the great escape
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i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis

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MessageSujet: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyDim 14 Sep - 20:52

briséis monaghan & xavier cavendish
you can't take your words and all your lies

Le vide que laisse une personne dans un coeur peut être immense. Xavier le savait bien. Il avait vécu toute sa vie avec deux parents complets, qu'il pensait connaître sur le bout des doigts. A présent, c'est à peine si il les reconnaissaient. La trahison de son père et l'aveuglement forcé de sa mère le rendait malade. Il avait l'impression qu'ils n'avaient jamais été complètement honnête avec lui, toujours faux. En arrivant sur le territoire américain cette année, il avait envie de faire face à une honnêteté flagrante et visible. Il avait envie de mettre une lumière sur tous les mensonges qui l'entourait. Mais il ne faisait que les cacher d'avantage. Il mettait un voile dessus, un voile noir opaque. Il se leurrait en beauté, pensant que ne pas dire revenait à leur enlever leur réalité, à faire comme si ils n'existaient pas. Mais non petite Xavier, les mensonges sont encore là, bien présent. Il se voyait encore embrasser Briséis dans cette rue d'Orlando, il se voyait la toucher et l'embrasser encore et encore. Il avait des sentiments pour elle, il ne fallait pas en douter mais ses regards vers d'autres femmes ne le rendaient pas crédible. Mentir en disant que non, c'est juste qu'elle lui rappelait quelqu'un, ça ne fonctionnait pas. Il s'enfonçait chaque jours un peu plus avec ces excuses bidons, ces mensonges à peine voiler. Il n'avait plus la force de mentir encore. Il en avait marre. Afficher un faux sourire, rire pour des blagues idiotes, être constamment de bonne humeur. Il avait pensé à arrêter ses médicaments, mais la dernière fois qu'il avait fait ça, il avait faillit atterrir à l'hôpital. Il ne voulait pas mourir, juste arrêter de prétendre. Son coeur était brisé par la perte de sa meilleure amie et le rejet de celle qu'il aimait. Il en avait marre de souffrir à cause des femmes, vraiment marre. Il n'arrêtait pas de se prendre des claques par elles, encore et encore. Lysa le rendait fou avec ses gestes et ses paroles, complètement malade. Comme si il ne l'était pas déjà assez. Mais non, elle continuait à le torturer, comme Briséis. A croire qu'elles s'étaient passé le mot. Mais même pas, il en était sur. Elles étaient trop opposé pour s'entendre, même pour le rendre fous. Après avoir passer quelques heures dans la salle de musculation de la fac, il alla à la confrérie rendre visite à quelques amis omega et sans doute prendre un verre dans la fameuse cave des fêtards. Il avait envie de se soûler et de ne se souvenir de rien. Depuis la nuit avec Eileen et Grace, il n'avait plus fait de fête de cette ampleur. Il aurait du. Dès le lendemain. Tout oublier avec une bouteille de vodka et une autre de tequilla. Il aurait du. Allant à la cuisine, il fit le frigo, cherchant une bouteille d'eau fraîche. Même si il n'habitait pas dans la confrérie, il y avait vécu durant un assez bon moment pour que les habitants de la résidence le laisse allez et venir sans problème. Il alla prendre l'escalier menant au sous sol quand il aperçut un visage bien trop familier même si la couleur de cheveux et la coupe avait changé. BRISEIS !!! Elle l'avait entendu, toute la confrérie l'avait entendu. Rater la voix grave du Cavendish était impossible à moins d'être sourd comme un pot. Bri, attend. Elle courait littéralement vers sa chambre. La garce. Du Briséis tout craché. Elle ne voulait pas le confronter. Après tout, elle l'avait quitté, elle était partit à l'autre bout du monde, elle n'avait répondu à aucuns de ses messages ou appels et maintenant elle ne voulait pas le voir en face. Il la suivit, sa bouteille d'eau à la main. Courant dans les escaliers, faisant vibrer le plancher, ne laissant pas de merci à la jeune femme. Ils allaient parler, et elle n'avait pas intérêt à lui échapper. Elle s'engouffra dans une des chambres et il réussit à y entrer et la refermer avant qu'elle ne s'enferme elle même. Ah non ma chérie, tu allais parler aujourd'hui. Enfin, plus que d'habitude. Ne pense même pas à m'échapper, toi et moi, on va parler. Il prit la clé sur la table juste en face, la fourra dans la serrure et les enferma tout les deux dans cette chambre. Rien à faire si sa coloc voulait aller au petit coin, lui et sa meilleure amie, désormais brune, allaient parler. Elle était toujours aussi belle même si ces cheveux étaient plus cours et son allure moins assurée. Tu pensais faire ton petit retour incognito ? Rêve ma poulette. Il se mit face à elle, même pas qu'il lui laissait le choix le gus. Non. Il la regarda, toujours aussi subjugué par sa beauté naturelle. Elle lui avait tellement manqué mais comme avec Lysa, il l'avait déçu, encore une fois. Elle avait voulu le sauver, lui redonner ce sourire franc et sincère qu'il avait auparavant mais non, il s'obstinait à être une brute et un macho complet. Tu comptais m'annoncer ton retour quand Briséis ? Quand ? Tu as vu combien de messages et d'appels que je t'ai laissé ma chère ?! Il était remonté, on ne pouvait pas le rater. De plus, celle course poursuite dans la confrérie lui avait laissé un goût amer dans la bouche. Pourquoi le fuyait-elle ? Pourquoi ne pas donner de nouvelles et le laisser dans un flou total. Il avait merdé, ok. Mais pas à ce point tout de même. Si ? Xavier avait ce don pour tout merder. Sérieusement, il devrait donnez des cours sur comment rendre sa vie misérable et affreuse en dix jours. Et le premier cours serait de sortir avec sa meilleure amie et de la tromper visuellement, en clair, mater tout ce qui était féminin et n'était pas votre petite amie. Tape moi si tu veux. Pas trop fort, je dois pas avoir de bleus mais tape moi pour te soulager. Il ferma les yeux forts, espérant qu'elle le tape afin d'évacuer sa colère et que tout redevienne comme avant. C'était sans compter sur Briséis Monaghan, le double de Xavier, autrement dit, indomptable et surprenante chaque jours. Elle vous étonnait par sa beauté mais surtout, surtout, par son mauvais caractère. Elle était imprévisible sous tous les plans, comme le fait d'accepter de sortir avec lui en connaissant tout de lui, jusqu'à la moindre once de connerie présente dans son corps. Pourquoi elle avait accepter d'ailleurs ? Pourquoi avait-elle donné son coeur à une personne comme lui alors qu'elle avait déjà tellement souffert ? Pourquoi faire ça Briséis ? Pourquoi ?

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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyJeu 18 Sep - 18:12


“ Perdre quelqu'un qu'on a aimé est terrible
mais, le pire serait de ne pas l'avoir rencontré. ”

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Voilà la citation qui mettait en valeur les sentiments actuelles de Briséis. Elle avait bousillé une belle amitié avec une personne qui comptait tellement à ses yeux. Pour le simple fait d'être aimé pour la personne qu'elle était. Une pure connerie à l'état pur. Elle s'en était rendu compte bien trop tard. Une fois que le rouage était entamé elle ne pouvait plus faire, marche arrière. Puis, le fait que sa moitié se comporte comme le pire nigaud sur terre. N'arrangerait absolument rien à la situation. Lui préférait de loin mater tout ce qui bouge des fesses devant ses yeux, sans se cacher face à Briséis. Un comportement, qu'elle n'a pas appréciée. Une chose complètement normal, en même temps. Surtout que les jours passaient, plus Xavier lui sortait des débilités non crédible. Des mensonges. Chaque jour, il en sortait une nouvelle. Jusqu'au moment où Briséis prend son courage à deux mains et, rompt cette réalité. Leur couple était au point mort, ils allaient directement droit dans le mur. Or, le comportement qu'il adoptait ne convenait strictement pas à la jeune femme. Une bonne raison pour mettre fin à toute cette mascarade. Puisque oui, tout ceci n'était qu'une mascarade. Du moins, c'est ce que Briséis ressentait. Xavier avait accepté cette relation, uniquement dans le but d'oublier un peu Lysa. Mais, surtout pour ne pas se sentir seul. Sauf, qu'il ne réalise pas les conséquences des actes qu'il pouvait engendrer envers Briséis. Même si, le jeune homme était son meilleur ami. Son double. Pendant cette courte période, elle avait ressenti des sentiments qu'elle n'avait jamais ressenties pour lui. Sauf, que la triste nouvelle pour Xavier venait de tomber. Briséis le quittait sans plus attendre. En prime, elle s'enfuit vers d'autres horizons. C'était le bon moyen pour qu'il l'oublie. Qu'ils se séparent l'un de l'autre. Qu'ils oublient les sentiments qu'ils avaient pu ressentir. Du coup, Briséis était partie pour Marbella faire la fête tous les soirs, profiter du bon temps. Bronzer, faire la fête, coucher à droite et, à gauche. Que demander de mieux au final ? Spécialement rien. Briséis était enfin elle-même. Une chose qui n'était plus arrivée depuis des lustres. Depuis le départ précipité de Jayan. Elle avait perdu une grande partie d'elle-même. Elle ne se reconnaissait plus après ce nouvel abandon. Briséis avait plongée malgré elle dans une petite dépression. Une dépression qui ne se montrait pas forcément. Seulement, elle l'avait reconnue qu'une fois à Marbella. Après, un mois et demi à Marbella. Elle s'était envolée pour la destination d'Ibiza. Or, maintenant qu'elle est de retour à Cambridge. Elle a bien l'intention de profiter à fond de son année à l'université. Néanmoins, Briséis n'avait pas pris la peine de prévenir Xavier de son retour. Briséis qui pour l'instant ne voulait pas le voir. Cela était raté. Puisqu'elle n'aurait jamais imaginé être dans la même confrérie que le jeune homme. Elle qui voulait absolument l'éviter le plus possible. Cela était complètement raté. Puisqu'elle venait de passer devant le salon des Omégas sans s'apercevoir que Xavier était présent dans la pièce. Elle l'aurait vu, elle aurait trouvé un système pour rejoindre sa chambre sans devoir passer devant lui. Cependant, le jeune homme avait reconnu la jeune femme sans le moindre problème. Pourtant, pendant ses vacances, elle avait décidé de changer la couleur de sa chevelure et sa coupe. Un moyen de reprendre sa vie en main, en quelques sortes. En pressant le pas, pour esquiver le jeune homme. Elle allait s'enfermer dans sa chambre. Malgré que Briséis avait des jambes interminables, Xavier avait réussi à la rattraper en rien de temps. Toute manière, à quoi bon s'arrêter et, entendre les mensonges qu'il lui déblatérait la seconde qui suivait. Elle l'avait trop entendue ces derniers temps. Bien trop de mensonges à encaisser pour la jeune femme. Elle n'était pas encore prête à l'écouter s'expliquer. À l'écouter déblatérait des âneries toutes les deux secondes. Elle était bien trop énervée contre lui, pour l'écouter parler tout simplement. Briséis n'avait pas la force d'affronter le jeune Cavendish. Deux mois loin de lui, été magique aux yeux de Briséis. Elle avait pu reprendre en main sa vie misérable. Pourquoi le retrouvé aujourd'hui ? Dans ses circonstances ? Même si elle venait de pénétrer dans sa chambre, le jeune homme l'avait suivi et venait de fermer la porte à clé. Il avait envie de parler. Cela tombe à pic, puisque Briséis n'était pas d'humeur à communiquer quoique ce soit avec lui. « Tu crois réellement, que je suis à ta merci Cavendish ? » Cela donnait déjà le ton de la conversation entre eux. La discussion allait être rude et, extrêmement longue. Justement, Briséis avait toute la nuit s'il le fallait devant elle. De plus, la coloc de la jeune femme ne devrait plus tarder à arriver. Briséis était mal à l'aise de mettre la porte au nez de la coloc. Mais, à croire la situation c'était Xavier le maître du jeu. « Pour ta gouverne, ça fait déjà deux semaines que je suis rentrée crétin. » La preuve qu'il n'avait pas remarquée la jeune femme aussitôt. Elle aurait dû continuer sur ce chemin. Qu'elle imbécile celle-là aussi ... Cependant, avant qu'ils se décident de se mettre en couple à Orlando. Briséis essayait tant bien que mal de redonner le sourire franc et sincère qu'il avait dans le passé. Elle avait tout simplement décidé de le sauver. Sauf, qu'il s'était obstiné. Maintenant, il allait s'en mordre les doigts. « J'avais dans l'option te l'annoncer à la fin de l'année. C'était un bon moyen pour passer un an tranquille. À croire que j'ai raté mon vœu. Pour être franche, j'ai filtré et, ensuite bloqué ton numéro dans mon cellulaire. » Briséis ne manquait pas de tact. Elle y allait illico-presto dans ses paroles, s'en se soucier de le blesser. De plus, la course poursuite dans les couloirs de la confrérie. Il aurait du, le faire tilté sur l'état actuel de la jeune femme. Mais, non il s'obstinait encore à avoir le dernier mot. Un comportement qui pouvait énervée et désespérée la jeune femme. Puis, le fait de ne pas lui donner de nouvelles aurait dû le mettre sur la piste. Encore une fois, non. Il devait être trop obnubilé à récupérer sa chère et, tendre Lysa. Pour s'occuper de Briséis. De ce qu'elle pouvait ressentir mais, surtout sur ce qu'elle avait pu ressentir à Orlando pendant ces vacances. « Je n'ai clairement pas envie de me salir les mains. Cependant, si tu pouvais me laisser maintenant. Ça me soulagerait énormément ... » Elle n'avait pas ce besoin de le fracasser pour se soulager. Pour faire ressortir toute la colère qu'elle avait accumulée contre lui. Tout n'allait pas redevenir comme avant. Pas avec un simple claquement de doigt. Briséis n'était pas Mimie Mathy. Il lui faut un laps de temps pour oublier tout ça. Hormis toute cette histoire. Elle apprécie énormément Xavier, il tenait une place indescriptible dans sa vie. Mais, elle ne pouvait pas le laisser agir de cette manière-là envers elle. Elle devait lui montrer le mal que cela pouvait faire de blesser un être si chère à vos yeux. De plus, elle ne savait pas non plus pourquoi elle avait décidé d'accepter cette proposition. Briséis aurait dû s'abstenir. Elle n'aurait pas dû donner son cœur aussi facilement à quelqu'un en sachant qu'elle avait déjà assez souffert. Elle n'avait pas réussi à répondre elle-même à cette question. Alors, comment le faire envers lui? De plus, lui aussi n'aurait jamais dû lui proposer ça. Pourquoi l'avait-il fait ? Pourquoi ?
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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptySam 20 Sep - 13:10

briséis monaghan & xavier cavendish
you can't take your words and all your lies

Il ne faut pas être idiot pour voir à quel point Xavier foutait sa vie en l'air avec une naturel et une classe internationale. Il ne se rendait compte de ses conneries que tardivement, complètement effaré par sa connerie légendaire et son manque de jugement bien présent. Entre Xavier et Briséis, c'était une amitié trop forte pour qu'il ait pu la rendre à néant en quelques semaines, trop importante pour lui pour qu'il la laisse s'échapper comme elle l'avait fait durant l'été. Il avait passé deux mois complets à Orlando, attendant presque qu'elle revienne le voir et lui dire ce qu'il avait envie d'entendre, mais non. Il était finalement partis faire la tournée des bars et casinos à Vegas, ne sachant pas comment vivre sa vie pour revenir quelques jours après à Orlando et ensuite à San Francisco, ne supportant plus son reflet dans le miroir et n'essayant plus rien. C'est sans doute débile à dire, mais la partie de jeu avec Eileen lui avait ouvert les yeux car dès le lendemain, il avait appelé Lysa et lui laissa un message pour ce fameux face à face dans son appartement. Il savait que ça n'allait rien arranger, mais il n'aurait pas eu la culpabilité de n'avoir rien essayé au moins. Il aurait eu le courage de lui faire face et de lui dire ce qu'il ressentait. Et bien avec Briséis, c'était pareil. Tu es à ma merci Bribri, à part si tu veux sauter par la fenêtre. Il la voyait, belle avec sa nouvelle coupe et sa nouvelle assurance. Elle avait changé, peu mais assez pour que Xavier le voit du premier coup d'oeil et à sa manière de parler, son ton de voix plus dur et moins compréhensif. Si il ne l'avait pas embrassé dans cette rue après avoir dragué minablement cette vendeuse de hot-dogs, ils ne seraient pas dans cette situation inconfortable et complètement chiante à en crever. Tu es rentrée il y a deux semaines et tu ne t'es pas dit qu'il fallait appeler ton MEILLEUR AMI ? Ah, il commençait à s'énerver. Il détestait se disputer avec Briséis ou la décevoir. Il détestait décevoir ses proches en général et c'est sans doute cette manie de toujours montrer qu'il pouvait être meilleur qui le mettait dans ce genre de situation. Il voulait peut-être se tester en étant avec Briséis, prouver qu'il pouvait être en couple et rendre heureuse la personne qui l'acceptait dans sa vie entièrement et complètement. Mais non. Il était un con doublé d'un handicapé des relations amoureuses. La seule qui avait marché était avec Barbara et il avait fini par la tromper durant les derniers mois de leur relation. Mais en l'entendant dire qu'elle était là depuis le début du mois, il commençait vraiment à penser qu'elle se foutait royalement de sa gueule. Ses tempes le lançaient, comme quand il était en haut de ce foutu immeuble avec l'autre Grace machin là. Il commençait à voir rouge. Qu'on ne lui réponde pas à ses messages, qu'on l'ignore durant un moment, il pouvait l'encaisser. Difficilement mais après ce qu'il avait fait endurer à tous ses amis cette année, il pouvait comprendre et l'accepter. Mais qu'on ne l'avertisse pas de son retour, qu'on l'ignore alors qu'ils étaient dans la même ville, la même université et la même confrérie que lui le rendait fous. Comment tu as pu me faire ça alors que j'ai toujours été là pour toi hein ?! Comment tu as pu me faire ça alors que durant l'été, j'essayais au maximum de te faire oublier ton Jayan qui était ta moitié elle aussi ? COMMENT BRISEIS ? J'ai été un con, je le reconnais mais au moins j'essayais de faire de mon mieux. Il ne comprenait plus rien à son amie. C'était son genre de lui faire vivre un enfer pour regagner sa confiance, il savait cela. Mais là, elle le faisait souffrir inutilement. Elle aurait garder cette information pour elle qu'il s'en serait mieux porté, qu'il aurait pu encaisser son retour inopiné. Il pensait qu'elle n'allait jamais revenir, qu'elle allait faire le tour du monde ou trouver un homme qui l'aurait aimé pleinement. Mais non. Non. Elle l'avait blessé autant qu'il l'avait fait. Il ne l'avait pas trompé, il n'avait pas été voir ailleurs, il avait juste été un peu baladeur dans ses coups d'oeil, un peu trop enjôleur avec d'autres filles mais le soir venu, c'était vers elle qu'il allait pas une autre personne, qu'importe que son cœur fut envahie par une autre femme, c'était vers Briséis qu'il revenait durant tout l'été. Pourquoi elle ne comprenait pas ça ? Tu me rends fou, tu sais ça. J'ai essayé de te joindre durant tout l'été, voulant avoir de tes nouvelles, voulant savoir comment tu allais après ton départ précipité, essayant au maximum de garder ce contact et notre amitié. Dieu seul sait à quel point je t'aime énormément Briséis mais là, tu as dépassé les bornes. C'est lui qui avait fauté en premier, il en était parfaitement conscient. Mais il n'avait pas été aussi méchant. Xavier s'assit sur le lit qui était le plus proche de lui, regardant le sol, la tête appuyé sur ses mains en équilibre sur ses genoux. Il avait l'impression que sa vie lui échappait. Sa vie lui avait toujours échappé d'ailleurs, et ça des années durant. Entre son adoption, son éducation et son adolescence, il n'avait jamais vraiment contrôlé grand chose. On ne voyait que le masque qu'il se composait sur mesure quand on rencontrait Xavier pour la première fois. On voyait un jeune homme souriant, un peu agressif parfois, violent dans ses paroles et parfois déprimé à en mourir. On voyait un jeune homme qui semblait avoir un lourd passé mais qui s'en sortait avec un sourire éclatant aux lèvres et des yeux bleus qui vous envoûtaient avec de belles paroles souvent très maladroites. Xavier avait essayé d'être le meilleur ami parfait pour Briséis, répondant à chacun de ses appels, essayant toujours d'être là, présent. Son baiser n'avait pas été une manière de tout détruire pour lui, juste d'exprimer la grande affection et attachement qu'il avait envers lui. Une chose en entraînant une autre, leur couple défunt s'était formé. Mais il fallait l'accepter dans son intégralité le Xavier. Son côté charmeur et enjôleur avec. Il draguait tout ce qui bougeait mais n'était pas infidèle. Tu penses vraiment que je t'aurais trompé Bri ? Tu penses que j'aurais fait ça à ma meilleure amie et petite amie. J'ai trompé une fois ma copine, j'avais dix huit ans, elle partait à l'autre bout du monde, elle était la première fille avec qui je restais aussi longtemps. Deux belles années. Deux années durant lesquelles malgré tous mes regards autrepart, j'avais été fidèle. Mais elle partait, elle m'abandonnait comme ma mère m'avait abandonné au pas d'une porte. Alors, oui je l'ai trompé, allègrement. Et si je la revois encore une fois après Orlando, je n'aurais pas de mal à lui dire que je ne l'ai pas aimé autant que j'ai aimé Lysa ou même toi. Il se releva, se mit juste en face d'elle, la regardant fixement, ne lui laissant pas d'autres choix que de l'écouter. Alors oui, je suis amoureux de Lysa et tu le sais. Mais j'avais énormément de sentiments pour toi. Moins, cela va s'en dire mais ils étaient là. Je suis resté tout le reste du mois de Juillet à Orlando, espérant que tu reviennes. Ensuite, je suis partis en vrille, j'ai du baisé Eileen des dizaines de fois pour oublier le fait que ma meilleure amie m'avait abandonné. Et je suis revenu à Orlando, deux jours durant, essayant de retrouver la personne que j'étais. Mais non, le mal est fait. Il ne savait pas pourquoi il lui racontait tout ça. Mais il avait besoin de le lui dire. Briséis avait beau clamer qu'elle ne voulait rien entendre de lui, il fallait qu'il lui dise ce qu'il avait sur le cœur. Car si il avait souffrir sa meilleure amie, lui aussi avait souffert de son départ. Elle l'avait abandonné et il le ressentait comme ça. Aussi blessé que tu puisses l'être, et je n'en doute pas, moi aussi j'ai été blessé quand tu m'as annoncé la fin de notre histoire. Comment te dire que tu m'as brisé le cœur alors qu'il est déjà en miette depuis une éternité.
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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyDim 21 Sep - 22:28


“ tu rencontres des centaines de personnes et, aucunes d'entre elles ne réussissent
à te toucher. tu en rencontres une seule et, ta vie change pour toujours. ”

Briséis était extrêmement douée pour foutre en l'air la vie qu'elle avait tant bien que mal construit. Elle donne trop facilement son cœur quand elle appréciée fortement une personne. Sauf, qu'elle redescend vite de dix étages dès qu'elle souffre. C'était le cas avec son meilleur ami avant qu'il s'envole vers d'autres horizons rejoindre la femme de sa vie. Ainsi que le cas actuel. Un cas très particulier. Puisqu'il s'agit du double au masculin de la jeune femme. Celui qui l'a complète dans les moindres détails. En prime, elle entretient une amitié tellement forte, qu'elle aurait voulu la réduire à zéro. Pourtant, ce fut le cas à Orlando, lors du marathon des parcs. Elle qu'au début ne voulait absolument pas aller à Orlando. Elle aurait dû finalement s'abstenir de débarquer dans cette ville qu'elle ne connaissait ni d'Adam, ni d'Eve. Encore moins avec Xavier. Briséis se revoit encore répondre au baiser qu'il lui avait accordé dans les rues de cette ville. Elle se revoit encore tellement heureuse dans ses bras. Pour qu'ensuite toute part en miette. Sans qu'elle ne comprenne, réellement pourquoi. Cette relation naissante entre eux fut d'une courte durée. Comme un contrat à durée déterminé. Ne supportant pas que le jeune homme regarde tout ce qui bougeait des fesses sous ses yeux. Elle avait décidé de couper court entre eux et, s'enfuir dans donner plus de détails croustillants. Briséis n'était jamais repassé par Orlando. Elle avait filé directement vers Marbella, passant par Ibiza pour ensuite atterrir à Cambridge ensuite. Or, la jeune femme pour l'instant ne voulait pas voir Xavier. C'était mal compté sur le jeune homme. Quand il a une idée derrière la tête, il ne l'a pas ailleurs malencontreusement. « Je ne risque pas de me blesser en sautant par la fenêtre. Je suis au rez-de-chaussée je te ferai dire. Même si l'envie me tente. » Commenta-t-elle. Même si elle avait changé physiquement parlant. Xavier arrivait à la reconnaître à mille kilomètres. Il la connaissait trop bien. Une chose qui commençait à gonfler la jeune femme. Elle ne pouvait pas rester cinq minutes tranquille sans qu'il débarque. Pour avoir une explication, en prime. Cela déconcertée la jeune femme qui ne savait plus comment se comporter en sa présence. Pourquoi ? Pourquoi avait-elle répondu au baiser qu'il lui avait accordé ? Elle avait commis l'erreur irréparable. Elle n'aurait jamais dû accepter de sortir avec cet homme. Briséis aurait pu se contenter de son amitié. Mais, non faut qu'elle se complique la vie à chaque fois. Quelle grognasse cette femme. « Aucunement. C'est ce que tu voulais entendre ? » Siffla-t-elle, parfaitement consciente du mal qu'elle pouvait provoquer à Xavier. Elle s'en fichait bizarrement. Elle voulait lui montrer ce que ça pouvait faire de souffrir. Puisqu'il faut dire, que Briséis avait eu un énorme quota de déception, de trahison et, d'abandon. À croire, qu'elle n'a pas encore eu assez dans sa vie. Puisqu'elle continue dans la même direction. Dans une direction qui la conduisait directement dans le ravin sans qu'elle puisse freiner. Pourtant, elle ressentait une tension palpable dans la pièce. Il commençait à s'énerver. C'est ce que Briséis attendait depuis le début de leur conversation. Il en fallait pas énormément au jeune homme pour montrer son côté obscur. Digne de Dark Vador. Malgré cela, la jeune femme déteste par-dessus tout se disputer avec Xavier. Il reste néanmoins, une personne extrêmement importante dans sa vie. Même si elle n'a qu'un désir, le faire souffrir autant qu'elle l'a souffert au mois de juillet. Ce qui fait le plus mal à Briséis, ce n'est pas le fait qu'il est regardé ailleurs sous ses yeux. Non. C'est qu'il a été le premier homme avait qui Briséis à décider de se mettre en couple. Et, au final ce qu'il fait ? La rendre malheureuse en se comportant pour un crétin. Dorénavant, la jeune demoiselle a décidé de tirer un trait sur les histoires d'amours. Ce n'est clairement pas fait pour elle. Elle finira certainement avec cinq chats dans une immense maison, complètement vide. Au moins, elle ne risquera pas de souffrir. Même, s'il Briséis ne l'avait pas prévenue de son retour. S'il avait été malin le petit, il aurait pu la croiser dix fois dans les couloirs de la confrérie. Où simplement, regarder la liste des étudiants habitants sur place. Mais, non. Xavier lui préférait que Briséis lui téléphone comme-ci rien ne s'était passé. « Parce que je n'ai jamais été là pour toi ? Ne mêle pas Jayan dans cette conversation. Cela ne concerne en rien notre situation. Je te ferai remarqué, que j'ai essayé au maximum de faire revenir le Xavier que je connaissais cet été. Un Xavier qui a subitement disparue en cause d'une connasse. » Déclara-t-elle, on ne peut plus sérieusement. C'était la toute première fois qu'elle parlait de Lysa de cette manière. Chose qui devrait engendrer une dispute d'une ampleur. Mais, elle s'en foutait. Elle savait ce qu'elle avançait et, il le savait pertinemment aussi malgré lui. Cependant, faire souffrir son meilleur ami inutilement était la première fois pour celle-ci. Elle voulait simplement foutre un électron choc à son interlocuteur. Rien de bien méchant au fond. Pourtant, elle avait réussi à le blesser comme elle le désire au plus profond de son être. Une grande satisfaction pouvait se dessiner sur ses lèvres. Une réaction qui devrait faire sortir de son gong le jeune homme. Elle aurait pu par outre le comportement du jeune homme pendant l'été. Or, Briséis savait très bien qu'il pense à une autre femme en particulier pendant qu'il était avec elle. Chose qu'elle n'a pas supporter. Déjà qu'elle déteste au plus haut point Lysa. De plus, imaginer l'homme pour qui elle éprouvait des sentiments ne pense qu'à elle. Était une étrange sensation. Une situation qu'elle n'a pas pu accepter très longtemps. Sauf, qu'elle n'aurait jamais pensé qu'il l'attendrait à Orlando. Qu'il attendrait qu'elle revienne malgré tout cela. « Il fallait y penser avant Xavier. Ce n'est pas maintenant qu'il faut m'avouer tout ça. Tu aurais dû le faire largement avant. Avant que tout ce passe ainsi entre nous. Dans ce cas, je ne te retiens pas. Tu peux partir dans l'immédiat, si j'ai dépassé les bornes. Je ne te retiens pas. » Affirmait-elle en lui montrant la direction de la porte avec sa main. Elle ne peut plus endurer cette situation. Cette relation. Cela était dur à encaisser pour Briséis. Elle ne savait plus comment être avec lui. Devait-elle être la peste de la confrérie ? Devait-elle être simplement elle-même ? Elle n'en savait allègrement rien. Toutefois, elle regardait en direction du jeune homme qui s'était installé sur le lit en face d'elle. Il avait l'air complètement débité de la scène. Elle ne savait pas exactement ce qu'il pensait en ce moment. Même s'ils sont en froid présentement. Elle porterait toujours une amitié indestructible envers son égard. Il restera sa moitié, son double quoiqu'il arrive. C'est ainsi depuis leur première rencontre. Pourquoi cela changerait maintenant ? Malgré l'épreuve qu'ils sont en train d'endurer ensemble. Envers et contre tous. Rien ne pourraient les séparer. Ils sont comme des âmes sœurs. Ils reviennent toujours l'un vers l'autre. Ce n'est pas autrement. Ils sont liés. Elle le connaît dans les moindres détails. Briséis connaît la vie de son meilleur ami de A à Z. Personne ne le connait aussi bien qu'elle. Hors, le baiser qu'ils avaient échangé pendant ce marathon des parcs. Avait semblablement tout foutu en l'air à un fragment de seconde. Elle a un énorme attachement envers lui. Même, elle n'avait pas compris pourquoi leur couple s'était formé aussi facilement. De plus, même si elle le connaissait dans son intégralité. Elle ne pouvait admettre que son petit-ami soit aussi charmeur et enjôleur envers d'autres femmes. Comment, il aurait réagi si Briséis aurait regardé les hommes qui passaient devant elle comme il l'avait fait ? « Étonnamment, je n'en sais scrupuleusement rien. Tu n'as pas à te justifier sur ton comportement passé. C'est de l'histoire ancienne notre relation. Faut s'y faire une raison Xavier. Que tu le veuilles ou non. Puis, comme à ton habitude tu fais passer Lysa avant tout le reste ... Cela ne m'étonne pas de toi, définitivement. » Elle ancrée son regard noisette à celui du vert émeraude de son soit-disant meilleur ami. Vu qu'elle n'avait pas d'autre choix qui s'expose, à elle. « Tout le monde le sait. Tout le monde sait que le jeune Cavendish ne voit que par Lysa Dickens. Que le reste n'a guère d'attention à ses yeux. Il ne fallait clairement pas insisté à rester sur Orlando. En somme, t'es en train de me dire. Que tu as butiné la femme que je ne peux pas voir en peinture et, qu'ensuite tu es retournée sur Orlando pour retrouver l'homme que tu étais ? » C'est qu'il se fout royalement de la gueule de Briséis. Comment pouvait-il lui déblatérait ce genre de parole dans un moment aussi important ? Il était pleinement inconscient ce gamin. C'était la seule chose au monde, qu'il ne fallait pas avouer à Briséis. D'un autre côté, ça rassurait la jeune femme sur sa décision de rompre toute relation avec lui. Surtout, que Xavier sait combien la jeune femme porte Eileen Rosenbach dans son cœur. Et, il fallait en prime qu'il se tape la femme que Briséis ne peut clairement pas tolérer. C'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. La cerise sur le gâteau. « Je n'allais pas rester dans une relation qui filée droit dans le fossé ? Tu préférais que je sois triste mais, que je reste avec toi ? Comme ça monsieur ne se sentait pas seul ? Tu te fous royalement de ma tronche, j'en reviens pas. » Elle ne mâchait pas ses mots. Mais, elle ne pouvait pas garder toute cette rancœur en elle. Il fallait que cela sorte, d'une manière ou d'une autre. Curieusement je ne suis pas comme toi, je ne peux pas tout oublier. Et recommencer comme si rien ne c'était passé ...
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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyDim 5 Oct - 14:37

 briséis monaghan & xavier cavendish
C'est là, juste là, sous ton petit nez retroussé et tu ne le vois même pas. on aurait dit un enfant, qui joue avec les coeurs et ne voit pas les dégâts qu'il cause.

La colère est sentiment fort, puissant, qui fait avancer beaucoup de personne sur Terre et en fait reculer énormément aussi. Xavier le voyait bien car c'est la colère qui le faisait avancer. Durant de nombreux mois, il avait ressentie un colère immense envers son père et sa mère, il était en colère contre les deux personnes qui devait être les plus importantes dans sa vie. En colère, car à leur manière, ils avaient abandonné leur fils, ils avaient fait un choix impardonnable. Xavier se sentait abandonné. On ne fiance pas son fils comme au moyen âge à présent, on le consulte, on laisse une relation s'installer. On laisse les deux parties apprendre à se connaître puis on implante l'idée du mariage dans la tête d'un des deux. On ne force pas une personne à en épouser une autre. Cela ne mène qu'au désastre. Alors, en face de sa meilleure amie qui lui criait dessus comme une forcené, il se disait qu'elle n'avait aucune idée de qui il était en fait. Elle l'abandonnait alors qu'elle savait ce qu'il ressentait. Elle ne voulait juste pas comprendre pourquoi il était ainsi. Il testait, encore et encore de voir si leur amitié pouvait survivre à de multiples épreuves. Et celle ci était l'épreuve de trop. Xavier le voyait bien mais maintenant il devait réparer tout ça. Mais Briséis, elle était butée, têtue comme une mule, une chieuse aussi puissante que lui. Elle n'écoutait qu'elle et rarement les autres car les autres aussi l'avaient abandonné à plusieurs moments de sa vie. Ils étaient là un instant, et deux minutes plus tard, ils étaient partis. Deux personnes ayant peur de l'abandon, voilà leur situation ensemble. Normal que leur couple n'est pas tenu car chacun d'eux testait l'autre, voulait savoir le point de rupture afin de voir à quel point ils tenaient l'un à l'autre. Xavier en regardant chaque fille qui passait. Briséis en faisant crise de jalousie sur crise de jalousie. Ils étaient ainsi. Deux abandonnés. Alors dans cette foutue chambre des omegas, omegas dont il était le président désormais, il se devait de tout essayer, de tout faire pour qu'ils se réconcilient et aujourd'hui. Peu importe le temps qu'il faudrait, il le prendrait. Peu importe l'énergie qu'il devrait apporter dans cette bataille, il l'apporterait. Peu importe les cris qu'il devrait pousser, il les pousserait. Briséis en valait la peine, et toute personne ayant un peu de jugeote et la connaissant un minimum le savait. Je ne te crois pas. Je refuse de croire que j'ai été si odieux pour que tu me traites de cette manière. Il serait aussi buté qu'elle, il donnerait tout pour retrouver ce qu'ils avaient avant. Briséis était la teigneuse, il était le souriant. Jamais il n'avait eut autant envie de la secouer et de la serrer dans ses bras. Elle parlait, criait et l'accusait. Elle s'en prit à Lysa et il vit rouge. Il voulait bien faire des efforts, il voulait bien prendre sur lui et ne pas la faire basculer par la fenêtre mais elle n'avait pas le droit de s'en prendre à elle. Stop ! Stop toi là. Tu n'as pas le droit de l'accuser de quoique ce soit. Tu n'as pas le droit. C'est ma limite Briséis et tu le sais très bien. Il respirait fort, profondément. Il faisait tout pour se calmer et ne pas dire des choses qui n'avait rien à voir. Il lui en voulait de le faire passer pour le méchant, mais d'un côté, il en était un. C'était lui qui avait tout fait pour l'éloigner en la testant comme ça. Quel idiot ! Mais elle n'avait pas le droit. Je n'ai pas disparu Briséis. Je suis là, bien en chair et en os. Mais je suis plus dure, moins optimiste qu'avant car la vie n'est qu'un ramassi de connerie et que j'essaye d'attraper un peu de bonheur à chaque fois que je le peux. Tu sais très bien que j'aime Lysa, tu le savais avant qu'on ne se mette ensemble et tu sais que ne pas lui avoir passer un seul coup de fils durant ces six mois a été un calvaire autant pour elle que pour moi. Tu n'as pas le droit. Il aurait voulu pleurer. Pleurer de rage et de colère, de honte et d'espoir, pleurer à s'en dessécher le corps et ne devenir qu'un tas de peau collé à son squelette. Mais il ne pleurait pas, il ne pleurait plus depuis qu'il avait appris pour son adoption. Elle ne l'avait jamais jugé. Briséis ne l'avait jamais jugé pour son amour à sens unique pour la danseuse. Au contraire. Elle lui avait donné de l'espoir, un mince espoir mais de l'espoir quand même. Elle n'avait jamais eu un mot déplacé pour elle. Mais peut-être qu'elle retenait tout à l'intérieur. Sans doute ne disait-elle pas tout ce qu'elle voulait lui dire. Aurait-elle caché tout ce qu'elle ressentait pour la jeune femme juste pour lui faire plaisir ? Juste pour faire plaisir à Xavier ? Tu n'as toujours pas compris. Je ne veux pas partir. Je ne peux pas partir. Tu es ma meilleure amie, tu es mon double, ma moitié. Tu es celle qui me donne des claques quand je me conduis mal et qui sait me réconforter quand tout va mal. Tu es celle qui sait que je ne suis qu'un con arrogant et qui me remet en place direct avec deux mots. Je ne partirais pas Briséis. Je ne serais plus un lâche. Il s'avança, la laissant parler, la laissant exprimer sa peine. Oui, Xavier vouait un amour incommensurable pour la iota, mais il vouait une amitié éternelle pour Briséis. Elle n'avait pas l'air de le comprendre. Ou alors elle le savait mais ne l'acceptait pas. Xavier l'écoutait, il l'écoutait encore et encore. Il ressentait sa peine et sa douleur. Il la voyait sur son visage et sous sa touffe de cheveux désormais bruns. Il voyait à quel point il l'avait blessé. Il savait à quel point il devrait travailler pour qu'ils redeviennent amis. Même si elle lui faisait les pires horreurs, même si elle devenait la pire des garces, elle serait toujours sa meilleure amie et son double. Du moins, surement que le fait qu'il ait couché avec Eileen ne jouait pas en sa faveur. Briséis, arrête de ne voir que les détails. Oui, j'ai couché avec elle mais j'étais déprimé, abattu, complètement perdu et je venais de me faire larguer par ma meilleure amie et rejeté par la fille que j'aime. Tu sais ce que ça fait que de voir les deux amours de ta vie te tourner le dos ? Son entêtement commençait sérieusement à lui taper sur les nerfs. Il était de nature impatient, complètement impulsif et jamais réfléchis. Alors devoir argumenter encore et encore sur sa bonne fois était épuisant pour lui. Je ne voulais pas que tu restes avec moi par pitié, mais on aurait très bien pu rompre et continuer à être amis. Au lieu de ça, tu as pris la fuite, tu es partie et ne m'a donné aucunes nouvelles. J'ai déraillé après ça. Je ne dis pas que c'est de ta faute, mais tu aurais pu réfléchir et pour une fois, ne pas partir dès que ça ne va pas. Il en avait marre d'être le méchant de l'histoire. Il fallait qu'elle grandisse un peu aussi.
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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyLun 20 Oct - 16:27

Il arrive que deux âmes se rencontrent pour n'en former plus qu'une. Elles dépendent alors à jamais l'une de l'autre. Elles sont indissociables et n'auront de cesse de se retrouver, de vie en vie. Si au cours d'une de ces existences terrestres une moitié venait à se dissocier de l'autre, à rompre le serment qui les lie, les deux âmes s'éteindraient aussitôt. L'une ne peut continuer son voyage sans l'autre. ft xavier c. and briséis m.

Le sentiment fort, puissant qui fait avancer comme reculer énormément de personnes sur Terre était la colère. C'est aussi ce sentiment qui fait avancer Briséis. Qu'elle le veuille ou non. Durant des années, des personnes chères à ses yeux l'abandonne tour à tour. Au fond, ce n'était qu'une simple vengeance personnelle. La vie faisait connaître la douleur à Briséis, la même douleur qu'elle a infligé à ses parents et ses soeurs en les abandonnant sans remords. Elle avait exclusivement le retour de la médaille. Pourtant, face à elle se tenait son meilleur ami, son double, sa moitié, son oxygène. Sauf, qu'elle lui criait dessus comme une forcené. Elle savait très bien qui était exactement Xavier Cavendish. Elle connaissait également son passé ainsi que l'abandon de ses deux parents. Cependant, elle avait fait le même choix qu'eux à l'époque. Malgré qu'elle s'en veuille, elle ne pourrait le dire à voix haute à son égard. Elle était ainsi Briséis. Elle qui pensait que leur amitié surmonterait toutes les épreuves de la vie. Briséis s'était trompée sur toute la ligne. Cette épreuve, était de trop. Étant butée, tête comme une mule et, en prime chieuse à souhait. Elle n'écoutait pas les paroles qu'il pouvait lui adresser. Encore moins les sages paroles des autres. Puisque les autres aussi l'avait abandonné à tour de rôle, dans des moments importants de sa vie. Ils pouvaient être là un instant et, un fragment de seconde plus tard, ils étaient partis par magie. Ils avaient peur de l'abandon. C'est aussi pour ça, qu'ils se sont de suite entendue et, lié d'amitié. Avec du recul, leur couple ne pouvait pas tenir. C'était une évidence. Lui testait les réactions de Briséis alors, qu'elle faisait crise de jalousie sur crise de jalousie. Ils étaient comme ça, deux abandonnés de la vie. Alors, dans cette chambre des omégas les cris se multipliaient entre eux. Pourtant, Briséis n'abandonnerait pas l'idée qu'elle doit pardonner mais, ainsi s'excuser auprès de lui. Mais, elle ne savait pas comment s'y prendre. Elle n'avait jamais fait des excuses auparavant. Ce n'est pas dans ses habitudes. Il le sait pertinemment. Toutefois, elle apporterait toute l'énergie nécessaire pour gagner cette bataille. « Pourtant, tu l'as été. Plus que tu ne peux le croire. Mais, tu es tellement absorbé par l'idée de reconquérir Lysa que tu ne veux pas voir les choses en face. » Réplique-t-elle plus calmement. Même si la colère était toujours présente à l'intérieur d'elle. Xavier avait toujours eu le sourire qu'importe les circonstances de la vie qu'il a dû endurer. Or, aujourd'hui il n'avait pas se sourire qui faisait fondre Briséis. Ce côté angélique qu'elle adore tant chez lui. Mais, encore une fois il défendait Lysa corps et âme. Une chose qu'elle ne peut plus supporter. Il est toujours en train de prendre sa défense même si elle a tort. C'est insupportable à force. « Je ne me stopperais pas sur ses paroles. Elles sont exactement ce que je pense d'elle. Et malgré que ce soit ta limite à ne pas franchir Xavier. J'y peux rien je ne pourrais jamais réussir à accepter cette tiers personne. » Elle ne prenait pas de gants avec lui. Elle avait toujours été comme cela avec lui. Elle n'avait jamais apprécié Lysa, il le sait également. Elle ne pourrait jamais l'apprécier. Pas après les innombrables soucis qu'elle a causés à Xavier. Puisqu'au fond, c'est toujours Briséis qui ramassait Xavier à la petite cuillère dès qu'elle le rejetait pour x raison. De plus, c'est aussi en cause de lui qu'elle s'était fortement éloigné de lui. Il a voulu la tester trop de fois pour qu'elle arrive à accepter la situation. « Tu as beau être là en chair et en os. Tu n'es plus le Xavier Cavendish que j'ai connu à mon arrivée ici. Tu n'es plus le même, en cause d'elle Xavier. Essaye de le comprendre une bonne fois pour toute bordel. Je le savais très bien mais, cela ne t'a pas empêché de jouer avec mes sentiments. Même si tu ne le remarque pas. Si cela a été un calvaire pour elle, pourquoi tu n'es pas encore en couple avec celle-ci ? C'est assez weird votre relation ... et, tu ne veux pas le voir comme d'habitude. » Les mots étaient plus fort qu'elle. Mais, c'était terminé le temps où Briséis ne disait rien à Xavier sur ce qu'elle pensait de Lysa pour lui faire plaisir. Terminer de lui donner un minimum d'espoir, de ne plus le juger sur son amour à sens unique. Terminer les âneries. Elle disait tout ce qu'elle pensait de Lysa Dickens. Tant pis, si cela ferait souffrir davantage Xavier. Mais, elle devait passer par-là. Elle se devait de tout avouer aussi franchement soit-il à Xavier. Qu'il le veuille ou non. Une nouvelle Briséis venait de naître sous ses yeux ébahi. « Pourquoi t'efforces tu à rester ? En sachant, très bien ce que je ressens présentement. Je ne veux pas de toi Xavier. Comprends-le ! Même si tu reste ma moitié, mon oxygène. J'en ai raz-le-bol. J'en peux plus ... » Elle était entièrement honnête envers lui. Elle avait accumulé un raz-le-bol. Aujourd'hui, toutes ses pensées sortaient pour la première fois. Quitte a blessé le jeune homme, elle s'en fichait. Elle prenait le risque de perdre son amitié or, elle se devait le faire. Surtout qu'il avait réussi à la blesser comme personne n'avait encore réussi. Il avait été le premier à la blesser autant. Aussi profondément soit-il. Il avait trouvé ses points faibles et, avait joué avec. C'était pratiquement impossible de lui pardonner mais, elle essayait tant bien que mal. « Ça ne te donne pas l'excuse d'aller batifoler avec l'ennemi Xavier. Bordel, wake-up ! Surtout avec Eileen ... tu aurais couchée avec la première venue voir la vendeuse de hot-dog d'Orlando mais, pas avec elle. Tu le savais. » Elle était extrêmement têtue. Elle en avait pleinement conscience mais, c'était la révélation de trop. Il avait réussi à anéantir Briséis à un fragment de seconde. Elle ne pouvait plus contenir ses larmes, c'était bien trop fort pour elle. D'où le fait qu'une larme vienne couler le long de sa joue pour venir mourir sur ses lèvres. D'un revers de la main droite, elle les stoppa nette. « Je n'aurais pas pu, cela aurait été trop difficile. Je t'en voulais et, je t'en veux énormément. Je ne peux pas passer outre, surtout pas après la rupture brutale qu'on a vécu. J'ai ma part de responsabilité, je le sais même si tu penses le contraire. Je n'aurais pas dû t'abandonner ... je n'aurais pas dû faire les mettre erreur que tes paternels. Je m'en veux atrocement pour ce geste déplacé que je t'ai infligée. Je m'en excuse aujourd'hui pour cela. Mais, je ne peux pas m'excuser pour le reste. » Elle avait grandi grâce à cette énième épreuve de la vie. Elle avait également changée. Une nouvelle Briséis s'était réveillée. Toutefois, les larmes elle ne le contrôle plus. Ils coulaient à flots le long de ses joues. C'était la première fois que Xavier pouvait la voir ainsi. « Tu as été le seul à m'avoir autant fait souffrir. Tu as trouvée mes points faibles et, tu t'es amusée avec. Tu as réussi à m'anéantir à un claquement de doigt. Donc maintenant, je te le redemande une deuxième fois. Vas-y t'en de cette chambre. Enfuis-toi où bon te semble. Mais, ne reste pas devant moi. Puisque je pourrais créer un meurtre de sang froid. » Elle ne pouvait pas être plus honnête que ça. S'il ne comprenait pas avec ces mots-là. Briséis ne sait pas comment elle pourrait lui faire comprendre autrement.
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MessageSujet: Re: i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis i care, you care, we care so don't even thought about escape me + briséis EmptyMer 29 Oct - 15:02

xavier cavendish & briséis monaghan
you're so weird, you make me want to be the biggest asshole
when you look at me with those eyes full of anger

Les amitiés se font et se défont comme des noeuds. Elles sont coriaces, pleines de dénouements difficiles et dure à trouver au milieu d'un océan de problèmes tous plus variés les uns que les autres. Xavier voyait bien à quel point son amitié avec Briséis sombrait vers les ténèbres. Il voyait à quel point ils se blessaient l'un l'autre, à quel point ils se déchiraient, se mutilaient, se détestaient et s'aimaient comme jamais. Il voyait la colère dans les yeux de sa meilleure amie, son envie d'être exceptionnelle et d'arrêter d'être ordinaire pour le commun des mortels. Elle voulait être celle qui serait la meilleure et la plus importante dans la vie de Xavier, elle voulait être son pilier, son tout, son univers entier. Sauf que le jeune homme voyait une autre femme encore. Une petite blonde, une jeune femme tout ce qu'il y a de plus normal par rapport à Briséis. Elle n'avait pas un passé si lourd à porter qu'elle n'en parlait presque jamais, elle n'était pas une caractérielle qui ne savait pas accepter ses erreurs, elle n'était pas du genre à péter une crise lorsque les mésaventures se plaçaient sur leur chemin. Elle était silencieuse, calme, étrangement apaisante. Son silence donnait envie d'en découvrir encore plus à propos d'elle mais frustrait à un point inimaginable. Briséis était son total opposé et c'était sans aucun doute pour cela que ses deux meilleures amies ne s'entendaient pas du tout. Elles ne se blairaient pas un poil. Alors entendre Briséis crier encore et encore à propos de la blonde énervait de plus en plus le jeune russe. Xavier croyait dur comme fer qu'il n'avait pas été un si odieux meilleur ami. Il aimait énormément Briséis, il donnerait sa vie pour elle, mais elle ne semblait pas le comprendre malgré tout l'engagement qu'il m'était dans leur amitié et cette discussion de sourd. Mais il savait. Il savait qu'ils allaient finir par se réconcilier, un jour ou un autre. Tu es injuste. J'ai tout fait pour que tu ne penses plus à l'autre et toi, tu me punis parce que je suis amoureuse d'une autre. Xavier n'en avait plus rien à faire du bien être de la jeune femme. Elle était tellement en train de le fustiger lui qu'elle ne voyait pas à quel point elle le blessait dans son amour propre, dans son désir illimité d'être aimé de n'importe quelle manière qui soit. Xavier en avait marre d'être le méchant, il en avait marre d'être celui que l'on fustigeait. Il portait toujours le blâme, il était toujours celui qui était le bad guy. Tu penses que j'arrivais à accepter l'autre là ? Je faisais avec, je fermais ma gueule. Alors ne vient pas me dire quoi que ce soit sur ça ok ! Xavier n'en pouvait plus et la colère était proche d'exploser. Elle était de mauvaise fois sur ce coup là. Elle était entêtée, complètement bornée, aussi chiante qu'un âne qui refuse d'avancer. Elle ne voulait pas être celle qui avait une part des fautes, elle voulait être la pure et sainte Briséis alors qu'ils savaient tous les torts étaient partagé dans cette foutue histoire. Il regardait ailleurs, il n'agissait pas, laissant son regard effleuré le corps d'autres femmes, mais elle faisait des crises, elle criait, encore et encore qu'il ne suffirait que d'une opportunité pour la voir cocue et que c'était pratiquement déjà le cas avec l'amour que portait Xavier pour Lysa. Terrain glissant pour le russe qui ne supportait pas qu'on dise du mal d'elle. Il interdisait Zadig et Isay de ne serait-ce que la mentionner. Impossible pour lui d'entendre leur commentaire parfois très salace sur les femmes qui étaient autours d'eux, tournant autours du groupe comme des rapaces. Tu sais ce qui est étrange ? C'est que tu n'arrêtes pas de tout lui mettre sur le dos alors qu'elle ne t'a jamais rien fait. Et elle en entend parler de Briséis et de son double Xavier de moi. Elle sait à quel point on tient l'un à l'autre mais elle ne fait pas la compétition à savoir qui j'aime le plus entre vous deux. Et Charlotte aussi on pourrait la mettre dans tous cas vu que j'ai couché avec elle bien longtemps avant toi. Tu crois que tout tourne autours de toi Briséis, c'est ça le problème. Il lui disait carrément que c'était elle le problème, que c'était leur amitié le problème. Il n'en pouvait plus de cette situation. Si elle ne voulait pas faire d'effort après presque deux mois sans nouvelles, après deux mois où il avait tout de même tout essayé pour avoir ne serait-ce que la plus petite information sur son état, alors à quoi bon ?! J'en ai ras le bol aussi ma petite. J'en ai marre d'avoir toujours le mauvais rôle. Assume un peu, grandis un peu. A l'entendre, il était le grand méchant loup qui l'avait piégé. Et non ma grande. Une relation, aussi amicale qu'amoureuse, a toujours deux côtés qu'il faut considérer. Elle n'est jamais toute blanche ou toute noire. Roh, grown up. T'as jamais couché avec quelqu'un juste pour le sexe dis moi !? Juste pour ne plus te sentir seule parce que ta putain de meilleure amie t'a largué après un mois et pour des regards merdes !!! Il commençait sérieusement à péter un plomb. MARRE MARRE MARRE ! Elle voulait la guerre, elle l'aurait. Pas de solutions aujourd'hui, pas de réconciliations simples et sans soucis. Ok. Gamine. Une vraie gamine. Je pensais être le plus immatures des deux, mais apparemment, tu me surpasses et de loin. Ne m'appelle pas, n'essaye pas de me contacter et surtout, ne passe pas n'importe quel membre de la confrérie pour prendre de mes nouvelles parce que tu sais quoi ? J'en suis le président ma petite. Xavier lui lança un dernier regard plein de colère et prit la porte comme elle le demandait. Il pensait la moitié de ce qu'il avait dit dans cette pièce car malgré tout ce qui avait pu se passer entre ces quatre murs, Briséis resterait à jamais une part de lui, au même titre que Lysa ou que Charlotte même si elle semblait avoir beaucoup de mal à le comprendre.
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