the great escape
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› there will be blood Ω OMEGA ı

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MessageSujet: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyVen 1 Avr - 19:49

SALUT LES CHAMEAUX ! :3500:


    Je profite de ce message pour vous faire part de quelques précisions : le contexte de la réunion-RP est expliqué dans mon poste, mais je voulais vous préciser quelques trucs : Il n'y a pas d'ordre de passage, donc. Cependant, pour ne pas qu'on se retrouve avec deux réponses en même temps qui rendrait le tout incohérent, si vous voulez répondre à la suite, on vous demande de poster un bête message genre "Je prends" que vous éditerez avec votre réponse, et ainsi de suite. Genre, Brianna veut répondre juste après moi ben elle poste un "je prends" et puis elle édite, une fois édité quelqu'un d'autre fait la même et tout. Ah, et pour que le RP soit plutôt rapide, si la personne qui a répondu "je prends" et qui n'a pas édité sous les 24 heures, ben quelqu'un d'autre prendra son tour (a)

    C'est compris ? Si vous avez une question, dites-le moi :3500:
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyVen 1 Avr - 19:50

› there will be blood Ω OMEGA ı Writing3
Teachers leave them kids alone

C’était un jeudi après-midi. Un jour totalement banal, tout simplement parce qu’il revenait toutes les semaines. Ouais, merci pour ta logique, Plas. Sauf que ce jeudi-ci allait rester dans les annales, si je puis dire. Oui, ce n’était pas un jeudi « beer-pong chez les Oméga », ce n’était pas non plus un de nos fameux jeudi kilomètre-à-poil, ce n’était pas un jeudi où on regardait le plus d’épisodes des feux de l’amour à la suite et que dès qu’on entendait une phrase niaise, on finissait notre verre. Non, ce n’était pas un jeudi où on allait s’éclater. Ou du moins, pas tout de suite, parce que j’avais en quelque sorte pris mon air d’enterrement. Keven et moi nous étions fait mal voir du conseil d’administration, aujourd’hui. Nous y avions été convoqué. J’avais même eu droit au « on espère que le fils Tanners va redresser tout ça », ce qui m’avait carrément déplu. Mais je vous explique.

Les oméga, c’est « sex, drugs and rock n’roll ». On est là pour ça, c’est bien connu ; n’importe quel pelé de l’université peut frapper à notre porte si il a besoin d’un verre, d’un rail ou de s’éclater. Nous sommes, en quelque sorte, ceux qui sont là pour figurer, la « mascotte » du système grec de Berkeley. Mais parlons-en, du système grec. C’est un système qui a été mis en place il y a à peu près deux siècles par les premiers universitaires qui créaient des cercles « privés » pour les riches qui voulaient vivre en communauté, faire briller leur blason et frimer en société. Ce qui a peu à peu évolué en des maisons dans lesquelles règne la convivialité pour déboucher à ce que nous sommes maintenant : des vrais faignants qui n’allons à l’université que pour faire genre. Tous les cercles du campus traînent dans l’alcool et la débauche au minimum un soir par semaine, tout le monde le sait – à la différence que nous, Oméga, nous ne nous en cachons pas et, pire, nous en ventons. Ce n’est pas un problème ; autant assumer ce qu’on est, non ? Mais apparemment, les vieux barbus naïfs qui composent le conseil d’administration ne sont pas de cet avis. C’est pour ça que Keven et moi ne faisions plus les malins, assis tous les deux en face de ce conseil qui nous passait un savon comme si on avait mis une punaise sur la chaise de l’instit. Et voilà, en bref, le problème. « Le problème, messieurs Pryce et Tanners, c’est que votre cercle d’étudiant déshonore totalement l’université qu’est Berkeley par son manque d’engagement envers les œuvres philanthropiques et l’université en elle-même. Qui plus est, au vu des scandales concernant la circulation de drogues et l’ingestion d’alcool par des mineurs dans votre cercle – courte pause de la femme à lunettes qui paraissait totalement outrée de voir ce genre de choses sur le rapport – nous allons être forcé de prendre des mesures. » Kev’ et moi nous sommes senti vivre, à cet instant précis. « Quel genre de mesures, précisément ? » J’étais inquiet, ce qui ne m’emêchait pas d’avoir envie de me marrer et de gueuler « FEMME A LUNETTE… » très fort pour la mettre mal à l’aise. J’ai quand même réussi à me contrôler, parce que j’étais tout de même inquiet.. Fort inquiet. Un vieux type chauve s’est raclé la gorge et a posé ses coudes sur la table. « Monsieur Tanners, si nous ne constatons aucune motivation au changement de la part de la confrérie Oméga Mu Kappa d’ici la fin de ce trimestre, nous serons forcé de fermer le cercle, et ce définitivement. Et, pour le traduire dans votre langage, vous avez intérêt à vous grouiller les puces, sinon, fini la fiesta ! » Mis à part son argot un peu rouillé, le type a été très clair. En gros, c’était l’angoisse : on était vraiment au bord du gouffre. C’est pour ça qu’en sortant de la salle, Kev et moi nous sommes regardés et avons décidé ensemble d’organiser une réunion Oméga. Le plus vite possible. Maintenant. Alors j’ai sorti mon Blackberry de ma poche et j’ai envoyé un texto à tout le monde : « Réunion Oméga au salon dans trente minutes. Important : tout le monde là, le plus sobre possible. Plas »

Puis Kev et moi sommes remontés dans nos appartements respectifs. Le conseil n’avait pas oublié de nous donner à chacun un dossier détaillé avec une espèce de contrat. C’était vachement louche, ça donnait encore plus l’impression d’être la fin pour les Oméga. J’ai passé dix minutes à potasser le truc, et c’était très sérieux. On était dans la merde. Alors j’ai préparé une petite fiche avec des mots clés dessus. Ça allait être mon premier discours de président de confrérie, alors j’avais intérêt à les convaincre. Parce qu’apparemment, ça reposait essentiellement sur Keven et moi. J’aurais aimé dire que tous les Oméga étaient là à l’heure, mais bon. C’aurait été mentir. Ça reste des omégas, bordel ; pourquoi auraient-ils été à l’heure ? Mis à part Calvin qui avait déjà posé son cul bien au fond du fauteuil que les membres avaient l’habitude de se disputer – probablement parce que c’était le seul qui n’était pas tellement tâché du brun pâle qui symbolise le vieux vomi – il n’y avait pas un chat ; Kev n’était pas là non plus, d’ailleurs. Mais le quart d’heure académique était lancé, et je les voyais arriver les uns après les autres – dans un pitoyable état pour certains, mais au moins ils étaient là. Keven le premier, d’ailleurs ; il s’est mis à côté de moi, debout sur ce qui ressemblait à une espèce d’estrade avec un petit marteau en plastique qui faisait très kitsh et tout sauf sérieux tout en restant… Folklorique. Il a tapé sur sa main avec, couinement qui aurait demandé le silence dans une cour de justice. Je me suis raclé la gorge, j’ai pris la parole. « Salut les chameaux. Les mecs. » Très bonne introduction. « Bon. Kev et moi, on vient d’être convoqué devant le conseil d’administration. Ouais, c’est les vieux qui se baladent en costar alors qu’ils ne donnent pas cours, ouais, c’est ceux qui vous engueulent quand vous fumez des pétards sur le campus. C’était pas glorieux. » J’ai regardé Kev, l’air de savoir si je lâchais la bombe maintenant ou si j’attendais. Avec un signe de sa tête, j’ai compris que c’était le moment. « En gros… On est grillé pour toutes nos conneries, et on va devoir faire des trucs pour redorer le blason de la confrérie si on ne veut pas… Perdre définitivement la maison. Ce qui veut dire qu’on va devoir se calmer au niveau soirées et surtout faire… Des œuvres philanthropiques. » Le mot m’a autant fait grimacé que les autres de l’assemblée. Si quelque chose ne représentait pas les Oméga, c’était bien ça ; les ventes de gâteau et les lave-autos, c’est bon pour les autres. Si seulement on pouvait gagner des points en organisant des soirées… Mais non, c’est pas comme ça que ça marche. « Alors dites-moi. On a besoin d’idée. Lâchez ce à quoi vous pensez, je sais pas, des ventes de cookies, une chasse aux œufs de Pâques pour les gosses des professeurs, des conneries dans le genre qui nous permettraient de ne pas tout perdre, en somme. » J’avais posé mon postérieur sur l’un des deux sièges présidentiels – une chaise rembourrée qui donnait un faux air de Versailles – et j’avais pris mon petit bloc-notes. J’avais l’impression de ne pas trop mal me débrouiller à prendre les suggestions de mes condisciples.

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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyVen 1 Avr - 21:38


J'ai eu un bug intensif, les yeux planté sur mon écran. Déjà j'ai du mettre 4 bonnes minutes a déchiffrer le prénom de la personne qui m'envoyait ce message, et puis 8 a le décrypter. Rambo était encore au volant de son fraisyponey, et j'avais beaucoup de mal a faire la différence entre ce qui m'arrivait et le monde des teletubbies. Plastic pour un truc genre " A la Réunion les Omégas dans les tentes minaude l'impotance toute féconde, la pluie propre au faux cils. " En faite, j'avais la pâteuse dans les yeux, c'était carrément dégueulasse mais super marrant. Le truc c'est que je voyait plus rien, que j'étais encore plus fonscar qu'un raton laveur et que dans une demi heure j'étais sensé être avec plein de gens pour discuter de la pluie propre faux cils - surement une invention de Plas - que j'avais pas compris, de toute façon je comprendre jamais ce genre de truc quand je viens de me réveiller - faut dire que je cherche pas à les comprendre non plus. J'avoue que la phrase m'a semblé tout a fait plausible et pleine de sens sur le moment. Bref, je m'en foutais genre puissance 10, et quand j'ai voulu me retourner pour me rendormir, je me suis étalé par terre dans une splendeur magnifique, un énorme bruit, comme une otarie tombant sur le sol. J'ai rien senti, mais ça m'a fait tilter un truc très con. Il me faut ce putain de fauteuil pour finir ma nuit. Les autres tenterait de régler leur problème de...je sais pas, surement de tuyauterie ou de robinet qui fuie - Putain, pourquoi il nous convoque pour des robinets - et puis moi je vais dormir tranquillou babalou bercé par le son de leurs voix d'alcooliques. Enfin bref, je me suis trainé dans ma douche, 5 minutes après j'étais près, 58 secondes plus tard j'étais dans le fauteuil. Entre temps, j'avais pris un de ces cachets bidons que la femme qui me gardait moi et mes frères prenait. Un truc qui te ramenait sur terre dans la demi-heure qui suivait. Bon, ok, j'avais atteint mon but dans la vie, et puis d'ailleurs je me demandais pourquoi j'avais tenu a avoir ce fauteuil parce qu'on devait être dans des tentes. Sauf que dehors il a pas l'air de pleuvoir, donc le message de Plas' était carrément bizarre. Je l'ai regardé, circonspect. J'ai compris que, à défaut de ne pas être complétement défoncé, j'avais juste très peu dormi, et je m'endormais une seconde toutes les 3 secondes. C'était assez horrible d'être plongé dans cette effervescence de rêve a demi-conscient. J'ai souffler et je me suis étaler majestueusement sur le fauteuil, en travers, la tête sur un accoudoir, les jambes par dessus l'autre.

Je m'étais jamais senti aussi mal et aussi bien à la fois. Je me réveillait doucement en me rendormant, les articulations prises par la cuite d'hier, et le cerveau par le cachet effervescent. Les autres arrivaient, et je serait les dents en voyant Flavia. Dieu, ce que l'on est bien calé dans ce fauteuil. Bah non Calvin, dit pas Dieu, Dieu c'est toi. Oh merde, je me parle à moi même. Les gens et leur gueule de bois me faisait bien rire - j'en tenait une pas mal aussi mais personnellement, je me sentais mieux seconde après seconde. Enfin bref, 12 minutes plus tard, les Oméga était presque au complet, et j'avais l'impression que certain voulait me tuer à cause du fauteuil. J'ai sourit tout seul - je sourit toujours tout seul - et j'ai pris mon télephone, parce qu'en faite, je ne savais toujours pas pourquoi j'étais là. « Réunion Oméga au salon dans trente minutes. Important : tout le monde là, le plus sobre possible. Plas » J'ai poussé un léger « Aaaah... » d'approbation parce que ça paraissait tout de suite plus clair.

Sauf que là, Plas' a sorti tout un truc de la mort qui m'a tuer, et m'a fait pensé que je délirait encore ou que j'avais des hallucinations de fou. Je serais incapable de réciter le message en détail tellement il était trop drôle dans sa bouche. J'ai pincé les lèvres pour pas rire, et j'ai regarder mes genoux avec un sourire abruti, comme d'habitude. Déjà qu'il avait l'air gland avec son air sérieux et son calepin, mais là c'était le must. « C'est une blaague... ». Je me suis frotté les yeux, puis j'ai remarqué que tout le monde était encore là. Donc je ne devais pas rêver, ou alors, c'était vraiment un rêve de merde qui prenait une tournure carrément flippante. J'ai ouvert la bouche comme pour dire quelque chose, puis je l'ai fermé. J'ai réfléchie une demi seconde avant de la rouvrir, sarcastique « Un film érotique ça marche aussi ? » Je veux, j'exige et j'aurais le rôle principale. Avec toute une intrigue de fou genre un chateau dans la forêt tout ça tout ça. On le met sur DVD, et on le revend a tout le campus, et avec les sous on a qu'a être généreux et on fait une grosse fête avec tout le campuus.Comment ça va être troop de la balle ! Puis c'est une idée comme une autre. Une idée à la Calvin, s'tout.
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptySam 2 Avr - 23:02

    Lexie venait de se réveiller. Son radio réveil affichait 15h20. Dormir… Voilà ce qu’elle avait envie de faire. Dormir. Encore & encore jusqu’à ce que le jour se lève. Pourtant, elle était là, dans mon lit à regarder le plafond éteint. On aurais dis une personne ayant une insomnie. Oui, c’était çà, mais en plein jour… Une diurnie ? Ca se dit çà ? Elle entendait sa colocataire tournée dans son lit. Elle se rappela de la soirée d’hier. Sacré soirée. Elles se connaissait que depuis cette année & pourtant, on aurait dit que cela durait depuis des années. Elles avaient un jeu entre eux.. Le cap ou pas cap. Oui, c’est kiffant.
    Sa tête tournait… Elle avait surement abusé de la boisson hier… Mais que voulez-vous… Son portable s’alluma éclairant toute la chambre. Un nouveau message. Poussant un soupire, elle le pris dans ses mains afin d’y jeter un coup d’œil. De l’autre côté de la piaule, une lumière s’alluma. Fern avait reçu un message. Elle se met à rire. Qu’est-ce que ca pouvait être ?

    « Réunion Oméga au salon dans trente minutes. Important : tout le monde là, le plus sobre possible. Plas »

    Alors qu’elle était déjà occupé de rire pour un rien, celui-ci se redoubla. Et comment…. J’imaginais trop bien une réunion d’Oméga… Elle était tout sauf sobre. Non, ca ne fessait pas parti de notre credo. Sobre ? Que signifie d’ailleurs ce mot là ?!
    Elle relis le message… Rendez-vous dans trente minutes… Ca lui laissait le temps de dormir un peu. Avant de refermer les yeux, elle envoya un cousin à sa colocataire & lui dit de regarder ses messages. Elle ferma les yeux & se laissa aller à la rencontre de Morphée pour une petite heure.


    Elle ouvra ses yeux… Quelques minutes pour elle seulement s’étaient écoulé à son goût & pourtant… trente-cinq minutes se s’étaient écoulé. Elle laissa un pied touché le sol. En soupirant, elle finit par poser le deuxième pied. Elle finit par s’assoir sur le bord de son lit & réveilla sa colocataire Oméga. Allez, réveille toi !! Elle l’entendit râler. Elle éclata de rire & se leva. Lexie essaya de se frayer un chemin parmi le bordel de sa voisine pour aller à la salle de bain. Elle fila sous la douche. La question qu’elle se posa est comment je m’habille… Elle ouvrit les volets pour laisser entrer la lumière. Une protestation se fit entendre. Lexis ouvris grand son armoire. & regarda ses tenues rangé par ordres & par genre. Une robe courte ? Une jupe ? Un jean ? Son choix se porta finalement sur un jean destroy beach. Comme haut, elle prit un bustier blanc qui était échancrer à trois endroits différents… En dessous de sa poitrine puis à deux centimètres jusqu’à la fin. Elle porta son attention sur une petite armoire qui se trouvé jusque à coté de son armoire à vêtement pour chercher des chaussures. Elle enfila mes escarpins blanc qui suivait.

    Elle secoua une dernière fois sa colocataire & sortit de la chambre. Elle parcourra les couloirs qui la séparait des escaliers… Il y avait des ascenseurs mais elle détestait les prendre. Elle dévala les escaliers aussi vite qu’elle le pouvait pour rejoindre le salon. Lorsqu’elle arriva, quelques personnes étaient présente. Elle vit Plas avec un calepin. Elle ne l’a jamais vu aussi sérieuse. Elle pris peur au fond. Que se passa-t-il ? Allons-nous faire virer ? Il finit par nous exposer le soucis. En effet, les choses étaient vraiment sérieuse, trés sérieuse. C’est l’heure de se remuer les méninges les cocos !
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyDim 3 Avr - 0:56

" Viens, ma p'tite. disait Adibou. Il faut marcher dans la flaque. "

Fern contempla le petit homme orange d'un air vide. Il le tenait la main en plus, le bougre. Une main gantée d'ailleurs, de rose, accordé avec la superbe robe verte qu'elle portait. Magnifique. A ses pieds, il y avait une flaque, toute petite, pleine d'eau. D'eau de pluie ou de pisse ou d'autre chose en s'en foutait, il fallait marcher dedans parce qu'on le demandait. Le personnage la tirait par le bras, de plus en plus fort, se faisant insistant. Il avait - dieu sait pourquoi - une bouteille vide serrée dans la paume droite. Comme elle ne bougeait pas, il lui jeta un ultime regard désespéré puis bondit dans la flaque, seul, où il disparut. C'était vachement profond dit donc. Les genoux serrés contre la poitrine, la jeune fille fixa la surface plane et miroitante d'un air étrange. Bon dieu, mais c'était quoi ce rêve ?

Tient, on la secouait. Fern ouvrit les yeux légèrement. Le plafond, puis la tête de sa colocataire et enfin le bordel de leur chambre - dont elle était la principale responsable - lui apparurent. Rien que la perspective de quitter son lit et la chaleur bienfaisante qui régnait sous sa couette la décourageait. Elle avait juste envie de dormir, tout ce qui restait de la journée. En plus elle avait mal à la tête, ce qui n'adoucissait pas son humeur matinale. Enfin pas tellement matinale puisqu'on était en début d'après midi. Son regard vola jusqu'à son réveil : 16 h quelque chose. Pas de problème, elle pouvait se rendormir, il était tôt. En plus elle devait puer l'alcool après la pure soirée de la veille. Si sa tête était dans le même état que sa présumée haleine, pas question de sortir. Elle se tourna vers le mur, et enserra son oreiller avec force. C'était bon, il était froid. La brune aimait bien le froid, c'était agréable. Elle aimait le chaud aussi, surtout au lit, mais quitte à choisir elle préférait se retrouver au Groenland qu'au Sahara, parce que au Sahara on a soif. Et elle n'aimait pas du tout avoir soif. La soif, c'est nul et c'est pas drôle. La brune aimait ce qui est drôle. D'ailleurs c'était quelqu'un de très drôle, quand on ne la réveillais pas si tôt après une longue nuit.

" Fous moi la paaaaix... "

Sympa, ça donne tout de suite envie d'aller vers la personne qui dit ces mots. Fern l'aurait fait elle, sauf si la personne était mal éveillée. Le sommeil c'est sacrément sacré. Elle entendit Lexie s'habiller, dans la salle de bain. Elle avait au moins battu en retraite, c'était déjà ça. En refermant les yeux, la jeune fille songea à Adibou, celui qui avait disparu dans la flaque étrange. Quand elle était petite et qu'elle allait chez sa famille en France, elle se souvenait encore des heures passées devant l'écran avec ce personnage culte. Oh comme elle l'aimait Adibou, un jour il faudrait vraiment qu'ils prennent le temps de parler et de mettre à plat leur relation. Son corps s'engourdissait déjà, lorsqu'une main lui secoua l'épaule. Encore elle ! Bon sang, elle ne pouvait pas lui foutre la paix, comme elle lui avait demandé ? C'était trop compliqué apparemment. Putain, elle faisait un bruit monstre, la rousse lorsqu'elle sortit dans le couloir. On a pas idée de courir le lendemain d'une fête. Enfin si, pour voir si on tient debout, pour battre le record du monde de la marche en zigzag. C'était typiquement le genre de truc qu'elle s'amusait à faire. Bon. Quelle heure il était maintenant. Consulter son réveil demandait trop d'efforts, c'était trop loin et il fallait se retourner. Son portable, où était son portable. Elle glissa une main sous la couette, tâtant le matelas à la recherche de l'appareil, quand elle entendit un son mat. Cool, il était tombé, elle allait finalement devoir se retourner. Nul. En soupirant, elle roula de l'autre côté, les yeux plissés et saisi le mobile qui gisait sur le sol. Ah, un SMS. « Réunion Oméga au salon dans trente minutes. Important : tout le monde là, le plus sobre possible. Plas » Très marrant, vraiment très marrant. Maintenant elle savait pourquoi Lexie était partie si tôt et avait voulu la lever, deuxièmement elle avait envie de rire. Sobre. Non mais il avait pété un câble là son cher président. Elle passait son temps un goulot aux lèvres et il voulait la voir sobre. C'était un malade ce mec. Mais Fern se frotta les yeux et se décida à sortir de son confortablement adorable lit en maudissant tout ceux qui étaient à l'origine de ce levé de si bonne heure. Non mais c'est vrai quoi, il ne faut pas exagérer. L'habitude lui permis de surmonter l'épreuve de son bordel sans tomber et de gagner la salle de bain. Le miroir lui rendit une image d'elle pas si mal en fait. Elle était mignonne avec les cheveux en désordre, ça lui donnait un air gamin et sauvage. Un gamin sauvage, le genre de rencontre qu'elle voudrait bien faire, un jour. Sa brosse à dents lui paru sèche dans sa bouche, et le mélange bouche pâteuse - dentifrice ne se mariait pas très bien. Bon, pas la peine de toucher à son peigne, elle était très bien comme ça. Par contre si elle arrivait en sous - vêtement à une réunion ça ne le ferais pas tellement, même si elle était tout à fait désirable. Mais la flemme d'enfiler un slim - déboutonner, faire glisser, reboutonner c'est trop long - lui fit mettre une robe. Soutif propre, string propre, robe propre et pas trop lourde à porter, parce que aujourd'hui elle avait vraiment trop la flemme. Le genre qui prend la forme du corps sans trop mouler. Les chaussures, tout le monde s'en fichait, les gens n'ont pas le regard braqué en permanence sur vos pieds, merci bien. Elle se contenta d'une paire de ballerines, simples et qui ne faisaient pas mal aux pieds.

Fern referma la porte de la chambre derrière elle, puisque pour une fois elle avait trouvé les clefs. Bon, c'tait où déjà la réunion. Ah oui, au salon. Elle était à la bourre, pour ne pas changer les choses, et elle dévala les escaliers plutôt que de prendre l'ascenseur, de peur de s'y endormir d'un coup. Là, elle aurait vraiment été dans une merde pas possible. Le salon était plein, ou presque quand elle déboula. Je dis débouler parce qu'elle s'arrangea pour trébucher sur le pas de la porte. Si bien qu'elle faillit tomber, se manger le sol et se faire bien mal. Allons bon, il fallait s'asseoir quand même. La flemme - encore - de chercher, elle s'installa aux côtés de l'oméga qui lui servait de colocataire. Elle avait l'air inquiète celle là, d'ailleurs. Peut - être bien qu'elle culpabilisait grave de l'avoir réveillée. Il y avait Plas aussi, avec un calepin. Okay, il était devenu fou. Complétement malade. Quand il se mit à parler, sa stupeur atteignit des sommets. Oh la poisse. C'était très naze, ce qu'on leur annonçait là surtout avec la flemme de Fern qui l'empêchait de réfléchir. Oui bon, j'admet qu'elle est chiante sa flemme, mais c'est pas vous qui allez changer les monde alors chut. Ensuite Calvin dit un truc à son tour. Calvin, pourquoi il était si bien calé dans un si bon fauteuil d'ailleurs. Quel nul alors, mais Fern l'adorait. N'empêche son idée - débile - lui plaisait.

" Oh ouais, elle est bien son idée à Calvin. En plus on y prendra tous du plaisir, alors qu'en lavant des voitures ben voilà quoi. On pourrait genre vendre à boire dans la rue aussi, et puis boire en même temps ce qu'on vend. Pareil, c'est la notion je fais plaisir en me faisait plaisir. "

Décidément, elle avait vraiment des vieilles idées. Bon, mettons tout sur le compte de la fatigue. Et puis au fond, pour un lendemain de soirée, après un levé bien trop tôt c'est pas si mal. C'est juste banal quoi.
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyDim 3 Avr - 2:06

    On ne pouvait pas dire que ce jeudi débutait très bien car Keven fut réveillé en sursaut par son portable, au bout du fil un mec de l'administration qui le prévenu que dans une heure il était attendu pour une réunion exceptionnelle avec son co-président Plas. Hum, eh bien il avait bien fait de répondre! Le jeune homme ne savait pas trop à quoi s'attendre après cet appel mais une chose était sûr c'est qu'il était trop dans le coltard pour y penser de suite. Il se vira tout de même de son pieu quelques minutes plus tard, enfilant vite fait un short et se passant les mains sur les yeux pour essayer de se réveiller, il passa la porte de sa chambre pour aller voir la chambre d'à côté où logeait son partenaire. Lui aussi avait reçu le même appel, après s'être mutuellement posé des questions, ils partirent se préparer chacun de leur côté. Keven s'habilla assez sobrement, jean t-shirt, ça ferait l'affaire! Un peu plus de trente minutes plus tard, les deux jeunes présidents des Omégas se retrouvaient assis en face de tout un conseil qui s'était réuni spécialement pour parler de leur confrérie! Le jeune homme n'avait encore jamais été convoqué comme ça durant ses autres présidences et donc ne faisait pas vraiment le fier, se demandant si l'heure était grave. Kev' avait un peu les boules qu'on lui dise que sa confrérie déshonorée la faculté car il ne le voyait pas du tout de ce point de vue là, donc il se retint de s'énerver et de les envoyer chier en leur disant son point de vue sur la question. Bon pour ce qui était de la drogue et de l'alcool pour les mineurs, le jeune homme évita soigneusement le regard de l'oratrice, sachant très bien qu'ils étaient en 'faute' même si c'était un grand mot selon lui car toutes les confréries faisaient de même, c'est juste qu'eux ils en étaient fier et le montraient. Quand les menaces de fermer leur confrérie furent tomber, Keven resta sur le cul ne s'attendant pas du tout à ça, et c'est vrai que ça l'avait plutôt remonté. Fermer leur cercle?! C'était quoi ces conneries sérieux? A la suite de ce remontage de bretelles, et encore c'est peu dire, les deux présidents décidèrent de faire une réunion avec les membres de la confrérie, il était impératif de remonter la barre si ils voulaient encore loger ici l'an prochain! Kev' laissa Plas envoyer le message par sms avant de débriefer un peu sur ce qu'ils leur avaient dit. Ils montèrent en suite chacun dans leur chambre pour potasser un peu le dossier/contrat qui leur avait été remis. Ce genre de lecture n'était pas trop le truc du jeune homme mais vus que ça concernait sa confrérie et une éventuelle fermeture, il s'y pencha dessus assez sérieusement. On peut dire que tout ça l'avait bien réveillé! Il s'était tellement mis dessus qu'il se rendit compte qu'il allait même arriver en retard à leur réunion! Il ferma son dossier avant de prendre la porte après avoir pris un p'tit marteau en plastoc pour faire la loi en bas car les Omégas se sont des agités, il faut les cadrer! Une fois arrivée dans la salle, il n'y avait personne sauf Plas, ah Calvin arriva juste après et s'installa dans le siège le plus confortable, ce qui l'amusa doucement même si cela se voyait qu'il avait un air grave et donc que ça ne devait pas être une réunion de rigolade, pour organiser leur prochaine fête déjantée! Quand la plupart furent arrivés, le jeune homme tapa dans sa main avec son marteau pour demander le silence avant de laisser Plas parler. Après tout il n'avait jamais présidé alors autant lui laisser se plaisir, en plus il le faisait très bien, il avait eu le don de faire monter la tension au sein des rangs Omégas! Tout le monde semblait étonné et outré par cette menace de fermeture, ce qui pouvait se comprendre. C'est alors que Calvin leur sortit une idée du feu de dieu..hum ça dépendait du point de vue quand même et en plus de ça, une autre oméga, Fern, supporta son idée en argumentant un peu plus. Keven prit un air désespéré tout en se passant une main dans la nuque se disant qu'ils étaient mal barrés..en même temps ils avaient toujours pensé à la déconne alors là quand il fallait du sérieux c'était hard. Kev' se baissa pour attraper la bouteille d'eau qu'il avait pris avec lui, la déboucha avant de dire.. Le prochain qui propose une idée de ce genre, je m'en occupe personnellement, okay? Leur déclara t-il l'air sérieux et un peu menaçant mais en même temps de le voir aussi sérieux devait être assez amusant. J'suis sûr que vous tenez à la confrérie, alors si vous voulez encore trainer dans cette maison un joint au bec durant quelques années, il faut se bouger et essayer de penser comme..un bon Alpha ou un bon Iota. Déclara t-il tout en finissant par ne pas pouvoir s'empêcher d'esquisser une p'tite grimace. Penser comme un Alpha, bouuuuh qui aurait cru qu'il dirait ça un jour! Mais bon ils devaient voir l'évidence, les Alpha n'avaient aucun soucis pour leur confrérie, et même les Iotas sont toujours les pro' pour les œuvres philanthropiques donc..
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyMar 5 Avr - 18:36


Je marchais depuis un long moment déjà sur cette immense et sublime plage infinie, le bout des pieds dans l’eau quand j’aperçus un attroupement de gens en train de faire une partouze. (Un de mes hobbies.) Il y a avait du beau monde en plus. J’avais déjà couchée avec la moitié d’entre eux, mais j’avais plutôt hâte de pouvoir faire plus ample connaissance les autres. D’ailleurs pourquoi ne m’avait on pas invitée ? Je suis pourtant toujours la première pour ce genre de truc. Étrange. Je m’approchai d’un mec plutôt canon – pour le moment, un inconnu – quand il me tendit une bouteille de vodka que je m’apprêtais à vider quand il m’embrassa. Je jeune homme qui n’avait pas vraiment envie de perdre son temps s’apprêta à retirer mon t-shirt quand la sonnerie de mon téléphone retentit. La sonnerie de mon téléphone vous dites ?

J’ouvris lentement les paupières et m’étirai un long moment avant de reprendre mes esprits et de m’apercevoir que ce n’était qu’un rêve. Bah oui, forcément, une partouze à laquelle je ne suis pas conviée, c’était forcément un rêve. Dieu merci. Je jetai un coup d’œil sur le lit de ma colocataire. Il était vide et déjà fait. Elle devait être partie depuis un bon moment. J’espérais qu’elle n’avait pas profitée de mon état second pour faire quoi que se soit. Je secouai la tête quand je réalisai que la personne dont je parlais n’était autre que ma petite sœur. Plutôt dégueu. Je m’assis sur mon lit, mon dieu que j’avais la tête dans le cul – pour une fois c’était dans le miens – et attrapai mon portable qui n’arrêtait pas de sonner pour incendier le con qui m’avait réveillé aussi tôt. Après avoir regardé mon réveil, je décidai que finalement, à 15h30, ce n’était pas forcément tôt pour la plus part des gens. Je vais donc laisser passer ça d’autant plus que le message avait l’air des plus importants « Réunion Oméga au salon dans trente minutes. Important : tout le monde là, le plus sobre possible. Plas » Je souris à la lecture du fameux sms. Ahaha.. Il est marrant lui. Sobre. D’ailleurs, ça veut dire quoi sobre ? Enfin, passons, je n’avais pas vraiment le temps d’apprendre de nouveaux mots afin d'enrichir mon vocabulaire d'alcolo, il fallait que je m’active si je voulais être à l’heure.

Je filai donc dans la salle de bain et me préparai le plus rapidement possible. Du moins aussi vite que possible pour une fille qui s’est prit une cuite la veille. Vous me direz : comme d’hab. Oui comme d’hab mais que voulez vous, il faut croire que certaine personne ne s’y habitue jamais. Je m’habillai en vitesse avec les premières fringues que je trouvai. Je n’étais vraiment pas en état de réfléchir. Ce petit short et ce débardeur ferait très bien l’affaire. J’enfilai rapidement une paire de basket, traversai ma chambre afin de regarder la tête que j’avais. Pour une fille qui avait pris une bonne cuite la veille, j’étais plus pas mal. Modeste la Flavia, très modeste. Une fois cette petite vérification faite, je quittai ma chambre et me dirigeai au lieu de rendez-vous donné par Plas. J’étais –comme toujours – dans les dernières arrivés et une fois ma tournée de bise, de câlin et de plotage achevée, je m’installai dans le fond sur un pouf, dans quelques minutes tout le monde sera en train de débattre sur des trucs plus chiants les uns que les autres, et je pourrais dormir tranquille. « Des œuvres philanthropiques. » Finalement, j’avais mis moins de temps que prévu à m’endormir et c’est sur ce sont surement ces derniers mots qui me réveillèrent. J'aurais bien aimée proposer quelques idées mais avant, j'appelai Fern qui n’était pas trop loin de moi car une question me turlupinait : « Héé c’est quoi des œuvres philanthro-jesaisplustropquoi ? » Il faut croire que je n’avais pas été aussi discrète que je le souhaitais quand je croisai le regard de Kévin. Pas commode le Kévin aujourd’hui, pas commode. Tant pis, avec sobre, ça fera deux mots que je n'aurais pas compris aujourd'hui. Quelle ignorante, quelle ignorante. Je me fis sourire moi-même -oui, un peu autiste la Flavia - parfois c'était tellement le bordel dans ma tête que je pensais à des trucs vraiment, mais vraiment trop con. Parfois, pour vous dire, j'avais même l'impression de ne pas avoir complétement possession de mon cerveau, de mes pensées. Je laissais donc les autres proposer leurs idées parce que j’avais bien l’impression que nos chers présidents allez sortir les fouets là. L’idée de Calvin était géniale. Bon c’était Calvin est même si j’avais encore envie de lui foutre mon point dans la gueule, au fond c’était un mec bien et j’admettais que son idée était géniale. Je nous imaginais bien faire notre propre film de cul, je suis sure qu'il aurait un succès de dingue! On aurait peut être même un Oscar. On pourrait rajouter des petits effets spéciaux, et faire plusieurs épisodes avec pleins de suspens. Par exemple : A qui Flavia va t'elle donner le joins qu'elle vient de rouler? Vous le saurez dans le prochain épisode. Et là, t'as tellement envie de savoir, sinon tu sais que tu ne vas pas dormir de la nuit que tu regardes l'épisode suivant. Malheureusement cette idée n'était pas vraiment au gout des présidents. Je réalisai alors que la confrérie allez peut être fermer ses portes. Bon au début j’avoue que j’ai d’abord pensé à quelle nouvelle confrérie j’allais bien pouvoir intégrée mais après ces petites minutes où j’ai fais preuve d’une grande inconscience je réalisai enfin la gravité, l’immense gravité, l’horrible gravité de la situation. La fin des Omégas ? Mais ils sont malaaaaaaades ! Ho hé, faut se calmer là, fumez un petit pétard, ça fait du bien je vous assure..
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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptySam 23 Avr - 22:20

    Le jeudi est un jour sympa, en général. Pour Alcide, du moins. Ne donner cours que le matin, cela signifiait avoir congé l’après-midi… et quand la première heure de cours du lendemain a lieu à quatorze heures, pas besoin d’un savant calcul pour savoir ce que cela signifiait pour l’homme : dormir une bonne partie de l’après-midi du jeudi, puis faire un petit tour en ville, faire la tournée des bars, se chercher quelque chose d’intéressant à faire ou chercher quelqu’un d’intéressant à se faire… puis rentrer aux petites heures et profiter du reste de la matinée du vendredi pour essayer d’être à peu près clean pour le cours de l’après-midi. Un programme qui s’adaptait à toutes les situations, ou presque.

    Depuis que van Stexhe faisait partie des membres du personnel de Berkeley, il avait eu l’occasion de remarquer plusieurs choses. D’abord, qu’il avait tout intérêt à être dans les bonnes grâces de la direction et cela, quelles que soient les méthodes à utiliser, pour son propre bien. Ensuite, qu’il n’y avait pas de recette miracle pour être sûr de garder sa place… à défaut, il fallait faire attention pour éviter de se faire repérer dans les bras d’une jeune femme étudiant ici ou encore en train de s’enfiler de la bière dans son bureau pendant que ses étudiants devaient l’attendre. Enfin, qu’il devait trouver un moyen pour s’investir à fond dans l’université s’il voulait conserver tout ce qu’il avait acquis ici depuis son arrivée.
    À vrai dire, cela fonctionnait plutôt bien. Hormis les quelques fois où il était sorti se bourrer la gueule avec Edward la veille de réunions importantes et hormis la fameuse affaire avec Venn et Castello, Alcide pouvait s’estimer heureux : il restait sur les rails et s’y plaisait plutôt bien.

    C’est sans nul doute le fait qu’il s’entendait si bien avec Samuel Salaun qui avait poussé van Stexhe à poser sa candidature pour un poste de doyen de confrérie. Sam était doyen des Sampis – des scampis à l’ail – et ça lui réussissait plutôt bien. Alcide n’avait pas hésité longtemps. Okay, le vert était sa couleur préférée, mais il pouvait bien la laisser à Sam et se diriger vers le jaune… ne serait-ce qu’en hommage à tous les hommes qu’il avait rendus cocus dans sa vie. Puis le jaune, c’était le soleil, la lumière, l’espoir et toutes ces conneries. Une symbolique sympathique. La bière et le whisky, c’était à peu près jaune aussi. Alors il s’était décidé et avait rédigé une lettre de motivation dans les règles de l’art, expliquant son projet pédagogique et les responsabilités que mobilisait ce poste. Dans les règles de l’art, dans ce cas-ci, c’est trouver la bonne formulation, trouver les mots qui permettent des doubles sens pour éviter d’avoir à mentir. En bref, enrober des projets dingues sous le couvert de l’éducation permanente, de l’égalité des chances et tout ce genre de choses qu’on peut retrouver dans toute une série de décrets que personne ne lit jamais.

    Et ce jeudi, la nouvelle était tombée en tout début d’après-midi :


    « Alcide van Stexhe, vous voici doyen de la confrérie Oméga… Bon courage. »

    Sourire en coin, Al n’avait pu s’empêcher de serrer chaleureusement la main du type dégarni portant des lunettes en forme de… en forme de quoi, au fait ? sur le coup, van Stexhe avait pensé à un poireau, mais en y réfléchissant bien, il y avait peu de chance qu’il s’agisse de cela. Soit, tout le monde s’en fout, de toute manière. Le « Bon courage » du vieux – oh, il ne devait avoir que quelques années de plus qu’Alcide, mais il était vachement moins bien conservé, hurlait dans la tête du professeur de psychologie sa petite voix intérieure qui gagnait en franchise ces temps-ci – avait sonné comme un couperet…

    "Merci pour vos encouragements. Mais ne vous en faites pas trop pour moi…"
    "Ne vous attendez pas à une sinécure, Mr van Stexhe, les Omégas sont au plus bas."
    "Comment ça ?"

    Et le vieux, qui avait visiblement envie ou besoin de parler, s’était mis à expliquer à Alcide que la confrérie Oméga était en danger, quasiment en maintien, que les étudiants avaient tous des résultats médiocres, que leurs soirées les transformaient en loques et qu’il était plus que temps qu’ils se prennent en main et qu’ils montrent à tout le monde qu’ils en avaient dans le cervelet…
    Van Stexhe écouta attentivement. D’accord… bon, effectivement, loin d’être une sinécure, il s’était lancé dans un vrai champ de bataille et en plein milieu d’affrontements, qui plus est. Le professeur hocha plusieurs fois la tête, la pencha de côté, se frotta le menton et se gratta le bras sans jamais quitter le vieux des yeux.


    "Je comprendrais que vous n’ayez pas le temps de vous occuper de tout cela en plus… j’ai appris que vous assuriez déjà trois cours différents dans l’université, alors je…"
    "Aucune inquiétude. J’aime les défis et celui-ci est de taille !"

    L’homme avait ponctué ses paroles avec un clin d’œil. Oui, il était assez sûr de lui, sur ce coup. Déjà parce qu’il avait eu l’approbation du conseil d’administration pour ce poste. Ensuite parce qu’il s’était tapé la secrétaire et qu’il était au courant de quelques petits détails, appris comme des confidences sur l’oreiller… et enfin parce qu’un challenge pareil, c’était le pied total !
    Le vieillard annonça à van Stexhe que les deux présidents de confrérie d’Oméga allaient être reçus dans le courant de l’après-midi pour parler de tout cela et pour leur mettre la pression. Parfait. Cela allait permettre au professeur de faire une entrée remarquée dans la maison de la confrérie.

    Montre en main – sa montre Oméga, tiens, quel hasard –, Alcide se planqua dans un coin pour choper la secrétaire et lui faire promettre, grâce à quelques procédés tout à fait personnels, de lui faire un compte rendu complet de cette réunion.
    Et en attendant le moment précis où Jane – la secrétaire – allait le rejoindre dans son bureau pour une séance de massothérapie avancée, van Stexhe passa son temps à relire les conneries qu’il avait mises dans sa candidature. Si la confrérie était en danger et que lui avait été accepté comme doyen, il devait suffire de bien peu pour mettre en avant l’un ou l’autre aspect du projet interne à Oméga… et puis il s’endormit sur ses papiers, oh, pas bien longtemps, une heure, quelque chose comme cela, et ce fut Jane qui le réveilla en frappant à sa porte.
    Jane la coquine… Lui extorquer des informations était terriblement facile. Sur une vingtaine de minutes, elle disait tout ce qu’elle savait. Cette femme avait l’air incapable de se taire quand Alcide était avec elle. Elle parlait quand il la caressait, elle parlait quand il l’embrassait, elle parlait quand il la prenait sur le bureau et elle parlait encore après tout cela. Increvable.

    Cette fois, ce qu’elle apprit au professeur lui donna matière à réflexion. D’après les dires de la secrétaire, Tanners et Pryce, les deux présidents de confrérie, avaient eu droit à la totale. Passer devant le conseil au complet, c’était quelque chose. Surtout quand il s’agissait d’une mise en garde. À moins que… mais non, température prise, Jane affirma que rien n’était joué et que la confrérie pouvait encore remonter la pente, qu’il suffisait que les étudiants s’investissent dans des œuvres philanthropiques, qu’ils fassent de bonnes actions et tout ça pour avoir une chance de ne pas finir au rebut.
    Mouais. Ok. Alcide savait ce qu’il voulait savoir. Il termina rapidement ce qu’il était en train de faire avec la secrétaire, puis prit sa veste et raccompagna Jane jusqu’à sa voiture, non sans la remercier pour le moment passé ensemble et blablabla. Même au moment de se dire au revoir, elle parlait encore. Pfiou. Elle était carrément soulante, celle-là.

    Toutefois, soulante ou pas, elle avait fourni à l’enseignant des éléments qui allaient pouvoir lui servir à assurer dans son nouveau rôle de doyen. Tiens, c’était marrant de se faire appeler « doyen »… quand il était gosse, ce mot-là ne lui faisait penser qu’à des curés qui géraient plusieurs paroisses. Qu’avait-il de commun avec un curé, franchement ? Rien… à part peut-être son goût pour les jeunes femmes, mais dire ça, ce serait un peu facile. Blague nulle.

    Se dirigeant vers la maison de confrérie Oméga, Alcide était en train de mettre en place tous les éléments dans sa tête. Il ne savait pas s’il était l’homme de la situation, mais il pouvait au moins faire sa première apparition dans la confrérie à un instant dramatique. Devant la gravité des nouvelles qu’avaient apprises les deux présidents, il y avait de fortes chances que ces deux étudiants aient battu le rappel pour annoncer la couleur au reste de la confrérie.
    Et, comme de juste, en entrant dans le bâtiment réservé aux Omégas, van Stexhe entendit des éclats de voix, qu’il suivit. Le salon, évidemment. La porte était ouverte et l’homme s’appuya contre le chambranle, bras croisés, écoutant ce qui se disait. La première idée qu’il entendit fut celle du film érotique. Idée acceptée immédiatement par une jeune femme. Mais l’un des deux jeunes hommes qui présidaient la réunion – et qui, donc, devaient être les présidents d’Oméga – rappela les autres à l’ordre…
    Voilà au moins quelqu’un qui cherchait à faire avancer les choses réellement. Alcide frappa trois fois dans les mains, comme pour souligner que ce que Keven venait de dire récoltait ses suffrages de prof, puis il s’avança un peu, restant malgré tout un peu en arrière par rapport aux étudiants présents.


    "Hello les jeunes… Désolé de débarquer comme ça, sans prévenir, mais vu les circonstances…" Il eut un geste un peu théâtral pour montrer sa désolation, puis reprit, après deux secondes de silence : "Je ne pense pas qu’on se connaisse, mais on aura tout le temps pour ça. Alcide van Stexhe, prof de psycho, de critique d’art et d’un truc dans le journalisme notamment… et accessoirement, le nouveau doyen de la confrérie Oméga."

    Mouais, il aurait pu faire un effort et avoir le courage de dire le nom du troisième cours en entier. Mais au fond, c’était loin d’être le plus important. Qui était intéressé par le nom d'un cours, franchement ?

    "Pour faire simple, vous êtes dans la merde jusqu’au cou… et même si je serai le premier à acheter votre film érotique, je ne suis pas certain que ça fasse l’unanimité."

    Son entrée avait été discrète, mais il était en train de monopoliser la parole. Normal, déformation professionnelle. L’homme s’avança vers les deux présidents de confrérie pour ensuite se tourner vers les autres étudiants, comme l’orateur qu’il avait l’habitude d’être…

    "Simple idée comme ça : divisez vos soirées en deux parties. D’abord une soirée soft, où les vieux comme moi... pourraient s’amuser… un truc de karaoké, ça marche très bien chez pas mal de profs. Vous refilez une partie des bénéfices aux enfants unijambistes tétraplégiques du Bhoutan et à 2h du matin, vous foutez tout le monde dehors… et là, la vraie soirée commence, celle qui rappelle les orgies romaines, celle où vous vous éclaterez vraiment. Votre récompense pour une bonne action, en clair."

    Bon, ce n’était qu’un début et une idée venant d’un prof, dans ce genre de débat, n’avait pas toutes les chances d’être acceptée. Surtout quand le prof était inconnu de la plupart des étudiants. Alcide repéra bien Calvin – le légume de son cours –, puis Brianna – la bombasse – et même… Fraisinette O_o et là, ce fut le drame. Merde merde merde. La rouquine du club… était une Oméga ??? Alcide tombait des nues. Non, ne pas penser au mot "nue", ce n'était pas indiqué dans cette situation...
    L’homme la fixa un instant. Puis il se força à laisser son regard balayer le reste de l’assemblée.


    "… Si vous aimez les challenges, vous pouvez même pousser jusqu’à l’extrême : pas une goutte d’alcool à votre « before »… vous gardez tout pour l’ « after »…"

    Alcide s’adossa contre le mur du fond. L’idée qu’il avait lancée ferait son bout de chemin. Ou pas. Mais au moins, il avait essayé d’amener une conscientisation responsable… tout en ayant cet aspect un peu contrevenant, sans vraiment l’être. Le conseil voulait des œuvres philanthropiques ? Eh bien van Stexhe envisageait ça d’une manière tout à fait pratique et réalisable, tout simplement.

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MessageSujet: Re: › there will be blood Ω OMEGA ı › there will be blood Ω OMEGA ı EmptyDim 24 Avr - 14:49

    La rouquine s’était réveillée en plein milieu de l’après-midi. Il fallait dire qu’elle avait passé la nuit à faire la fête comme à son habitude. Elle ne devait pas avoir une superbe tête. Son portable s’était allumé en éclairant l’ensemble de la chambre. Deux minutes après, le portable de sa voisine fit la même chose. Lexie éclata de rire. Lorsqu’elle avait un taux trop élevé d’alcool dans le sang, la rouquine rigolait… Généralement pour rien. Heureusement pour elle, son rire était joli à entendre. Oui, heureusement pour elle. Le message donnait rendez-vous à toute la confrérie dans le salon. Dans un état sobre… Hum. Impossible que les gens soient sobre. C’est vrai demandez aux autres comment ils voyaient les Omégas. Ils vous répondraient que ce sont les éternels fêtards & qui étaient souvent, voir même trop souvent, soul. Non, le mot « sobre » ne fessait pas partie du dictionnaire Omega. Lexie, après s’être rendormie, avait fini par se releva une demi-heure plus tard. Elle essaya de réveiller sa déjanté de colocataire. Cette dernière l’envoya Petre. Lexie rigola, elle savait qu’elle avait réussi à la réveiller. La rousse décida de prendre une douche pour tenter d’enlever les stigmates de la veille & en même temps, pour la réveiller. Est-ce que cela avait marché ? Surement… Du moins, ca l’avait réveillé complètement. Elle s’habilla le plus vite possible : Jean destroy & bustier blanc.

    Après avoir secoué une dernière fois sa colocataire, la rouquine dévala les escaliers jusqu’au lieu de rendez vous. Elle se doutait bien qu’elle n’était pas la seule à être en retard. Ils n’étaient pas beaucoup. Elle avait vis l’un des présidents de sa confrérie tenir un calepin. Bon dieu, ce n’était pas une blague à la Oméga. C’était du sérieux, sérieux. Après avoir embrassé chaleureusement ces confrères, elle s’installa sur l’un des canapés libres. Ils attendirent encore quelques instants que les autres confrères débarquèrent. Plas reprit la parole & leur exposa ce qu’il se passait. Apparemment, les deux présidents avaient eu une convocation devant le grand tribunal. Oui c’était comme çà, elle l’appelait le conseil de l’administration. Apparemment, la confrérie était mal vu par le tribunal. Au point qu’il voudrait la dissoudre. Faire des œuvres philanthropiques… Philan quoi ? Ok. Réfléchis Lex’… Fais marcher ton cerveau ramolli… Ah, c’est le lavage des autos, la vente de gâteaux… Le truc banal. Le truc qui ne correspond pas du tout aux Omégas… Non mais c’est vrai. Comment les infernaux pétards pouvaient faire des choses aussi sages ? C’est comme voir un Oméga dans une bibliothèque, c’est une chose quasi impossible. Calvin... Son dieu Calvin proposa un film érotique. La rouquine éclata de rire. La proposition correspondait bien à son image. Fern prit à son tour la parole. Elle approuva l’idée & proposa aussi la vente de boisson. Kevin stopa un peu le délire. Quand il le voulait, le Kevin pouvait être menaçant. Cela cassait presque son image de beau gosse d’Omega. Il reprit la parole… & Lâcha une phrase qui la fit grimacer. Penser comme un bon Alpha ou un bon Iota. Hum. Vu l’état de son cerveau, cela semble mission impossible.

    Alors qu’elle semblait se perdre dans les pensées, la rouquine sursauta. Quelqu’un venait de taper dans ses mains. Elle se retourna & eut comme un léger choc. Que fessait-il ici ? Il était convenu qu’ils se voyaient qu’au club. Comment avait-il su qu’elle étudiait ici ? Ne dites pas qu’il est… Il se présenta… Oh bon dieu, c’est un prof de l’université… Un collègue à son frère. Mais aussi maintenant accessoirement son nouveau doyen. Dans quel pétrin, la rouquine s’était-elle fourrée ? Elle revoyait les images de la soirée se défiler. Au bon dieu, qu’il avait été doué ce soir là. Il serait le premier à acheter le film érotique. Lexie ne put s’empêcher de rire. Cela ne l’étonnait pas. Il s’avança vers les deux présidents & se retourna vers les autres confrères. Il n’ara son idée. Elle ne retenait que quelques mots : Truc de karaoké… Enfants unijambistes tétraplégiques du Bhoutan… Foutez dehors tous le monde & orgies romaines. L’idée du doyen donnait une idée à la rouquine. Elle vit Alcide regardait tour à tour chacun des étudiants présents dans la pièce. Elle sentit son regard chocolat se poser sur elle… Elle leva ses yeux & croisa son regard. Elle y lit de la surprise. Oui, Fraisinette était une étudiante. Une Oméga. Une fêtarde. Cela l’étonnait-t-il ? Elle lui avait dit qu’elle aimait aimer sans engagement. C’était un crédo de la confrérie non ? Du moins c’est comme cela qu’elle voyait une Oméga. L’homme qui était venu la voir en lui demandant de lui vider sa tête le temps d’un soir, leur proposa un challenge… Pas de gouttes d’alcool… Jusqu’à l’after. Bon dieu qu’il était fou cet homme !

    Lexie prit la parole. Elle avait été silencieuse. Mais il était temps qu’elle expose son idée. Elle resta assise. « Moi j’ai une idée. » La rouquine chercha un instant ces mots… C’était quoi déjà le nom de famille d’Alcide ? Hum.. Van quelque chose… Allez Lex. Réfléchit… Van Stexhe. Voilà c’est çà. « Grâce à vous Monsieur Van Stexhe, j’ai eu une idée. Non pas que la votre soit nulle » Elle le regarda en souriant. Elle se dandina sur son fauteuil… « Et si on fessait un spectacle » Elle regarda ses deux présidents. « Je m’explique. Un spectacle auquel on ferait bien l’entrée… Ca fait très Philanquelquechose non ? Mais le truc c’est qu’on reste Omega.. Durant le spectacle, on pourrait faire des danses… Les danses d’Oméga bourraient. Ca serait en même temps une excuse pour boire sans se faire grillé. De plus, on pourrait y jouer quelques sketchs. Du genre, tourner en dérision notre situation.. Mais merdouille on est des Oméga Brin ! On sait faire la fête… Alors montons nos fêtes en spectacles & fessons payer l’entrée ». La rouquine se calma & regarda sa colocataire à côté d’elle. Elle avait besoin d’aide… Elle était devenu folle là il faut bien croire. « hum. Désolé, je me suis laissé emporté je crois bien… » La rouquine s’enfonça dans le canapé & attendit que quelqu’un réagisse à son idée.
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