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you could be the one, tonight. ALEYCA

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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptySam 26 Jan - 16:32

Lucas éè Aleyna you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 640759


Être à deux doigts du bonheur. Le frôler sans pour autant arriver à l’atteindre. C’est exactement ce que je ressens. J’aurai de quoi être heureuse, de quoi pouvoir jouer avec le bonheur et surtout de croquer la vie à pleine dents, et pourtant…c’était comme si je m’interdisais d’être heureuse, et d’être moi-même dans ce monde qui n’avait plus le même sens qu’auparavant. Souvent on me disait d’arrêter de regarder derrière moi, mais en ce moment je faisais 1pas en avant et 2 en arrière, mais c’est tout de même une avancée pour moi étant donné qu’avant je ne faisais que des pas en arrière. Jamais je n’en faisais en avant, mais ça…Lucas y était pour beaucoup. Il avait le don d’arriver à me percevoir comme je suis réellement, et il avait ce don aussi de me remettre en question et de me donner la force à avancer sans me retourner, comme j’avais l’habitude de faire. En faite, que je le veuille ou non, j’en étais littéralement tombé amoureuse de cet homme. Je ne voulais pas lui dire, je voulais me cacher la face mais c’était le premier homme, depuis Keyon, qui me rendait comme ça, et surtout qui arrivait à ne pas me faire flancher…en faite depuis quelques temps, je ne voulais plus de coups d’un soir, je ne souhaitais qu’une chose : être enfin avec lui. Avec un homme, un vrai. Lucas était-il le bon ? Je voulais y croire. Je me devais d’y croire. « Tu viens de me dire quelque chose qui me touche au plus profond de moi, et tu me demande de l’oublier…de ne plus t’en parler. Je ne comprends pas spécialement...enfin si, comme si tu regrettais déjà de m’avoir ouvert ton cœur. » Je ne pouvais le voir que comme ça. Peut être qu’il parlait mais qu’i s’était rendu compte que pour moi c’était important, et peut être qu’il ne le pensait pas. C’est comme ça. D’une mine un peu plus triste je repris doucement. « Très bien…oublions alors. » On arrivait jamais à se parler à cœur ouvert sans que notre fichue carapace ne reprenne le dessus, et nous guide dans d’autres traces, afin de ne pas se dévoiler d’avantage. J’aurai préféré lui dire ce que moi aussi j’avais sur le cœur, mais prendre des vents ce n’est pas pour moi, et je ne voulais pas en prendre un de sa part. Je ne souhaitais pas souffrir encore. Je savais que si je lui disais ces quelques phrases sans que ça soit partagé, j’allais être mal…et je ne pouvais pas être encore une nouvelle fois là, à tirer la tête. Non ce n’est pas possible, donc je prenais sur moi en profitant de chaque instants.

Je savais que de là haut, mon défunt petit ami était fier de moi, qu’il devait être de tout cœur avec moi…sa dernière volonté, sa dernière phrase n’avait été autre que : Reste forte comme tu l’a toujours été, et donne la chance à un homme de t’aimer et de te rendre heureuse. Peut-être que c’était bientôt le moment de réaliser sa dernière volonté, peut être que j’allais le rendre encore plus fier de moi. Oui je pourrai donner tout mon amour à un homme, un autre que lui…mais jamais, Ô grand jamais, je ne pourrai l’oublier. Il fallait que mon futur le comprenne. Sans Keyon, je ne serai pas celle que je suis aujourd’hui. C’est grâce à lui si j’arrive à faire tout ça, car au fond de moi, il me guide, comme si il était toujours là à mes côtés…physiquement, car oui pour moi, il était toujours là dans mon cœur. Rien de plus sincère que notre amour. Mon amour que je lui porterai à jamais. Je n’ai jamais réussi à aimer à nouveau comme je l’aime, et pourtant je suis persuadée qu’un jour j’arriverai à aimer à nouveau…un amour tout aussi sincère mais très différent de celui que j’avais en ce moment. Rien ne pouvait être identique à celui-ci. Oui je vie avec mon passé, mais c’est le temps de trouver quelqu’un qui puisse me faire vivre dans le présent, uniquement dans le présent. Je sortais petit à petit de mes pensées en entendant Lucas me parler. Je lui fis un léger sourire avant de dire doucement. « Un massage ? Avec grand plaisir, mais un massage où ? » Car soyons honnête, je ne pouvais plus m mettre sur le ventre maintenant. A 8mois de grossesse c’est tout bêtement impossible, vous verrez le ventre que je me coltine en ce moment. Pire qu’un ventre…enfin là c’est la fille toujours mince qui parle. Bien évidemment. Mais bien évidemment que j’étais partante pour un massage, je savais que durant des moments dans ce genre, j’étais plus à l’aise pour me laisser en confiance et surtout faire des confidences, et…au fond ça n’allait peut être que nous faire du bien. Non ?!

Maëlysse. Je crois que je n’avais jamais parlé de ma petite aussi longuement qu’en ce moment. Entre Kilian et Lucas maintenant…c’était devenu un sujet auquel j’avais besoin d’extérioriser, mais pas avec n’importe qui, seulement les personnes qui comptaient le plus pour moi. Lucas en fait, largement, partit. Je l’écoutais me parler et j’haussais les épaules doucement. « Je ne sais pas si ça serait bien vu par ces parents…quand je suis allée à cette réunion où j’ai appris qu’ils revenaient, leurs regards en disaient long, et je ne pense pas que j’aurai des nouvelles…physiquement parlant. Oui j’en aurai de l’association contre la leucémie, mais c’est tout. » Et bien évidemment ça ne me faisais pas du bien, je voulais en savoir davantage sur elle, elle avait partagé ma vie durant de longs mois, j’avais toujours été là pour elle, et du jour au lendemain je devais lui dire au revoir…voir, un adieu. Je ne savais même pas si j’allais la revoir un jour. Je serai presque aussi bonne que lui pour faire un détournement de sujet, et surtout pour fuir un sujet qui ne me mettait pas forcément à l’aise…lui aussi. A peine venais-je de lui dire qu’il me manquait, qu’il me renvoyait la phrase tout en changeant de sujet. L’avait-il fait consciemment ou non ? Je ne savais pas…ma fois, il avait le contrôle de cette soirée, alors je me devais de le suivre sans rechigner, c’est toujours mieux. Bref, il sortit de la baignoire, et je le suivais tout en tenant sa main…je faisais attention à ne pas glisser. Un pied dans l’eau et je pouvais glisser, et ne parlons pas de malheur d’autant plus que je pouvais accoucher à n’importe quel moment. N’importe où…en espérant être proche de l’hôpital le jour où c’est le cas. Je mis doucement la serviette autour de moi avant de l’attacher et de mettre ma main sur ma poitrine pour tenir cette serviette, avant qu’il ne parte quelques mètres plus loin, assez pour que je me regarde assez rapidement dans le miroir et puis je l’entendis m’appeler, et un léger sourire au visage, j’allais vers lui avant de me mettre à ces côtés et de me mettre contre lui, regardant ce coucher de soleil, sans rien dire pour le moment. Je regardais ce coucher de soleil avant de mettre mon bras autour de sa taille. « C’est magnifique…» dis-je doucement, et je caressais doucement sa taille avant de poser ma tête sur son épaule, enfin à la hauteur où je pouvais étant donné qu’il était plus grand que moi. On pouvait vraiment croire que c’était un rendez-vous amoureux, mais je n’en savais rien en réalité. Oui on s’était embrassés, oui on avait été dans le même bain…oui on fait ce genre de choses qu’un couple fait, mais non je ne sais pas si on est réellement un couple, ou moins. Mais doucement je le regardais par la suite avant de dire doucement. « J’ai dis quelque chose qui ne fallait pas tout à l’heure ? J’ai vu que…tu t’étais refermé sur toi-même en l’espace de quelques secondes. » C’est vrai que j’avais bien vu que son visage s’était fermé en peu de temps mais je n’avais pas cherché à comprendre, mais malheureusement étant une femme, et étant curieuse de nature, il me fallait des réponses…je ne voulais pas de malaise, ni même de mensonges entre nous, pas entre lui et moi. On est bien plus que ça, non ? Enfin à mes yeux...
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyDim 27 Jan - 0:28



you could be the one, tonight

Si je souhaitais qu’elle oublie ce que je venais de dire c’est simplement parce que j’avais sentit que ça l’avait gênée, et que ce fut une phrase de trop. Comme le « je t’aime » dans un couple. Il y en a toujours un qui aime l’autre avant et qui veut le dire bien avant l’autre personne. J’avais été trop pressant dans mes envies. Mais est-ce vraiment mal de lui avoir dit ça ? De lui avoir fait part d’une de mes envies futures. Parce que oui au fond de moi je sentais qu’elle était la femme de ma vie, et que je mourrais à ses côtés. Que je la referais tomber enceinte pour porter, cette fois-ci, notre enfant. J’en avais envie, alors pourquoi m’en vouloir. En veut-on à un enfant qui souhaite une glace ? A ce qu’on sache non. On le lui refuse peut-être, mais c’est tout. Comment devais-je prendre sa réaction ? Au putain, elle venait de m’embrouiller le cerveau cette brunette. Mais ce qui me surprit le plus c’est que maintenant, elle semblait mettre toute la faute sur moi. C’est bien elle qui m’avait dit qu’elle n’aimait pas les promesses, les paroles. Alors pourquoi m’emmerder à ne pas vouloir oublier ces foutues mots ? Oh ce que je peux l’aimer mon Aleyna, mais là, je ne la comprenais pas. Je n’allais pas oublier, ni ce que j’avais dit, ni tout ce qu’elle me disait là. Pas de promesses. Pas d’ouverture de mon cœur. Rien. Nada. Nothing. Tant pis pour moi, et pour elle. J’étais prêt ce soir, mais elle, ne le semblait pas. J’étais déçu, mais je devais faire avec. Je ne voulais pas qu’elle s’aperçoive de mon mal-être face à tout ça. Après tout, je suis un homme, et au diable tous ces sentiments d’amour.

J’aurais du faire dans la comédie. Je suis certain que j’aurais pu réussir dans ce domaine. Je savais plutôt bien cacher mes sentiments, lorsque je le voulais. Mentir. Jouer de l’autre. Mais surtout passer du cop à l’âne. Après tout, un acteur est une personne qui nous manipule la tête avec ses films et son jeu d’acteur. C’est ce que je faisais, pour me sortir d’une affaire assez délicate. Peu importe ce que je pouvais ressentir, je devais le mettre de côté et faire en sorte que la soirée suit son cours. Sans qu’Aleyna se rende compte qu’un petit quelque chose manquerait. Et puis, comment le remarquerait-elle ? Elle n’était au courant de rien à propos de cette soirée. Tout est une surprise. Dans ce cas, elle ne peut pas manquer de quelque chose. Comme ça, d’un seul coup, je lui proposais un petit massage, au dos. Après tout elle était déjà dans mes bras, il lui suffisait de se redresser un peu pour me donner son dis, et le massage commencerait alors. A défaut de ne pas vouloir dire quelque chose ; faire quelque chose. Le massage est quelque chose de parfait dans ce cas là. C’est censé être un moment calme, où l’on se détend. Si l’on ne parle pas, ce n’est pas bien grave. Si elle souhaitait parler, qu’elle le fasse. Je n’en ferais rien. Mon excuse ? Concentration pour faire un bon massage. Eh oui, j’ai déjà réfléchi à tout. Lucas le meilleur, je sais, je sais. On ne refait pas une personne parfaite, désolé les chéris.

Toutes bonnes choses ont une fin. Ce bain. Je n’aurais jamais cru passer un si bon moment dans un bain, sans avoir de rapports sexuels. Vous m’excuserez, mais à défaut de ne pas avoir d’amour, j’ai bien le droit d’avoir un peu de pensées envers le sexe, ou le truc qui ne vous trahira jamais. Malgré tout, j’étais toujours présent pour Aleyna et son problème avec Maëlysse et les revenants, les parents. Je ne savais pas quoi dire. Je n’avais pas d’idées. Pas de solutions. Du moins pour l’instant. « Ca s’arrangera je suis sûr… » Je ne faisais pas de promesses, je posais juste mon avis. A mon avis, ça s’arrangerait, avec un peu d’aide surement. Après, je ne dirais pas qui donnera le coup de main bien sur. J’ai bien compris la leçon : pas de promesses. Elle préfère que je fasse tout derrière son dos, et bien c’est ce que j’allais faire. Elle aurait peut-être préféré que je lui fasse une famille sans la prévenir peut-être ? Bon ok je m’arrête là. Je ne parlerais plus de ça. Mais c’est trop dur. Cette sensation que tout s’écroule juste à cause d’une foutue phrase. Bref. C’est sa soirée. Je me plaindrais un autre jour. Voire jamais. Mais je vous assure qu’elle comprendra que j’étais déçu. Elle le comprendra, dès le lendemain. Une fois devant le coucher de soleil, qui était magnifique par ailleurs, on était tombé sur le bon soir, elle me prit dans ses bras tout en regardant. Nous deux, presque à poils, devant un super beau coucher de soleil. Et on va me dire que ce n’est que de l’amitié. Et l’amour c’est quoi alors ? Je ne comprendrais jamais rien à la vie, et encore moins aux femmes et à l’amour. J’ai beau tenté de tout faire, d’être le meilleur homme possible, le plus attentionné, on me repousse toujours. Décidemment, je pense qu’il faudrait peut-être que je change de bords et que j’aille voir les hommes. Après tout j’ai déjà aimé l’acte en lui-même, alors pourquoi pas. J’apprendrais bien à aimer les hommes. « C’est toi qui est magnifique ma beauté. » Wathever. Pour le moment je suis avec elle. Autant essayé de la conquérir pour de bon, cette soirée et je verrais bien plus tard. Et merde. Je ne suis pas si bon acteur que ça enfin de compte. Elle avait vu mon changement de comportement. J’allais donc devoir jouer sur le mensonge. Je m’en excuse d’avance mon Al’. Tu sais très bien que je déteste devoir te mentir, mais là, c’est pour le bien de ta soirée. « T’en fais pas, c’est juste parce que j’ai pensé à un petit truc qui me tracasse depuis quelques jours… » Allez Lucas trouve un mensonge. Je la regardais avec un sourire, et lui déposa un baiser sur le front. Ah ! Trouver. « C’était cool de revoir ma sœur, mais elle me manque déjà énormément… J’étais prêt à rester en France, rien que pour elle. » Mais de l’autre côté de l’atlantique, tu étais. Avais eu-je envie de dire. Mais non. Je me retins. « T’en fais pas, ça passera. » Pour le coup, ce n’était pas un gros mensonge. C’est vrai qu’elle me manquait énormément, et que j’avais pensé à rester en France, mais j’exagérais juste un peu le truc. Juste pour que ça fasse crédible quoi.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyJeu 31 Jan - 18:04

Lucas éè Aleyna you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 640759


Est-ce moi, ou le fruit de mon imagination ? Est-ce moi qui suis entrain de délirer complètement ?! Je n’en sais rien. En faite, des fois il suffit d’un seul mot, d’une seule sensation, d’un seul geste pour tout anéantir. J’avais l’impression d’avoir fait un faux pas avec Lucas, de l’avoir braqué et surtout de l’avoir refermé sur lui…je ne le souhaitais pas. Je n’aime pas que l’on me mette de côté comme ça, comme il le faisait en n’étant plus réellement lui. Je ne pourrai guère expliquer ce qu’il se passe actuellement dans mon cœur mais…c’est comme Bagdad, en quelques mots. Je ne sais même pas ce que je peux faire pour essayer de rattraper le coup. Mais d’ailleurs, quel coup ? Oui je ne savais même pas ce que j’avais pu faire ou dire pour le voir comme ça. Je n’aime pas ce changement d’émotions si…soudain. Aurais-je le droit à une explication ? Peut être bien que oui, mais peut être bien que non. Qu’en sais-je, après tout il était si bon pour changer de sujet ou tout simplement cacher ces sentiments. Frustrant, voilà j’ai trouvé le bon mot pour définir dans quelle passe j’étais à ce moment même. Je ne voulais pas gâcher ce moment que nous partagions tous les deux, c’était tellement…beau que j’avais dû garder en moi toutes mes questions. Enfin…pour le moment. Je suis et je resterai toujours celle que je suis : curieuse. Je mis cependant mes questions de côté pour le moment, afin de revenir sur Terre et de regarder mon ami avant d’hocher doucement la tête. « Je suis tout de même contente de savoir qu’elle retrouve ces parents…je sais que pour elle, ça s’arrangera. Ils seront avec elle pour vaincre cette maladie…c’est tout ce qu’elle voulait, et au fond je ne pouvais pas lui donner. » Soyons honnête, on ne peut pas donner tout l’amour d’une mère et d’un père…seule. L’amour était différent, mais pas dans le bon sens. Elle voulait un papa et une maman, non, elle voulait sa mère et son père. Elle les avait à présent, alors oui j’étais heureuse pour elle…mais moins pour moi, mais ça c’est normal…non ?! En tout les cas dans ma tête c’est normal. De toute manière si je disais tout ce qui se passait en moi, il me prendrait pour une folle et il serait déjà partit en courant. Si si, j’en suis persuadée. Bref, je n’ai pas que des qualités, que croyez-vous. Devant le coucher de soleil, je mettais mise contre lui sans rien demander, ni rien dire…seulement pour profiter un peu plus de lui. C’est fou comme j’avais constamment besoin d’un contact physique avec lui, comme pour me rassurer qu’il était là, bien là avec moi…à moi, tout simplement. Non pas que je sois jalouse, mais…disons que ça me rassure toujours de le voir avec moi, au moins il n’est pas avec d’autres filles à faire je ne sais quoi…Oui bon d’accord, je suis un peu jalouse. Mais seulement en amour. Suis-je amoureuse ?! C’est fort probable…mais je ne sais pas si on sera sur la même longueur d’onde, et pourtant des fois l’amour fais des choses que jamais on aurait pu penser. Peut être qu’un jour on pourra être heureux lui et moi, mais avant de pouvoir penser à ceci, il fallait que l’on arrête d’aller à droite et à gauche. Pour moi aucun soucis, avec le ventre que j’ai, je ne pouvais pas sauter sur tout ce qui bouge, et après mon enfant, il allait falloir que je change et ce, du tout au tout. Enfin n’abusons pas, seulement dans ma mentalité, et dans ma façon de faire, qui ne pouvait pas plaire à tout le monde. Il fallait que je sois mature, et surtout responsable…comme avant. Il fallait que je retrouve la Aleyna dont Keyon était tombé amoureux, la petite fille sage qui ne sortait pas...de peur qu’il lui arrive quelque chose. Oui le contraire de moi actuellement. Il fallait que j’apprenne à redevenir la Aleyna d’avant, mais attention, cela ne veut pas dire que j’allais arrêter de sortir pour m’amuser…entre amis, seulement. « Ça me touche…» dis-je doucement en le regardant dans les yeux. Oui entendre un homme aussi important que Lucas, m’appeler avec ce genre de mot, ne pouvait que me faire du bien…que me rassurer. Oui il était un homme bien, même plus que ça. Si un jour il vient me dire qu’il est tombé amoureux d’une fille, qu’elle arrive à le rendre heureux…alors je ne pourrai être qu’heureuse pour lui. Il mérite tout ça, il mérite de tomber amoureux et de connaître, cette fois-ci, les bonnes choses de l’amour. Il a toutes les qualités pour.

Bref, toutes bonnes choses a une fin non ? Me voilà entrain de le questionner sur son changement brutal d’humeur. La retenue très peu pour moi, mais…étrangement il se mit à me parler. Il commença à me donner quelques raisons, des raisons que je ne savais même pas si je pouvais y croire. Sa sœur, je savais qu’elle lui manquait…et ce, de plus en plus, de jour en jour. Je sais ce qu’est de ne pas voir sa famille. Bon Ok, on n’a pas le même profil car ils sont à San Francisco les miens, ainsi que mon frère et mes deux sœurs mais…je ne les vois que très rarement, et ce, depuis le décès de mon défunt petit ami. Pourquoi ? Un changement trop brutal de ma part, ils ne me reconnaissaient plus, et je me suis renfermée sur moi-même, donc je n’avais pas le droit de me plaindre sur mes parents. J’avais choisis cette situation. Enfin, oui en quelque sorte. J’aurai préféré que Keyon soit toujours là, et si ça avait été le cas, ma vie aurait été très différente à maintenant. Je ne saurai dire où j’en serai actuellement. Difficile, difficile. Je mis doucement ma main dans la sienne avant de le regarder dans les yeux, afin de capter son attention. « Je comprends qu’elle te manque…et peut être que tu aurai dû rester un peu plus là bas, afin de profiter d’eux. » Oui je sais que l’on est à l’université mais une semaine en plus…une semaine dans l’année, ce n’est pas ceci qui allait le faire redoubler ou que sais-je encore. « Tu devrais peut être lui parler un peu plus souvent via Skype ou au téléphone, ça vous ferais peut être du bien. » Bon, je ne trouve toujours pas le rapport avec ce changement si brutal de son comportement, mais bon, il ne voulait certainement pas ne parler, et je n’allais pas lui mettre le couteau sous la plaie. Peut être qu’il disait vrai, mais alors pourquoi s’est renfermé alors que je lui parlais. Lui avais-je dis quelque chose qui lui avait rappelé sa sœur ? Je n’en savais rien. Boulette, ou pas boulette, telle est la question. Bref, je voulais lui faire une petite surprise…je lâchais alors ma main avant d’aller vers mon sac et de prendre un petit paquet. Oui j’avais un présent pour lui, et l’occasion avait été : noël, même si en voyant ceci je savais que c’était fait pour lui. Qu’avais-je pu lui prendre ? Ce genre de chose que l’on offre à une personne comme lui. Je pris le cadeau entre mes mains avant d’aller vers lui. « Noël…je n’ai pas eu la chance de t’avoir à mes côtés, mais j’ai tout de même pensé à toi. » je souriais légèrement avant de lui tendre le présent…dedans on pouvait y voir une gourmette. Je savais qu’il n’en avait pas, et…soit il allait aimer soit il allait la détester, tant pis, je verrai bien. Je le regardais faire avant de sourire…à ce moment même j’avais tellement de chose en moi, que j’aurai aimé lui dire au combien il était important pour moi...mais la peur de me faire renvoyer sur les roses, me fit perdre les pédales, et je m’arrêtais avant même d’avoir ouvert ma bouche. Aaah, il faut savoir prendre ses jambes à son cou, des fois.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptySam 2 Fév - 23:33



you could be the one, tonight

Certaines personnes seraient surement parties. Ou lui aurait tout simplement dit ce qu’elles avaient sur le cœur, face aux paroles d’Aleyna. Je n’étais pas de ces personnes. Malgré qu’elle vienne de me faire mal, je souhaitais lui offrir la meilleure soirée de l’année. Ce que je pouvais l’aimer cette fille. Ca n’avait été que du sexe. D’où venait donc cet amour ? Pas de nos moments, quoique. Après tout, malgré notre relation d’amants, on se voyait déjà énormément en tant que simples amis. Comme cette journée au zoo. Cette fille m’avait envouté. J’avais beau vouloir lui en vouloir, la détester, ne pas penser à elle, j’en suis totalement incapable. J’aurais été un artiste, j’en aurais dis qu’elle était ma muse. Ah oui, je suis en quelque sorte un artiste : avec les textes que j’écris. Malgré l’amour que je lui porte, je n’ai encore jamais écrit quelque chose à son sujet, ou même tout simplement à propos de l’amour. Au fond, j’ai peur de l’aimer, si je m’autorise à écrire quelque chose ça fera trop réel : mon amour pour elle. Et je ne le veux pas. Pourtant, je me sentais prêt, du moins je l’avais été, à lui dévoiler tous mes sentiments. C’est ce que je croyais. Bah oui ! Je venais de trouver une excuse pour me taire. Au fond, si j’étais vraiment prêt à lui avouer, je le lui dirais malgré ce terme « d’amis ». En fait, ce n’est pas si grave que je le fais croire. Enfin de compte, je ne devais pas être totalement prêt que ce dont je croyais. C’était moi le nul. Elle avait simplement dit ce qu’elle pensait, elle était franche. Et moi, rien. Quel con je fais. « Dans tous les cas, elle ne t’oubliera pas. Vous serez toutes les deux dans le cœur de l’autre. » Oh, et puis on s’en fout de mes soi-disant problèmes, lorsqu’on voit ce que vit Aleyna, à côté de moi. Le coucher de soleil tombait très bien ! C’est le genre de spectacles qui font rêver, et oublier nos problèmes durant un court instant, certes, mais ce que ça peut faire du bien. J’ai toujours aimé ça, avec les lever de soleil. Plus petit, je n’hésitais pas à me lever très tôt, juste pour les regarder. Et c’était aussi ce que j’adorais dessiné. Toutes ces teintes de couleurs. Ces dégradés. Tellement beau. Un jour, je l’emmènerais voir des aurores boréales. Je l’emmènerais quelque part en Scandinavie. Ce sont de beaux pays, et c’est aussi les seuls endroits où l’on peut en voir. Mon dieu, il faut vraiment que j’arrête de me faire des films, de m’imaginer un futur avec elle. J’en deviens accroc, et ceci n’est pas bon pour la santé. Je lui déposai un baiser sur le front, tout en la pressant, doucement, contre moi. J’avais ce besoin de la sentir contre moi, sentir sa présence. Me prouver que ceci n’était pas qu’un rêve, mais que c’était bien la réalité. Je l’aimais tellement.

J’aurais pensé qu’on aurait pu parler d’autres choses à ce moment précis. Je ne sais pas moi de quoi, mais en tout les cas pas de ça : pas de mon changement d’humeur. De un, je n’aimais pas spécialement lui mentir, de deux : encore moins devoir le faire maintenant, à ce moment là. Un moment si romantique, normalement. Bon sang, pourquoi ne puis-je jamais vivre ce que je souhaite ? Un véritable amour de cinéma ? Peut-être parce que le cinéma est là pour nous faire rêver sur des choses qui ne peuvent qu’arriver rarement dans la vraie vie. Ouais, ça doit être ça. Il faudrait que j’arrête de m’imaginer des scénarios de films, à force je finirais à vraiment faire une dépression. « Oh non, les études avant tout ! J’ai décidé de les quitter pour avoir de bonnes études, alors autant bien faire ici. Je les rejoindrais à nouveau une fois que j’aurais fini mon cursus. » J’avais plutôt bien choisi mon mensonge, puis en même temps, j’en profitais pour vraiment me confier. Mais maintenant, j’avais le cul entre deux chaises. Ma famille, dont ma sœur, ou Aleyna. La femme que j’aime, vraiment. Soit faire venir ma famille en Amérique, du moins ma sœur, ou plutôt faire venir Aleyna en France. Mais qu’est ce que foutrais la belle brune en France ? Alors que ma sœur a toujours voulu me rejoindre ici. Venir dans la même université, seulement, c’est un peu compliqué pour. Si seulement elle pouvait avoir une bourse, quelconque pour venir, tout comme moi. « Peut-être. Mais tu sais, on se parle déjà énormément. Une fois par jour, je ne vois pas comment on peut faire plus… » Malgré le décalage horaire, on arrivait plutôt bien à se trouver des horaires pour se parler. Ce qu’on peut s’aimer, ma sœur et moi. Bref. Je vis mon amie aller vers ses affaires, et me ramener quelque chose. Ah oui ! Le cadeau de noël. Je lui souris, tout en ouvrant le paquet pour en découvrir une gourmette. J’aimais ce genre d’accessoires, et la sienne était vraiment jolie. Je la pris dans mes bras, pour lui offrir un énorme câlin. « Je l’adore, elle est vraiment très jolie ! Merci beaucoup. Tu as des très bons goûts. » Avec un grand sourire sur les lèvres, je la mis à mon poignet, tout en le regardant. Ah, ce qu’elle m’allait bien. C’était donc à mon tour. Bon moi, elle ne pourra pas tout de suite essayer mon cadeau. Je sortis le cadeau de l’armoire. Il s’agissait d’une magnifique robe, qu’elle ne pourra que mettre après son accouchement, mais je la voyais tellement bien dedans. Ma sœur m’avait aidé. J’avais longuement hésité entre plusieurs robes, et elle avait opté pour celle-là, qui avait été mon premier coup de cœur. Je la lui offris. Elle était dans un emballage spécial. Je stressais. Et si ça ne lui plaisait pas du tout. Oh mon dieu.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyLun 4 Fév - 20:52

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J’aurai aimé lui dire ce que je commençais à ressentir pour lui mais c’était encore trop le bazar dans ma tête et dans mon cœur pour lui dire ouvertement ce que je ressentais pour lui. Après tout je ne savais pas spécialement mais si ça n’était pas de l’amour ça y ressemblait fortement. En faite, je crois bien que je me forçais à ne pas ouvrir les yeux, pour ne pas à avoir à oublier mon défunt petit ami…Ce n’est pas simple dans ma tête car même si il était décédé il y a maintenant plus de 2ans, au fond de moi nous étions toujours ensemble puisque nous n’avions pas rompu avant qu’il ne ferme ces yeux pour la dernière fois. Beaucoup de personnes auraient eu la force d’avancer et surtout de se laisser une autre chance face à l’amour mais j’ai été énormément peiné la dernière fois et j’ai peur d’être déçue encore une fois. Pas de la même manière mais je ne voulais pas perdre mon ami, Lucas, et je ne savais pas si cet amour allait être bon pour nous. Bref, je n’en savais rien, et je n’arrivais plus à réfléchir à ce genre de chose sans me prendre la tête. Pourquoi est-ce que l’amour est vraiment compliqué ? Pourquoi est-ce que je me dois de toujours garder la face et faire front ? Et si en fin de compte l’amour n’était pas pour moi. Plus pour moi. Et si j’avais déjà découvert mon grand amour ? Et si Keyon restera à jamais mon petit ami ? Et si je n’étais pas prête à ouvrir encore mon cœur de cette manière ? Je secouais légèrement la tête pour me chasser ces questions car, bien évidemment que j’étais prête…ce n’était pas ce que je faisais sans m’en rendre compte avec Lucas ? J n’agissais même plus comme une simple amie face à lui. Je voulais toujours qu’il me voit dans mes meilleurs jours même si je n’osais pas à lui dire : merde, quand il le fallait. J’étais juste moi, et je m’ouvrai de plus en plus face à lui. N’était-ce pas un signe ? Peut être bien que oui. Je me souvenais encore de la conversation que j’avais eu avec Kilian et étrangement ça me réchauffais un peu le cœur. Mon meilleur ami était vraiment une bonne oreille et surtout, il était toujours de bons conseils mais je savais qu’il avait raison mais c’est difficile d’affronter la vérité, non ?! Pour moi c’est le cas. J’en avais presque oublié que Lucas était là en face de moi, à vouloir me parler. Je ne me souvenais même plus que l’on parlait de ma petite princesse, Maëlysse. Comme quoi, mes pensées pouvaient complètement me faire voyager au delà de tout ça. Ah les coucher de soleil…je crois que je m’en souviendrai de celui là. Il m’avait complètement chamboulé.

Je fronçais doucement les sourcils quand il se mit à me parler à nouveau et j’essayais tant bien que mal à chasser mes pensées afin de pouvoir le suivre et l’écouter sans en perdre une miette. C’était la seule chose que je pouvais faire pour lui actuellement, l’aider, enfin chercher quelques solutions. Allais-je arriver à être l’amie qu’il aimait tant ? Je ne sais pas…« Je comprends ce que tu veux dire…et tu pense que tu va partir vivre en France après tes études ? » Oui on parlait de son avenir, alors autant jouer le jeu même si sa réponse ne m’avait guère enchantée, mais bon je ne suis pas là pour lui mettre un couteau sous la gorge. Il voulait me parler, tant mieux, il ne le souhaitait pas…tant pis pour moi. Puis je me mis à penser à mes parents qui m’avaient tourné le dos en quelques mois…et je n’avais pas spécialement aimé voir mes sœurs et mon frère en faire autant. Mon frère avait toujours été là pour moi à me protéger devant tout le monde, et me retrouver seule m’avait complètement fait perdre pieds. On apprend de ces erreurs non ? Je sais qu’un jour ma famille reviendra mais ce n’est pas demain la veille malheureusement. J’ai bien trop de rancœur envers eux pour le moment. « Vous avez une relation fusionnelle avec ta sœur, pas vrai ? Et…pourquoi elle ne viendrait pas pendant quelques temps ici ? Le temps des vacances… ? » Je ne savais pas énormément de chose sur sa sœur et lui. C’est vrai qu’il m’en parlait énormément mais en fin de compte je ne savais pas grand-chose. Je connaissais les bases quoi…mais j’aimerai tellement en savoir plus. J’aimerai beaucoup les rencontrer d’ailleurs et sa sœur aussi. Je savais que le jugement de sa sœur était important pour lui, et il serait capable de couper les ponts avec une personne si elle ne plait pas à sa sœur…enfin c’est ce que j’ai pu en déduire en l’écoutant me parler d’elle depuis quelques temps.

Il était maintenant temps de lui donner son cadeau que j’avais tant cherché pour son noël. Ce n’est pas facile de faire des cadeaux surtout quand on ne sait pas réellement ce que nous sommes aux yeux de l’homme que vous pensez aimer. Oui, je ne voulais pas lui prendre un cadeau digne d’un couple, mais pas non plus un cadeau…genre une babiole. Il fallait que je trouve le juste milieu mais malheureusement je ne savais pas si avec cette gourmette j’avais fais le meilleur choix. De toute manière maintenant elle est acheté et à moi elle plait…c’est le plus important non ? Je venais à peine de lui donner qu’il venait de me prendre dans ces bras et je le serrais doucement contre moi, avec un large sourire. Je me reculais doucement pour le regarder. « J’espère qu’elle te plaira toujours quand tu sera seul. » je souriais de plus belle, et c’était une façon pour moi de savoir si elle lui plaisait autant que ça. J’avais toujours du mal avec les remerciements surtout face à ce genre de choses. Je préfère donner que recevoir. Je suis toujours mal à l’aise d’ailleurs…quand il partit vers la penderie et qu’il revenait avec un cadeau dans ces mains, je fronçais doucement les sourcils avant de prendre dans ma main et j’ouvris le paquet…gênée. Enormément gênée. Je savais qu’il était entrain d’épier mes expressions de visage pour savoir ce que je ressentais à ce moment même. J’ouvrais avant de regarder Lucas avec de gros yeux et dire doucement. « mais…tu es fou ! » je savais pertinemment que ce genre de robe ne coûtait pas 5euros au marché, et ça me touchais énormément. Il était complètement dingue ! Je regardais toujours cette robe et je la mis contre moi avec un large sourire avant de le regarder. « Alors ? » je voulais qu’il me dise si elle allait m’aller et je ne pu m’empêcher de toucher cette qualité de tissue avant de me jeter dans ces bras…ceci dit : doucement puisque j’étais encore enceinte jusqu’aux pieds. « Tu as très bon goûts toi aussi, et je crois que…tu sais parler aux femmes. » non pas que j’aimais énormément les choses de valeurs ou autres, mais depuis toujours j’adore prendre soin de moi et…ça commençais par les tenues et celle là était juste : magnifique. Je caressais doucement sa joue avant de le regarder dans les yeux, mes lèvres à quelques centimètres des siennes. « La première personne qui me verra avec cette robe…ça sera toi. Et je te fais la promesse de te surprendre ce jour là. » J’avais le cœur qui battait énormément vite, et j’avais tenu à mettre la robe sur la table sans la froisser. Je souriais toujours à quelques centimètres de lui. Je pouvais dès à présent sentir son souffle sur ma peau…et je profitais de ce moment…privilégié. J’en oubliais même toutes les conquêtes qui passaient dans son lit. (a)


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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyMer 27 Fév - 16:45



you could be the one, tonight

J’étais un lover, et je le revendiquais. Pourtant, avec Aleyna, quelque chose me stoppait. C’est bien beau d’organiser de tels rendez-vous, mais si je n’ai même pas le courage de lui avouer mes sentiments, à quoi bon ça servait ? A nous faire rêver, et pour ensuite souffrir ? Ce que je pouvais me détester. Tout en la détestant aussi. Je ne sais plus qui me l’a dit, mais le sentiment de l’amour est si proche de la haine, qu’il suffit d’un petit pas de puce pour passer de l’un à l’autre. D’ailleurs, tout ce qui est films, bouquins, séries, ils ont comprit ce truc. A votre avis pourquoi les pires ennemis finissent toujours amoureux l’un de l’autre. Ou alors le contraire. Je ne voulais pas la détester. Je savais que mon amour allait vers elle. Tout en étant un lover, j’étais aussi un coureur, mais je n’offre pas à toutes mes conquêtes ce genre de soirées. Je n’avais même jamais fait ça. Je ne suis pas un beau parleur. Lorsque j’offre de telles choses, c’est qu’il y a bien des sentiments derrière. Pourquoi ne pouvait-elle pas comprendre ce putain de truc ? Pourquoi doit-elle toujours me considérer comme un simple ami ? Oui, je n’arrivais pas à oublier ces paroles. Mais lorsqu’on aime, on fait attention à tout, et on prend tout à cœur. L’amour c’est destructeur. En plein durant cette soirée, je l’avouais oui : que j’aimais cette fille. Même si cela n’est apparemment pas totalement réciproque. Tant pis. Je préfère ne pas l’avoir en tant qu’amoureuse mais l’avoir toujours comme une amie, plutôt que de la perdre totalement. Tout en regardant le coucher de soleil, on se parlait. De moi. En regardant ce soleil, je pensais au soleil que ma sœur pouvait apercevoir au même instant. « Je ne sais pas. Il y a trois ans, je t’aurais dis directement oui, mais là je ne sais pas… je … » mon regard se posa dans le sien. Je positionnai ma main sur son ventre, doucement, tout en continuant « Je n’ai pas envie de te quitter. Je préfèrerais encore que ma famille, ou au moins ma sœur vienne ici. A moins si tu te sentais prête de me suivre loin d’ici. » Je ne pouvais pas m’empêcher de lui dire des tels trucs. En tant qu’homme amoureux, je me voyais faire ma vie avec elle, et son futur enfant. J’étais plein d’espoir, d’ambition, mais aussi de tristesse, face à la peur que mon amour n’aille que dans un sens, du mien jusqu’au sien. « Je sais que tu t’entendrais extrêmement bien avec ma sœur. » Ce n’était pas la première fois que je lui parlais d’un quelconque futur ensemble, durant la soirée, et il fallait que j’arrête sinon elle prendrait la fuite. J’allais lui faire peur. Ou encore, elle pourrait penser que j’ai une maladie, tout comme son ancien copain. Généralement, lorsqu’une personne vous sort un tel jeu, avec de telles paroles, c’est qu’il y a quelque chose de terrible derrière. C’était le cas : il y avait un amour indestructible. « Pas beaucoup d’argent. Elle ne peut que se permettre de voyager en Europe. D‘ailleurs, on est censé passer des vacances à Ibiza. » Maintenant qu’on était grand, c’était à nous de gérer notre argent. Certes, nos parents nous aident lorsqu’on en a vraiment besoin. Par exemple, lorsque je suis arrivé ici, ils m’ont énormément aidé financièrement. Mais lorsqu’il s’agit de voyages, ou autres, c’est à nous de nous débrouiller. Et entre nous deux, c’est moi qui possède le plus d’argent. Ma sœur préfère, elle, être à fond dans ses études et ne pas s’éparpiller partout en se prenant des quelconques petits jobs. Je peux la comprendre. Et en parlant de ce voyage à Ibiza, cette idée nous était venue le soir de Noël. On parlait à propos de passer des vacances fraternelles sans la famille autour. Et en apprenant mon entrée chez les fêtards (les Oméga), elle avait souhaité me voir me déchainer lors de soirées. Et quoi de mieux que Ibiza ? L’heure des cadeaux étaient arrivés. En regardant son cadeau, mon sourire ne partait plus de mon visage. Elle avait vraiment bien choisi. « Maintenant que j’ai ça, je ne serais plus jamais seul, tu seras toujours avec moi... » Bon sang, il faut vraiment que je me taise ce soir. D’ailleurs, je voulus faire oublier ce que j’avais, encore une fois dit, en lui offrant mon cadeau. Cela semblait lui plaire. Tout le plaisir était pour moi. Et on avait très bien choisi, car elle lui allait à ravir. Déjà magnifique à la base, alors là… Aleyna ne pouvait qu’en être sublime avec. Cet échange de cadeau fut plus que fort en sentiments. Après avoir déposé soigneusement la robe, elle revint vers moi. Je lui pris son visage entre mes deux mains et l’embrassa. Le plus amoureusement que possible. Comme si j’essayais de lui faire passer mon je t’aime par ce baiser. Malheureusement, un baiser ne sera jamais au même niveau que ces trois mots. Jamais. Après tout, qui ne tente rien n’a rien. Après ce baiser, je la regardais et lui proposais d’aller se mettre quelque chose sur la peau. Etant donné qu’on était toujours en serviettes, tous les deux. Et en regardant l’heure, je remarquais que le room service n’allait pas tarder. Elle alla donc en direction de la salle de bain, comme toute femme pour se préparer. Moi, je restai dans la chambre. Et fit du plus vite possible pour m’habiller de la tenue que j’avais réservé pour le diner. Mais il fallait aussi que je mette la table. Tout cela en dix minutes environ. Même si au fond je savais qu’elle n’allait pas sortir de la salle de bain d’ici une heure. Non je rigole. De toute façon, le room service venait de faire son entrée, discrètement. On disposa tout sur la table, et le diner était enfin prêt, ainsi que la table. Une petite fleur, des pétales tout le long de la table, des bougies. Et une lumière plutôt tamisée pour la chambre. Et tout cela, devant la grande baie vitrée donnant sur la ville de San Francisco. J’allais toquer à la porte. « La miss est prête ? » Lorsque je regardais la chambre, j’eus l’impression d’avoir devant moi une scène de film romantique. Ce que j’étais bon pour organiser des trucs quand même.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyMar 5 Mar - 13:04

Lucas éè Aleyna you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 640759


Prendre du temps avec Lucas était une chose que j’adorai faire. Au début de cette journée, je n’aurai pas pensé finir cette dernière en sa compagnie et surtout dans un hôtel comme celui là. Je n’avais jamais mis mes pieds ici et encore moins aussi bien accompagnée. Oui c’est vrai que Lucas m’attire énormément, que j’ai un début de sentiments bien plus fort qu’un simple ami mais…ce sont des choses qui arrivent et que nous ne contrôlons pas toujours. Une amitié fille/garçon, et on est jamais à l’abri de sentiments naissant entre nous, mais j’aime cette sensation, ces nouveaux sentiments. J’avais déjà connu ceci, j’étais déjà tombée amoureuse une fois mais jamais depuis plus de 6ans maintenant. J’en avais presque oublié les effets que ça me procurais, des papillons dans le ventre à chaque fois que je vois ses yeux ou tout simplement quand je sens sa présence à mes côtés…les yeux qui pétillent quand il m’embrasse encore et encore. Oui je crois bien que j’en suis amoureuse mais c’est encore l’un de mes secrets que je ne dévoilerai pas. J’étais un peu songeuse à ce moment même…c’est surtout l’effet du coucher de soleil qui était entrain d’agir sur moi. Je le regardais par la suite avant de me mettre doucement contre lui afin de le ressentir physiquement, contre moi. Je pouvais enfin me sentir protéger et tout ce qui s’en suit. Je sentis sa main se mettre sur mon ventre et je souriais avant de poser doucement ma main sur la sienne, que je pris un malin plaisir à caresser tendrement, tout en hochant la tête. « C’est gentil ce que tu me dis et…ça me touche. Mais tu ne veux pas partir d’ici seulement à cause de moi ? Parce que si c’est le cas, je ne veux pas être un frein à ton bonheur, tu le sais j’espère. » Je fis un léger sourire et c’est vrai qu’il m’avait mis un peu mal à l’aise car je ne voulais pas qu’il se prive à cause de moi, et qu’il ne retourne pas voir sa famille. Si ça ne tenais qu’à moi je le mettrais dans le premier avion pour qu’il puisse retrouver les siens, une nouvelle fois. « On pourrait presque croire que tu va me demander en mariage ce soir. » Je me mis à rire doucement tout en regardant devant moi, je me mis à rire doucement tout en regardant devant moi, c’est vrai que je ne pouvais que lui faire ce genre d’humour pas très…marrant au final, mais je voulais marquer le coup et même si son message était très bien passé, je me sentais un peu mal à l’aise. C’est dans ma nature. Oui c’est vrai que je pourrai le suivre et partir d’ici puisque de toute manière rien ni personne ne me retenais ici, ou ne serait-ce…que mon défunt petit ami et sa famille. Au fond, je ne pourrai pas quitter cette ville, pas maintenant. Parler de sa famille me faisais du bien, j’aimais pénétrer dans son monde, dans sa petite vie et essayer d’en faire partie un minimum…et c’était un peu ma façon de lui dire que j’étais là. « Tu pense vraiment que je m’entendrai avec elle ? Mais si ce n’est pas le cas…je ne voudrais pas te décevoir ni rien. » Il me connaissait oui, mais j’avais peur qu’il en attende trop après moi et que je n’arrive pas à être à la hauteur de ses espérances, de ces attentes. Ce n’est pas toujours facile de plaire à une personne, un homme, qui nous plait plus que n’importe qui d’autre. Je n’avais plus cette chance, celle de toujours être avec ma famille et de prendre du bon temps avec eux…c’est pour ça que je voulais qu’il en profite, qu’il aille les voir et qu’il reste avec eux…un peu. Pas durant trop de semaines...je ne voudrai pas qu’il m’oublie non plus. Je fis une légère grimace avant de le regarder. « Oh, et tu ne peux pas l’aider un peu…tu sais, je pourrai participer aussi si tu le souhaite. Je sais que tu va refuser mais…je connais ta date d’anniversaire au pire. » Je fis un léger sourire car oui, je serai prête à payer un billet pour sa sœur, juste pour qu’il puisse en profiter et lui montrer sa nouvelle vie. « Oh vraiment ? Combien de temps ? C’est super tout ça ! Tu as intérêt de profiter de tout ça et de me ramener un cadeau ! » je me mis à rire doucement avant de caresser doucement sa joue et je ne pus m’empêcher de sourire quand je le vis regarder son cadeau et je le regarder dans les yeux avant d’hocher la tête. « Toujours oui…je vais te hanter jours et nuits, fais attention à toi et à tes arrières. » Je lui déposais un baiser sur le coin de ses lèvres avant qu’il ne m’embrasse et que je prolonge tendrement, je souriais contre ses lèvres par la suite. « Je crois que je ne me lasserai jamais de tes lèvres…» c’est bien une phrase que j’aurai aimé garder pour moi et dire doucement mais c’est loupé…il avait tout entendu.

Je me demande même si je ne suis pas devenue rouge tomate à la suite de cette phrase. Je ne me cachais pas pour autant mais je n’étais pas vraiment à l’aise mais j’essayais de ne pas me laisser me bouffer par ceci. Je fis comme il me l’avait demandé et j’étais partie dans la salle de bain pour me préparer. Je n’avais pas pris une autre robe mais celle là ferait largement l’affaire. Je m’habillais assez rapidement avant de me coiffer et de me maquiller légèrement mais bien. Je voulais toujours être présentable face à lui, même si il m’avait déjà vu au réveil et dans des jours bien pires que celui là. C’est un peu comme ma dignité, ma fierté de femme…qui sait oui. J’aime être coquette. J’étais tellement occupée pour me faire jolie que je n’avais pas entendu le room service entrer dans la chambre et je sursautais légèrement quand je l’entendis toquer à la porte, je le regardais en souriant avant d’aller vers lui, grand sourire. « Prête à passer une superbe soirée en ta compagnie, j’espère que tu es prêt aussi. » Je le regardais avant de commencer à tourner sur moi-même. « J’espère que cette tenue et tout le reste…te plait. » Je lui déposais un simple et tendre baiser avant de caresser sa joue et dire doucement. « J’ai l’impression de vivre dans une autre vie quand je suis avec toi…» c’est vrai qu’avec lui je ne pensais pas à mon défunt petit ami, je ne faisais que penser à Lucas et seulement à lui et moi. « comme une simple adolescente de 20ans et non…une future maman qui a déjà énormément vécu. » j’étais plus que fière de lui dire ça, car trouver quelqu’un comme lui n’était pas une chose facile et maintenant que je l’avais à mes côtés je n’allais pas le laisser partir. Je ne pouvais pas le perdre. Sans lui ça serait comme…devoir recommencer à me battre contre moi-même et surtout à me reconstruire. Oui j’en suis tombée amoureuse, follement.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptyJeu 14 Mar - 23:20



you could be the one, tonight

Lorsqu’on a trouvé l’amour de sa vie, on n’a plus envie de la quitter. Bon, je ne pouvais pas encore dire d’Aleyna qu’elle était l’amour de ma vie. C’est bien trop tôt. Notre, peut-être, future relation n’a même pas encore débuté. Mais, en tous les cas, il s’agit là d’une jeune fille que j’apprécie vraiment. Non vraiment. Vous savez, elle n’est pas ce genre de fille dont on ne fait que penser à son corps, bien qu’au début c’était ça entre nous. Lorsque je suis à côtés, je pense au simple fait de la rendre heureuse et de lui faire passer du bon temps. Et lorsque je ne suis pas avec elle, je pense à être avec elle, à lui préparer des rendez-vous parfaits. A l’enlacer, la sentir contre moi. Mes lèvres contre les siennes. S’il n’y avait pas eu toute cette histoire de défunt petit-ami, et de copine trompeuse, je lui aurais dévoilé, depuis un temps ce que je ressentais pour elle. Mais j’avais trop peur que ce soit toujours trop tôt. Comme si j’attendais un quelconque signe de sa part me disant que je peux enfin tout lui dire. Ce soir j’avais eu un signe, malheureusement pas le bon. Je n’étais encore qu’un ami pour elle. Tant pis. Je suis tout de même un ami extraordinaire, qui offre de telles soirées, juste comme ça, pour le fun. Ce qu’elle est gâtée la brunette. « Je ne serais pas totalement heureux, sans toi. Et c’est dur de choisir entre sa famille, et… toi. » Ouais ok, je n’avais pas su quoi utiliser comme mot. Choisir entre sa famille et sa chérie, sa famille et une amie. Ouais non ça ne colle pas vraiment avec ce que l’on est l’un pour l’autre. Du moins pour l’instant. Je le confesse, j’espère au plus profond de moi qu’un jour on deviendra un nous. Et plus, un toi et moi. « Mariage… ? Mhh… j’en ai peut-être fait un peu trop alors. » Ok, je l’ai fait exprès de dire ça. Pour la décevoir un peu. Surement. Comme elle a pu le faire avec son putain de mot « amis ». J’aurais voulu aussi lui dire qu’elle ne savait pas ce qui se passait dans ma tête lorsque je préparais de tels évènements, et que lorsque je souhaiterais faire ma demande au mariage, ça sera bien plus grandiose que cela. Ca se peut ? Ouais, je pense pouvoir le faire. Et elle le verra, si elle le souhaite. Mais déjà, il faudrait qu’on accepte, l’un l’autre, de se dévoiler totalement. J’aimerais dire se mettre à nu, mais pour cela, on n’en a pas vraiment de problèmes. « Oh je t’assure que les deux femmes de ma v… qui comptent le plus pour moi sont obligées de s’entendre. » Je me le répétais en boucle, mais si ça n’était pas le cas ? Et si au contraire elles ne pouvaient pas se voir ? J’en doute peu, car ma sœur l’aime déjà en fait. J’aimais parler de ça avec mon Al. Elle me rassurait, avec ses conseils. « Oh j’y ai pensé, mais c’est elle qui n’accepterait pas. » Elle est comme moi à ce point là. Elle déteste quand on l’aide financièrement. La seule fois où elle ne dirait pas non à mes parents, c’est lorsqu’elle déménagera quelque part. Tout comme moi je l’ai fait. Bien que j’ai remboursé mes parents depuis. Ils m’ont déjà tant donné, alors pourquoi leur en prendre encore alors que maintenant je suis un adulte. « Pour une, ou deux semaines, on ne sait pas encore. Et promis que je te rapporterais quelque chose mi corazon. » Et oui, j’étais bon trilingue. Français, anglais et espagnol. Comme la plupart des français en fin de compte. Bien que plus jeune, j’ai toujours préféré l’espagnol à l’anglais. Jusqu’au point de ne pas écouter en cours d’anglais. Cela m’a valu un très mauvais niveau d’anglais, mais je ne le regrette pas. Sans ces heures de perdues, Aleyna et moi on ne se serait peut-être pas recroisés ou s’intéresser plus à l’autre. Car oui, elle est celle qui m’a aidé avec mon anglais. Comme quoi, la vie fait vraiment bien les choses. On s’embrassera, et j’avais toujours cette impression de l’embrasser pour la première fois. Vous savez cette sensation que vous avez quand vous embrasser quelqu’un que vous aimez, pour la toute première fois. Cette sensation de bonheur, de maux dans le ventre, et de peur face à la suite. Je souris à sa phrase et lui répondit « Et moi à ta simple présence. » Pourquoi faire/dire plus compliqué alors qu’on peut aller droit au but. Bonne question, car ce n’est pas ce que je fais avec mes sentiments. Mais bon. On n’est pas parfait.

Après la surprise de l’hôtel, de la chambre, du bain, du coucher de soleil. Je lui avais préparé ce repas. Bon ce n’était pas parfait, pour que ce le soit, j’aurais du être celui qui avait cuisiné le repas, mais je serais le cuisinier un autre jour. Mais au moins, j’avais demandé un repas personnalisé. Simple, mais au niveau de l’endroit où nous étions. Un repas qui sonne bien avec l’environnement. « Tu es … resplendissante. Comme toujours. Et ça me va amplement. » Je la regardais de haut en bas, le sourire aux lèvres. J’étais plus qu’heureux de partager ça avec elle, et non une autre. « Tu as juste besoin de te sentir comme une jeune de vingt ans qui est aimée… » Je lui pris sa main, et l’invita à s’asseoir à la table où les plats étaient déjà installés. Des pétales tout le long de la table, j’en pris une et lu caressa la joue avec. Typiquement le genre de trucs stupides que l’on fait lorsqu’on est amoureux. Je me mis à en rire, nerveusement. « J’espère que tu as faim. » De mon côté, j’avais faim. Vraiment. Tout cela m’avait donné l’appétit. Et encore une fois, l’angoisse vint me frapper. Espérant que le repas lui convienne.
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MessageSujet: Re: you could be the one, tonight. ALEYCA you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 EmptySam 16 Mar - 18:36

Lucas éè Aleyna you could be the one, tonight. ALEYCA - Page 2 640759


Je n’aime pas me faire des films, je n’aime pas quand un homme est trop romantique mais il faut croire que mes hormones : elles, elles adorent. C’est vrai que je suis complètement perdue face à Lucas, que je ne sais pas si je dois aller dans le même sens que mes sentiments ou me réduire à écouter ma raison ? Il ne faut pas être né de la dernière pluie pour comprendre que Lucas est tombé amoureux et que c’est tout autant réciproque. On se l’était même, quasiment, avoué quelques temps auparavant mais la peur de l’engagement nous avait freinés. J’étais prête à m’engager mais je voulais que Lucas soit sûr de lui, je n’avais pas le droit à l’erreur, j’allais devenir mère. Je me devais donc de réfléchir pour deux maintenant et non plus égoïstement comme toutes ces filles adolescentes, je n’avais plus ce choix là. J’avais certainement grandis à un peu trop rapidement et peut être que c’était trop tôt mais je ne pouvais pas faire demi tour, c’est ainsi. La vie est faite d’imprévus et il faut savoir vivre avec. Je souriais avant de dire doucement à Lucas. « Ça me touche…énormément même mais, j’aimerai que tu réfléchisse pour toi et non en pensant aux autres. » Je ne pouvais pas dire ceci autrement, c’est vrai que j’étais touchée qu’il pense à moi et qu’il me dise ça mais, ma conscience me rattrapa bien rapidement. Je voulais qu’il pense à sa vie et surtout à sa famille avant de penser à une fille…surtout à moi. Oui j’aime l’engagement, j’aime le sérieux pour une relation mais je ne veux pas que ça aille trop vite, et à vrai dire…c’est certainement une chose qui pouvait me faire. La rapidité. J’avais fais une petite remarque sur le mariage et bien évidemment ce n’était autre que de l’humour…tout ça était bien trop pour moi, pour une simple ami dans mon genre mais il faut croire qu’il aime marquer des points et je ne peux guère lui en vouloir. Il est parfait dans ce domaine là, il sait comment me faire craquer. Je souriais légèrement gêné et je repris doucement. « Tout ce que tu as fait pour moi, ce soir comme les autres fois, me va droit au cœur et me touche…mais tu sais, tu n’a pas besoin de tout ça pour me rendre encore plus accroc à toi. » La simplicité, oui j’aime la simplicité et des fois c’est tellement mieux, mais tout le rendait beau et craquant. Je fondais en le voyant, littéralement. Je savais pourquoi il m’attirait autant et surtout comment je savais que ça pouvait être le bon. Il me rendait tellement folle de lui, physiquement mais aussi mentalement, il était aussi beau à l’extérieur qu’à l’intérieur…plus exactement à mes yeux et j’aimerai que ça ne reste qu’à mes yeux. Jalouse ? Peut être. Possessive ? Peut être. Pour me mettre mal à l’aise il fallait y aller assez fort, mais peut être qu’il trouvera un jour, peut être qu’il arrivera à me mettre mal à l’aise…qui sait.

D’ailleurs je ne savais pas ce qu’il pourrait faire pour me mettre mal à l’aise et cela m’amusais énormément, j’avais qu’une envie, qu’il arrive à me mettre mal à l’aise… Toujours comme ce début de journée, je le regardais avec un léger sourire et je fis tout mon possible pour ne pas penser à tout ce qui s’était produit dans ma vie depuis peu. Il ne fallait pas que j’y pense de peur que je flanche à nouveau et que je pleure…encore et toujours. Je secouais la tête légèrement avant de reprendre. « Que voulais-tu dire au départ ? » je savais très bien mais je voulais l’entendre de sa bouche mais je savais qu’il allait se défiler, il en avait l’habitude…quand un sujet le met mal à l’aise il change très rapidement. « Je ne savais pas que j’étais aussi importante à tes yeux. » dis-je timidement tout en le regardant dans les yeux et souriant légèrement également. Entendre ça fait toujours plaisir et je me demandais ô combien je pouvais compter pour lui, et surtout depuis combien de temps il avait ce genre de sentiments pour moi. Je voulais l’aider pour voir sa sœur plus souvent mais mon aide n’était pas réellement la bienvenue et je l’avais compris donc je ne voulais même pas revenir sur ce sujet, je ne voulais pas faire ma chiante et encore moins me prendre la tête avec lui si je me devais de forcer un peu le chemin. Je n’aime pas que l’on me fasse ça donc je n’allais pas le faire avec lui. La base. Ne jamais faire aux autres ce que l’on n’aime pas que l’on nous fasse, on ne vous l’a jamais dit ? Pensez-y maintenant. « ¿ Hablas español ? » Je fus surprise qu’il sache parler espagnol lui aussi, et c’était bien une chose que j’ignorais avant ce petit mot affectif qu’il m’avait dit. Je souriais en le regardant, ne sachant pas s’il allait jouer le jeu ou s’il allait tout simplement passer à autre chose, car oui…ce n’était pas très important comme sujet.

J’avais mis ma simple robe, celle que j’avais avant d’arriver et je mettais maquillée à nouveau, j’avais essayé de me faire jolie pour lui, pour qu’il me trouve tout simplement belle. N’est-ce pas le but recherché quand on passe la soirée avec un homme qui nous plait ?! J’étais à deux doigts de me mettre assise à cette table quand je lui fis mon plus beau des sourires lorsqu’il m’invita à m’asseoir à table. « Merci. » dis-je doucement, puis je pouvais voir dans ses yeux qu’il était content de cette soirée… « On dirait que tu as des étoiles pleins les yeux…je me trompe ? » puis je mis ma main sur la sienne lorsqu’il s’était assis en face de moi. Je caressais doucement sa main tout en le dévorant des yeux et de dire doucement. « Je ne sais pas si c’est à cause de tout ce que je ressens mais je n’ai pas énormément faim…mais j’ai hâte de pouvoir manger tout ce que tu me réserve. » Étais-je amoureuse ? Était-ce pour ceci que je n’avais pas une faim de loup ? Peut être…peut être.
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