant d'être vexé et lui tira la langue comme le ferais un gamin de quatre ou cinq ans faisant un petit chantage. Finalement, avec sa sœur sur le dos , il retourna dans sa chambre, lui fit fermer les yeux, et alla chercher le cadeau avant de lui donner. Tiens espèce d'impatiente. Le paquet était une sorte de petits cartons, où dedans elle pourrait trouver pleins de petits cadeaux différents: un bracelet, un collier et une paire de boucles d'oreilles qu'elle avait repéré quand ils avaient été en ville ensemble; un DVD; des huiles de massages qu'elle pourrait utiliser avec Pacey; et après un petit carnet où pendant les vacances, le jeune homme avait recueilli des messages de leurs amis en communs -amis qui n'avait pas trahi la jeune femme- ainsi qu'une bonne centaine de photos de Narvik, de leurs ami du théâtre donc en gros des photos depuis qu'ils avaient 5 ans jusqu'à maintenant... En attendant qu'elle ouvre et qu'elle commente le jeune homme alla tout naturellement s'asseoir sur son lit et la regarda tout déballer... se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir lui offrir, et il n'en avait aucune idée, malheureusement.

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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyJeu 22 Déc - 6:27

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Lorsque nous étions jeunes, Eirik et moi avions l’habitude de nous réfugier dans notre solitude en se créant des univers magique et imaginaire. C’est sans doute de là qu’est venue notre passion pour le théâtre. Mais qui plus est, c’est certainement de là que veniat nos conversation totalement ridicule que seul nous pouvions trouver un sens. Souvent nos parents nous trouvaient à discuter à voix haute du dragon que nous avions vaincu à coup de cailloux et de chant de noël, et d’autres fantaisie de sorte. Et ce qu’ils croyaient être une simple tendance enfantine s’était avéré à continuer toute notre vie. Bien que maintenant, ce genre de conversation n’avait lieu qu’entre nous. Nous n’avions plus l’âge d’aller dire à nos amis que nous avions vaincu une hydre à six têtes, mais nous avions une certaine tendance à partir dans délire sans queue ni tête. Il était vrai que depuis notre séparation, ce genre de moment s’était fait rare. Et d’en vivre un le premier jour de l’année m’illuminait le cœur. Décidément, 2012 s’annonçait vachement bien. «Alors là non! Tu n’es pas un phoenix. C’est trop cool un phœnix pour que tu en sois un. Et tu n’a pas neuf vies comme un chat car sinon je serais allergique a toi. Et si tu étais un zombie, je n’entendrais pas ton cœur quand je dors sur toi. A moins qu’à Narvik on t’a zombifier ce don je doute. Un zombie, ca passe pas la douane américaine.. Mais sache que lorsque tu en seras un quand 2012 va arriver, je suis prête. A la librairie j’ai acheté le livre le plus ridiculement utile : Comment survivre à un attaque de zombie. Alors toc. Oui j’aurai le droit de te tuer car de toute façon, j’aurai lu le livre et je saurais comment.» C’est en cherchant une idée de cadeau pour Callum que j’avais vu ce livre qui m’avait fait exploser de rire. Dans ce livre, on écrivait très dramatiquement ce qu’il fallait faire lors d’une attaque. Parodie sérieuse, on expliquait pourquoi un fusil était un mauvais moyen de se défendre. Et ils n’avaient pas tord. Entre un engin où il nous fallait des recharge et une bonne barre de fer était plus fiable. Aussi, quoi faire en cas de morsure ou d’exposition prolonger de ce dites créature. Je le lisais comme lecture de chevet et franchement je m’éclatais. C’était stupidement brillant. Et le voilà à me rappeler notre ordre de passage lors de la naissance. Éclatant de rire, je lui rendis sa grimace. «De toute façon, vieille égale sagesse, ce pourquoi je suis plus intelligente que toi. » Bon je n’avais certainement pas le QI de mon frère ainé, mais je m’amusais à taquiner mon jumeau. À l’école, pour avoir des notes passable, il fallait travailler fort. Nous n’avions jamais été des as dans le domaine scolaire. Quoi que, pour moi, depuis que mes études étaient uniquement axé sur le théâtre, ma moyenne avait augmenté. Demandez-moi de comparer les différentes pièces d’Antigone, je le ferais sans problème. Mais placer moi devant un examen de mathématique et je me suicide à coup de stylo. Mais encore, entre les travaux écrits et les travaux pratiques, j’étais nettement mieux dans le jeu. Ce pourquoi j’avais été très fière d’avoir eu le premier rôle dans la seule pièce ou mon frère ne m’accompagnait pas. De toute ma cohorte, c’était moi que les professeurs avaient sélectionné et Eirik avait eu droit à un de mes appels Skpye les plus énervé de notre histoire.

Lorsque, au courant de notre bagarre, il me menaça de ne pas me donner son présent, je me pris une voix de gamine,. «HAAAAAAAAAAAAN NOOOOOOOOOOON non non non t’es pas nul! Tu es le plusse meilleurs des meilleurs. Le plus cool des frères. Celui que j’adore mon héroooooooooooooo» Et au lieu de le morde, j’avais plaqué des dizaines de baiser sur sa joue avant de me retrouver sur son dos à être transporter dans sa chambre. Je continuai à lui faire des tirades amoureuses pour lui montrer à quel point je l’aimais, histoire d’avoir mon présent. Eirik me posa au sol et me fis asseoir sur son lit, m’obligeant à fermer les yeux. Je me balançai légèrement, me demandant ce qu’il avait bien pu me donner. Il me donna mon présent en me traitant d’impatiente. Et je ne pu avoir comme présence qu’un immense faux sourire de princesse gâtée. Je déballai alors délicatement l’emballage avant d’ouvrir la boite. Mes yeux s’illuminèrent soudainement. J’y sortit les magnifique bijoux qu’il m’avait choisi, totalement bouche bée. «Wah…» C’est en sortant le bracelet que je vis que ce n’était pas tout. Étonner d’un surplus de ce présent déjà magnifique, je regardai ce qui en restais. Le dvd d’une série que je ne cessait de parler à Eirik. Génial. Oh et des huiles de massage. Cette petite attention envers Pacey et moi me fit sourire. Une sorte de ‘’ j’accepte ton copain même si je ne suis pas d’accord’’ qui me réchauffa le cœur. Je pris l’album de photo ayant à l’intérieur des images de notre vie Norvégienne, ses paysages mais aussi des visages, des évènements, des dizaines de souvenir. Le souffle coupé, je pris le dernier objet que contenait cette boite au trésor. Je ne pu que laisser tomber ma mâchoire d’étonnement en voyant les divers noms que contenait ce petit cahier emplis de mots d’amis qui m’avaient pardonné ma soudaine disparition. J’allais devoir passer un moment pour tout lire. «Oh putain Rik» Je me retournai vers mon jumeau, totalement sans voix, émerveiller par ces nombreux présents. Soudain, mon cadeau sembla bien fade. «Je t’aime» Je me ruais dans ses bras pour lui faire un énorme câlin en l’en étouffer. Il devait savoir à quel point ces petites attentions m’allaient droit au cœur. Je lui soufflai doucement à l’oreille un «Merci» remplis d’amour. Je serrai une seconde fois mon étreinte avant de le relâcher, plaquant un énorme baiser sur sa joue. «Attend moi ici.» Je remis rapidement les objets dans sa boite et j’allai dans ma chambre chercher ce que j’avais acheté à mon frère. Enrober dans un de ces bandeau bleu qu’il avait souvent tendance à porter –j’en avait trouvé un nouveau par je ne sais quel miracle- j’avais cacher un petit taxi jaune iconique de New York. L’explication viendrait ensuite.

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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyVen 23 Déc - 12:39

Whow. C'est qu'elle en avait du débit de matin. Il écouta bien tout ce que lui disait sa jumelle, essayant d'en retenir chaque détail pour pouvoir lui répondre avec toute la gentillesse et délicatesse qu'il fallait. Il la regarda bizarrement quand elle lui parla du livre sur les zombies, heureusement qu'il savait qu'elle plaisantait et qu'elle ne croyait pas à tout cela... Quoique. Elle ne pouvait pas y croire, ce n'était possible. Chassant cette éventualité de son esprit, le jeune homme ne tarda pas à reprendre Et bien ton cas ne s'arrange pas ma chère Viktoria. Il lui tira de nouveau la langue avant de continuer J'suis moins cool qu'un phœnix ?! PFFTTT. Mais moi je parle, un phœnix je ne pense pas que se soit le cas. Il ne manquerait plus que ça... Un phœnix qui parle, et pourquoi pas un lion qui parle, comme dans Narnia. Il secoua doucement la tête d'un air franchement navré avant de continuer Et puisque je suis moins cool qu'un phœnix, moi, j'vais aller m'exiler sur Mars et t'auras trouver un phœnix pour te remplacer... ou un chat. Ou mieux encore, tiens, le chat potté, tu seras allergique mais il te fera tellement craquer que tu te sentiras obligée de le garder! Il se tut quelques secondes avant de reprendre Et pour le zombie tu as raison, j'me sens plus vivant que mort, donc tu n'auras pas besoin d'utiliser ton attirail contre les zombies, et je ^réfère même pas penser le sort que tu réserverai si jamais j'en étais... Tu tuerai ton propre frère ?! Pire encore ta moitié... moi quoi ?! Après tu sais, je te manquerai tellement que ça ne serait pas vivable pour toi, sans compter le prix de la culpabilité.... Il se tut et la regarda avec le plus grand sérieux possible, comme si cette conversation était des plus normales, et qu'elle pouvait sortir de la bouche d'un garçon d'une vingtaine d'années. Bon d'accord, avec sa sœur il avait encore sa grande âme d'enfant, mais généralement avec les autres personnes cela se voyait moins -quoiqu'avec Sully et ses amis aussi-, bref il se comportait comme cela généralement avec les personnes qui l'avaient côtoyé pendant son enfance et adolescence, et donc pas les personnes de Berkeley, fort heureusement d'un côté... Et puisse les jumeaux être préservé que quelqu'un apprenne ce qui venait de se passer là. Puis finalement, il se dit que lire ce livre sur les zombies pourrait être pas mal, comme cela ils pourraient plaisanter là-dessus pendant des mois entiers -oui, il ne faut pas grand chose pour les occuper à ces deux-là-. Tu me le prêteras ton bouquin.... que je me renseigne en cas...; que tu te transformes en zombi ?! Le teint blanc cadavérique t'irait à merveilles... La jeune femme parla ensuite de vieillesse. Elle plaisantait celle-là ?! Des deux c'était quand même elle, la plus vieille ! Hannnnnnnnn !!! Tu insinues que je suis stupide ?! T'es vilaine de dire, même si c'est vrai. Je t'aime plus nah ! Il tourna la tête, et prit un air faussement vexé et attendit la réaction de sa jumelle. Tout comme elle, les cours n'avaient jamais été son fort, il s'ennuyait et n'avait jamais réellement voulu les bosser, même s'il avait toujours maintenant à peu près acceptable... Mais quand il était arrivé à Berkeley, comme il faisait ce qu'il lui plaisait, il devenu bosseur et très bon en classe, comme quoi, au final stupide il ne l'était pas... enfin pas trop.[/b]

Les jumeaux commencèrent dès lors une petite bagarre, mais finalement pour tout stopper Eirik "menaça" sa sœur qu'elle n'aurait peut-être pas de cadeaux si elle continuait ainsi. Mais oui, je vais te croire ! Il n'y que l’appât du gain qui t’intéresse ma cocotte !!! plaisant t-il. Mais au final il était bien content d'avoir ces quelques baisers sur sa joue. Et finalement les deux étaient retournés dans la chambre du garçon sur son dos... Normal quoi. Enfin bref, il lui demanda de fermer les yeux le temps qu'il aille chercher le cadeau et lui donna. Pour une fois il était sûr de son coup, d'avoir visé juste dans tout ce qu'il y avait dedans. Notamment pour les huiles de massage qui étaient en quelque sorte un accord pour qu'elle soit avec Pacey -bien qu'il ne supportait toujours pas ce dernier-, et sur ce qu'il avait pris à Narvik. Heureusement, leurs amis avaient été plutôt coopératif et en quelques heures tout avait été bouclé. Vu la façon dont la jeune femme était partie, il avait eu peur à un moment que le carnet soit vide, mais finalement ils avaient tous répondus -ou presque- à l'appel. Vu la tête qu'elle faisait, il voyait bien que cela lui faisait plus que plaisir, et c'était tant mieux, c'était bien le but. De l'étonner, qu'elle soit heureuse, et comme il savait que leur ville natale lui manquait, comme cela, elle aurait peut-être l'impression qu'ils seraient plus proches. Il lui sourit, tout content de son effet Bah de rien, c'est normal... et je t'aime aussi... Il la laissa le prendre dans ses bras, resserrer son étreinte sans bouger. Tu veux que j'aille ou de toute façon très chère sœur ?! dit-il en rigolant lorsqu'elle lui demanda d'attendre. Eirik attendit donc, que sa jumelle revienne avec son cadeau. Il "l'ouvrant" il la regarda quelque peu perplexe. Un bandeau et un taxi petit taxi jaune ?! Il y avait deux solutions, soit c''était une blague et la jeune femme allait lui donner autre chose après, soit, ce taxi avait une signification qu'il ne comprenait pas encore. Maintenant, il n'y avait plus qu'à attendre que sa jumelle veuille bien lui expliquer tout cela. En attendant il cherchait toujours ce que ça pouvait bien être. Vu que c'était un taxi de New-York, peut-être quelque chose qui allait se passer là-bas ?! Mais franchement même là, il ne voyait pas trop de quoi il pouvait s'agir, dommage... Quelques longues secondes étaient passées et vu le sourire malicieux sur le visage de sa frangine, elle aussi avait eu l'effet escompté. Merci.... mais ça veut dire quoi ?!
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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptySam 24 Déc - 6:08

Niveau conversation débile, je crois qu’Eirik et moi étions bon pour gagner un Oskar non pire, un prix Nobel. Car vraiment, aujourd’hui, nous atteignons des records. OUI VOILÀ un record gneiss. Les jumeaux les plus tarés, section mentalité déficiente lorsque connexion. Car franchement, parfois avec Eirik, j’avais l’impression d’avoir un neurone. Et encore, je le partageais avec mon frère. La stupidité atteignait son apogée dans nos pires délires. Et fâcheusement c’était bien souvent sans drogue. Alors imaginez lorsque les joints se mettaient de la partie. Ce n’était pas très glorieux. «Non, Narnia, c’est de la merde. Ce livre est d’une nullité total et on parle pas du film han. Le seul lion qui parle et qui en vaut la peine, c’est Muffassa dans le roi Lion. Les autres c’est de la merde. Lui, au moins il apparait dans les nuages en disant de sa grosse voix suave ‘’n’oublie pas qui tu es’’ . CA c’est du lion. Narnia…berk. » Bon ça y est, comme a chaque année, j’avais une soudaine rage de devoir écouter tout mes classiques d’enfance. Je connaissais par cœur toute les chansons et j’ennuyais Eirik à les chanter lorsqu’il acceptait de les écouter avec moi. L’idée de proposer un marathon à Pacey me sembla alors une bonne idée. Hilarante, certes vu son statu de professeur de cinéma, mais qui pourrait être une bonne idée. Il imposait chaque fois les films, à moi de prendre ma vengeance. J’allais devoir lui en faire part «Vas y sur mars, il te faudra une navette spaciale pour ça! C’est pas facile en avoir une tu sais. Et pis il faudra un scaphandre pour toute ta vie sinon tu vas mourir. C’est nul ca. Et tant pis pour le chat botté, je prendrais des pilules anti allergène ou ou ou ou MIEUX je le rase. Comme ca plus de poils, je suis sauvée. MAhaha!» Bon sang, j’imaginais Callum dans le milieu de cette conversation. Notre pauvre colocataire n’y comprendrait rien. Heureusement qu’il n’était pas présent. Cette image de notre ami confus me fit pouffer de rire.

De Narinia, jusqu’à mars en passant par le chat botté et un rasoir, nous voilà à parlez d’une possibilité de transformation en zombie. Franchement, j’aimais mon frère. «Viens pas jouer la carte sentimental espèce de banane, si tu serais un zombie, tu serais le premier à vouloir me tuer. Moi ta pauvre petite sœur, tu serais capable de me tuer d’un coup de tes mains pustulantes dans le seul but de manger mon cerveau. Je ne te reconnaitrais plus. Oui, je vais te pleurer toute ma vie, mais je s’aurai que celui que j’ai tué n’était pas mon frère. C’est toi le méchant dans l’histoire. T’avais qu’à pas devenir zombie. C’est de ta faute!!!» Tel une grande tragédienne, j’avais la main posé sur le front en disant faussement ces répliques. «Et oui je te passerais le livre, tu vas voir, il est trop bien. Mais je t’avertie, si je deviens zombie, tu ne pourras pas utilisé ses techniques, puisque j’aurais lu le livre. Car OUI en zombie j’aurais toute ma tête moi bon. » Je tirai la langue comme une gamine de cinq ans. «Si le teint cadavérique me vas, je vais appeler Tim Burton, j’aurai peut-être un rôle dans ses films. En plus avec moi il sauverait des tonnes de maquillage. » Plus la situation enfonçait, plus le monde qu’Eirik et moi s’étions construit au fils de notre vie se refermait pour nous. Nous étions dans ce délire qui nous unissait et qui jamais ne pourais être repris par personne. Je compris alors à cet instant que c’était ça ma place unique dans la vie d’Eirik. Payson aurait beau dire des conneries avec lui, jamais ça ne sera ce petit univers de débilité et de blagues que nous seul pouvions comprendre qui nous avait pris vingt ans à construire. Mon cœur se remplis d’un amour qui me donna envie de donner un baiser à mon jumeau.

Le je t’aime que me dit Eirik m’allait droit au cœur. Je le croyais maintenant. Et je me maudis d’en avoir douter pendant des mois. Ses petites attentions prouvaient tout son amour pour moi. Non seulement les trucs pour Pacey et moi mais surtout ces souvenirs de mes amis et des images de Narvik. Sans même que j’aie à le dire, il savait que ma terre natale me manquait horriblement. Une fois son cadeau en main, son visage plus que septique me fit sourire. Amusée, je m’étais attendue à cette réaction. Rigolant, je pris le bandeau que je plaçais sur sa tête. Je le trouvais toujours beau avec ce truc sur la tête. Bien que parfois il le portait avec des habits qui n’étaient pas agencé. Je lui fis alors un sourire, regardant brièvement le petit taxi dans sa main avant de le regarder dans les yeux. «J’ai vraiment été vache avec toi et Payson. Alors bon voilà. Je sais que des excuses tu n’en veux plus. Mais je veux vraiment que tu sois heureux avec elle, et que tu passes de beau moment. Quand tu es avec elle, tu sembles vraiment comblé et… au fond c’est tout ce que je veux. Le reste ça été de la jalousie vraiment mal placée. » Bon stop la petite intro, le cadeau. «Alors voilà, pour que tu puisse avoir de magnifique souvenir avec elle et que tu sois heureux… je t’ai réserver un weekend en amoureux avec elle à New York. Tu auras une suite nuptiale dans une chambre sur Time Square et le billet d’avion pour vous y rendre. Tu n’as qu’à me dire la date et je ferais les réservations. » Je lui fis un sourire, espérant qu’il ne soit pas déçue de cette idée que j’avais eu suite à ma dernière crise. Je voulais mon frère heureux. Que se soit dans les bras d’un homme ou d’une femme, ce n’était pas l’important. Eirik n’aurait pas fait de crise si je serais amoureuse d’une fille. Je voulais mon frère comblé dans les bras de quelqu’un qui l’aimait en retour. C’était tout ce que je voulais au monde.

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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyDim 25 Déc - 17:13

Ok, maintenant qu'ils étaient lancés, cela risquait d'être difficile d'arrêter les jumeaux dans leur délire, et d'un côté tant mieux, car cela avait manqué au garçon. Pouvoir dire tout et n'importe quoi sans être jugé ou autre. C'était bien, c'était rare et ces derniers temps, cela lui avait énormément manqué. Eirik ouvrit grand la bouche quand la jeune dit que Narnia c'est nul. C'est toi qu'est nulle d'abord! Narnia c'est trop cool. Et si t'es trop vilaine, moi, j'vais m'y exiler. Et Aslan il est trop giga bien. Bon ok. Il y a mieux.... Mais Edmund il est trop classe quand même.. Attends, le mauvais caractère qu'il a, sa façon de casser, de se plaindre, j'adore trop, sérieusement. Bon après Peter t'as raison il est pas cool.. mais bon. T'as pas de goût ma sœur. Des fois, j'me demande si t'es vraiment ma moitié, parce que t'es trop bizarre. Tout le monde aime Narnia, sauf toi. PPFFFFTTTT. Il secoua doucement la tête comme. De Narnia, les jeunes gens étaient arrivés à parler de mars et à y aller. Remarque, il y avait un léger rapport entre les deux. Il fallait des moyens spéciaux pour y aller. PAUVRE CHAT!!!!! Tu vas pas le raser quand même ?! Après il va s'enrhumer, et être malade. Pauvre petite bête poilue.... Et sinon, ouais, mais au moins sur Mars je serai tranquille... Et avoir une fusée. Pouah... Je me transplanerai. Mieux, moins cher, plus rapide. T'as vu, j'en ai dans le ciboulot, enfin de temps en temps. Il secoua doucement la tête avant d'exploser d'un rire à la limite du machiavélique avant de continuer Et puis si jamais je meurs sur Mars, je viendrai te hanter, parce qu'en quelque sorte ça sera de ta faute. Donc après tu n'arriverais plus à dormir... Donc voilà. On va ptet arrêter là non ?! Avant de partir trop loin... Hum, parce que là sinon ils en avaient pour des heures et des heures sans être jamais d'accord... Et si jamais Callum arrivait en pleine conversation, le pauvre risquait de prendre peur et de se sentir de trop et ce n'était franchement pas trop le but. D'ailleurs, il tardait au Sampi de revoir son meilleur ami, mais bon, pour l'instant le plus important était de faire plaisir à sa jumelle et de profiter du temps qu'ils avaient-là tous les deux... Et voilà, maintenant qu'ils étaient en train de causer de zombis, de les tuer. Ok. Ils étaient irrémédiablement irrécupérables, mais d'un côté c'était tant mieux, parce qu'ils s'éclataient. Oh, oui je vais te plaindre, c'est sûr.... Pauvre petite soeur traumatisé, par son vilain jumeau maléfique qui en faire est un mort vivant. Va raconter ça, on va te rire au nez. Mouaha. Comme ça, je pourrais te manger ton cerveau en paix et sans être dérangé. Il secoua doucement la tête avant de rajouter Bah en même temps si j'étais un zombi, je crois pas non plus que je te reconnaitrais... et en même question cerveau, j'pense que je serai mieux servi chez Callum, donc ça serait plutôt lui qui y passerait en premier, ce qui ferait que tu aurais le temps de t'échapper. M'en fout, du moment que tu me pleures toute ta vie, après j'men fouts... Il haussa les épaules avant de rajouter Bien entendu, c'est toujours moi le méchant dans l'histoire, mais c'est parce que je suis si innocent que... bah que... je ne me rends pas compte des gens qui m'attirent vers les forces du mal. C'est ça... Voilà... Ok. Niveau débilité c'était de pire en pire chez eux, il allait vraiment falloir qu'ils essaient de stopper tout cela, car là ça commençait à devenir vraiment irréaliste. T'es trop gentille, de bien vouloir me passer ton livre. Bah tu sais, si tu me prêtes le livre et que je deviens un zombi, bah je m'en souviendrai aussi, puisque je l'aurai lu, tu n'est plus très cohérente PEDERSEN. Oui il venait d'appeler sa jumelle par leur nom de famille. ta connerie est tellement contagieuse, que je crois que je suis atteint. Faudra prévenir tout le monde, qu'il ne faut plus trop nous approcher, sinon...ils vont tous devenir comme nous. Mouahah. [b]Ouaios voilà appelle Tim Burton, puis tu joueras la fille d'Héléna Boham-Carter... Et tu joueras aussi avec Johnny Depp, la classe quoi. Il se mit rire avant de continuer Génial, grâce à ton teint tu sauveras une partie de l'environnement. Il leva le pouce comme si c'était génial en soit. Les jumeaux étaient loin, très très loin de San Francisco, ils étaient partis dans leur monde, dans cet endroit que personne à part eux deux pourraient atteindre. Leur refuge, leur repère.

Vint ensuite l'heure des cadeaux. Le cadeau que le jeune homme avait fait à sa sœur lui faisait visiblement très plaisir et c'était franchement le principal. Il avait hésité à offrir les huiles de peur que la jeune femme le prenne mal -ou alors Pacey-, mais finalement il avait quand même pris cela pour le message implicite que cela représentait. Bref, ce fut au tour de sa sœur de lui offrir son cadeau qui laissa le garçon assez dubitatif ce qui eut l'air de ravir sa jumelle. Cette dernière lui plaça le bandeau sur la tête. Il secoua doucement la tête, ces fameux bandeaux ils les mettaient que quand il avait les cheveux plus courts... Enfin soit, il la laissa quand même faire et écouta attentivement ce que la jeune lui expliquait pour le cadeau. Whow, s'il s'était attendu à ça... Il la regarda un peu bouche bée. Whow. Il fallait qu'il dise quelque chose, maintenant. Là. Tout de suite, mais aucun mot de ne voulait sortir de sa bouche. Je... Je... Et bien merci, je ne sais pas trop quoi dire. Whow. C'est génial comme idée... Merci. Merci, merci. Ok, c'était nul. Inspirer. Expirer. Il sauta au cou de sa jumelle et lui déposa un gros bisou tout mouillé sur sa joue. Je t'aime. C'est trop génial. Yes. Un week-end en amoureux c'était juste parfait... enfin, maintenant il n'y avait plus cas espérer que Payson soit un peu moins distante que ces temps-ci, mais il ne voulait pas que sa jumelle sache cela et préféra donc se taire sur ses inquiétudes.

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MessageSujet: Re: This must be how it feels to have a home [Eirk] This must be how it feels to have a home [Eirk] EmptyMar 27 Déc - 21:11

Eirik frappait dans ma porte a grand coup de point alors que je sursautais comme jamais. «Attend je me change!» Hurlais-je à travers la porte. Nous avions douze ans et je vivais mes premiers moments seule dans ma nouvelle chambre que je venais d’avoir. Plus de partage avec mon jumeau, enfin un espace à moi où je pouvais mettre les posters des acteurs et chanteurs que je trouvais canon, de mettre ma musique et d’avoir un garde robe avec mon linge et que mon linge. C’était cool être une pré-ado. «Ouvre Viiiiik dépêche» Je râlais, cherchant mon pyjama dans la mare de vêtement qu’il y avait au sol. «Mais soit patient merde, tu veux pas me voir en sous-vêtement!!» J’entendis un râle de dégout de l’autre côté de la porte qui me fit rire. Ne trouvant pas le pyjama que je voulais, je soupirai et me contraint à mettre une robe de chambre pour savoir ce que mon impatient de jumeau voulait. «Qu’est-ce qu’il y a?» Demandais-je sèchement. J’étais fatiguée, je voulais me préparer pour aller dormir et me plonger dans mon lit. «Pourquoi t’a caché ton démaquillant, j’en ai besoin.» Ok, phrase étrange venant d’un garçon de douze ans, mais il est a savoir que nous revenions de faire une présentation de théâtre dans lequel nous étions des zombies et le maquillage qui nous couvrait le visage était assez bien réussis. «Il vaut cher ce truc, c’est un cadeau de fête de maman. Alors va t’en acheté un.» Mon frère me regarda outré. «Mais tu m’imagine allez acheté POUR MOI un truc de fille. C’est pas que dans la pièce qu’on a manger ton cerveau, c’est dans la vraie vie que t’en a pas un.» Je tapai mon frère. «C’est toi le sans cerveau.» Et finalement cette demande termina en chamaille de chatouille qui durant un long moment. Lorsque ma mère nous sépara, nous étions tout deux hilare en train de dire qui était le zombie le plus pustulant. Décourager, ma mère nous aida à enlever le maquillage avant de nous coucher. Scène très quotidienne de la vie des jumeau Pedersen.

Et cette scène se répétais de nouveau, huit ans plus tard, dans la chambre américaine de mon frère alors qu’un simple délire nous emmena à divers discussion qui n’avait ni queue ni tête. Et je me fichais de la cohérence ou des autres. Car c’est dans ces moments que j’avais l’impression d’être le plus près de mon frère. «EUHHHH entre Narnia et Poudlard JE PREND DIRECT POUDLARD. Come on Rik’! Il y a des griffons, des loups garous, des sortilèges ET DU QUIDDICH! Come on! Le Quiddich! Qui ne rêve pas de faire du balet et se lancer des bales! J’avoue que toi tu aimerais pas ca. Car tu serais un poufsouffle, et eux ils ne sont rien. A part des bon chercheur. Moi je serais trop cool et je serais à….hum… Gryfondor! Comme ca je pourrais être ami avec Harry et je serais le quatrième membre et on batterait Voldemort ensemble! MWahahahahha! Ouais voila. C’est nul Narnia. Ca sert a rien narnia. Au moins, Poudlard, IL Y A DUMBLEDORE et juste pour ça, je gagne. Et toc! » Depuis que j’avais lu ce bouquin, j’étais une fan incontestable de cette histoire. Jusqu’à avoir des costumes et fait une pièce de théâtre plus jeune. J’attendais toujours ma lettre d’ailleurs. Avant je me disais qu’Hedwige était trop occupée, mais maintenant qu’elle était morte –j’ai pleurer a ce moment du livre- je devais me contenter d’Errol et bon niveau bon livreur on avait vu mieux. Il avait du se perdre. Et arriver en Norvège il allait devoir venir en Amérique. D’ici mes cinquante ans je visais être accepté dans cet école de magie. On rêve comme on peu. «Et bah j’ai pas le choix, je suis allergique. Et je suis pas cruelle au point de le faire euthanasier. Les refuges d’animaux c’est pas sympa pour les chats et je vais pas le laisser vivre dans un trou plein de boue en espérant que Shrek le retrouve. Avec l’Ane et Fiona, ca pourrait prendre trop de temps. Alors ouais, pas le choix, je le rase. C’est pas cruel, c’est le mieux que je peut faire de lui. Et tu ne peux pas transplaner, tu n’as pas eu ton permis. Et je vais faire quoi moi avec un frère désartibulé? J’ai pas de potion pour te revigoré! Alors pas de transplanage, c’est interdis. Si tu réussis de toute façon on va t’emmener a Askaban. Tu as réellement envie d’être en cellule au côté d’Igor Karkaroff? VRAIMENT? » Ce que j’aimais de ces moments, c’est que ces débats totalement débiles étaient dis avec un sérieux désarmant. Comme tout ce que nous disions avait des preuves et des faits très accomplis. Alors que bon, disons le, c’était du grand n’importe quoi. «NE M’APPELLE PAS PEDERSEN JE DÉTESTE CA.» Je tapai légèrement mon frère pour qu’il stop. Me faire appeler par mon nom de famille m’hérissait au plus au point et je ne savais pas trop pourquoi. Ca faisait trop impersonnel, de plus j’avais l’impression que seul les athlètes et les ennemis s’appelaient ainsi. Enfin… je n’aimais surtout pas que mon jumeau m’appelait ainsi. C’était… comme s’il n’étiat pas mon frère. Et ma vie sans Eirik serait horrible. Je ne voulais pas voir l’optique de ne jamais l’avoir eu dans ma vie. Ce pourquoi je me fâchais rapidement. Et, alors qu’il rigolait, je le rejoins dans son rire avant de le mordre doucement. Vengeance! Il aura ma trace de dents sur le bras pour quelques temps. «Et pour ton info je rêve de jouer dans un film de Burton avec sa femme et son pote. De toute façon quand Johnny va me rencontrer il va laisser sa petite francaise pour se marier avec moi. Je le sais, c’est écrit dans le ciel. Alors pour éviter de le mettre dans trop de problème de cœur je préfère qu’on s’aime de loin. Moi je veux son bonheur a Johnny, et pas toi! PFfff! » J’éclatai de rire devant mon frère et je haussai les pouces comme lui, lié par la même stupidité du moment.

Arriva le temps du cadeau, j’avais oublier de lui apporter le livre des Zombies, trop pressée de lui donner son présent. Et son regard illuminé me fit un grand plaisir. Le cœur battant à tout rompre je le regardai tendrement. «Tu devrais te couper les cheveux» Dis-je en regardant le bandeau applatir ses cheveux trop long pour que ca ait le vrai look particulier qu’il avait en les portant. Vint l’explication et sa réaction me fis énormément plaisir. Me laissant embrasser avec joie, je serrai mon étreinte sur lui. «C’est rien Rik» lui dis-je en le regardant, heureuse. «Je t’aime» Dis-je avant de lui embrasser la joue a mon tour. «Et on laisse plus rien nous séparer, jamais!»
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