the great escape
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Our private trip (PV)

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Augusto P. Da Volpedo
there's no place like berkeley
Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Our private trip (PV) Our private trip (PV) EmptyDim 11 Avr - 11:54

Our private trip (PV) 765177annalynn && Our private trip (PV) 091212041844539895042111
SEEXTINE && AUGUSTO
Il y a des chagrins d’amour que le temps n’efface pas,
Et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites ...


    Aujourd'hui, Augusto Pelizza Da Volpedo avait le sourire. En effet il partait en vacances à Las Vegas. Enfin quand on dit vacances, tout est relatif, il faut interpréter. Les étudiants faisant partis du comité de l'université avaient concocté un voyage nommé Spring Break pour tous les français ainsi que les correspondants américains respectifs de chacun d'entre eux. Ce n'était en aucun cas une obligation de les accompagner mais on avait bien fait comprendre aux Berkeléens que ce serait vraiment bien qu'ils participent à cet évènement avec les français. Ne pensant qu'aux casinos, aux jolies filles et aux virées qu'il pourrait se faire, Augusto avait pratiquement sauté sur l'occasion. Et puis s'échapper pendant un certain temps de la tension familiale qui régnait entre son frère jumeau, Sandro et lui même ne pourrait qu'être bénéfique aux deux frères ennemis. Augusto pourrait profiter de la vie sans avoir à rendre des comptes à qui que ce soit. De plus, une autre personne avait fait pencher la balance pour qu'il parte : Seextine Nolaïne Crawford. Je sais tous ce que vous pensez : Tiens Augusto emmène sa trois millième conquête avec lui durant ce voyage. Eh bien même pas ! Cette fille était plus que spéciale pour l'italien. Ils se connaissaient depuis plusieurs années déjà et ils s'étaient retrouvés à Berkeley un peu par hasard. Oui parfois le hasard fait bien les choses. Ils entretenaient une vieille relation tous les deux qui oscillait entre amitié et plus si affinité, et il ne savait même plus comment tout ceci avait débuté. Quoi qu'il en soit, Augusto avait hâte de retrouver la blondinette et de passer le séjour avec. Ce serait un peu comme au bon vieux temps : Sauf qu'à présent ils ne sortaient plus ensemble. Oui, ce détail faisait toute la différence pour l'italien. Bref. Il prit sa grosse valise pleine à craquer - oui, Augusto peut être pire qu'une fille dès qu'il s'agit de faire son sac de voyage - qu'il mit par la suite par terre pour la faire rouler. Si jamais il devait la porter, il était un peu mal barré parce que sa valise semblait peser une bonne tonne. Après avoir jeté un dernier regard circulaire à sa chambre qui ressemblait plus à un appartement qu'à autre chose, Augusto partit en fermant la porte pour aller rejoindre sa correspondante dans sa confrérie des Omicrons. Il trouva Raphaëlle, prête et excitée comme une puce à l'idée de découvrir Las Vegas. Pour une fois, l'enthousiasme excessif de sa correspondante ne l'agaça pas car Augusto la partageait aussi. Enfin à une dose plus infine certes.

    Les deux jeunes gens quittèrent la confrérie des français et se rendirent sur le parking où un taxi les attendait. En effet, l'italien ne voulant pas conduire jusqu'à l'aéroport, il avait décidé que Raphie et lui prendraient un taxi. Comme ça, il n'avait pas à se soucier pour sa voiture et la brunette qui l'accompagnait semblait ravie de se faire conduire. Ah oui c'est vrai il avait oublié qu'elle s'émerveillait devant tout et n'importe quoi. Le conducteur peine quelque peu pour mettre leurs valises dans le coffre de sa voiture mais une fois cette chose terminée, ils purent enfin prendre la route. Le trajer se déroula tranquillement. Raphaëlle regardait presque tout le temps au travers de la vitre pour examiner chaque détail de San Francisco. Pendant ce temps, le jeune homme avait sorti son Ipod, laissant la française observer les rues de la ville. Il regrettait de ne pas avoir fait ce bout de chemin avec Seextine mais il devait d'abord s'assurer que sa correspondante arrivait à l'aéroport à l'heure. Commençant à connaître Raphaëlle et son sens de l'orientation, Augusto avait estimé plus prudent de l'accompagner. Si jamais il n'était pas arrivée à temps, il aurait peut-être dû rester lui aussi vu que normalement il était censé passer le plus de son temps avec elle. Ne voulant pas gâcher ce séjour, le jeune homme avait pris toutes ses précautions. Et puis, il rattraperait le temps perdu avec Seextine dans l'avion ou une fois sur place. L'italien s'installa plus confortablement dans son siège en écoutant l'une de ses chansons favorites : Use Somebody. Son esprit divagua et une fois de plus ses pensées tombèrent sur Seextine. Décidément même lorsqu'elle n'était pas à ses côtés, il pensait à elle. Ne sachant pas vraiment interpréter tout ceci, il avait mis ça sur le compte du fait qu'ils venaient de se retrouver il y a peu de temps. Et puis aussi sur le fait qu'il avait toujours énormément apprécié sa compagnie. Et puis à présent, ils étaient on peut dire ... amis ... Donc quoi de plus normal que de penser à son amie ?! Rien, bien sûr. Plongé dans des souvenirs plus ou moins lointains, ce fut Raphaëlle qui tira Augusto de sa rêverie et le secoua pour lui montrer qu'ils venaient d'arriver à destination. Le jeune homme paya le chauffeur de taxi en lui laissant un généreux pourboire puis ils se dirigèrent vers l'entrée. La française aperçut immédiatement toute une troupe d'autres français et c'est donc tout naturellement qu'elle demanda à son correspondant si ils pouvaient les rejoindre. Seextine ne paraissait pas être encore présente sur les lieux donc Augusto accepta avec plus ou moins de bonne grâce. Il ne connaissait pas de français : Pas de Manon, ni de Caramelle en vue. Bon tant pis, il n'avait plus qu'à prendre son mal en patience.
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MessageSujet: Re: Our private trip (PV) Our private trip (PV) EmptyDim 11 Avr - 17:19



Our private trip (PV) Jamie-jamie-dornan-1947595-100-100 Our private trip (PV) AnnaLynne-icons-annalynne-mccord-2210734-100-100
Il faut choisir d'affronter ses sentiments,
quand on en est sûr uniquement...

FEAT. AUGUSTO & SEEXTINE



    Le soleil, le printemps, des choses qu’avaient attendus Seextine tout l’hiver. En effet, elle ne se lassait pas des journées ensoleillées durant lesquelles elle pouvait enfin quitter ses jeans pour des vêtements plus courts et moulants, qui permettaient aux légères brises de vents de radoucir la température de sa peau. Et le printemps était enfin arrivé. Il n’y avait qu’à voir la vitesse à laquelle les villes fleurissaient, la jeune blonde avait put s’en rendre compte lors de son récent voyage à New York. En effet, la jeune maman avait décidé de se rendre à New York un peu avant les vacances, afin de ne pas rater le Spring Break. C’était bien entendu, le voyage à ne pas louper. Las Vegas, de l’alcool, des activités diverses pour tous les goûts et surtout l’occasion rêvée de se détendre et d’oublier le stress du quotidien, c’était parfait pour l’américaine qui ne rêvait que de cela depuis quelques temps. Peut être aussi parce qu’elle avait prévue d’y aller avec une certaine personne. En effet, l’excitation de Seextine n’était pas dût uniquement aux tenues affriolantes qu’elle enfournait dans sa valise, non, la jolie blonde pensait particulièrement à une certaine personne. Un grand brun, au torse musclé, et aux yeux expressifs et séduisants. Augusto P. Da Volpedo semblait être la personne à qui pensait Seextine en courant à travers la chambre pour ne rien oublier. Des petits shorts achetés la veille, des jupes plus courtes les unes que les autres, quelques paires de chaussures pour toutes les occasions, des produits de beauté, des ensemble de lingerie particulièrement colorées, des produits de beauté par centaine. Inutile de dire que la jeune femme peina énormément au moment de fermer cette satanée valise. Et pire, plus personne ne se trouvait encore dans la confrérie pour l’y aider. Elle était l’une des dernières, comme toujours Mademoiselle Crawford avait privilégiée une bonne nuit de sommeil à ses préparatifs, elle avait dans la tête qu’il était utile de dormir beaucoup pour avoir une peau parfaite et à en voir la perfection de ses traits, ainsi que du grain doux de sa peau, elle ne se trompait pas. Finalement, elle s’assit sur la valise et sauta quelques fois afin de pouvoir boucler cette dernière. Une chose semblait devenir à présent problématique, comment allait elle pouvoir bouger, toute seule cette valise énorme ? Elle ne prit pas la peine de se poser la question, son portable lui indiquait une heure bien trop avancée et elle ne prit que la peine de se coiffer et de maquiller légèrement ses grands yeux avant d’interpeller le chauffeur de taxi venu pour la prendre. Ce fut simplement avant un sourire malicieux et quelques battements de sourcil qu’elle l’invita à transporter ses bagages, avant de se hisser dans le véhicule en direction de l’aéroport.

    Et à partir de cet instant, elle ne pensa ni à Las Vegas, ni à l’alcool qui coulerait à flot ou encore aux élections de présidente de confrérie. Elle ne se demanda pas si elle avait oublier quelque chose ou si elle avait appelé sa petite fille de quatre ans la veille, non, la seule chose à laquelle pensait Seextine, assise dans cette voiture, était le beau brun qui hantait depuis maintenant quelques semaines son esprit. Il faut dire qu’elle avait eut énormément de plaisir à recroiser son visage après tant de temps sans nouvelles. Augusto était réapparut dans sa vie comme par enchantement et elle l’avait trouvé encore plus séduisants que dans ses souvenirs. Cependant, elle appréciait toujours autant sa compagnie, avec lui elle se sentait simplement comme toutes les autres filles de son âge, joli, et intéressant. Elle n’avait nullement besoin de plus ces derniers temps pour être heureuse, et Augusto semblait lui apporter cela, mais elle se surprenait parfois à penser au corps du jeune homme la serrant dans ses bras d’une façon qui ressemblait sûrement à un désir plus profond. Mais elle ne désirait en aucun cas gâcher ce qu’ils avaient commencés à construire, cette amitié qu’elle pensait être réellement sincère. Oui, elle n’aurait pas risqué de perdre le bienfait qu’il lui procurait pour quelques plaisirs charnels. Et il semblerait même que ce ne soit pas uniquement ce qu’elle désirait en fin de compte, mais elle n’aurait sut alors décrire ce dont elle avait envie, si ce n’est le retrouver rapidement, et pouvoir de nouveau l’entendre rire. Le paysage défila à grande vitesse tandis qu’elle se remémorerait de vieux souvenirs, le regard pensif et un sourire dont elle ne soupçonnait pas l’existence sur ses lèvres, mais finalement le véhicule s’immobilisa et Seextine usa de nouveau de son charme naturel pour demander au chauffeur s’il voulait bien emmener les bagages de la belle jusqu’à l’endroit de l’embarquement. Et comme à chaque fois qu’elle dévoilait ses longues jambes découvertes grâce à un mini short en jean, il ne résista pas à vouloir l’aider et mena les bagages jusqu’à l’embarquement. D’un sourire charmant elle le remercia avant de se mettre à la recherche d’Augusto. Son regard scruta dans tous les recoins de l’aéroport mais elle n’eut aucun mal cependant à reconnaître sa silhouette, bien que de dos. Son dos musclé s’offrait à son regard dévisageant. Et elle ne se fit pas prier pour se frayer un chemin jusqu’à lui, d’un pas gracieux qui lui était propre et qui avait cette tendance à captiver les hommes. Finalement, elle ralentit le pas et se fit plus discrète dans sa marche à seulement quelques centimètres de lui ainsi, elle se hissa sur la pointe des pieds et murmura quelques mots à son oreille, toujours derrière lui. « Je suis certaine que je t’ai manqué ! » Dit elle d’un ton particulièrement chaleureux tandis qu’elle prenait place face à lui. Ses traits étaient particulièrement beaux, comme s’ils avaient changés durant la nuit. Seextine se perdit dans la contemplation de son nez, de ses lèvres et de son regard accrocheur avant de finalement se rendre compte qu’elle le déshabillait simplement du regard. Une teinte rouge passa furtivement sur ses joues tandis qu’elle finit par se calmer intérieurement. « Près pour t’amuser ? » Demanda t-elle finalement.

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Augusto P. Da Volpedo
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: Our private trip (PV) Our private trip (PV) EmptyLun 12 Avr - 22:56



    Les minutes défilaient et toujours pas de Seextine en vue. Augusto commençait sérieusement à douter de la venue de la jeune femme. Avait-elle oublié leur séjour ? S'était-elle trouvée un compagnon plus amusant que lui ? A cette pensée, le visage déjà sérieux de l'italien ne rembrunit imperceptiblement. Il n'avait aucun droit sur elle et pourtant, il était clair qu'il se montrait bien - trop ? - protecteur envers la blondinette alors qu'ils n'étaient que seulement amis. Au début, Augusto avait mis ça sur le compte de l'affection amicale qu'il ressentait pour elle. Ne pas se poser des questions inutiles était une excellente technique pour ne pas avoir à chercher des réponses qui vous troublerez. Et c'est en effet, cette tactique - assez lâche, il faut bien le reconnaître - qu'il avait adopté sans l'ombre d'un doute. Cependant, aujourd'hui Augusto n'était plus certain que tout cette illusion utopique lui plaise toujours autant. Passer le plus clair de son temps à avoir une fille dans la tête comme c'était le cas du jeune homme n'était pas anodin. Le problème majeur était le fait que le jeune Pelizza Da Volpedo n'arrivait pas à trouver une interprétation plausible à tout ce mic mac qui lui brouillait le cerveau. Peut-être que ce voyage éclaicirait les zones d'ombre qui règnaient encore entre eux. Ou alors, cela ne ferait que les épaissir un peu plus encore. C'était quitte ou double, un peu comme on loto. Sauf qu'avec le loto, on perd quoi ? Quelques dollars. Là il s'agissait de Seextine et elle représentait bien plus qu'une liasse de billet pour Augusto. L'enjeu était donc plus important, il ne fallait pas qu'il joue à l'idiot avec elle. Parce que la perdre de vue et la perdre tout court dans sa vie serait un terrible échec pour elle et aussi un immense chagrin. Même si il n'était aucunement prêt à admettre cela. Admettre la tristesse qui le rongerait si jamais cette éventualité arrivait, reviendrait presque à dire que les poules ont des dents c'est à dire, une hypothèse quasi nulle. Mais ne soyons pas fataliste, Seextine a juste un peu de retard bien sûr, elle ne vient pas de poser un lapin à Augusto ... Pendant qu'il ruminait cette affirmation dans sa tête pour se persauder lui-même, les français qui l'entouraient ne semblaient pas avoir remarqué quoi que ce soit. Il paillaient comme des pies dans leur langue maternelle. Le jeune homme aurait pu aisèment prendre part à la conversation tant son français était excellent mais il n'était pas vraiment d'humeur badine. Tout ce qu'il souhaitait, c'était de pouvoir enfin apercevoir la Bêta et de passer les prochains jours en sa compagnie. Il ne demandait pas la lune tout de même. Alors qu'il venait de jeter un énième coup d'oeil à sa montre, Augusto entendit une voix féminine et un souffle chaud dans le creux de son oreille. Immédiatement, son visage s'éclaira d'un large sourire. De plus il ressentait un vif soulagement mais ça, il le garda pour lui. En effet, l'italien n'était pas une personne qui extériorisait énormément ses émotions ou ses sentiments. Il la vit prendre place face à lui et Augusto ne put s'empêcher de la prendre dans ses bras une fois qu'elle eut posée sa première phrase. Au passage, elle en profita pour la garder un peu plus longtemps contre lui. Une étreinte réellement amicale ne durait peut-être pas aussi longtemps ... Eh bien zut. Le parfum délicat de la jolie blonde lui parvint jusqu'aux narines et il inspira longuement comme pour s'en enivrer. Finalement, il prit la peine de lui répondre, tout en se penchant pour coller sa joue contre la sienne et en lui murmurant à l'oreille. « Si tu savais à quel point, tu en serais étonnée. » Le jeune homme relâcha de bien mauvaise grâce son étreinte et lui adressa un sourire malicieusement. Sa réponse pouvait paraître des plus mystérieuses et avouons-le, c'est fait exprès. Ne rien dévoiler est une grave erreur mais trop en dire peut se révéler être une catastrophe.

    Après avoir lâché un bref " Have fun " à sa correspondante française qui voulait surtout dire " on ne revoit pas de sitôt ma grande ", Augusto passa l'un de ses bras autour des frêles mais gracieuses épaules de Seextine. Il ne souhaitait pas rester avec les français, au contraire pour profiter au maximum de la blondinette, il fallait mieux être seul. A eux deux, ils formaient un tableau parfait : Seextine, blonde comme les blés avec un teint de porcelaine tandis que lui était brun, avec un visage taillé à la serpe. En somme le couple parfait. C'est sûrement ce que les autres passants pensaient à leur sujet vu les regards qu'on leur jetait furtivement ou pas. Un sourire satisfait, un rien prétentieux s'afficha sur les lèvres de l'italien. Oui il aimait être vu, surtout en compagnie d'une femme aussi belle que Seextine. Son regard descendit pour rencontre celui de la jeune femme et il hocha brièvement la tête. « Avec toi, toujours. » L'affirmation était courte, certes mais absolument sincère ce qui était déjà un excellent point. Voyant que Seextine n'avait pas bagages, il se dit qu'elle les avait déjà emmené au niveau de leur embarquement. Il en avait fait de même quelques instants plus tôt. Puisqu'ils n'avaient pas de temps à perdre l'un comme l'autre avec ces formalités, ils se dirigèrent vers leur porte pour embarquer. En réservant son billet, Augusto s'était bien évidemment assuré qu'il serait aux côtés de la blondinette. Pour poursuivre sur la question de la Bêta, il ajouta une pointe de taquinerie dans la voix. « Si tu veux de moi, je suis même prêt à me déhancher sur le dance floor au cas où tu voudrais sortir un soir. » Augusto était loin d'être un piètre danseur. Il avait rapidement comprit durant son adolescence que quelques pas de danse pouvait suffir à séduire une demoiselle. Il avait donc mis cet atout dans sa manche pour s'en servir si besoin en était. Et avec Seextine, il était près à être son partenaire de danse, sauf si elle lui réclamait un tango, une valse ou un truc de ce genre. Si il y avait toutes les chances au monde pour qu'il s'enfuit en courant. « J'ai réservé au bellagio puisque c'est l'hôtel dans lequel nous devons tous séjourner apparemment. Mais pour ne pas que l'on crie au scandale, j'ai demandé à ce qu'il y ait des lits séparés dans notre chambre ... Je ne savais pas ce que tu voulais exactement ... » Il avait terminé sa phrase presque bancalement. Si il s'était écouté, il n'aurait pas exigé des lités séparés mais ne sachant pas grand chose de la vie amoureuse actuelle de Seextine, ni même de ses envies, Augusto avait décidé de se montrer gentleman et de ne pas la froisser en la mettant devant le fait accompli. Au pire, des lits, ça se déplace et ça se rapproche ... Bref halte aux idées tordues ! Le jeune homme essaya d'esquisser un sourire à l'encontre de Seex' mais il était légèrement anxieux en l'attente de sa réaction.
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MessageSujet: Re: Our private trip (PV) Our private trip (PV) EmptyMar 13 Avr - 12:38

    Cela faisait en réalité quelques jours déjà que Seextine était excitée comme une puce à la simple idée de passer son séjour avec Augusto. Elle n’aurait pour rien au monde changer d’avis, en effet, c’est plutôt l’effet inverse qu’elle avait craint. A savoir que finalement le jeune homme aurait choisit de rester avec sa correspondantes ou bien pire, avec une femme qui l’aurait séduit juste avant. D’ailleurs, à cette idée, c’était une pointe de jalousie qui s’emparait de la belle, et pointe n’est d’ailleurs peut être pas le mot le plus approprié. Un torrent, une cascade de jalousie semble bien plus caractériser l’état dans lequel se trouvait la blonde lorsqu’elle s’imaginait Augusto avec un autre. Elle mettait cela sur le compte d’une amitié, après tout c’était tout à fait possible d’être jaloux et possessif en amitié, de ne vouloir ses amis que pour soi et c’était plus facile de penser de la sorte plutôt que d’affronter le fait que quand il s’agissait d’Augusto, cela ne ressemblait en rien à ses autres relations. C’était différent avec lui. Les hommes en temps normal ne voulaient qu’une seule chose de la jolie Bêta, une nuit torride, et d’ailleurs, elle se contentait de nuits à défaut de grandes histoires d’amour. C’était plus simple ainsi puisqu’elle pouvait dans ces cas là garder son petit jardin secret, dont faisait entièrement partie un petit bout de chou de quatre ans, ayant le même regard que sa jeune mère. C’était donc une solution de facilité pour elle, de ne pas se mettre en couple. Sans oublier qu’elle n’avait jamais ressentit cette affection pour un homme depuis son arrivée à Berkeley et que donc il était inutile de parler de couple ou d’amour. Pourtant, aurait elle voulut parler de couple avec Augusto ? Elle n’en avait en réalité aucune idée, du moins, elle ne cherchait pas à répondre à cette question, ce serait soulever des choses bien trop délicates et peut être finir par se rendre compte que sa facilité à rester froide face à l’amour n’était pas sans failles. Elle préférait oublier cela, pour se consacrer entièrement à cette amitié qui lui faisait un bien fou. Car en effet, c’est un sourire splendide, découvrant sa dentition parfaite qui naquit sur son visage juste en pensant qu’Augusto était bien là, à l’attendre. Il n’était pas parti, il était au rendez-vous et ce fut un soulagement certain pour Seextine qui ne perdit pas un instant avant de le rejoindre. Il était là, entouré de français dont le brouhaha semblait démesuré mais elle n’y prêta nullement attention lorsqu’Augusto la plaqua délicatement contre lui. A cet instant précis, son cœur chavira brutalement, et les battements de ce dernier s’accélérèrent. Elle ne parut cependant pas chamboulée, car c’était ainsi à chaque fois qu’il y avait entre eux un contact physique. C’est à se demander pourquoi elle tenait tant à fermer les yeux sur cela, peut être parce qu’elle tenait tout autant à Augusto. Elle laissa le parfum du jeune homme l’enivrer totalement et se perdit dans le temps. Comme si cette étreinte avait bloqué le temps, comme si cet instant devait durer une éternité, pourtant il prit fin finalement. Les jambes de Seextine tremblaient presque tant l’émotion était au rendez-vous. Mais elle préférait continuer d’ignorer ces réactions de son corps plutôt que d’essayer de mettre une signification à celles-ci. Ainsi, elle ne mettait nullement en danger leur relation… La voix d’Augusto se fit entendre pour la première fois. Ce son doux et grave, elle s’y était tant habituée et elle l’aimait particulièrement. Elle lui rendit son sourire malicieux, et elle se demanda intérieurement comment devait-elle prendre ces quelques mots. Mais entre eux, cette part de mystère semblait régner et en fin de compte ce n’était pas si désagréable, elle pouvait ainsi interpréter sa phrase comme elle le désirait. Et à ce moment là, elle désirait n’y voir aucune pointe d’ironie.

    Finalement, c’est tout sourire qu’elle regarda le grand brun au regard perçant dire un dernier mot à sa correspondante avant de passer sa main sur ses épaules pour l’entraîner avec lui. Ce nouveau contact créa un frisson agréable le long de sa colonne vertébrale et elle sourit dans le vide, tout simplement vraiment bien, là, dans ses bras. C’est certain, elle n’aurait manqué cet instant pour rien au monde. Malgré le fait qu’en sa compagnie elle perdait totalement ses instincts de survie qui la protéger de toutes ces émotions étroitement liées. Il était près à s’amuser et même à danser, Seextine laissa un rire s’échapper de ses lèvres pulpeuses et glossées tout en lui lançant un regard amusé. « Ce sera avec plaisir que je te regarderai te déhancher… Je sens qu’avec toi je ne risque pas de m’ennuyer, mais ça me plaît ! » Dit elle d’une voix douce. Ils approchaient ensemble de la porte d’embarquement tandis que Seextine était déjà en plein voyage intérieur. Elle divaguait entre le paradis et les bras d’Augusto. Il est certain qu’il serait plus mature d’affronter la réalité et de comprendre comment cet homme arrivait il à la rendre à ce point souriante et heureuse, mais elle se persuadait qu’elle aurait tout le temps pour cela durant ce séjour, ou après… Elle ne comptait pas s’éloigner d’Augusto. Depuis qu’elle l’avait retrouvé, tout allait trop bien en sa compagnie pour penser à une quelconque séparation. Et bien qu’elle n’aurait put l’avouer à voix haute, elle aurait souffert d’une séparation. Mais elle préférait ne pas y penser et se consacrer entièrement à ce petit voyage agréable. « Je veux aller jouer au casino aussi, et faire du kart, tu n’as pas peur des sensations fortes ? Parce que quand je dépenserai ton argent en jetons et que je roulerai comme une folle sur une piste de kart, faudra ne pas t’évanouir… » Dit elle mimant un regard sérieux avant de rigoler doucement. « Je plaisante, même si j’aimerai tester ton endurance… » Cela pouvait porter à confusions, ce double sens pourrait très bien paraître assez coquin, mais s’il le comprenait, ce n’était qu’une des petites remarques qu’elle glissait parfois dans leur conversation. Finalement, elle montra ses papiers à l’homme qui les leur demanda et rapidement ils se retrouvèrent à monter dans l’avion. Elle fit mine d’être rassurée aux paroles d’Augusto et prit un ton plaisantin. « Mince moi qui comptais être blottie contre toi… Au pire, on sera juste plus à l’étroit dans un petit lit… » Elle le fixa intensément en finissant sa phrase. Un regard perçant qui se voulait assez provocateur. Tout en continuant de se hisser dans l’avions, finalement elle détacha ses regards de ceux du jeune homme et trouva le numéro du siège marqué sur son billet. Elle se détacha du jeune homme mais s’empara de sa main pour l’entraîner avec elle. « C’est par ici que tu vas devoir me supporter durant tout le voyage… Tu me diras, dans le pire des cas tu pourras aller t’isoler aux toilettes… » Elle lui lança son plus beau sourire et ne put s’empêcher de le dévisager du regard. C’est fou combien cet homme est beau et peut lui faire énormément d’effet…
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Augusto P. Da Volpedo
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Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: Our private trip (PV) Our private trip (PV) EmptyDim 30 Mai - 18:54



    Choisir sa correspondante plutôt que Seextine ?! Cette idée n'avait pas effleuré Augusto un seul instant. Encore moins le fait que lui faire faux bond pour emmener une autre fille à sa place. C'était même tout le contraire à vrai dire. Récemment, le jeune homme jouait encore un jeu dangereux avec l'une de ses camarades Epsilon Alanna. Seulement en revoyant Seextine, en remettant à l'ordre du jour leur vieille affection mutuelle, il avait choisit de cesser de jouer pour se consacrer entièrement à cette « amitié » profonde qui les unissait. C'était peut-être une erreur parce qu'après tout, la blondinette ne lui avait jamais rien promis. Juste un séjour à Las Vegas ensemble. Ce qui n'est pas une promesse d'un avenir ensemble. De plus, il s'était mis Alanna à dos et cette dernière voulait absolument refaire partie de la vie du beau Pelizza Da Volpedo, quitte à écraser Seextine s’il le fallait. Ce petit voyage arrivait à point. Gusto éloignait les deux demoiselles et il protégeait par la même occasion sa tendre bêta. Il connaissait par cœur l'esprit tordu et provocateur de l'Epsilon et il était bien décidé à mettre en garde Seextine contre elle mais plus tard. Hors de question de gâcher ce début de voyage et leurs prochaines heures de vol pour cette idiotie. Néanmoins il s'en voulait tout de même énormément car à cause de son attitude volage, son amie venait de se faire une ennemie alors qu'elle n'y était pour rien dans toute cette histoire. Son côté macho italien était plus que flatté mais il ressentait une légère anxiété dès qu'il s'agissait du mal qui pourrait récolter Seextine à cause de ses histoires de manipulation. Si jamais elle en ressortait blessée, le jeune homme savait par avance qu'il ne pourrait pas se le pardonner. Ce serait comme la trahir et ça, il ne le voulait pas. Parce qu'elle comptait beaucoup trop pour lui. Parce que voir la déception dans ses yeux serait comme recevoir une grosse gifle mais la douleur serait cent fois plus insoutenable. Parce que cette fille était tout simplement un souffle d'air frais dans sa vie. Depuis son arrivée à Berkeley, huit mois plus tôt, Augusto n'avait fait que se donner une image. Image que son entourage voulait voir, c'est à dire le fils à papa, plein aux as qui jette la fortune de ses aïeuls par les fenêtres et qui couche avec tout ce qui passe dans un périmètre de trois mètres autour de lui. Seextine était un peu un ange, une fleur tombée dans ce monde matérialiste. Avec elle, Gusto était lui-même. Il retombait en enfance, goûtant au plaisir simple de la vie, profitant de chaque instant pour la taquiner gentiment mais avec cette petite touche de sérieux qui faisait de leur relation un réel mystère pour les autres et pour eux mêmes également.

    Il venait de l'apercevoir. Il venait de lui sourire, de la prendre dans ses bras, de sentir son corps tiède contre le sien. Il venait tout bonnement de prendre une dose de bien être. Peut être que pour vous c'est dérisoire mais pour lui c'était indispensable. A croire que cette jolie blonde l'avait ensorcelé avec ses grands yeux et son sourire ravageur. En partant pour embarquer dans l'avion qui les mènerait vers leur destination de vacances, Augusto affirma qu'il est prêt à danser. Fait plutôt rare pour un homme. Souvent, il faut les supplier et les prendre de force par la main pour les entraîner sur les pistes de danse. Pas lui, parfait en tout point cet homme. (a) Il s'amusa de la réponse de sa jolie compagne. Apparemment, il fallait qu'il l'éclaire sur un détail. « Tu sais, tu ne feras pas que me regarder. Tu as intérêt à venir de déhancher avec moi. » Il lui offrit un sourire angélique. Lui aussi avait envie de profiter de spectacle que pouvait donner Seextine en train de danser. Et puis, pouvoir la serrer contre lui ne serait-ce que trois minutes le temps d'une danse était une envie à laquelle, le jeune homme tenait tout particulièrement. « Si jamais tu t'ennuies, tu auras le droit d'aller chercher une meilleure compagnie que la mienne ... Mais crois-moi je ferais tout pour te distraire car je n'ai pas envie de te voir partir. » La voix d'Augusto était grave, ferme et on ne peut plus sérieuse. La simple évocation de la voir partir vers d'autres bras que les siens, le rendait pratiquement malade de jalousie. Pour l'instant, il se disait juste qu'il se montrait un peu trop protecteur envers elle. En réalité, ces émotions impliquaient des sentiments plus profonds que Gusto n'analysait pas. Tout du moins, il ne souhaitait pas les analyser pour le moment, de peur d'ouvrir les yeux et de s'apercevoir que ce bout de femme était bien plus précieux encore qu'il ne le disait tout haut. Ce voyage permettrait peut être aux deux amis de dénouer ce lien ambigu et complexe ou bien, ce voyage ne ferait que les enfoncer un peu plus vers de nouvelles interrogations. Une chose était cependant sûre et certaine : Il fallait qu'ils profitent au maximum de leur séjour. Le destin ferait sans doute le reste et ce qui devra arriver, arrivera. L'italien écouta attentivement les désirs de Seextine tout en les prenant en note mentalement. Si elle souhaitait sérieusement réaliser cette liste d'activité, cela serait vraiment aisé pour Augusto de les lui faire faire. Pour une fois, qu'une femme parler d'autre chose que de shopping comme sport extrême, il fallait en profiter ! L'italien était agréablement surpris et il se promit d'emmener son amie faire du kart et d'aller jouer avec elle au casino. Elle pouvait dépenser autant qu'elle le voulait, l'argent n'était pas un problème pour la famille des Da Volpedo. A la fin de la tirade de la jolie bêta, Gusto leva un sourcil. « Oh tu sais pour tester mon endurance c'est où tu veux et quand tu veux ma chérie. Je suis un modèle d'endurance. » Sa réponse pouvait tout autant porter à confusion que celle que Seextine avait dite quelques instant auparavant. Il le savait parfaitement bien et il en jouait. Comme elle. Le seul problème est qu'à trop vouloir jouer avec le feu, il n'est pas rare de se brûler les ailes. Toutefois, Augusto n'était pas en mesure de penser aux conséquences pour le moment. Son regard ancré dans celui de Seextine, il déglutit péniblement face aux paroles de la blondinette qui se montrait de plus en plus provocante. C'était un mal pour un bien parce qu'il ne la repoussera pas d'un poil si jamais elle venait de faufiler dans son lit. Sans détourner les yeux, Augusto reprit la parole. « Considères que tu peux venir te blottir contre moi quand tu veux. N'ais pas peur d'être à l'étroit, je te garderais dans mes bras, il n'y a aucune chance pour que tu tombes. » Vraiment pas la moindre. Ils arrivèrent dans l'avion et il se laissa guider par la jeune femme qui les billets dans une main cherchait leurs sièges. Finalement, elle les trouva sans trop de difficulté et ils prirent place. Augusto éclata d'un rire sonore par rapport aux dires de son amie. « Si tu crois que c'est un défi de te supporter durant un voyage, tu te trompes sur toute la ligne. Rien n'est plus facile pour moi d'être aux côtés d'une jeune femme magnifique, intelligente, amusante et pleine de bon sens comme toi. » Soudain, il repensa aux toilettes. Etait-ce une perche tendue par Seex' ?! En effet, combien de personnes ont le fantasme de faire l'amour dans les toilettes d'un avion ? Une quantité. Finalement, l'italien décida de faire une touche d'humour. « Tu sais Seex', si c'est une façon détournée de me signifier que tu aimerais faire un tour dans les toilettes avec moi ... Je pense que nous serions juste un peu à l'étroit. » Dit-il pour reprendre les paroles de la jolie blonde à propos du lit une place. Il lui prit sa main et il entrelaça ses doigts à ceux de la jeune femme. « Nous allons bientôt décoller, je te prends la main au cas où tu aurais peur. » Il la taquinait, cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Le fait est qu'il avait toujours besoin de la toucher. Tout en dessinant des ronds sur la peau de la bêta avec son pouce, il poursuivit, cette fois-ci le plus honnêtement du monde. « Non, pour être franc, j'ai envie de te prendre la main c'est tout. » Il la regarda, une petite flamme dansant dans ses yeux. Bon sang, si il continuait ainsi il finirait par l'embrasser, il fallait qu'il reprenne immédiatement ses esprits.
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Augusto P. Da Volpedo
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Augusto P. Da Volpedo
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