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PV ♦ Hate that I love you so.

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MessageSujet: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyDim 9 Jan - 22:37

Aislynn & Joshua
« We cannot deny, how we feel inside. »


    Il y a un an, j’avais franchi le seuil du dancing queen avec une beauté à mon bras. C’était la première fois que nous nous affichions ensemble, officiellement. Après 3 mois de relation plus qu’ambigüe, nous avions réalisé à quel point on était bien l’un avec l’autre. Après cette rencontre et ce moment d’intimité que nous avions partagé dans l’ascenseur du Macy’s tout avait pris un sens, et nous avions pris la décision de nous mettre en couple. C’est ainsi que je m’étais retrouvé à faire mon entrée au bal de Noël sa main dans la mienne. A ses cotés, je me sentais invincible. Alors que je venais de perdre l’une des plus grandes femmes de ma vie, ma grand-mère que j’aimais plus que tout, j’avais réussis à faire l’impasse sur la tristesse que je pouvais éprouver, parce qu’avec elle, j’étais bien … tout simplement. Il aurait pu arriver n’importe quoi lors de cette soirée que ça ne m’importait peu tant que j’étais avec elle. Qui l’aurait cru ? Moi le président des Deltas la confrérie des Womanazier, des sans cœurs qui font pleurer femmes, je me serais épris de cette blondinette. Si quelqu’un m’avait mis en garde que je l’aimerais autant, le jour où je l’ai rencontré ; j’aurais probablement déchanté. J’avais trop souffert la première fois, je ne voulais plus aimer à nouveau. A cette époque là j’avais raison ; l’amour, le vrai ça fait mal !
    Ce soir, ce n’était pas à mes cotés qu’elle avait fait son entrée mais au bras de Charles Edouard. Cet homme était un vrai salopard, tout simplement. Il avait le dont de faire souffrir les femmes. A croire qu’Aislynn était masochiste… Quand à moi, j’avais à mon bras, la douche Dina, qui avait accepté de m’accompagner en connaissance de cause. Mais elle ne devais pas avoir imaginé que la soirée prendrait cet allure là. Je décidais de lui envoyer un message, histoire de m’excuser.
    Dina, je suis désolé d’avoir quitté le dancing Queen si tôt, mais après ce qui vient de se passer je ne pouvais pas rester. Je m’en veux. Profite de ta soirée, je me rattraperais un autre soir. Merci pour tout & encore désolé chérie. Bisous.

    J’avais eu un comportement qui allait à l’encontre de ce que j’avais l’habitude de penser. Je savais que ce soir ce ne serait pas facile & j’avais prévu de me contrôler. Je savais que j’en étais capable et je devais me tenir à carreau. J’étais organisateur je devais montrer l’exemple, pas déclencher la 3ème guerre mondiale. Oui, mais après le petit numéro de Charles, s’en était trop. Tout le monde laissait faire ce qu’il voulait, briser les cœurs … et le pire dans tout ça c’est que malgré ça, le quart du campus lui courait après. Quelqu’un devait lui montrer que la vie ce n’était pas ça. Et qu’il devait sérieusement arrêter de voir Aislynn. Elle était faite pour moi, par pour lui bordel. C’était MA copine, il n’avait rien à faire avec elle.
    Après l’avoir frappé au visage, j’avais décidé de sortir. Prendre l’air me remettre les idées en place. Je ne pouvais pas me résoudre à quitter la soirée, en laissant Drew gérer tout seul. Mais je ne pouvais pas rester à l’intérieur, je ne voulais quand même pas tuer ce pauvre homme. A ce moment là, ma main vint ce posé sur la poche gauche de ma veste, au travers du tissu je pouvais distinguer le sachet qui contenait mes précieux petits cachés. Alors sans attendre, je l’ouvris, et versa son contenu dans ma main. Ils étaient décorés, comme si on prêtait attention au motif ou à la couleur de chacune de ces pilules. J’en avalais alors un, puis un second. Ça devrait suffire pour le moment. L’une des propriétés de l’exta’ était de procurer une sensation de paix intérieur … je n’avais plus qu’à attendre que mes cachés fassent effet.

    Je m’assis alors sur un rebord en regardant les étoiles, la musique de l’intérieur me montait à la tête, mais j’essayais de ne penser à rien. C’est alors que je vis Aislynn arriver. Est-ce qu’elle était là depuis un moment ? Je n’avais pas entendu ses pas.

      Joshua – « Si t’es là pour m’en mettre plein la gueule, ce n’est pas le bon soir Blondie. Retourne voir ton cher & tendre, cette victime, que tout le monde semble aimer tant. »

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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyLun 10 Jan - 12:55

 PV ♦ Hate that I love you so. Tumblr10
« i never told you »

    I miss those blue eyes and how you kiss me at night. I miss the way we sleep. Like there's no sunrise. Like the
    taste of your smile. I miss the way we breathe. But I never told you, what I should have said. No, I never told
    you. I just held it in. And now, i miss everything about you




    Cette nuit était un retour aux souvenirs pour notre jolie blonde. En entrant dans cette grande salle, elle eut la gorge nouée. Elle n'avait pas oublié et d'ailleurs n'oublierait jamais que l'année passée, elle avait franchi le pas de la porte avec Joshua. Les choses avaient bien changées. Leur relation s'était vu détournée du bon chemin. L'être humain n'est pas invincible et ainsi, il est à l'abri de rien. La vie réserve bien des surprises. Des bonnes ou des mauvaises mais quelque soit le cas, on doit faire face. On ne peut pas y faire grand chose, on subit en silence et dans le noir. La séparation avait été dure à accepter et a mettre de côté pour continuer d'avancer. En regardant derrière elle, à l'heure actuelle, Aislynn n'avait pas pu l'oublier. Elle avait toujours laissé Joshua a cette place dans son coeur. Seulement, il y a quelques mois, elle avait fait la rencontre de Charles. Certains auront du mal à croire mais le jeune homme avait été attentif à la jolie blonde. A Paris, ils avaient passé le plus clair de leur temps ensemble. Il était au courant de l'ancienne relation de la jeune femme. Il savait également les cicatrices qu'elle avait laissé sur son âme. Cependant, il n'avait pas pu prendre l'importance qu'elle avait osé accordée à Joshua. Une place si grande qu'elle ne pouvait cesser de l'aimer. Avec toute la volonté du monde, il y aura toujours cette flamme en elle qui brûle. Cette étincelle dans son regard quand elle regarde les photos de ses souvenirs partagés à ses côtés. Une grande partie de notre vie est une série d'images, elles passent près de nous comme les villes sur notre passage mais parfois un moment nous frappe lorsqu'il se produit et on sait que cet instant représente plus qu'une simple image passagère. On sait que ce moment durera éternellement. On en veut. On espère. On rêve. On souhaite. On donnerait tout pour revivre une seconde de cet instant, celui qu'on croyait éternel. Ces deux longues heures où ils ont été coincés dans cet ascenseur. Cette arrivée au bal iota et delta, une confirmation dans leur relation. Son regard plongé dans celui de la jolie blonde. Ses murmures à l'oreille quand il quittait sa chambre le matin, en douce. Une histoire parmi tant d'autres, vous direz. Mais si la jeune femme devrait la définir, elle dirait sans aucun doute que c'est l'histoire de sa vie. Celle qui l'a fait grandir, qui l'a épanouie et qui lui a prouvé que la vie valait peine d'être vécue. Néanmoins, on se rend compte que les contes de fées ne sont fait que pour les enfants, les faire espérer et leur donner un peu de force pour se jeter. Malheureusement quand il nous arrive de vouloir nous jeter à l'eau, le résultat n'est pas toujours celui qu'on avait espéré. Ce soir en le voyant pénétrer dans les lieux, elle n'avait pas su contrôler son regard. Au bras d'une bien jolie blonde, il semblait avoir tourné la page. Enfin c'est ce qu'elle s'efforçait de croire, elle penserait que ça l'aiderait à avancer. Sauf que les sentiments sont là, Aislynn l'a dans la peau.

    Les évènements s'enchainaient ce soir. Elle était sur la piste, dans les bras de Charles quand il s'avança d'elle. Son regard dans le sien, elle ne retrouve plus ce qui autrefois la faisait rêver. Que lui est - il arrivé ? Est ce qu'il l'a mal vécu ou simplement qu'il a tourné la page sans difficulté ? Après autant de mois, le retrouver en face d'elle était la chose qu'elle n'avait pas imaginée. Elle penserait qu'il resterait fidèle au delta qu'il est. Ceux qui ont la réputation pour ne pas avoir de problèmes avec leurs histoires de coeur, car dans le fond, elles se ressemblent toutes pour eux. Alors qu'il avait tourné les talons, Joshua revient sur ces pas et lève la main. Charles se retrouve la lèvre ouverte. La jolie blonde s'en veut, elle ne voulait pas créer de telles soucis à son cavalier. Elle n'aurait jamais imaginé que Joshua aurait réagit de cette façon. Elle n'aurait jamais eu le cran d'espérer un signe de sa part. Est ce qu'elle pouvait prendre cette agressivité comme une preuve que ses sentiments n'étaient pas morts ? La jeune femme n'en savait vraiment rien. Elle avait les idées mélangées et ne savait plus quoi faire, ni penser. S'occupant de Charles, elle le regarde s'éloigner. Il marche sans se retourner et elle a cette envie de l'arrêter.. Quelques instants plus tard, la demoiselle s'excuse auprès de Charles et décide de prendre l'air. Elle se dirigea alors vers cette porte à l'arrière. Étant donné que tout le monde devait être sur l'avant, ici elle serait plus tranquille. Elle avait le besoin de se retrouver seule, de pouvoir crier si elle en éprouvait le besoin. S'arrêtant derrière le mur, elle pouvait apercevoir une ombre sur le sol. Il semblerait que quelqu'un soit déjà là. Alors qu'elle penche la tête pour regarder, elle le reconnait. Il est là. Un petit sachet à la main, il avale cette cochonnerie. La demoiselle se doute bien que ce ne sont pas des vitamines. Faisant un pas en avant, elle se manifesta face à lui. Debout, lui assis. Quelques mètres les séparaient, ils étaient seuls. Comme si leurs chemins avaient été détournés pour se recroiser.. « Si t’es là pour m’en mettre plein la gueule, ce n’est pas le bon soir Blondie. Retourne voir ton cher & tendre, cette victime, que tout le monde semble aimer tant. » Il croyait surement qu'elle n'avait pas vu. Puis il n'avait pas à lui dire ce qu'elle devait faire. Si elle souhaitait être là, c'est qu'elle le souhaitait. Elle n'était pas voyante et ne pouvait pas prévoir qu'il serait assis sur ce banc. Le regard rivé sur lui, la jeune femme est troublée, énervée, touchée. Tant de sentiments qu'elle ne saurait pas tous les nommer. « Je ne savais pas que tu étais, ici. Si ce soir, Charles est la victime, tu devrais savoir que tu es le principal et unique responsable de cette situation. Tu lui as mis ton poing en pleine figure sans pour autant qu'on comprenne la raison. » Sérieusement, s'il pensait que miss Woobleforth allait faire demi - tour et faire croire qu'elle ne l'avait pas vu, c'était plutôt raté. Il devait se douter que la femme qu'il avait connu, avait du cran et que lorsqu'elle avait quelque chose à dire, elle n'hésitait pas.. Aislynn fait quelques pas et prend place sur le banc et s'assit à son extrémité. D'un ton plus bas, moins assuré, elle continue. « Il semblerait que la soirée soit celles des révélations. Qu'est ce que tu as dans la poche intérieur de ta veste ? Dis moi que je ne fais qu'imaginer, que ce n'est pas.. » Elle n'arrive pas à trouver les mots justes. Joshua pourrait l'envoyer bouler. Certes, elle savait que ça ne la regardait pas, plus.. C'était plus fort qu'elle !
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptySam 22 Jan - 13:35

 PV ♦ Hate that I love you so. Hayden-panettiere-milo-ventimiglia-celebrity-couples-1609053-480-306
« What you mean to me. »
« You make me feel like I'm myself instead of being someone else. I wanna live that every day. You say what no one else was saying & You know exactly how to get to me. You know it's what I need Here I am with all my heart. I hope you understand &I know I let you down. But I'm never gonna make that mistake again »

    Depuis le retour d'Aislynn de France j'étais au plus mal. Durant le trimestre où elle était partie, j'avais plus ou moins réussis à faire comme si de rien était, comme si son départ ne m'avait pas détruit. J'étais un homme fort, personne ne devait me voir comme un faible, ce n'était pas possible. Alors j'avais décidé de me prendre en main, aller à la salle de sport, courir, sortir, faire la fête, coucher à droite à gauche, courir à nouveau. La course était la seule chose qui me permettait de me vider les idées, comme si rien ne pouvais m'atteindre lorsque j'avais des Runnings aux pieds. J'avais réussis à faire croire à mon entourage que j'allais bien, que j'étais heureux et que j'avais tourné la page. J'évitais les longues conversations avec mes meilleures amies, pour ne pas avoir à leur mentir. A vrai dire, j'évitais mes vrais amis, tout simplement. Je vivais seul, ou avec des inconnues. J’enchaînais les conquêtes d'un soir; et ça me suffisait. De me réveiller à cotés d'une jeune innocente différente tous les matins, me plaisait. Du moins c'était ce que je me forçais à croire. En réalité de me réveiller tous les matins aux coté d'une autre qu'Aislynn m'était insupportable, et je souffrais un peu plus à chaque réveils.
    J'avais essayer de me connecter le moins possible à cette connerie de réseau social qu'on nomme Facebook, sans lequel je n'aurais jamais été au courant de la relation entre ma blonde et ce Corse. A chaque connexion, je ne pouvais m’empêcher de faire un tour sur son profil; et de réalisé avec désespoir qu'elle était heureuse avec lui & qu'elle m'avait oublier. J'avais donc arrêter de me connecté. Arrêter de penser à elle; brûle nos photos, car je ne supportais plus les souvenirs encadrés dans ma chambre. J'avais décidé de tourner la page une bonne fois pour toute. & J'avais commencé à réussir. A l'aide de précieuse petite pilules, qui ont le dont de faire oublier, de nous rendre heureux. J’avançais.
    Et puis je l'avais recroisé, à plusieurs reprise à l'université. Le sourire au lèvres en bonne compagnie, alors que je ne ressemblais plus à rien et que je me détruisais la santé. Elle était radieuse, comme toujours, elle était heureuse. Peut être encore plus que quand elle était avec elle. Cette vision m'avait détruit. La dernière chose que je voulais voir ce soir était bien elle, heureuse au coté de son parfait amant. Et je n'aurais certes pas du enfoncer mon poing dans sa figure, mais il le méritait tellement.
    J'étais donc sortir pour prendre l'air. Pour éviter de déclencher une esclandre et surtout pour me calmer, prendre un petit cachet et aller mieux. J'étais sortie pour essayer de retrouver le dessus sur la situation, alors que mon ex petite amie me rejoingnie. Comme si elle n'en avait pas déjà fait assez. « Je ne savais pas que tu étais, ici. Si ce soir, Charles est la victime, tu devrais savoir que tu es le principal et unique responsable de cette situation. Tu lui as mis ton poing en pleine figure sans pour autant qu'on comprenne la raison. » Elle avait le dont de m'agacer dans ce genre de situations. Avoir toujours les mots pour m'ennerver. « Et bien oui, je suis là. Où voulais tu que je sois ? Je n'allais quand même pas rester à l'interieur après ce qu'il vient d'arriver. Et oui Aislynn, tu ne le savais pas encore ? Je suis un violent, un méchant. Charles et bien mieux que moi et lui au moins sait te rendre heureux. Et puis tu veux la savoir la raison pour laquelle j'ai fais ça ? » Je lui en voulais, de ne pas comprendre. Je lui en voulais de m'en vouloir mais c'était compréhensible. Je lui en voulais avant tout de plus m'aimer, mais c'était là encore évidement; « Arrête de faire l'autruche ! Tu sais pertinement pourquoi j'ai fais ça. Ou alors tu es bien la seule à ne pas avoir compris. Je déteste Charles et ce n'est un secret pour personne. Tout chez lui m'irrite, et ce soir c'était la goutte d'eau ... » Et puis alors que je pensais qu'elle était là, dans le but unique de me dire tout ce qu'elle avait sur le coeur, elle me questionna sur le contenu de ma poche. Depuis le retour d'Aislynn de France j'étais au plus mal. Durant le trimestre où elle était partie, j'avais plus ou moins réussis à faire comme si de rien était, comme si son départ ne m'avait pas détruit. J'étais un homme fort, personne ne devait me voir comme un faible, ce n'était pas possible. Alors j'avais décidé de me prendre en main, aller à la salle de sport, courir, sortir, faire la fête, coucher à droite à gauche, courir à nouveau. La course était la seule chose qui me permettait de me vider les idées, comme si rien ne pouvais m'atteindre lorsque j'avais des Runnings aux pieds. J'avais réussis à faire croire à mon entourage que j'allais bien, que j'étais heureux et que j'avais tourné la page. J'évitais les longues conversations avec mes meilleures amies, pour ne pas avoir à leur mentir. A vrai dire, j'évitais mes vrais amis, tout simplement. Je vivais seul, ou avec des inconnues. J’enchaînais les conquêtes d'un soir; et ça me suffisait. De me réveiller à cotés d'une jeune innocente différente tous les matins, me plaisait. Du moins c'était ce que je me forçais à croire. En réalité de me réveiller tous les matins aux coté d'une autre qu'Aislynn m'était insupportable, et je souffrais un peu plus à chaque réveils.
    J'avais essayer de me connecter le moins possible à cette connerie de réseau social qu'on nomme Facebook, sans lequel je n'aurais jamais été au courant de la relation entre ma blonde et ce Corse. A chaque connexion, je ne pouvais m’empêcher de faire un tour sur son profil; et de réalisé avec désespoir qu'elle était heureuse avec lui & qu'elle m'avait oublier. J'avais donc arrêter de me connecté. Arrêter de penser à elle; brûle nos photos, car je ne supportais plus les souvenirs encadrés dans ma chambre. J'avais décidé de tourner la page une bonne fois pour toute. & J'avais commencé à réussir. A l'aide de précieuse petite pilules, qui ont le dont de faire oublier, de nous rendre heureux. J’avançais.
    Et puis je l'avais recroisé, à plusieurs reprise à l'université. Le sourire au lèvres en bonne compagnie, alors que je ne ressemblais plus à rien et que je me détruisais la santé. Elle était radieuse, comme toujours, elle était heureuse. Peut être encore plus que quand elle était avec elle. Cette vision m'avait détruit. La dernière chose que je voulais voir ce soir était bien elle, heureuse au coté de son parfait amant. Et je n'aurais certes pas du enfoncer mon poing dans sa figure, mais il le méritait tellement.
    J'étais donc sortir pour prendre l'air. Pour éviter de déclencher une esclandre et surtout pour me calmer, prendre un petit cachet et aller mieux. J'étais sortie pour essayer de retrouver le dessus sur la situation, alors que mon ex petite amie me rejoingnie. Comme si elle n'en avait pas déjà fait assez. « Je ne savais pas que tu étais, ici. Si ce soir, Charles est la victime, tu devrais savoir que tu es le principal et unique responsable de cette situation. Tu lui as mis ton poing en pleine figure sans pour autant qu'on comprenne la raison. » Elle avait le dont de m'agacer dans ce genre de situations. Avoir toujours les mots pour m'ennerver. « Et bien oui, je suis là. Où voulais tu que je sois ? Je n'allais quand même pas rester à l'interieur après ce qu'il vient d'arriver. Et oui Aislynn, tu ne le savais pas encore ? Je suis un violent, un méchant. Charles et bien mieux que moi et lui au moins sait te rendre heureux. Et puis tu veux la savoir la raison pour laquelle j'ai fais ça ? » Je lui en voulais, de ne pas comprendre. Je lui en voulais de m'en vouloir mais c'était compréhensible. Je lui en voulais avant tout de plus m'aimer, mais c'était là encore évidement; « Arrête de faire l'autruche ! Tu sais pertinement pourquoi j'ai fais ça. Ou alors tu es bien la seule à ne pas avoir compris. Je déteste Charles et ce n'est un secret pour personne. Tout chez lui m'irrite, et ce soir c'était la goutte d'eau ... » Alors que je pensais qu'elle était là dans le but unique de me dire ce qu'elle avait sur le coeur, et de me faire comprendre de sortir de sa vie, elle me questionna sur le contenu de ma poche. « Ce n'est rien. Rien d'important. » Dis-je d'un ton désinvolte. « Et puis, peut importe ce que c'est, qu'est ce que ça pourrait te faire ? Dans tous les cas, ce que je fais de ma santé ne te regarde pas. » Voilà elle m'avais énervé, mais je m'en voulais de réagir de la sorte. J'essayais de me calmer, car les cachets ne faisaient pas encore effet. Pourquoi elle me posait cette question ? Bien sur qu'elle savait ce que je faisait. Elle devait s'en douter. Est ce que je comptais encore à ses yeux pour avoir un temps soit peu d'importance ?
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyJeu 27 Jan - 17:38

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« i never told you »

    I miss those blue eyes and how you kiss me at night. I miss the way we sleep. Like there's no sunrise. Like the
    taste of your smile. I miss the way we breathe. But I never told you, what I should have said. No, I never told
    you. I just held it in. And now, i miss everything about you



    Jamais je n'avais cessé de l'aimer. Paris était pour moi, la situation la plus appréciée. Je ne pouvais pas me renfermer dans ma confrérie, ma chambre et pleurer le peu de larmes qu'il me restait. J'avais enlevé toutes ces photos qui me rappelait combien j'avais été heureuse et comblée à ces côtés. A cet époque, où je reprenais confiance en moi et donnait une chance à l'amour. Ce sentiment si grand au monde qu'il nous arrive souvent de nous y brûler les ailes. Avec Bradley, je n'avais plus éprouvé autant de choses pour quelqu'un. Joshua m'avait donné le goût d'y accorder une seconde chance. Dans son regard, je trouvais très vite le réconfort et le soutien dont j'avais besoin. Je me croyais protégé des vices de la vie qu'on mène à notre âge. Il était un delta, je devais rester sur mes gardes. Ils sont les plus beaux garçons de l'université et ont se quelque chose dans les veines qui fait qu'il aime plaire plus que quiconque. Les rumeurs et leurs popularités ont eu raison de cette relation. On peut s'y accrocher corps et âme, cela n'empêche pas de nous mener vers la fin. Il était fini pour moi de pleurer, de me cacher dans le noir, loin de tous ces regards qui n'attendent une chose : me voir tomber de mon petit podium. J'avais donc pris la décision de partir. Loin de lui, loin de mes souvenirs, loin de mes sentiments, je fis la rencontre d'une toute autre personne. Sans me consacrée à cette nouvelle relation, je prends le recul et passe les étapes à mon aise. Je ne veux plus souffrir pour un homme, aucun ne mérite mes chaudes larmes. Alors je souris sur la tour Eiffel. Je danse dans ce petit bar français. Je marche dans les ruelles jusqu'à la nuit tombée et la main enlacée dans celle de Charles - Edouard. Il me comprend et m'accepte malgré tout. Il se laisse percer au grand jour, je pose le regard sur un autre homme. Mais une certitude ne me lâche pas, Joshua coule dans mes veines. Loin de lui, à plus de quelques millier de kilomètres, il est toujours présent. Je ne peux pas effacer cette partie de moi qui le réclame jour et nuit. Le soir, je le cherche à mes côtés. Je donnerais tout pour pouvoir sentir son odeur, croiser son regard. Cet homme me rend folle, il prend le contrôle de mon âme.

    Dehors, j'étais loin de m'attendre à le retrouver. Son regard, en disait long et j'avais du mal à le regarder comme je l'avais regardé à l'intérieur. Quand il était venu me saluer, j'avais posé le regard sur lui, ayant du mal à m'en détacher. Alors que là, je ne préfère pas croiser son regard. Joshua n'est plus le même. Je ne le reconnais pas. L'étincelle dans son regard qui faisait la différence n'est plus présente. Il est devenu un autre homme et celui dont je suis tombée amoureuse, semble bien loin de sa personne. Je n'avais aucun pouvoir. Je ne pouvais pas être le maitre de son destin. « Et bien oui, je suis là. Où voulais tu que je sois ? Je n'allais quand même pas rester à l'intérieur après ce qu'il vient d'arriver. Et oui Aislynn, tu ne le savais pas encore ? Je suis un violent, un méchant. Charles et bien mieux que moi et lui au moins sait te rendre heureux. Et puis tu veux la savoir la raison pour laquelle j'ai fais ça ? » Le ton de sa voix laissait présagé rien de bien accueillant. Est ce une hallucination ou une mauvaise impression, mais mon bonheur semblait l'intéressé. La nuit était tombée et cela pouvait lui rappeler la fête de l'année passée. Pourtant, rien n'était identique. Nous n'étions plus ensemble. Je n'avais plus ce sourire sur le visage. Je ne sentais plus sa main dans la sienne et je ne pouvais plus l'embrasser sans avoir aucune raison. A l'instant même, on était des étrangers l'un pour l'autre. Nos coeurs étaient blessés et notre histoire bien éloignée. « arrête de te faire passer pour ce que tu n'es pas. J'étais aussi heureuse près de toi, à cette époque, il y a un an, à cette soirée quand tout a basculé. J'aimerai bien savoir la raison qui te pousse à avoir changé, à être un homme totalement différent de celui que j'ai connu et dont je suis tombée amoureuse. » Je m'étais toujours méfié de mes sentiments, de ce qu'il pourrait arriver s'il s'éloignait. Néanmoins, je n'avais pas pu réagir. J'étais devenu cette femme faible et malheureuse quand il était venu furieux dans ma chambre, me balancer des anciennes histoires. Nous avons tous notre passé et il semblait avoir du mal à accepter certains de mes choix et le fait que je ne lui avais touché aucun mot. Cette histoire avec Thomas avait vu le jour, il est vrai que j'aurais peut être dû lui dire. Mais cette cicatrice était toujours bien présente en moi. Cet enfant qui avait perdu la vie et cette dernière que j'étais incapable à lui offrir. Je n'étais pas aussi blanche. J'avais peur de cette ribambelles de jolies demoiselles aux fesses de président delta. Je ne souhaitais pas le protéger. Je désirais qu'il soit simplement mien ! J'aurais fait n'importe quoi pour un sourire de sa part. « Arrête de faire l'autruche ! Tu sais pertinemment pourquoi j'ai fais ça. Ou alors tu es bien la seule à ne pas avoir compris. Je déteste Charles et ce n'est un secret pour personne. Tout chez lui m'irrite, et ce soir c'était la goutte d'eau ... » La goutte d'eau ? Est ce qu'il avait déjà des malentendus avec le français ? Je n'en savais vraiment rien. Tout ce que j'avais vu, était la tournure qu'avait pris cette soirée. Je dansais contre mon cavalier. Joshua s'était approché. Il nous avait accosté et de là, tout avait dérouté. « Ce n'est rien. Rien d'important. » Dit - il d'un ton désinvolte. « Et puis, peut importe ce que c'est, qu'est ce que ça pourrait te faire ? Dans tous les cas, ce que je fais de ma santé ne te regarde pas. » J'avais eu vent de quelques rumeurs, des fréquentations du jeune homme et je n'étais pas dupe. C'était loin d'être une pilule contraceptive qu'il prenait. Déjà parce qu'il n'en avait pas besoin mais de plus parce que j'avais déjà vu ce cachet. Il en avait dans sa chambre à l'époque de nos premières semaines d'amour, un petit sachet de la même contenance dans sa commode. Il m'avait juré ne plus y toucher. Pourtant ce soir, j'avais du mal à y croire. M'avait - il menti pendant tout ce temps ? Que pouvais - je faire à l'instant ? Il devait me détester et sa plus grande envie était surement de me voir plier bagages. « Je ne suis pas aveugle. Mais je ne crois pas simplement que c'est une goutte de plus. Si je me laisse penser, je penserais y être pour quelque chose. Seulement, je ne veux pas me faire de fausses idées. Parce que ça dirait que notre histoire n'a pas vraiment été oubliée. » Silencieuse, je me relevais du banc et lui tournait le dos. J'avais prononcé tous ces mots avec le peu de courage et de force qu'il me restait. Si je n'étais pas sur la bonne longueur d'onde, je serais gênée. D'avoir pensé qu'il pouvait encore éprouvé quelque chose pour moi. Et je voulais y croire, je voulais comprendre que pendant tout ce temps, nous avions pensé l'un à l'autre et même dans les bras d'une autre personne. Que la nuit tombée quand il regardait les étoiles, il pensait à moi et personne d'autres. Je voulais avoir hanté ses pensées. Je voulais être celle, l'unique pour qui il serait près à remuer la terre. Je voulais qu'il soit celui qui me décroche la lune avant même de me la promettre. « ça me regarde, parce que malgré les apparences, tu devrais savoir que jamais une seconde, je n'ai souhaité ton malheur. Tu es celui qui a claqué la porte de ma chambre et c'est là dernière fois que je t'ai vu. » Le ton montait. Elle s'était retournée, avait avancé jusqu'à lui. Le regard cherchant le sien, je souhaitais le voir réagir. Quitte à me manger également une claque, je voulais retrouver l'homme que j'aimais. Celui qui s'était tant battu dans sa vie et qui n'avait jamais lâché le bout. « remet tout sur mon dos, peut importe. Peut importe le temps que j'ai laissé passer. Joshua. Jamais ! Oh vraiment à aucun moment, je ne t'ai oublié. Je t'ai toujours aimé et ce soir, j'ai plus la force de faire semblant. »
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyMar 22 Fév - 16:03

 PV ♦ Hate that I love you so. Hayden-panettiere-milo-ventimiglia-celebrity-couples-1609053-480-306
« Laisse moi être celui. »
« Laisse moi être celui, qui partage ta vie, Oui celui à qui tu te confies. Nul ne sauras te comprendre mieux que moi.Donne moi ma chance tu verras. (...) Mais t'imagines même pas c'que je ressens pour toi, un truc de dingue, j'peux même pas mettre de mots sur ça.J'aurais jamais pensé qu'un jour j'en arriverais là.Non le style fleur bleue c'est vraiment pas moi.»



C'était facile pour elle qui était partie à Paris, elle avait pu construire une nouvelle vie, loin de moi. Mais pour moi qui étais resté à San Francisco, c'était une toute autre histoire. Beaucoup trop de choses me rappelé à elle. Chaque fois que je me rendais à Macy's je ne pouvais m’empêcher de contempler cet ascenseur dans lequel notre histoire avait commencé. Depuis que nous n'étions plus ensemble, je n'avais plus jamais emprunté cet élévateur. Trop de choses me faisaient penser à elle ici. Trop de cafés où nous avions passé des après midis, trop de magasins où nous avions l’habitude d'aller ... Me rendre à la maison Iota avait pendant un moment quelque chose que je redoutais. Mais quand j'avais du commencer les préparatifs pour la soirée de Noël j'avais du prendre mon courage à deux mains et foncer. J'avais pas mal d'amies là-bas, mais je préférais les voir à l'extérieur. Je ne rejoignais plus Chelsea, ma meilleure amie, dans sa chambre, je ne supportais pas de voir les photos des présidentes en grand, à l'entrée de la fraternité. Me retrouvé en face de la porte de la chambre de mon ancienne petite amie, je m'y refusais. C'était me faire du mal pour rien.
Je n'avais jamais été autant amoureux, j'avais été amoureux deux fois dans ma vie et après tout ce qui s'était passé la première fois, je ne voulais plus jamais que ça m'arrive. L'amour ? C'est quoi cette connerie qui fait faire n'importe quoi et qui fait souffrir les gens ? Non ça ne devrait pas exister. Je n'étais pas fait pour ça, dans tous les cas.

Ce soir j'avais fait fort. Moi qui pensait que la violence faisait partie de mon passé, ce soir j'avais montré le contraire. C'était une partie de mon histoire, une partie de moi que je détestais. Je n'aimais pas être cette brute qui avait tué un homme, être la personne qui frappe quand il n'est pas content. Ce n'était plus moi. Mais aujourd'hui Charles Edouard m'avait fait dépasser mes limites. Il ne savait pas à qui il avait à faire, et il valait mieux pour lui qu'il ne tente pas de se venger. Il avait beau avoir un lourd passé, ou je ne sais quoi ... Il ne faisait pas le poids contre moi, ancien tôlard que j'étais. Alors que j'essayais en vain de me calmer dehors elle vint me rejoindre. J'étais énervé contre moi d'avoir si mal réagi, contre elle de m'avoir laissé tombé et aussi et surtout contre cet abruti. Elle semblait elle aussi énervé, contre moi et surtout de ma réaction « Arrête de te faire passer pour ce que tu n'es pas. J'étais aussi heureuse près de toi, à cette époque, il y a un an, à cette soirée quand tout a basculé. J'aimerai bien savoir la raison qui te pousse à avoir changé, à être un homme totalement différent de celui que j'ai connu et dont je suis tombée amoureuse. » C'était facile pour elle de dire que c'est moi qui avait changé. Elle était partie, elle avait vu du paysage pendant que moi j'étais resté là, à me contenter de souvenirs. Elle était partie sans se retournée, sans même chercher à prendre de mes nouvelles, elle m'avait oubliée.
« Qui te dis que c'est ce que je ne suis pas ? Pourquoi tu cherches toujours à croire qu'il y a du bon en moi ? Je suis qu'un con, j'ai tout gâché. T'as refais ta vie avec un autre bel enculé, mais lui il te rend heureuse. Que veux-tu ? Ma bénédiction ? Tu veux savoir ce qui ma poussé à changer ? C'est toi. Avant de te connaitre j'étais comme ça. Je suis devenu quelqu'un de bien grâce à toi. Et tu t'es barré, sans chercher à comprendre. Tu ne me connais pas. Je ne suis pas quelqu'un de bon au fond. Je suis redevenu le salopard que j'étais, rien de plus. Voilà le vrai moi. » Je ne pouvais pas m’empêcher de crier. Bien que nous n'étions que deux, j'avais l'impression de parler pour une centaine de personne. Histoire que tout le monde sache à quel point j'avais foiré.

Elle m'avait vu prendre les pilules que j'avais dans la poche, et évidement, elle n’était pas dupe et n'avait plus douze ans; elle devait savoir de quoi il s'agissait. « Je ne suis pas aveugle. Mais je ne crois pas simplement que c'est une goutte de plus. Si je me laisse penser, je penserais y être pour quelque chose. Seulement, je ne veux pas me faire de fausses idées. Parce que ça dirait que notre histoire n'a pas vraiment été oubliée. » Après avoir prononcé ces mots, elle s'était levée ... Comment pouvait elle ne serait-ce que dire de pareilles choses. C'était évidement. Tout le monde savait pertinemment que je l'aimais encore. Elle était bien la seule à ne pas s'en douter. Je voulais la laisser finir avant d'intervenir. Alors silencieux, j'attendais qu'elle reprenne la parole. « ça me regarde, parce que malgré les apparences, tu devrais savoir que jamais une seconde, je n'ai souhaité ton malheur. Tu es celui qui a claqué la porte de ma chambre et c'est là dernière fois que je t'ai vu. » J'avais certes claqué la porte, mais ce n'était pas ce qui avait l'air de la déranger. Elle n'avait jamais cherché à me récupérer ... « J'ai claqué la porte de ta chambre et je suis partie. Toi, à ce moment là, tu as traversé l'Atlantique aux bras d'un parfait inconnu. On a décidé de faire une pause, et tu es partie, sans savoir ce qu'il en retourné pour moi. Sans te demander comment j'allais. T'en avais rien à foutre. Alors c'est trop facile de revenir six mois plus tard, avec un nouveau compagnon et de me dire que tu te sens coupable de ce qui m'arrive. Tu n'en a rien eu a foutre durant tout ce temps ... Alors non. C'est trop facile. J'aurais voulu me battre pour toi. Tu as bien vu ce soir, que j'en suis capable. Mais comment ? Tu étais partie, refaire ta vie aux coté de quelqu'un d'autre. Tu es heureuse avec lui ... Bien plus qu'avec moi. » Et alors que je pensais qu'elle me frapperais, ou quelque chose dans le genre il dit quelque chose auquel je ne m'attendais pas. « remet tout sur mon dos, peut importe. Peut importe le temps que j'ai laissé passer. Joshua. Jamais ! Oh vraiment à aucun moment, je ne t'ai oublié. Je t'ai toujours aimé et ce soir, j'ai plus la force de faire semblant. » Est-ce que ça voulait dire qu'elle aussi, m'aimait encore ? Que je n'avais pas attendu son retour en vain ? Que je n'avais pas frappé cet enculé de Corse pour rien ?
« Parce que tu crois que moi je t'ai oublié ? Tu crois que moi j'ai réussi à vivre sans toi ? Tu crois sincèrement que j'ai réussi à dormi sans toi à mes cotés ? Non. J'ai pourtant essayé de tourné la page, de trouver quelqu'un d'autre comme tu l'as si bien fait. C'était impossible. Mon seul moyen de m'en sortir c'était ça, c'est conneries que je prend son le seul moyen de ne pas penser à toi et de revivre à nouveau... » Bien sur que je l'aimais encore. Il n'y avait aucun doute. La seule qui en doutait ... c'était elle.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyMar 22 Fév - 16:59



« i need you »
      What day is it? And in what month? This clock never seemed so alive. I can't keep up and I can't
      back down. I' ve been losing so much time.. Cause it' s you and me and all of the people with
      nothing to do. Nothing to lose, and it's you and me and all of the people. And I don't know why,
      I can't keep my eyes off of you


    Je le sentais, quelque chose m'échappait. Qu'est ce que j'avais raté en me rendant à Paris ? Est ce que j'avais fait les mauvais choix ? Qu'aurais je du faire pour lui prouver son importance ? Tant de questions et peu de réponses.. Cette rage qui se lisait dans son regard, je ne l'avais plus vue depuis cette fois, où il avait pris une certaine histoire de mon passée. Je me rappelle, comme si c'était hier. J'étais là dans ma chambre et face à moi, cet homme pour qui je pourrais me donner corps et âme, était en colère. Est ce la douleur, l'incompréhension, le manque de confiance qui nous avaient conduit à en être là aujourd'hui ? Au fond de moi, je ne souhaitais pas le rayer complétement de ma vie. Je voulais juste le mettre de côté un instant. Cette pause ne nous aidait en rien mais je ne pouvais pas aller contre son gré et ce jour là, je n'avais pas marqué mon désaccord. Sans aucun doute, j'avais commise des erreurs. Seulement, je ne devais pas être la seule à avoir à supporter une telle quantité de fautes. Paris était un choix stratégique. J'y rencontrais une personne dont je n'avais pas prévu la suite des évènements. Charles avait réussi à me faire sourire. C'était une première après de longues semaines renfermée dans le noir. Les ténèbres ne me faisaient pas aussi peur que la réalité. Cette réelle séparation, cet éloignement que j'avais du mal à supporter. Comme si on m'avait ôté ma moitié, cette raison que j'avais retrouvé. La force qu'il me manquait pour me battre et sans aucun doute l'amour que j'avais longtemps cru inexistant sur cette planète bleue. Joshua avait fait naitre en moi, tant de choses. Il avait réussi là où beaucoup ont raté, ont lâché prise. Lui, il est resté mais cela ne fut malheureusement pas éternel. Nous étions seulement nous et à cet instant même, il semblait parler si fort ou enfin crier si fort que ça ne m'aurait pas étonnée qu'à l'intérieur, on puisse l'entendre. « Qui te dis que c'est ce que je ne suis pas ? Pourquoi tu cherches toujours à croire qu'il y a du bon en moi ? Je suis qu'un con, j'ai tout gâché. T'as refais ta vie avec un autre bel enculé, mais lui il te rend heureuse. Que veux-tu ? Ma bénédiction ? Tu veux savoir ce qui ma poussé à changer ? C'est toi. Avant de te connaitre j'étais comme ça. Je suis devenu quelqu'un de bien grâce à toi. Et tu t'es barré, sans chercher à comprendre. Tu ne me connais pas. Je ne suis pas quelqu'un de bon au fond. Je suis redevenu le salopard que j'étais, rien de plus. Voilà le vrai moi. » Il n'était surement pas parfait, c'était une évidence. Mais qui pouvait l'être ? Sérieusement s'il était juste parfait, sans erreur de fabrication, peut être qu'il n'aurait pas tellement fait la différence dans mon coeur. Je savais à quoi m'attendre quand notre relation avait débutée, j'étais une iota et lui un delta. Cela en disait largement assez. Néanmoins, je ne pouvais pas laisser passer ma chance. Je le désirais et j'avais décidé pendant un moment de me le cacher, c'était la solution la plus simple. Sauf que le temps nous rattrape et que la tentation ne fait que grandir. « Parce que je sais que tu n'es pas que mauvais ! » La suite de ces propos me blessait, le fait qu'il me remette la faute en pleine face, me brisait de l'intérieur. Je le sentais si mal, si loin que je perdais à mon tour l'espoir.. Je me perdais ce soir. Le face à face avait été plus dur que je ne l'aurais imaginé. « Mais si l'étiquette d'enfoiré te plait. Tu peux la garder et reste un delta parmi tant d'autre.. En fait, vous êtes tous les mêmes. L'homme ne se vaut pas à lui même, il se vaut au nombre de conquête qu'il met dans son lit. L'homme est sans aucun doute une bête qu'on essaye d'apprivoiser quand il nous touche, quand on devient faible et qu'on éprouve des sentiments. En vérité, on ne fait que perdre du temps avec ta façon de penser. Crois ce que tu veux et tu seras ce que tu crois ! » J'avais également haussé le ton, je n'avais pu contenir mon émotion et cette façon particulière qu'il arrive à me mettre hors de moi.. Reprenant mes esprits, je me levais comme faisant les cents pas, calmant ma respiration qui s'était emballée dans les minutes qui venaient de précéder..

    Est ce que j'étais blessée ? Sans aucun doute, cette affrontement entre nous me blessait tellement que je n'aurais jamais imaginé tant de cris, de reproches et de mots blessants. Jamais je n'aurais cru qu'il soit comme ça face à moi. Je ne savais pas ce que cela pouvait signifier. Si c'était sa façon de me dire : " lâche moi et va voir ailleurs que j'y suis. " Ou alors sa façon de me lancer une fusée de détresse, de me dire de reste, de le sauver et de tout recommencer. J'étais en train de vivre une réelle torture et mes sentiments pour lui ne faisaient que s'affirmer. Je l'aime à en crever. Cupidon ne m'avait pas raté. Il m'avait envoyé cette flèche avec ce poison qu'est l'amour. J'en étais accroc à ce beau brun. C'était dans mes veines, il vivait en moi à chaque instant, telle une drogue à laquelle on devient sans aucun doute indépendant. Me laissant parler, je décidais de plus y aller par quatre chemins et il semblait en faire de même. Les paroles qui suivirent les miennes étaient à décortiquer, j'essaye de m'en sortir avec tout ce qu'il venait de lâcher. Il me faisait des reproches, essayant de m'enterrer au plus bas. « T'en avais rien à foutre. J'aurais voulu me battre pour toi. Tu as bien vu ce soir, que j'en suis capable. Mais comment ? Tu étais partie, refaire ta vie aux coté de quelqu'un d'autre. Tu es heureuse avec lui ... Bien plus qu'avec moi. » Évitant son regard, les larmes venaient encombrer mon regard. Comment pouvait - il dire que j'étais la seule à avoir commise des erreurs, que je n'ai pas eu une seule volonté de sauver notre histoire. Comment pouvais je faire pour lui prouver que non ? J'avais envie de crier de balancer tout ce qui pouvait se mettre sur mon passage. Cependant à ce moment précis, se sont les paroles qui prirent le dessus. Je n'avais plus cette force de faire semblant, cette envie de me croire intouchable. J'étais blessée plus que jamais. « Parce que tu crois que moi je t'ai oublié ? Tu crois que moi j'ai réussi à vivre sans toi ? Tu crois sincèrement que j'ai réussi à dormi sans toi à mes cotés ? Non. J'ai pourtant essayé de tourné la page, de trouver quelqu'un d'autre comme tu l'as si bien fait. C'était impossible. Mon seul moyen de m'en sortir c'était ça, c'est conneries que je prend son le seul moyen de ne pas penser à toi et de revivre à nouveau... » J'étais plus que blessée, ces paroles m'avaient totalement enterrées et les larmes s'étaient laissées couler sur mon visage. Quand je décidais de ne pas le laisser là, de ne pas le laisser me rendre fautive. De ne pas croire que l'amour avait pu me faire peur et que j'avais pu y croire à ces côtés, qu'il me manquait comme c'était inimaginable. Sa présence n'était pas remplaçable et ses baisers juste uniques. Me retournant face à lui, je supprimais le peu d'espace qui nous éloignait. Il était toujours assis et moi debout. Criant sans même m'en rendre compte.. « Je n'ai pas tourner la page!! » Prenant conscience de la tonalité de ma voix, je décidais de m'éloigner légèrement sinon j'allais le rendre sourd. « Comment tu peux savoir ce qui c'est passé dans ma tête, crois tu sérieusement un instant que tu as été une histoire parmi tant d'autres. J'ai versé des larmes pour toi, plus que pour personne. Je ne supportais plus le fait de te savoir près de moi sans avoir la possibilité de partager mes sentiments et partir n'était qu'un comportement faible de ma part. Je le sais. Parce que je suis faible quand tu n'es pas là, parce que j'ai mal quand tu es avec une autre et sans aucun doute parce que je suis meurtrie quand je te sais bien mieux sans moi. Je voulais faire ton bonheur et pas ton malheur. Regarde nous, ce soir. Qu'est ce qu'il reste de ce qu'on était ? » Comme si les larmes ne s'arrêtaient plus car elles avaient été forcée de rester cacher. Pleurer, j'en étais fatiguée. Il y a même eu un moment où plus rien n'arrivait à couler. Et ce soir, je croyais que ça n'allait pas s'arrêter. Détournant dès à présent le regard, j'étais faible. Il n'avait plus qu'à souffler et je tombais. Cette rage qui avait longtemps dormi, voyait le jour. Cette rage de ne pas avoir réagit quand il aurait fallu..


mon 10.000 ème message, il est pour toi :plop: merci pour tout, ma chérie
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyMer 2 Mar - 23:08

 PV ♦ Hate that I love you so. S320x240
« I just need you now »
« & I wonder if I ever cross your mind ...For me it happens all the time (... )I'm a little drunk & I need you now. Said I wouldn't call but I lost all control & And I need you now & I don't know how I can do without ... I just need you now.»

    CC'était elle qui était partie, partie sans se soucier de ce que je devais, sans même un au revoir. J'étais certes parti en claquant la porte un soir, mais j'aurais tellement aimé qu'elle revienne vers moi ce soir là. Qu'elle n'abandonne pas notre relation pour un mal entendu. En enfant qui était mort il y a des mois. Une histoire à la con. Watch Out avait tout gaché. De toutes les façons il fallait bien un fautif, ça ne pouvait évidemment pas être elle, et moi, la question ne se pausait pas. J'étais bien trop fier pour me remettre en question. Ce soir là, je l'avais attendu, longtemps. Un appel, un message, un signe quel qu'il soit. J'en aurais même rêvé. Je me rappel de ce soir là. J'avais passé la soirée à boire comme un trou. Assis au bar, j'avais enchainé les verres. Je ne me souviens plus tellement avec qui j'étais, ni même si j'ai raconté ma vie à quelqu'un ou pas... C'était flou. Mais je me rappel clairement à quel point j'avais eu mal; mal de me sentir trahis, mais surtout mal de n'être qu'un parmi les autres pour elle. Moi qui pensais être un temps soit peu spécial à ses yeux. Elle m'avait fait croire, mais tout n'était qu'illusions. Elle était partie quelques jours plus tard, en France aux coté de Charles Edouard, enculé de première. « Parce que je sais que tu n'es pas que mauvais ! » J'avais beau être un vrai salop avec elle, elle arrivait toujours à trouver du bon en moi, c'était épatant. Je l'avais blessé, on pouvait le voir à son visage. Je la connaissais bien et je savais pertinemment que mes propos l’avaient atteint. Mais je voulais qu'elle souffre autant que j'avais souffert au part avant. Qu'elle réalise qu'elle m'avait laissé tombé sans même se retourner ... Qu'elle comprenne a quel point je l'aimais, et combien je regrettais cette situation. Mais au lieu de lui prouver mon amour, je restais la figer, à lui lancer mon venin à la figure.

    Les traits de son visage avaient changés; alors que quelques minutes avant elle semblait pleines de compassion pour moi, elle était énervée. Je l'avais touchée, blessée. Elle m'en voulait.... « Mais si l'étiquette d'enfoiré te plait. Tu peux la garder et reste un delta parmi tant d'autre.. En fait, vous êtes tous les mêmes. L'homme ne se vaut pas à lui même, il se vaut au nombre de conquête qu'il met dans son lit. L'homme est sans aucun doute une bête qu'on essaye d'apprivoiser quand il nous touche, quand on devient faible et qu'on éprouve des sentiments. En vérité, on ne fait que perdre du temps avec ta façon de penser. Crois ce que tu veux et tu seras ce que tu crois ! » Touché ... Elle avait touché mon ego, ma personnalité, et surtout mis à plat mon comportement. Me comparé un bête était un peu fort de café mais elle n'avait pas tord. Bien que je sache qu'elle avait raison, je ne pouvais me laisser faire de la sorte. « Tu crois que ça me plait d'être un con ? Bien sur que non. Mais il faut croire que les enfoirés, c'est quelque chose qui te plait, quand on me regarde, qu'on regarde ton Charles, il ne vaut pas mieux que moi. Niveau conquêtes, regarde-le. Il compare ses exs. A l'heure qu'il est il doit être en train de se faire consolé par une des femmes de son harem. Non mais regarde-le sincèrement. Cet homme est pathétique. Il change de copine comme de chemise. Il était bien avec toi oui, c'est sur mais tu ne sais pas ce qu'il faisait quand tu n'étais pas là. Et puis vous étiez à Paris tout était beau. Maintenant que vous êtes de retour à San Francisco tout change brutalement. » Je n'étais pas si bien placé que ça pour critiquer les ébats de cet homme, car au fond lui & moi, nous nous ressemblions pour beaucoup de chose... Nous aurions pu être jumeaux que cela serait passé inaperçu. C'était peut être pour ça que je le détestais à ce point. Je voyais en lui tout ce que je détestais chez moi, et aussi et surtout qu'il était aux bras d'Aislynn, qu'il était à ma place.

    La colère sur son visage avait laissé place à la tristesse. Elle n'avait pas pu retenir ses larmes. Bien que je lui en veuille, je ne supportais pas de la voir pleurer, c'était quelque chose qui me détruisait. Encore plus que de la voir aux bras d'un autre. Voir la personne qu'on aime malheureuse est quelque chose d’insupportable, encore plus quand nous somme la personne qui la met dans cet état. Je m'en voulais d'en être arrivé là, de devoir se parler de la sorte. De ne plus pouvoir communiquer. Elle s'était retournée, et rapproché de moi. Je voyais dans ses yeux la tristesse, et la colère qu'elle avait contre moi. J'avais envie de la prendre dans mes bras pour la consoler, mais ce n'était pas le moment ... « Je n'ai pas tourné la page!! » Elle avait crié, puis reculé. Ces propos, beaucoup me l'avaient répété ... Mais l'entendre de sa bouche, déclenchait en moi une sensation pour le plus étrange. J'avais toujours cru au fait qu'elle était bien mieux aux coté de son nouvel amant. Qu'elle m'avait bel et bien oublié. « Comment tu peux savoir ce qui c'est passé dans ma tête, crois tu sérieusement un instant que tu as été une histoire parmi tant d'autres. J'ai versé des larmes pour toi, plus que pour personne. Je ne supportais plus le fait de te savoir près de moi sans avoir la possibilité de partager mes sentiments et partir n'était qu'un comportement faible de ma part. Je le sais. Parce que je suis faible quand tu n'es pas là, parce que j'ai mal quand tu es avec une autre et sans aucun doute parce que je suis meurtrie quand je te sais bien mieux sans moi. Je voulais faire ton bonheur et pas ton malheur. Regarde nous, ce soir. Qu'est ce qu'il reste de ce qu'on était ? » Elle pleurait, ne s’arrêtait plus, ça me tordait le coeur de la voir ainsi... Impuissant. Je ne savais pas quoi faire. J'aurais eu envie de continuer sur sa lancer, lui dire que c'était facile de dire qu'elle avait pensé à moi, alors qu'elle ne l'avait pas montré. Qu'elle avait étalé son bonheur avec son petit ami. Javais passé des heures à regarder nos photos, seuls souvenirs qu'il me restait d'elle. Puis j'avais finir par les ranger, loin de moi pour ne plus me faire souffrir. Je la voyais sur des sites tel que Facebook au coté du Corse. Elle avait l'air heureuse. La voir ainsi me faisait mal, mais je réalisais que je préférais la voir heureuse ainsi, que malheureuse à mes cotés comme elle l'était ce soir. Elle détournait mon regard, alors que je cherchais ses yeux. Entendre ses paroles, me faisait plaisir, mais à mon tour j’avais envie de pleurer. J'étais pourtant un homme fort qui ne pleure pas, je ne devais pas faiblir. Je pris une grande respiration et je me rapprochai d'elle. D'un pas hésitant; je pris ensuite sa main. Il s'agissait du premier contact que nous avions depuis des mois, et malgré le moment, la situation tout ce qu'on était en train de se dire, ça faisait du bien, se sentir sa peau contre la mienne; même s'il ne s'agissait que de phalanges. J'étais tout proche d'elle et contrairement à la manière dont elle avait parlé, je préférais lui répondre doucement. « Tu m'as manqué tu sais. Plus que quiconque. J'étais persuadé que tu n'en avais plus rien à foutre de moi. Pourtant j’espérais, je continuais de croire qu'un jour je recevrais un signe quelque chose, qui me prouverait que tu tenais encore à moi ... Je n'ai jamais rien vu. Malgré ça je continuais de penser à toi. J'ai eu beau essayer de t'oublier une partie de moi ne voulait pas d'effacer de mes pensées. » Ma voix tremblait, j'étais hésitant et je cherchais mes mots, c'était tellement dur pour un homme comme moi que quelqu'un m'avais manqué, de mettre à plat mes sentiments et d'avouer ce que je ressentais vraiment .... « Je n'ai jamais rien voulu d'autre que ton bonheur, je m'étais même résolu au faite que tu étais plus heureuse sans moi ... Aussi dur à penser soit-il. Je suis tellement désolé et à la fois triste qu'on en arrive là. Regarde nous ... » Ce qu'il restait de nous ? C'était bien dur à savoir. Deux amants, dans la nuit, triste, mais amoureux. Qui essayaient tant bien que mal de recoller les morceaux...


    Désolé, le style & la syntaxe sont bizarre, j'sais pas j'avais du mal à formuler mes phrases >_<. Congrat' pour tes 10 000 et merci à toi ma chérie :plop:

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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyVen 4 Mar - 17:43

 PV ♦ Hate that I love you so. Tumblr16

« You're original, cannot be replaced»
      Do you ever feel like a plastic bag. Drifting throught the wind.. Wanting to start again? Do you ever feel,
      feel so paper thin. Like a house of cards, one blow from caving in ? You just gotta ignite the light and let it shine


    Je ne m'étais jamais sentie autant blessée. La peur m'avait rongée de l'intérieur. Sans même que je puisse m'en rendre compte à cette époque là. Il m'était plus facile de tout quitter que de rester. Pourquoi je n'étais pas allé le voir ? Parce que j'étais partagée entre différents sentiments. Je m'en voulais de lui avoir caché après tout lorsqu'on commence une histoire, la première chose que l'on évite c'est les petits secrets dans le genre qui pourraient très vite se réapprendre. Autant dire que j'étais loin de m'imaginer que watch out aurait été au courant de cette lourde page. Je m'en voulais de ne pas lui en avoir parlé, je sais que ce n'était pas la meilleure chose pour construire les fondations d'une histoire. Seulement j'avais du mal à prononcé ces mots, tant de regrets qui se sont nourris de moi - même. Les choses auraient du être autrement. Je n'aurais pas du faire cette erreur, cette histoire d'une nuit aurait pu avoir des répercussions sur toute mon existence. Cependant, je n'y arrivais. Le regarder droit dans les yeux et lui dire que j'avais porté l'enfant d'un autre. Peut être que nous étions qu'au début de notre relation mais je me voyais pas passer le reste de ma vie près de lui. Joshua est tout simplement tout ce que j'avais attendu, ce que j'avais espéré. Enfin pas totalement mais il est devenu tout ce qui pouvait me convenir. Les larmes n'avaient pu se contenir. Mon corps commençait à trembler de partout. La colère, la douleur et l'incompréhension s'étaient emparés de moi. Comme si tout s'effondrait encore un peu plus. Je croyais être au bout du gouffre, je croyais ne pas avoir la possibilité de redescendre plus que je n'étais. Mais apparemment, Joshua avait ce pouvoir sur moi. Il pourrait m'enterrer vivante que ça ne m'étonnerait pas. Ces paroles vont toujours me toucher plus que quiconque. Reproches et critiques auront toujours un impact plus important si ils sortent de sa bouche. Comment pouvait - il croire que j'avais été sans coeur ? Comment pouvait - il imaginé le fait qu'on tourne une page aussi vite ? En avait - il eu la force, lui.. J'étais complétement perturbée par la tournure qu'avait pris la conversation et la suite de notre relation. On l'avait mis en pause et il ne pouvait me reprocher de n'avoir pas agis. Il n'avait rien fait non plus. Pas un signe de vie, un échange de regard, c'était comme si l'un de nous avait quitté le monde dans lequel il vivait pour se retrouver assez loin de l'autre.. Nos chemins s'étaient éloignés mais je ne pouvais pas avoir les épaules assez large pour le supporter. « Tu crois que ça me plait d'être un con ? Bien sur que non. Mais il faut croire que les enfoirés, c'est quelque chose qui te plait, quand on me regarde, qu'on regarde ton Charles, il ne vaut pas mieux que moi. Niveau conquêtes, regarde-le. Il compare ses exs. A l'heure qu'il est il doit être en train de se faire consolé par une des femmes de son harem. Non mais regarde-le sincèrement. Cet homme est pathétique. Il change de copine comme de chemise. Il était bien avec toi oui, c'est sur mais tu ne sais pas ce qu'il faisait quand tu n'étais pas là. Et puis vous étiez à Paris tout était beau. Maintenant que vous êtes de retour à San Francisco tout change brutalement. » Ces paroles et cette colère qui nous unissaient, était comme une grande première. Elle n'avait jamais été aussi forte, aussi grande. On pouvait clairement voir deux êtres totalement blessés, totalement détruit. L'amour est un mystère et nous nous sommes perdus dans les flammes de son enfer. J'avais envie de créer, hurler au monde combien tout avait été dur. Mais je n'arrivais pas à me dévoiler autant, je n'arrivais pas à déposer mes armes. Car cette peur au fond de mon ventre était toujours présente qu'il s'avance et me poignarde j'y étais attendu. Surtout que dès à présent, je savais que je l'avais blessé. Il devait vraiment me détester. C'est ce qui arrive souvent quand l'homme se met dans ce genre de position, cette situation où ils ont été faibles. Ils ont durs à l'admettre. « C'est vrai à croire que les enfoirés savent m'attirer dans leurs satanés pièges. Charles fait ce qu'il lui plait, je ne l'empêche en rien. Mais tu as été comme lui à une époque et cela ne m'étonnerait pas que tu y aies regoûté.. Seulement c'est toi le plus pathétique des deux. Tu étais l'homme et tu es si fière que tu me remets tout sur le dos. Facile de dire que je n'ai pas bougé le petit doigt mais tu ne m'as jamais appelée non plus. C'est seulement maintenant que je comprends à quoi tu passais tes soirées, monsieur je prends de la drogue. » Mes paroles étaient sèches et ma voix toujours aussi tremblante. Si j'avais eu une force plus importante, je me serais laissée emballer et je l'aurai soulever du sol. Néanmoins, ce n'était pas le cas. Rien que le fait de repenser qu'il passait ses nuits dans les bras d'une autre et qu'il me jette la première pierre. J'ai envie de partir. Je n'arriverais pas à rester, à le regarder et surtout nous voir détruit le peu de contact qu'ils nous restaient.

    Seulement, les larmes ne s'arrêtaient plus. Elles coulaient le long de mon visage et finissaient par tomber contre le sol. Le calme qui s'installa nous apaisa un instant. Il avança d'un pas hésitant et je ne lui accordais pas mon attention. Jusqu'à ce je sentie sa main venir se poser sur la mienne. Mon regard retrouva le sien comme par habitude. Cette habitude que je croyais perdue, celle qui me manquait plus que tout. Me retrouver dans son âme, car c'est ce que je peux voir dans son regard. Je l'aime tant et je le déteste aussi tellement. Néanmoins, je ne reste pas longtemps perdue dans son regard. Je n'y arrive pas. Les larmes rendent ma vue complétement floue. Je ne me détachais pas pour autant de sa peau. Elle était toujours aussi douce. J'avais envie de me laisser tomber contre le sol, j'avais envie de me dire que tout ceci était un rêve. Je voulais pouvoir me réveiller et me retrouver à ses côtés, en me disant tout ceci n'est que le fruit de mon imagination. Mais la suite me prouve effectivement que je me trouve dans la réalité, celle que j'avais voulu éviter à cause de la peur et les sentiments que j'éprouvais toujours. J'avais cette crainte d'entendre des propos que je ne voulais pas réalisé. C'est d'un ton différent au mien qu'il reprit la parole. « Tu m'as manqué tu sais. Plus que quiconque. J'étais persuadé que tu n'en avais plus rien à foutre de moi. Pourtant j’espérais, je continuais de croire qu'un jour je recevrais un signe quelque chose, qui me prouverait que tu tenais encore à moi ... Je n'ai jamais rien vu. Malgré ça je continuais de penser à toi. J'ai eu beau essayer de t'oublier une partie de moi ne voulait pas d'effacer de mes pensées. e n'ai jamais rien voulu d'autre que ton bonheur, je m'étais même résolu au faite que tu étais plus heureuse sans moi ... Aussi dur à penser soit-il. Je suis tellement désolé et à la fois triste qu'on en arrive là. Regarde nous ...» Ces paroles avaient eu comme effets de me faire pleurer encore plus comme si les larmes avaient triplé en nombre. Je trouvais la force de pour me replonger dans ses yeux. Un frisson me parcourra de la tête au pied. C'est alors que je me décide de prendre sa seconde main. Je ne sais pas ce qui s'est passé mais la conversation avait basculée du tout au tout. Il avait calmé en moi la flamme qui allait me brûler vif. Cette colère, il avait su la minimiser pour pouvoir vraiment discuté. « J'ai toujours cru en nous et j'ai toujours aussi attendu un signe de n'importe qui tant que ça me prouvait que tu allais bien ou encore mieux que tu m'aimais toujours. Si j'avais été si certaine de tes sentiments, je n'aurais pas hésité. Je suis désolé d'avoir douté. » Que restait - il de nous, je n'en savais rien. Mais je savais ce qu'il y avait encore en moins. Je décide alors de conduire l'une de ses mains vers ma poitrine mais plus précisément sur l'endroit où se trouve mon coeur. Il bat encore pour lui. Si seulement ça pouvait être réciproque. Je me demandais si nous avions une seconde chance. Est ce que ça fonctionnerait ? « Dis moi à quoi je dois m'en tenir, est ce que je dois essayer d'être forte et terminer notre relation avec cette conversation? Parce que si c'est le cas, je te laisserais vivre au gré du vent.. Mais mon coeur n'a jamais cessé de battre pour toi et jamais il ne cessera. Tu es le seul homme avec qui je peux passer éternellement le reste de mon temps. Si c'était ma dernière minute, je voudrai que tu sois là et que tu me regardes comme maintenant.. Car Joshua McLowndes vous êtes l'homme de ma vie. »



pas de soucis, j'ai complétement adoré ta réponse calin et tu la méritais bien cette dédicasse.
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MessageSujet: Re: PV ♦ Hate that I love you so.  PV ♦ Hate that I love you so. EmptyDim 3 Avr - 13:35



« Tonight I'ts only you & me. »

« Certaines personnes, au bout de six mois, se réveillent, prétendent que vous leur manquez,puis se fondent à nouveau à la foule d'inconnus, à qui votre prénom n'évoque rien. Le manque, ce n'est pas ça. Ça revient le soir, souvent très tard quand il n'y a plus que vous et le noir. Ça revient en boucle, de plus en plus, de plus en plus fort. Ça finit par s'infiltrer dans vos pensées en permanence. Le manque, ça ne s'invite pas simplement tous les trente-et-un du mois. Ça s'incruste, ça laisse des traces, ça ruine la santé parfois. Le manque, c'est votre cœur qui ne veut pas s'endormir de peur doublier. »


    Elle était partie; du jour au lendemain, je n'avais plus eu de nouvelle comme volatilisée. Elle ne m'avait laissé aucun mot, aucune explication ... rien. Nous nous étions quitté sur un coup de tête, d'un soit disant commun accord. En réalité aucun de nous deux n'était vraiment d'accord, du moins je ne l'étais pas. Elle était partie de l'autre coté de l'Atlantique et j'étais resté là. Pendant six longs mois je l'avais attendu. J'avais attendu un signe, quelque chose qui me face comprendre qu'elle tenait encore à moi. Qu'elle ne m'avait pas oublié et que j'existais encore à ses yeux. Est-ce que c'était une folie ? D’espérer une pareille chose ? Alors qu'elle avait vraisemblablement tourné la page. Je n'avais plus rien à perdre au point ou j'en étais. Six mois de souffrance supplémentaire n’auraient rien changé à ma vie.

    Pas un soir durant ces six long mois je me suis endormi sans penser à elle. Me demandant si de son coté elle pensait à moi aussi. J'avais voulu lui écrire, mais comment ? Je connaissais seulement la ville dans laquelle elle se trouvait, je n'avais aucune adresse. L'idée de me rendre à Paris m'avait aussi traversé l'esprit... Mais j'avais trop peur d'être déçu une fois sur place, de la voir au bras du Corse que je détestais tant. Peur de réalisé qu'elle allait bien pendant que moi je me détruisais.
    Après quelques mois, j'avais recommencé les amphétamines. J'avais oublié a quel point ces petites pilules avaient un pouvoir sur moi. Après une prise, j'oubliais à quel point je souffrais, j'étais de nouveau heureux. J'arrivais même à sortir à nouveau, comme si de rien n'était. J'étais redevenu le don Juan qu'elle détestait tant. Pour ses yeux, j'avais changé, j'avais arrête d'être proche de trop de fille. Je savais qu'elle était jalouse et qu'un jour ou l'autre ça aurait nuit à notre couple. Alors pour elle j'avais changé. Mais depuis qu'elle était partie, tous les efforts que j'avais fais n'avais plus raison d'être. J'étais un Delta après tout, je vivais pour séduire et ça depuis des années. Tant pis pour elle; et puis de toutes les façons, là où elle était, elle s'en foutait. J'avais passé de nombreuses soirées dans différents bras, dans différents lit. Je tentais tant bien que mal de m'amuser. Mais rapidement une seule pilule ne faisait plus d'effet. Il me fallait en prendre deux, puis trois ... Jusqu'à ne plus arriver à me contrôler sans. C'était fini, j'étais accro.

    Ce soir, j'y étais allé un peu fort, en lui remettant toute la faute dessus. Mais j'avais souffert, je voulais qu'elle souffre aussi. Qu'elle se rende compte que ce semestre sans elle à mes cotés, sans nouvelles, avait été pour moi une vrai torture. Elle m'avait touché et je lui avais renvoyé l’ascenseur. Je l'avais blessé. Ça ce voyait à ces traits. Elle n'avait pas pu retenir ses larmes. Notre conversation prenait une tournure qui ne me plaisait guère. Nous ne nous étions jamais disputés de la sorte. Nous n'avions jamais eu autant de choses à nous reprocher. Et pourtant nous savions pertinemment que nous nous aimions, mais est-ce que c'était suffisant à présent ? Nous avions atteint un point de colère l'un envers l'autre qui était fou. Comment est-ce qu'on en était arrivé là ? J'avais été un peu loin dans mes derniers propos et je savais qu'une fois de plus, je l'avais blessé. C'était peut être mieux que toute cette colère sorte ... Mais serions-nous capable de réparer les pots cassé ? Y aurait-il un calme après la tempête ? « C'est vrai à croire que les enfoirés savent m'attirer dans leurs satanés pièges. Charles fait ce qu'il lui plait, je ne l'empêche en rien. Mais tu as été comme lui à une époque et cela ne m'étonnerait pas que tu y aies regoûté. Seulement c'est toi le plus pathétique des deux. Tu étais l'homme et tu es si fière que tu me remets tout sur le dos. Facile de dire que je n'ai pas bougé le petit doigt mais tu ne m'as jamais appelée non plus. C'est seulement maintenant que je comprends à quoi tu passais tes soirées, monsieur je prends de la drogue. » Elle était énervée, très énervée. C'était ça façon de me blâmer et de me monter à quel point mon comportement lui avait fait mal. Elle n'avait pas tord, et c'était le pire. Je n'avais pas appelé, car j'attendais un signe d'elle. Mais elle pouvait en dire de même de moi. Elle savait aussi que j'avais recommencé mes conneries de Delta; j'avais utilisé de nombreuses filles comme des objets pour penser à autre chose. Je ne pouvais pas, malgré tout lui avouer qu'elle avait raison, j'étais bien trop fier pour ça. « Je ne suis pas plus pathétique que Charles, je ne te permet pas de dire de pareil conneries. Ce mec est un con. Il ne prête jamais vraiment d'attention à personne, tu crois sincèrement que si tu le quitte il sera triste ? Il se dépêchera de trouver quelqu'un d'autre; et hop tu passeras aux oubliettes. Tu es parties six mois, une demi année et je suis toujours là moi, je ne t'ai pas oublié, loin de là. Alors tu peux me reprocher ce qu'il te plaira mais ne me dis pas que je n'ai rien fait. Pourquoi voulais-tu que j'appel ? Pour que tu me dises que tu étais heureuse avec ton nouveau mec ? Très peu pour moi. » Me comparer à ce con, c'était fort, très fort. Je ne savais pas quoi dire quant au fait que j'avais repris de la drogue. J'aurais très bien pu lui dire que c'était, ça aussi de sa faute, mais ça aurait été trop, elle ne l'aurait pas supporté. Et de plus elle ne le méritait pas. La drogue n'était pas une solution. « Madame j'ai fermé les yeux sur ce que je ne voulais pas voir... Oui je prend de la drogue ? Et alors ? J’ai surmonté ma rupture avec toi comme je le pouvais. La moité de cette université fume ou se drogue, qu'est ce que ça peut te faire que j'en face de même ? »

    Là encore j'avais abusé. Mais c'était plus fort que moi, je ne pouvais pas avouer que la faute n'était que mienne. Alors que je me contenais pour éviter de m’énerver de plus, elle pleurait. Elle pleurait de plus en plus ... Et de la voir ainsi me fendais le cœur. J'avais tout gâché. Nous aurions pu avoir des retrouvailles parfaite et au contraire de ça, j'avais tout fait foirer; bravo moi. Je ne pouvais pas supporter de la voir dans un pareil état. Je m'étais approché d'elle, hésitant pour lui prendre la main. C'était le premier contact que nous avions depuis des mois, et bon dieu qu'est ce que ça faisait du bien, de ressentir sa peau. A ce moment là, elle me fixa, et je ne pu m’empêcher plonger mes yeux dans les siens. Dans un silence nos regards se perdirent ensemble... Elle lâcha le regard, les yeux brouillés par les larmes. Je pris le premier la parole, et contrairement à ce que j'aurais pu penser, lui avouer la vérité n'était pas si difficile. J'avais peur qu'elle me dise que ce n'était pas son cas; mais au point où nous en étions ça n'aurait rien changé, au moins nous aurions été clairs. J'avais ravalé ma fierté pour lui avoué à quel point elle m'avait manqué, combien j'avais espéré son retour. Et contrairement à ce que j'avais espérer, elle pleurait encore plus. Moi qui pensais que de lui témoigner mon amour l’apaiserait, ça avait eu l'effet contraire. Mais son expression avait changé, elle semblait m'en vouloir moins, elle avait attrapé ma seconde mains avant de me dire à son tour ce qu'elle pensait. « J'ai toujours cru en nous et j'ai toujours aussi attendu un signe de n'importe qui tant que ça me prouvait que tu allais bien ou encore mieux que tu m'aimais toujours. Si j'avais été si certaine de tes sentiments, je n'aurais pas hésité. Je suis désolé d'avoir douté. » Elle avait douté, et c'était ce qui me faisait mal. Je n'avais jamais douté de mon amour pour elle. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir pour ça. C'était humain de douter, encore plus de douter de ses sentiments. Alors qu'elle avait à peine terminé sa phrase, elle rapprocha ma main, qu'elle avait prise quelques minutes plut tôt, de son cœur. Il battait vite, plus vite que la normale. Cette soirée avait été riche en émotion et c'était compréhensible. Je sentais le miens accélérer dans ma poitrine. « Dis moi à quoi je dois m'en tenir, est ce que je dois essayer d'être forte et terminer notre relation avec cette conversation? Parce que si c'est le cas, je te laisserais vivre au gré du vent.. Mais mon cœur n'a jamais cessé de battre pour toi et jamais il ne cessera. Tu es le seul homme avec qui je peux passer éternellement le reste de mon temps. Si c'était ma dernière minute, je voudrai que tu sois là et que tu me regardes comme maintenant.. Car Joshua McLowndes vous êtes l'homme de ma vie. » Après ce magnifique discours je laissais un bref silence, mes yeux plongés dans les siens. Nous étions physiquement plus proches depuis que j'avais ma main posé sur sa poitrine. Je détachais ma seconde main de la sienne, pour délicatement sécher les larmes de ses joues. Et après une brève hésitation, je l'embrassais tendrement. Je ne savais pas comment elle allait réagir, je redoutais sa réaction; mais après ce qu'elle venait de me dire, j'étais un peu plus confiant. « Mon cœur bat pour toi, depuis quasiment deux ans Aislynn; il n'y a que toi dans ma vie. Aucune autre femme ne sait me rendre heureux comme tu le fais. Je ne veux pas qu'on arrête tout ça, je ne supporterais pas de te perdre à nouveau. Je suis désolé pour tout le mal qu'on s'est dit. Aislynn Woobleforth McLowndes, ma vie n'a pas de sens sans vous. » Cette fois, c'était moi qui ne pouvait pas empêcher mes larmes de couler. Je n'avais pas pleuré depuis longtemps, mais là, pour cette soirée ça faisait beaucoup. Je m'approchais à nouveau de son visage, passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de lui chuchoter « Je t'aime; je n'ai jamais cesser de t'aimer. » J’aurais voulu que cet instant dur toujours, ne plus jamais me séparer d’elle. Nous étions désormais fixé, nous étions tous les deux dans la même situation, tous deux amoureux.

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