the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 20:12

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m4h7rtSi5e1ql6ucxo3_250Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_lzehvqnInu1ql6ucxo1_250

    La vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. Ca n’était pas toujours vrai. Rafael trouvait que parfois la garder chaude était bien meilleure. Son adversaire se doutait sans doute qu’on irait directement se venger, mais il manquait juste la façon de le faire. L’australien lui avait décidé de retourner voir Monsieur Lennox. Encore des contacts dans le milieu médical, il fit passer le mot et un médecin lui indiqua où il pouvait cet homme puissant. Le remerciant, il alla se changer. Passant une chemise blanche, un pantalon de ville noir, une veste noire et des chaussures de ville bien propres, il sourit en se regardant dans le miroir. Mettant son portable et ses clés dans une poche de sa veste et son portefeuille dans l’autre, il fila en ville. Arrivé dans un endroit très classe de la ville, il souffla face à la beauté du lieu. C’était le genre d’endroit qu’il ne fréquentait vraiment pas. De grands lustres qui tombaient du plafond, des décorations partout avec des peintures, des tableaux. Bref, beaucoup de richesses et visiblement pas mal d’invités aussi. Il était là dans un but précis et forcément, il avait fait en sorte qu’Aloysia ne soit pas présente. Il savait qu’elle avait cours et il en avait profité pour venir ici. Heureusement pour lui, pas besoin d’invitations et il vit rapidement l’homme qu’il cherchait. Attendant un peu, il attrapa quelques petits fours sur un plateau qui passait, avant d’aller voir l’homme.

    Monsieur Lennox ?

    Ce dernier se retourna et à son regard noir, il comprit qu’il l’avait reconnu.

    Pourrais-je vous parler en privé s’il vous plaît ?

    Il se montrait déjà plus civilisé que la dernière fois qu’il s’était vu. L’homme semblait hésiter et Rafael lui fit un léger sourire, avant de voir que son aîné acceptait, en marchant plus loin. Un bon premier point pour lui. Une fois dans un coin de la pièce, loin des oreilles indiscrètes, il présenta ses excuses à l’homme.

    Je suis vraiment désolé pour la façon dont je me suis comporté face à vous la dernière fois et encore de mettre comporté comme un véritable imbécile avec votre fille. Je suis sincèrement désolé.

    Tendant la main vers l’homme, ce dernier sembla le jauger quelques minutes avant d’accepter ses excuses dans une poignée de main franche et viril. Esquissant un sourire, il parla alors après de l’évènement auquel il participait ici. La conversation était agréable et fluide. Une bonne heure passa, avant que Rafael décidé de poser des questions sur Aloysia. A la première question, qui fut de savoir comment il pouvait faire pour accrocher l’attention de la jeune blonde, monsieur Lennox fronça les sourcils, avant de lui dire de faire en sorte de ne pas être un abruti. Ca au moins c’était dit ! Ils e mit à sourire, il l’avait bien cherché en même temps. Du coup, il décida d’être franc, seulement, il le fut trop rapidement et il fut mit à la porte. Soupirant, une fois dehors, il regarda son portable et décida de rentrer chez lui. Allant se changer à nouveau, il avait cours dans deux heures. Il avait eu le loisir d’aller déjeuner avec Lennox et il savait qu’il verrait la fille de ce dernier arriver dans pas longtemps. Allant donc en cours toute l’après-midi, il passa chez le traiteur du coin pour prendre son dîner qu’il avait commandé à l’avance. Commençant à manger tranquillement devant la télévision, il zappa avant de ne rien voir d’intéressant. Du coup, il fila dans sa salle de bain. Une bonne douche avant d’aller dormir ne lui ferait pas de mal. Il était encore tôt, mais vu qu’il n’avait pas envie de s’embêter devant la télé ou l’ordinateur, autant aller dormir. Une fois qu’il eu prit sa douche, il eu à peine le temps de se sécher les cheveux qu’il entendit sonner et frapper à la porte. Apparemment la personne semblait pressée. Surprit, il enroula la serviette autour de ses hanches, tant pis il n’avait pas eu le temps de se sécher. Ouvrant la porte, il regretta de ne pas avoir vérifié avant.

    Bonsoir. Tu étais de passage dans le quartier et tu t’es dis que tu allais passer ?
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 20:50

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m5v39pz9SC1ql6ucxo1_500

    Après l’épisode de la laverie, Aloysia s’accrochait au vain espoir que Rafael ne la laisse tranquille. Quelle naïveté ! Après une journée épuisante de cours où s’entremêlaient droit pénal et civil, l’ardente blonde ne rêvait que d’une chose : se caler dans son canapé et ne plus en bouger avant plusieurs heures. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque son père en personne se pointa chez elle, l’air visiblement contrarié. Il ne faisait jamais de visite surprise, il se débrouillait toujours pour appeler avant, fidèle à l’éducation stricte et respectueuse qu’il avait reçue. Ce qui lui avoua défrisa complètement sa fille, du reste : non seulement Rafael avait eu le culot de faire perdre son temps à son père, mais il était venu le trouver histoire de lui soutirer des informations, c’était clair !! Ni une ni deux, dès lors que son père eut quitté son auguste maison, elle bondit littéralement dans sa Porsche, tout juste vêtue d’un simple débardeur court et d’un short ne l’étant pas moins, se souciant peu de son habillage ou de sa coiffure. Pour sûr, elle allait lui faire la tête au carré histoire qu’il comprenne qu’il n’avait pas sa place dans son monde. En un rien de temps, Aloysia tambourinait vigoureusement à la porte, plus furieuse que jamais, ne cessant pas jusqu’à ce qu’il ne lui ait ouvert. Au départ, elle ne remarqua même pas la tenue étant la sienne, tant le discours qu’elle se répétait dans son esprit frappait ses tempes. Elle le poussa légèrement afin qu’il ne la laisse entrer et ferma la porte du pied sans même s’en rendre compte. C’était comme si elle était passée en mode pilotage automatique, comme à chaque fois qu’elle était mue d’une colère sans nom. Il n’aurait jamais dû la pousser à bout comme il venait de le faire. C’était stupide et très, très dangereux pour lui. « De quel DROIT tu te pointes pour gâcher le temps de mon père ?! Tu n’as rien d’autre à foutre de ta vie que de pourrir la mienne ? Je pensais avoir pourtant été claire, je ne veux plus jamais te voir dans mon existence, je veux que tu me foutes la paix, je ne veux plus entendre ta voix et je rêve que tu crèves six pieds sous terre pour t’apprendre la vie, pauvre minable !! Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour que tu m’entendes, que je paye quelqu’un pour te faire tuer ?! » Pour un peu, elle s’en serait presque crue capable, l’espace de quelques secondes, alors que sa respiration laissait clairement entendre les battements effrénés de son pauvre palpitant malmené. Ce fut à ce moment précis qu’elle vit la tenue étant la sienne à cet instant. Il n’était vêtu que d’une serviette, son corps encore dégoulinant d’eau, et si elle n’avait pas été si formidable actrice, probablement aurait-il pu discerner son trouble mêlé de désir tandis qu’elle le détaillait subrepticement. Cela ne lui dura pas plus de quelques secondes que déjà, elle relevait la tête et le fusillait à nouveau du regard. Il ne fallait pas qu’il ait le moindre pouvoir sur elle, sinon elle n’allait pas se retenir de lui coller à nouveau une droite.

    « Alors ? J’attends tes explications !! Tu as eu du bol que mon père ne te fasse pas tout simplement coffrer pour harcèlement, espèce de crétin congénital ! Franchement, je ne sais même pas pourquoi je te parle… Nom de dieu, les hommes, quelle sous espèce ! » Tant qu’il ne lui répondait pas, sa rage augmentait d’autant, et si cela continuait, elle allait littéralement péter une durite. Forcément, elle ne se retint pas de se diriger dans le salon, voir ce qu’elle pourrait y apprendre ou même peut-être y prendre en otage. Qu’il ne s’y trompe pas : elle préférait se taillader les veines plutôt que de lui faire le moindre cadeau. Il ne méritait aucune indulgence de sa part, après tout ! « Il faut que je te disloque la mâchoire pour que tu retrouves la mémoire ? JE T’ÉCOUTE J’AI DIS !! »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 21:28

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m4h7rtSi5e1ql6ucxo3_250Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_lzehvqnInu1ql6ucxo1_250

    Il ne s’attendait pas à la voir débarquer si tôt. Il aurait même pensé qu’elle allait attendre le lendemain pour le chopper sur le campus, mais visiblement elle ne pouvait pas attendre jusqu’au lendemain. En même temps, il devait avouer qu’il pouvait le comprendre. Se moquait d’elle à son arrivée, elle finit par le pousser et il se retrouva sur le côté, la voyant fermer la porte de son pied. Oh oui, elle semblait réellement remontée ! Ne disant rien, il la regarda et à l’écoute de ses propos, il savait qu’il risquait de passer par la fenêtre de son appartement, mais pas de son plein gré. L’écoutant avec attention, il restait là face à la jeune blonde, attendant qu’elle se calme et qu’elle est balancé tout ce qu’elle avait à lui dire. Elle le prenait vraiment pour un abrutit, mais il pouvait comprendre qu’elle soit remontée. La voyant finalement aller dans le salon, il l’entendait s’énerver encore plus. Heureusement pour lui, il n’avait rien de bien intéressant pour elle dans son salon. Bon d’accord, il y avait des guitares, ses violons et d’autres instruments sur lesquelles elle pourrait se faire la main, mais il devrait être plus rapide qu’elle. Il avait uniquement une photo de celle qu’il considérait comme sa petite sœur, dans sa famille d’accueil. Il n’y avait qu’une seule autre photo, dans sa chambre, sur sa table de chevet. Il s’agissait de la photo de ses parents biologiques. Entendant finalement la jeune femme lui hurler de parler, il ne pû s’empêcher de se mettre à rire. Il prit quelques secondes pour se calmer, avant de souffler doucement.

    Tu veux boire quelque chose ?

    Haussant les sourcils, il se mit à sourire avant d’aller vers sa cuisine.

    Je te signale quand même que je me suis excusé de mon comportement de la dernière fois face à ton père et qu’il l’avait accepté.

    Se servant un verre d’eau, il commença à en boire, en la voyant qui semblait fulminer toujours autant.

    Oh ça va, ça n’était pas méchant. Tu n’a pas arrêté de me dire que tu avais de pouvoir sur moi, alors il fallait que je fasse pencher la balance en ma faveur, mais il ne m’a rien donc je n’ai rien de plus que d’habitude à ton sujet.

    Finissant son verre d’eau, il regarda à nouveau la jeune femme.

    Tu comptes partir ou pas ? Non parce que j’aimerai bien finir de me sécher et aller dormir.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 21:52

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m5v39pz9SC1ql6ucxo1_500

    « Je veux bien un double scotch sec. Puisque tu m’as fait me déplacer jusqu’ici, tu peux bien me servir autre chose que du château la pompe à boire ! » Aloysia n’était pas calmée, loin de là. Elle tâchait simplement de se maîtriser pour ne pas lui sauter au cou pour l’étranger ou pire, prendre le premier couteau en vue de l’égorger. Il ne savait pas à quel point son geste l’avait mise hors d’elle. Ils n’avaient pas le même sentiment de supériorité, la même façon de voir le monde et de supporter les difficultés. Son père étant amiral, il ne pouvait pas se permettre de perdre un temps précieux en compagnie d’un jeune sot incapable de faire face à sa tempétueuse fille. Rafael était un combattant de seconde zone, en somme. Pas étonnant qu’il l’ait renvoyé sur les roses en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « abreuvoir ». Alors elle l’observait, narquoise, moqueuse et furieuse, se demandant si elle allait lui arracher la tête immédiatement ou, pour une fois, lui laisser le bénéfice du doute. « Tu sais que rien que pour cela je pourrais tout casser chez toi ? » Aloysia était non seulement inhumaine aux yeux de tous, mais elle passait pour une furie incontrôlable et bonne à enfermer, chose qu’elle n’était pas dans le tréfonds de son caractère. Avant du moins, elle ne se serait jamais permise de dévaster l’intérieur entier d’un appartement sous le fallacieux prétexte que sa famille avait été mise en cause. « Non content de pouvoir te défendre en mâle que tu devrais être, tu es allé voir mon père pour essayer de faire un coup bas ? Mon dieu, comment appeler ça… Ne pas en avoir du tout dans le pantalon et le ciboulot, peut-être ? » Ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait mieux le considérer ou même l’apprécier à quelque valeur que ce soit. A ses yeux, il n’était rien qu’un insecte qu’elle rêvait de réduire à néant à l’aide de son pied, ou à défaut d’une tapette à mouche afin de ne surtout pas tacher ses sublimes chaussures Jimmy Choo. Pour l’instant, elle tâchait de se contenir, mais avant même qu’il ne lui serve à boire, un élan de colère s’empara littéralement de son être, tel un souffle maudit contre lequel personne ne pouvait rien. Elle s’élança contre lui et sans lui mettre une droite comme la dernière fois, elle le gifla de manière plus féminine, en un joli claquement qui résonnait délicieusement dans ses oreilles. La proximité entre eux était telle qu’Aloysia en aurait presque été doublement troublée. Une chance qu’elle soit une actrice hors pair !! « Tu n’irais te sécher que lorsque nous aurons fini cette discussion ! Tu as de la chance que je n’aie pas envie de t’exploser tes charmants cadres sur la tête. Ta famille, peut-être ? Ils seraient tellement fiers de leur charmant bambin, c’est l’évidence même. Lui qui n’est même pas capable de se défendre, au point qu’il va importuner un éminent Amiral… Je n’ai même pas de mot tellement tu es pathétique ! » Jamais elle ne l’appelait par son prénom. Cela signifierait une bien trop grande proximité intellectuelle, chose qu’elle refusait de leur « offrir ».

    « Ce scotch, je l’attends toujours. Tes invités sont décidément bien mal reçus en plus de tout le reste ! » Elle n’avait aucune envie de rester, qu’il ne se trompe pas. Mais si elle le faisait, c’est pour s’assurer qu’il ne recommencerait pas son petit manège et que son père ne serait plus jamais importuné par sa bêtise. Vaste programme ! « Après tout, si tu chopes la grève, ce n’est qu’un juste retour des choses. Tu pensais sincèrement que mon père serait suffisamment idiot pour te dire quoi que ce soit sur moi après tes pâles excuses ? Tu insultes son intelligence ! » Aloysia s’écarta brutalement de lui, évidemment. Après tout, il était toujours en serviette et sa propre tenue n’était pas nécessairement autre chose qu’un appel à la chair. Autant prévenir que guérir, avec ce loustic en culotte courte !!
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 22:13

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m4h7rtSi5e1ql6ucxo3_250Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_lzehvqnInu1ql6ucxo1_250

    L’entendant dire que finalement elle allait prendre quelque chose à boire, il eu juste le temps de sortir un verre qu’il posa sur le comptoir de sa cuisine. L’entendant parler du fait qu’elle pouvait tout balancer chez lui, il hocha la tête positivement.

    Je sais, mais tu sais aussi qu’il suffit que je cherche pour savoir où tu habites pour te rendre la pareille.

    Souriant, quoi qu’il serait plus du genre à lui prendre des affaires pour les mettre ailleurs. Que tout soit propre malgré tout, mais qu’il range les vêtements dans la cuisine et la vaisselle près de la machine à laver.

    Oh tu crois vraiment que je n’ai rien ? En même temps tu n’as qu’à tirer sur le nœud de ma serviette pour toi et je te rappelle juste pour information que c’est toi qui ne veut pas voir ce qui se trouver dans mon pantalon, comme tu le dis.

    Haussant les épaules, il lui demanda si elle comptait partir parce qu’il aimerait bien aller se sécher et aller dormir, seulement, elle vint le gifler et il leva les yeux au ciel et soupirer. Mais, il se crispa quand elle parla de sa famille. Voilà un sujet épineux et il n’avait pas du tout envie qu’elle parle d’eux. La laissant quand même faire, elle finir par parler de la boisson qu’elle avait demandée et qui n’était toujours pas arrivée. Retournant dans la cuisine, il lui servit donc son verre, avant de l’entendre parler et de sourire.

    Je ne m’attendais pas à ce qu’il me dise quoi que ce soit. Je savais que je pouvais me heurter à un mur, ça a été le cas, mais il fallait que je tente le coup.

    Lui donnant son verre, il la regarda à nouveau. Puis, il se retourna pour aller vers la cuisine et il enleva la serviette qu’il avait autour des hanches, se séchant le torse. Il alla ensuite se prendre un soda qu’il ouvrit et il le posa sur le comptoir. Allant dans le salon, il attrapa quelques trucs qu’il avait laissé en plan et qu’il commença à laver tranquillement. Puis, sentant que ses cheveux avaient encore de l’eau qui coulait dans son cou, il sécha le tout avec sa serviette. Se séchant d’une main, son soda dans l’autre main et allant vers le salon où la jeune femme se trouvait toujours, il la vit qui le regardait.

    Quoi ? Je suis chez moi, je fais ce que je veux.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 22:42

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m5v39pz9SC1ql6ucxo1_500

    Pour une fois, Aloysia ne répondit pas immédiatement à cette évidente attaque, et fut même surprise qu’il ne lui serve effectivement un verre de scotch, comme si elle était invitée chez lui et donc la bienvenue. Elle n’y toucha pas tout de suite, le respirant et le regardant sous toutes les coutures au cas où il y ait mis du poison. Elle n’avait pas l’esprit net depuis quelques minutes, et il y avait fort à parier que cela ne risquait pas de s’arranger. Elle l’écoutait s’exprimer et plus les secondes filaient sur le cadran, plus elle avait envie de l’étrangler. Elle ingurgita finalement l’intégralité de son verre cul sec, sans avoir la bonne idée d’en redemander un, et heureusement : elle aurait risqué de s’étrangler avec alors qu’il revenait complètement nu vers le salon, sûrement en vue de la provoquer. Parfait ! Puisqu’il le prenait ainsi, alors elle allait lui offrir une seconde douche froide, comme s’il n’avait pas compris la première fois qu’elle s’était attelée à cette lourde tâche… « Tu as tout à fait raison. Mais comme je n’ai pas à supporter ta bêtise ET ta nudité insupportable, tu m’excuseras mais je passe mon tour. A moins que tu ne veuilles risquer que je ne te vomisse dessus, mais j’en doute ! » Aloysia le toisa narquoisement quelques secondes avant de passer par l’entrée et de claquer violemment la porte derrière elle. Décidément, les voisins allaient finir par se poser des questions à force d’entendre tout ce raffut et cette voix féminine s’élever régulièrement dans l’atmosphère ! Mais contrairement aux idées reçues, la jeune femme n’avait aucune envie de se repointer à l’appartement de Rafael de sitôt. Elle préférait s’en tenir éloignée le plus longtemps possible, et ce fut pourquoi elle retourna à sa voiture en vue de conduire de manière toujours aussi dangereuse, à l’image de toute cette colère qu’elle ne parvenait pas à évacuer ou à contrôler. Une presque chance que Rafael soit si calme, sans quoi, il aurait probablement pu lui démonter la mâchoire un bon nombre de fois. Ceci étant, sa conduite ne parvint pas à la calmer, bien au contraire. Elle prit soudainement une sortie, sans clignotant, se faisant klaxonner comme jamais et elle réalisa à ce moment là. Aujourd’hui, c’était l’anniversaire de la mort d’Amaury. Un jour important, un jour de deuil, et elle l’avait gâché à se chamailler bêtement avec cet abruti congénital… Au départ, elle fut tentée de faire demi-tour pour lui démonter la tête, mais l’émotion s’empara littéralement de son être, l’empêchant de penser à toute vengeance. Ce fut sans doute pourquoi elle fit effectivement demi-tour, se garant juste devant chez Rafael après avoir roulé des heures durant, avant d’être surprise par la pluie. Aloysia y demeura de longues minutes, suffisamment pour finir trempée, avant de retourner tambouriner à la porte de Rafael. Sauf que cette fois-ci, elle était trempée, en larmes, complètement bouleversée par la prise de conscience qu’elle venait d’avoir. Cette image terriblement humaine, presque fragile, d’Aloysia était aussi effrayante que magnifique. Il allait probablement croire à un rêve, un cauchemar ou à une mauvaise blague. Mais à peine eut-il ouvert sa porte, à trois heures trente du matin, que la demoiselle se rua pour s’emparer de ses lèvres avec cette fougue, cette puissance qu’elle avait toujours eue.

    Ce n’était pas une marque d’affection, loin de là. Plutôt un moyen comme un autre de contenir, de passer la foule d’émotions incontrôlable qui la secouait de part en part. Aloysia était incapable d’arrêter de pleurer ou de trembler. Mais la fougue qu’elle mettait dans ce baiser ne pouvait que faire naître un désir sans nom chez n’importe qui, tant elle y mêlait force et fragilité. Une chance qu’il ne dorme qu’avec un caleçon et un t-shirt, car elle venait de lui ôter le haut pour mieux caresser son torse du bout de ses doigts. Ses gestes étaient précis, brûlant de désir et elle ne le laissait guère reprendre son souffle. Leurs langues s’adonnaient à un ballet particulièrement vigoureux tandis qu’elle venait d’ôter son propre débardeur, complètement trempé. S’il la repoussait, elle serait brisée. Sans savoir pourquoi, ce n’était vraiment pas le moment de la repousser alors qu’elle était en larmes et d’apparence fragile… Il le regretterait ! « Tais-toi » osa-t-elle préciser pour qu’il ne gâche pas ce moment en devenant soudainement cérébral.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMar 19 Juin - 23:14

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m4h7rtSi5e1ql6ucxo3_250Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_lzehvqnInu1ql6ucxo1_250

    Vu que madame voulait rester chez lui, elle n’allait pas être choqué le fait qu’il se balade nu. Se séchant les cheveux, il l’écouta parler et il se mit à sourire avant de la voir claquer la porte. Ah bah voilà ! Il avait trouvé la façon de la faire partir. Se mettre nu était le truc à faire. Il le saurait désormais. Buvant de son soda, il se mit à sourire et partit vers sa chambre. Finalement, il prit quelques minutes pour regarder ses mails, au cas où. Puis, il alla remettre son pc sur son bureau et revint dans la chambre, finissant son soda rapidement, allant le lancer à la poubelle et il revint dans sa chambre. Lançant la serviette mouillée dans la salle de bain, il passa un caleçon noir et un tee-shirt. D’habitude il dormait nu, ou alors juste avec un caleçon, mais il avait bien envie d’aller courir demain matin, donc il n’aurait qu’à passer un pantalon. Allant sous ses draps, il éteignit les lumières et tenta de trouver le sommeil. Il y parvint assez facilement, seulement, il fut coupé en entendant du bruit. Soupirant, il regarda l’heure, puis, il se leva avant d’aller vers sa porte. L’ouvrant, il vit alors Aloysia et il fronça les sourcils, avant qu’elle ne se jette sur lui pour l’embrasser. Sur le coup, il profita du fait qu’elle l’embrasse et qu’elle le déshabille, mais il voulu en placer une quand même, mais elle lui demanda de se taire. Le faisant, il referma la porte de son appartement et il vint l’y plaquer. Continuant de l’embrasser, il sentit la peau de son ventre sous ses doigts. Il savait que quelque chose n’allait pas, il le voyait avec la tête qu’elle faisait et le fait qu’elle soit trempée. Elle ne serait pas restée sous la pluie pendant des heures pour rien.

    Passant ses mains vers la fermeture éclair de son short, il l’ouvrit et le fait descendre le long de ses jambes. Puis, il se colla à nouveau à elle, l’embrassant encore et attrapant ses cuisses, pour la porter jusqu’à sa chambre. Une fois à l’intérieur, il l’amena jusqu’à son lit et il l’allongea, se mettant sur elle. Faisant en sorte qu’elle soit nue sous lui, il voyait bien qu’elle ne voulait pas attendre, mais il avait envie de jouer. Après si elle ne le voulait pas il savait qu’elle pourrait toujours prendre le dessus. Il descendit ses lèvres vers la nuque de la jeune femme prenant son temps, avant de descendre vers sa poitrine. Prenant son temps, il caressait en même temps ses hanches. Puis, il descendit vers son ventre, jetant un coup d’œil vers le visage de la jeune femme pour voir si ça allait ou si elle en avait marre que ça n’aille pas plus vite. Descendant ensuite vers ses cuisses, il les caressa avant de remonter vers son intimité. Jouant alors de ses lèvres et de sa langue sur elle, il sourit, la sentant se contracter, puis se détendre. Après tout, elle était là, elle était venue vers lui, alors autant qu’elle puisse en profiter. En temps normal, il n’aurait pas été tendre ou gentil avec elle, mais il voyait que quelque chose clochait, vu la conversation qu’il avait eu juste avant. Alors, il pensa d’abord à elle, chose nouvelle pour lui.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMer 20 Juin - 10:01

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m5v39pz9SC1ql6ucxo1_500

    Pour être paumée, Aloysia l’était. Ses souvenirs se bousculaient à ses sentiments hautement chaotiques, comme si d’ici quelques minutes, plus rien n’aurait d’importance. L’ardente blonde semblait embrasser Rafael et lui voler son air en même temps, il fallait qu’elle respire, qu’elle cesse d’être étouffée par ce décès tragique et tout le ressenti qui en découlait. L’anniversaire de sa mort. Il n’existait rien de plus triste dans la mémoire d’Aloysia, tant et si bien qu’elle laissait ses larmes couler librement, sans retenue, et s’apprêtait à se donner à l’homme qu’elle disait tant détester. Pourtant, ses gestes étaient précis, assurés, brûlants même. A chacune de ses caresses, bien qu’il prenne tout son temps pour la punir sûrement de tout ce qu’elle lui avait fait subir jusqu’à lors, elle se cambrait littéralement, sa peau frissonnant violemment sous ses doigts. Elle poussait même quelques petits cris manifestes, qu’elle faisait taire en s’emparant à nouveau de ses lèvres avec une avidité qu’elle ne se connaissait pas. Elle si froide, si maîtrisée en la matière, elle ne comprenait pas ce soudain feu la consumant littéralement. Bien que l’attente que lui faisait subir Rafael soit tout bonnement insupportable, elle ne s’en plaint à aucun moment. Il pouvait continuer toute la nuit durant, tant qu’il lui faisait oublier ce dont elle ne voulait surtout pas se rappeler, c’était bon à prendre. Aloysia se savait à deux doigts de perdre littéralement l’esprit, et bien que son plaisir soit évident, ses larmes ne cessaient pas de couler. Les souvenirs en compagnie d’Amaury ne cessaient de défiler dans son esprit, comme une ritournelle infernale dont il est impossible de s’extirper. Elle passa donc le plus clair de son temps à repousser Rafael pour mieux coller son corps au sien ensuite, comme si elle savait qu’il finirait par la repousser mais qu’elle voulait frapper en premier, comme toujours. Finalement, quand elle fut complètement nue, elle considéra qu’il n’était plus temps de faire machine arrière. Elle s’en persuadait si fort qu’elle n’en trembla que plus, jusqu’à ce que ses membres musclés et frêles en même temps ne maîtrisent soudainement la présence de Rafael. Elle venait soudainement de le pousser, sans forcément y mettre de violence, en s’écriant : « ARRÊTE ! » Qu’il n’aille pas s’imaginer qu’elle en avait après lui, car pour une fois, ce n’était pas le cas. Toute cette colère, cette culpabilité étaient dirigées vers elle uniquement. Qui punissait-elle à chaque fois qu’elle se mettait quelqu’un à dos ? Qu’elle était odieuse ? Elle. Pourtant, elle ne changeait pas. « N’approche pas » déclara-t-elle d’une voix brisée, étranglée par les longs sanglots qui refusaient de s’arrêter de couler. Comme elle aurait aimé pouvoir prendre toute une boîte de cachetons histoire de ne plus rien ressentir, d’être amorphe le temps que cette journée soit définitivement derrière elle. « Ne me regarde pas !! » poursuivit-elle, les membres tremblant désormais comme des feuilles mortes et pourtant semblable à une véritable œuvre d'art. Mais cet éloignement ne pouvait pas durer. Les sentiments dans le cœur d’Aloysia étaient trop forts pour qu’elle ne les contienne en étant simplement odieuse avec autrui. Il lui fallait un exutoire d’urgence…

    Il ne se passa que sept minutes très exactement avant qu’elle ne recolle son corps à celui de Rafael, une fois sa petite crise passée. Ses lèvres étaient plus avides de contact que jamais, et ses doigts n’hésitèrent pas à griffer littéralement tout le dos de Rafael afin de l’inciter à augmenter la cadence. S’il continuait à jouer ainsi avec ses nerfs, il y avait fort à parier que le petit coup de calgon semblable au précédent reviendrait, mais l’inciterait cette fois-ci à ramasser ses affaires et à prendre la tangente, comme elle l’avait si bien fait la dernière fois qu’ils avaient été dans la même position. « Tu as l’intention d’attendre Noël ? » balança-t-elle sans douceur, avant de lui mordiller plutôt violemment l’oreille, tout en sachant pertinemment qu’il s’agissait là d’un point particulièrement sensible chez lui et que cela n’allait que l’inciter à l’écouter. Elle était là, à sa merci, presque sans défense, et il n’en profitait pas ? Il devait être malade des boyaux de la tête…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. EmptyMer 20 Juin - 21:25

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_m4h7rtSi5e1ql6ucxo3_250Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Tumblr_lzehvqnInu1ql6ucxo1_250

    Rafael n’avait pas besoin de douche froide d’un seul coup. Non, la jeune femme venait clairement de la lui donner. Elle venait pour lui crier dessus, chose qu’il comprenait, vu qu’il avait été revoir son père. Puis, elle avait semblé choqué qu’il se balade nu chez lui. Mais là, elle revenait et se jetait sur lui. Il n’avait absolument pas comprit ce qui se passait et il avait faillit l’arrêter, mais elle lui avait dit de ne pas le faire et il en avait alors profiter pour aller plus loin, il l’avait même déshabillée, près à aller plus loin, mais elle l’avait repoussée d’un seul coup, s’en aucun explication. Elle criait même et il resta là, la fixant. Oui, il avait bien vu que quelque chose n’allait pas, mais delà à ce qu’elle le repousse ainsi et qu’elle reste là surtout, il ne comprenait vraiment rien. Elle semblait vraiment remontée, elle l’empêcher de l’approcher et même de la regarder. L’australien tourna la tête, s’asseyant sur le lit et soupirant. Se passant une main sur le visage, il ne savait pas ce qu’il devait penser de tout ça. D’un côté, il pouvait la mettre dehors pour l’avoir encore allumée, mais d’un autre côté, il voyait que ça n’allait pas et il n’avait pas envie de la laisser partir seule, dans cet état. Qui sait sur qui elle allait tomber. Même si elle savait se défendre, il savait que dans l’état dans lequel elle était, elle ne pourrait pas se défendre convenablement. Soupirant à nouveau, il s’allongea sur son lit, à côté de la jeune femme, mais il ne dit rien. Croisant les bras sur son torse, il resta là un moment, attendant un geste ou une parole de la part de la jeune blonde, mais cette dernière ne bougeait absolument pas.

    Il pensa à parler, mais il se disait qu’il était nu et donc en mauvaise position si elle venait à lui taper dessus. Seulement, elle se rapprocha à nouveau de lui et l’embrassa. Il ne comprenait décidemment rien à ce qui se passait mais il se retrouva sur la jeune femme à nouveau. Il sentait les ongles de cette dernière dans son dos, qui lui faisait clairement comprendre qu’elle avait besoin de s’accrocher à quelque chose. Il ne savait pas pourquoi elle faisait ça, mais il n’était pas du genre à la forcer et si c’était le cas, il n’avait pas envie qu’elle le regrette. Seulement, il ne pû s’empêcher de sourire à la question qu’elle venait de lui poser et ce fut la seule chose qu’il ait eu besoin d’entendre pour savoir qu’elle n’était donc pas contre. Seulement, il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que dès que ça serait terminé, elle risquait de lui en vouloir et surtout de faire en sorte de rester loin de lui. Ca ne le dérangeait pas particulièrement, mais il aurait préféré l’amener là d’une autre manière et surtout lui prouver qu’elle n’avait pas pû résister, alors que là il ne savait pas pourquoi elle était là.

    Tu sais que parfois, tu devrais prendre ton temps, ça peut être très bon aussi.

    Il venait de lui parler à l’oreille et il entra alors en elle. Vu ce qu’elle avait dit, il ne devait sans doute plus attendre, sans quoi elle allait lui faire manger son oreiller et il en profita avant de commencer à se mouvoir en elle.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty
MessageSujet: Re: Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Nous ne savons jamais de quoi demain est fait. Empty

Revenir en haut Aller en bas

Nous ne savons jamais de quoi demain est fait.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Sujets similaires

-
» NEELA ★ Ce qui est vrai, c'est que tu ne sauras jamais de quoi demain peut être fait. Ni aujourd'hui.
» Joyeux Noel et maintenant on fait quoi nous ?
» On ne fait jamais assez attention aux gens qui nous entourent
» ANDREAS&MAËLLE • « on dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer, et nous devons changer les choses nous-mêmes. »
» Atha&lenn ○ À jamais à toi, à jamais à nous.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-