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Take a rest, as a friend, as I want you to be

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MessageSujet: Re: Take a rest, as a friend, as I want you to be Take a rest, as a friend, as I want you to be - Page 3 EmptyLun 3 Fév - 23:26

take a rest, as a friend, as i want you to be
logan salaun
Mes cuisses chauffaient encore de notre aventure en chambre suivie si rapidement de notre découverte nocturne de la ville. J'étais installée sur lui, me voulant confortable, mais il était indéniable que je ne l'étais pas totalement: il suffit de voir la différence de gabarit pour se douter qu'il fallait plus que le poids d'une femme pour tenir ce géant au sol. Il fallait se montrer stratégique, savoir où appliquer la pression nécessaire pour faire naître un gémissement frustré dans l'arrière-pensée du français.
Arrête de rougir, ce n'est plus de ton âge...
Un bisou sur le nez ponctua mon affirmation lorsque je lui parlais comme on parlait à un enfant, alors que je glissais doucement ses mains sur le côté pour les bloquer à hauteur de sa tête: inutile de donner à l'individu la moindre chance... ou de trop lui faciliter la vie. Mon emprise m'offra support lorsque je m'appuyais sur lui, même s'il était évident que l'effort était vain. Je mettais cette faiblesse sur le compte de la fatigue, parce que si nous avions été dans nos quartiers.... ça aurait été une autre histoire. Une suggestion, un tour de force, et j'attérissais avec un soupir frustré dos contre le sol, arquant un peu ma colonne vertébrale, surprise, lorsque l'humidité infiltra sa fraîcheur dans la finesse de mon vêtement. Une fois reposée, accoutumée à mon état, et prête à affronter Logan, je posais les yeux sur lui. Sans répondre, sans dire quoi que ce soit, juste en l'observant un instant et admirer cette mèche de cheveux qui pendait devant ses yeux, malgré que je lui répète sans cesse de se les couper. Capturant la rebelle du bout des doigts, je peignais le côté de sa chevelure dans une caresse qui se voulait contemplative, alors que la silhouette de mon compagnon se découpait sur le ciel nippon. Je me permettais un instant le droit de m'émerveiller de cet homme, une fois encore, d'essayer de comprendre ce qui pouvait bien l'attirer chez moi. De me souvenir de ce que nous avions traversé, de ce qui aurait pu être et de ce qui avait été risqué... Je figeais ma certitude au plus profond de moi: j'allais finir mes jours, d'une façon ou d'une autre, dans les bras de cet homme.
Aussi alléchante que soit cette offre, j'humectais mes lèvres se disant, non sans oublier à quel point il pouvait aimer ma bouche ou comme ses pensées pouvaient prendre des sommets incroyables lorsque j'en jouais, c'est un lieu public et pour autant que je pourrais adorer te voir menotté, je préfère de loin être la seule et unique à avoir ce privilège
Ses assauts rendirent pénible toute tentative de parole continue, si bien que mes dires restaient entrecoupés de soupirs, de frissons, de seconde de réflexion comme pour me souvenir de ce que je voulais dire ensuite. Logan était un véritable démon, lorsqu'il le voulait et le simple fait qu'il se soit installé à nouveau contre moi en me prouvant physiquement juste à quel point me posséder dans un lieu public, en pleine nuit, pouvait l'aguicher, je me devais au moins de tenter être la voix de la raison. Si au moins il pouvait éviter de me caresser, cela rendrait les choses tellement plus simple ! Logan... Son nom devenant un mantra sur mes lèvres, alors qu'il attaquait de toutes les manières possibles, n'ignorant pas juste à quel point je pouvais être sans force s'il s'en prenait à certaines parcelles de chair. Ou si ses mains ne se montrait pas inactives...
Logan !
Il fallait qu'il arrête. Qu'l me laisse souffler. S'il continuait à doucement goûter ma chair et à se laisser aller à me découvrir... je ne savais pas si l'idée m'horrifiait ou bien me donnait envie de plus. Il sembla trouver un instant pour cesser son exploration, et pencher son visage par dessus le mien. Il y avait quelque chose de terriblement juvénile à flirter au clair de lune, trouver à peine le temps de garder ses mains pour soi... et en même temps, il y avait un aspect magique à la scène qui ne m'échappait pas. Levant une main pour caresser sa joue, je revenais à observer ses formes, comme si je voulais consigner le moindre détail de son visage dans un coin précieux de ma mémoire.
Les enfants devraient porter le nom de leur père.
C'était dit simplement, comme si cela mettait fin à la discussion. Je la voulais, cette famille, et lui me l'offrait sur un plateau d'argent. Scellant la promesse en liant ma bouche à la sienne, tendrement, il ne fallu pas bien longtemps pour que l'atmosphère ne se réchauffe à nouveau. Et vite...
Ne me fait pas croire que tu veux déjà mettre le suivant en route... Tsk tsk, Monsieur Logan, l'impatience est un vilain défaut...
Sa main caressa, et je claquais pour que le réflexe l'empêche de me toucher. A chaque tentative, une frappe, à chaque essai raté un sourire naissait sur mes lèvres alors qu'il semblait presque trop réclamer que je me laisse faire. Comment s'est-il retrouvé à nouveau sur le dos, si on nous demandait je ne pense pas que nous puissions être en mesure d'offrir une réponse. Mais le fait était là: nous avions roulé, et j'avais pris le dessus. Si nous continuions à rouler, nous n'allions pas tarder à finir dans le filet d'eau qui avait été le théâtre de nos jeux plus tôt. Il était primordial que je garde la main, cette fois-ci. Impatient... Il aurait pu reprendre l'avantage, si je n'étais seulement pas prête à cette éventualité. Je le distrayais d'une main, caressant son épaule pendant que je dessinais le contour de son visage de baisers, morsures et autre gentillesses. Je mêlais la morsure de l'agressif à la douceur d'une caresse, chose que je savais ne manquait jamais d'avoir son petit effet chez le français. Mais je commençais à le connaître... Certains muscles ne trahissaient pas, ils allait tenter une revanche. Oh, mon cher, si seulement j'avais envie de te laisser faire... La main inactive lezarda et alla se perdre sous sa ceinture, capturant et frôlant suffisamment pour savoir que je l'avais à ma merci à cet instant précis. Il n'y avait pas besoin de grand chose, vraiment, il suffisait de se montrer pleine de promesse, et de lui rappeler d'un contact fugace qu'il suffisait de si peu pour qu'il obtienne ce qu'il désire. Il devait juste rester sage... Je n'étais pas sûre qu'il puisse y parvenir, de lui-même, toutes les raisons étaient bonnes pour l'y encourager.

Je le travaillais depuis quelques minutes maintenant, profitant de quelques sources de savoir glanées au fil du temps, sur ce qu'il aimait, ce qui le faisait craquer, ce qui menaçait de le faire imploser sans que je ne fasse jamais quoi que ce soit d'autre que le toucher. Il y avait un pouvoir dans la simplicité, et j'avais maîtrisé l'art de lui faire plaisir il y a bien longtemps. En quelques minutes, un appétit charnel sembla émaner de mon regard, pendant que le sourire que j'affichais se préférait narquois, satisfait: je tenais l'homme à ma merci, et juste pour le plaisir de le voir se cambrer en espérant toujours plus de contact, plus d'attention. Il n'allait plus tenir bien longtemps, je le savais. Cela ne signifiait pas pour autant que je désirais voir les choses se terminer ainsi... Je me demandais s'il s'en doutait, si un instinct primal en lui s'était éveillé dans la panique que je le laisse ainsi douloureusement indisposé, réclamant une libération que je me décidais à lui refuser ? Il n'était pas seul à savoir caresser l'autre, travailler un corps pour qu'il chante l'harmonie que je voudrais bien le voir jouer... Son corps se tendit pour le final, le mien suivant la mélodie de ses gémissements... avant de le laisser là. Il devait s'en douter. Il n'aurait jamais à m'entendre gémir son nom en plein milieu d'un jardin paradisiaque sans que je ne cherche une quelconque forme de revanche...
La revanche est un plat qui se mange fro... AAAH
Non, non, non... Il allait sûrement vouloir me faire payer, mais il était indisposé par un entrejambes que j'imaginais douloureux. S'il voulait continuer, il allait falloir qu'il me le demande. Qu'il me supplie.. Main serrée, corps tendu, visage insolent, je le maintenais à ma merci sans me douter un seul instant (ou alors pas vraiment) de ce qui allait suivre. Dans ce jardin japonais, en dessous de la lune argentée, il n'y aurait qu'une mélodie qui allait être jouée. Mais suivrait-elle le rythme que je lui dicterais ou bien celui que l'homme allait imposer ? Cela restait à voir... Cela fait des années que nous attendions la réponse à cette question, ce soir en revanche, tous les paris étaient ouverts.  
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MessageSujet: Re: Take a rest, as a friend, as I want you to be Take a rest, as a friend, as I want you to be - Page 3 EmptyDim 9 Fév - 23:03

Take a rest, as a friend, as I want you to be
Cheyenne & Logan




Je grognais en sentant les doigts de Cheyenne emprisonner une mèche rebelle de mes cheveux, retombant sur mon front. Rassurez-vous, j’adore que l’on y passe une main. La raison de mon grognement restait le fait que Hutchinson passait son temps à me rappeler qu’il serait temps que j’aille chez le coiffeur. Chose que je refusais puisque cette coupe me satisfaisait amplement, jouant de la faible longueur pour une coiffure soignée, classe et un poil négligée. La raie sur le côté, un peu de gel qui les faisait tenir à la verticale, je jouais l’adolescent en crise même si la réelle crise restait celle de la presque quarantaine. Je lui avais promis de me refuser la coupe à la Justin Bieber. C’est bon signe, non ? Alors quand ses doigts jouèrent avec cette petite mèche rebelle, je montrais les dents et les claquais dans un signe de morsure, sans pour autant la toucher. Finalement, sa main se fit plus docile pour venir peigner mes cheveux avec attention. J’aurais juré m’entendre ronronner.

Je me trouvais à présent un étage plus bas, à embrasser son ventre avec cette sensualité qui la faisait vibrer. Si elle cherchait à me disputer comme si je n’étais qu’un enfant désobéissant, j’esquissais un sourire en venant mordiller sa peau. Je n’acceptais de remonter jusqu’à son visage que lorsqu’elle prononça mon prénom avec une pointe de sévérité. A cet instant précis, je me maudissais pour être aussi soumis. Damned ! Sa main voyagea sur ma joue et je tournais la tête afin de déposer un baiser joueur sur sa paume. C’est à ce moment précis qu’elle me fit part de sa décision : il s’agira d’Aidan et de Cailin Salaun. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise. D’une part, tenait-elle réellement à ce que l’on parle des enfants maintenant ? Et d’autre part, elle prenait la décision ainsi, sur un coup de tête ce qui m’amusa fortement.

- T’as raison. « Hutchinson », c’est trop chiant à écrire. Alors que « Salaun »…

Question de logique. Si j’avais possédé « Hutchinson » comme nom de famille, j’aurais été malheureux à l’école au moment d’apprendre à écrire. Pure logique. Mes caresses reprenaient. Seulement, à chaque fois que ma main se déposait sur sa peau, elle y donnait une légère frappe avec la sienne, uniquement pour me contraindre à arrêter. Nouveau sourire arrogant mêlé à un regard enfantin. Je continuais, encore et toujours, jusqu’à ce qu’elle se lasse. Ou plutôt, jusqu’à ce qu’elle en ait assez pour reprendre le dessus sur moi et ainsi mettre fin à mes tentatives.

Des baisers ou bien des morsures. Voici ce qu’elle me faisait subir. Bon d’accord, je suis de mauvaise foi. Mes dents se refermèrent sur son menton, uniquement pour la rappeler à l’ordre. Une emprise qui se montra plus osée lorsque sa main libre glissa sous ma ceinture afin toucher cette entrejambe qui traduisait déjà un désir palpable. Le contact avec elle ne m’aida clairement pas dans ma tentative de me calmer. Je grognais à nouveau. Mes cuisses s’écartèrent instinctivement, les jambes toujours à plat sur le sol afin de lui laisser tout de même un meilleur accès et ainsi éviter que le jeans ne se tende assez pour ne plus me faire sentir ses doigts. Plus les minutes s’écoulaient, plus mon désir devenait douloureux, emprisonné par un pantalon dans lequel j’étais désormais plus qu’à l’étroit.

Puisqu’elle semblait vouloir me pousser à bout en me soumettant à ses caresses, sans pour autant chercher à aller plus loin, uniquement par provocation, je me devais de reprendre le dessus. Si elle pensait que j’allais la supplier pour que nous fassions l’amour, elle se trompait lourdement. Si je pouvais me soumettre à ses choix et à son caractère dans la vie courante – plus que je ne veux l’admettre, c’était tout autre chose face au sexe. Sur ce plan là, je pouvais encore lui montrer que je portais la culotte. Car nous ne pouvions nier le fait que dans la vie quotidienne, lorsqu’elle me demandait quelque chose ou bien l’exigeait, j’avais tendance à dire Amen. En même temps, allez contredire une Hutchinson. C’était comme signer son arrêt de mort. Et puis, à côté de cela, j’étais beaucoup trop amoureux pour affirmer toutes les deux secondes que je possédais bel et bien des couilles puisqu’en temps normal, c’est elle qui les contrôlait. Grrr…

J’usais de mes dernières forces pour reprendre le dessus. Mes mains se plaquèrent contre ses poignets, remontant les siennes au niveau de sa tête. Je l’observais avec un regard défiant et un sourire déjà victorieux. Elle souhaitait réellement jouer à ça ? Ma main glissa le long de sa cuisse, puis remonta en entraînant avec elle le tissu de sa jupe. Mes doigts glissèrent sur le sous-vêtement brûlant et déjà, je me mordillais la lèvre inférieure.

- Tu disais… ?

Je laissais mes doigts taquiner cette zone avec tendresse et sensualité, à travers le tissu, sans que mon visage ne reste inactif. Mes lèvres mordillaient le lobe de son oreille, embrassaient sa mâchoire, goûtaient à son cou en s’attardant sur sa jugulaire. Bientôt, c’est elle qui me suppliera pour que nous allions plus loin.



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MessageSujet: Re: Take a rest, as a friend, as I want you to be Take a rest, as a friend, as I want you to be - Page 3 EmptySam 22 Mar - 2:19

take a rest, as a friend, as i want you to be
logan salaun
Chiant, c'est vite dit. Tu sais, juste parce que TU as du mal à écrire un mot de plus de six lettres ne veut pas dire que Liam souffrira de cette même aphasie. Il tient de sa mère aussi, remember ?
Le jeu dura encore un bon moment. Enfin... jeu pour moi, puisque Logan ne semblait pas trouver mes taquineries aussi distrayantes. Plutôt le contraire, en fait. Il avait l'avantage de la stature, je n'étais rien à côté de lui... mais j'étais futée, taquine, complètement tortionnaire lorsque je le voulais. Faire souffrir Logan ne demandait pas d'actions trop imposantes, juste de faire pression sur une zone spécifique, de mordiller un lobe pendant qu'une main caressait, inonder les sens du Français de toutes les manières qu'il m'était possible d'atteindre. Il restait le soldat, je me faisais stratège, préparant un plan détaillé des frémissements dont il était victime pour avancer toujours plus sur le champ de bataille qui restait le nôtre après tant d'année. Un plateau. Une égalité. Un incessant combat qui ne nous laissera jamais insensible.
Fuck... Je disais que la vengeance était un plat qui se mangeait f.. froid. Fuck.
Nous avions tous les deux nos moments où notre langue maternelle resurgissait du passé (Logan semblait toujours apprécier la vulgarité du langage, ne fut-ce j'imagine pour le simple de faire perdre ses moyens à une femme qui d'ordinaire s'interdisait la moindre vulgarité) mais là... Je ne pouvais m'empêcher, pendant que l'homme se montrait de façon bien trop arrogante à mon goût, fier de lui, roi en territoire conquis, alors que je tâchais de maîtriser les réactions naturelles que mon corps me faisait vivre. Seigneur, je détestais quand il retournait la vapeur, comme ça... c'était tellement plus drôle lorsque je mène le jeu !
Non. Non, non, non, non... Non...
Le mot se répétait, comme si je tentais de me persuader alors que je m'efforçais de me rappeler où nous nous trouvions, dans quel pays, dans quel parc, à quelle heure. Lorsque Logan me parlait de me faire découvrir les merveilles nippones, j'ignorais qu'il avait ces retrouvailles au clair de lune sur la liste des possibles choses à faire. Il me fallait être concrète. Sage. Raisonnable. Garder la tête fr... froide. Chose qui était tout particulièrement difficile maintenant qu'il s'amusait à me faire souffrir. A réclamer silencieusement que je réclame plus. Je n'allais pas supplier. Il ne m'avait jamais entendu supplier, je n'allais certainement pas commencer aujourd'hui !
Logan...
Ma voix étaient plaintive, pleine d'espoir, mais j'oubliais bien souvent l'effet que pouvait avoir son nom rouler sur mes lèvres. J'allais payer. Il allait me faire faire une folie, le genre de défis qu'il nous était coutumier de nous lancer l'un à l'autre. Qui oserait le premier. Qui aurait peur de l'interdit. Qui allait braver l'inconnu et juste passer le pas. Nous étions relativement imaginatifs sur ce plan là, dans notre genre, et la moindre occasion était bonne à profiter.
...je te déteste
Voix un peu rauque, souffle court, coeur battant, je posais une jambe sur sa hanche avant de profiter de mon agilité et de son activité pour retourner la vapeur à nouveau. Un incessant va et vient, typique du couple que nous formions: ni l'un ni l'autre ne désirait laisser les rênes à l'autre pour bien longtemps.. La bute sur laquelle nous étions couchés jouait en ma faveur, la gravité progressive m'aidant à faire basculer le français. Mais plus pour le narguer. Non. Nous sortions d'un restaurant mais il avait éveillé un appétit totalement différent en moi, et l'enfant sage laissait la place à la femme sauvage qu'il pouvait souvent faire émerger de moi. Celle qui se montrait possessive, s'assurant d'un unique coup d'oeil que les environs étaient réellement déserts avant de s'approprier le spécimen qui la rendait littéralement folle. D'amour, de déraison, de passion. Peu importe, lui faire l'amour dans un parc n'était certainement pas le genre de choses que j'aurais pu imaginer de ma part et s'ils l'apprenaient, nul doute que mes parents seraient mortifiés, mais ils n'étaient pas là. Nous étions en vacances pour nous retrouver un peu, profiter l'un de l'autre avant de retourner aux devoirs parentaux. Pressant mes mains sur le torse (encore vêtu, alors) de mon compagnon, mue par le sentiment de joie et de bien être qu'avaient apporté sa demande d'adoption, j'opérais un massage sensuel mêlant mordillements et caresses alors que je m'interdisais rester immobile là où nous étions joint. Le moindre stimuli était une bénédiction pour moi, peut-être pas autant pour Logan. Peu importe...

Il l'avait cherché.
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