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CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT)

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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptyDim 27 Juil - 0:56



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »

La température à l’intérieur de l’espace confiné dans lequel nous nous trouvions avait atteint son point culminant. Depuis quelques longues minutes maintenant, nous avions tous les deux fait de notre mieux pour rendre l’autre accros jusqu’à ce qu’il cède. Usant de tous nos charmes pour parvenir à nos fins. Ce jeu de séduction à la limite de la perversité était bien différent de toutes les fois où nous nous étions vus auparavant.  Avant il s’agissait de simples échanges charnels qui n’avais pas réellement besoin de tant d’excitation.  Il nous suffisait de nous retrouver dans la même pièce pour que quelques minutes plus tard nous suffoquions de plaisir. Avant c’était facile, nous n’avions qu’à nous regarder dans les yeux, et la guerre était déclarée. Cette fois c’était différent, bien plus bestial que les fois précédentes.

Elle savait m’exciter et me connaissais suffisamment pour y arriver rapidement. Je la dévorais du regard et elle l’avait bien compris. Je caressais tous son corps sans qu’elle ne puisse rien dire ni faire. Elle était sous mon emprise.  Mes mains habiles parcouraient son corps de manière à lui faire comprendre une dernière fois qu’elle ne pourrait que céder. Après ces caresses endiablées ma virilité n’avait pas eu d’autre choix que de se durcir et je savais qu’elle avait pu sentir cela, lorsqu’elle était assise sur mes genoux. Elle savait qu’il était temps de se décider.

« Tu es la plus faible de nous deux, avoues le. » j’avais glissé un petit sextoy dans son intimité afin de la titiller un peu avant d’entrer en action. « Je sais que tu a plus l’habitude de jouer avec ces jouets qu’avec les hommes, alors je ne voulais pas te dépayser tout de suite ! » Bim, in your face bitch, il ne fallait pas me chercher. A dire vrai, je n’avais aucune idée de ce qu’elle avait l’habitude de faire, depuis le temps que je l’avais perdue de vue. Mais c’était plus pour l’énerver qu’autre chose, que je lui avais balancé ça au visage.
Mais elle n’eu pas l’air d’apprécier et décida de se venger. Sans plus attendre elle retira le caleçon que je portais et enduit généreusement mon sexe de lubrifiant.  Elle ne cachait plus son désir avant de me dire avec une voix pleine d’innocence, qu’elle allait devoir y remédier. Elle jouait du bout de sa langue avec ma virilité puis s'emparait de mon sexe a pleine bouche. Elle me rendait fou. Je ne pu empêcher un râle roc de sortir de ma bouche, tant elle me donnait de plaisir. Elle savait y faire avec les hommes c'était indéniable, mais j'avais le droit à tout, puisque j'avais gagné et avais résisté à l'appel de la chair plus longtemps qu'elle.

«  Tu as perdue, c’est toi qui a craqué la première. J’avais raison, tu es faible et tu ne peux me résister. » Mais on pouvait dire que c’était de bonne guerre, j’avais tout fait pour qu’elle cède, et finalement je ne pouvais pas m’en plaindre, après la démonstration de ses talents auxquels je venais d’avoir droit. A mon tour, et puisqu’elle avait perdue, je pouvais engager les hostilités. Je me mettais à genoux et retirait le morceau de tissu que je lui avais demandé d’enfilé quelques minutes plus tôt. Je le fis glisser le long de ses jambes, tout en les embrassant. Je retirais le jouet que j’avais glissé à l’intérieur de son intimité, avant d’y coller ma langue. A mon tour de lui montrer ce dont j’étais capable et de la rendre folle. Je commençais par lécher doucement ses lèvres, puis son clitoris. Enfin je glissais ma langue plus en profondeur tout en faisant de nombreux mouvements. Je couvrais son intimité de baisés puis ma langue s'insinuait dans son ouverture détrempée, pendant ce temps mes mains malaxaient ses seins aux formes généreuses. Je sentais son corps se cambrer peu à peu. Elle était prête.
Je fouillais dans le panier de bonnes choses que j’avais choisis dans le magasin avant de mettre la main sur un préservatif que j’enfilais à la hâte. Je glissais alors mes mains sous ses fesses, la soulevais et la plaquais contre le mur. Ses yeux clos, elle mordillait légèrement sa lèvre supérieure ce qui trahissait une indéfinissable expression de désir. J’enroulais ses jambes autour de ma taille. Mon sexe avait été auparavant libéré de mon caleçon, et elle de son côté, rien n’empêchait l’accès à son intimité depuis que j’avais ôté le morceau de tissu qui le couvrait. Je plaquais ma main contre sa bouche par prévoyance, pour la faire taire et éviter que  caissier ne se doute trop de quelque chose. Je la regardais droit dans les yeux, remplis de désirs.

Au fond, je crois que j’aurais aimé que le vendeur nous surprenne. J’introduisais mon sexe bien raide dans l’intimité de Charlotte, quelle délivrance que de me de trouver enfin en elle. J’entreprenais des mouvements de va-et-vient et sentais l’étreinte de ses cuisses devenir plus forte. Je suçais le bout de ses superbes tétons et la couvre de baiser.. Mais, ivre de plaisir, j’éprouve un désir indomptable et, d’un sursaut de rein, j’intensifie et accélère mes mouvements en elle.  Mon désir devient rage et je jouis en elle.
L’ultime étreinte s’accompagne d’un bruyant craquement. La paroi contre laquelle j’avais plaqué la demoiselle avait cédé suite à notre étreinte, je me rhabillais à la hâte avant de lui lancer « comme c’est toi qui a perdu, je pense que c’est toi qui vas devoir payer pour les réparations ! »



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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptyMar 29 Juil - 0:09



CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 Tumblr_mz90wtzJxd1qeolcio5_250CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 Tumblr_m7n7lx25qk1rt3fn2

On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson




Aiden avait toujours l’habitude que je cède à ses avances le plus rapidement possible sans jeu préalable. Mais j’avais changé je n’étais plus la petite fille modèle qui obéissait sous son gourou. Ce soir je voulais lui monter une partie de ce que je pouvais faire, et comme toujours lui prouver encore une fois que je n’avais peur de rien, ni de lui , ni de la nudité ni même du caissier. Avant en un battement de cils nous nous comprenions mais aujourd’hui nous ne parlions plus le même langage. Je voulais savoir si ses capacités physiques et psychiques étaient aussi puissantes qu’avant tout en le poussant sans arrêts sans relâche. Jusqu’à ce que nous brulions des ailes, jusqu’à ce que l’un cède que l’autre soit à sa merci. Nos caresses n’étaient plus si innocentes ses mains s’emparaient de mon corps de la plus envieuse des façons. J’étais sienne depuis l’Inde ça il devait le savoir mais il agissait comme une reconquête comme si tout ce que nous avions « bâti » en Inde s’était effondrés dans ses échanges les plus bestiaux. Sur ses genoux je le contemplais sans aucunes retenue. Laissant mes mains parcourir son corps je n’allais pas longtemps résister à cet homme car je n’en ai tout simplement pas envie. Mes cuisses se resserrent, à sa réflexion il ne perd pas le nord. Je lui disais non de la tête tout en gesticulant sur ses cuisses sous l’effet du jouet qui était inséré en moi. Sa deuxième remarque manqua un étouffement de ma part. Très bien Aiden. Que le jeu commence alors. J’arquais un sourcil tout en lui enlevant son caleçon. Puis à genoux face à lui je titillais sa virilité. Ma langue ne lui laissais aucun répit, le rendre fou était ma mission principal. Je ne voulais pas qu’il pense à une autre fille, je voulais qui s’abandonne face à moi. Qui jette toutes ses bonnes manières pour moi. C’est au moment où je sentais qu’il pouvait se perdre en moi que je me relevais sur lui. Ma langue gouttant la sienne. Sa remarque m’exaspérait je le fixait légèrement avant de lui dire :


Je ne suis pas faible. Juste opportuniste je voyais que tu ne voulais pas de moi alors j’ai profité de toi.


Finalement le jeune homme voulait me rendre la monnaie de ma pièce en se mettant à genoux face à moi et mon désir ardent pour lui. Il enleva délicatement le bout de tissu qui m’avait presque forcé à mettre tout en embrassant l’intérieur de mes cuisses. Il enleva le dit objet un petit sursaut se faisait apparaître. D’un coup et d’un seul il laissa sa langue prendre possession de mon intimité. Plus les secondes passées plus Aiden devenait insistant en repoussant mes désirs les plus sombres. Une main sur son dos le griffait sans le vouloir. Mes jambes tremblaient peu à peu. Sentir enfin ses lèvres sur mon intimité était le début de ma délivrance. Il pouvait être le type le plus détestable de la terre mais quand il s’occupait de vous pour vous faire l’amour il vous faisais souffrir, succomber pour que vous tombez encore plus dans ses filets. Tout pour que vous ne soyez jamais rassasié de lui et de ses manières. Mon corps se cambrait face à ses caresses les plus délicates. Plaquée contre le mur face à lui. Mon intimité dévoilée et la sienne voilée. Mes yeux se fermaient sous ses caresses, ma lèvre inférieure était puni par mes dents. J’enroulais mes jambes autour de sa taille afin de le sentir au plus près de moi et d’enfin me libérer de cette tension qui parcourait tout mon corps. D’un acte soudain sa main plaqua ma bouche, pour taire ce que je ressentais ce qu’il pouvait me procurer. C’était donc les yeux dans les yeux qu’on avait ouvert le feu. Son sexe entra avec facilité dans mon antre pour ne faire plus qu’un mes mains se posait sur ses épaules pour faire appuie. Je suffoquais entre mon désir et le fait que ma respiration était partiellement bloquée. Plus les secondes passaient plus nos mouvements devenaient puissant presque bestiaux. Ne voulant pas me laisser de répit je voyais son visage descendre jusqu’à mes seins, je resserrais mes cuisses au contact de sa langue sur mon corps. Je pouvais sortir que des soupirs mes lèvres étant bloquées par sa main virile. Mes mains appuyait sur ses biceps preuve que ça me faisait du bien..Mais ça il devait bien le sentir. Mon corps n’était que spasmes et tremblements. Il continuai ses baisers sans cesses comme pour amener de la douceur qui était tout sauf doux. Mes yeux ne le quittais plus je pouvais plus je voulais qu’il s’abandonne encore plus à moi qu’il aille plus loin, que nous allions plus loin. Les mouvements sont de plus forts comme si mes prières s’exauçaient comme si nos regards suffisait à exprimer à l’autre ses attentes. Ou il était télépathe. Dans un dernier mouvement la cabine céda à nous corps totalement brûlant. Il me fallait quelques secondes avant de reprendre connaissance, mes jambes en lambeaux avaient du mal à suivre. Pourtant je me rhabillais aussi vite que lui. A sa remarque je lui lançais un regard noir avant de lui dire :


Même pas en rêve !


J’agrippais sa main pour l’emmener au fond du magasin, le caissier commençait à courir après prenant une issue de secours, nous commencions à dévaler les escaliers à un à un sous l’excitation. Une sortie de secours plus loin et nous étions dans la rue. Dans la course j’avais pu remettre mes vêtement plus aisément. Prenant une ruelle à droite de nous je le poussais contre moi, face contre le mur. En le regardant dans les yeux un moment, avant de mettre mes mains autour de son cou. Et de l’embrasser enfin. D’enfin pouvoir dire quelque chose que de soupirer de me taire. Une fois la fougue apaisée je me mettais contre le mur, respirant à peine.


Tu me dois un orgasme.





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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptyMar 19 Aoû - 3:31



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »



« Je ne suis pas faible. Juste opportuniste je voyais que tu ne voulais pas de moi alors j’ai profité de toi. » Qu’elle me disait donc. Et puis quoi encore ? Elle aurait voulu que je la remercie d’avoir cédé aussi tant qu’on y est ? Non mais pour qui elle se prend celle-là ? Depuis toujours elle savait qui j’étais et comment je fonctionnais. Elle ne me connaissait pas si bien que ça, à dire vrai. Elle ne savait rien de ma vie, de mon passé. Elle ignorait certainement même mon nom de famille. Dans le fond elle avait conscience de ce qui était le plus important à mes yeux, à savoir mon comportement. Je suis quelqu’un qui aime faire les choses seulement quand j’en ai envie, je n’ai pas être contraint ou soumis à faire quoi que ce soit, et rien ni personne ne pourrait m’obliger à faire quelque chose pour lequel je n’obtiendrais pas un quelconque intérêt en contrepartie.  Appelez-moi un opportuniste si ça vous chante, je suis simplement quelqu’un qui profite de la vie et qui ne veut pas s’encombrer à faire des choses inutilement.

Elle avait donc dit ça en connaissance de cause, elle savait que j’en avais envie mais que j’ai bien trop de fierté pour faire le premier pas avec une femme comme elle. Et puis de toute façon elle me l’aurait sans aucun doute reproché, si j’avais craqué trop vite. Ce qu’elle aime chez moi, c’est ma capacité à lui résister, à faire durer le suspense et ne pas céder trop vite comme la plus part des hommes en chien qu’elle doit certainement fréquenter. Et j’avais pour cette fois bien réussi mon coup. Ce à quoi je lui répondais « Je savais que tu aimais profiter des gens biens, perverse que tu es ! » Les gens biens, quelle ironie dans cette simple expression. Nous savions tous deux à qui elle avait affaire et la manière dont j’ai l’habitude de traiter les femmes n’a rien de ce que l’on peut qualifier de la sorte, mais qu’importe elle avait compris le message. Elle avait tout de même réussi à me rendre fou, au moins que moi aussi je cède à ses avances. Elle est très douée et sait ce qui plait aux hommes. Elle avait mis en avant son corps et en belle femme qu’elle est-elle était parvenue à ses fins. Après avoir embrassé à pleine bouche ma virilité elle avait joué de ses talents pour faire durcir celle-ci et me rendre fou.

J’avais à mon tour entrepris de la rendre folle, mettant en avant mes points forts. Alors que je m’occupais de ce qu’elle cachait derrière un tout petit morceau de tissu, je sentais son corps se crisper à mesure que ma langue la caressait. Puis j’avais pénétré en elle pour combler son désir ardent. Après quelques minutes mes mouvements devenaient bestiaux, voir brutaux. Cette tension sexuelle faisait ressortir en moi une grande torride. Nous ne faisions plus qu’un. Puis la cabine céda sous nos mouvements.

A la hâte nous rhabillions et elle me prit la main pour me mener en direction des sorties de secours. Ce contact me parut étrange. Il n’était rien comparé au corps à corps que nous venions de vivre, mais il me semblait plus officiel, plus chargé de sous-entendus, et de problème. Elle avait pris ma main  nouant ses doigts aux miens, et cela provoqua en moins un sentiment d’incertitude par rapport à ce qui venait de se passer. Un détail moindre, mais qui me donna la sensation d’une douche froide. Qu’attendait-elle de moi ?

Je décidais de ne pas trop me pencher sur la question pour le moment, afin de voir ce qu’elle me réservait pour la suite. Une fois dehors elle me plaquait contre un mur pour m’embrasser à pleine bouche. Alors que nous venions d’avoir un rapport sexuel endiablé, nos bouches n’avaient encore jamais eu la chance de rentrer en contact l’une avec l’autre. Ce fut un baiser torride, qui marquait une fin à ce qui venait de se produire. Ce qu’elle ne savait pas, ou alors qu’elle avait oublié c’est que j’ai la chance de connaitre personnellement l’homme qui détient cette boutique, et qui m’avait lui-même expliqué que les cabines étaient équipées de vidéos surveillances. Mais je me gardais bien de lui dévoiler ce petit détail croustillant, je préférais le garder pour plus tard. Je me contentais juste de la regarder, encore essoufflé après cette folle course. Je ne m’attendais certainement pas à ce qu’elle me lâche un « tu me dois un orgasme ! »  Et puis quoi encore ? Depuis quand Aiden Williamson avait des dettes envers qui que ce soit ? Je ne devais JAMAIS rien à personne et ce n’est pas cette demoiselle, aussi charmante soit-elle qui allait changer la donne. Mais pour ne pas lui annoncer la nouvelle de manière trop brutale, je me rapprochais à nouveau d’elle, pour lui rendre ce fougueux baisé et l’embrassais de nouveau à pleine bouche. Dans le même temps, j’en profitais pour glisser cette fois encore ma main contre son intimité encore humide.  « Tu as toujours envie à ce que je vois, coquine ! il t’en faut toujours plus ?! » Et alors que je titillais ton petit jouet entre les jambes je lâchais un sec et dévastateur « crève ! » Avant de me reculer pour mettre de la distance entre nous. « Comme tu l’as si bien dit, je n’avais pas envie et tu as profité de moi, tu as eu ce que tu voulais, plus ça serait de l’abus. J’ai d’autres chattes à fouetter » dis-je avant de ricaner.
Il s’agissait en réalité d’un ultime défi, un test que je lui lançais pour voir ce dont elle était réellement capable.



Tous à poil et on s'caresse :plop: :
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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptySam 23 Aoû - 23:21



CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 Tumblr_mz90wtzJxd1qeolcio5_250CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 Tumblr_m7n7lx25qk1rt3fn2

On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson




Pourquoi je le lui avais pris la main ? Sûrement un moment d'adrénaline j'avais besoin de quelque chose pour me ramener à la réalité tout a été trop rapide, on s'est regardé, on s'est chauffé, et on a baisé. C'est plutôt rapide comme retrouvailles , pas de mots superflus échangés, pas de "oh tu m'as manqué ", pas de quest ce que tu deviens ? Non c'était des phrases, des gestes en trop pour nous. à cet instant je ne savais pas que j'allais regretter d'avoir passé cette nuit avec lui, que j'allais regretter tout ce que cela allais évoquer pour moi. Je n'étais pas vraiment fleur bleue en effet, mais il y avait quelque chose chez Aiden que j'aimais plus que chez les autres, le fait qu'il ne m'appartienne pas enfaîte qu'il n'appartienne à personne c'était un électron libre qui n'avait pas la moindre attache, que vous n'aviez pas la possibilité de compter pour lui. C'était frustrant et en même temps cela avait le goût du défi, on voulait savoir tout ce qu'on pouvait faire avant de le faire craquer, se jouer un peu de lui en lui faisant croire qu'il avait une place pour importante que les autres. Un jeu, certes mais il y avait des règles à respecter, comme ne pas avoir de sentiments, ne pas reppocher à l'autre de faire ce qu'il a envie, ne pas se mêler de sa vie, ne pas s'appeler, ne pas se voir dans d'autres conditions. J'étais un peu comme l'animal de compagnie, on se laissait de côté et quand celaallait mal, on qu'on était énervé on seulement quand on en avait envie on allait voir l'autre. On n'était même pas sexfriend, car je ne connaissais rien de lui, même pas son nom de famille.Dans tous les cas cette fois encore avec lui c'était une aventure et pas n'importe laquelle, celle qui vous fait sentir désirable et pas qu'un peu, celle qui vous donne du courage faire des choses que vous n'auriez pas faites avec un autre homme. Faire l'amour comme des bêtes dans une cabine d'essaye d'un sex shop c'était plutôt exotique comme retrouvailles. Après que la cabine est cédée nous courions vers une ruelle où je le plaquais enfin contre un mur pour pouvoir goûter à ses lèvres interdites, qui ne m'appartenait pas le moins du monde. Ses lèvres chaudes contre les miennes sonnait la réalité de cet instant. Que ses heures passées avec lui n'était pas un rêve que tout ça était bien réel. Après lui avoir lancé une bombe comme quoi il me devait un orgasme je voyais du scepticisme dans son regard, je lui lançais mon sourire tant connu, celui de la prédatrice que je pouvais être. Il se rapprochait de nouveau de moi pour me rendre ce baiser avec plus de fougue. Cette fougue qui nous animer tant. Nous étions quand on était dans la même pièce des aimants, qui ne pouvait pas s'empêcher de se rapprocher de l'autre, tant la tension physique était présente entre nous. Mes bras autour de son cou, je sentais sa main glissée contre ma cuisse qui remontait doucement, mais sans précautions vers mon intimité. J'allais perdre le contrôle encore une fois, il savait y faire avec les femmes, mais encore plus avec moi. J'avais déjà le souffle coupé quand j'allais répondre à son interrogation, le jeune homme se retira de moi en me lançant un crève.Je raclais ma gorge, tout en plantant mon regard dans le sien. Je me pinçais les lèvres par réflexe de mécontentement. Je ne répondais pas je le regardais simplement me lancer des piques comme celles-ci. Il n'avait plus affaire à la même Charlotte qu'avant même si j'avais été gênée aux premiers abords, maintenant je savais prendre le contrôle sur les choses. Une fois qu'il avait terminé cette pique je levais les yeux aux ciels, avant de rire en même temps que lui. Je ne le croyais pas un instant, il n'avait rien à faire ce soir sinon il serait déjà parti. J'arquais un sourcil en glissant ma main dans mon intimité pour retirer l'objet qui me torturait. Tout en me rapprochant de lui je mettais l'objet entre lui et moi avant de le sucer légèrement pour retirer le fruit de mon excitation en lui disant à l'oreille :


Moi j'ai d'autres chattes à lécher.


Puis je faisais tombé l'objet parterre, tout en soutenant son regard. Avant de lui dire en me retournant comme si j'allais rentrer. Je n'étais pas le genre de femme à supplier donc s'il ne voulait pas de moi, encore une fois je pouvais très bien rentrer chez moi j'avais eu ce que je voulais. Je lui lançais un dernier regard avec un petit rire :

Tu peux me rejoindre si tu veux, je sais que je suis meilleure que toi dans ses exercices. Je te donnerai des cours.

Puis je le saluais de la main. Va t-il me rejoindre, ou allons-nous en rester là pour mettre en haleine l'autre jusqu'à la prochaine fois ?
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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptyMar 9 Sep - 19:49



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »



Il  y a encore quelque heure, j’avais oublié l’existence de cette femme sur terre.  Elle ne m’était pas revenu à l’esprit depuis que j’avais quitté l’Inde, et elle avec.  Je ne suis pas un homme nostalgique du genre à se remémorer des bons moments passés avec une femme, aussi belle et bonne au lit soit-elle. On avait pris du bon temps, on avait tous les deux biens profités et puis un beau jour ça s’était terminé, j’étais parti et puis basta. Ca n’était pas non plus dans mon style de prendre des nouvelles des gens. Déjà les personnes importantes dans ma vie n’avaient droit qu’à quelques rares coups de téléphones, et ils avaient souvent lieu lorsque j’avais besoin de quelque chose de précis, ou alors quand on ne peut pas y échapper, comme pour Noel ou encore ces conneries que sont les anniversaires. C’est uniquement pour la famille, et encore, ceux d’entre eux avec qui je suis resté en bon terme. Bien sûr quand il s’agit des amis, des vrais amis c’était différent. Bizarrement on dit souvent de moi que je suis très fidèle en amitié. En amitié, hein ne vous méprenez pas. Quand il s’agit des femmes, c’est une autre paire de manche. Je suis fidèle à chacune d’entre elle, le temps d’une nuit uniquement.
Rappeler une femme, à moins de rien avoir à me mettre sous la dent, très peu pour moi. Je déteste aussi, de la même manière toutes les pleurnicheuses et celles qui me reprochent de ne pas les avoir appelé, emmené au cinéma ou autre. Et puis quoi encore ? Elles ne voulaient pas aussi que je vienne manger chez leur mère ? Je n’appartiens à personne et je ne veux d’aucune contrainte. Un plan cul ? Pourquoi pas, tant qu’elle respecte les limites que je fixe et qu’elle n’empiète pas trop sur ma vie privée. Il faudrait simplement une fille à ma disposition, seulement quand j’en ai envie, rien de plus.

Aujourd’hui nous avions fait l’amour dans cette cabine d’essayage, et demain je reviendrais peut être avec une autre femme pour lui choisir une tenue sexy à porter devant moi. C’était ça la magie du truc, aucune contrainte, aucun problèmes juste du fun. Et rien ni personne ne pourrais m’enlever ça. Jamais je ne comprendrais ceux qui se mettent en couple pour soit disant se poser et aimer quelqu’un. Les discours mielleux à vomir. Bah. Y a que les moches qui se mettent en couple, parce que eux, une fois qu’ils ont trouvé quelqu’un ils se disent qu’ils n’auront pas de seconde chance et que maintenant qu’ils ont de quoi baiser, ça serait con de la laisser filer. Mais moi, qu’on se le dise, je n’ai pas vraiment ce problème là. La réincarnation même d’Apollon n’a pas de soucis à se faire pour trouver une fille à glisser dans son lit. L’avantage premier de ce principe est qu’il évite la monotonie, favorise la découverte de l’autre, les rencontres et que sais-je encore.
Personnellement rien ne m’attache, je suis libre d’aller et venir. Et souvent, les filles avaient beau être traité comme de la merde, elles en redemandent. Alors à quoi bon faire des efforts ? Un bouquet de fleur, un diner au restau et ça repart. Elles sont bien trop naïves. Charlotte, c’était encore pire que ça. Je n’avais besoin de rien, pour l’avoir dans ma poche. Mon sex appeal lui suffisait à ne pas être capable de résister à mon charme. Elle tombait à chaque fois dans mes bras, sans que je n’aie besoin de rien faire. Et cela fonctionnait même à des kilomètres, quelques années plus tard.

Mais alors qu’elle venait d’avoir ce qu’elle souhaitait, elle en redemandait. Et j’avais choisi de faire l’intouchable, en l’ignorant tout en lui disant que j’avais d’autres choses plus intéressantes à faire. Elle s’était empressée de me faire regretter ma décision. En me disant qu’elle avait « d’autres chattes à lécher ! » PARDON ? D’autres quoi ? Mademoiselle un peu de tenue !
« Depuis quand tu manges de ce pain là toi ? Tu serais bi et tu ne me l’aurais pas dit ? ». Elle ne s’était pas non plus gênée pour me provoquer en me disant que je n’étais pas à la hauteur. Tout d’un coup, elle m’avait fait changer d’avis. Moi pas à la hauteur ? Et puis quoi encore ?! Elle voulait voir ce dont j’étais vraiment capable ? Elle allait être servie. Alors qu’elle avait pris la direction du départ, je rattrapais par la main et la plaquait contre le mur où elle était quelques minutes plus tôt. Je l’embrassais à pleine bouche, fougueusement. Ce baisé avait fait rapidement monté la tension entre nous. Je la pris par la taille, pour la porter jusqu’à un rebord sur laquelle je la déposais tout en continuant de l’embrasser. Je retirais à nouveau le bout de tissus qui cachait son sexe, sans délicatesse et sans autorisation. J’entamais ensuite de lui caresser sensuellement l’intérieur des cuisses. « C’est ça que tu veux ?! Tu vas en avoir pour ton grade coquine ! » En quelque seconde, je glisse ma tête entre ses jambes pour gouter une nouvelle fois la saveur incomparable de son intimité. De ma bouche, je saisis une à une ses lèvres humides et encore brûlantes. D’abord un peu surprise, elle ne peut ensuite s’empêcher de ramènes ses jambes sur mes épaules et les croises derrière ma tête pour ne pas que je m’échappe. Je laisse glisser ma bouche. J’aspire doucement, je mordille tendrement. Ma langue s’aventure dans son intimité. Elle s’attarde autour de son bouton d’amour, le frôle, sans le toucher, puis descend vers son vagin. Et remonte encore. Et redescend. Cette fois, mon pouce a entamé un mouvement circulaire autour. Elle retient son souffle lorsque j’enfonce mes doigts dans son corps détrempé en même temps que le bout de ma langue vient titiller vicieusement son clitoris. Un spasme plus violent que les autres m’indique son orgasme. Subir est bien le mot car elle  bien tenté de le retenir mais il est arrivé sans prévenir, immédiatement au moment où mon majeur et mon index ont pénétré ton sexe. Sentir brusquement l’intrusion de mes doigts en même temps que de sentir ma langue a déclenché chez elle un orgasme terrible qui lui arracha un cri violent. Elle se retrouve donc obligée de me repousser  avec les mains pour que je cesse de toucher à son intimité en me suppliant d’arrêter.

Plutôt satisfait de moi-même, je me retirais donc de son étreinte, puis je lui lançais «  alors tu me présenteras des copines ?! »




Tous à poil et on s'caresse :
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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptySam 13 Sep - 15:44



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On ne s’est pas déjà vu ?

Avec Aiden K. Williamson




Birthday Sex by Jeremih on Grooveshark




Aujourd'hui, j'avais atteint un certain niveau de provocation pour avoir ce que je voulais. La manipulation faisait aussi partit des cordes à mon arc. Je n'étais pas le genre de fille qu'on présenter à papa et maman, non j'étais le genre de fille avec qui les pulsions sexuelles -toutes- pouvaient s'assouvir. Je n'étais pas du genre réticente à la nouveauté, je n'étais pas coincée du cul. Et souvent on se souvenait de moi, sans prétention de ma part. Après tout, je ne faisais jamais dans la demi-mesure. Certaines femmes se refuser au plaisir buccale, quelle absurdité...sérieusement. Un homme c'est faible, faut les titiller un peu, pour faire ressortir le lion en eux. Et rien de mieux qu'une petite gâterie dans un Sex shop. L'endroit n'était pas des plus romantiques, mais nous n'avions pas besoin de romantismes tous les deux. On avait juste besoin du plaisir de la chair, et rien de mieux que d'assouvir ses désirs, dans des lieux peu conventionnels. J'aurais pu dire non, ne pas mettre cette tenue, le laissait en haleine jusqu'à une autre entrevue mais non. Quand je voulais quelque chose je l'avais et même s'il pouvait faire le réticent, tout ce que vous voulez il était encore là en train de me chercher. Nous n'avions pas à nous prouver de quoi on était capable, puisque pendant un mois du matin au soir et du soir au matin nous n'avions fait que ça . Je connaissais ses points faibles comme ses points forts à la perfection. Sa façon de respirer quand il était excité, ou énervé. Quand il était frustré ou plein d'envie. On a jamais dégager de l'affection l'un pour l'autre, pourtant on était plus proche que n'importe quel couple ayant des rapports réguliers. Nos rapports n'était pas seulement un petit coup et on s'en allait...non trop simple, pas assez d'excitation. Nous prenions le temps de faire subir à l'autre toutes les pires souffrances, de le pousser jusqu'à l'orgasme pour le délivrer de façon charnelle. Je n'avais pas besoin d'Aiden dans ma vie, j'avais assez d'hommes et de femmes ici et si ce soir nous n'avions pas fait ce que nous venions de faire. J'aurais très bien pu le faire avec un tas d'autre personnes. Nous étions des séducteurs et coureur de jupons redoutables, je ne sais pas si on nous mettait dans une pièce tous les deux, tous les dégâts qu'on pourrait causer. Mais j'étais une femme contrairement à lui, alors moi rien ne me satisfaisait jamais assez, j'en voulais, plus toujours et encore plus. Le voyant se défaire de mes filets il fallait bien que je me révèle un peu pour ravoir une dose de plaisir. Je lui lâchais alors que moi aussi j'avais d'autres choses à faire. Il semblait bien trop surpris pour me croire je lui disais en haussant les épaules :


Pourquoi, qu'est ce que ça aurait changé si tu le savais ?


C'est vrai après tout qu'est ce que ça lui aurait fait de savoir tout ça ? Rien de spécial. Ah si monter l'excitation de son corps d’Apollon. Puis histoire de l'énerver un peu je lui lançais une ultime provocation lui disant qu'il n'était pas à la hauteur de mes espérances en quelques sorte. Je ne m'attendait à rien de sa part, alors je partais. Mais vous savez, quand vous touché à l’orgueil d'un homme il était capable de faire des miracles et monts et merveilles pour vous prouver le contraire. Corde sensible. Puisqu'il m'agrippait par la main pour me plaquer à nouveau contre le mur. J'aurai pu lui dire quelque chose mais je ne disais rien, ne voulant pas salir le moment de paroles un brin salaces. Ses lèvres rejoignaient les miennes avec une telle fougue qu'il était de résister et de ne pas relancer. Je le rapprochais encore plus vers moi pour sentir son corps contre moi, tout en ne lâchant pas ses lèvres. Un baiser qui aura monté de façon fulgurante la chaleur entre nous, comme si nous n'avions pas déjà assez chaud. J'étais une éternelle insatisfaite. Il me prenait par la taille pour me poser à un rebord, je ne savais pas trop quelle idée il avait en tête, mais mon corps répondait à ma place. Tout en ne lâchant pas nos lèvres nous continuions de nous embrasser, quand je sentais sa main glisser dangereusement vers ma cuisse puis vers le haut de mes cuisses pour me retirer ce bout de tissus qui ne servait décidément à rien. On était repartis, pour un second round, et je n'allais pas dire non. Sensuellement ses mains imposante réchauffer l'intérieur de ma cuisse avant qu'il me glisse ses quelques mots à l'oreille. J'arquais un sourcil. Il était fabuleux, quand il avait envie de baiser. Il était un autre homme, moins charmeur, plus direct et ne cherchant pas à aller par quatre chemins, juste prouver que personne ne peut lui arriver à la hauteur. Je ne répondais que d'un baiser posé dans son cou de façon peu conventionnel, le laissant glisser jusqu'à mes cuisse. Je remercierais jamais assez celui qui inventa la jupe. C'était tellement plus simple pour les rapports de chair. Doucement, et surtout sans prévenir, il attrapa une de mes lèvres encore blessée par le round précédent. Un léger spasme se faisait sentir, j'étais surprise qu'il ne tourne pas autour comme d'habitude, qui s'atteler à la tâche aussi facilement. Je décidais d'entourer mes jambes derrière sa tête car je ne pourrais pas subir un tel assaut sans suite. Le jeune homme commençait alors à laisser ses lèvres parcourir mon intimité, mes cuisses se contractaient d'avantage à la chaleur de ses lèvre, à la pression légère de ses dents. Je réprime un souffle pour ne pas lui donner de satisfaction comme il pouvait m'en donner. Cruel ? Non. Il savait l'effet qu'il avait sur moi, et ce n'était juste pour ne pas m'avouer vaincue trop vite. Il laissait sa langue vaquer à son passe temps préférer goûter à mon intimité. Je me mordais la lèvre tout en appuyant mes mains pour ne pas tomber face à ses attaques. Il me titille, il me cherche en tournant autour du pot, sa langue entame un ballet endiablé face à ma faiblesse. Un supplice, un délicieux supplice. La pointe de mes pieds commençaient à se tendre, la chaleur de mon bassin commençait à monter d'avantage. J'enfonçais mes doigts dans son dos, comme un signe. Sans prévenir il laissait ses doigts pénétrer en moi, je retenais mon souffle mais je n'étais pas au bout de mes souffrances puisqu'au même moment sa langue s'apprêtait à la tâche avec mon clitoris. Mon corps entier se contractait face au plaisir pervers qui prenait. Cette fois-ci impossible de retenir, ni souffle, ni cri, ni orgasme. C'était le jeu ma pauvre lucette. Je ne pouvais me résoudre à délivrer le plaisir qu'il m'avait donné. Ne pouvant tout simplement plus supporter ce jeu je le poussais avec mes mains pour qu'il arrête de jouer avec moi. Il savait qu'il pouvait aller encore plus loin mais il ne le ferait pas pour se venger de toutes mes provocation. Il se retirai finalement le sourire aux lèvres, il le pouvait le bougre. J'arquais un sourcil avant de répondre à sa demande :

D'abord, pour voir si vraiment tu peux gérer...Je te présenterai une copine et si le plan à 3 se passe bien je t'inviterai.

Il se levait face à moi, avec mon bout de tissu entre ses doigts qu'il agitait tel un maître chanteur. Je levais les yeux aux ciels avant de me lever à mon tour remettant ma jupe en place :

Tu peux l'accrocher à ton tableau d'honneur si tu veux je te l'offre.

En faite. J'étais encore plus frustrée, et d'un appétit incroyable je devais me retenir pour ne pas lui sauter dessus, car ce n'était pas bien. Enfin si c'était bien pour moi, mais pas pour lui il aurait gagner une sorte de partie. Je m'avançais vers ses lèvres essuyant de mes doigts le reste de mon odeur je lui disais à l'oreille tout en laissant ma main descendre doucement sur sa chemise :

Passe une bonne soirée Aiden.






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MessageSujet: Re: CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) CHAIDEN On ne s'est pas déjà vu ? (HOT) - Page 2 EmptyVen 3 Oct - 21:34



« Charlotte & Aiden - Comme un air de déja vu »



La journée avait été on ne peut plus enrichissante. Moi qui était seulement parti pour acheter quelques boites de préservatif à une heure un peu tardive, j’avais fait une belle rencontre un peu fortuite. Mais au-delà de ça, j’avais surtout retrouvé quelqu’un que j’avais perdu de vu, et comme toutes les choses que l’on perd, ça fait toujours du bien de remettre la main dessus. Maintenant que nous étions tous deux en Amérique, les choses seraient certainement différentes. Là-bas je n’avais rien d’autre, je ne connaissais personne et elle en avait profité. Ici je suis un électron libre et je n’accepte pas que quelqu’un essaye de m’apprivoiser. Elle avait sa vie ici également. Nous avons tous deux changé, et le contexte est tout à fait différent.

On ne pouvait pas comparer les situations, mais ces retrouvailles avaient été hautes en couleurs. C’est le moins qu’on puisse dire. Nous avions chacun usé de nos charmes, afin de faire succomber l’autre, même un peu trop je dirais. Il fallait l’avouer cette partie de jambe en l’air sortait un peu du commun. Qui peut dire qu’il a fait l’amour dans une cabine d’essayage ? Au beau milieu d’un sexe shop ? Avec des centaines d’accessoires à sa disposition ? Pas grand monde je dirais. Mais nous l’avions fait. Et cela ne nous avait pas gêné de remettre le couvert une fois sorti, après avoir lamentablement cassé la cabine elle-même.

Effectivement, Charlotte ne serait pas la fille que je choisirais pour un diner de famille, ni pour présenter à mon père, mais quand il s’agissait d’assouvir des pulsions sexuelles, elle est très forte. Nous étions tous les deux arrivés là avec une seule idée en tête, et nous étions arrivés à nos fins. Elle avait essayé de me faire douter de moi lorsque j’avais essayé de partir, en me disant qu’elle n’avait pas eu ce à quoi elle s’attendait. Je savais bien que j’avais été à la hauteur, mais cette demoiselle en voulait encore, coquine qu’elle est.

« Qu’est ce que tu crois, je suis toujours à de nouvelles opportunités, au contraire, j’aurais agis deux fois plus vite ! » Alors j’avais décidé de lui montrer de quoi je suis réellement capable, quand on mer cherche. Et en quelque seconde, je l’avais fait monter au septième ciel. Elle n’avait pas du comprendre ce qui lui arrivait, car elle ne s’y attendait certainement pas. Elle qui avait voulu me chercher et me pousser dans mes retranchements avait eu ce qu’elle méritait. Elle semblait on ne peut plus satisfaite. Elle n’avait pas pu s’empecher de m’agripper, d’enfoncer ses ongles dans mon dos, par pur plaisir.

Mais elle avait voulu jouer jusqu’au bout, et m’avait repoussé à l’instant même où elle allait pousser un cri de jouissance. Pour la simple et bonne raison qu’elle n’acceptait pas de perdre. La sotte s’était juste privée et se retrouvait désormais totalement frustrée. Mais elle avait l’impression d’avoir gagné alors elle était heureuse. Le sourire aux lèvres elle m’annonçait qu’elle me présenterait à une copine à elle et qu’elle verrait ensuite en fonction de mes compétences.

« Un test, et puis quoi encore ? J’ai déjà fait bien plus que mes preuves, je n’ai pas besoin de toi à ce point, des copines j’en ai pleins ! »

Un rire jaune sorti de ma gorge, elle me dit ensuite que je pouvais garder son bout de tissus pour mon tableau de chasse. Mais ma belle si j’avais du tenir un tableau de chasse, ce n’est pas un pan de mur qu’il aurait fallu mais un dressing entier ! « Pas besoin, c’est pas comme si tu étais une nouvelle fraiche, je t’ai déjà eu » Je la fixais d’un air narquois et légèrement hautain. Elle l’avait cherché.
« Au revoir Charlotte, douce nuit. »





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