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a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie

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MessageSujet: a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie EmptyDim 8 Aoû - 13:47

a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie Lucy04 a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie 91221309
    « because friendship is something sacred, which I would in no way lose. Without friendship, we are nothing. »

Guitare en main, repas en poche, cheveux négligemment détachés et appartement fermé, je me dirigeai avec hâte vers le parc de l'université. Je n'habitais pas dans les maisons de confréries que possédait ce dernier, préférant m'éloigner le plus possible de l'école en dehors des cours. J'étais peut-être le genre de filles intello, coincée, ne pensant qu'aux cours, quand la sonnerie annonce la fin des cours, je suis pressée de quitter cet endroit. Sans doute, en avais-je un peu marre à force de rester 24h/24 à la bibliothèque. Dans tous les cas, je ne traînais jamais plus de cinq minutes à côté de l'université quand les cours sont achevés. Mais aujourd'hui, j'eus une envie soudaine de venir au parc, dans ce parc magnifique où l'herbe est constamment vers (le résultat d'une entretien parfaite du jardinier), où le silence règne, où le calme tant recherché est trouvé, où l'on peut tout simplement rêver, penser. Je vous avouerai bien que rêver, ne rien faire me tentait énormément, mais là n'était pas le but de ma venue ici. Ce matin, en me levant, une autre envie soudaine me parvint ; celui de composer. Ma passion. Ce n'était pas pour rien que je me trouvais dans la confrérie des Sigma, à savoir les artistes. Mais ces derniers temps, l'inspiration me manquait terriblement, et tout le monde sait qu'une bonne inspiration est le point clé d'une bonne composition. Souvent, je reprends ma vie détestable, désespérante dans mes chansons. Chanter des mélodies tristes ne m'enchantait point mais ces chansons là étaient deux fois plus bonnes que les chansons gaies. C'est en général le cas pour tout le monde, je crois, non ? Oui, avez-vous déjà vu les Beatles chanter quelque chose de gaie ? Certes, chacune de leur tube nous donne envie de danser, mais derrière les paroles se cache un vrai profond mal-être. Prenons par exemple une de leur chanson la plus célèbre : Help. A chacune de leur représentation, les filles en étaient folles et eux, chantaient un énorme sourire aux lèvres comme si ils étaient heureux, sans soucis. Pourtant, ils en avaient. Comme tous les jeunes de leur âge, drogue, sexe, alcool étaient au programme. Ils essayaient tant bien que mal de se sortir de cet enfer, et faisait passer leur s.o.s par leurs nombreuses chansons gaies. Enfin, passons. Pourquoi me suis-je mise à parler des Beatles ? Ah oui, mes compositions. Je faisais partie d'un groupe de rock également moi aussi, crée en personne par M. Edward Hildebrand. Une des familles les plus riches de New-York, du moins la plus riche. J'avais postulé pour cherché un groupe de musique dans les activités extra-scolaires de l'université et le lendemain, il me contacta. Sans hésitation, j'acceptai, même si il n'était pas spécialement l'étudiant que je préférais dans l'école. Mais la présence de ma Daki me rassurait, elle est mon amie d'enfance, depuis toute petite, on n'a jamais été séparée. Une vraie chance pour nous que l'on s'entende comme deux sœurs jumelles. Aujourd'hui, je lui confie tout, elle est ma confidente, meilleure amie, amie d'enfance, sœur de cœur, tout ça ensemble et je suis fière de l'avoir en tant qu'amie. Si vous verrez les conseils qu'elle me donne, vous en seriez plier en deux tellement vous auriez rit, car oui, ses conseils sont parfois stupides, voire constamment, mais c'était pour ça que je l'aimais. C'est toujours pour ça que je l'aime énormément. En pensant à tout ça, un sourire béat s'afficha sur mon visage, elle me manquait beaucoup. Heureusement les Sigma étaient là pour moi, pour me réconforter, je ne saurais pas quoi faire sans eux. Ma confrérie était bien trouvée, jamais je ne la quitterai. Jamais.

Une fois arrivée au parc, je m'installai confortablement dans l'herbe. Je ne portai rien de blanc et encore heureux. Mais même si c'était le cas, tâcher mes habits étaient le cadet de mes soucis. Contrairement à ces petites filles à son papa, à sa maman, je ne mettais pas à taper au sol en criant quand une petite tâche de rien du tout avait le malheur d'être présente sur mes vêtements. Non, j'étais loin de là ce genre de filles. Je les avais jamais comprise d'ailleurs ... Une fois au sol, je sortis ma guitare de son étui, et commençai doucement à accorder les cordes. Puis, sans réfléchir, mes doigts glissèrent sur ces cordes afin de former une mélodie qui ne m'était pas inconnu. Ce n'était pas une de mes créations, mais une de mes chansons favorites. Les paroles sortirent de ma bouche quelques notes plus tard, je chantais. « I've heard there was a secret chord. That David played, and it pleased the Lord. But you don't really care for music, do you ? It goes like this the fourth, the fifth. The minor fall, the major lift. The baffled king composing Hallelujah ... » Cette fameuse chanson reprit par des dizaines d'artistes, résonnait comme une berceuse chantait par moi. Qui ne connaissait pas cette chanson ? Qui ne l'a jamais chanté ? Personne. Elle était listé comme une de mes préférées car mon père avait une habitude tous les soirs, quand j'étais petite, de me la chanter afin de me bercer et de m'endormir. Cela fonctionnait à tous les coups. Puis je grandis et la chanson se fit de plus en plus rare, jusqu'à totalement disparaître à mes quatorze ans quand il devint le directeur d'un célèbre lycée de San Francisco, McKinley School (ironique tout de même, sachant que mon père s'appelle Robert McKinley). Mais moi, tout au long de ces années, je n'oubliais jamais cette chanson. J'en suis même devenue fan, comme le dit-on si bien.
Je m'arrêtai soudain dans ma chanson, ayant entendu des pas derrière moi. Je posai tranquillement ma guitare dans l'herbe et me retourna afin de faire face à la personne venue pour me déranger dans ma tranquillité impeccable. Je faillis lui arracher la tête quand je remarquai qui ce fut. Je lui dis un immense sourire, heureuse de le voir, et ma colère se dissipa. Et sans réfléchir, je lui sautai au coup, avant de me retirer le plus vite possible gênée. Ce n'était pas mon habitude d'être aussi contente de voir quelqu'un, d'ailleurs je le voyais tous les jours dans la confrérie, mais je savais pas pourquoi aujourd'hui, je fus plus heureuse que d'habitude. Pourquoi ? Je vous ai dit que je savais pas. « Charliiiiiiiie ! Qu'est-ce que tu fais ici ? » Question stupide, car tous les étudiants avaient tous les droits de se promener là où bon leur semble. J'étais parfois sotte, je vous l'avoue. Mais bon, tant pis.

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MessageSujet: Re: a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie EmptyMar 10 Aoû - 1:55

    J'ouvris les yeux. Enfin, mon cauchemar était fini. Je regardais directement par la fenêtre, le ciel était bleu, ça me fit sourire. Je m'assis, restant dans les couvertures, pour profiter encore un peu de la chaleur des draps. J'avais envie d'appeler ma belle mère et lui demander sa recette de biscuits. Cuisiner, c'est ce que j'avais envie de faire de ma journée. Courir dans la ville en donnant mes créations à des étrangers pour mettre un peu de joie dans leur journée, mais je paraitrais probablement pour «Le mec qui empoisonne toute une ville » vu mes aptitudes culinaires un peu – beaucoup – plus basses que la moyenne de la population, de toute façon, j'avais des cours, les même que l'année d'avant, mais avec de nouveaux professeurs, qui eux, comprendraient probablement mieux ma profondeur. Je ne pouvais pas paresser plus longtemps. Oui, c'était moi qui pensais de la sorte, et il n'était que neuf heures du matin. Dire qu'avant, j'allais me coucher à cette heure là. Je posais précautionneusement les pieds sur le sol, j'avais laisser mon ordinateur juste à côté de mon lit, j'avais parler à Bela via messagerie juste avant d'aller au lit. On avait parler de Il/Elle, le futur bébé, le truc qui me rendait si heureux malgré tout.

    Ce bébé me donnait une motivation plutôt folle. J'avais envie de finir cette année avec des notes irréprochables, de faire des recherches. Il me permettait de réaliser que certaines de mes ambitions n'étaient pas les meilleures pour une famille. Principalement mon idée de devenir musicien, comme ma mère. Je n'y avais jamais vraiment penser, mais à part faire des voyages à tout les ans et des allocations beaucoup trop grandes, mais mère ne m'avait jamais donné grand chose, elle n'avait jamais été vraiment présente et ce n'était pas ce dont je rêvais. Je pouvais toujours faire prof' de musique, mais je me voyais mal revenir à l'enseignement, parce que j'en avais fait, plus jeune. J'avais donné des cours à des débutants, et ça n'avait pas été ma tasse de thé. Mais bon, je ne voulais pas non plus jeter quatre ans de ma vie aux poubelles non plus. Bien beau toutes ses pensées, mais je devais d'abord aller en classes.

    Je pris toute la force disponible pour me lever. Je me dirigeais immédiatement vers ma commode. Je m'habituais lentement à la vie avec deux colocataires, je devais me dépêcher si je voulais avoir la douche, le matin. Je pris donc tout ce que j'avais besoin, avant de m'engouffrer dans la salle de bain. Je pris une douche, froide, comme à mon habitude. Je n'avais rien contre le froid, contrairement à la plus part des gens. C'était peut-être mes origines russes qui faisaient cela, ou pas. Après m'être bien lavé, shampooingné, rincé, je sortis de ma douche, m'enroulant dans une serviette. Je me séchais assez rapidement, avant de m'habiller; le tee-shirt de Charlie the unicorn que j'avais reçut de ma sœurette hannah à Noël – c'était parfaitement son genre de présents – Il était simple, noir, avec les trois licornes principales, un jean noir, troué, comme d'habitude, ainsi que tout le tralala habituel de sous vêtements et de bas. Je séchai mes cheveux correctement, puis je quittais la salle de bain pour rejoindre mes converses rouges et ma casquette de marin. J'étais enfin prêt pour ma journée de cours... qui s'avéra longue et emmerdante, comme toute journée de cours du mois de septembre.

    Je décidais de marcher un peu, dans le parc. Je marchai un moment, cigarette au bec, en passant à tout et à rien, en me demandant si je n'avais pas des devoirs, par exemple. Naaaaaaaah, quelle idée d'avoir des devoirs? J'avais bien un peu de solfège et des exercices, mais c'était tout, je pourrais facilement le faire ne soirée. Parce que oui, je ferais mes devoirs, pour une fois, je voulais exceller, après tout. Je finis ma chère amie clope, que je laissais simplement mourir sur le sol, comme le plus parfait des idiots, poursuivant ma route d'un pas lent, mais rythmé. Je marchai, je marchai encore, jusqu'à ce que j'aperçoive ce visage, Lèna, une collègue Sigma, Guitare sous le bras, assise sur l'herbe verte. Je m'approchai discrètement, j'avais envie de lui faire une surprise, peut-être même de l'énerver, un peu. Elle chantait, bien, a part de cela. Elle abaissa sa guitare, c'était le temps ou jamais. Je me postais devant elle, ni vu ni connu, tel un soldat, détendu, mais un soldat quand même. Elle eut l'air perplexe, puis elle me sauta au coup. L'effet Charlie. J'étais comme un bombe, toutes les filles me sautaient au coup de la sorte... ou pas. Elle me demandait ce que je faisais là. J'avais bien envie de répondre un truc stupide, du genre « oh, je fais la vaisselle, je repasse le linge, tu sais, ces trucs de ménagère » mais ça aurait été trop. Alors, je décidais d'y aller pour un truc plus... honnête.

      CHARLIE NOAH SILVER Je marchais? Je ne pouvais tout simplement m'en fermer, pas avec ce beau ciel bleu, ces oiseaux qui crient leur bonheur et tout ça... tu vas bien petite lennouile la nouille qui mange des nouilles?


    C'était le surnom le plus mauvais de la terre, en plus, il parlait de cannibalisme, mais je ne pouvais pas faire autrement, appeler quelqu'un par son prénom me faisait sentir beaucoup trop vieux, ou encore hors du cercle, j'avais l'impression d'être un inconnu, dans le fond. Être debout, comme ça, me mettait aussi mal à l'aise, je n'étais pas certain si je devais m'asseoir ou pas, finalement, je décidais que oui, j'étais mieux de m'asseoir, de toute façon, j'étais habillé en noir, donc. Je m'exécutais, en m'asseyant en tailleur sur le sol. Il était un peu humide, mais ce n'était pas grave, ça prouvait seulement la santé du sol, mais je m'en fichait comme de l'an 40.
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MessageSujet: Re: a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie EmptyMar 17 Aoû - 14:46

La musique, tout un art, tout un langage, toute une vie, toute ma vie. Mes parents n'ont jamais été du même avis que moi en ce qui concerne la musique. D'ailleurs, à l'entrée de l'université, mon choix été très claire : la musique, travailler à fond cet matière au point de me perfectionner. Être parfaite dans ce domaine, voilà ce que je voulais. Rien d'autre. Mais mes chers géniteurs que j'aime tant m'ont interdit ma passion, m'obligeant à choisir une autre branche d'études. C'est-à-dire les langues. Certes, j'aimais beaucoup cela, mais la musique est toujours number one dans mon cœur. Fort heureusement qui dit université dit confrérie et qui dit confrérie dit choix de confrérie et qui dit choix de confrérie dit SIGMA. Un vrai bonheur. Sans cela je crois que je ne me serais pas épanouie dans cette école. J'aurais fait comme les précédentes je crois : la quitter et aller dans une autre pour repartir du bon pied. Mais non, certaines personnes, ou toute la confrérie, m'ont convaincue que ma place était parmi eux, pas chez les autres, pas chez moi, ici. C'est dingue, je vous l'avoue. Mais ce n'est que vérité.

Je m'apprêtai à sermonner, voire pire, tuer la personne qui avait oser m déranger dans mon calme implacable, mais je stoppai net quand je vis qu'il s'agissait de Charlie. En gamine que j'étais ou en fille éperdument excentrique et joyeuse, je lui sautai au coup. Et me retirai quelques secondes à peine après. Ensuite, la question supermégaextragiga stupide : Qu'est-ce que tu fais ici ? Sotte, moi ? Pas du tout ! ... Ok, je l'étais. Il aurait dût répondre avec une réponse genre trop stupide (comme moi) tel que ... euh ... bref, les réponses stupides qui n'ont rien à voir avec ce qu'une personne normal ferait dans un parc. Mais à ma plus grande surprise, il ne joua pas sa carte d'idiotie. Je marchais? Je ne pouvais tout simplement m'en fermer, pas avec ce beau ciel bleu, ces oiseaux qui crient leur bonheur et tout ça... tu vas bien petite lennouile la nouille qui mange des nouilles ? Oh oui, impossible de rester enfermée avec ce beau temps. Sans doute était-ce cela qui m'avait aussi amené au fait de venir ici, jouer un petit morceaux de guitare. Puis la deuxième partie de sa phrase me fit énormément rire. Lènouille. Mes amis m'avaient donné ce sobriquet assez idiot et drôle, mais je ne sais plus à quand ce surnom remonte. La coupable de tout cela était Dakota il me semble ou Ebraene, ce qui était sûr c'est que c'était des Sigma, encore une fois. Amusée donc, je partis dans un fou rire incontrôlable. Charlie, quant à lui, chercha quelque chose à faire, pour enfin s'asseoir. Il était habillé tout en noir, parfait, pas de stupides futures tâches comme ça. J'aurais sans doute dût me mettre en noir également, mais manque de chance, j'avais un haut blanc et pantalon clair. Les tâches vertes avaient déjà dût faire leur apparition il y a un bon moment, mais je m'en fichais. J'étais toujours dans mon fou rire qu'on ne pouvait arrêter. Je ne savais vraiment pas ce qui m'arrivait, mais j'aimais ce moment de bonheur et de rires. Même si cela m'arrive plus qu'une fois dans la journée ... Puis voyant le regard inquiet de Charlie, j'essayai enfin de m'arrêter. Et essayai aussi une réponse à sa question précédente. Ma vie ? Comment va ma vie ? Je n'en savais strictement rien. J'étais paumée dans ma vie. Dans mes relations. Dans mes amours, mes emmerdes, mes amis. Oui, paumée. « Hum ... est-ce que je vais bien ? Oui. Enfin, oui je crois. Si je suis partie dans un fou rire sans raison apparente c'est que je vais bien, non ? Ouais bon, ok, encore une question stupide ! ... Sinon, ça va toi ? Ta petite vie, tes amours ? » Puis je m'assis aussi en face de lui, attendant sa réponse. Ma guitare était encore délicatement posée dans l'herbe, et je n'avais nullement l'intention de le ranger dans son étui. Il aura sans doute encore des tâches vertes, mais tant pis.


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MessageSujet: Re: a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie EmptyMar 31 Aoû - 1:01

    « ça va toi ? Ta petite vie, tes amours ? »

    Je lui aurait sauté dessus, fait sauter le bouchon du champagne & crier ma joie à la terre entière. Bon, Bela était à l'hôpital, on divorçait, mais je retrouvais quand même mon Maxence, et puis j'allais être papa, alors, on pouvait dire que ça allait bien. Mieux que jamais, en vérité. J'avais seulement envie de faire les boutiques, d'acheter plein de petite chaussettes. Des chaussettes, pour des pieds minuscules, des petits pieds qui seraient à moi, que je pourrais couvrir des plus mignonnes chaussures du monde. Des petites chaussures qui ne serviraient absolument à rien, puisque le bébé ne toucherais jamais le sol, se promenant de bras en bras. Mais ne sachant pas trop si c'était un petit pou où une petite puce, je n'osais pas me lancer dans les grandes dépenses. J'avais du temps devant moi, de toute façon, même si j'étais très impatient de connaître le sexe de mon petit microbe.

    Je me voyais bien avec une petite fille, bien que j'aurais plutôt du mal à la comprendre, et que j'aurais certainement de gros problèmes avec elle à l'adolescence, mais je préférais voir le positif; une petite princesse à son papa, c'est comme cela que je la désirais. Elle m'obligerais à porter des couronnes et à jouer à le roi, et comme ça la rendrait heureuse, je le ferais. Nous irions jouer dehors, au parc, je la regarderais du banc de parc, et elle reviendrait, un petit garçon à la main; son petit ami. Je trouverais ça mignon, puis moins quand elle me dirais qu'il lui a montré des trucs. Nous changerions de parc, tout simplement. Elle grandirais, puis les petites filles de l'école maternelle la trouveraient trop chanceuse d'avoir la dernière poupée à la mode, parce qu'elle m'aurait fait un air piteux qui m'aurait forcé à lui offrir. Elle me manipulerait, mais je l'aimerais quand même. Ce serait la femme de ma vie, mais... Je me voyais bien avec un fils. Lui mettre des pansements sur les genoux, ceux avec des petits clowns, et il ne pleurait pas, parce qu'il serait un de ses petits garçons fort, avec un égo incroyable. Il aurait une petite amie, pour faire comme son meilleur ami, un petit garçon un peu trop téméraire. Sa petite amie serait une vraie folle, elle ferait les modules pour les grands à partir de l'âge de 3 ans. Elle regarderait même des films pour adolescents à l'âge de 4 ans. Elle trouverait d'ailleurs mon microbe un peu mou, alors le laisserait pour l'ami téméraire, mais ils s'en ficheraient. La jeunesse et la naïveté, deux des trucs les plus coules de l'univers, selon moi.

    Mais ce n'était pas le sujet.

      CHARLIE NOAH SILVER Oui, oui, oui ça va très très très très bien, genre que je n'ai pas été aussi heureux depuis... jamais, je n'ai jamais été aussi heureux Lènouille. Je vais être papa. Un vrai petit pou pour moi, un élève, un bébé, quelqu'un sur qui compter n'importe quand et ça me rend encore plus fou que je l'étais avant. Sinon, Maxence est revenu, et il est encore toujours aussi super, en plus, il a un chien, t'imagines la vie parfaite? Un chien, un bébé, et le mec le plus sexy de la terre. Le truc moche dans tout ça, c'est que Bela demande le divorce, mais en même temps, j'suis pas pour la garder en cage, non? J'ai vraiment envie de sauter, tu vois, j'crois que j'ai trop d'énergie, comme si j'avais bu 893210 cafés, mais tu vois, le truc, c'est que je ne bois pas beaucoup de café, sinon, tu vois l'effet. Bref... Je vais bien.


    Elle avait déposé sa guitare sur le sol, elle allait être tâchée. Mon pou reviendrait probablement lui aussi, un jour, taché par l'herbe, mais je ne le gronderais pas. Personne ne se fait vraiment gronder pour s'être salit. C'est seulement par cliché qu'on dit que nos parents seront fâchés, parce que tout le monde le sait; les détergents sont assez fort pour venir a bout de la plupart des taches, et puis, que de toute façon, ce n'est que du matériel. Un regroupement d'atomes. Rien de très important. Je souris à ma petite lenouille, elle était tellement choupie. Tout allait bien, pour une fois.
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MessageSujet: Re: a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie a friend in need is a friend indeed ● pv Charlie EmptyJeu 4 Nov - 18:16

corbeillou :)
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