Les bras d’Anton qui entouraient le corps de la jeune femme étaient réconfortant, pleins de douceur et sans mauvaise pensées. Ambrae savait – et était certaine – qu’avec lui, rien ne lui arriverais. Ni même une petite écorchure, ni une peine, ni un désespoir. Avec Anton, tout serait simple et pure. Agréablement, elle se laissa guider par le baiser du jeune homme. Les questions défilaient dans la tête de la jeune brésilienne. Avait-elle vraiment des chances avec le jeune homme, voulait-il un ‘’ et ils vécurent heureux ‘’, allait-il la rappeler, allait-il apprécier les mouvements d’Ambrae ? Toutes ses questions lui étaient indispensables, mais elle ne pouvait se permettre d’y réfléchir en ce moment. Le soupire d’Anton mélanger à un gémissement insista la demoiselle à rajouter un peu plus de force dans ses caresses. Les sens se déclarent, c’est l’impulsion qui prit le dessus. Pour une raison ou un autre, ses caresses stoppèrent. Ce fut à son tour de se livrer à un plaisir. Les mains d’Anton traversaient son bassin et se posaient sur son intimité. À cet instant, Ambrae se sentit enfouis dans un plaisir profond. Anton le devinerait-il ? Il joua un peu de ses doigts sous sa culotte, traversant les endroits un peu plus sensible de son corps. Il était agile, il savait très bien que s’il appuyait ici elle se tortillerait, s’il passa ne serait-ce que le bout de son doigts à cet endroit sa respiration devenait plus intense et s’il demeurait à ce petit coin, elle se surprenait à gémir. Sous les aggitements des doigts d’Anton, Ambrae laissa monter ses mains jusqu’aux cheveux du jeune homme. Elle les caressa un peu suivant le rythme des mouvements effectués par le jeune homme. Ses paroles l’encourageaient à passer les barrières avec lui. Il lui répéta qu’il la désirait, ce qui provoqua plus d’excitation dans le corps de la jeune femme.

AMBRAE ▬ Que dire de toi… tu me rend plus que dingue ! ( Elle déposa un baiser sur son nez ) Et j’aime vraiment ça.

Ils étaient encore vêtue, rien n’avait été enlevé de ce côté. Ils commençaient par explorer les atouts de chacun par les cinq sens. Ils avaient commencé par l’odorat, aussi étrange que ceci peux paraître, Ils avaient tout de suite attiré l’un envers l’autre par une odeur. Ils dégagent quelque chose qui les avaient fait réfléchir et leur avaient donné envie de plus que de simple accolade. Ce qui nous amène à l’ouïe – d’où les révélations qu’ils s’étaient fait, le gout – d’où les baisers, le toucher – d’où les caresses, puis ils iraient jusqu’à la vue qui pouvait se décrire en un regard tout nouveau sur la personne se trouve sous – où au dessus – de nous. Lorsqu’ils auraient exploré tous ses sens, ils pourraient les mettre tous ensemble pour ne former qu’une action.

Délicatement, Ambrae se risqua. Elle redescendit ses mains jusqu’au boxer du jeune homme. Puis, elle mordilla ses lèvres, lui passa doucement la langue sur la lèvre inférieure. Elle était prête à se rendre au niveau de la vue. Elle fit glisser le boxer d’Anton et le laissa rejoindre la pile des vêtements retirer plus tôt. Peut-être était-elle perverse, pourtant elle le trouvait séduisant. Bronzé partout, musclé, bien bâtit, tout était parfait. Elle caressa quelque peu ses fesses avant qu’il lui retire elle aussi sa culotte. Il descendit doucement sa bouche jusqu’à l’intimité de la jeune fille et l’embrassa, la caressa. Ambrae ne put se retenir, les gémissements étaient plus forts. Par chance, le tôt et les fenêtres de la voiture étaient fermés. Il s’attaqua ensuite à sa poitrine. Il retira son soutif qui était simplement posé sur son buste. Surprenant, il fixa le petit grain de beauté qui trônait sur son sein droit. Il était minuscules, la plus part des gens ne le voyait pas, mais Anton l’avait remarqué. Il l’embrassa doucement, titilla l’extrémité de sa perle et passa à l’autre, sans oublier son petit grain de beauté. Une fois terminé, Ambrae posa ses lèvres contre celles d’Anton, à nouveau. Le moment était mal choisit pour dire un mot, pourtant toutes sortes de choses venait brouiller els esprits de la brésilienne.

Elle avait envie d’une famille soudé, d’une fin heureuse, d’un futur. Elle voulait se bâtir une famille. Commencer par tomber amoureuse – chose faite, se marier, avoir des enfants, avoir une maison, un job, être comme les deux doigts de la main avec Shabbela. Elle voulait se bâtit une vie définitive. C’était sur un coup de tête certes, mais elle le voulait. Et elle le voulait avec Anton. Étrange ? Surement. Par contre, c’était son désir.

L’ambiance se réchauffait de plus en plus dans la voiture. Peut-être qu’ils auraient dût attendre un peu avant de vouloir passer à L’acte. Peut-être auraient-ils dût se rendre chez la jeune femme. La voiture n’était pas nécessairement le premier endroit que le pense pour la première fois avec quelqu’un de si géniale. En fait, lorsque l’ont aime vraiment la personne sous nos yeux, on veut tous de bien pour celle-ci. On veut que tout soit parfait, jusqu’aux minimes détails. Peut-être qu’Anton aurait préférée le confort d’un lit douillet. Maintenant, il était trop tard pour reculer. De quoi auraient-ils l’aire à se rendre en fou jusqu’à la demeure de la brésilienne ? Non, l’ambiance était assez magique pour faire oublier le confort du lit. De plus, Anton la transformait tellement qu’elle se souciait peu du décor. Ce qui était surprenant de sa part était la pression qu’il exerçait sur son corps. Différent des autres garçons, il n’appuyait pas son corps de toutes ses forces sur la jeune femme. Il le déposait plutôt légèrement, préférant ne faire que frôler leurs peaux l’une contre l’autre. Le tissu doux de son corps, celui qu’effleurait sa poitrine lorsqu’ils s’embrassaient, la rendait tout simplement folle.

C’est à ce moment qu’elle se retrouva complètement nue devant le jeune homme. Elle était de nature timide face à son corps, mais Anton lui faisait oublier ses complexes. Il admirait son corps avec les yeux d’un homme remplis de bonnes attentions. Il dévorait son corps tendrement, sans plus être agressif. Il avait toutes les qualités que l’ont espère venant d’un homme. Lorsqu’il retira la culotte de dentelle noire de la jeune femme, ses lèvres dévièrent sur ses jambes adorablement bronzées. Ambrae de n’avait pas vraiment pourquoi, mais elle envie de bien plus qu’un baiser près de son intimider. Justement, Anton avança sa bouche vers son jardin secret, le caressant de sa langue. Il vient titiller chaque partie fragile, chaque recoin avant de s’aventurer plus haut. Sa poitrine dénuder s’offrait au jeune homme. Elle lui appartiendrait pour le reste de sa vie, s’il le voulait. Les baisers sur son buste ne faisaient que monter le désir en la jeune femme. Les coups de langues d’Anton provoquèrent un changement de situation. C’est lorsqu’il termina d’embrasser les parcelles de perles d’Ambrae, qu’elle embrassa son torse en descendant. Elle n’oubliait aucun recoin, aucune parcelle de peau voulant profiter au maximum de la douceur infinie de son corps.

Sa bouche descendait à n’en plus finir. Elle arriva pratiquement au membre du jeune homme qui croulait sous l’excitation. Elle leva les yeux vers le haut, sourit au jeune homme et embrassa son intimité du bout des lèvres. Elle donna un léger coup de langue, puis la dirigea vers ses testicules qu’elle bécota délicatement. Elle savait au combien il ne fallait pas les stimuler un peu trop, sinon le plaisir s’éteindrait. Elle remonta ensuite à nouveau vers son membre qu’elle pris en otage à l’aide de sa bouche. Elle effectua quelques mouvements de vas et viens. Un fois que la respiration d’Anton ait atteint le maximum, elle lâcha prise et remonta vers sa bouche qu’elle embrassa doucement. Les mains d’Anton se posèrent sur ses hanches, elle sentit un fois de plus le courant électrique passer à travers son corps ce qui la fit frissonner un fois de plus. Elle se surprit même à échapper un léger gémissement à ce contacte, ainsi que le trémoussement de ses hanches. Leurs souffle s’entremêlait maintenant, le moment de la fusion approchait et un sentiment d’hâtive parcourait l’esprit de la jeune femme, rêvassant sous l’homme qui pourait bien être celui de sa vie.

L’impulsion devenait si simple et facile à attendre lorsque la vague de plaisir enivrait le corps et le cœur d’un être humain. Jamais Ambrae n’aurait crue tomber sous l’emprise douce et agréable d’Anton. Le manège ne faisait que débuter lorsqu’Ambrae pris le dessus sur le jeune homme. Elle aimait agricher son partenaire, le faire languir, lui donner du plaisir, lui en faire demander plus et encore. Elle aimait le voir perdre la être, fermer les yeux sous la pressons coulant dans son esprit. Elle adorait voir ses poings se fermer sous le plaisir, amis surtout elle adorait le voir luter contre l’orgasme qui ne tardait plus à venir. Il est inutile de le cacher, Ambrae l’avait tout à fait remarqué. Ambrae avait toujours été se genre de fille, préférant butiner avant de tout terminer par une pénétration. Dans cet acte symbolique, la jeune femme aimait voir sa tête faire 3 tours avant de s’abandonner dans les bras de son chéri. N’avez-vous ajmais ressentit le bon gout de lèvres fines sur votre peau juste avant de sentir l’être aimer entrer en vous. Voilà pourquoi les douces caresses de la jeune femme avaient pris fin. Doucement, Anton fit pivoter sa douce. Ils se retrouvèrent donc à leur position initiale. Il lui accorda un léger baiser distrait sur ses lèvres, mais préféra redescendre sur sa poitrine, passant par son point faible ; son ventre et alla se poser une fois de plus dans la partie la plus intime qu’elle avait sur son corps. Au simple premier contacte de sa bouche près de son intimité, Ambrae échappa un nouveau crie. Elle ferma les yeux, mordilla sa lèvre inférieure. Elle ne savait plus où mettre els mains, comme les coups de langues lui faisaient du bien. Elle les posa dans les cheveux du jeune homme, s’autorisant à les caresser doucement pour l’encourager. Anton resta un petit moment à l’embrasser, la stimuler, l’agricher à son tour. Ses lèvres quittèrent son point G se dirigeant à nouveau vers sa bouche. Puis, elle entendit sa voie. Sa voie un peu incertaine de la question qu’il allait lui poser. Ambrae approcha ses lèvres du creux de l’oreille d’Anton pour lui susurrer quelques mots. Elle commença pour lui mordilla son lobe d’oreille avant de s’aventurer en son creux, là où elle lui déposerait ses paroles.

AMBRAE ▬ Tous va bien de ce côté. Tu peux en profiter pleinement et avec une adorable sensation, je suis protégée.

Lui affirma-t-elle au creux de son oreille avant de ré-capturer ses lèvres et de lui accorder un clin d’œil. Leurs sexes étaient près l’un de l’autre, quelques centimètres, non quelques millimètres, les séparaient. C’est dans l’élan du baiser qu’Ambrae attira son corps encore plus près du siens, sans pour autant le faire entrer en elle. Elle voulait faire durer encore le plaisir un peu, même si elle savait bien que se serrais impossible. Elle sentait la légère bosse qui était former contre sa peau, cherchant la porte d’entrer.

Le souffle coupé, Ambrae n’attendait qu’un renversement de situation pour enfin profiter pleinement d’Anton. Un renversement des plus banales, certes, mais quelque chose qui provoqueraient le déclique. Quelque chose qui les insisteraient à passer au reste. Pourquoi attendre le bon moment ? Parce que justement lorsque l’ont passe à l’acte véritable, il faut tout simplement attendre le bon moment. On ne pénètre pas simplement pour pénétrer en l’autre, il faut avoir le consentement de la personne. Savoir son désir. Savoir c’est envies. La bosse alimentant le sexe d’Anton s’était formé il y a bien longtemps. Elle était maintenant appuyer contre le ventre de la jeune femme, qui développait le désir d’Anton. Ses mains étaient adorablement baladeuses. Pas comme celles de hommes impatients qui ne voulait que toucher ses atouts, les mordre et s’en débarrasser ensuite. Anton caressait son corps tout en l’embrassant, le moment était venu pour passer à l’étape supérieure.

Le jour de ses 16 ans, Ambrae étaient sorti en boîte. Lorsqu’elle était arrivée chez les Wellingthon, elle avait eu en revirement de personnalité. La douce femme bien élevée s’était transformer en petite rebelle. C’est sans doute l’attitude de sa sœur jumelle en vers elle qui l’avait transformé ainsi. Elle avait commencé à trainer avec des gens un peu trop dangereux pour elle. Ils lui avaient déniché de fausses cartes et l’entrainaient partout ou une adolescente ne devait pas se pointer. Le soir de son anniversaire, elle avait combiné drogue et alcool ce qui lui avait fait tourner la tête. Un homme en avait profité pour subtiliser la jeune femme et l’entrainer dans la ruelle, avec lui. Il avait retiré tous ses vêtements et abuser du corps d’un innocente naïve. Depuis ce jour, Ambrae n’avait jamais fait l’amour sans y penser. Elle n’avait jamais eu une relation sexuelle sans penser à l’homme qui aurait pu tuer le reste de confiance en soi qu’elle trainait. Elle avait toujours eu un sentiment de haine en commentant cet acte. C’est bien aujourd’hui que tout changea. La sensation qu’elle avait avec Anton était différente des autres. Pour la première fois dans sa vie, elle avait un plaisir à avoir une telle relation. Anton lui donnait des ailes et la forçait à apprécier le moment. Bien sûre, la jeune femme avait changé depuis son viole. Plus jamais elle avait touché à une substance illicite, elle n’avait plus remis les pieds dans un bar ni un club avant sa majorité et avait cessé l’alcool jusqu’à ce qu’elle soit sûre et certaine d’être capable de gérer la situation. Une chance pour elle, sinon elle ne profiterait pas de ce moment avec un homme qu’elle… AIMAIT !? Pouvait-elle affirmer aimer Anton ? La réponse se résume à un mot rimant avec nid… oui ! Elle en était sûre.

AMBRAE – Ne te retiens plus chéri, laisse toi aller. Je suis prête !

La phrase d’Anton allumer chez la brésilienne un sentiment plus grand que les autres. Il avait bel et bien envie d’elle et c’était ce qui l’encouragea à se détendre lorsqu’il entra en elle. Son membre glissa délicatement dans son intimité. Puis, les mouvements de vas et viens commencèrent. Lentement pour commencer, puis avec plus de rythme. Leur souffle s’entremêlait toujours, leurs lèvres se rencontraient de temps à autre, les yeux de la femme étaient fermés et ses mains venait se coller contre le dos du jeune homme. Elle lui caressa doucement le dos, descendant jusqu’à ses fesses pour l’encourager à pousser des mouvements plus intenses. Les coups de bassin et de hanches évoluaient et se déchaînèrent soudainement. Les mouvements devenaient plus courts, pour en procurer un peu plus. Résultat ; plaisir assurer. Les mouvements grandissant toujours, jusqu’à ce qu’Ambrae se mette à crier de plaisir. Les bruits sortant de ses cordes vocales ne pouvaient qu’encourager le jeune homme. Soudainement, dans un élan de faiblesse, ce fut Ambrae qui prit les reines. Elle sentit qu’il allait faiblir, que le travail se terminait, mais la brésilienne en voulait encore plus. Ce fut à son tour de donner le rythme des coups de bassin, Anton la suivit de très près. Puis, elle le sentit forcer, extraire le liquide en elle, puis prendre le repos. Le travail était terminé. Anton effectua quelques coup de plus, puis se retira. La jeune femme lui sourit à pleine dents et vient embrasser ses lèvres afin de lui prouver son amour. Elle le regarda longuement, voulant lui dire ‘’ je t’aime ‘’, avant de poser ses lèvres sur son torse.