Anton avait le dont de la rendre plus allaise que les autres garçons. Elle avait omit de mentionné l’histoire de son viole, ce qui lui enlever une certaine confiance en elle et en les autres se trouvant dans son entourage. Bine sûre, orgueilleuse comme elle l’est, Ambrae ne le démontrait pas. De toute façon, elle dégageait une autre sorte de confiance en elle. La confiance en sa promesse, en son charme et en ses valeurs. Anton lui annonça donc qu’il ne voulait pas retourner le couteau dans la plaie, ce qui fit plaisir à la brunette. Le fait qu’un homme comprenne les sentiments d’une femme, sans qu’elle ait à les exprimer, était tout a fait craquant. Il parait, que ceci arrive lorsque l’ont se trouve en face d’une personne qui changeras notre vie. Puis, il agrémenta sa réponse d’un adorable clin d’œil. Ce qui eu le don de la faire rougir un peu plus.

AMBRAE ▬ Venant de toi, le fait d’en parler ne me fais rien. Ça me libère même, si je peux me permettre d’employer ce terme. ( Elle lui sourit, affectueusement ) Oui, J’A-D-O-R-E les fêtes !

Sous ses paroles, elle se colla encore plus contre le jeune homme, voulant aspirer toute sa chaleur. Capturer ses pensés et qu’ils ne doivent jamais se quitter. Les rapprochements avaient été rapides, mais spontané et sans obligation. Elle se sentait simplement bien contre lui. Anton la serra un peu plus contre ses côtes, puis la demoiselle en profita pour appuyer sa tête contre l’épaule du jeune homme. Puis, il enchaîna en lui proposant de passer la journée avec lui. Ceci semblait vraiment à une invitation officielle. Ambrae s’arrêta de marcher, se plaça devant lui. Elle sentait son cœur battre la chamaille dans sa cage thoracique. Elle, qui adorait danser, pourrait suivre le tempo de son battement frénétique si elle le désirait. Elle regarda ses mains, si parfait. Rêvant d’y toucher. Du bout des doigts, elle frôla l’extrémité de ceux d’Anton. En souriant, elle lui proposa ;

AMBRAE ▬ Vraiment ? Alors… tu veux peut-être aller te promener en ville pour parler un peu plus puis… aller manger un petit quelque chose et finir la soirée dans un club ou… chez moi devant un film ?

Le garçon se trouvant devant elle, la mis encore plus allaise lorsqu’il lui dit qu’elle pouvait se confier à lui. Elle plongea son regard dans les yeux océans du jeune homme et sourit. Devait-elle parler de son horrible souvenir de jeunesse. Elle se résigna. Il devait connaître la vérité. Mais pas maintenant, c’était trop tôt. Elle allait lui en parler, certainement, mais pas tout de suite. Comme elle allait lui parler de sa cousine Herendieria et de Keven… et de Joshua.. Enfin de toutes les personnes qui constituaient son entourage. Elle n’avait rien à cacher, mis à part le secret de sa soirée d’anniversaire. Le jeune homme lui annonça que le planning était parfait. Ambrae lui sourit. Le simple fait de les imaginer coller l’un à l’autre devant un film ou bien à danser corps contre corps, respirant intensément, leurs visages près l’un de l’autre.

AMBRAE ▬ Oh non non, t’inquiètes. Je ne t’imposerais jamais un film à l’eau de rose et en plus j’ai rien contre l’idée d’écouter un film d’horreur. Si seulement… je peux me cacher et me coller contre toi. ( Elle marqua une pause ) Et puis.. Qui sais. Je m’ouvrirais peut-être à toi.

Anton se replaça côte à la douce brésilienne, lui attrapant la main. Elle sourit en tournant son visage vers lui. Comment avait-il deviner qu’elle désirait ceci depuis… 5 bonnes minutes ? Décidément, Anton était parfait et lisait en elle comme dans un livre ouvert.

AMBRAE ▬ Tu lis dans mes pensés ? ( dit-elle en souriant jusqu’à ses oreilles ) Comment as-tu deviner que… que je désirais te tenir la main ?

Son cœur accéléra un peu plus en voyant son sourire se dessiner sur son visage. Ils allèrent se rhabiller puis quittèrent la plage. Avant de passer en ville, ils allèrent déposer la planche du jeune homme chez lui. Puis, ils se dirigèrent vers les rues bondés de San Francisco. Ambrae lui sourit, lui tenant la main depuis qu’ils étaient à la plage.

AMBRAE ▬ J’ai fait une décision ! Comme tu m’as acheté une glace tout à l’heure, j’ai le droit…. De t’acheter un petit quelque chose. Tout ce que tu veux !

Plus le temps passait et plus Ambrae se sentait en pleine confiance et simplement elle dans els bras d’Anton. Elle n’avait pas besoin de l’impressionné, tout était naturel. Le sourire aux lèvres, ils partirent vers le logis du jeune homme pour le désencombrer de sa planche. Il n’allait certainement pas la traîner pendant toute la journée ! Elle avait l’impression que l’homme qui se trouvait à ses côtés la connaissait par cœur depuis toujours. Sans trop vouloir exagérer, elle caressa de son pouce le bout de celui d’Anton. Plus ils marchaient et plus les caresse étaient présente. Puis, elle lui proposa de lui acheter un cadeau, comme il lui avait payé une bonne glace.

Le temps s’était un peu rafraîchit par rapport à ce matin, mais il faisait tout de même une chaleur intense. Étais-ce le fait d’être avec Anton ou il faisait vraiment… chaud ?

Anton pointa au loin, le photomaton en lui annonçant qu’il voulait prendre une photographie avec elle. Ambrae se mis à rire légèrement en s’approchant de lui, voulant le provoquer un peu.

AMBRAE ▬ Tu veux vraiment, simplement ça ?

Elle lui sourit, serra sa main plus fort et courut en direction de l’appareille. Elle adorait prendre des photos et en prendre avec Anton serait surement beaucoup plus plaisant que seule, dans sa maison. Elle prit place près de lui, entra les pièces de monnaie dans la fente o;u elle devait les enfouir et se colla un peu à Anton. La première photo, comme à la demande d’Anton fit une jolie grimace. Puis, rapidement elle changea de position et colla sa joue contre celle du jeune homme. Elle sourit jusqu’aux oreilles, démontrant son adorable dentition blanche. Sur la troisième, elle fit un signe de peace, toujours blottit contre Anton. Puis, pour la dernière, elle colla ses lèvres sur la joue du jeune homme, fermant les yeux. Ils sortirent de la cabine et elle lui sourit.

AMBRAE ▬ J’espère qu’elles te plaisent

Le regard d’Anton fit frissonner Ambrae qui ne put s’empêcher d’esquisser un sourire ravie à ses lèvres. Lorsqu’elle lui avait dit de choisir ce qu’elle lui achèterait en digne de remerciement, Anton lui avait décidé de prendre des photos dans un photomaton, ce qui la fit sourire. Elle regarda le sourie du jeune homme, aussi, apparaître sur ses lèvres. Elle voulait le faire languir et le mépriser un peu. Elle souhaitait qu’il la désir et qu’il souhaite passer la soirée, et peut-être même plus, avec elle. Elle avait même sa petite idée derrière la tête. Les photos étaient magnifique, surtout car un homme séduisant lui faisait côte sur toutes les prises. Puis, Anton lui confirma ses pensées. Les prises étaient magnifique. Il lui proposa d’en prendre une en souvenir. Mal allaise, face au cadeau qu’elle voulait lui donner, elle lui sourit.

AMBRAE ▬ Eummh… Ouais. Celle que tu aimes le moins ! Je veux que tu garde tes coups de cœur.

Anton lui tendit la photo, qu’elle rangea dans son portefeuille bien en évidence. Son portefeuille était remplis de carte de crédits, de carte à rabais et de cartes VIP pour toute sorte de boutiques. Elle sourit en les voyants, car au même moment, Anton lui proposa de faire un peu de shopping avant d’aller manger. Elle leva les yeux vers lui. * Et en plus, il a deviné ce que j’apprécie faire ! *


La jeune femme se replaça côte à Anton, lui serrant la main fermement, mais à la fois délicatement. Elle lui sourit. Les deux jeunes gens marchèrent un peu vers les boutiques. Après 5 minutes de marche, ils débauchèrent devant un magasin totalement inconnu aux yeux d’Ambrae, qui connaissait pratiquement toute les boutiques existantes sur la terre. Ils y entrèrent, un peu intriguer par les vêtements s’y trouvant en vitrine. La recherche fut courte, heureusement pour Anton. Elle remarqua et dénicha pratiquement tout ce qu’il y avait de bien dans la boutique du premier coup d’œil. Avant d’entrer dans la cabine, elle adressa un petit clin d’œil charmeur au jeune homme. Puis, elle disparut derrière le rideau blanc. Elle en ressorti en moins de deux, vêtu d’une robe mauve avec un adorable décolté. La robe, qui épousait sa silhouette mince et parfaite, coupait juste au dessus de ses genoux. Elle pivota sur elle-même quelques secondes avant d’adresser un nouveau sourire à Anton.

AMBRAE ▬ Alors, ton verdict ?

Ambrae eu un pincement aux cœurs en voyant la photo qu’il avait choisit de lui offrir. Elle aurait pensé qu’il l’aurait gardé, c’était un peu pour ça qu’elle l’avait prise. Elle sourit tout de même au jeune homme se trouvant devant elle.

AMBRAE ▬ Alors se serras la garde partager. Je veux que toi aussi, tu l’ai un peu. ( Elle rangea la photo dans son portefeuille )

Depuis sa tendre enfance, Ambrae adorait les vêtements. Voilà surement pourquoi la jeune fille était toujours habiller suivant la dernière mode. Les vagues, dans ce domaine, passait et revenait, pourtant Ambrae n’avait jamais l’aire d’y échapper. Bien sûre, elle avait son propre style, mais une touche de fashion ne faisait pas de mal à personne. Chercher des vêtements sexy qui feraient tourner les têtes lui plaisait rapidement. Voilà pourquoi, la petite robe mauve ultra sexy qu’elle avait déniché, lui avait sourire.

Elle entra dans la cabine puis en ressorti rapidement. La hâte de voir comment Anton réagirait. Sa réaction, lui coupa le souffle. Elle fut totalement aux anges. Elle le regarda prendre une paire de chaussure noir luisante à talon totalement sublime et la lui enfiler doucement. Il l’avait si bien choisit. Le talon était assez haut, ce qui grandissait sa taille un peu – dieu soit louer – et elle abordait de petits motifs graver. Anton lui demanda su elle voulait essayer d’autre vêtements, mais à voir sa réaction, elle avait trouvé la tenu sublime. Elle s’approcha de lui, leurs souffles s’entremêlaient déjà. Elle sourit au jeune homme. De ou elle se trouvait, elle pouvait admirer encore mieux son petit grain de beauté.

AMBRAE ▬ En fait non ça va. Je crois avoir trouvé la tenue parfaite. Aller, ton va te trouver un petit quelque chose ?

Elle se recula un peu, simplement pour lui donner l’envie de se rapprocher encore d’elle. Elle ouvrit le rideau blanc et entra dans la cabine. Elle referma le rideau mince et, sans le vouloir, il était mal replacer. Une fente apparaissait, minuscule certes, mais on pouvait voir l’intérieur de la cabine. Elle retira doucement sa robe, regarda son corps simplement vêtu de ses sous-vêtements assortis. Elle enfila rapidement son mini short et sa camisole blanche, puis sortit de la cabine tong, robe et chaussure en main.