the great escape
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How dare you even suggest that I should care about your opinion ?

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MessageSujet: Re: How dare you even suggest that I should care about your opinion ? How dare you even suggest that I should care about your opinion ? - Page 2 EmptyVen 12 Oct - 17:33

Croyait il sincèrement que si elle avait eut une réelle attirance pour lui, elle se serait amusée à lui sauter à la gorge? Pour les personnes qu’elle désirait séduire, elle jouait d’autres cartes plus pratiques pour approcher. C’était souvent le cas des jeunes femmes qu’elle draguait. Malheureusement, la majorité était hétérosexuelle.

« Navrée de vous faire redescendre sur Terre mais il vous manque quelques rondeurs» Elle posa sa main libre sur sa propre poitrine pour qu’il comprenne exactement de quoi elle parlait. « pour me plaire ou m’exciter. Faudra se faire à l’idée que vous ne plaisez pas à tout le monde plutôt que de jouer avec des principes de psychologie de bas étage. »

Alors qu’elle se pensait enfin libérer de cette arrogance à outrance, son stylo lui explosa entre les doigts. Probablement qu’elle l’avait trop serré sous le joug de la colère. Quelle idée de s’acheter des vêtements aussi onéreux ! Avec 500 dollars, Aengus payait son loyer, sa nourriture et tout ce dont elle avait besoin pour vivre ! Si elle savait quel prix avait mit Joe dans sa tenue, nul doute qu’un rire se serait fait entendre ! Évidemment, il gérait mal son argent pour dépenser autant dans un bout de tissu ! Pourtant, elle avait bien assez d’argent sur son compte en banque pour dépenser bien plus. Sa petite famille ne lui avait pas apprit à balancer l’argent par les fenêtres comme le disait l’expression. Il est vrai qu’elle se fourvoyait et que Joe devait avoir l’air impeccable pour se maintenir dans son travail. Néanmoins, c’était une chose que la vie ne lui avait pas encore enseigné.

Payer ? Bien sûr. Elle payait toujours pour ses bêtises. C’était une habitude tenace que certains s’amusaient à lui remémorer ou à exiger. Dans un haussement d’épaule, elle s’apprêtait à sortir un papier pour lui donner son numéro. Le numéro de son fixe, bien entendu. Hors de question de s’amuser à jouer trop personnel avec ce type d’individu. S’assurer qu’il ne passerait pas chez elle en lui donnant son numéro de fixe et donc celui de son frère coulait de source. Ce type chassait tout ce qui avait un vagin. Malheureusement, elle en avait un. Alors qu’il parlait de dédommagement en nature, la blonde redressa le nez vivement. Pardon ? La colère causait bien du souci à l’étudiante. Ce ressenti balayait toute réflexion et retenue. Aengus devenait alors une simple pulsion. Or, il ne fallait pas être devin pour voir la colère posséder Aengus. Son esprit s’était donc arrêté aux premiers mots de la phrase. L'emportement, encore un défaut pour la blonde et un mauvais point pour elle. Bien sûr qu’elle n’avait pas les armes pour une joute verbale mais elle aimait ca. C’était formateur. Elle dû se faire violence pour ne pas lui coller sa main dans la figure ou simplement l’insulter de tout les noms d’oiseau et plus si affinité. C’était elle qui avait commencé la partie. Elle se sentait un peu comme dans un Monopoly ! Depuis le début de la partie, Joe achetait les cases et il était temps maintenant pour la blonde de payer à chaque avancée. Voilà qu’elle avait tiré une mauvaise carte chance. Alors que son regard étincelait de mile feux, elle grogna. Instinct naturel, on ne pouvait rien y faire. Parfois, Aengus s’apparentait plus à un Bulldog qu’à un être humain.

« Ah oui ? Et vous proposez souvent des dédommagements en nature ! C’est quoi cette lubie de traiter les femmes uniquement comme des objets sexuels ? »

Aengus inspira plus profondément avant d’avancer vers Joe Shark. Elle se doutait bien qu’elle ne serait pas assez impressionnante pour le faire reculer. Le doigt contre le torse, elle releva le nez sur lui. Foutu taille ! Pourquoi ne pouvait-elle pas être plus grande ? Mère nature ne l’avait pas gâtée ! C’était pas l’envie d’étrangler le professeur qui lui manquait, réellement pas ! Cette haine qui brillait dans ses yeux n’étincelait que pour Joe. Petit veinard ! Puis, d’un geste souple et rapide, elle utilisa son stylo pour gribouiller son numéro sur la chemise ou la veste du professeur.

« C’était hors de question que je gaspille du papier pour quelqu’un comme vous. » Pesta Aengus en refermant le capuchon sur la mine de son stylo.

Tant qu’à devoir payer, autant le faire pour quelque chose.

[HJ: si les actions ne conviennent pas ou si je suis allée trop vite, je peux toujours modifier. \o/ ]
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MessageSujet: Re: How dare you even suggest that I should care about your opinion ? How dare you even suggest that I should care about your opinion ? - Page 2 EmptyVen 19 Oct - 17:39



"Oh, cela fait partie des problèmes que j'ai déjà su esquiver." lançais-je avec un petit sourire énigmatique au coin des lèvres. Etait-ce le moment de lui parler de cette femme, homosexuelle pure et dure depuis des années, qui avait cédé au charme anglais de Joe Shark...? Oui, je parle de moi à la troisième personne, une nouvelle fois. Irrésistible. Voilà donc pourquoi elle était aussi portée sur le féminisme en règle générale : elle n'avait peut-être pas connu un homme qui lui fasse connaitre les vertiges de l'amour dans son lit. Un homme digne de ce nom, en tout cas. Sans réelle surprise, mon esprit purement compétiteur en la matière se trouva un défi pour le moins intéressante dans cette jeune fille aux cheveux improbables. Challenge accepted. Je ne me fixais pas de date ou de situation particulière, mais j'étais convaincu qu'elle finirait par céder en raison d'une seule faiblesse purement humaine : la curiosité. Elle voudra savoir ce que ça fait... quel goût ça a. Jack Sparrow, sors de ce corps.
De toute évidence, je venais de marquer un nouveau point dans le jeu "Rabaissons la femme à simple joujou pour garçon", puisque l'étudiante monta au créneau directement, et sans s'embarrasser de savoir qu'elle s'adressait à un membre de l'éminente équipe professorale de Berkeley. Oui, on se la raconte un peu sur les bords et même au milieu. Je m'amusais sérieusement de la voir aussi facile à manipuler lorsqu'on appuie sur les points qui lui font défaut, à commencer par la patience. Cette demoiselle au tempérament volcanique était bonne à piéger sur ses affects. Une proie facile pour un requin insensible tel que moi. Plus elle s'énervait et plus elle me donnait l'impression de s'intéresser à moi. Si elle avait simplement eu envie de me mépriser sans plus de cérémonie, elle ne m'aurait sans doute même pas adressé la parole. Mais là, elle perdait du temps à vouloir s'énerver. C'est touchant de voir que les jeunes ont si peu de self-control. La maturité ne s'acquiert décidément qu'avec l'expérience.

Je restais en revanche bouche bée devant les nouvelles marques qu'elle fit sur ma chemise, gribouillant sur moi comme si j'étais un vulgaire tableau. Je sentais le passage du marqueur sur mon corps avec une telle insistance que je comprenais fort bien son énervement. En baissant la tête, je vis qu'elle y avait écrit son numéro. Non, retiens-toi, retiens-toi, retiens-toi... "Donc vous préférez écrire sur ma chemise," Allez, retiens-toi, fais un effort, juste par respect pour... "Vous n'êtes pas la première, soit dit en passant." Eh non, c'est plus fort que moi. M'énerver n'aurait conduit à rien, et ce n'était pas dans ma nature purement britannique de m'emporter à la moindre contrariété. Tandis que rebondir sur les raisons de son énervement, là, ça me ressemble davantage. "Voyez-vous, j'ai eu à peu près tout. Rouge à lèvres sur le miroir et parfois même sur le torse, gravé sur le bois de mon bureau, le banal e-mail ou le mot glissé dans la poche, l'écriture sur vêtement..." Je continuais à énumérer toutes les techniques utilisées par ces demoiselles pour me laisser leurs coordonnées. Toutes véridiques. Et je n'en avais pas rappelé une seule... ça s'appelle un enfoiré de séducteur, dans le jargon populaire. Au terme d'une bonne minute de paroles sans discontinuer je consentais enfin à m'arrêter en prenant un air plus fier que jamais. "Ma méthode préférée reste encore le petit noeud en soie attaché à la petite culotte ou au string, avec le numéro dessus. C'est personnalisé, érotique... vous ne trouvez pas ?" Je posais mes yeux sur elle au niveau de ses hanches, très furtivement, avant de la regarder à nouveau dans les yeux. "Je ne traite pas les femmes uniquement comme des objets sexuels, cela dit. Les tables, il faut bien des personnes pour les débarrasser. Quant au ménage, ma foi, il ne va pas se faire tout seul."

Alors là, si avec ça, je n'arrive pas à provoquer une crise de convulsions à cette jeune étudiante... Je n'étais pourtant pas un macho complet car, si la demoiselle m'avait vu autrement que comme un élément négatif, elle aurait pu constater que j'étais un gentleman british parfait. Classieux et poli avec la gent féminine. Mais face à elle, j'aimais tout particulièrement en rajouter une tonne pour le bon plaisir de la voir s'énerver. "J'apprécie vos efforts pour me rembarrer, mais je pense que pour cette fois, il vaut mieux y mettre un terme. Toutefois, votre attitude ne trompe personne : je n'ai peut-être pas les rondeurs qui susciteraient votre désir, mais j'ai certaines autres formes qui pourraient révéler des désirs insoupçonnés contre lesquels vous voudrez lutter... La curiosité, mademoiselle, la curiosité." Sur ces bonnes paroles, je fermais ma veste avec dignité puis contournais l'étudiante en arborant ce même sourire en coin. Serait-ce la fin du scandale ou n'allait-elle pas abandonner de sitôt ?
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MessageSujet: Re: How dare you even suggest that I should care about your opinion ? How dare you even suggest that I should care about your opinion ? - Page 2 EmptySam 20 Oct - 19:26

Plus elle s’énervait et plus son accent irlandais refaisait surface. Vous savez ? Celui qui trou les oreilles comme le disent si bien les British ou qui transforme les « u » en « o », les « us » « ous ». Sa colère pouvait donc se mesurer à son accent.

Un problème ? Avait-elle entendue correctement ? Son homosexualité était un problème… Elle plissa le nez sentant une fureur peu commune lui brouiller les entrailles. Oh, elle savait parfaitement ce qui se tramait dans sa tête de mâle. Elle roula des yeux rien qu’à l’idée qu’il puisse croire que son homosexualité n’était que le fruit d’une frustration et non d’un réel désir pour les femmes et inintérêt pour les hommes. Il était vrai qu’il partait du principe que le monde tournait autour de son nombril. Impossible donc qu’elle ne puisse pas être intéressée.

« Oui, bien sûr… C’est un problème en plus » Ironisa t elle, une pointe sarcastique. « C’est bien connue qu’une femme uniquement attirée par les autres femmes n’est qu’un être qui n’a pas trouvé d’étalon assez viril pour lui faire connaitre les joies du sexe avec un homme. Oh pauvre petite brebis égarée que voilà. »

Un soupir de lassitude s’échappa des lèvres de la blonde tandis qu’elle jetait le stylo dans une des poubelles non loin! Au passage, PANIIIIIIIIIIIIIIER ! C’était typiquement masculin. Il fallait une excuse, une raison pour qu’une femme regarde ailleurs. Le mâle dans toute sa puissance ne pouvait supporter de ne plus exercer son pouvoir ancestral. Dans le principe, peut être que le professeur était ouvert d’esprit. Mais dans les actes, il semblait très fermé. C’était pour elle une façon de dénigrer ces choix autant que l’homosexualité féminine.

« Et en bon prédateur que vous êtes, vous vous faites déjà une joie de croquer la brebis éloignée du troupeau. C’est à peu de chose prés ce que pense tout les hommes.» Grinça t elle.

C’était un clichée tenace ! Image très peu flatteuse pour elle. Son énumération avait le don d’être aussi soporifique et inutile que son discours de prérentrée. S’il avait eut en tête de lui faire la liste des conquêtes qui avaient eut la naïveté de croire qu’il rappellerait… il pouvait la garder pour lui. Elle signait, ca ne l’intéressait absolument pas. Elle puisa dans toutes ses ressources pour ne pas lui hurler de se la fermer ou tourner les talons pour lui offrir son dos en contemplation. Et voilà qu’en plus il lui demandait son avis.

« Nous noterons donc que la principale innovation dans l’affaire c’est que ce numéro là, vous allez l’appeler et que vous n’aurez pas à faire d’effort pour vous remémorer mon nom. »

Les yeux se plissèrent sous le regard intrusif du professeur. Être rabaissé au niveau d’une tête de bétail que l’on évalue avant de l’amener à l’abattoir n’avait rien de plaisant. Le discours qui suivi manqua de faire friser la crise cardiaque à la jeune femme. Elle avait réellement envie de le cogner cette fois…Dans l’entrejambe de préférence. Elle allait éviter ce genre de démonstration en public et surtout avec un professeur. Quoiqu’il devait n’en avoir rien à faire des règles entre élèves et professeur pour arriver à se taper quelques minettes de son cours. Elle, elle voulait le taper tout court. Heureusement, le professeur mit fin à la conversation. Aengus se voyait déjà régresser quelques années plus tôt pour faire face à son paternel, imagine peu excitante et attrayante pour la blonde, bien au contraire. C’était le genre de discours qu’on ne se lassait jamais de garder sous le coude. Il prenait la poussière un temps, puis d’un coup de chiffon on le remettait au goût du jour. Finalement, les hommes étaient plutôt doués en ménage. Ils avaient inventés le chiffon dépoussiérant qui capture la poussière bien avant sa commercialisation. Finalement, elle aurait due lui donner un faux numéro. Savoir qu’il pouvait la contacter lui provoquerait presque un ulcère. Elle le détestait. Elle patienta donc qu’il avance devant elle pour prendre la même direction. Jusqu’à preuve du contraire, la sortie la proche se trouvait par là. Ne souhaitant pas frôler le harcèlement moral, elle instaura une distance avant qu’il ne disparaisse au coin du couloir direction l’escalier. Parfait, elle, elle prendrait l’ascenseur. Se glissant rapidement entre les portes qui se refermaient, elle se cala contre la paroi en saluant les personnes présentes. Un thé… Il lui fallait un thé ! Peut être qu’elle possédait un petit coté British aussi à penser que le thé pouvait résoudre tout les problèmes de l’univers. Ca devait être le genre de coutume inscrit dans les esprits à tout jamais. Anglais tu es née, du thé il te faudra consommer !

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Zachariah La Tour Dubois
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MessageSujet: Re: How dare you even suggest that I should care about your opinion ? How dare you even suggest that I should care about your opinion ? - Page 2 EmptyDim 21 Oct - 14:58

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