| | | Le goût de l'interdit -hot- (PV) |  |
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| Auteur | Message |
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Invité Invité
 | | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Mer 21 Mar - 17:08 | |
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Je l’avais suivi, étais monter dans sa voiture, avais attaché ma ceinture de sécurité lançant un flot de mots pour affirmer qu’il fallait « approfondir « cette conversation forte intéressante, je pus voir dans son regard et ensuite sur son visage une once de satisfaction. L’interdit si proche et si tentant, ne faisant que survoler l’un et l’autre pour le moment mais où l’envie était grandissante, me demandant comment il serait possible de faire encore grimper la température.
Lucas, s’engagea donc sur la route menant jusqu’à un hôtel peut-être ou encore chez lui ? Je n’en savais rien au final mais la soirée serait tout autant excitante en bien des points et sur divers plans…
« Je suis tout à fait d’accord avec toi…mais peut-être pourrions-nous stopper les professeurs pour la nuit non ? »
-Peut-être…
Je fis une légère moue, telle une enfant avec ce même air qu’il venait de prendre un air taquin et amusant avant de le regarder d’une toute autre manière, avec plus de choses non-dites…
« A moins que cela ne soit sujet à l’excitation ? »
-Il nous faudra voir cela, ce soir c’est tout de même jouer avec le feu tu ne trouves pas ?
Je sentis sa main se poser sur ma jambe, ou je lui lançais un sourire me tournant de trois quart vers lui, toute souriante, avec un air mystérieux tout de même, me demandant comment cela allait se passer mais surtout espérant ressentir cette même sensation que tout à l’heure lorsqu’il m’avait plaqué contre ce mur de la ruelle, ou j’eus frémis de tout part. Mais sa main remonta le long de ma cuisse, oh Ciel ! S’il ne conduisait pas, je crois que j’aurais pu lui sauter dessus ! Il me désirait, je le désirais, cet interdit si proche et si enivrant ! À peine étions-nous parti de quelques minutes du quartier voisin que cela semblait une éternité !
15 minutes plus tard laissant l’esprit divaguer que nous arrivions dans un parking sous-terrain, semblant désert d’ailleurs, bien que normal à cette heure tardive, où l’on ne tenait plus dans cette voiture tant l’ambiance devenait insupportable dans le sens où il nous tardait d’être pus libre de nos mouvements, que descendre du véhicule était tel une délivrance. En parfait gentleman, Lucas vint m’ouvrir la porte de sa voiture ou il me prit la main une fois les portes de l’ascenseur vers lequel nous nous étions dirigés, m’attirant à lui, contre lui, pour mieux me plaquer de nouveau contre la paroi froide de ce petit espace qui allait nous faire monter au 7ème ciel, que je ressentis un frisson me remonter la colonne quand il reprit la parole, ou j’affichais un sourire en coin, ne voulant pas me faire trop accessible, mais voulant me faire désirer au maximum.
« Ce trajet fut une torture, tu le sais ? »
Il murmurait, je sentais son souffle au creux de mon cou, ce qui me rendait encore plus envieuse pour la suite des événements, alors qu’une de ses mains vint se poser sur la chute de mes reins comme voulant prendre peu à peu possession de moi, de mon corps, de pouvoir le sentir contre le sien, pour quelque chose de plus concret…
« L’envie de goûter ta peau d’un baiser »
Il avait le don de me faire perdre la tête ne pouvant qu’à peine penser de sa voix masculine, de ses lèvres sur ma joue, ou il poursuivit…
« Du bout des lèvres »
Il savait faire monter l’envie mais céder, là, maintenant n’aurait pas été aussi amusant, si excitant, si exaltant, qu’il effleura mes lèvres des siennes, toujours voir l’iris de ses yeux, tout en étant contre lui, sentant sa bouche prête à relancer un défilé de mots plus sensuels les uns que les autres, donnant plus d’éclat à la situation, à ce qui se passait et allait se passer entre lui et moi !
« Pour mieux enfin venir cueillir le fruit défendu »
Je me mordis la lèvre inférieur quand il ne put plus tenir, emprisonnant ma fine bouche de la sienne, me laissant aller, passant mes bras autour de son cou, les posant ensuite sur sa nuque pour venir fouiller sa chevelure, m’oppressant quelques peu un peu plus contre son corps en émoi. Il était doux, j’étais douce, il était plus sauvage, je le serai également, tout était permis du moment que cela était consenti et nous envoyant pour cette nuit dans un autre monde, bien loin de la réalité ou j’étais son étudiante et lui mon professeur, étant médecin avant tout ! Samain passa sous mon top ce qui me fit languir davantage, oh oui j’aimais cela, me sentir désirer, voulant que j’appartienne à l’autre, que mon souffle se fit plus lourd, plus intense…
Puis après avoir senti que l’ascenseur avait monté quelques étages, il se stoppa après avoir cette petite sonorité nous indiquant que nous étions arrivés à la destination finale. Puis me reprenant la main, je le suivis jusqu’à un appartement ou visiblement était le sien pour y avoir introduit la clef dans la serrure qu’à peine pénétrées dans les lieux il reprit cette manie que j’adorais de plus en plus, comme faisant de moi sa prisonnière, m’embrassant de nouveau ou je n’avais plus aucune retenue, n’ayant pas besoin de se cacher aux yeux des inconnus ou autres personnes, nous étions seuls lui et moi, voilà ou commençait cette fameuse nuit.
J’ondulais contre lui, sachant pertinemment que me sentir contre lui, ses ardeurs allaient s’intensifier et qu’il ne tiendrait plus longtemps loin de moi, loin de mon corps encore couvert, tout comme le sien.
« Si tu veux encore tout arrêter, c’est maintenant ou jamais car après, je ne répondrais plus de mes actes »
Me murmura-t-il alors que mon souffle s’intensifiait, ayant laissé un écart entre lui et moi que je laissais planer un silence le regardant comme avec une sensation de vide ou relevant les yeux sur sa personne, je tentais de remuer les lèvres, une tactique peut-être pour le faire se sentir encore désireuse puis reculant de quelques pas je fis tomber ma veste à terre après avoir laissé mon sac dans le hall d’entrée de cet appartement affichant un léger sourire ôtant ensuite mon haut me retrouvant en jeans, escarpins, et soutien-gorge, devant Lucas avant de m’avancer de nouveau devant lui.
-Je crois que je vais rester…
Puis je vins l’embrasser fougueusement sans lui demander son avis, m’oppressant contre lui, passant une main dans sa nuque avant de venir mettre l’autre sous sa chemise, la retirant de son pantalon, pour le faire se retrouver torse nu, caressant son torse, alors que ma langue descendit jusqu’à son menton, au creux de son cou pour enfin faire glisser ma langue sur son torse…
-Ce soir…c’est de nous qu’il s’agit…de nos pulsions…de nos envies…de nos actes…
Je remontais jusqu’à l’une de ses oreilles, tandis que mes mains défirent sa ceinture avec habileté uo je vins lui murmurer à mon tour quelques mots.
-Ce soir je suis à toi…tout comme tu es à moi Lucas…
Son pantalon était ouvert désormais, mon souffle était plus rapide tout comme je l’étais également pour la suite des événements, je voulais prendre un pied d’enfer, et ce serait le cas, l’interdit, la convoitise, l’excès, le privilège, le désir, ses limites à ne pas franchir, et bien ce soir tout nous était permis ensemble….
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Mer 21 Mar - 19:59 | |
| « Je compte bien que tu te brûles dans mes bras cette nuit » lui soutient Lucas tout en dardant sur elle un regard chargé de désir avant de se reconcentrer sur la route. Hors de question que d’avoir un accident, il manquerait plus que ça ! Non, il comptait bien l’amener là où le plaisir est à son paroxysme. Aussi, alors qu’il ruminait tous ses projets de nuit endiablée, les minutes s’engrenaient avec une lenteur à le torturer voire à les torturer car elle semblait dans le même état de désir que lui. Bien ! Bien ! Cela promettait une nuit des plus passionnantes où l’interdit se mélangerait au possible tout en prenant une tangente des plus délicieuses. Ce soir, Miss Silverwood apprendra tout ce qu’un corps peut offrir et il comptait bien être la personne qui la guiderait. Lucas se doutait bien qu’il n’était pas la première expérience sexuelle de sa partenaire et à vrai dire, ce n’était pas son souci non mais il tâcherait de s’appliquer pour qu’elle soit une des plus inoubliables qu’elle connaitra. Aussi commença-t-il par lui offrir un intermède dans l’ascenseur même s’il l’aurait bien fait sienne là contre cette paroi froide mais il n’était pas du tout exhibitionniste. Non, il passerait à l’attaque dans son appartement quand ils seront seuls, loin de témoins gênants !
Toutefois, alors qu’il avait ce corps féminin des plus tentants entre les bras, Lucas fut pris d’un léger doute ou appelez ça l’éthique professoral et donna l’occasion à Maëlle de s’en aller. La réponse de celle-ci fut à des plus excitantes car ni plus ni moins, elle commença un strip des plus sexys, le rendant encore plus fou d’elle. Puis, elle revint à lui, mutine, sexy, tentatrice, contre lui, ondulant à le faire gémir d’envie et de désir. Lucas l’attrapa alors par les hanches et la força à cesser ses ondulations alors qu’elle commençait à le dévêtir. Cette femme lui faisait perdre la tête et elle en jouait mais il pouvait passer maitre également dans cette discipline. Avec un sourire à la fois taquin et amusé, il laissa sa main remonter le long de son dos avant de se perdre sur la nuque de la jeune femme tout en se reculant légèrement pour plonger ses yeux dans les siens. « Tu n’es pas encore mienne mais je vais régler cela.. en attendant, laisse-moi te donner un avant-goût de ce que c’est appartenir à Lucas Connelly » prononça-t-il de sa voix rendue rauque par l’émotion. Lucas l’embrassa alors langoureusement tout en la faisant reculer vers la table à manger où après l’avoir soulevée, il l’assit.
Sans cesser le baiser, il la força doucement à s’allonger sur la table, alors qu’il restait entre ses jambes. Puis, après un dernier baiser, il recommença plus sensuellement à la découvrir. Elle était là, arquée sur cette table, en soutien-gorge, jean et escarpin et elle n’en était que plus désirable. Muselant son envie de la faire sienne, il prit son temps pour effleurer des lèvres son épaules, la mordillant avant de glisser sur le haut de sa poitrine, déposant une myriade de baisers à la naissance de ses seins alors que ses mains allaient et venaient de ses cuisses à ses hanches. Lucas s’amusa du bout de la langue à venir taquiner un téton toujours emprisonné par le bout de tissu avant de le mordiller gentiment puis ses lèvres repartirent à la conquête de sa peau, descendant vers son ventre, stoppant à la lisière de son jean. Ses mains remontèrent le long de ses hanches puis de ses côtes pour venir caresser la rondeur de ses seins. « Enlève-le » lui ordonna-t-il en montrant du regard son soutien-gorge. Il voulait qu’elle se mette à nue devant lui, qu’elle comprenne qu’il ne lui laissera pas gagner cette nuit. Il menait le jeu et elle devra jouer avec ses propres règles à moins qu’elle ne veuille qu’il se montre sauvage. Un sourire taquin étira ses lèvres à ce moment-là alors que ses doigts s’attaquaient à son jean, caressant le haut de son sous-vêtement dans une caresse qui se voulait aussi délicieuse que frustrante. Sans cesser de sourire, Lucas termina d’ôter son jean avant de se re-glisser entre les jambes de la jeune femme. Allait-elle lui obéir ou ferait-elle de sa tête ? En attendant, ses lèvres reprirent leur occupation nouvellement favorite : parcourir le corps de déesse de cette femme. Lucas déposa de légers baisers au travers du tissu avant de se baisser un peu plus pour glisser sur une cuisse mise à nue quelques secondes plus tôt. Savait-elle à quel point elle était sexy ainsi offerte à son regard ? Elle ne pouvait nier l’effet qu’elle lui faisait, il suffisait de voir à quel point une certaine partie de son anatomie réagissait à son contact.
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Jeu 22 Mar - 16:13 | |
| - Oui jouer avec le feu, se savoir damné d’avoir franchi les limites, ayant touché l’interdit, mais voilà ce qui était le plus excitant dans tout cela, de dépasser le cap, d’affronter ce qui n’était pas « bien » un professeur et son étudiante, certains mais si on se retirait cette étiquette nous n’étions qu’un homme et une femme voulant passer du bon temps ensemble ! Il était d’âge mur, j’étais bien plus jeune et alors ? Il avait un charme fou, c’était l’interdit même, repensant à mes camarades de cours qui ne cessaient de baver sur cet homme séduisant, certes, mais de là à fantasmer sur lui avec autant d’insistance jamais, mais ce soir la donne était changée. Il m’offrit un verre, un geste qui allait changer radicalement notre lien et ce pour toujours avec une sensualité démesurée, une folle envie de lui appartenir ou l’inverse d’ailleurs, jouant comme des fous au chat et à la souris, ne sachant pas qui serait le prédateur des deux… Un long trajet ou il ne perdit pas le Nord avouant clairement ses intentions, sa façon de voir de voir les choses pour les heures à venir.
« Je compte bien que tu te brûles dans mes bras cette nuit »
L’atmosphère était chargé en électricité et le serait jusqu’au moment d’arriver ou là, la moindre étincelle mettrait le feu aux poudres de façon magique, une explosion que ni l’un ni l’autre ne pourrions contenir excepté la subir de mille façons ! A peine le véhicule quitté qu’il s’empressa de me plaquer contre la paroi froide de l’ascenseur qui contrairement aux idées reçues ne firent qu’augmenter mon désir sexuel, me rendant bouillante de l’intérieur ! Que cette sensation était bonne, comme suffoquant emprisonnée dans une fumée épaisse, prisonnière, oxydée …
Puis arrivés à son appartement il me dit que je pouvais tout stopper ce qui m’amusait au final car j’avais pu par ce petit temps de répit faire une légère mise en scène, comme le déstabilisant reculant, me déshabillant, me rapprochant, l’embrassant fougueusement , jouant de ma langue sur son torse alors que sa chemise avait rejoint le sol et que son pantalon était ouvert…m’oppressant, ondulant contre lui pour faire monter la fièvre encore et encore…C’est à ce moment qu’il m’attrapa par les hanches pour me stopper dans cette danse du bassin frétillante, il me sourit d’un air taquin, il était joueur, dominant, pouvant même être sauvage, je le sentais…il avait tout pour plaire, tout pour faire perdre la tête…Je sentis ma main remonter le long de ma colonne, me faisant frissonner intensément pour venir ensuite me maintenir la nuque afin que je le regarde droit dans les yeux tandis qu’il prit la parole.
« Tu n’es pas encore mienne mais je vais régler cela… en attendant, laisse-moi te donner un avant-goût de ce que c’est appartenir à Lucas Connelly »
-Hum…j’ai hâte de voir cela…Lucas…fais de moi ton objet de désirs…Dis-je avec sensualité d’une vois des plus enivrantes. Il semblait vouloir dominer, très bien enfin pour le moment. Sur ses mots il m’embrassa fougueusement, me faisant reculer ou je me laissais guider lui faisant une confiance totale ou ensuite il me saisit pour me soulever et m’asseoir sur ce qui était une table de salle à manger. Le baiser se poursuivit, me faisant comprendre de prendre une position allongée, sur le dos ou j’eus de nouveau cette sensation comme dans l’ascenseur mais décuplé cette fois-ci le dos nu contre le dessus de cette table réveillant la moindre parcelle de mon corps. C’est à ce moment-là que ses lèvres commencèrent l’exploration de mon corps tout doucement, bien sûr je ne pouvais restée inerte sous son touché, que je cambrais légèrement le buste ou il partit de mon épaule dénudée, me mordillant quelques peu au passage , laissant échapper un petit soupir de soumission, rejoignant la naissance de ma poitrine sentant mon souffle devenir plus imposant et plus vif aussi tandis que je sentais ses caresses sur le bas de mon corps, mes cuisses entre ses mains, remontant parfois jusqu’à mes hanches, il me faisait souffrir , languir comme jamais, voilà ce qui était différent chez lui, il savait mettre la pression, se faire désirable au point de ne plus tenir, qu’il soit le maitre du jeu du moins en début de partie. Il savait comment agir, quel moyen employé pour se faire dominant, comme jouer de sa langue sur l’un de mes seins qui naturellement réagissait un minimum à son geste avant qu’il ne me mordille l’extrémité de celui-ci, que je me mordille la lèvre inférieure, je le maudissais de me mettre dans un tel état de torture, torture qui se poursuivit par le trace de sa bouche descendant jusqu’à mon ventre alors qu’il remontait ses mains agiles et virils mais si douce à la fois pour venir caresser ma poitrine encore couverte.
« Enlève-le »
Je ne sus quoi répondre tant mon souffle était coupé par toute cette agitation, cette excitation que me redressant quelques peu vers lui, je passais mes mains dans le dos le dégrafant mais ne l’ôtant pas de suite, faisant descendre une bretelle, puis l’autre avec lenteur et désir sans le quitter des yeux, avant de le tirer avec douceur pour le jeter à terre. M’offrant à demi-nue devant lui que Monsieur poursuivit en ôtant le jeans, c’était plus que torride en avant-première, je sentais mes joues se réchauffer, le voyant revenir entre mes jambes que j’écartais un peu plus pour faciliter la tâche ou il reprit ses baisers ou je crus exploser, tant il pouvait être rustre ou doux avec une lenteur extrême ou une rapidité démesurée ce qui faisait que l’excitation était toujours présente.
-C’est immoral…de faire subir…une chose…
Sur les coudes le regardant un moment avant de pencher un peu la tête en arrière comme tenter de reprendre ma respiration, de reprendre un peu d’air, que son souffle sur ma peau me fit tourner la tête.
Que d’un geste vif et presque brutal, me redressant assise, lui levant le visage pour que son corps suive, je passai mes jambes autour de ses hanches pour le faire se tenir droit, ou je pus voir d’ailleurs l’objet de tous mes désirs cette nuit se faire présent, que nos places étaient inversées pour un instant, mon jeans descendit le long de mes fines et longues jambes, le faisant rejoindre mon soutien-gorge. Mon regard toujours plongé dans celui de Luke , je laissais mes cheveux retomber légèrement sur mes épaules les dénouant, ne me restant plus que ce dernier bout de tissu sur le corps avant de m’approcher de nouveau à pas de velours tout contre mon cher professeur ou je sentis son membre viril prêt à s’occuper de ma petite personne, mais Lucas aimait le jeu, les challenge et prolonger le plaisir de multiples façons. Tout sourire je passais mes mains sur ses flancs, entre sa peau et son jeans que je fis glisser également au sol.
-Nous sommes à égalité, pas de jaloux comme cela…
Mes mains remontèrent ses cuisses avec douceur jusqu’à venir frôler son intimité ou j’esquissais un sourire à ce moment-là…
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Lun 2 Avr - 21:16 | |
| Il avait envie de la toucher et qu’elle touche, de la posséder entièrement, de prendre tout ce qu’elle voudrait bien lui donner. C’était une envie démente, ridicule, mais si réelle et d’une intensité extraordinaire. Cela faisait longtemps que Lucas n’avait pas connu de femmes lui donnant autant envie. Il avait certes eu des liaisons passionnées mais jamais encore de cette intensité. Tout était qu’envie bestiale. L’interdit avait-il donc ce goût ? Aujourd’hui plus qu’aucun autre jour, le médecin compris l’expression du fruit défendu. Il n’était qu’homme faible devant cela et il comptait bien se damner pour l’éternité ou du moins pour cette nuit-ci. Maëlle le consumait et voir sa peau si divinement éclairée par la lumière de la lune ne faisait qu’attiser son propre désir devenu douloureux. Lucas ôta rapidement ses chaussettes –véritables tue-l’amour dans ce genre d’occasion- et se glissa à nouveau entre ses jambes avec pour unique but que de fondre avec passion en elle. Pour l’heure, il la força à enrouler ses longues jambes autour de ses hanches et la saisissant avec sensualité, il la porta jusqu’à sa chambre, savourant le contact de sa peau contre la sienne, de la douceur de ses seins contre son torse.
L’homme glissa une de ses mains jusqu’à sa nuque pour échanger un baiser. Il était à la fois frénétique, avide, vorace, insatiable. La sentant collée à lui, il ne put qu’étouffer un grognement contre ses lèvres offertes alors qu’il se dirigeait vers sa chambre pour l’y déposer au cœur de son lit. Le cerveau embrumé par le désir, Lucas n’arrivait plus à réfléchir. Il n’était que désir. Toutefois, il réussit à s’éloigner d’elle pour la contempler. Elle était la perfection faite femme. Et il était définitivement perdu. Lucas l’attira à lui, ses grandes mains se plaquèrent sur son dos, et la caressèrent lentement, sensuellement. Ses lèvres ne furent pas en reste. Elles parcoururent son cou et ses épaules puis l’embrassèrent plus bas. Il donna voluptueusement de petits coups de langue sur la vallée qui séparait ses seins avec l’envie de les découvrir plus en avant. Lucas continua de jouer avec elle, jusqu’à venir titiller de sa langue un mamelon érigé. Puis, il referma sa bouche chaude sur elle et débuta un jeu sensuel sur son sein alors qu’il massait l’autre de sa main libre. Après quelques minutes, il prit l’autre mamelon dans sa bouche et lui prodigua les mêmes douces attentions qu’au premier. Il s'amusa ainsi à passer de l’un à l’autre, encore et encore. Comme percevant sa fébrilité, il massa de ses mains ses seins tout en remontant vers ses lèvres pour l’embrasser avec un mélange de tendresse et de passion. « Tu es si belle, si désirable.. Oh si tu savais comme j’ai envie de te posséder » murmura-t-il en déposant une myriade de baisers sur ses lèvres.
En même temps que son murmure, d’une main habile, il lui ôta son dernier rempart à leur union. Puis fit de même avec son boxer. Ils étaient nus tous les deux, allongés l’un contre l’autre sur son lit et il la désirait avec une force toujours renouvelée en témoignait sa douloureuse érection. Lucas se glissa alors entre ses cuisses, balançant ses hanches contre les siennes. Son sexe érigé taquina ses boucles humides de son entrejambe. Avec lenteur, Lucas se mit à la caresser de bas en haut, puis de haut en bas après avoir glissé une main entre leurs deux corps. Sa main était sûre et ferme – la main d’un homme qui savait ce qu’il voulait. L’homme prit tout de même le temps de s’écarter le temps de fouiller dans sa table de nuit et de lui tendre un petit carré brillant. Un emballage de préservatif. Le message était on ne peut plus claire. Bientôt, il n’y aurait plus aucun obstacle à leur union et il pourrait lui prouver à quel point l’interdit avait un goût exquis.
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Jeu 12 Avr - 16:13 | |
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Je pouvais être différente en diverses situations et là c’était le cas, je ne me laisserais pas « attraper » si facilement, il voulait jouer, il me désirait, alors certes mais tout était dans cette manière d’être, de vouloir posséder, l’interdit ne devait pas être une épreuve facile, il y avait des risques, des règles et une façon de faire sinon quel intérêt ? Et puis cela pimentait cette soirée, non ? Moi, le fruit défendu l’excitant en tout point, lui, voulant avoir le dessus, le contrôle de cet interdit. Mais toute chose à un prix et pour sa part il lui faudrait être endurant, toute chose se mérite, le laisser lui appartenir n’aurait pas été aussi excitant, si aussi jouissant, alors avec un sourire aux coins des lèvres, face à sa personne totalement dévêtue.
Le fait qu’il soit mon professeur et beau gosse encore pour son âge, que certaines de mes camarades bavaient littéralement sur lui, me fit sourire davantage étant la grande « gagnante » ayant en ce moment même les mains sur mon corps, ses yeux rivés sur moi, sur mon corps, ce corps qu’il désirait tant posséder. C’était excitant de se savoir tant convoiter, que cela ne faisait qu’augmenter le désir, l’ambiance étant plus pesante dans le sens où cela se réchauffait laissant place à une atmosphère guider par les phéromones. Les yeux plongés dans les siens me faisant encore plus désirable, il ôta le reste de ses vêtements avant de revenir à sa place initiale entre mes jambes, m’obligeant à enlacer sa taille afin qu’il me soulève par la suite me laissant emmener dans une autre pièce, sentant la chaleur que son corps dégageait, son torse développé contre ma poitrine offrant une douce sensation hérissée.
Il me donna un baiser que je partageais avec une certaine retenue comme pour le forcer à prendre encore plus d’initiative, le poussant à aller encore plus de l’avant, le poussant à l’extrême au fur et à mesure que la soirée allait se prolonger dans la nuit. Puis une petite distance entre nous une fois le lit atteint y étant déposée avec délicatesse, sans ressentir ce désir presque bestial de se fondre en moi, tandis que je gardais ce petit sourire en coin avec un air des plus séducteurs, me mordillant la lèvre inférieure, il me regarda un bref instant avant de m’attirer de nouveau à lui, comme s'il était en pleine réflexion ou perdu dans ses songes, je devais lui faire un sacré effet alors, ce qui me flatta davantage, sentant ses mains viriles parcourant mon dos, me caressant telle une chose fragile, précieuse ou je l’enlaçais doucement à mon tour aimant cette sensation d’être telle une perle rare à l’éclat exceptionnel à ses yeux. Bien sûr je n’allais pas m’amouracher de sa personne, je savais faire la part des choses entre relations physiques et relations sentimentales…
Ses lèvres se posèrent sur mon corps en émoi, descendant de plus en plus où je fermais un tant soit peu les yeux appréciant chacun de ses baisers déposés sur ma peau chaude, sans oublier le fait de sentir sa langue traçant un chemin qui peu à peu se perdit ici et là ne pouvant que ressentir un bien-être, frissonnant sous ses gestes, me faisant languir, il savait s’y prendre et faire monter le plaisir pour encore plus de sensations tout en finesse avec un mélange d’envie et de sensualité un sein en main qu’il pétrissait lentement et avec ardeur alors que sa bouche emprisonna mon autre sein qui sous son effet se fit plus pointant , changeant ensuite ce qui me fit me cambrer légèrement tandis que je passais l’une de mes mains dans sa chevelure, c’était si relaxant et si excitant à la fois. Puis remontant à ma hauteur tout en continuant de me masser le buste il vint m’embrasser, chose que je partageais avec lui l’entendant ensuite prendre la parole dans un murmure entre mille baisers
« Tu es si belle, si désirable... Oh si tu savais comme j’ai envie de te posséder »
-Alors possède-moi…
Sur ses mots on se retrouva en tenue d’Adam et Eve, voyant sa belle excitation, c’était toujours flatteur de voir qu’un homme pouvait nous désirer à ce point, son corps ne pouvant trahir ses émotions, alors que le médecin vint se glisser entre mes cuisses d’où émanait une chaleur des plus ardentes, sentant son envie contre mon corps qu’il poursuivit immiçant l’une de ses mains entre nous afin de rejoindre mon intimité qui ne demandait plus qu’à être visitée. Ce qui était affolant dans le bon sens du terme était que ces hommes d’âge murs s’il on peut les citer ainsi, avaient de l’expérience, savait comment faire languir une jeune femme, avec leur savoir-faire, ne pensant pas simplement à assouvir leurs envies mais en les faisant partager à deux, tel un jeu en quelques sortes que cela en devenait que plus intéressant. Il s’écarta quelques secondes avant de me tendre un préservatif, en plus d’être entreprenant, il était prévenant ce qui n’était pas le cas chez certains malheureusement.
Prenant ce petit carré brillant en main tout sourire et déposant mes lèvres sur les siennes, je me mis à califourchon sur lui, le faisant se mettre sur le dos, déposant des baisers plus ou moins osés sur son torse que j’avais rejoint. L’une de mes mains alla se balader sur ses flancs avant de rejoindre sa partie la plus virile, le point culminent de son désir pour de douce caresses avant que ma bouche ne vienne gouter à son sexe dans un premier temps avec douceur et délicatesse comme l’effleurant avant de me faire plus explicite, sans retenue mais toujours avec lenteur pour qu’il apprécie ce doux et fort moment d’intensité. Je voulais qu’il se sente emmené à mille lieux d’ici sentant son rythme cardiaque s’affoler sous l’effet de ma langue et de ma bouche sur membre. Après ce petit avant-gout me mordillant la lèvre inférieur tout en lui jetant un regard des plus annonciateurs, je déchirais délicatement ce petit carré gris reluisant pour enfiler le préservatif avec assurance et délicatesse, n’omettant pas une fois de plus de venir frotter ma main contre son entre-jambe avant de remonter vers son visage me positionnant sur lui sans toutefois m’assembler à lui.
-Comment comptes-tu me posséder maintenant ?...Arriveras-tu à combler tous mes désirs?...
Après tout il y avait mille façon de faire l’amour, chacun avait des envies, des préférences, des fantasmes, il voulait me posséder le temps d’une nuit alors autant que cela soit mémorable non ?
Je frottais mon bassin contre le sien, le sourire aux lèvres avec un regard taquin, ma chevelure pendante d’un seul côté afin de pouvoir le regarder, alors que me penchant vers lui, je lui attrapais la lèvre pour la mordiller avec désir sans toutefois lui faire mal, simplement pour lui donner un aperçu de ce qu’était mon envie en cet instant précis…
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Ven 13 Avr - 15:15 | |
| Lucas avait couché avec beaucoup de femmes depuis qu’il était arrivé il y a quelques années en Californie. La plupart était des femmes qu’il ne reverrait jamais car il n’aimait pas celles qui s’accrochaient. A vrai dire, il n’avait absolument rien à leur offrir. Ni relation stable, ni maison, ni enfant et encore moins de mariage. La seule chose qu’il pouvait donner à défaut de son cœur était son corps et une étreinte fiévreuse. C’est pourquoi il mettait un point d’honneur à satisfaire et combler ses maitresses de toutes les manières possibles. Il avait donc connu des étreintes d’une tendresse bouleversante, ou encore d’une sauvagerie à refaire tout une déco d’un salon. Maëlle semblait vouloir quelque chose de passionné, de fiévreux et il était homme à relever les défis. Le seul problème dans l’histoire était qu’il reverrait la jeune femme après cette nuit et pour l’heure, il ignorait encore quel comportement adopter. Bien sûr, il ne se faisait aucune illusion, la jeune femme passerait rapidement au suivant sans s’appesantir de son sort. Ils étaient adultes, consentants et motivés pour cette nuit de débauche où l’interdit se consumerait sous leurs baisers et leurs caresses. Néanmoins, elle le touchait d’une certaine façon. Pas qu’elle pourrait ravir son cœur car il était mort depuis bien longtemps mais elle le touchait et la posséder ne serait que plus jouissif. Quoi qu’il en soit, quelque chose lui disait qu’une fois l’étreinte consommée, elle n’aurait aucun intérêt à être renouvelée. Maëlle aurait eu ce qu’elle voulait, une expérience de plus et lui, une illusion de plus des plus charnelle et désirable. Lucas décida donc d’écouter cette voix cristalline et attrapa un préservatif qu’il lui tendit. La suite lui confirma que cette femme avait beaucoup d’expérience car sa langue le mit en émoi et lui fit pousser des soupirs et des gémissements alors que ses doigts plongeaient dans sa douce chevelure. A cet instant précis, elle aurait pu exiger n’importe quoi de lui du moment où elle continuait ses caresses autour et sur son sexe. Autant dire que son envie d’elle ne fit qu’accroitre et le rendre encore plus dur qu’il ne l’était présentement.
Cependant, désireux de ne pas exploser sous ses lèvres, il lui massa la nuque et y exerça une légère pression pour lui faire comprendre et la jeune femme dû le saisir car elle se redressa et se rapprocha de lui, tout en le chevauchant sans réellement le combler. Un léger rire s’échappa de lui alors qu’elle lui posa sa question. D’une voix rauque, il lui répondit tout en caressant sa joue. « Je compte te posséder de la plus agréable des façons mais avant, laisse-moi te montrer comme cela peut-être exquis ». Lucas profita du fait qu’elle était au-dessus de lui pour se glisser plus bas, la tête entre ses jambes. La savoir à genoux sur son lit, au-dessus de sa tête le rendait fou et la vision de sa fleur prête à s’éclore sous ses lèvres n’arrangeait en rien. Avec douceur, il déposa ses lèvres sur son clitoris alors que ses mains venaient se poser fermement sur ses hanches pour l’obliger à rester là où elle se trouvait. Du bout de sa langue, il se mit donc à taquiner son bouton de plaisir, le suçotant de temps à autre tandis qu’avec une de ses mains, il venait caresser ses lèvres, glissant de temps à autre ses doigts en elle, superficiellement pour mieux l’exciter. Lucas s’amusa ainsi à la préparer lapant, suçant, léchant les plis et replis de son intimité tout en jouant de ses doigts en elle tantôt lent, tantôt rapide alors que son autre main flattait cette poitrine aussi douce que délicieuse. Ses gémissements continuer à le rendre encore plus excité, encore plus frustré de ne pouvoir s’unir avec elle mais l’attente avait du bon, du très bon.
Lorsque l’homme jugea sa maitresse au bord de l’extase, il remonta vers la tête du lit en caressant son corps tremblant de désir et sans attendre, il la pénétra avec force en rivant son regard au sien pour ne pas rater aucune des sensations qu’il faisait naitre en elle. Lucas conserva un rythme de pénétration soutenu, aidant la jeune femme à monter et descendre sur sa hampe en la tenant par les hanches. Se redressant en position assise, il continua de la prendre tout en mordillant un téton érigé entre ses lèvres, alternant entre ses deux seins puis quand il ne put tenir plus, il la renversa sur le lit, la dominant de tout son corps. Lucas, l’embrassa alors passionnément tandis que ses coups de reins se firent plus lents, presque tendres. Il voulait refaire descendre la pression pour faire durer le plaisir sans toutefois lui permettre de redescendre de son nuage. Non, il ne le voulait vraiment pas. C’est pourquoi, après quelques minutes de ce doux traitement, ses coups de rein reprirent en vigueur, et à nouveau, Lucas la posséda avec force et passion, plongeant au cœur de sa féminité comme s’il voulait la posséder entièrement.
La respiration hachée, les muscles tendus, il continuait de se mouvoir entre ses cuisses en gémissant son plaisir indécent. QU’il était bon de plonger au cœur de l’interdit, da la sentir si chaude, si serrée autour de lui, totalement offerte à ses attentions. Puis, peu à peu, une vague de plus en plus haute, de plus en plus forte menaça de l’emporter et Lucas se fit encore plus passionné, voulant lui donner toujours plus de sensations, de plaisir, de sensualité jusqu’à l’implosion. Le corps repu, il termina en donnant des coups de reins vifs par à coup tout en l’embrassant langoureusement jusqu’à ce que tout redevienne calme dans la chambre où les soupires venaient briser calmement le silence ambiant. Puis, il se dégagea d’elle, s’allongeant à ses côtés après s’être débarrassé du préservatif devenu usagé. Lucas ne l’étreignit pas, il ignorait si elle désirait ce genre d’attention aussi resta-t-il allongé à ses côtés lui faisant comprendre que si elle le désirait, elle pouvait venir se blottir tout contre lui à moins qu’elle ne préfère qu’il lui appelle un taxi. |
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Ven 13 Avr - 19:01 | |
| - J’avais plutôt bien vécu côté relationnel physique malgré mon jeune âge du haut de mes 24 ans, mais ici c’était différent, tout l’était au final, les conditions, la rencontre, ce sentiment de toucher l’interdit, de dépasser une certaine limite, mais mes principes étaient ne pas choisir d’homme marié, ou en situation difficile, ce qui correspondait à mes choix ne voulant pas provoquer d’histoires familiales dans le rôle d’amante, même si j’avais enfreint une de mes règles, le corps professoral…Mais ce soir tout semblait si différent que se laisser tenter était bien plus facile que de résister à son charme, à son regard et l’avant-gout dans cette ruelle sombre n’avait fait qu’augmenter mon désir, le fait qu’il me prenne éprouvant une réelle envie de possession de moi, de mon corps, une nuit qui s’annoncerait exquise !
Le cœur battant depuis que nous avions pris la route à bord de sa voiture, arrivant chez lui, découvrant les lieux furtivement avant de se retrouver de nouveaux si proches l’un de l’autre, corps contre corps, ou une fois dévêtus les choses prirent de l’ampleur tout comme l’excitation de Lucas, pouvant voir, apprécier, toucher, gouter à son intimité érigé de plus belle sous l’effet que je lui procurait avec ma langue, ma bouche l’entendant gémir quelques peu, sentant l’une de ses mains venir masser doucement ma nuque ou à cet instant précis je remontais le long de son corps, à califourchon sans m’assembler à lui pour le moment, voulant encore profiter de cette excitation durante. Je lui posais une simple question à savoir commet il comptait me satisfaire surtout dans ce genre de situation « interdite » qu’il ne tarda pas à me répondre d’une voix rauque.
« Je compte te posséder de la plus agréable des façons mais avant, laisse-moi te montrer comme cela peut-être exquis ».
Je n’avais pas tellement réfléchi au sens de ses mots étant dans un état de réel désir, le cerveau presqu’embué qu’il se glissa sous ma personne, sa tête caler entre mes cuisses ou je sentis son souffle chaud contre mon entre-jambe avant de découvrir la sensation de sa langue sur mon intimité, fermant les yeux me délectant de ses gestes, du jeu qu’il fit à savoir m’exciter de milles façons, ses mains sur mes hanches comme pour ne pas fuir, ne pouvant que me laisser faire, gémissant, que c’était bon ainsi fait et dans cette posture.
Une excitation même que je commençais à avoir un orgasme clitoridien avant de sentir ses gestes plus approfondis que mes gémissements furent plus expressifs, ne sachant pas si je voulais qu’il cesse ou alors qu’il continue encore et encore…Et sentir sa main se refermer, masser ma poitrine ne fut qu’enflammer davantage mon envie qui était déjà conséquente. Je ne pouvais m’empêcher de danser du bassin sous sa façon de faire experte. Le souffle plus lourd sentant mon cœur battre à tout rompre en ma poitrine, il remonta à ma hauteur caressant mon corps tremblant et envieux de le recevoir en moi, chose qui ne tarda pas d’ailleurs qu’avec force et virilité dans un regard partagé, il s’enfonça en moi poussant un cri de satisfaction, le premier d’une longue série. C’était l’extase même ! Me laissant aller à sa cadence, ses va et vient puissants tout en prenant soin de ne faire encore subir plus de supplice lorsqu’il se redressa, mes mains dans ses cheveux que je tenais comme pour m’agripper, tout en jouissant, prenant un pied fou avant de me faire renverser sur le dos en position de soumise. Baisers et caresses échangées, mes ongles s’enfonçant peu à peu dans sa chair sous ses coups de reins plus doux mais qui étaient tout aussi plus contenus ne faisant qu’accroitre les sensations, les envies, les sensations que même les baisers partagés devenaient plus intenses, fougueux, passionnés. Mon souffle se plaqua sur sa peau chaude, ou nos corps dansaient en parfaite harmonie, un plaisir intense ressenti reprenant un peu mes esprits quand il reprit de sa vigueur pour continuer dans nos ébats ou je m’étais surtout laisser aller à son rythme, ses a coups, alors dans cette dernière ligne droite j’ondulais de plus en plus l’accompagnant dans ses mouvements que nous arrivions au 7ème ciel avec une certaine voracité de la part de mon amant de cette nuit qui me fit perdre de nouveau tous mes moyens ! Gémissant, jouissant, sans trop gérer mes cris me laissant aller à mes éclats de voix aux souffles courts et vifs, le corps moite sous tout cet effet, la gorge presque sèche dans ce cocon de chaleur qu’était la chambre de mon cher professeur, à l’atmosphère des plus sensuelles, que pensant que tout se calmerait dans une attitude plus soft mais l’atteinte de l’extase arriva enfin que je ne pus que me laisser subjugué par son étreinte, et sa domination, se lâchant totalement. Après avoir pris un pied d’enfer, il se décala et se mit à mes côtés, où chacun reprenait un peu de son souffle étalé sur le dos, regardant le plafond , déglutissant ne sachant pas comment agir avec lui quand il me fit comprendre que si je le souhaitais je pouvais venir tout contre lui, mais je n’étais pas du genre à être fleur bleue de la sorte surtout si je n’avais pas de sentiments pour un homme, n’en étant pas amoureuse…
Alors me tournant vers lui, à demi cheval sur sa personne, un regard tendre et un léger baiser sur ses fines lèvres, avant de m’asseoir au pied du lit passant mes mains sur mon visage, reprenant mes esprits. Lucas était toujours derrière moi allongé, alors lui lançant un autre regard, un sourire aux lèvres je ne comptais pas m’arrêter ainsi, l’interdit avait du bon même si cela n’était pas une chose à chanter sur tous les toits, ayant bafouée moi-même l’une de mes règles, mais je venais de franchir cette limite, cette barrière que je m’étais fixée avant de remonter sur sa personne sans m’oppresser, frôlant ma bouche à la sienne ou dans un souffle plus normal je repris la parole.
-On pourrait se plonger dans un bon bain ou encore se glisser sous la douche ? Sinon je peux toujours récupérer mes vêtements…
N’ayant pas une réponse de suite sans avoir laisser le temps de rétorquer, je me redressais rejoignant le pied du lit ou je me levais pour atteindre le couloir ramassant au passage chacun de mes vêtements qui constituait ma tenue de départ, avant de revenir dans la chambre ayant dans l’autre main les habits de Monsieur le médecin.
-Ça fait un peu désordre bien que l’image de voir ses fringues à terre ont un effet très …subtil de ce qui s’est passé ici même dans cette pièce, mais je ne suis pas contre de visiter les autres lieux de cet appartement avec autant…de vivacité si toutefois tu te sens capable de m’assouvir une fois encore…
Je lâchais ce que je tenais en main sur le sol de sa pièce à coucher avant de passer mes mains libérées sur mon corps du bout des doigts, voulant à mon tour jouer avec lui, avec ses sens et ses envies, en position de dominante et non de dominée…Comment allait-il réagir face à mes gestes, mes caresses, mon regard, et le fait que je me mordillais la lèvre inférieure pour une nouvelle tentative..
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| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Sam 14 Avr - 12:08 | |
| Comblé. Voilà un mot qu’il avait si peu l’occasion d’employer. Certes, il avait couché avec bon nombre de femmes dans sa vie mais rarement, il avait réussi à atteindre cette plénitude. Lucas avait pour habitude d’être plus attentif aux attentes de ses maitresses plutôt qu’écouter les siennes. Il prenait du plaisir à voir une femme repue, alanguie contre lui. Appelé ça de la générosité, de la fierté ou de l’égo mal placé mais qu’est-ce que c’était bon quand une femme prenait tout son plaisir dans l’acte charnel avec lui. Or, aujourd’hui, il avait été comblé à son tour. Maëlle s’était révélée être une amante délicieuse et l’homme n’était pas naïf au point de ne pas croire que le fait qu’elle soit son étudiante et qu’elle représente tout le côté interdit de l’acte n’y avait pas été pour quelque chose dans son extase. Le plus étonnant dans l’histoire était qu’il aurait pu se satisfaire de l’avoir possédée mais au fond de lui, il était déjà impatient de pouvoir se fondre à nouveau dans sa chaleur la plus exquise. Lucas allait donc lui proposer un second round quand elle le prit de court et se mit à demi sur lui, et l’embrassa. En souriant, il joint ses lèvres aux siennes en glissant sa main sur sa nuque pour l’empêcher de s’échapper mais elle fut plus rapide et s’assit au pied du lit, toujours aussi désirable. La jeune femme ne voulait pas le quitter de suite et cela le combla un peu plus malheureusement elle quitta la pièce sans attendre de réponse, lui arrachant un soupire. Cette femme était une énigme et une anguille mais il saurait l’attraper dans ses filets pour pouvoir à nouveau entendre ses soupires et autres gémissements. Durant leur union charnelle, ces petits bruits l’avaient excité comme jamais, elle avait une voix de sirène et un corps de déesse. « Ça fait un peu désordre bien que l’image de voir ses fringues à terre ont un effet très …subtil de ce qui s’est passé ici même dans cette pièce, mais je ne suis pas contre de visiter les autres lieux de cet appartement avec autant…de vivacité si toutefois tu te sens capable de m’assouvir une fois encore… »
Lucas éclata de rire tout en l’observant mais très vite son rire cessa devant le spectacle de cette diablesse en train de se caresser. Diablesse, tentatrice, déjà son corps commençait à réagir face à ce spectacle. L’homme s’assit donc au pied du lit, un simple drap recouvrant son bas ventre. Le regard à la fois tendre et chargé de désir, il l’observa comme un chat observerait un bol de lait. « Tu en douterais ? Ne t’ai-je pas dit que tu demanderais grâce ? » Lança-t-il avec amusement teinté de sérieux. Puis, lentement, il se leva, la contournant pour l’observer encore et encore, elle et ses mouvements gracieux. Les bras croisés, la virilité qui commençait fièrement à se dresser pour elle, il conservait ses distances pour simplement la caresser du regard. Lucas tourna autour d’elle, de temps en temps, il effleurait un bras, une épaule, son ventre du bout des doigts sans la toucher plus puis, il se glissa dans son dos, son désir manifeste collé à ses courbes voluptueuses. De ses mains, il caressa ses épaules puis les fit glisser le long de ses bras pour venir se poser sur ses propres mains. Alors, commença-t-il à guider ses mains des siennes pour qu’elle se caresse la poitrine tout en lui murmurant à l’oreille « Caresses-toi comme si c’était mes mains, comme si c’était mes doigts qui t’effleuraient » . Tout en prononçant ces quelques mots, Lucas déposait de légers baisers au creux de son cou, orientant le corps de sa maitresse pour qu’elle fasse face au grand miroir couvrant l’une des portes de son armoire. Ainsi, elle avait une vision d’elle, se touchant, alors qu’il se trouvait collé à son dos, son regard plein de sensualité posé sur elle.
Doucement, il guida ses mains jusqu’à son ventre, effleurant la peau douce de son abdomen sans la quitter du regard à travers le miroir, attendant qu’elle commence à se caresser. « Surtout, ne t’arrête pas, je veux que tu t’observes dans ce miroir en imaginant que ce doux traitement vient de moi » souffla-t-il à nouveau à son oreille avant de s’éclipser. Très vite, le bruit de l’eau coulant dans la baignoire se fit entendre et Lucas revint prendre place derrière elle, ses doigts dégageant ses cheveux pour couvrir sa nuque de baisers, descendant de temps à autre vers une épaule nue. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le goût de l'interdit -hot- (PV) Lun 16 Avr - 16:38 | |
| - C’était d’une excitation à l’état pur, une fièvre partagée en tous sens, que le gout de l’interdit après avoir fait m’amour ne semblait être qu’un avant-gout, tandis que nous aurions pu croire qu’après cette limite franchie, la pression, cette sensation de déroger aux règles s’évanouirait mais il n’en fut rien ! Au contraire cela donnait envie de poursuivre, de réaliser de nombreux fantasmes flirtant avec le danger si l’on venait à se faire prendre ou encore à se faire attraper même si chez lui nous ne risquions pas grand-chose mais cet homme avait un effet captivant sur ma personne, et surtout sur mon corps !
C’est pour cela que je pus m’empêcher de lui proposer une sorte de revanche, pour partager à nouveau un moment à deux qu’il se mit à sourire comme si je l’avais devancé ou couper dans son élan, ce qui m’étira un sourire en coin avant de m’être levée à la recherche de nos vêtements que je ramenais revenant dans cette chambre ou nos corps s’étaient rencontrés, entrechoqués, assemblés…Tout en prenant la parole lui faisant part de mes envies et savoir s’il saurait me combler de nouveau tandis que je fis glisser mes doigts lentement et doucement sur ma peau sous son regard envieux alors qu’il prit place au bout du lit avec un regard qui en disant long sur ses ressentis et sa façon d’être…
« Tu en douterais ? Ne t’ai-je pas dit que tu demanderais grâce ? »
Je fis une simple geste de la tête comme le défiant de nouveau, une étincelle dans les yeux, puis se levant et sans le quitter du regard, il me contournait, m’observait, voyant que son envie refaisait surface, cela ne put que m’inciter à poursuivre dans mes caresses, sans compter ses effleurements qui me firent m’hérisser quelques peu la peau…C’était différent du rapport que nous avions eu dans cette ruelle, plus sauvage, bestial, alors qu’en ce moment même tout n’était que délicatesse, et sensualité ! Puis il se glissa dans mon dos, ou je pus sentir son désir contre moi, une douce et excitante sensation à un endroit qui m’était plutôt sensible, plaisant, nous avions tous des parcelles de nos corps plus attrayantes qui nous faisait nous sentir tout autre et bien chez moi ces courbes à la chute des hanches étaient une partie très réceptive. Puis ses mains parcourant mes épaules me firent frissonner d’autant plus pour venir ensuite se perdre dans la descente de mes bras, une délectation pure jusqu’à ce qu’il les pose sur les miennes qui étaient toujours en train de parcourir mon corps, mon souffle se faisant plus intense, cette sensation d’être autant désirée, le fait qu’il découvre et qu’il me fasse découvrir de nouvelles sensations encore plus exquises. Cette façon qu’il avait de faire monter la température d’un cran et d’un autre encore pensant être la dominatrice mais il avait ce don de me faire perde la tête, c’était affolant mais si bon que je n’avais aucune envie de résister de nouveau à cet interdit au gout succulent ! J’en profitais pour me balancer doucement, me frotter contre lui, mes gestes guidés par les siens qui se posèrent sur ma poitrine érigée dans un murmure ou il approfondissait mes sensations sana peut-être se rendre compte à quel point qu’il m’enivrait.
« Caresses-toi comme si c’était mes mains, comme si c’était mes doigts qui t’effleuraient »
Oh mon Dieu, si seulement je m’étais laissée aller mais il me fit une demande que je ne pus lui refuser, sentant ses fines lèvres se poser au creux de mon cou, avant de me mettre face à un miroir ou je pouvais contempler mon corps dénudé, il m’avait excité et ce fut un tout, lui, la situation, le fait d’avoir aimé cela et de bientôt prolonger cette nuit de débauche ! On se regardait mutuellement par le biais de cette glace, tout en ressentant mille et une sensation, il me rendait dingue que je crus imploser !
-Je n‘arriverais jamais à égaler ton touché…
Sur ses paroles, je me laissais toujours guider, mes mains quittant mes seins fermes, descendant sensuellement et avec envie jusqu’à mon ventre pour arriver enfin à mon intimité qui ne demandait qu’à être explorer de mille façons, s’humidifiant sous toute cette mise ne scène, ou mon rythme cardiaque s’amplifia, se faisant plus lourd, sensuel. L’excitation, l’envie prenant le dessus mes mains ne purent se contenir de rester sur cet endroit de mon corps sans un peu d’action que je m’offrais du plaisir en solitaire avec un côté soft ne voulant pas prendre un pied sans être accompagnée…Et à deux c’était bien plus…amusant, plus jouissant !
« Surtout, ne t’arrête pas, je veux que tu t’observes dans ce miroir en imaginant que ce doux traitement vient de moi »
-Je ne suis pas sure de tenir bien longtemps à ce rythme-là…tu es d’une cruauté sans pareille…je te veux tellement fort…ne viens pas te plaindre si je termine sans toi…
Mais je n’allais pas faire cela, c’était une sorte de gentille menace, que dans un dernier frottement de ma part contre lui, il s’éclipsa. Je continuais mes douces et sensuelles caresses, me mordillant la lèvre inférieure tentant de me temporiser, de résister à la tentation mais si mon envie pressante était d’atteindre la jouissance pour gémir de plus belles, renfermant une pression de bonheur et d’excitation intense. Je ne fis pas attention à ce qu’il était parti faire, ne m’en préoccupant pas plus que cela, avant d’entendre l’eau couler, ce qui m’étira un sourire fermant les yeux quand je le sentis de nouveau derrière moi, le regardant , sentant son corps chaud tout contre le mien ne pouvant plus me retenir de me frotter à lui, sentant son sexe contre mes fesses rebondies, prenant ses mains pour les faire glisser sur mon ventre, remontant peu à peu jusqu’à ma poitrine, alors qu’il m’embrassa comme précédemment au creux de mon cou, sur mes épaules, tournant ma tête de façon à pouvoir l’embrasser fougueusement, ne voulant plus qu’une chose, qu’il me prenne avec virilité, à sa manière. Je m’oppressais encore contre lui, baladant ses mains sur mon entre-jambe ou je pus toucher également une partie de son membre, je voulais qu’il soit dans le même état que moi, de pure euphorie, d’envie que cela en devenait une réelle douleur.
Et cette position était des plus envieuses, laissant penser que tout était permis, ce soir , cette nuit serait la nuit de tous les fantasmes…le début d’une grande suite…Je gémissais peu à peu, je ne savais ce qu’il envisageait, mais mon seul but était de le rendre fou, que je me servais de ses mains , de ses doigts tels des objets de désirs, alors que j’exerçais une pression du bassin contre le sien, pour faire se durcir son sexe, que je sentais grandir derrière moi pour mon plus grand plaisir, ressentant un début d’extase.
-Et maintenant…que me réserves-tu ? …J’espère en tout cas que tu apprécies grandement mes intentions à ton égard….
Le corps brulant j’étais à sa merci, attendant mon châtiment, car n’étions-nous pas damnés pour avoir franchi l’interdit ?!
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