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familly blood • pv

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MessageSujet: familly blood • pv familly blood • pv EmptyMar 4 Jan - 3:54

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le règne familiale peut commencer

PRÉCÉDÉMENT CHEZ LES WELLINGTHON
« Moi ? Mais.. mais t’en ai sure ? Et Shabbela elle ? Papa, tu sais très bien que j’en ai rien à…. Non attends un peu ! Bien.. non c’est pas ce que je… oui… on se voit bientôt. Avec Shabb si possible… Je t’aime aussi, embrasse maman. »
Il y a quelques jours, j’avais reçut cet appel un peu troublant de la part de mon cher papa adoré. Tout n’était pas clair dans ma vie en ce moment. Ma relation avec Anton, mes études, mon choix d’avenir. Je savais que j’allais devoir faire un choix et qu’un jour, papa allait décider de léguer son entreprise. Dans mon cas, tout avait toujours été net : je ne voulais rien savoir de cette compagnie. La Wellingthon cosmétique était sans doute la plus grande entreprise de cosmétique du brésil, elle avait traversé les océans, les continents et les cités, mais il fallait se l’avouer : je n’étais pas la plus qualifiée pour assurer la relève. Après tout, je n’avais que de médiocres études en politique, quelle avantage cela m’offrirai ? Je n’étais même pas en mesure de m’occuper de moi-même sans pénaliser le reste de ma vie, alors comment pouvoir la charge d’une entreprise aussi grosse que celle-ci sur mes épaules ? Et pour l’instant, bien que mon père m’avait prise au d`pourvue, je n’avais pas donné ma réponse officielle. Je devais réfléchir. Voilà pourquoi je n’en touchai point un mot à ma sœur. Toutes les familles ont ses démons. Le notre était cette rivalité. J’étais l’ennemie sur ce point et je ne voulais pas qu’elle monte sur c’est grands chevaux alors que ne n’avait rien choisis. Après tout, je lui en parlerai lorsque ce serait confirmer. Ce n’était pas un secret d’état, je le conviens.
La nouvelle que j’avais apprise il y a quelques jours m’avait bouleversé. Des deux côtés, je faisais mal à l’un des deux. De l’un, mon père qui comptait sur ma relève. De deux, ma sœur qui comptait sur ma franchise. Si j’acceptais, je savais que Shabbela ne se cacherait pas sous un masque. Elle ne jouerait pas à celle qui ‘’est heureuse pour moi’’ et ‘’qui ne m’en veut pas’’. Je sais très bien qu’au fond, aussi blessé qu’elle le sera, elle voudra m’arracher les yeux, et pourquoi pas même la tête. Je la comprenais… elle aurait la même réaction que si j’apprenais qu’elle couchait avec Anton, par exemple. La relève de l’entreprise était importante pour elle, cela voulait dire qu’elle aurait un nom. Elle serait reconnu mondialement pour ses produits, ce qui pour ma part ne m’intéressait pas. Je me fichais de l’argent, de la gloire et de tout ce qui venait avec. Si j’avais à être connue, je voulais l’être pour ma personne et non pas pour un entreprise sorti frais et chaud des mains de mon paternel. Je voulais faire mes propres choses, quitte à me planter seule. De cette façon, je n’avais ni pression, ni reproche, ni jugement. Je menais ce qui me plaisait, un point c’est tout. L’entreprise me brimerait de cette joie et de ce mode de vie.
Aujourd’hui, je relâchais la pression. Pas question de penser à mes problèmes, j’avais prévue une soirée de shopping jusqu’à la fermeture des boutiques en compagnie de mon double. Être en face de Shabbela, bien que nous ayons habité la même maison durant notre adolescence, m’étais toujours apparut bizarrement. C’était comme si j’étais face à une glace permanente. Je voyais en elle le reflet de qui j’étais, sans pouvoir réellement penser que c’était moi. Shabbela… un centimètre de plus que moi, un tantinet plus surprenante que moi, une moyenne une fois sur deux plus haute que moi, mais surtout réellement plus jolie. La regarder était comme offrir à mes yeux un supplice, me tuant à petit feu. Tout ce que j’étais, sans vraiment pouvoir l’avoir se trouvait face à moi. Aux yeux de tous, nous étions identiques, du pareil au même. À mes yeux, je voulais avoir tout d’elle. Notre relation plus ou moins tendu ne tenait qu’à un fil. Une erreur, une mauvaise parole et nous pouvions dire adieu à notre bonne fois. Chacune possédant ce fort caractère et cette vitalité, nous pouvions alimenter en un quart de secondes un départ sur une paire de chaussures, causant presque la troisième guerre mondiale. La troisième guerre mondiale… ce serait exactement le cas si elle venait à apprendre, surtout aujourd’hui, ce que papa nous réservait. Arrivée enfin à notre point de rencontre, c’est toute sourire que je l’attendais. La voyant entré dans le café, son air peu heureuse de me voir à la figure, je fis prise d’un élan d’angoisse : et si les fourmis lui avaient tout dis ? Je délirais… comment aurait-elle pu apprendre la nouvelle qui tournait en boucle dans ma tête ? Je me levai pour tout de même l’accueillir lorsque ses paroles me refroidir. Je fis un pas en arrière, comme si je venais de recevoir une claque en plein visage. Abasourdie, je répondis le premier truc qui me vint en tête. « Et qu’est-ce que ça peu faire ? » et voilà, je signais mon arrêt de mort. Autant dire adieu aux fringues, aujourd’hui nous n’allions surement pas shoppiner entre sœurs mais bien se battre pour la compagnie… « ce que ça peut faire ? Tu ne te rends pas compte. J’ai l’impression que tu ne réalise pas. » Non, en effet, je ne me rendais pas compte de ce qu’il pouvait y avoir de mal. Je n’avais ni acceptée, ni refusée… « Et tu comptes accepter la proposition de papa alors ? » je su alors que c’était peine perdu…

AUJOURD’HUI CHEZ LES WELLINGTHON
Le soleil était à peine levé que déjà j’étais debout et ce toute réveillée. Aujourd’hui, j’avais décidé de laisser l’amertume de côté pour régler une fois pour toute l’histoire avec ma sœur. Les disputes me jouaient sur les nerfs, j’étais tendu et suite aux évènements des derniers jours je ne devais l’être. Cela faisait un long moment que je n’avais pas pris de nouvelle d’elle – ni à sens inverse à vrai dire – mais il y a un début à tout… non ? Aujourd’hui, j’allais la forcer à me parler. Nous ne pouvions nous éviter toute notre vie à la fin… nous étions de la famille ! J’attrapai mes clés en vitesse puis me dirigeai vers la confrérie des bêtas où logeait nouvellement ma sœur depuis nos changements de confréries. Montant les escaliers quatre à quatre, j’arrivai à la porte de sa chambre plus rapidement que je l’eu cru. Je toquais une première fois, sans réponse, puis deux et trois avant de jeter un coup d’œil à mon portable pour me renseigner de l’heure. Huit heure moins quart tapant sur l’horloge digitale de mon portable, un peu trop tôt pour elle en une journée d’abstinence de cours. Peut-être avait-elle fêté la veille… son réveil allait donc y être un peu féroce. « Shabbela ouvre moi cette foutu porte ! » criais-je en tapant dans la porte une nouvelle fois jusqu’à ce qu’elle vienne m’ouvrir – toujours d’un pyjama vêtu. Je lui souris, signifiant un bon mâtin enjoué, avant d’enchaîner. « On a besoin de parler, je crois » dis-je en entrant dans sans chambre, ouvrant par le fait même les rideaux pour laisser le soleil entrer dans la pièce. « Tu as du café peut-être, je pense que tu en auras besoin avant que l’ont attaque le vif du sujet. » elle avait voulu me faire la gueule pendant des semaines : elle allait payer ses actes. Avec Ambrae Bass Wellingthon, ça passe ou ça casse, et cette fois elle avait cassé. Je ne cherchais pas à empirer notre situation actuelle, je voulais au contraire la réparer quitte à ce qu’elle passe toute sa colère sur moi avant que j’accepte ou non la proposition de notre père. Je pris place sur son lit alors que je tentais tant bien que de mal de me positionner de façon à ce qu’elle ne remarque aucun bleu, aucune entaille qui étaient survenue lors de mon agression : je ne voulais pas de pitié je ne voulais que discuter.
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MessageSujet: Re: familly blood • pv familly blood • pv EmptyDim 1 Mai - 23:24

      L'adolescence un période dure pour tous les adolescents normaux, mais voilà, il fallait croire que Shabbela n'était pas une adolescente normale. Retrouver sa sœur jumelle alors qu'on la croyait morte, c'était déjà un choc, mais quand en plus elle est en position pour vous piquer ce qui vous reviens de droit alors la la guerre était totalement déclarer. Shabbela était du genre à tous prendre au quart de tour, à chaud, à s'énerver quand elle apprenait quelques choses qui lui déplaisait. Et voila que sa sœur jumelle osait demander sa part du gâteau. Shabbela avait-elle toujours les nerfs à vifs part rapport à cette histoire ? Bien sûre. Comment aurait-elle pu oublier la façon dont elle avait appris que sa soeur allait reprendre WELLINGTHON COSMETICS ? Elle ne pouvait pas. Elle aurait aimé que sa soeur soit franche avec elle, au lieu de sa, Ambrae avait garder sa pour elle et ne lui avait rien dis. Pourquoi avait-elle fais sa ? Shabbela pensait vraiment qu'elles étaient devenu proches et qu'elles pouvaient tous se dire, mais il fallait croire que se n'était pas le cas.

      Flash Back
      Shabbela était entrain de danser sur le parquet de sa chambre. Elle avait son jolie iPod rose dans les oreilles. La chanson Dancing Tonight de Kat DeLuna à fond, elle n'entendis même pas son amie entrer. Quand elle la vit, elle sursauta et une main sur le cœur lui montra qu'elle avait eut peur de la voir ici alors qu'elle ne l'avait pas entendu entrer. Cela faisait longtemps qu'elles ne s'étaient pas vu. Le Brésil c'était il y a longtemps. Elles s'étaient vu cette été, quand elles avaient pu passer quelques jour au bord de la mer dans la magnifique maison au bord de la mer des WELLINGTHON. "Qu'est-ce que tu fais ici ?" lui demanda Shabbela intriguer de la venue de son amie de si loin. Elle n'était quand même pas venu jusqu'a elle, juste pour la voir. Elle n'était pas si bonnes amies que sa. "Shabb' je sais pas trop comment te dire sa. J'étais de passage donc il fallait absolument que je vienne t'en parler parce que je doute que tu soit au courant." Son amie avait dis cela sur un ton affligé. Shabbela commença à prendre peur. Que se passait-il ? Était-il arrivé quelque chose à ses parents restés au Brésil ? " Écoute, au Brésil, il se dis que ton père aurait proposé à ta sœur les reines de WELLI' !" A ses paroles, Shabbela s'éfondra. Elle avait travailler toute sa courte vie pour plaire à ses parents. Les études de chimie c'était pour eux, et voila qu'ils donnaient la société à sa sœur. A non cela elle ne pouvait pas le concevoir. Elle avait beau retournée la situation dans tous les sens elle ne voyait pas. Elle avait rendez-vous avec sa jumelle dans l’après-midi, elle lui dirait se qu'elle pensait à se moment la.

      Et voila des semaines que les deux sœurs ne se parlaient plus, que Shabbela évitait le plus possible sa jumelle. Elle n'était pas arriver à digérer l'histoire. Elle n'en avait rien à faire de cette société jusqu’à se qu'on le lui enlève. Elle ferait tout pour qu'elle lui revienne. C'était elle qui avait fais des études de chimie et qui serait encore plus à même de reprendre les reines de l'entreprise. Shabb' était passer en mode "je répète encore et encore la même chose et je ne veux rien entendre d'autre". Et pourtant en ce jour ensoleiller, Ambrae en avait décider autrement. Il n'était que sept heure quarante cinq quand elle entendit la porte frapper. Il était encore beaucoup trop tôt pour ouvrir à qui que se soit. Mais elle insista et la jeune étudiante n'eut d’autre choix que lui ouvrir. Toujours en pyjama noir, à moité endormi, c'est alors l'obscurité de la pièce qui accueillante sa sœur. Cela n'était pas fais exprès mais, cette noirceur reflétait à merveille la rancœur qu'avait Shabbela pour la jeune fille.Ambrae s'invita, ouvrit les rideaux et s'installa sur le lit encore défait. La jumelle parlait si vite que Shabbela encore endormi ne comprenait pas un mot de se qu'elle racontait. Elle voulait s’expliquer. Elle n'était pas encore assez réveiller pour parler, alors elle sorti de la chambre, laissant sa sœur parler. Elle descendit prendre une tasse de café, en pris une seconde pour sa sœur par politesse et remonta dans la chambre. Ambrae était rester la sur le lit. " Bon tu veux qu'on parle ? Parlons ! Mais sache que je n'ai plus rien à te dire. Tu m'a pris la seule chose qui me tenait vraiment à cœur" dit-elle à sa jumelle en lui tendant sa tasse de café.
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MessageSujet: Re: familly blood • pv familly blood • pv EmptyLun 2 Mai - 21:14

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le règne familiale peut commencer

Les chichis de «elle m'a volé ma poupée» ou «elle me tire les cheveux» d'enfant pourris gâtés qui s'amusent à trouver des pépins partout où il n'y en a point m'énervaient. Je ne suis pas le genre de personne à aimer les disputes, d'ailleurs je préfère les fuirent. Je ne me prends pas la tête avec les gens que j'aime puisque je trouve cette attitude futile. Il arrive simplement quelques fois où les désaccords sont trop grands et où, malgré la force que j'appuie sur moi-même afin de résister aux engueulades non-importantes, je cède et j'éclate. Ma dernière rencontre avec Shabbela c'était mal passé. En effet, elle avait été l'explosion d'une nouvelle dispute chez les Wellingthon. J'aimais Shabbela, du plus profond de mon cœur, bien que je le gardais secret et que lui dire me semblait trop demander, et me disputer avec elle était d'autant plus idiot, mais son attitude envers moi n'était pas celle qu'une sœur devait offrir. Je confrontais donc la dispute afin de la régler une fois pour toute. Il fallait vraiment avoir un poids à la place du cerveau pour agir comme je le faisais et confronter une Wellignthon à une heure si matinale. Les wellingthons étaient reconnues pour leur fort caractère, une bonne partie des étudiants de Berkeley avaient pu le reconnaître, pourquoi risquais-je le pire alors que je pouvais regarder la scène comme une spectatrice, laissant le peu de fraternité qui nous restait s'envoler? Simplement parce que le sentiment fraternité que je ressentais était d'autant plus persistant et fort que toutes les disputes et crises du monde entiers, même si celles-ci portaient le nom de Shabbela. Assise sur sont lit, je la regardai jouer à la gamine et s'exprimer comme une adolescente en crise de nerfs, criant bêtement qu'elle n'avait plus rien à me dire. J'étouffais un fou rire, du moins j'essayais de ne pas éclater de rire devant elle. «Attends? Tu veux rire? Tu joues la carte de la culpabilité. Eh bien ma chère, ça ne fonctionnera pas avec moi! » Je la regardai pendant un long moment, je sentais cette boule d'énervement monter en moi. Reste calme, Ambrae. Ce n'était surtout pas le moment de perdre le calme que j'avais acquis et de ruiner tout mes efforts pour des paroles que ma chère sœurs regretteraient dans quelques instants. La patiences à ses vertus, dit-on. « J'ai tout perdu Shabb! De A à Z, et au point où j'en suis je préserverai ce qui me reste! Je me sentais mal pour toi, ça me brisait le cœur d'avoir obtenue la succession à ta place, mais met toi à la mienne trente seconde! Comment tu te sentirais après... » je m'arrêtait là « Et puis je vois pas pourquoi je viendrais pleurer sur mon sort à une personne qui n'en à rien à faire de mes explications. Tu veux jouer à l'enfant qui boude, boudes dans ton coins alors. Je ne peux pas satisfaire toute la terre, encore moins les membres de la famille Wellingthon! » Je pris une grande inspiration. Il est vrai, que c,est temps-ci j'ai essayé de faire plaisir à tout les gens que j'aime, passant de mon copains aux personnes de ma famille. J'ai passé trop de temps à me détruire pour faire vivre les autres et récemment j,ai compris qu'en étant moi au dépend des autres je ne faisais que me nuire. Faire que les gens de mon entourage soient heureux était devenue une tâche trop ardue pour qui j'étais. Je ne pense pas que Shabbella ait été mise au courant des derniers tournants de ma vie. De ma séparation récente à la perte de mon bébé où même à ma dépression camouflée. Elle ne méritait pas le plaisir de la nourir de mes ennuis pour qu'elle s'en serve contre moi. Car je sais bien qu'elle serait prête à tout pour retourner n'importe quel situation à son avantage. « Si tu veux m'en vouloir, vas-y. Je ne t'en empêcherai pas, Shabbela. Mais dis-toi bien une seule chose : tu as toujours été leur favorite et le jour de mon viole, ils n'ont pas eu peur au même point que si ça avait été toi à ma place. Et malheureusement, tu le sais.. » J'étais une débauchée à l'époque. Une pauvre fille, basculer d'un environnement à un autre, qui avait tout perdu. Décidément, la vie m'en voulait. À force de perdre mon idéal à chaque instant, je commençais à y croire réellement et retombais dans mes mauvaises habitudes. Les raisons de ma ruptures me semblait claire ainsi que celles de mes disputes avec Shabbela. Elle avait réussit à me faire douter à nouveau : j'étais le problème.
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Swan Cartwright-Hansen
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