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❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞

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MessageSujet: ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ EmptyMar 2 Oct - 21:11

❝ Je veux que tu lévites, que tu chantes de toutes tes forces.Que tu vives un bonheur délirant, ou au moins que tu ne le repousses pas. Je ne suis pas pressée. Je t'attendrai. Et je t'attendrai encore. Pour te voir, pour me sentir à nouveau heureuse. Heureuse comme un ciel au crépuscule. ❞

l'emmerdeuse et l'emmerdé ▶ Mon macbook pro délicatement posé sur mes genoux, je me moquai allégrement de l’audition de cette très chère Jordyn Foley (désormais surnommée pink girl par mes soins). ‘ Thank you for saying yes ‘ – ‘ I didn’t’. Simon Cowell était mon dieu et cette saison de X factor USA démarrait en trombe. Désireuse de me repasser pour la énième fois cette vidéo, un message de la part de mon ami magouilleur Cameron me coupa dans ma lancée. Cameron ou Simon ? Simon ou Cameron ? Cameron all the way. ‘Tu fais quoi ce soir magouilleuse ?’ Avais-je vraiment le choix ? Tout le peuple de berkeley devait se rendre à la soirée organisée par les omega, ordre du grand doyen. Brave petite fille, je comptais bel et bien obéir aux ordres de Fredericksen en me rendant à cette fameuse fête excepté …. Excepté que Reagan passait à la télé en tant que juge de X factor USA. Petit un, je ne pouvais manquer l’apparition télé de ma meilleure amie et petit deux, rater un épisode de mon émission favorite pour une soirée débauche semblait inconcevable. Imaginez si pink girl faisait une fois de plus son show ? Du coup, j’avais eu l’idée du siècle : honorer les jaunes ma présence le temps de quelques minutes avant d’aller prendre mes aises dans la chambre du grand doyen – et frère - Zachariah. Pouvant ainsi, admirer mon Simon et ma Reagan en paix. ‘J’ai un plan digne de nous à te proposer, appelle moi j’ai plus de crédit !’ Des étoiles dans les yeux, je savais par avance que son plan allait me plaire et je composai le numéro de Cameron sans attendre une seconde de plus. Team magouilleurs.
Désolé ma Reagan et mon Simon, ce soir je vous tronque contre une soirée en compagnie de mon Adriel Eynsford-Baxter, excepté qu’il ne le sait pas encore. Comme d’habitude. Il va s’en dire que Cameron avait eu l’idée du siècle et je lui en serai éternellement reconnaissante ! Ne t’inquiète pas, Ronron je compte te rendre la pareille un jour en te servant ma plus belle sur un plateau d’argent. Ou d’or parce que ma Riri elle vaut de l’or. Après tout, nos ‘magouilles’ concernaient uniquement nos deux plus fidèles alliés, j’ai nommé Adriel et Reagan. Au volant de ma somptueuse Beetle noire décapotable, je fredonnai l’air de la chanson ‘ tomorrow’ ( merci pink girl ) tout en me dirigeant vers la demeure Eynsford. J’aurais pu m’y rendre les yeux fermés tellement je connaissais le chemin sur le bout des doigts. Rien de plus normal lorsque l’on sort avec l’un des frères Eynsford, vous me direz. Bon d’accord, je n’étais pas réellement la petite amie du prince charmant de ces demoiselles en chaleur mais j’adhérai au fait que tout le monde le pense et y croit dur comme fer. Casser en un seul baiser Eleanorien les coups de messire Adriel était l’un de mes passe-temps favoris. Prince Charmant pas content et les groupies non plus. C’est rien, comme on dit le malheur des uns fait le bonheur des autres. Eleanore contente. Eleanore arrivée à destination. Klaxonnant un nombre incalculable de fois, je priai pour que majesté Eynsford-Baxter ne se fasse pas attendre et qu’il comprenne que son carrosse est arrivé. Magique carrosse conduit par une magnifique princesse. Descendant avec grâce de ma beetje, j’attendais impatiemment que ledit prince charming fasse son apparition. Et surtout, j’appréhendais sa réaction. « Surpriiiiiiiiiiiiiiiiiiise ! » m’ecriai-je lorsque grand seigneur daigna m’honorer de sa présence. Avoue tu ne t’y attendais pas hein. Je sais, Cameron et Eleanore sont les meilleurs pour les supercheries du genre. « Je suis ton chauffeur personnel ce soir et c’est moi qui me charge de te conduire à la soirée omega. » Sexy le chauffeur quand même, tu n’aurais pu rêver mieux. Au fait, je te conduits mais ce n’est pas tout… « Je m’auto proclame donc cavalière officielle de l’Adriel. » lançai-je avec un enjouement certain sans pour autant m’avancer dans sa direction. Cavalière officielle, validation et si Cameron était là, il penserait la même chose. Après tout, c’est ce que nous avions convenu. Préférant rester à l’écart le temps qu’Adriel comprenne ce qui est en train de lui arriver, je le contemplai minutieusement de bas en haut essayant de déceler ses pensées. En vain. Cependant, un détail ( et non des moindres quand on me connait ) attira mon attention, ce qui eut pour effet immédiat de me faire sourire. « En plus, nous sommes accordés ! Destin. » Le fait que ma jupe en sequin signée Balmain et ta chemise à carreaux soient dans les mêmes tons signifie probablement que nous sommes faits pour être ensemble mon Dridri. Tu ne peux pas lutter contre le destin, ni même contre le pouvoir des vêtements. « Et tu sais quoi ? J’y crois dur comme fer au destin ! » chantonnai-je l’air de rien, surtout maintenant à vrai dire. Soupirant, je remarquai qu’aucun de mes dires n’eut l’effet souhaité et que ce soir, arracher un sourire de l’Adriel relèverait du domaine de l’impossible. Ca tombe bien, j’aime les défis. Et celui-là est de taille. Reprenant mes esprits ainsi que mon air jovial, je m’avançai lentement vers monsieur blasé et me rendis compte que j’avais manqué à ma politesse. « Bonjour mon Adriel. » le saluai-je tout de même, déposant mes lèvres ‘glosées’ sur sa joue droite. Ö la belle trace rose. Magnifique. Décrétant que j’en avais fait assez pour le moment, je reportai le tendre baiser d’amour à plus tard. A plus tard quand il y aura plus de personnes, par exemple. A plus tard lorsque tu seras accompagné d’une magnifique jeune demoiselle mon Dridri. En tant qu’emmerdeuse professionnelle, cette soirée promettait d’être riche en émotions eleonoriennes et je promettais du grand spectacle. Au détriment de la vie amoureuse du Eynsford-Baxter, bien entendu. Me tenant à ses côtés – assez proche pour que mon bras frôle intentionnellement le sien- j’oubliai un instant de faire les présentations. « Adriel Eynsford-Baxter j’ai l’immense honneur de te présenter Beetlejuice. » lâchai-je d’un coup, posant mon regard sur ma beetle noire décapotable. Avoue Adriel, tu n’as qu’une envie, c’est de monter dans ma beetlejuice et tu avoueras par la même occasion que mon jeu de mots te fait mourir de rire. Beetle juice. Beetle juiceeeeeeeee.

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Adriel Eynsford-Baxter
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Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: Re: ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ EmptyMar 2 Oct - 23:08

❝.No se disimular las gotas caen por mi cara. En mi mundo esta lloviendo y no hay nubes.❞
FT. ELEANORE LA TOUR DUBOIS & ADRIEL N. EYNSFORD-BAXTER
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« .Je dois y arriver en avance ! Quelqu'un viendra te chercher !. » . Plait-il ? Voilà que je dévisageais mon panorama passer au rouge, avec en bande son, le bruit de ma voiture filant avec Cameron au volant. Et moi ? Je ne dois pas arriver en avance, même plus en avance toi, connard ? Je suis le doyen des Omega, impliquant que je devais être l'un des premiers à me trouver sur les lieux de la soirée. Mais non, évidemment, mon frère en décidait autrement en filant à l'anglaise au volant de ma voiture, me laissant miroiter dans ma fourmilière comme si ma présence était beaucoup moins importante que la sienne au sein du pavillon Oméga. Irrité de constater que mon frère jouait une fois de plus avec mes nerfs, mais surtout jouais une fois de plus avec ma voiture, je poussais un large soupir. J'avais la douce impression que dernièrement, tous essayait de me saboter. Très bien, allons-y, tendez moi tous des pièges, d'une manière ou d'une autre, un jour ils passeraient tous à la caisse et je compterais les fruits de leurs facéties comme des billets de banques. Me frottant les yeux, à la recherche d'une patience qui se faisait rare, je fis les cents pas dans mon living room, me questionnant sur l'identité du chauffeur que m'avait choisi Cameron pour la soirée. Avec lui je pouvais m'attendre à tout et n'importe quoi. Ou plutôt n'importe qui. Je me craquais les phalanges d'un geste vif et le réflexe suprême me laissa extirper une cigarette de la poche arrière de mon pantalon alors qu'en bas ma compagnie imposée se présentait enfin. Étape une, la clope à la bouche. Mes prunelles se déposèrent sur la baie vitrée, scrutant le contrebas avec anxiété, détaillant la voiture. C'est une fille. Étape deux, chercher le briquet dans la poche. C'est une fille en beetle noir, qui me klaxonne comme un malpropre pour me faire descendre. J'ai envie de mourir, mais avant, il me faut tuer l'indécente. J’attends que la demoiselle ne daigne sortir de sa voiture. C'est chose faite. Eleanore La Tour Dubois. Étape trois, embrasement. Long et profond soupir de détresse, clairsemé d'une fumée dense. Au fond, je le savais, leurs manigances idiotes et j'en passe, je commençais à en avoir une exécrable habitude. Contrarié, mais pas pour autant impolie, j'ouvris la porte, affublé d'un regard détaché. Sa joie de vivre me sauta au visage, m'étrangla presque. La mélopée assourdissante de ses jérémiades me donna envie de m'enfouir six pieds sous terre. J'étais tellement blasé, calme de nature. Elle était tellement enjouée, constamment heureuse. Nous étions deux opposés et là où j'eus envie de royalement l'envoyer chier, ma bienséance naturelle me força à au moins l'accueillir. « .Merveeeeilleuuuux !. » m'exclamais-je avec beaucoup, beaucoup, beaucoup moins d'entrain qu'elle, mais tellement plus d'ironie. Je n'aimais pas être la victime de ce genre de supercherie, jamais. J'étais en général le fourbe, le manipulateur, jamais le manipulé. Et dieu que cette place m'agaçait. « .Aujourd'hui c'est mon jour de chance on dirait. Saint Adriel. » déclarais-je à la suite de ces festivités. Ma cavalière officielle, tu parles. Je faisais cavalier seul, depuis toujours et pour toujours. Après tout, je ne me fermais pas aux possibilités, j'allais pouvoir choisir celle avec qui j'allais rentrer ce soir et n'allait pas m'en priver à m'enticher d'une cavalière. A moins que mademoiselle ne soit décidée à enfin dévoiler ses dessous ce soir. Là, nous pourrions rediscuter. « .Le retour de vos magouilles sera sans précédent. Tu préviendras mon frère que ça lui coûtera cher. Et toi je n'en parle même pas. » l'intimais-je d'une voix suave, terminant ma cigarette, jetant le mégot dans le premier pot de fleur qui croisa mon regard. La vengeance est un plat qui se mange froid et pour toi ma poule, ce sera glacé. Vérité étant, cela te coûtera ta petite culotte et bien plus encore. J'avais en tête toute une panoplie de scénarios, tous impliquant un sport soutenue, des draps de soies et zéro vêtements. Piégé pour un temps, mais le chasseur ne se laisse pas chasser, un jour elle succomberait. Comme toutes les autres. Je prenais Eleanore pour un challenge. Le plus chiant, le plus encombrant, le plus emmerdant de tous les challenge, en espérant qu'elle vaille la peine. Jusqu'au moment où elle aurait l'ascendant sur mes nerfs à me prendre pour un sac chanel et où je l'enverrais royalement chier. « .Devine quoi ? Si j'enlève mes vêtements, toi les tiens, nous serons toujours accordés. » l'annotais-je, toujours aussi ironique, lui adressant un regard appuyé d'un tas de sous-entendus. Oui, je me crois plus malin que les autres, j'aime te faire des sous-entendus là où tu préfères me prendre pour le dernier accessoire de mode en vogue. Ma chemise à carreaux assortie à sa jupe ? Rien à péter. « .Destin. » soufflais-je une fois qu'elle fut à mon niveau, me gratifiant de son bonjour et d'une touche de colle sur la joue que j'épongeais presque directement d'un geste sec. « .Tiens, tu sais dire bonjour normalement, je n'aurai jamais cru. » marmonnais-je, dépourvu de tout sourire, mais bel et bien d'un rictus sarcastique. Rictus qui s'intensifia d'un regard dirigé vers sa voiture qu'elle me présentait. Oh seigneur, elle a donné un nom à sa voiture. « .Enchanté. » grommelais-je, un sourcils froncé. Non, jamais, jamais, jamais, jamais. Hors de question que je ne pose mes fesses là-dedans. Jamais. J'ai dis jamais ? Alors jamais. « .Tu rêves éveillée, je préfère encore mille fois marcher plutôt que de monter dans ta voiture de Barbie. » dis-je d'un ton sans appel, détournant le regard de sa précieuse auto, esquissant d'ors et déjà un pas vers la route qui menait le plus rapidement à l'université. « .Beetlejuice, autant pour moi. » ajoutais-je. Sarcasme. « .Pour ma part, je marche. Mais si c'est trop pour tes talons, tu peux rester où tu es et attendre qu'on vienne te chercher. » dis-je, haussant les épaules. « .Ou bien marcher et prouver que tu es une vraie fille. » ajoutais-je, l'arrogance charmante, un rictus dessinant presque un sourire sur mes commissures insolentes. Parce que jusqu'à preuve du contraire, moi je ne suis pas sûr que tu en sois une. Arrête de faire la farouche, baisse ta culotte et montre à Prince Adriel que tu es une véritable fille.
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JE NE SAIS PAS CACHER LES GOUTTES SUR MON VISAGE. DANS MON MONDE IL PLEUT ET IL N'Y A PAS DE NUAGES
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MessageSujet: Re: ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ EmptyMer 3 Oct - 22:11

❝.And suddenly it happen. Something click. And you know that things are going to change. They’ve already changed.❞
Arrivée devant la demeure Eynsford, mon sourire taquin ne cessa de s’intensifier au fur et à mesure que j’attendais prince charming. Il n’allait pas être content, pas content du tout même. Et pourtant, j’en jubilais d'avance car, croyez moi, voir Adriel dans cet état vaut bien toutes les méchancetés du monde. Ce que j’aimais l’emmerder, j’adorais ça. Le faire sortir de ses gongs, lui si paisible et calme. Il était de loin ma cible favorite et je me donnais corps ( pas totalement, désolé Dridri ) et âme à ma mission. Sans aucune touche de narcissisme étant, toutes désiraient être moi. Toutes désiraient avoir l’honneur d’embrasser l’Adriel comme ça, d’un coup, en plein milieu d’un couloir. Toutes enviaient l’idée qu’il puisse avoir une copine officielle et que j’étais cette fameuse demoiselle. Parfois, je me demandais si ma tête ne se trouvait pas au centre d’un jeu de fléchettes ou mieux encore si ma photo ne se perdait pas sur une poupée vaudou ! Connasse de petite La Tour Dubois qui veut nous piquer notre Adriel. Moi, j’en rigolais dans mon coin, sachant que tout ceci était une mascarade que j’avais inventée de toute pièce. Bande de naïves va. Scrutant dans sa totalité l’Eynsford-Baxter, je remarquai qu’il faisait son … son Adriel, comme toujours. Aucun sourire sur les lèvres, ni même un merci. Merci ma très chère Eleanore de venir me chercher, c’est très aimable de ta part. « N’est-ce pas ! » ajoutai-je avec une légèreté certaine, contrastant avec l’ironie dont il venait de faire part. Bien sûr que c’était merveilleux Eynsford, certains tueraient pour être à ta place. Enfin je crois. L’écoutant d’une oreille attentive, je savais que ce soir je me heurtais à un mur de pierres mais ce n’était point ses menaces du genre qui m’intimideraient, loin de là. Il pouvait dire ce qu’il voulait, toutes les pires saloperies du monde, je me contenterai de le regarder impassible accompagné par mon légendaire sourire. Même pas peur du grand méchant manitou. Lorsque le prénom de Cameron fut évoqué ainsi qu’une possible magouille, je me mis à siffloter l’air de rien sans émettre une quelconque remarque supplémentaire. Grande chieuse peut-être mais loin d’être une menteuse. « Dis donc ! » lançai-je faussement outrée par ses propos. Adriel, encore un peu et je risquerai de croire que tu ne penses définitivement qu’à ça. Au sexe, s’entend. J’étais loin d’être une fille facile, pas très fan des coups d’un soir non plus, j’adorais me faire désirer et je ne comptais pas être ‘une de plus’ dans le tableau de chasse de prince charmant. Je valais bien mieux que ça. « Si tu daignes sourire t-o-u-t-e la soirée, on s’accordera peut-être de cette façon ! » Haussant les épaules, mes prunelles plantées dans les sienne lui lançaient un défi ou plutôt un deal. Tu me fais plaisir, tu souris toute la soirée et je te fais plaisir à mon tour par après. Souriant davantage, si je lui avais soumis cette proposition ce n’était pas pour rien. Je connaissais assez le spécimen pour savoir que monsieur Adriel ne sourit pas. Et encore moins toute une soirée. Et un point pour la La Tour Dubois. « Tu sais mon Adriel, je suis une personne normale et je sais faire les choses normalement ! M’enfin, puisque c’est demandé si gentiment. » Si gentiment que je me retournai dans sa direction et sans même qu’il ne s’y attende, je posai mes lèvres rosées sur les sienne. Tu voulais ton bonjour habituel ? Tu l’as eu. Un digne et tendre baiser Eleanorien, mieux qu’un baiser de cinéma, mieux que tout. Mais moins bien que ma Beetlejuice, ma voiture fraichement offerte par le daddy himself. « HEY ! Je t’interdis de parler de Beetlejuice de la sorte ! Et puis ce n’est pas une voiture de barbie. J’aime pas les voitures de barbie ! » me justifiai-je, tentant tant bien que mal de défendre ma beetle, la prunelle de mes yeux, mon nouvel accessoire de mode. Ne détrônant pas Adriel dans ma liste d’accessoires préférés, pour autant ‘Pour ma part, je marche.' Pardon ? Tu te fiches de moi là grand seigneur ? Je te fais l’immense honneur de venir te chercher avec ma somptueuse voiture et toi … toi tu préfères y aller à pied. Dois-je te rappeler que tu es censé être un prince charmant et donc, que tu es celui de nous deux qui doit venir prendre l’autre accompagné d’un cheval blanc. Et en prime il osait me mettre au défi avec son éternelle arrogance. « Je préfère attendre. » je préfère attendre quelqu’un de plus gentil et de plus attentionné que toi ! Le laissant continuer sa route, j’attendis qu’il se trouve à une certaine distance de ma petite personne avant de m’écrier. « Nonn je rigoleeeeeeee ! » bien sûr que je rigole, tu croyais franchement pouvoir te débarrasser de moi aussi facilement ? Inspirant une première fois, je me mis à courir dans la direction d’Adriel priant le bon dieu pour ne pas tomber dans ma course. Courir avec des louboutins ? Worst idea ever. Prenant mon élan, je sautai sur le dos de mon pseudo bien aimé, m’agrippant fermement à ses larges épaules. A défaut que princesse Eleanore n’arrive sur un cheval blanc à la soirée, princesse Eleanore fera son entrée sur le dos de prince Adriel. « Et pour ton information, je suis une vraie fille. Je n’ai juste pas envie de casser le talon de mes Louboutins préférées. Ce qui est tout à fait légitime de ma part. » soulignai-je totalement satisfaite de moi-même. Imprévisible étais-je, avoue tu ne l’avais pas vu arrivé ce coup là charming ? « A toi donc de me prouver que tu es un vrai homme Eynsford. Un vrai, un fort, un dur ! » montre moi donc que tu es assez fort pour porter majesté Eleanore sur ton dos durant tout le trajet. Facile pour un ténébreux prince comme toi, n’est-ce pas ? « Inutile de me faire une réflexion grossière sur mon poids, je suis en dessous de la moyenne j’ai déjà calculé! » précisai-je, ne sait-on jamais que monsieur déciderait de s’en prendre à mes formes ou à ma fausse lourdeur. Non je ne suis pas lourde et même si je l’étais, tout est dans le mental Adriel. Focus, tu peux le faire. Mon poing fermé, je levai mon bras vers le ciel et écria « Vers l’infini et l’au-delà ! » Adriel Eynsford-Baxter mieux que Buzz l’éclair.
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Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: Re: ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ EmptyMar 9 Oct - 11:37

❝.Listening to you has been enough suffering for all of us.❞
FT. ELEANORE LA TOUR DUBOIS & ADRIEL EYNSFORD-BAXTER
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Les probabilités pour qu'elle ne laisse tomber la ceinture de chasteté se soir se rapprochait, à mon sens, du zéro absolu. J'aurais plus de chance de dégrafer son soutient gorge par la pensée qu'elle de laisser tomber ses stupides envies de résister encore et toujours à la délicieuse tentation que j'offrais. Alors qu'elle ne mente même sur l'hypothèse de terminer la nuit en accord parfait niveau garde robe proche du néant, l'idée me laissa perplexe. Pas totalement fou, je haussais les épaules, la toisait d'un regard inquisiteur, pas convaincue trois secondes par sa déclaration et laissait alors ma pensée la plus brève, mais la plus concise s'échapper de mes lèvres : « .Menteuse. » sifflais-je d'un ton désintéressé. Pas née de la dernière pluie chérie, mais ce n'est pas grave, un jour ton tour viendra et ce soir je serais dans les bras d'une autre qui prendra grand soin de ma nuit là où tu maltraites mes journées, sous ton pif et je le vivrais merveilleusement bien. M'apprêtant à siffloter de satisfaction, le souffle coupée m'estomaqua, alors que de ses lèvres fruités elle m'agressait la bouche d'un baiser volé. Un jour, je finirais pas me blesser sérieusement les lèvres avec ces démonstrations idiotes. Poussant un grognement furibond, je portais le revers de ma main sur ma bouche, feignant l'impolitesse à essuyer le geste prétendu affectueux par un autre plus revêche. « .Seigneur, va falloir que vous arrêtiez toutes de faire ça, ça devient insupportable. » grommelais-je, vérifiant que blessure il n'y avait pas. Espèce de cinglée, j'aurais ta peau un jour ! Si autant, elle passait son temps à râler, emmerder le monde méchamment et tracer son chemin, au moins j'aurais la paix de me dire qu'elle ne viendrait pas me trouver d'elle-même, comme Manon par exemple. Manon fais la gueule, Manon ne viendra pas me chercher. Mais alors celle-là, elle venait au triple galop, un grand sourire carnassier sur le visage et … oh, celles-ci, ce sont les pires. Toutefois joueur, ma supplique introduisant ainsi qu'elle n'était pas la seule à s'adonner aux joies de surprendre le Adriel de baisers volés, je laissais le double planer quant à l'exclusivité de son geste. Ahah, tu n'es pas à la seule à m'embrasser à tout va folle, one of many ! Et encore, si elle m'importunait seulement d'une ritournelle de baiser, j'aurais très bien pu m'en contenter et même avec un sourire si l'envie me prenait. Mais la voiture, non, ça jamais. Qu'elle était utopiste d'avoir même pensé me voir grimper là-dedans. « .Pourtant tu en as une. » dis-je nonchalant, avant de tracer mon chemin directement vers l'université, seulement à quelques minutes de là, fort heureusement. Quinze minutes de marche tout au plus et je serais délivré de ce calvaire, purgerait ma peine au détour d'un cocktail qui me serait servi par moi-même, pour moi-même. Laissant mademoiselle sur le carreaux, je haussais les épaules et la saluait d'un geste de la main nonchalant alors qu'elle prétendait préférer rester. Bien, tu fais toute ma joie ma mignonne ! Joie de courte durée, mais trois secondes de bonheur étaient déjà ça de gagné, visiblement. « .Mais non, mais non ! Reste où tu es, attends donc là !. » lâchais-je magistral, presque désespéré sur la fin de ma supplique, tapant des pieds au sol avec force avant de reçevoir un colis express sur le dos. Non, alors ça, jamais. Elle grimperait sur mon dos un jour où je serais inanimé, inconscient, donc mort. Ou bien si elle voulait jouer aux chevaux, il y avait d'autres manières plus plaisante de s'exercer à l'art subtile de l'équitation. « .Descend de là. » pestais-je, entamant de la faire descendre en basculant de droite, à gauche, gauche, à droite. Mais c'est pas vrai celle-là ! « .Descend te dis-je ! . » dis-je plus fort et nettement plus agacé. Toutefois, dans mon rodéo improvisé, je remarquais que j'avais déjà fait un bout de chemin avec elle sur le dos. Putain c'est pas vrai, c'est pas vrai ! Levant les yeux au ciel, les dents serrées, je décidais finalement de tourner la situation à mon avantage. Ses jambes à demi nues de part et d'autre de ma taille, allons-y ! Je déposais des mains expertes sur ses cuisses, et lui adressait un regard suggestif et satisfait. Alors, l'arroseur arrosé ? Second froncement de paupière en vue, je poussais un soupir. « .Pour qui tu me prends ? Je ne suis pas un de tes one direction moi. » Oui ma fille, j'ai lu tes tweet, c'est grave. Évidemment que j'étais un vrai mec, fort et tout le tsoin tsoin. La beauté, la classe innée, l'éducation, ce n'est que la face cachée de l'iceberg ma fille, qu'est-ce qu'elle croit elle. Quant à la question sur son poid, cela ne m'avait pas traversé l'esprit, mais tant que nous y étions. « .Si tu es aussi bonne que Reagan en maths, on est foutus !. » plaisantais-je d'un ton sarcastique. Oh seigneur, qu'ais-je fais pour mériter ça. Heureusement, la fin de mon supplice se profilait au loin, alors que nous rattachions la maison Oméga à grandes enjambées – les miennes, pour le coup - . Ainsi, à quelques mètres de la maison, ne souhaitant pas être vu dans ce genre de situation, je décidais de mon stopper dans ma course déjà bien généreuse. « .Si Mademoiselle veux bien se donner la peine. » dis-je sobrement, d'un ton élégant qui m'était habituel. Non, tu ne veux pas ? Bien. « .Descend, avant que je ne te balance dans les buissons. » râlais-je promptement. Et ne pense pas que je ne le ferais pas, je le ferais avec un grand sourire ! Calqué sur le tien pour l'occasion. D'humeur fourbe, je décidais moi aussi de jouer de subtilité et de sournoiserie pour conclure cette intermède déloyale. « .Bien, je dois le concéder mademoiselle, tu es très en beauté et je suis honoré que tu m'aies accompagné jusqu'ici. » avouais-je d'une voix de velours. Non j'ai mentis, je ne suis honoré de rien ahah ! Le seul qui m'honore c'est moi ! Même si je n'avais pas menti, elle était très en beauté et c'est un regard bienveillant que je pu largement le constater. « .Et en gage de ma gratitude... » débutais-je, avant que mes doigts ne caressent sa joue avec candeur. Regard de braise, rictus cajoleur en commissures, le charmant dans toute sa splendeur. « .Laisse toi faire, ferme les yeux, ce n'est rien de plus qu'un baiser... » contais-je d'une voix sage, douce, suave. Un murmure supposé, un baiser donné en pâture à l'imaginaire. Et rien de plus ! L'imaginaire suffirait pour ce soir ! Affublé d'un sourire mesquin, je m'esquivais à notre proximité et filait droit vers la maison d'un pas décidé, lâchant presque un ricanement diabolique. L'arrogance, l'insolence pour débuter la soirée et d'un coup, je me sentis nettement mieux ! Il est tellement plus bon de vivre lorsqu'on est fourbe, sournois ! Charmant lorsque je le voulais, arrogant le reste du temps. Fondu parmi la foule Berkeléene, je pensais mon échappée efficace, même lorsque Camélia entama nos discussions de bienvenue. Toutefois éludant de lui raconter ma mésaventure et la façon dont j'avais conclus l'affaire, ne souhaitant pas elle aussi la faire couiner tout son saoul à son tour, je me contentais de me laisser vivre. Ahah cavalière de ce soir, oui oui oui. Je préférais encore passer une soirée à me saouler l'esprit sur du Laura Pausini plutôt que de devoir supporter sa voix stridente, ses effusions de joies et son sourire satisfait trancher ses commissures à chacun de mes grognements, aussi ravissante soit-elle lorsqu'elle souriait.
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MessageSujet: Re: ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ ❝ you sweetly smile, watch ahead, eveything's so enchanting. ❞ EmptyVen 14 Déc - 17:57

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