the great escape
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"Just because you're blood doesn't mean you're family"

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Keith O. Phillips
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Keith O. Phillips
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MessageSujet: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptySam 27 Sep - 19:44

" for the record, feminism by definition is : ‘ the belief that men and women should have equal rights and opportunities. it is the theory of the political, economic and social equality of the sexes.’ why is the word such an uncomfortable one ?”
ft. Xavier Cavendish & Lubja T. Malhoa de Lima ♡
Maintenant que je suis professeure à Berkeley, je peux aller partout dans l’université, du moins j’en ai l’autorisation. Car nous savons tous que les étudiants se donnent la liberté d’aller dans les endroits que ne leur sont pas autorisés. Mais moi je peux le faire maintenant. Tous les bâtiments me sont ouverts. Par exemple les quartiers du Doyen, j’ai le droit d’y aller. J’en ai même la responsabilité. Le Doyen nous a carrément demandé de faire de petites rondes, de temps en temps, pour surveiller son bâtiment, et vérifier que tout s’y passe bien. Qu’il n’y ait pas des étudiants non autorisés. Car après tout, beaucoup aimeraient pouvoir accéder aux lieux du Doyen. C’est un peu the lieu pour les étudiants. Je le sais car j’ai été moi-même étudiante dans cette université. Pour eux, m’avoir, est un très bon point dans le camp des étudiants. Bien qu’il n’y ait pas vraiment de camps. Ils veulent juste que tout se passe au mieux entre l’équipe pédagogique et les étudiants. Alors quoi de mieux pour cela, que d’avoir une ancienne étudiante ? Je me baladais donc dans les quartiers de notre cher Fredericksen. Je ne m’attendais vraiment pas à y voir quelqu’un. D’habitude ce lieu est désert, surtout lorsque le Doyen est absent. Pourtant je vis une silhouette au loin. Il pouvait très bien s’agir d’un de mes collègues. Seulement au vu de l’allure de l’homme devant moi, il s’agissait bien d’un élève, car il ne semblait pas bien connaitre les lieux. Je pressais donc le pas pour rattraper la personne. Arrivant enfin à son allure, je posais ma main délicatement sur son épaule. Je ne voulais pas non plus l’effrayer, et lui faire faire une crise cardiaque. Je me postais devant l’élève, et là je vis Xavier. Mais qu’est-ce qu’il fout là lui ? Et puis pourquoi ça devait être lui ? J’ai tout fait pour ne pas me retrouver seule avec lui. La dernière fois que je l’ai vu, il y a eu un très bon feeling entre nous. Mais c’était encore quand j’étais étudiante ici. Maintenant je suis prof, et je ne peux pas flirter avec n’importe qui. D’ailleurs, je ne sais même pas si j’en suis capable pour le moment. Bien qu’il faille que je me remette un peu en selle. Je ne vais pas laisser mes malheurs précédents prendre le dessus sur ma vie sentimentale, voire sexuelle. « Qu’est-ce que tu fais là ? » C’est plutôt agréable d’avoir des droits en plus que nos amis. Mais je ne voulais pas trop en abuser non plus. Je ne voulais pas montrer ma supériorité à Xavier. Pourtant, je le suis. Du moins, ici, à l’université. J’ai un petit devoir de surveillance dans ce lieu. Et je ne vais laisser personne trainer ici, même un ami. Il n’avait pas intérêt à me mentir. Je ne souhaitais pas me retrouver dans une situation embarrassante. A devoir choisir le professionnel au privé. « Tu n’es pas censé être ici. » Allez s’il te plait, pars de là. Et n’en parlons plus. Ça sera plus facile ainsi, pour nous deux.



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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptyJeu 2 Oct - 23:09

Il en faut peu pour attirer Xavier dans les problèmes. Un joint en classe, une dispute avec un professeur, une envie de pisser en plein cours et déranger tous les rangs en leur demandant de se pousser pour pouvoir y aller. Mais la plupart du temps, ce sont des accusations totalement fausses de tricher qui le mène dans le bureau du doyen Fredericksen. Il est intelligent, travailleur, sérieux dans son boulot mais c'est un fouteur de trouble notoire et le doyen ne croit pas une seule seconde à sa bonne volonté d'être le meilleur dans son domaine et de devenir le meilleur psychologue sur Terre. Non. Le doyen croit que c'est un petit con arrogant qui triche sur le meilleur de la classe et d'autres encore afin d'avoir les meilleures notes. Et à chaque fois, Xavier arrive à prouver par A+B que c'est qui a écrit tout son devoir, tout seul comme un grand. Et chaque semaine, après un papier parfaitement écrit sur un sujet de plus en plus dur, le doyen le convoquait. Mais aujourd'hui, il en avait marre le Xavier. Il était brillant, surdoué, le meilleur de sa promo de psychologie et de biologie génétique, et pourtant, cet idiot de doyen croyait dur comme fer qu'il était un odieux tricheur. Il était le président des omegas et organisait une semaine à vegas qui allait faire la renommé des jaunes et pourtant, il était encore convoquer comme toutes les semaines l'an dernier. Il pensait qu'ils en avaient fini avec ses bêtises mais non. Il était encore là, dans les quartiers du doyen cette fois ci. Le doyen avait semble t-il des preuves et voulait lui montrer un document inconnu. Bref, le voilà dans le bâtiment interdit aux élèves sauf aux trinités qui voulaient s'entretenir avec le personnel. En parcourant le bâtiment, Xavier rencontrait toutes sortes de personnes autre que le doyen. Quelqu'un avait du lui faire une stupide blague car en voulant entrer dans un bureau, une main se posa sur son épaule. Une main manucurée parfaitement. Une main appartenant à un magnifique corps qu'il a de multiple fois exploré l'année dernière lorsqu'elle n'était encore qu'une étudiante chez les betas. Lubja. Dans toute sa splendeur. Revêtant son sourire anglais si charmant, il se retourna pour la voir dans la parfaite panoplie du professeur de math sexy. Et bien ma chère, on est bien à l'aise ici dis donc. Xavier se souvenait parfaitement des fois où ils avaient échappé à la surveillance de certains membres du personnel pour monter sur le toit du bâtiment. Lubja était un fantasme pour beaucoup d'homme et Xavier n'échappait pas à la règle. Néanmoins, depuis ce baiser, il ne pensait plus aux autres femmes ... Fallait pas rêver non plus. Xavier est un homme à femme et le serait sans doute durant encore un bon moment si Lysa ne se décidait pas dans les semaines qui suivaient. J'aimerais bien mais apparemment, je me suis perdue. J'ai reçu une note du doyen me demandant de venir le voir et je crois qu'on m'a fait une belle blague. Mauvaise humeur le Xavier, sur et certain.
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Keith O. Phillips
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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptySam 11 Oct - 15:30

" for the record, feminism by definition is : ‘ the belief that men and women should have equal rights and opportunities. it is the theory of the political, economic and social equality of the sexes.’ why is the word such an uncomfortable one ?”
ft. Xavier Cavendish & Lubja T. Malhoa de Lima ♡
musique Généralement c’est calme par ici. Excepté lorsque des jeunes comme Xavier viennent pour y foutre le bordel. Soit parce qu’ils sont en colère contre le Doyen, soit juste pour s’amuser, et pouvoir dire qu’ils ont fait n’importe quoi dans un endroit où ils ne sont pas censés être. Ah ces jeunes… Et dire que j’étais comme eux avant. Enfin pas vraiment. J’ai toujours été une élève modèle. Les profs ne me faisaient jamais de mauvaises remarques, au contraire : ils venaient toujours me voir pour me féliciter. Spécialement les professeurs de mathématiques, car c’est bien dans cette matière que j’excellais le plus. Quant aux autres matières, il m’arrivait d’être un peu à la bourre, et de ne pas comprendre, mais je remontais toujours la pente en travaillant. La clé des études c’est bien le travail. Ça peut paraitre bête de dire une telle chose, pourtant c’est bien la vérité. Je venais tout juste de débuter ma carrière dans l’enseignement, et je commençais déjà à connaitre la réputation des étudiants. Autant ceux que j’ai dans la classe, que les autres. Il faut dire que le Doyen aime bien nous mettre au courant à propos des étudiants. Je connais donc le nom des très bons élèves : la plupart sont des Alphas, il ne faut pas se voiler la face. Quant aux mauvais élèves, il s’agit plutôt des Gammas ou encore quelques Omégas. Comme par exemple Xavier. Pourtant il a de très bonnes notes. Ou du moins de ce que j’ai pu voir : il est même le premier dans sa promo. Sauf que le Doyen le suspecte de tricherie. Il faut dire qu’avec toutes les conneries qu’il peut faire, il ne donne pas envie de le croire. Son dossier scolaire est rempli de petites bêtises. Jamais de grands trucs, mais on peut bien voir qu’il s’agit d’un jeune qui aime s’amuser en cours. Si on ne se fie qu’à son dossier solaire : on pense tout de suite de lui qu’il n’est pas un jeune qui veut apprendre. Je comprends donc le Doyen qui ne le croit pas. Alors le voir ici, est ce que j’étais vraiment surprise ? Soit il était venu pour y faire des bêtises, soit parce que le Doyen l’avait convoqué une énième fois. Sauf que le Doyen n’est pas là en ce moment, alors pourquoi l’aurait-il convoqué un jour où il est absent. Ah ce Xavier se fout bien de ma gueule là. Hey, ce n’est pas parce que je suis nouvelle dans l’enseignement qu’il faut me marcher dessus. Au contraire, je pense que je peux être encore plus sévère que les autres. « Tu me prends pour une imbécile Xavier ? » Je croisais mes bras, pour faire un peu plus sévère. Si seulement ça pouvait marcher… « Je veux bien me croire si tu me montre la convocation. » Je verrais bien s’il l’a ou pas. Ou même si elle vraie ou fausse. Le doyen nous a formé pour reconnaitre de fausses notes venant soit disant de lui. Apparemment il y a une nouvelle mode dans l’université, qui fait que les élèves fabriquent de fausses notes du Doyen. Quelles que soient les raisons. C’est qu’ils en ont de l’imagination. Ça me ferait presque sourire. Rien que l’idée de savoir que je vais en voir des choses durant tout mon enseignement. Ça promet. J’attendais donc une réaction du jeune homme, face à lui. Sans même sourire. Malgré qu’il soit une espèce d’ami. Seulement le Doyen m’a bien expliqué qu’il faut que je fasse gaffe. Je ne dois plus les tutoyer, ni même les appeler par leur prénom. Ce que je fais toujours d’ailleurs… Mais c’est trop difficile de les vouvoyer. En les vouvoyant j’ai l’impression d’être la professeure sévère par excellence. Quant aux noms, je sais très bien que je ne m’en souviendrais jamais. Les prénoms c’est beaucoup plus simples. Le Doyen m’engueulerait s’il savait que je continue à les tutoyer et les appeler par leurs prénoms. J’espère juste que ça ne remontera pas jusqu’à lui. J’ai été une très bonne élève jusque-là, et j’aimerais donc être la bonne professeure par excellence. Non, je ne souhaite pas la perfection… Quoique. Quand j’aime quelque chose, j’aime le faire bien. Mais ça va j’en suis qu’au début de ma carrière, je peux faire quelques erreurs. J’en ai le droit que m’a dit le Doyen. Mais pas trop non plus.



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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptyDim 23 Nov - 14:58

C'est difficile à croire à voir le dossier scolaire de Xavier, mais ses études sont importantes pour lui. Il aime ce qu'il apprend, il aime la psychologie et la biologie. D'une part car il a le sentiment de mieux se comprendre à travers ces différents domaines. Son corps, son esprit, sa vie en elle même bien qu'elle soit complètement hors de contrôle, il fallait l'admettre. Entre ses affaires de coeurs et son parcours scolaire entaché de rendez vous chez le doyen et de conseils disciplinaires, il courait le risque de se faire expulser d'un moment à l'autre, ou encore se voir retirer son poste de président chez les omegas. Le doyen avait été très clair, il ne fallait pas jouer avec ses nerfs qui était très à fleur de peau. Mais il se disait une chose, sa vie allait tourner, à un moment ou un autre, il allait avoir un peu de calme dans cette vie de débauche. Il était sans doute un grand consommateur d'alcool, de médicament et de drogues en tout genre, mais il rêvait de grandeur et de famille. Lui qui n'avait jamais connu une vraie famille ayant appris son adoption de manière brutale, ayant appris la vérité sur ses origines de manière encore plus brutale, il avait besoin d'espérer que sa vie serait calme et rangé un beau jour. Un jour, il se posera avec la femme de sa vie et saurait faire preuve de retenu dans ses gestes car des petits lui ou elle se poursuivaient dans la cour. Il aimait penser à ça et enlever le masque de connard fini qu'il était, malgré qu'il le soit quand même en bonne partie. Alors, dans ces couloirs sombres, cette foutu lettre à la main, il espérait que c'était la dernière fois que ce doyen de malheur ne le convoque. Il avait déjà eut en quatre année, deux dissertations surveiller à rendre à chacun de ses profs pour qu'ils soient sure que c'était bien lui qui les écrivaient. Bien entendu, il avait eut la note maximale à chaque fois. Mais le doyen ne voyait pas cela de cet œil et se faisait un malin plaisir à chercher la petite bête. Le voyage à Vegas avec la confrérie n'avait pas amélioré les choses bien entendu. Entraîner un groupe de fêtard invétéré dans la ville du péché n'était pas la meilleur des choses à faire. Enfin bon. Le voilà, perdu dans des couloirs, en plein face à face avec Lubja, la prof de mathématique la plus sexy du campus. Non, mais t'es sacrément sexy au passage. Rien à foutre le Xavier, quand il était de mauvaise humeur du à cette foutu blague, parce qu'il n'y avait aucune chance que ce foutu doyen ne l'est convoqué. Tiens, et fait toi plaisir pendant que je m'en fais aussi. Grossier. Reluquant la jeune femme pendant qu'elle lisait ce bout de papier insignifiant, Xavier se disait qu'il aurait pu profiter de la situation pour se faire plaisir avec la jeune femme. Mais le visage d'une jeune fille blonde vint dans son esprit et il ordonna à son cerveau de dépraver de monter d'un cran et de se remettre à sa bonne place. Enfin, si on peut le dire ainsi pour le jeune homme. Il est un pervers narcissique, prenant soin de sa petite personne comme si c'était une autre personne. Il s'aime et aime aimer les femmes. Mais depuis cette nuit avec Lysa, il y avait un petit soucis à ce niveau. Il n'arrivait pas à enlever de sa tête, l'image de Lysa, les cheveux étalés comme une princesse et le sourire aux lèvres. Alors, devant Lubja, il se forçait à être le plus normal qui soit, elle savait de quoi il était capable, à quoi bon. Bon tu as fini l'inspection ? Tu fais quoi ici d'ailleurs, il est tard, même pour une professeur en manque de boulot. Et bien Xavier, tu n'avais pas dit que tu te calmais sur les allusions de ce type. A croire que ce mec ne pensait qu'avec son deuxième cerveau lorsqu'il était en face d'une personne de sexe féminin.
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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptySam 29 Nov - 21:24

" for the record, feminism by definition is : ‘ the belief that men and women should have equal rights and opportunities. it is the theory of the political, economic and social equality of the sexes.’ why is the word such an uncomfortable one ?”
ft. Xavier Cavendish & Lubja T. Malhoa de Lima ♡
En acceptant ce poste je craignais de voir mes relations changer. Je m’étais pourtant promise de faire tout pour ne pas perdre mes amis. Mais Xavier, lui, ne m’aidait pas à tenir cette promesse. Je ne voulais pas perdre notre amitié (si déjà s’en est une…), mais de l’autre je ne peux pas faire de favoritisme et le laisser tout faire juste parce que c’est un ami. Surtout compte tenu de sa réputation auprès du doyen. Face à lui, je suis partagée depuis le début de l’année. Je ne sais pas du tout comment me comporter en sa présence. Je ne veux pas qu’il pense que je le prends de haut, juste à cause de mon poste. Mais je ne veux pas non plus lui montrer qu’il peut compter sur moi pour ses conneries. Et ce soir, en le voyant dans ce quartier du campus, je décidais de ne pas le laisser filer aussi facilement. Il me devait des raisons de sa présence ici. Mais encore une fois, il ne me facilitait pas les tâches. Décidément, je le déteste ce gars. J’aurais préféré ne pas l’avoir connu avant mon poste de professeure. Ça serait tellement plus simple. Puis sa tête d’ange n’arrange pas les choses dans mon cas. A peine nos regards croisés, que je tombe légèrement sous son charme. Et puis il en profite. « Taisez-vous un peu Monsieur Cavendish. » Il voulait jouer à ça ? Très bien. Je vais le traiter comme un étudiant avec lequel je n’ai aucune relation apparente. Le Sexy avait été de trop. Bien que sa remarque m’avait plu. Seulement je ne pouvais pas le lui montrer. Ce n’est pas permis entre une professeure et un étudiant. J’aurais dû trouver un poste dans un autre établissement. Tout aurait été beaucoup plus simple. Je regardais le bout de papier que me donnait Xavier. Et directement je pus voir qu’il s’agissait d’un faux. On avait dû se foutre de la tête de l’Oméga. Mais je n’allais rien dire là-dessus, ça lui ferait trop plaisir. Je rangeais le bout de papier dans une de mes poches. Je comptais bien le montrer au doyen, pour qu’il soit au courant des contrefaçons qui peuvent se faire sur le campus. « Faut bien qu’il y ait quelqu’un qui surveille ce lieu. On sait bien qu’il y a pleins d’étudiants dans ton genre qui viennent trainer dans le coin. » Au moins maintenant il est prévenu. Il y a toujours quelqu’un dans les parages pour la surveillance. Et avec espoir, j’espérais que le mot passerait aux autres étudiants. « Je vais t’escorter jusqu’à ton chez toi. » Et j’eus le malheur de passer de passer mon main sur son épaule. J’en eu pleins de frissons. L’obscurité de la nuit faisait que j’avais encore plus envie de lui. Là, maintenant. Après tout, il semblait n’y avoir personne d’autre. Seulement Xavier qu’on avait envoyé ici. Je ne sais qui. Je retirais donc tout de suite ma main de son épaule, et je me postais à quelques mètres de lui. Je ne voulais pas trop me tenter. Ou même lui. Après tout, apparemment je suis sexy ce soir. « Ça se passe bien tes cours ? » Lui demandais-je pour couper court au silence. Un silence qui deviendrait très gênant au fur et à mesure de nos pas. Il fallait absolument qu’on discute pour faire passer le temps, mais surtout pour éloigner l’attirance.



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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptyJeu 4 Déc - 18:27

Les erreurs du passé sont souvent les pires. Elles nous rattrapent, nous piègent dans une cage de cristal où l'on peut interagir avec les autres, leurs parler sans pouvoir vraiment changer quoi que ce soit. Car tôt ou tard, on sait que nos erreurs nous rattrapent, avec plus ou moins de force, plus ou moins de dégâts. Xavier voyait sa vie comme des montagnes russes, ponctués d'erreurs plus ou moins importante mais toujours aussi dangereuses. De la simple bagarre de bars au mensonge le plus gros. Debout dans ce couloir, il se disait qu'avec la réputation qu'il avait au sein de l'université, il n'était pas étonnant qu'il se fasse piéger par une personne pas si idiote que ça. Le faire s'introduire dans les quartiers du doyen et se faire prendre en flagrant délit aurait certainement entacher son dossier d'une grosse pâte noire et difficile à faire partir. Avec Lubja et son corps de rêve, il essayait de se faire comprendre et la preuve qu'il avait dans sa main semblait être suffisante pour elle pour qu'elle ne fasse pas un rapport sur lui mais sur la situation. Des faux du doyen qui circulaient dans le campus, c'était des problèmes en devenir pour des centaines de milliers d'étudiants. Son regard lubrique envers la jeune femme ne sembla pas la décontenancé plus que ça. Elle était une professeur, lui un étudiant. Il ne devait rien se passer entre eux mais Xavier savait très bien que sa nuit n'allait pas voir sa fin de si tôt. Je me tais avec grand plaisir tant que je peux toujours regarder. Xavier voyait sa vie différemment depuis quelques temps. Entre les disputes et les rumeurs les plus folles à son sujet, il perdait un peu la notion de juste milieu dans sa vie. Il faisait ce qui lui plaisait et ne laissait personne lui dicter sa vie. Ce soir, il avait pris Lubja comme cible. Il ne la forcerait à rien du tout, il ne l'emmènera pas dans une salle noir du bâtiment pour satisfaire ses envies primaires. Non, il la laisserait venir à lui, tout en douceur. J'aimerais bien tomber sur toi un peu plus souvent dans ce cas. Sous entendu lubrique et regard en biais, il lui transmettait son envie de plus. Ils n'avaient jamais été que des amis, durant sa scolarité, Lubja avait souvent été dans les mêmes draps que le jeune homme et l'expérience avait toujours été des plus folles. Jamais d'ennuis, toujours du plaisir. Elle l'escorta alors vers la sortie, dans sa démarche gracieuse. Xavier ne se pria pas pour reluquer la jeune femme quand elle passa devant lui. Porc ! Il fut distrait de sa contemplation par la douce voix de la jeune femme. Hum, oui oui ça va. Toujours le premier dans mes classes et par mon propre talent. Le doyen dira ce qu'il voudra, je suis surdoué et futé alors il va pas me faire chié encore longtemps. Il avait toujours des lettres de rendez vous dans le bureau du doyen depuis sa première année à l'université et son premier mois où la première réaction de son prof à propos de son comportement avait été de dire qu'il était un arrogant, narcissique et potentiel délinquant en plein milieu d'un cours. Ce à quoi Xavier avait répondu qu'il était surement un vieillard aigrie qui n'avait pas eu de femmes dans son lit depuis au moins dix ans et que la tuyauterie était surement bouché dès lors. Expulsion et dissertation à remettre fut sa punition. Sauf qu'au lieu de baisser sa moyenne déjà haute, elle avait explosé le plafond et il avait reçu la note maximale, dépassant de plusieurs points la moyenne générale de la classe. Tu fais quoi ce soir ? On pourrait aller dans un bar, discuter. Ou pas. Discuter était pour les faibles, Xavier voyait plutôt une activité physique et épuisante mais euphorisante.
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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptySam 13 Déc - 14:26

" for the record, feminism by definition is : ‘ the belief that men and women should have equal rights and opportunities. it is the theory of the political, economic and social equality of the sexes.’ why is the word such an uncomfortable one ?”
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musique d'ambiance J’ai beau faire comprendre à Xavier qu’il ne pourrait plus rien y avoir entre nous deux, maintenant que je suis professeure. Le jeune homme continue à me draguer ouvertement, à faire de petites insinuations. Evidemment c’est plaisant, mais ça le devient beaucoup moins lorsqu’on se rappelle de la règle entre professeurs et élèves. J’aurais surement du l’embrasser, voire plus, avant que je ne devienne un staff de l’université. Bien que ça aurait été très embarrassant pour moi comme situation. Revoir un « ex » comme étudiants, c’est tout autant dérangeant que de se faire draguer par eux. Il y a pourtant une différence entre ces deux situations : je peux dire non aux avances. Alors que le passé, on ne peut pas le changer. Face à Xavier, il me suffisait simplement de dire non, et de lui faire comprendre clairement les choses. Ça semble si simple comme ça. Pourtant ça ne l’est pas du tout. Encore moins avec un jeune homme qui vous attire vraiment. Je fis mine de ne pas avoir entendu ce qu’il me disait. Eh oui, je vieillis, et l’ouïe dégraisse avec l’âge. Je laissais passer ce qu’il disait, pensant qu’il laisserait tomber. Mais c’est que je rêvais. Il continuait à faire des sous-entendus, et ça me mettait plutôt mal à l’aise. Je ne savais pas du tout comment y répondre, comment me comporter face à un tel comportement. Avec un autre étudiant, je saurais qu’il faut que je sois ferme. Mais avec Xavier, tout est différent. Je soupirais, un peu désemparée face à cette situation qui se présentait à moi. Je me décidais donc enfin à changer de conversation. Je lui posais alors une question sur son cursus scolaire. Je ne l’avais pas en classe (oh quelle joie, bien que ce doit être un plaisir d’avoir un aussi bon élève dans sa classe), et j’avais donc le bon prétexte pour lui poser la question. Bien que j’aie accès à son dossier scolaire si je voulais vraiment savoir. « Tu peux avouer que ton comportement peut porter à confusion. T’es un petit emmerdeur, et c’est rare que les gars de ton genre soient des têtes. » Je voulais qu’il comprenne notre position aussi. Au fond, tous les professeurs l’adorent pour ses notes, mais à côté de cela, son comportement nous exaspère tous. De plus, le Doyen a vraiment quelque chose contre lui, et il nous met la pression pour qu’on lui fasse la vie dure à ce jeune Xavier. Pourquoi vouloir compliquer autant les choses ? Ah oui, c’est un Oméga et il profite à fond de sa jeunesse. Tout en l’escortant vers la sortie de ce quartier interdit aux étudiants, Xavier me proposa un verre. Je fus prise de court. En premier lieu j’aurais répondis positivement. Mais en second lieu, après réflexion, un professeur ne peut pas avoir un rencard avec des étudiants. Dommage. « Je ne peux pas Xavier… » Pourtant ça aurait été avec grand plaisir, je t’assure. Mais dans un bar, on peut nous voir, et ça peut mal tourner pour moi. Par contre si on allait chez moi… Non, vaut mieux même lui proposer cela. Même pour un simple petit verre autour d’une conversation. Car au fond, je sais très bien ce que cela veut dire, et comment ça se terminerait.



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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptyLun 12 Jan - 23:00

Xavier n'était pas ce que les autres pensaient qu'il était. Il n'était pas le malfrat de l'université qui sautait sur tout ce qui bouge et ne foutait rien en cours, président d'une confrérie de fêtard car lui même ne se souciait que d'une chose, quelle est la connerie du jour … Oh wait ! Si il était à part pour la partie où il était un branleur en classe. Meilleur élève de sa promotion, notes maximale dans toutes les matières, double cursus parfaitement réussi et surtout, sans aucun doute le major de sa promotion philosophie à l'université. Il était ce qu'on appelle un paradoxe, un putain de paradoxe. Son attitude détaché de tout, je-m'en-foutisme n'était qu'une façade, une belle façade. Une surface sur laquelle on peut se reposer mais qui n'était rien par rapport à son vrai lui. Bipolaire, abandonné, perdu. Il accumulait les mauvaises nouvelles comme une vieille accueille des chats dans son appartement. Il ne savait pas quoi faire avec tout ce qui lui tombait dessus mais si il avait bien une chose qu'il arrivait à gérer, c'était sa réputation. Il était le womanizer de l'université, rien que cela. Mais en aucuns cas il était un tricheur. Fredericksen ne cessait de vouloir l'expulser car trop souvent dans de mauvaises situations en cours alors que la plupart, ce n'était qu'un professeur vexé de voir sa matière démonté de A à Z par un parfait étudiant qui alliait avec perfection plaisir et étude. Xavier profitait de sa vie universitaire, il n'y avait aucuns doute là dessus. Mais sa vie universitaire devenait de plus en plus dérangée, en pagaille. Alors il se réfugiait dans ce qu'il arrivait à faire le mieux. S'envoyer en l'air, dans tous les sens du terme. Il jouait encore et encore avec le corps et le cœur de jeune femme n'ayant aucunes idées de l'ouragan qu'il était. Il noyait dans un océan de plaisirs charnels et d'alcool des sentiments pour une autre. Des remords, des regrets. Hagards dans le couloir du doyen, il essayait encore une fois d'atteindre un but défendu. Il voulait Lubja, il voulait se noyer en elle. Elle savait très bien qui il était et ce qu'il voulait. Et pourtant, elle ne fuyait pas. Parce que tu crois les préjugés maintenant ? Je te croyais plus intelligente que ça. J'ai de nombreuses plaintes de professeurs car je remet en question leur jugement, pas parce que je leur dit qu'ils sont des petits branleurs qui ne s'envoient pas en l'air au moins une fois par mois. Cru et déplacé. Certes, mais il s'en fichait comme de sa première clope. Xavier parlait comme il pensait, sans filtre, sans restriction. C'est sans doute ce qui lui attirait autant de soucis. Il voulait que Lubja succombe, il en faisait un peu un défi, un obstacle à passer. Allez. Viens. Sa voix se faisait suave, attirante. S'approchant d'elle un peu, il passa sa main sur sa hanche, effleurant juste un peu les courbes d'un corps bien attrayant. Il essaya de se rapprocher un peu plus, collant peu à peu son corps à celui brûlant de la jeune femme dans la fraîcheur de la nuit. Xavier jouait avec ses désirs comme au poker. Bluffant et dévoilant ensuite un jeu à la mesure de son génie. Je suis sûre que tu en meure d'envie. Il déposa un baiser au coin de la bouche de la jeune femme, effleurant ses lèvres douces et fruitées. Il avait l'impression de trahir quelqu'un, de trahir Lysa. Mais actuellement, leur relation était aussi distance qu'avant. Froide. Glaciale. Alors à quoi bon se sentir coupable pour quoi que ce soit.
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MessageSujet: Re: "Just because you're blood doesn't mean you're family" "Just because you're blood doesn't mean you're family"  EmptySam 7 Fév - 20:18

" for the record, feminism by definition is : ‘ the belief that men and women should have equal rights and opportunities. it is the theory of the political, economic and social equality of the sexes.’ why is the word such an uncomfortable one ?”
ft. Xavier Cavendish & Lubja T. Malhoa de Lima ♡
musique d'ambiance Plus le temps passe, et plus je me sens heureuse de ne pas avoir Xavier dans un de mes cours. Un professeur ne peut pas se faire un de ses élèves. Mais s’il ne s’agit pas directement de son élève, alors quelle est la règle ? Non, il ne faut pas y penser. Je ne veux pas m’amener des problèmes. Bien qu’en étant à proximité de Xavier, ne pas s’amener des problèmes risque d’être dur. Il faut croire que ce major de promo est un aimant à problèmes. Il a beau être intelligent, être très bon dans son domaine, il s’est fait une sacré réputation. Il est difficile de croire qu’un élève aussi intelligent peut faire autant de conneries. Et pourtant c’est ce qui se passe. Il est le meilleur dans sa promo, mais il est aussi le meilleur pour s’attirer des ennuis, et cela dans toute l’université comprise, toutes les promos comprises. Ah oui, il est très bon pour faire parler de lui. Des fois, je me demande même s’il ne fait pas cela, juste pour qu’on parle de lui. Et qu’on ne l’oublie pas. Il a peut-être juste besoin de reconnaissance. « Je ne crois rien du tout Xavier… Je te rapporte juste ce qu’on dit sur toi là-haut. » Pourquoi je me sens mal quand je dis ça ? Pourquoi j’ai l’impression de trahir mes collègues ? Mais ce ne sont que des gens que je ne connais que depuis moins d’un an. Alors que Xavier, ça fait bien plus longtemps que je le connais. Et qu’on se tourne autour. J’aurais dû céder avant. Tout aurait été plus facile. Ou pas. Il se rapprochait de plus en plus de moi. La situation devient de plus en plus dangereuse. Je n’aime pas du tout ça. Oh si j’adore. J’adore sentir sa main sur moi, son souffle. J’aime sentir son doux parfum. Et pourtant, je n’y arrivais pas. Je posais ma main sur celle qui se tenait sur ma hanche, pour la retirer. Mon regard observait les alentours. Il ne semble y avoir personne, mais sait-on. Il peut toujours y avoir une autre personne qui trainerait par-là, et alors ça serait la catastrophe pour moi. « Ce n’est pas la question… » Bien sûr que j’en ai envie. Tout comme j’ai envie de garder mon poste d’enseignante ici. Les règles sont simples et claires. Pas de relations avec les étudiants. Mais si personne ne le sait ? Je ne dirais rien. Quant à Xavier ? Est-ce qu’il serait capable de s’en vanter ? Arrête de penser. Tu penses trop. On me l’a déjà trop dit, que je pensais trop. Je pris sa main, pour l’emmener dans une salle réservée au personnel. Normalement personne ne devrait venir ici, encore moins le soir. Je le poussais contre le mur, pour l’embrasser fougueusement. « T’as intérêt à ne rien dire. De toute façon je nierais tout. » Je déposais des baisers dans son cou. Tout en passant ma main sous son haut, pour caresser doucement son torse.



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