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CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT)

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MessageSujet: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyJeu 8 Mai - 14:16



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson



La nuit est fraiche et douce à la fois , je me baladais tranquillement dans les quartiers de San Francisco sans but précis juste pour marcher et ne penser à rien. J’avais eu beaucoup de rebondissement depuis mon arrivée j’ai revu des personnes de mon passé , des bon souvenirs comme des mauvais souvenirs. J’ai fais des rencontres ça je ne peux pas dire le contraire surtout des hommes et cela ne me déplaisait pas du tout. Il était 21h et les magasins commençait à fermer un à un comme si la vie s’arrêter. J’avais vêtue une simple robe avec mes talons compensées pour être à l’aise en marchant. Tout en marchant je fumais une cigarette pour calmer toutes les tensions contradictoires qu’il y en moi.
Une boutique me tape à l’œil, bien sûr le seul magasin ouvert à cette heure ci c’est un sexshop. J’ai un sourire qui se dessine après tout je n’ai rien à faire ce soir autant attiser ma curiosité. Je termines alors ma cigarette avant de la jeter dans une poubelle qui trainait. Instinctivement je regardes derrière moi comme pour vérifier que personne ne me suit. C’était crétin mais bon un réflexe reste un réflexe.

Je rentre dans la boutique salue le caissier avant de regarder tous ces objets qui sont là pour assouvir les désirs de bases ou les plus sophistiqués. Je rigolais toute seule intérieurement autant me faire plaisir tant qu’on y est. Ma main se baladait sur les canards en plastiques, les lubrifiants , les capotes. Mes yeux étaient illuminés il y avait tant d’objet la plupart curieux mais c’est fou tout ce qu’il peut y avoir pour se faire du bien. Je voulais rire un peu et je regardais autour de moi avant de me pencher sur les lubrifiants. Celui à la pina-colada me plaisait particulièrement. Après tout je suis là autant m’acheter un petit truc.

Je continues de visiter le magasin quand j’aperçois un homme de dos. Et merde. Moi qui pensait être toute seule et pouvoir valser entre les rayons en toute tranquillité. En même temps fallait bien que je me doutes que des hommes rentrer ici également pourquoi ça ne serait que les femmes ? Je me mettais à la diagonale de l’homme en question pour mieux l’observer. Il était au rayon des capotes, voilà un qui va passer à la casserole ce soir. Un sourire se dessina un peu plus sur mes lèvres rouges carmin. J’observe son visage il me dit quelque chose, il me rappelle quelqu’un. Quand tout à coup il se retourne vers moi , mon cœur ne fit qu’un bon de peur. C’était Aiden. Qui est Aiden ? Pendant mon périple en inde j’avais rencontré plusieurs personnes dont Aiden. Il était venu un mois en Inde pour voyager et du coup nous avions passé ce mois ensemble. Pas du tout romantique nous couchions ensemble quand nous ne visitons pas. Du coup c’était pour se libérer de tensions physiques et sexuelles que nous avons passé ce mois ensemble. Je ne savais rien de lui , la seule que je connaissais vraiment de lui et par cœur c’était son corps. Quand tu couches avec un homme du matin au soir tu commences à le connaître. Plein de souvenirs m’arrivent et pas des plus saintes. C’était vraiment un bon coup, c’était alchimique. Et vu les idées qui me venaient en tête par réflexe je me mordais la lèvre inférieure. En ayant oublier que le jeune homme me regardais, je le regarde de façon franche. Il ne doit pas se souvenir de moi , ou ne veut pas se souvenir pensant que je suis une fille qui le collerait. Je lui sourit avant de lui demander :

Aiden ? C’est toi ?

Je me rapproches de lui sans vouloir de façon assez sexy. Il me rappelais beaucoup de très bon souvenirs.



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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyJeu 8 Mai - 17:35



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »

Retour à Berkeley, avec tout ce que cela entrainait. Je n’avais pas remis les pieds dans cette université où j’avais commencé mes études, depuis maintenant 3 ans. J’avais avant tout cherché à fuir mon père, son entreprise et bien sur ma sœur, que j’avais toujours protégée et qui n’avait pas hésité une seule seconde à me couper l’herbe sous le pied et à reprendre ma place au sein de la société. Lorsque même votre propre famille vous poignarde dans le dos à qui peut-on réellement se fier ? Une fois de plus la vie me faisait comprendre que l’on ne peut faire confiance à personne et que je ne pouvais compter que sur moi-même.
J’étais revenu plusieurs fois à San Francisco depuis mon départ, pour y revoir ma famille, qui tout de même reste une partie importante de ma vie, et que je peux renier. Sans quoi je n’aurais pas pu espérer retrouver un jour un poste dans l’entreprise familiale. Je mettais donc un point d’honneur à me rendre aux fêtes famille et autres anniversaires en tout genre, que je célébrais tantôt chez ma mère à New York, tantôt au côté de mon paternel, proche de son lieu de travail. Dans ce cas-là, j’en profitais pour revoir certain amis de l’époque où j’étudiais à l’université, mais rares étaient ceux avec qui j’avais gardé contact. Quelques confrères DELTA, et bien évidemment quelques filles. En réalité, je n’avais jamais été quelqu’un de très proches de gens. Je ne prenais jamais de nouvelles des gens, et oubliais souvent de répondre à ceux qui en prenaient de moi. Les gens n’étaient que de passage dans ma vie et peu comptaient réellement pour moi. En réalité personne n’avait de place trop importante dans ma vie. J’avais perdu les deux seules femmes que j’avais toujours mises sur un piédestal. L’une était décédée, l’autre m’avait trahie.
Pour autant, j’avais toujours eu un bonne mémoire et revoyais d’anciennes connaissances avec plaisir, pour peu que la connaissance eu été chaleureuse et que cette personne ne me faisait pas perdre mon temps. Fraichement de retour à l’université, je ne reprenais pas les cours pour autant, laissant mon cursus en suspens jusqu’à la rentrée prochaine. J’avais donc toutes mes journées de libre pour rattraper le temps perdu, et tenter de retrouver mon poste de Doyen de la confrérie. Pour cela, il fallait que les gens se souviennent de ma personne et dans le cas échéant, me découvrent et m’apprécient. Pour cela, il fallait que je sois présent partout et faire une bonne image sur ces gens qui seraient amenés à me donner ce poste. Pour autant, je ne devais pas effectuer cette mission sans m’amuser. Afin d’allié l’utile à l’agréable, j’avais décidé de commencer par convaincre la gente féminine. Ayant plus d’atout en ma faveur que Valentina, peut-être que je pouvais par ce biais, renverser la tendance.
Il était déjà tard et mon estomac criait famine, alors que mon frigo était, lui aussi totalement vide. Je n’avais aucune envie de faire des courses à une heure pareille, et encore moins de cuisiner. Je jetais donc mon dévolu sur un restaurent chinois que j’avais l’habitude de fréquenter lorsque j’habitais encore ici, à quelques minutes de l’appartement dans le quartier de China Town.
Il était un peu moins de 21h lorsque je fini de mangé, et j’eu envie de me balader un peu en ville, avant de rentrer chez moi. Marchant hasardeusement dans ces quartiers que je connaissais bien, c’est le sexshop qui attira mon attention. Je connaissais les patrons, et décidait de passer leur dire bonsoir, tout en en profitant pour me ravitailler. Une fois à l’intérieur, je m’aperçue que les patrons n’étaient pas là ce soir, en même temps vu l’heure c’était prévisible. Je fis donc un rapide détour vers le rayon préservatif afin de ne pas revenir les mains vide. En plein choix de ce dont j’avais besoin, et les mains déjà pleine de trois boites grandes tailles, une voix m’interpella, me demandant si c’était bien moi, Aiden.

Je me retournais alors vers la silhouette brune qui m’avait interrompu dans mon choix .Elle me fixait tout en se mordant la lèvre, ce qui voulait dire chez moi, que quelque chose trottait dans sa tête. Cette demoiselle  semblait me connaitre et son visage m’était familier, mais j’avais du mal à mettre un nom sur celui-ci « Euuuh, Oui… » Dis-je d’un air interrogateurs. Elle continuait de se mordiller la lèvre et c’est cette expression qui me fit reconnaitre Charlotte. J’avais fait la connaissance de la demoiselle, il y a un an maintenant, en Inde et lorsqu’elle m’avait fait découvrir le pays qu’elle connaissait bien. En guise de remerciement, je lui avais permis de découvrir mon corps, et quelques autres plaisirs auxquels elle n’avait certainement jamais gouté. « Charlotte, quel plaisir de te voir… hum ...ici. Qui l'aurait cru ! » Je la regardais d’un air malicieux, presque trop plein de sous-entendu, elle avait l’air quelque peu gênée d’être surprise ici. « J’ai peut-être trop de vêtements sur moi, ce sont eux qui t’ont fait douter ? » Lors de mon année sabbatique j’avais choisi de ne me donner aucune limite, et j’avais effectivement bien respecté ce principe. Lorsque nous ne visitions pas les merveilles indiennes, nous profitions mutuellement du corps de l’autre. Elle tenait dans sa main une boite de lubrifiant et ce détail ne passa pas inaperçu. Me rapprochant un peu trop d’elle, je ne m’empêchait pas de la questionner « Alors mademoiselle, qu’est-ce qu'une fille comme toi fait ici ? Des beaux projets en perspective ? » J’avais envie de la mettre un tantinet mal à l’aise, de la déstabiliser, pour voir jusqu’où elle était prête à aller et si elle avait ou non changé.
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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyJeu 8 Mai - 21:26



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson



Alors que je regardais les mains de mon interlocuteur un large sourire se fit sur mes lèvres fraichement mordus par mes propres dents. Aiden et moi nous avons fait ce marché je lui faisais découvrir l’Inde et moi je le découvrais. Enfin dit comme ça on aurait pu croire autre chose mais entre lui et moi il n’y a jamais vraiment de limites de holà. Nous profitions de ce que l’autre pouvait nous donner sans se soucier du reste. Il n’y a jamais eu de gestes à proprement dit tendre, quand nous visitions l’Inde on aurait dit deux amis mais personne pouvait s’imaginer que nous couchions ensemble lui comme moi on savait très bien voiler la face. Du coup quand il me dit qu’il est ravit de me voir un rire nerveux sortit de ma bouche, quel menteur ça l’emmerde s’il est ici avec trois boîtes de préservatifs c’est que Monsieur avaient des projets beaucoup plus ambitieux que les miens. Je savais que dès qu’il m’a reconnu il a repensé à ses moments ensemble. Je le regarde il était pareil toujours plein de sous-entendus, de jeu de séduction. Il a du naitre avec la bible de la séduction, je ne sais même pas si un jour il a parler à quelqu’un sans le séduire ne serrais-ce qu’un peu.

Ne me dit pas que tu étudies ici sinon…

Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que déjà il me lancer une réplique. Je l’ai reconnu de suite moi contrairement à lui mais c’est vrai que ses vêtements ne révélait pas l’homme que je connaissais il était limite parfait. Je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais rien ressentit de plus pour lui j’aurais pu mais non, j’étais suffisamment rassasiée de lui il suffisait même que je le vois torse nu pour combler mes hormones. Qui d’ailleurs ses temps-ci me jouait des tours, tout d’abord il y a eu Lucas , puis Adrian que je n’arrivais pas à avoir, puis mon erreur Jax. J’étais en pleine ébullition toujours affamée j’en voulais plus, toujours plus.

C’est vrai qu’habiller tu ne ressembles pas à grand-chose.


Méchante Charlie, en même temps il est tellement sûr de lui que ça ne lui fait pas de mal. Je suis quelque pas déstabiliser de sa présence. Il m’a déjà vu bien moins habillée que ça et dans positions peu communes. Mais ma gêne n’était pas du à son regard perçant comme s’il me voyait déjà nu. Non c’est juste que je ne pensais jamais le revoir. Je pensais que c’était juste un coup comme ça et qu’on aurait comme souvenir l’Inde. Mais non il faut qu’il soit ici, je ne voulais pas tout gâcher, en Inde je dominais sans moi, il n’aurait pas eu de guide et ce serrait fait chier, ici je suis seule, les rôles s’inversent et je n’aime pas ça.

Il s’approche alors tout près de mon corps, c’était étrange comme sensation je le voyais nu devant moi.
Je secoues un peu la tête, j’étais devenue perverse ou comment ça se passe ? Je ravales alors ma salive, si nous étions en Inde nous serrions déjà partit dans un coin pour assouvir ce désir mais ici je ne peux pas et ça me brûle. Je le regarde alors sans le lâcher des yeux, en écoutant ses questions, toujours curieux celui-là.

Une fille comme moi a aussi le droit de prendre du bon temps n’est-ce-pas ?

Lui dis-je tout en souriant, puis je lui prends des mains ses préservatifs avant de le provoquer :

Grande taille…ce n’est pas ce dont je me souviens..

C’était mesquin, mais marrant alors je le regarde toute enjouée, puis je me dis que s’il n’était pas aussi joueur le prendrait-il mal. Je commençais a avoir chaud, mon cœur palpitait chaque minutes encore plus fort, mes joues devenaient de plus en plus rouge. J’étais mal à l’aise, autour de ces objets coquin c’était clairement un appel à l’acte sexuel.


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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyVen 9 Mai - 22:47



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »

L’amour, ça avait toujours été très peu pour moi. Je n’ai jamais rien cherché d’autre que de la compagnie dans les bras de belles jeunes femmes que je pouvais rencontrer. Les sentiments, je n’avais jamais vraiment eu l’occasion d’en ressentir. Je ne suis pas pour autant un cœur de pierre, certaines femmes avaient pour moi une certaine importance, mais à aucune occasion je n’avais laissé mon cœur prendre le pas sur mon corps. Cette connerie ne permettait rien de plus. Elle n’entrainait que des problèmes. Je n’avais été en couple a proprement parlé que très peu de fois. Les gestes tendres et les signes d’affections ce n’était pour le coup pas mon fort. Et Charlotte n’avais pas fait exception à la règle. Il y avait un bon feeling entre nous, nous n’avions pas besoin de parler inutilement pour se comprendre et savoir ce que l’autre attendait. Il suffisait d’un regard, de quelques mots, parfois d’un lieu qui nous inspirait certaines choses pour s’adonner à de nouveaux plaisirs. Il aurait suffi de peu pour que je mette un terme à cette relation qui n’en était pas une, puisqu’elle pouvait se terminer à tout moment et que rien ne nous liait, hormis le désir. Certains mots, ou certaines attitudes ont sur moi l’effet d’un repulsif et ils suffisent qu’ils ne soient prononcés qu’une fois pour me couper la chique. Les « je t’aime », « je m’attache à toi » ou la simple utilisation d’un « nous » un peu trop prononcé auraient eu l’effet d’une bombe. Je n’avais pas eu besoin de mettre les choses aux claires avec Charlottes, les choses s’étaient faites d’elles-mêmes. Pas d’attachement, juste du plaisir. On visite, on s’amuse. Et quand c’est fini, surtout ne me rappelle pas.
Elle était nerveuse, ça se voyait. Nous n’avions pas pris de nouvelles l’un de l’autre depuis maintenant un an, et elle avait peur que je l’ai oublié. J’aurais pu lui faire croire cela, pour la mettre encore plus mal alaise, mais ça aurait été trop mesquin de ma part. J’avais d’autres projets pour cette douce créature. Elle avait l’air perturbé de me trouver ici. «  Sinon quoi ? Qu’est-ce que tu comptes faire ma petite ? J’étais là bien avant toi, tu sais. Je suis simplement de retour. Ne fais pas la sainte-ni-touche, tu es toute excitée à l’idée de me retrouver » Je n’avais qu’une envie, la pousser dans ses retranchements pour voir jusqu’où elle serait prête à aller. Elle avait peut être changé depuis, mais lorsque je l’ai connu, j’avais bien senti qu’elle n’avait pas tant l’habitude de ce genre de relation. Et puis, elle me fit une réflexion sur ma tenue, elle qui m’avait vu tant de fois dans le plus simple appareil, avait du mal à se faire à l’idée que comme toute personne civilisée, je devais porter –de temps en temps- quelques vêtements. « Je te retourne le compliment. » Elle me cherchait ? Elle allait me trouver. Je ne reflechi pas longtemps avant de retirer le T-shirt blanc que je portais sur le dos, laissant apparaitre à ses yeux mon corps musclé qu’elle adorait tant. Elle me déshabillait du regard, j’avais agis pour elle. « Tu préfères certainement comme ça»

Je me rapprochais alors d’elle, pour la rendre encore plus nerveuse. La proximité de nos corps lui rappelait j’en suis sûr de nombreux souvenirs. Elle voulait faire la maligne, elle avait trouvé un adversaire de taille. Si elle m’avait eu facilement lorsque nous étions en Inde, je comptais bien la faire tourner en bourrique de retour au pays. Elle ne souhaitait pas montrer sa gêne d’être découverte dans une pareille boutique, mais la connaissant un minimum je savais que c’était le cas. Toujours aussi proche d’elle, je l’avais taquiné quant à sa présence ici. Ce à quoi elle m’avait répondu qu’elle avait elle aussi, le droit de prendre du bon temps.  Ironie. « Une fille comme toi a besoin de s’acheter des Sextoys pour avoir du plaisir ? Aucun homme ne veut donc de toi ici ? C’est bien dommage. »

Elle était là, devant moi. Elle n’avait pas perdu son potentiel de séduction et je savais que je lui avais en réalités tendu une perche qu’elle ne manquerait pas de saisir pour me prouver qui elle est. Mais c’est ce que j’attendais d’elle. Elle était plus taquine que ce dont je me souvenais, un bon point pour elle, qui avait décidé d’essayer de me blesser sur la taille de mon sexe. Une fois encore, elle jouait avec le feu. Elle allait avoir ce qu’elle méritait. Le corps à moitié nu, je la plaquais contre le rayon qui se trouvait juste derrière elle, collant l’ensemble de mon corps contre le sien. Elle dont les joues avaient déjà rougie n’allait pas tarder à suffoquer. La pression montait de chacun de nos coté, et déjà je sentais mon corps empli de désir. Mais le but était de la faire craquer elle
Nous étions désormais collé l’un à l’autre et j’en profitais pour lui murmurer à l’oreille «  Ta mémoire te joue certainement des tours, ma douce. »  Du dos de ma main, je caressais sensuellement sa nuque pour lui remémorer quelques sensations, avant de relâcher totalement mon étreinte.
Une fois dégagée, je prenais un air nonchalant avant de lancer « Sous-estime moi autant que tu veux ma grande, d’autre profiterons à ta place ce soir ». Je lui secouais légèrement les dites boites sous le nez « pendant que toi tu t’amuseras avec ton nouveau sextoy, chacun ses choix » Sur ce coup-là, j’avais fait fort, et toujours torse nu, je la fixais en attendant une réponse, un acte de sa part, j’attendais qu’elle cède, qu’elle montre ses faiblesses.
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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptySam 10 Mai - 0:04



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson





Pourquoi cela me mettait si mal à l’aise de le voir ici ? Je ne devrais pas nous avions fait pire en Inde à mes souvenirs. Je ne devrais pas ressentir ça en le voyant, ça m’exaspérait. Je ne voulais pas qu’il se sente supérieur ici. Et pourtant c’est tout le contraire que je dégageais j’en était consciente. Tout simple car ça faisait un an que nous nous étions pas parler je l’avais rayer des personnes que je reverrais un jour. Il était comme l’été indien à mes yeux, un beau souvenir. Ce qui était encore plus dur c’est qu’il n’avait pas changer d’un millimètre toujours aussi séducteur, arrogant , beau tout simplement. Moi j’avais changé, j’étais devenue plus arrogante, plus entreprenante et surtout je prenais de plus en plus de risque. Alors que je le regardais sans contourner mon regard il me fit la remarque qu’il était là avant. Ah bah ça alors, je me rends compte que nous n’avions jamais parler des études auparavant. C’est vrai quoi, je ne sais pas même pas comment ça avait commencer notre petit jeu. C’était physique. Juste physique en effet. Je ne peux même pas vous dire son nom de famille, je savais très peu de choses de lui finalement. Mais est-ce que cela avait une réelle importance ? Pas vraiment.

Je crois qu’on n’a pas la même définition d’excitation jeune homme.

Répondais-je. C’était complètement faux, mais Aiden voulait jouer, alors pourquoi lui rendre la tâche facile ? Alors que je me demandais comment allait finir nos retrouvailles, Aiden retira son tee-shirt. Salaud. Contre ma volonté mes yeux s’attardaient sur la musculature parfaite du jeune homme un léger soupir s’échappa de mes lèvres. Mais il me facilitait la tâche en étant à demi-nu, je compris alors que la soirée ne faisait que de débuter. Toujours avec un ton arrogant il me affirmait que je le préférer comme ça.


Plus ou moins.


Mes mots ne le ralentissait en rien il s’approcha encore plus de moi, comme si nous n’étions pas assez proche comme ça. Je cachais derrière mon dos mon lubrifiant, par réflexe. Je ne le lâchais pas des yeux, le plus gros pouvoir de séduction d’Aiden jouait souvent de son regard. Et si j’osais le détourner il ne ferrait qu’empirait la situation. Il voulait me pousser à bout, je le savais et pourtant je continuais à jouer. Qu’est ce que j’allais risquer ? Une partie de jambes en l’air ? Il ne pouvait pas me laisser de toute façon, beaucoup d’égo pour que j’ai un souvenir de lui médiocre. Sa phrase m’avait vexé. C’est vrai à la base j’étais entrée par hasard, alors comme ça monsieur veut me déstabiliser très bien.

Crois-moi, c’est pas ça qui manque ici.

Aiden avait clairement envie de s’amuser ce soir, sinon il n’aurait pas pris de préservatif nous sommes d’accord ? Pourquoi le laisser partir sans en avoir tester au moins un ? Alors que j’étais dans mes pensées les plus perverses. Aiden me plaqua contre l’étagère qui était derrière moi pour coller l’ensemble de son corps contre le mien. Je du me contenir pour ne pas toucher ce qui m’était présenter devant moi. Je levais mes yeux pour voir son visage et son sourire maléfique. Ma petite culotte était déjà en feu.

Comment un simple rapprochement pouvait déjà me procurer autant de plaisir ? C’est l’effet Aiden. Je ravalais mon désir tant bien que mal qu’il dut le remarqué puisqu’il me chuchota à l’oreille que mes souvenirs me jouait des tours. Si seulement il était dans mes têtes nous serrions déjà entrain d’assouvir nos envies réciproques. Mais ce n’était pas le cas, mon souffle se saccader quand la paume de sa main caressait ma nuque. Des frissons me parcouraient de la tête au pied. Mon regard était brûlant de désir, alors que j’allais rétorquais quelque chose il s’éloigna de moi subitement. Je me pinçais les lèvres pour ne pas montrer mon agacement ce soir je ne pouvais pas être patiente après tous les souvenirs qui me venaient. J’avais envie de lui, tout de suite. Mais je ne pouvais pas me donner aussi facilement que ça.
Je reprenais tant bien que mal ma respiration je devais être rouge, j’étais brûlante.

Alors que tant bien que mal j’essayais de cacher mon désir à son égard mais je devais agir. Je voulais qu’il se sente lui aussi mal à l’aise. Je voulais moi aussi lui faire remémorer des souvenirs et pas les plus sages. Alors qu’il me piquait sans cesse pour me pousser au bord des mes retranchements je le fixais sans broncher. J’avais mon peau de lubrifiant derrière mon dos, j’en mis une sacré dose sur mes doigts tout en écoutant ses conneries. Mais je n’allais pas répondre de suite, je voulais le surprendre. J’acquiesçais gentiment comme une victime. Personne n’allait prendre ma place ce soir, et ça il le savait. J’écoutais encore sa dernière phrase, une fois finit je lui balançait :

Tu as finis de dire des conneries ?

Lui disais-je avec le sourire le plus maléfique qui soit. Lui torse nu qui me fixait ça me donnait encore plus de courage. Je voyais qu’il s’impatientait à une réponse de ma part. C’est alors que je prenais mon doigt lubrifié que je mis devant mes lèvres avant de le lécher le plus lentement possible tout en fixant Aiden. Puis tout en ne le quittant pas des yeux je suçais mon doigt de façon la plus suggestive qui soit. Si ça ne lui rappelais pas de souvenir c’est que j’avais à faire à un mec qui avait de gros problèmes de mémoire. Après avoir lécher mon doigt, j’en avais mis sur les commissures de mes lèvres d’un coup de langue adroit je retirait le superflu qui y était logé.

Mon sextoy comme tu dis pourras bien m’être utile pour certaines choses, tu ne penses pas ?

Je m’approchais dangereusement de lui, c’est à mon tour de le provoquer. J’étais à quelques centimètres de lui. Je le regardais amusée j’avais agit comme une salope, faut se l’avouer mais il l’avait cherché. Quand je me retrouvais alors à quelques millimètre de ses lèvres comme pour les embrassait je me détournais contre son oreille pour lui chuchoter à l’oreille.

Tu vois d’autres aussi en profiterons à ta place.

Je me retirais de son étreinte pour me plaquer contre l’étagère dos à moi en posant le lubrifiant sur une pile de sextoy.

Chacun ses choix, Aiden.




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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyDim 11 Mai - 21:45



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »

La température avait monté d’un cran, aussi bien pour elle que pour moi, et à nous voir ainsi ce n’était qu’une question de temps avant que l’un de nous deux craque. Mais une chose était sure, ça ne serait pas moi. Nous étions tout deux dans le déni. Aucun ne souhaitait avouer qu’il avait envie de l’autre et nous nous repoussions mutuellement jusqu’à ce que l’autre cède. Elle me répondait que nous n’avions pas la même définition d’excitation. Certes, j’avais certainement sous-estimé sa résistance à mon charme. Alors que j’avais retiré mon T-shirt comme s’il s’agissait de quelque chose de normal, ses actes avaient trahi ses paroles lorsque ses yeux s’étaient longuement attardés sur mon torse. Un point pour moi.
Je décidais de ne pas relever ses réponses à mes attaques, ça aurait été comme donner du poids à ce qu’elle souhaitait faire. J’avais décidé de la pousser à bout, mais contre toutes attentes, elle ne se laissait pas faire et était bien plus tenace que ce à quoi je m’attendais. Un point pour elle ? Non je n’irais quand même pas jusque-là. Alors que je me rapprochais dangereusement d’elle, elle ne me lâchait pas des yeux. Elle était insoumise et refusait de montrer une once de faiblesse. Elle avait pris du poil de la bête depuis que je l’avais vu pour la dernière fois, en Inde. Là-bas, nous n’avions pas à tourner autour du pot. Un regard suffisait à lui faire comprendre mes désirs et lorsque je la déshabillais des yeux, elle avait normalement pour habitude de s’exécuter.
J’avais choisi de me lancer sur la pente glissante de ce qu’elle faisait dans une boutique pareille et de lui lancer des piques à propos de sa sexualité. J’avais déduit que si elle se trouvait là, c’était qu’elle n’avait pas de partenaire et cherchait comme une âme en peine, un objet pour assouvir ses besoins. Elle me répondait que des hommes, elle n’en manquait pas et que donc elle était là pour trouver de quoi s’amuser. Mes pensées s’égaraient et j’avais du mal à rester concentrer sur la situation. Trop de souvenirs me revenaient en mémoire et j’avais de plus en plus de mal à la visualiser tel quel, avec autant de vêtements sur le corps. Elle que j’avais si souvent vu nue. Pour le coup, elle avait l’avantage, je ne portais pas de T-shirt et elle était encore totalement vêtue. Mais ça ne durerait certainement pas longtemps.
Je prenais les devant et la plaquait contre les étagères qui se trouvaient derrière elle. J’avais réussi à l’exciter et elle ne tiendrait bientôt plus. Si elle me voulait pour elle toute seule ce soir, elle allait devoir montrer à son tour de quoi elle est capable. Et elle ne se fit pas attendre. Elle avait dissimulé quelque chose dans ses mains que je n’avais pas vraiment remarqué à mon arrivé. Comment ce détail avait échappé à mon attention ?
Alors que je relâchais mon étreinte elle prit son doigt qu’elle avait au préalable recouvert de ce qui ressemblait à du lubrifiant, et le léchât sous mes yeux. Tout doucement. Ses gestes étaient très suggestifs et poussaient à l’acte. Elle m’excitait la garce, elle allait finir par obtenir ce qu’elle voulait. Mon corps entier bouillonnait alors qu’elle se tenait devant moi, léchant son doigt pour me provoquer. Je la regardais avec envie. Elle savait très bien ce que je voulais. Je la dévorais des yeux, tout en essayant de contenir mon désir pour ne pas trop lui montrer qu’elle m’avait atteint. Mais quel homme n’aurait pas réagi à un tel appel au sexe ? Elle voulait me montrer à quel point elle était agile de sa langue et à coup sûr elle avait réussi à faire naitre en moi un désir difficilement contrôlable. Cette fois si c’était une certitude, un point pour elle.
Je mourrais d’envie de la déshabiller et de vivre avec elle un nouveau moment de plaisir.  Mais je n’allais pas céder comme ça. Outre ses actes, ses paroles étaient là pour m’exciter aussi. Sa voix sensuelle me rappelait qu’elle pouvait aussi s’amuser autrement. « Et bien ma chère, si tu veux t’acheter un petit pénis en plastique pour t’amuser le soir, ne te gêne pas ! » Dis-je en essayant de garder mon calme. Je respirais beaucoup plus fort et mon cœur s’était accéléré.
Elle s’était rapproché de moi, à son tour et j’avais pu sentir son cœur, qui lui aussi palpitait rapidement contre mon torse brulant. Elle fit mine de m’embrasser avant de murmurer à l’oreille que si ce n’était pas moi, d’autres auraient ma place. Elle avait failli craquer, elle était à deux doigts puis elle s’était reprise.
Elle mentait, ce soir personne d’autre n’aurait ma place, mais la question était ‘qui ferait le premier pas’. Elle recula afin de se replacer là où je l’avais plaqué quelque minutes plus tôt, puis posa le pot qu’elle avait auparavant utilisé « c’est con, tu vas devoir le payer maintenant. Autant s’en servir non ? » Et puis alors que je la contemplais avec cette envie d’elle que je tentais tant bien que mal de ne pas montrer, un détail vint à ma mémoire. La demoiselle avait l’habitude de ne rien porter sous ses jupes, ce que je me dépêchais d’aller vérifier. Elle était bloquée, volontairement ou non contre ce rayon et je prenais donc un malin plaisir à le coller à elle, lentement et sensuellement. Puis brusquement je plaquais ma main sur sa cuisse avant de la faire doucement remonter jusqu’à son entre-jambe. Un bout de tissu barrait toutefois l’entrée. « Petite joueuse qu’est c’est que ça ? Tu as changé tes bonnes habitudes ? » Je n’en démordais pas, alors que mon corps brulant était désormais collé au siens, ma main restée logée là, caressant délicatement son intimité au travers du  morceau qui la cachait. Et puis d’un coup d’un seul, je relâchais de nouveau cet emprise. « Dommage, j’ai déjà quelque chose de prévu ce soir. Mais c’était sympa de te voir. » Je déposais un baiser sur sa joue, au coin de ses lèvres, puis parti.
Allait-elle penser que j’étais réellement parti ou me connaissait-elle suffisamment bien pour me savoir dans un autre rayon à trouver de quoi pimenter notre soirée. Je la laisser patienter quelques instant avant de revenir les mains chargés de quelques articles. «  A moins que tu me prouves que ça vaut la peine que j’annule mes plans.» Je lui tendis l’un des produits que j’étais allé chercher, un déguisement on ne peut plus sexy avec corsé, bas résilles et porte jarretelles … la totale. «  Tu as 5 minutes, sinon je m’en vais.  » Les cabines d’essayages se trouvait en face de nous. Moi je me dirigeais vers l’une d’entre elle, où je m’asseyais pour lui laisser un peu d’intimité le temps de se changer. De ma place où je foullais dans les nombreux objets que j’avais ramenée dans ce si grand panier je lui lancais «  t’as le droit de changer de tenue si une autre t’inspire plus. Fais-moi rêver »

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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyLun 12 Mai - 1:59



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson





J’avais plutôt bien réussie mon coup, faut se l’avoue sucer son doigt de cette façon n’allait pas laisser le jeune homme de marbre, c’était bien mon attention de le faire craquer. Il avait voulu jouer avec moi tester mes limites, comme on dit qui s’y frotte s’y pique. Je voulais que toute son attention soit à mon égard, je voulais m’accaparer toutes ses pensées, toutes ses envies. Ce soir j’étais d’humeur, c’était son bon soir. Ses yeux le trahissaient peu à peu, je reconnaissais ce regard qui autrefois me faisait agir en un quart de seconde. Mais je ne suis plus docile, je veux de l’action, je veux me faire languir. Lui et moi nous savons très bien de quoi est capable l’autre niveau sexuel. Il n’y avait jamais vraiment eu de séduction entre nous juste des regardes, des baisers tout s’était fait très vite. Mais cette fois-ci je voulais voir jusqu’où lui et moi étions capable d’aller pour prouver à l’autre qui est le plus fort ? Ce regard qu’il me portait me faisait dores et déjà transpirait de désir pour lui. Je savais que ce soir nous allions aller plus loin que ce que nous faisions ensemble.

En Inde, lui et moi c’était non-stop, qu’on avait même plus besoin de séduire, on voulait juste se remplir l’un de l’autre. Mais ici, l’endroit tout d’abord nous empêchait de le faire de façon si abrupte et bestiale. Non ce soir, monsieur va ranger sa fierté, et attendre patiemment. Je ne le quitter pas des yeux, lui non plus. C’est comme si je couchais avec lui rien qu’en le regardant, mes souvenirs se faisaient de plus en plus concrets. Ce que je ne donnerai pas pour être dans un lit avec lui et profiter de chaque passerelle de son corps. Je ne réagissais même pas à sa remarque, il essayait de faire diversion sur ce qu’il ressentait à ce moment précis. Il respirait de plus en plus fort, un point pour moi. J’avais réussis à le déstabiliser, et c’est bien la première fois.

En me rapprochant de lui, je sentais son corps brûlant contre les miens, des lèvres qui ne demandaient qu’à être punies de ses paroles. Si ça ne tenait qu’à moi j’aurais violé plus d’une fois ses lèvres que j’imaginais déjà parcourir mon corps. Mes inspirations étaient de plus en plus forte, je lui résistais, comment j’arrivais à résister au diable en personne ? Quand j’avais repris ma place j’espérais sincèrement qu’il me recolle contre cette paroi pour me toucher, me sentir, me désirer. Quand j’avais reposé le lubrifiant sur le tas d’objets il me fit la remarque que je devais m’en servir. Il était aller droit au but, il n’allait pas continuer longtemps sans rien faire. Entre ma respiration et mon désir j’avais réussis à bafouiller quelques mots :

C’est de ta faute tu le payeras, qui te dis que je vais l’utiliser avec toi ?

Le jeune homme n’eut pas la décence de répondre et le revoilà contre mon corps je ne pu résister à toucher se torse parfait d’où je connaissais le moindre secret. Ma respiration était haletante, combien de fois lui et moi nous étions retrouvé proches comme ça ? Entre mes souvenirs et sa présence j’étais déjà toute excitée. J’étais fébrile sous son poids qu’il exercer sur moi. Sa main remonta contre ma cuisse, il devait se souvenir que je ne portais pas de sous-vêtement sous mes robes mais cette fois-ci c’était l’exception qui confirme la règle. J’aurai tellement voulu que ce bout de tissus disparaisse loin, très loin. Le salaud remontait doucement sa main contre mon entre-jambe je me pinçais les lèvres pour ne pas laisser échapper un soupir de désir. Mon ventre se crispait de plus en plus. Sa remarque me faisait sourire , c’est vrai que vu son visage surpris il ne devait pas s’y attendre je lui réponds alors dans un souffle presque inaudible tant je jubilais :

Et tu n’as encore rien vu

Ses doigts experts commençaient à se frotter contre mon intimité. Jésus. J’étais déjà trempée à sa simple contemplation, il ne pouvait pas s’arrêter là alors que mes doigts glissés doucement contre son torse brûlant il se retira d’un coup de moi. Mon regard était empli de haine, il n’avait pas le droit de me faire ça. Quoi ? Il me lancer en plan comme ça sur ma faim, non Aiden ne ferait il ne sait que trop bien qu’il ne peut pas autant s’amuser avec une fille, être aussi intime qu’avec moi. Car je ne le rappeler jamais, je ne le coller jamais. Il aurait fait à d’autres elle serait folle de lui, moi je comprenais son jeu. Quand il me fait la bise près de mes lèvres je le repoussais d’avantage. Il n’avait pas le droit. Je le regardais partir sans dire un mot, puis j’étais trop tremblante pour marcher je préférais rester contre l’étagère qui était froide. Soit c’est devenu le pire des connard, soit il a une idée derrière la tête. Les secondes me paraissaient comme des heures, je me remettais droite, commençant à sérieusement douter de ses attentions.Quand je le revoyais revenir, je ne pu contenir mon sourire de satisfaction.

Depuis quand je dois te prouver quoique soit ?

Il me déposa ses articles dans mes bras, des bas résilles, un corset, portes jarretelles. D’accord monsieur voulait vraiment pimenter ce soir, pas de problème. Quand il me dit que je n’avais que 5 minutes cela m’excitait d’avantage je lui répondis directement :

Je n’ai même pas besoin de 5 minutes Aiden.

Alors que nous dirigions vers les cabines, il s’asseyait dans une autre cabine. Mon sang et mon cerveau ne fit qu’un tour. Fallait que je fasse vite, mais je savais comment gagner du temps. Il m’a dit fais-moi rêver. Ok Aiden. J’arrivais devant lui encore toute habillé, en lui souriant je prononçais ces quelques mots :

Tu n’as pas le droit de toucher tant que je n’ai pas finis.


Je lui attribuais le sourire le plus coquin qu’il soit avant de le regardant. Je m’approchais de lui de quelques centimètres justes assez pour faire mes mouvements sans le toucher. Sans le quitter des yeux je défaisais le zip de ma robe. Et d’un coup d’épaule habile je fis tomber ma robe à mes pieds. Je la déplaçais avec mes pieds. J’étais à présent en sous vêtement devant lui, dans une boutique de sex shop, tout va bien. J’inspirais un grand coup avant de libérer ma poitrine qui était coincée dans mon soutien-gorge, et ma culotte. J’étais à présente nue devant lui, je le regardais pendant un long moment. J’étais à la fois excitée et stressée que quelqu’un nous aperçoives. Je pris ces accessoires que je posai à côté de lui gentiment. Je pris les bas résilles et posa mon pied entre ses jambes. Je remontais les bas sur ma jambe très lentement tout en le regardant je voulais qu’il craque. Je lui murmurais alors tout près de son oreille, alors que mes seins frôlaient son torse :

Tu as intérêt à être sage.

Puis en quelques minutes j’étais habillé de la tenue qui souhaitait. J’étais très à l’aise avec les corsets c’est comme si j’avais avec tout ma vie. Je me mettais entre ses jambes, son visage remontait doucement je lui laisser profiter à sa guise de cette vue. Avant de me mettre habilement sur ses genoux en lui glissant ma langue contre son cou.

Si tu veux jouer à ce jeu Aiden, je vais gagner.

Puis je me retirais brusquement de mon étreinte contre lui. Et me mise debout face à lui tripotant mes cheveux, nerveuse et excitée.





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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyDim 18 Mai - 1:52



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »

Nous avions l’habitude que tout a aille très vite entre nous. En Inde, nous ne prenions pas vraiment notre temps pour se séduire. A quoi bon ? Nous savions très bin ce que l’autre voulait, il n’était donc pas nécessaire de perdre du temps en futilité. C’était purement physique, mais malgré tout, ce qui nous liait était fort. Un désir intense, qui malgré la satisfaction régulière, se faisait rapidement sentir. Pendant le mois passé à ses côté, j’étais devenu accro à elle, à son corps et ses atouts. Elle était douée, très douée.

Alors qu’elle tentait un jeu de séduction avec son doigts, je me rappelais de nombreux souvenirs, où elle s’adonnait à me satisfaire avec sa langue habile. Nul ne pouvait ignorer à quel point la demoiselle savait s’y prendre avec les hommes. A force, elle me connaissait bien et savait exactement ce qui me faisait craquer. Évidemment en évoquant ces doux souvenirs, je n’avais pas pu m’empêcher de la désir d’autant plus. Elle me séduisait  et me rendait fou. Elle voulait me faire repousser mes limites alors que je souhaitais la faire craquer. Notre mission était la même. Et alors que nous ne nous étions rien dit, nous avions lancé un jeu, ou plutôt un défi : a qui ferait craquer l’autre le premier. Si elle me connaissait si bien qu’elle semblait le prétendre, elle savait qu’à ce petit jeu, je ne perdrais jamais. J’avais beaucoup trop de fierté pour laisser la demoiselle prendre le dessus.
«  Si je le paye, je l’utilise »

Nos deux corps s’étaient rapprochés une fois de plus, et j’avais choisi de titiller son intimité pour la faire réagir. Elle brulait de désir, je le sentais, mais une fois encore elle jouait à se montrer forte et me m’annonçait que je n’avais encore rien vu.
J’avais décidé à mon tour de lui rendre la vie dure en lui faisant croire mon départ. Elle était presque tombée dans le panneau, croyait que je l’avais laissé là, en plan. Et elle fut donc étonné de me voir revenir, les mains pleines en lui tendant un costume, on ne peut plus suggestif.
« c’est toi qui m’a dit que je n’avais encore rien vu, à toi de me montrer ce que tu vaux ma belle. »
Elle releva le défi. Contre toute attente, elle ne choisit pas de se changer dans la cabine voisine, mais vint me rejoindre dans la mienne, et alors qu’elle me fixait droit dans les yeux, elle défaisait sensuellement sa robe, puis alors qu’elle était en sous-vêtements elle les fit à leur tous tomber avant de se retrouver nue devant moi. Mon corps prenait petit à petit le contrôle sur mon cerveau et m’empêchait de réfléchir. Je sentais mon sexe se durcir à mesure qu’elle retirait les bouts de tissus qui cachaient son corps. Je n’avais tout d’un coup plus envie qu’elle enfile cette tenue. J’aurais aimé qu’elle me déshabille à mon tour et que son corps ne fasse qu’un avec le miens. Je la dévorais des yeux. Elle enfilait ses bas résilles en posant son pied entre mes jambes afin de m’exister encore plus que je ne l’étais déjà. Et elle avait raison, ça fonctionnait à merveille.  Je me contrôlais pour ne pas la prendre de force et lui faire l’amour sauvagement. Elle avait encore ses seins nus et elles les faisaient frôler le long de mon torse lu aussi dénudé. Elle me rendait fou.  «  Sage ? Moi ça risque d’être difficile. Qu’est-ce que je risque ?»
Je tentais progressivement de reprendre le contrôle, je ne pouvais pas la laisser gagner. Mais elle ne voulait pas se laisser faire pour autant. Assise sur mes genoux, dans la tenue que je lui avais choisi, elle me léchait le cou La langue sur mon corps me fit frissonner « Cette tenue te va à merveille, mais je te préférais nue ! » Je me contrôlais difficilement. Puis elle se relevait tripotant nerveusement ses cheveux.

Sauvagement, je l’attrapais par la taille pour qu’elle se retrouve à nouveau sur mes genoux, à califourchon. Mes mains posées sur ses fesses dénudées, que je caressais sensuellement je lui fis quelques bisous dans le cou, puis remontais sur ses joues, avant de me retrouver à nouveau sur son cou que je pris plaisir à lui mordiller. Rare étaient les filles que ça n’existait pas. Je léchais ses fesses pour remonter le long de son corps en prenant le temps de caresser ses reins, son dos puis ses seins qui débordaient du corsé que je lui avais trouvé. J’y déposais là aussi quelques baisés et y donnais quelques coup de langue pour l’exister d’autant plus. La chaleur montait encore d’un cran.
Je l’avais presque forcé à se rassoir sur moi, et maintenant je la caressais de partout. J’étouffais un soupir de désir. Une fois que j’en eu fini avec sa poitrine je pris un malin plaisir à faire glisser mes mains sur ses bas résilles avant de me glisser sur son entre jambe que je caressais comme le reste de son corps. Nos deux intimités étaient désormais collées, seuls quelques bouts de tissus nous séparaient de l’acte sexuel.
«  En fait, tu as déjà perdu, je t’ai vu nu et je suis encore habillée. J’ai été plus fort que toi chérie. »
Glissant ma main dans ce que j’avais récupéré dans le magasin, ma main tomba sur un œuf vibrant accompagné de sa télécommande. J’ouvrais rapidement l’emballage avant de le tenir entre mes deux doigts. Ne lui laissant pas vraiment le choix, je décalais le morceau de tissu qui cachait l’entrée de son intimité, puis y glissait non sans délicatesse l’objet en question. J’y étais peut être allé brusquement, mais c’était pour la bonne cause. Elle ne s’attendait certainement pas à ça. Sur les 5 vitesses disponibles, j’actionnais directement la 3eme, pour qu’elle obtienne des sensations directes. Puis après quelques longues secondes, j’éteignais l’appareil.

Ces derniers minutes s'étaient déroulées très vite, j'étais devenu sauvage, à la limite du brusque. Mais elle l'avait cherché. Si nous nous étions retrouvé dans ce lieu si particulier, c'était bien pour tester quelques gadgets tout de mêmes. Et mon panier était plein, autant en profiter.


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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) EmptyDim 18 Mai - 17:55



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson





Parfois le jeu de la séduction est bien plus palpitant que l’acte en lui-même. Même si je ne pouvais pas le nier Aiden était de loin le meilleur coup de ma vie. Oui de ma vie, j’avais l’impression avec lui d’être dans 50 shades of grey, dès qu’il me touchait je rougissais, dès que nous faisions qu’un j’avais un orgasme. Et heureusement pour moi, c’était à chaque fois je goûter à son corps parfait. Combien de fille peuvent avoir un orgasme aussi facilement ? Pas des masses. Ce mois avec lui m’avait épuisée de désir, c’était tellement intense et fort. Je ne pouvais pas rester dans une pièce sans le toucher, le désirer, l’imaginer en moi. Il était clairement l’objet de mes désirs et de mes fantasmes. Ce soir lui et moi jouions à un jeu bien plus pervers que les autres fois. On voulait se mettre à bout pour mieux finir l’un dans l’autre. Nous savions à la seconde même où j’ai prononcé son nom que nous allions en arriver là. Comment est-il possible qu’un seul homme réponde à toutes vos attentes ? Si j’étais comme les autres filles, je pense que j’aurais tout fait pour le garder avec moi et ne laisse personne l’approcher. Mais je n’étais pas comme ça, enfin je ne l’étais plus. Puis quand bien même Aiden était un homme à femmes, il ne pouvait pas se poser pour la simple et bonne raison qu’il était comme moi un chasseur. Alors que j’avais joué avec mes doigts pour l’excitée d’avantage je savais qu’il me désirait autant que moi je le désirais. Il respirait fort, il me baiser du regard. Je savais que ce petit jeu lui faisait remémorer des souvenirs. Je ne comprenais jamais pourquoi peu de femmes aimer faire de gâterie aux hommes. C’était la clé, pour les garder sous la main, d’autant plus si vous le faisiez régulièrement. Comme dirait ma grand-mère, l’homme faut apprendre à les tenir par couilles. Et honnêtement elle n’avait pas tort. Alors que nous étions dans la cabine d’essayage et que je me tentais au jeu du strip tease je ne pouvais pas ignorer le regard qu’il posait sur moi. Il essayait tant bien que mal de ne pas me prendre, me toucher, me caresser.  Il me disait qu’il ne pouvait pas être sage, je le croyais sur plaisir mais je ne pouvais pas répondre trop excitée pour bafouer ne serrait-ce qu’un mot juste un soupir de désir qui témoignait que ces mots me plaisait. Une fois sur ses genoux je l’écoutais puis je ne pouvais pas m’empêchait de lui dire :

Fallait y réfléchir avant !

Alors que je m’étais relevait tout en le scrutant et laissant mes yeux savourer la vue qu’ils avaient il m’attrapa par la taille de façon à ce que j’arrive à califourchon sur ses genoux. Je ne pu contenir un soupir de désir. Le jeune homme avait tout simplement perdu la tête il me caressait d’abord mes fesses puis il m’embrassa dans mon cou et jouer entre mon cou et mes jeux. Et personne mieux que lui savait que c’était l’une de mes plus grandes comme faiblesses comme à peu près toutes les filles. Je n’étais que tremblements et désir au contact de ses doigts et de langue experte. La chaleur était monté entre nous mes mains se crispés contre sa poitrine tant je le désirais. Mon souffle se saccadait de plus en plus, j’étais sur le point de ne plus tenir en plus ça m’avait manqué. QUOI ? PARDON ? Qu’est ce qui m’arrive ? Il m’a manqué ? Et puis quoi encore ? Enfaîte depuis son départ d’Inde je n’avais pas cessé de penser à lui, à nos habitudes. Mais très rapidement je m’y étais fait sachant pertinemment que je n’allais pas le revoir mais là le revoir avait complètement changer mes plans. Comment pourrais-je le résister ? Alors que depuis que je le connaissais nous passions le plus clair de notre temps dans un lit ? Mais mes pensées furent écourtées quand il passait sa langue sur ma poitrine et qui glissait ses mains entre mes jambes pardessus mes bas. Je ne pouvais que soupirais de désir, j’avais chaud, je ne voulais qu’une chose le prendre et le déshabillait pour qu’on arrive à notre fin ! Nous étions tellement proches l’un de l’autre que je pouvais sentir sa virilité dure contre mon intimité. A ces mots un petit rire m’échappa :

Plus fort ? Menteur ! C’est toi qui ma ramener sur tes genoux moi je n’ai rien fait !

Alors que nous étions l’un sur l’autre il prit un objet dans son panier, tel  un démon. Il fut tellement rapide que je n’eus pas le temps de dire quoique soit qu’il me glissa un objet dans mon intimité, j’étais tellement excitée que de toute façon il n’avait pas besoin de consoler mon intimité. Je me demandais ce que c’était je le regardais l’air inquisitrice puis en quelques secondes je sentais des vibrations à l’intérieur de moi. Je ne put m’empêchait d’échapper un cri de surprise et d’excitation. Mais rien ne pouvait égaler Aiden, pas même cet objet excitant. Mes lèvres proches de ses siennes mourraient d’envie de le prendre à pleine bouche, de les mordre pour le punir, puis de les lécher pour les récompensées. Après quelques secondes il arrêta l’objet. Je lui sortais alors :

Depuis quand, le grand Aiden a besoin d’objet pour m’exciter ?

Ni une ni deux je commençais à le caresser d’abord son torse, ses épaules et ses bras. Puis je glissais ma langue le long de son cou, je descendais légèrement sur son torse tout en remontant sur son cou que je me faisais plaisir à morde sans relâche avant de repasser mes lèvres à même pas quelques millimètres des siennes :

Tu l’auras voulu.

Je sortais de son étreinte, toujours l’objet en moi. Puis je me mise à genoux entre ses jambes sans pour autant le lâcher du regard. Je lui défaisais d’un coup de main habile les boutons de son jean et sans précaution j’enlevais le caleçon du jeune homme. Je le matais sans complexe, sans désir dissimulé sa virilité que je connaissais bien mieux que n’importe qui. Je pris dans le panier un des lubrifiant qu’il avait choisis avant de lui sourire de façon assez coquine. J’appliquais généreusement se produit fruité sur la virilité du jeune homme avant de lui dire toute innocente :

C’est bête, va falloir enlever tout  ça maintenant…

Je le fixait. Il allait mourir ce soir, il ne pouvait pas m’exciter et moins rien avoir en échange. Je laissais ma langue courir sur sa virilité me délectant du goût si orignal de ce lubrifiant. Pendant de longues secondes je laissais ma langue jouer avec celle-ci avant de sans crier garde m’accaparait à pleine bouche de celle-ci. Mes lèvres se pinçaient conte le sexe du jeune homme. Alors que je savais qu’il allait craqué je me remise sur ses genoux. Avant de passer ma langue sur ses lèvres pour lui faire goûter ce dont je venais de lêcher. Puis je m’approchais de son oreille :

Tu vois, tu as perdu, c’est toi qui est nu à présent.

Je le regardais dans l’attente d’une réaction de sa part, je savais que j’allais payé de mon arrogance.




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