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road trip, part one. ~ pv.

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MessageSujet: road trip, part one. ~ pv. road trip, part one. ~ pv. EmptyJeu 26 Mar - 19:53

dna louge, sf, cal, usa. ft maxim caldwell & talya carter-lamborghini. ~ Assise sur une des banquettes d’un des espaces privés, les écouteurs logés dans ses oreilles, l’italienne se coupe volontairement du monde qu’il l’entoure, la plongeant dans le sien qu’elle trouve plus réconfortant. Mais surtout, une façon de dire qu’elle n’est pas disposée à parler à qui que ce soit et surtout à cet individu qui la guette depuis qu’elle a fait son entrée dans le club. Si la musique du club se veut entraînante, la sienne joue plutôt sur un autre registre. Plus posée, plus douce. Penchée en avant, les avant-bras sur les cuisses, elle pose un regard perdu sur la boisson qu’elle vient de commander au barman.  Elle est fatiguée, presque blasée de cette journée et elle n’a qu’une envie c’est d’aller se coucher. Elle affiche un air pensif. Est-ce que les choses sont censées se passer telles qu’elles ? Etait-elle vraiment obligée d’accepter ce contrat ? Est-ce vrai que si elle le refuse, il en est fini pour elle ? Elle pince les lèvres et jure intérieurement. Les deux mains posées non loin de sa boisson, elle s’affaisse légèrement tandis qu’elle tourne la tête vers l’entrée, tentant d’apercevoir la personne qu’elle attend. Mais il n’est pas encore arrivé, elle prie pour qu’il apparaisse rapidement. Soupirant légèrement tandis qu’elle se redresse, elle attrape son cosmopolitain et le vide presque d’un trait. Elle sent le liquide doux et chaud descendre en elle. Un remontant qui fait toujours son effet sur elle. Un sourire satisfait se plaque sur ses lèvres. Curieuse de l’heure qu’il est, elle sort son Iphone de son sac. C’est sur le fond d’écran d’une photo de Kennedy et elle qu’elle s’aperçoit de l’heure. 22h54. Trois messages reçus. Se penchant légèrement en arrière, elle déverrouille son écran. Fronçant légèrement les sourcils avant de se radoucir, elle répond aussi vite qu’elle le peut. Voyez-vous, Kennedy n’attend pas. Et puis, il est surtout question de la dernière acquisition de la belle Carter-Lamborghini. Une Lamborghini Aventador qu’elle a acquis il y a peu de temps. Si d’ordinaire, les jeunes femmes s’intéressent plus aux chaussures qu’aux voitures, il n’en est pas le cas pour Talya, amoureuse des sensations fortes et de l’adrénaline, c’est sur un simple coup de tête qu’elle s’est offert cette voiture. Petit bijou qui manquait à sa vie. Plongée dans sa conversation qui se penche maintenant sur le problème de ce fameux contrat, la jolie blonde ne voit pas arriver cet homme. C’est un regard discret sur le côté qu’elle se rend compte qu’il y a quelqu’un à côté d’elle et qui ne ressemble en rien à celui qu’elle attend. Elle le reconnait, c’est cet homme qui ne cesse de la regarder depuis qu’elle est arrivée au club. Sentant l’énervement monté en elle, elle essaye de se plonger encore plus dans sa conversation, essayant de lui faire passer un certain message tel que : dégage. Elle n’a pas envie de parler, alors elle espère que le geste sera plus fort que la parole. Malheureusement, il se fait de plus en plus insistant. Faisant sa blonde à fond, elle ne quitte pas son écran des yeux et ose même envoyer des messages sur la situation à Kennedy. Heure, endroit, physique. Dernières traces, au cas où. Dans ce cas-là, Kennedy sera le dernier témoin sur la disparition de Talya. Elle serait presque amusée de sa pensée si ce n’est le fait qu’elle le sent vraiment trop près d’elle ce qui ne fait qu’augmenter son malaise. Il a même l’audace de lui retirer l’écouteur de son oreille pour la faire réagir à sa présence. Elle tente de réprimer le sursaut qui monte en elle. C’est avec  une profonde inspiration et un grand self control pour ne pas hurler qu’elle se tourne lentement vers lui, posant un regard froid sur lui. « .cette table est réservée, merci de libérer la place. » impassible, c’est ce qu’elle essaye de transmettre, se cachant derrière une façade qui couvre sa nervosité. Elle sait très bien qu’il ne l’écoutera pas, mais l’espoir est là. Appuyant ses dires, la jeune femme récupère son écouteur et le remet à sa place, démontrant bien son désintérêt totale pour sa personne. Ce qui malheureusement a le don de l'énervé. Cette fois ci, il lui arrache complètement les écouteurs de ses oreilles, Talya sursaute et le regarde méchamment. Une de ses mains attrappe discrètement son sac et le plaque près d'elle. Il lui lance un regard presque moqueur, le sourire amusé sur les lèvres avant de se penché vers elle. La faisant frissonner de la tête au pied. « .mais pour l’instant il n’y a personne, et je me dois de ne pas laisser une belle demoiselle comme vous toute seule. » Sa voix serait presque semblable aux voix utilisées dans les films d’horreur. Elle avale difficilement sa salive et réprime la forte envie de lui foutre ne baffe et d’appeler la sécurité. L’italienne se décale alors, espérant mettre un peu d’espace entre eux. Malheureusement il est rapide, et leur petit « jeu » de je te fuis finis sur le bord de la banquette. C’est une Talya, coincée au bord du gouffre qui répond. « .je ne suis pas intéressée, j’attends déjà quelqu’un. » sa voix est légèrement tremblante. Il se recule de quelques centimètres avant d’exploser de rire, ce qui fait froncer les sourcils de Talya. S’il y a bien une chose qu’elle ne supporte pas, c’est qu’on se foute de sa gueule. « .ah, et c’est pour ça que tu es là depuis une heure, toute seule ? » il la laisse sans voix. C’est en se redressant complètement, qu’elle fait un mouvement de la tête qui fait craquer son cou. Elle claque la langue contre son palais avant de regarder la pièce toute entière, elle est sur le point d’exploser, se mordant la lèvre pour se contenir, elle sent une main caressait sa cuisse. Elle frissonne. « .oh, tu fais quoi là ? dégage ! » qu’elle crache en enlevant l’intruse avant de se lever, furieuse. Il aime cette situation, elle le voit bien, ce serait presque marqué en gros sur son visage. « .je t’ai dit de dégager. » elle le regarde méchamment. Il soupire, impatient. Il se lève et elle sent petite, il fait au moins une bonne tête de plus qu’elle. « .d’habitude j’aime ça mais là tu commences à me soûler. » Talya laisse échapper un rire jaune, ce qu’il n’apprécie pas au vu de la force qu’il met dans ses poignets lorsqu’il lui attrape les bras. « .lâche moi. » il la retourne et la plaque contre le mur. « .sinon quoi ? hein ? tu vas faire quoi ? » plus les minutes passent et plus la peur commence à monter en elle. Elle tente de se débattre mais rien à faire, il est plus beaucoup plus fort qu’elle. Elle sert les dents. « .lâche moi. » qu’elle demande, s’empêchant de pleurer. Elle prie pour qu’il arrive. Et c’est dans un dernier effort pour se débarrasser de lui qu’elle entend. « .je crois qu’elle t’a demandé de la lâcher. »

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MessageSujet: Re: road trip, part one. ~ pv. road trip, part one. ~ pv. EmptyMer 1 Avr - 17:43


talya & maxim ≈ Les vents qui prennent parfois les choses que nous aimons, sont les mêmes qui nous amènent quelque chose que nous apprenons à aimer.

Pas le moral. Pas la motivation. Pas grand chose. Un sentiment confirmé. Une vérité difficile à s'avouer. Maxim n'était pas dans sa plus grande forme. Il n'était pas dans son meilleur état d'esprit. Depuis son retour de Monaco, il arpentait les ruelles de la ville. Il cherchait en vain une solution à tous ses problèmes, une réponse à toutes ses questions. L'être humain dans toute sa complexité. Un homme simplement égaré. Le jeune Caldwell n'avait jamais souhaité toutes ces complications. Il aurait tout fait pour que cela fonctionne. C'était d'ailleurs pour ça qu'il était venu en Amérique. Il était là pour sa mère et pour poursuivre ses études. Comment faisait-il pour autant s'éloigner de cette destinée qu'il avait déjà pris le soin de tracer ? Maxim n'en avait pas la moindre idée. Il n'arrivait plus à se poser, ni même à se retrouver. Passant le pas de la porte de ce bar, il s'avançait. Maxim détestait cet endroit. Et pourtant, il y était. Il s'y habituait. Faisant signe au serveur de lui servir son verre, il s'accoudait à ce comptoir. Il se faisait une place parmi les habitués, parmi les jeunes étudiants présents et déjà décidés à se laisser vivre, jusqu'à en finir ivre. Une idée comme il y en avait des millions. Avalant son verre d'une traire, il en recommandait aussi vite un second. Puis, un autre. Et encore, un quatrième. Tout cela, tout cet alcool contaminait alors chaque parcelle de son être, chaque émotion de son cœur. Du moins, avant de constater la présence de Talya à quelques mètres de lui et surtout menacée par ce grand gars aux muscles disproportionnés. Maxim ne réfléchissait pas longtemps. Il n'aimait pas les conflits. On pouvait même dire qu'il les évitait autant qu'il le pouvait. Sauf, ce soir. Sauf, pour elle. D'un pas donc très décidé et déterminé, il les rejoignait. « Je crois qu’elle t’a demandé de la lâcher. » affirmait-il, en arrivant à leurs côtés. En effet, il était hors de question de devenir un spectateur de cette force qui était utilisée pour intimider, pour forcer une femme à vous regarder ou à vous apprécier. Maxim n'était pas partisan de ces façons de faire et encore moins lorsqu'on touchait à quelqu'un qui comptait. Talya n'était pas qu'une simple fille qu'il fréquentait de temps en temps, pour tuer la solitude ou donner du sens à ses silences. Non, elle avait été sa révélation. Elle avait été son réconfort et cette petite voix qui pouvait encore le ramener à lui. Elle était peut-être même plus qu'une amie. Et même si cette dernière pouvait également avoir son lot de complications, elle restait pas moins quelqu'un à qui il s'était attaché. Sans réellement se demander ce qu'il pouvait ressentir aussi pour Talya, il agissait. Il se tenait là où un ami devait se tenir.. On s'en foutait. Il était là. « Elle est avec moi. Va t'en chercher une autre. » Sur ces quelques notes amères et le regard de cet inconnu, Maxim retroussait chemin. Il effectuait quelques pas, lui faisant presque croire qu'il s'en allait. Seulement, c'était mal connaître l'homme qui sommeillait dans ce corps. Une vraie boule de nerfs. Attrapant une bouteille de verre, il en brisait le bout en la fracassant contre l'une de ses tables. Il ne rigolait plus. Retournant d'un geste précis et efficace vers monsieur muscle, Maxim se positionnait devant. Qu'allait-il dire avec ce bout de verre planté sous son menton ? Oserait-il encore violenter une autre femme, ce soir ? En tout cas, la chose dont il était certain, c'est qu'il n'approcherait plus Talya. Enfonçant le morceau de verre sous sa gorge, le jeune homme ne quittait pas ses prunelles. Il le regardait. Il ne lui faisait pas peur. La force ne gagnait que très rarement face à l'audace, face à cette intelligence dont faisait preuve le jeune Caldwell. « Excuse toi ! » le commandait-il, faisant pression, faisant pénétrer une infime partie de cette bouteille brisée dans la chair de cet idiot. « Crève. Je vais te faire la peau ! » C'était donc de cette manière que les choses allaient évoluer. Eh bien, si c'était ce qu'il désirait. Maxim ne pensait plus à rien lorsqu'il se retrouvait dans cette position. Il faisait abstraction de tout et même si Talya le suppliait d'arrêter, il n'arriverait pas à l'entendre. Trop pris par cette évidence et cette colère qui sommeillaient en lui. Interdiction de partir sans qu'il s'excuse, sans qu'il l'entende de vive voix. Enfonçant donc davantage sa bouteille brisée dans la chair de cet inconnu, Maxim se mit à hurler. « Je t'ai dit de t'excuser et plus fort que ça ! Tout le monde veut t'entendre ! Tu m'as compris, cette fois. » hurlait-il sous le regard de toutes les personnes présentes dans ce bar. D'un seul coup, un silence pesant s'installait et tous les regards, tous sans exception, se posaient sur les deux hommes. Personne n'osait bouger. Personne n'osait intervenir. Maxim était à côté de la carotide, juste à quelques centimètres de cette veine principale. En quelques secondes à peine, il pouvait lui ôter la vie. Une chose qui ne le dérangeait pas et bien au contraire, qui lui donnait du pouvoir. Personne ne pouvait traiter Talya comme il l'avait fait. Personne ne pouvait la toucher comme il avait oser le faire. « Je.. Je m'excuse. » finissait-il par capituler. Ne lâchant pas son regard, Maxim comprenait qu'il le payerait. Que se soit dans deux jours, trois semaines ou deux ans, il savait que cet homme ne l'oublierait jamais. Il en profitait donc pour y songer. Il était temps pour lui aussi d'y aller. Posant son regard sur Talya, il s'en détachait. Prenant le soin de laisser un peu de sang couler, assez pour le tracasser et lui donner du temps de s'éloigner.. Maxim attrapait la main de la jeune femme. Sans attendre plus longtemps, il l'invitait à le suivre. Dans chacun de ses pas, Maxim ne doutait pas. Il ne regrettait pas. Cette facette cruelle de sa personnalité, il avait fini par l'accepter et cela même s'il ne pouvait pas toujours la contrôler. Une fois à l'extérieur, il retrouvait sa voiture. A une dizaine de mètres, il l'avait garée depuis plusieurs soirs déjà. Montant à bord après avoir invité à nouveau Talya à s'y installer, il allumait ce moteur. Il le faisait rugir et ressentait soudainement ces envies d'évasion. Faisant pivoter son visage, il la regardait. Elle était tellement belle, tellement précieuse, tellement particulière. « Tu as des projets ? Parce que je peux te ramener ou je peux t'inviter à cette longue virée.. Dis moi. » l'interrogeait-il d'un seul coup si délicatement, si doucement. Laissant à nouveau de la place pour le Maxim doux et réfléchi qu'il était au quotidien. Il lui souriait presque. En secret, il en rigolait. Il n'avait plus peur de rien. Elle semblait aller bien. Il ne pouvait que l'être aussi en retour. A ses côtés, le jeune homme respirait. Il revivait et il était guidé par cette folle envie de fuir, de s'éloigner de leurs vies.. Les routes étaient longues. Le réservoir était plein. Et ses désirs allaient guider leurs destins. Il n'attendait qu'un mot, une réponse de sa part et elle signait pour cette longue balade. Loin de tout. Ensemble et c'était tout. Pour le meilleur et pour le pire. Il continuerait de la protéger. Il continuerait de s'y attacher, sans réellement lui avouer. Juste parce qu'il en avait besoin. Il avait besoin d'elle. Il voulait que se soit elle. Celle qui le suivrait dans cette folie, au bout de cette nuit.
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June D. J. Martin
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June D. J. Martin
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