Ambrae mangeait son morceau de réglisse, essayant de jouer les charmeuses, comme si elle ne l’était pas déjà. Le temps passait et Ambrae se sentait vraiment bien dans sa voiture, emmitoufler dans l’énorme couverture, blottit contre Anton. Les films d’horreurs avaient le dont de faire un peu trop peur à Ambrae. La dernière fois qu’elle en avait regardé un, elle devait avoir 16 ans. La pire expérience de sa vie. Elle avait dormis pendant un mois la lumière de sa chambre ouverte, enfin dormir est un bien grand mot. Elle avait plutôt passé le mois à regarder partout et dans tout les directions espérant ne pas trouver un monstre ou quoi que se soit d’autre sortir de son garde-robe.

Le film n’était pas si pire, jusqu’à présent. Dracula avait fait son apparition, ce qui avait fait sursauter légèrement Ambrae. Anton l’avait vite rassuré. Elle avait laissé échapper un petit crie qui avait déclenché le mécanisme de la peur chez elle. Ambrae lui sourit, appréciant le fait qu’il n’ait aucun problème à ce qu’elle soit très près de lui. Puis, lors de son deuxième crie, Ambrae voulut se blottir contre Anton, mais pour un raison inconnue, elle se retrouva sous lui. Leurs visages étaient très près l’un de l’autre et la vision sur les yeux d’Anton lui suffisait pour lui donner des envies un peu plus.. Coquine.

AMBRAE ▬ Ouais, ça va ( gloussa-t-elle ) Et toi, ça va ? Je suis confortable ?

Elle voulut détendre un peu l’atmosphère et sentir ses lèvres se poser dans son cou. Soudainement elle sourit à pleine dents et s’attarda aux yeux du jeune homme. Leurs souffles s’entremêlaient et s’il essayait une simple chose, une simple petite chose, si ses lèvres s’abandonnaient, Ambrae les accueilleraient avec une joie immense.

Le visage près d’Anton donnait de l’inspiration à la jeune brésilienne qui s’imaginait toute sorte de scénario dans sa tête. Elle imaginait le jeune homme poser ses lèvres sur les siennes, puis les diriger dans son cou et descendre plus bas dans son décolté. Elle était perdue dans ses rêveries lorsque, pour une raison ou une autre, elle se retrouva sous lui. Position gênant pour des inconnues habituelle, mais pour la jeune fille c’était une adorable sensation. Voulant détendre l’atmosphère, Ambrae laissa glisser une petite plaisanterie. Anton répondit à sa blague, entrant un peu plus dans son jeu l’air sensuelle. Ses yeux étaient entre-ouverts et un sourire se dessinait sur ses lèvres. Doucement, il pencha la tête venant poser ses lèvres sur celle fine d’Ambrae. Le baiser fut doux et agréable. Un baiser des plus timides pour débuter. Les lèvres dansaient et se séparèrent soudainement. Sous une impulsion de plaisir, Ambrae mordilla sa lèvre inférieure et sourit, fixant le jeune homme. Il reposa à nouveau ses lèvres sur celles de la demoiselle, cette fois plus fougueusement. Elle sentit doucement une main se positionner sur sa hanche et l’autre sur sa joue. Elle en profita pour passer ses doigts dans les cheveux du jeune homme et faire danser leurs langues ensemble. Le baiser était des plus sincères. Après un moment, il releva la tête, mais demeura sur la petite brésilienne qui souriait bêtement. Il avait l’air un peu mal allaise, comme s’il avait peur d’avoir commis une erreur. Ambrae désirait se moment depuis le début de leur rencontre – ou presque, oui – et le fait d’avoir attendre ne lui dérangeait pas maintenant qu’elle savait combien ceci avait été magique. Anton était doué, il ne fallait pas le caché.

AMBRAE ▬ Si tu m’aurais bousculé, tu crois que je ferais ceci… ?

Dit-elle en souriant et en posant de nouveau ses lèvres sur celles d’Anton, prolongeant le plaisir qui se bousculait dans le bas de son ventre. Après un moment encore aussi magique, elle lui sourit et repris son souffle.

AMBRAE ▬ Tu es doué !

Ajouta-t-elle en riant.

Sentiment : nom commun désignant état mental relié à certaines émotions. Émotion, oui c’est bien le mot. Le sentiment qui parcourait le corps d’Ambrae était de plus en plus fort. Pourquoi… le mot était bien placer. Pourtant, elle ne connaissait qu’Anton depuis quelques heures, ce serrait étrange de dire que de l’amour s’installait déjà entre eux. Cependant, plus ses lèvres parcouraient son corps, plus elle en était sure. Elle était maintenant des plus certaines que ses sentiments qui se développaient devenaient comme de l’amour envers lui. Elle avait simplement besoin d‘entendre ses trois mots simples. Pas maintenant, certes, mais elle avait besoin de les entendre. De plus, le pas qu’ils franchiraient ce soir, n’est pas n’importe quoi pour la jeune femme. Faire l’amour, pour elle, s’était sacré. C’est tout simplement indiquer dans le terme « faire l’amour », comme dans le mot amour. S’il en venait à se point, chose qui était vraiment probable vue la tournure des évènements, Ambrae s’attacherait à lui. Ce lui ferrais peut-être du mal, car il était possible qu’Anton ne voulait qu’une partie de jambe en l’aire dans une voiture. C’est pourquoi, Ambrae se vida le cœur avant de passer à l’acte, avant de faire quelque chose qu’elle regretterait peut-être. Plusieurs hommes avaient joué avec son cœur. Ils l’avaient détruit, piétiner, démoli et Ambrae ne désirait qu’une seule chose maintenant ; être avec Anton pour de bon. Sans simplement baisouiller dans les toilettes d’un restaurant ou les vestiaires des salles de gym. Elle le voulait pour elle et elle seule, qu’il lui dise qui l’aime, qu’elle était jolie et qu’il la désirait. Qu’il lui affirme qu’elle est la plus jolie fille au monde, même si elle vient de se lever que ses cheveux sont tous ébouriffés. Lorsqu’Anton affirma n’avoir jamais désiré une femme autant qu’elle. Il ajouta aussi qu’elle était extraordinaire. Saigneur, comme elle aurait aimé répliquer à cette phrase. Lui dire que son ventre lui chatouillait lorsqu’il lui avouait ceci. C’est avec el sourire aux lèvres que le baiser repris de nouveau. Un baiser mélanger avec de belles caresses. Les mains d’Anton parcoururent sa peau, descendant le long de ses courbes et se posèrent dans son dos. Il dégrafa son soutif agilement. Si une chose faisait bien craquer Ambrae, c’était els extrêmes. Elle adorait les hommes qui savaient ce qu’il faisait, mais craquait aussi pour les petites maladresses. Si Anton avait eu de la difficulté avec son soutif, ça ne lui aurait fait que démontrer un sourire de plus. Puis le baiser devient encore plus intense. Les mains d’Ambrae, elles, dansaient sur son torse. En caressant toujours chaque ranger d’abdominaux. Après avoir exécuté leurs travails, celles d’Anton quittèrent sa poitrine pour se diriger près du fessier de la jeune femme. Ils passèrent doucement entre sa culotte et de posèrent sur ses petites fesses rebondis, qu’il caressa. Ambrae échappa un soupire de plaisir. La tâche n’en finissait pas là. Ses lèvres se posèrent maintenant contre son ventre, son point faible. Chaque baiser provoquait en elle un frisson et un désir grandissant. Lorsque ses lèvres se posaient, Ambrae effectuait un petit saut minime signe qu’elle appréciait les caresses.

AMBRAE – Si tu continue, je t’averti, je vais crier de plaisir.

Affirma-t-elle totalement sérieuse. Elle était stimulante à l’acte et stimuler rapidement. Ce fût à son tour de couvrir Anton de petites attentions. Le but dans une relation comme celle-ci est de ne pas procurer un plaisir à une seule personne et Ambrae désirait qu’Anton ai aussi un plaisir. Ses lèvres ré-capturèrent à nouveau celles du jeune homme, elle prolongea le baiser en avançant ses doigts doucement sur son torse. Une fois le parcoure terminer, elle se remit à l’élastique de son boxer, jouant quelque peu avec celui-ci pour le faire la désirer encore plus. Petit à petit ses doigts entrèrent dans son boxer, ils venaient chatouille son intimité, stoppaient, puis recommençait. Juste pour le faire languir encore plus. Après tout, que le plaisir s’éteigne aussi rapidement n’était pas amusant. Elle se devait de le faire durer encore et encore. Doucement, ses doigts s’aventurèrent encore plus loin. Ils caressèrent à nouveau son membre, un peu plus que plus tôt. Ils demeuraient plus longtemps sur celui-ci. Anton respirait fort, les yeux fermer. Sa respiration ne trompait pas vis-à-vis ses sentiments. Ambrae le fixa, attendant que ses yeux s’ouvre pour lui faire un clin d’œil et ré-capturer ses lèvres, les doigts caressant toujours son intimité qui durcissait de plus en plus.