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Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne

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MessageSujet: Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  EmptySam 7 Juil - 19:13

Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  Tumblr11



  • Northern San Francisco, Lombard Street, une soirée à décompresser et à m’enivrer la tête pour tenter de fêter dignement ses vacances après cette période d’examen que je n’avis pas trouvé trop difficiles en soit, ayant toujours été une forte tête en études pour avoir ce don de mémoriser les choses une fois lu, une mémoire photographique, stockant le moindre renseignement dans une partie de mon cerveau, c’était un peu et c’est également peut-être grâce à cela que j’avis ce talent, ce don pour la photographie en percevant le moindre détail même inconsciemment. Mais ce soir je voulais quitter l’étudiante que j’étais pour me sentir libérée et être une personne en tant que femme et rien d’autres, c’est pour cela que j’avais tenté de me rendre dans un pub Irlandais, probablement repensant à James, qui m’avait tant parlé de son pays, de cette façon qu’avaient ses citoyens à se comporter entre eux autour d’une bonne chope de bière de chez eux, typiquement irlandais jusqu’à ce que donner de braves tapes sur les épaules et le tout dans une ambiance très particulière mais chaleureuse !


    Entrant donc dans les lieux, je ne fus pas déçue de voir que les regards se portèrent sur ma personne ou tout sourire je pris place au comptoir commandant une bière du pays traditionnel ou je fus accueillis à bras ouvert même si des regards interrogateurs me fixèrent et alors ? ôtant ma veste, je fus servi d’une choppe sous le regard attentif de tous ces hommes et de ses quelques rares femmes avant de lever la bière à mes lèvres pour en descendre le contenu en une seule fois où je fus ensuite acclamée avec des cris comme si je venais de franchir l’étape déterminante pour faire partie de ce cercle, du moins pour ce soir. Les heures passantes, je fis la rencontre d’une jeune femme se prénommant Cheyenne, un joli brin de fille que nous quittâmes ces lieux afin de boire un dernier verre chez elle…


    Un lieu de vie particulièrement agréable aux premiers abords que ne sachant trop comment nous étions devenues proches, Cheyenne et moi-même, le temps de cette soirée passée au Pub Irlandais. Peut-être que l’alcool but ce soir nous avais fait nous sentir plus libérée qu’après un tour de vue depuis la fenêtre de sa demeure, me retournant elle était là, magnifique, le clair de lune reflétant sur sa personne, la faisant paraitre plus belle que jamais avec ce sourire si paisible et si attirant à la fois. Elle me proposa un verre toujours dans une ambiance chaleureuse à rire, se raconter certaines anecdotes ou encore parlant de ses messieurs du bar qui étaient plus saouls qu’ils ne le paraissaient se le dire mais les gestes et les paroles énoncées ne peuvent pas trahir leur état.

    M’avançant vers elle pour prendre le verre qu’elle m’offrit, je ne vis pas le tapis au sol que je faillis me prendre les pieds dedans, et l’alcool errant dans mes veines n’étaient pas pour m’aider à me tenir vraiment sur mes jambes, la tête embuée et légère que j’avais peine à réellement réfléchir, du moins dans une profonde réflexion mais n’était-ce pas l’effet voulu en étant sorti ce soir ? tout à fait ce que j’vais voulu recherché la paix de l’âme et du corps , le cerveau ne cherchant pas à se faire exploité dans une profonde réflexion non rien de cela excepté une détente de la matière grise, profitant des instant s relaxant que pouvait offrir la ville et la vie par la même occasion.


    *****

    Mon verre tenu en main sous une serviette en papier que manquant de tomber, une partie de ce dernier renversé sur Cheyenne , je me trouvais confuse avant de voir le liquide se faire absorber par le corsage qu’elle portait laissant épouser les formes arrondies de son buste…Mon regard se plongea dans celui de la jolie brune avant de m’avancer un pas de plus vers elle , afin de tamponner la tache de ce bout de papier m’appliquant mais elle ne fit pas un pas ni même eu une réticence à ce que je prenne soin d’elle que sans vraiment comprendre pourquoi, ni comment je me retrouvais à poser ma main sa délicate poitrine avant de la remonter sur son cou, mon souffle se faisant chaud sans toutefois se faire lourd, plonger dans la prunelle de ses yeux ou je déposais mes lèvre sur les siennes, elles étaient si fines, si douces, et elle sentait si bon. Je ne sus pourquoi je m’étais laissée, tentée à l’embrasser, bien que cela n’était pas nouveau pour ma part, aimant expérimenter toutes sortes de choses comme les relations ambiguës, bisexuelles et autres encore que se laissant s’approcher je ne pus me détacher totalement d’elle toujours avec ce contact de cette main, sur sa peau chaude et légère, caressant sa nuque tout en la regardant alors que désolas nos bouches étaient à quelques centimètres l’une de l’autre, comme attendant son approbation afin de peut-être le laisser aller un peu plus à ce désir qui commençait à s’emparer de moi…

    Puis même si je me proposais pour aller un peu plus loin dans gestes, je pourrais toujours m’excuser et mettre cela sur le dos de l’alcool, non ? Et cette chose qui m’avait envahi quelques peu mais ne pouvant et ne voulant réfléchir ma seconde main vint alors se porter à sa main remontant doucement son avant-bras pour venir terminer sa course sur son épaule avant que je ne tienne son visage de façon très sensuelle pour de nouveau venir gouter ses lèvres, mon corps touchant le sien…tentant de me frayer un passage dans sa bouche pour jouer quelques peu avec sa langue…Allait elle me repousser ou bien alors jouer le jeu et céder à la tentation ?
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MessageSujet: Re: Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  EmptyDim 19 Aoû - 0:27


Maëlle
« nothing's ever as it seems »

On s'étaient disputés.. C'était stupide, vraiment. Pas seulement le pourquoi de notre altercation, mais aussi le fait de ressentir tant que ça pour une relation qui n'en était même pas vraiment une. Et pourtant. En cette soirée de juillet, je me laissais emporter par un flot d'émotions contradictoires provoquées par le seul homme envers qui je ne devrais jamais avoir à ressentir autre chose qu'un désir charnel insatiable. Je n'étais pas à lui, ni lui à moi, et cette nuance dans ce qui ne faisait de nous que des amis avec bénéfices (si vous pouviez nous considérer comme "amis") s'avérait au final tellement plus complexe. Tellement plus difficile que le simple fait de coucher avec l'homme de temps à autre. Cela devenait plus que ça, au fil du temps. Il restait plus longtemps, je voulais qu'il reste aussi, il s'attachait aux enfants et même ma chienne s'était faite à l'idée de l'avoir alentours quand au début elle ne parvenait pas à le sentir. On se faisait plus proche et en même temps nos retours étaient plus violents que jamais, comme si nous tentions mutuellement de cogner un peu de sens dans la tête de l'autre et, pour autant que nous craignions de prendre les choses en main, nous espérions malgré tout que l'autre aurait le cran de s'en occuper. Cela menait à des tensions croissantes, bien souvent réglées au pieu, mais parfois comme dans le cas de ce soir certains faits étaient juste trop gros à avaler pour laisser le tout s'arranger sous les draps. Nous nous étions violemment disputés, je l'avais giflé et puis je suis sortie. A défaut d'avoir un compagnon stable qui pourrait dire de garder un oeil sur les enfants, ma famille se faisait un malin plaisir de jouer les babysitter dès que je voulais une soirée pour moi -ou plutôt, pour Logan et moi- et ce soir mes jumeaux étaient chez mes parents qui étaient de passage en ville. Cela devait être le staff de l'hôtel où ils logeaient qui allait être ravis. Et c'est ainsi que je n'avais pas à penser à mes enfants alors que je descendais ce nouveau verre de scotch, à l'Irlandaise, comme Edward me l'avait appris à ses début dans le département d'archéologie de l'université. Nous étions proches aussi, lui et moi, et j'avais su choper un ou deux trucs du temps que j'avais bien passé avec lui. Le bar était calme, les conversations à peine dérangées par mon arrivée alors que tous avaient posé les yeux sur moi avant de reprendre le fil de leurs conversations. Certains regards m'avaient déshabillée des yeux, je le savais et pourtant ce n'était pas avec mon trench que j'allais bien pouvoir allumer ces hommes. Peut-être imaginaient-ils ce qu'il y avait dessous. Peut-être allais-je leur briser les doigts pour leur audace? Peut-être allais-je me sentir flattée et ouvrir mon trench coat pour découvrir une tenue rouge nouée dans le cou faites (achetée, plutôt) pour rendre dingue Logan. Normalement, cela aurait dû être pour lui. Mais la soirée s'affichait différemment et maintenant, franchement, je me moquais parfaitement qui posait les yeux sur moi. Au contraire, j'ajoutais un roulement à mes hanches en avançant vers le bar et demander un whisky. Je n'avais pas envie d'une conquête d'une nuit. Ou peut-être que si ? Scannant la foule du regard je ne trouvais personne retenant mon regard et c'est avec un soupir que je retournais mon attention sur mon verre, légèrement honteuse d'avoir presque paru en chasse d'un homme juste pour oublier celui qui m'horripilait à la maison.

J'allais m'avouer vaincue et déterminée à passer une soirée en solitaire, malgré les nombreux Don Juan qui se présentaient et / ou prenaient un malin plaisir à faire en sorte que j'avais en permanence le gosier irrigué. Dommage pour eux, je tenais bien l'alcool... Plusieurs s'en furent dépités et c'est une remarque amusée de la part d'une jeune femme qui fut la distraction providentielle loin de tout ce merdier. Elle avait une bonne conversation, et si jeune semblait-elle être elle ne paraissait pas le moins du monde être de celles n'ayant pas la tête sur les épaules. Sa présence m'était agréable, et après quelques temps à parler de manière sporadique, progressivement confortable jusqu'à finalement être à l'aise assez pour s'esclaffer à deux pour un rien -alcool aidant-, la soirée ne fut au final pas si mal que ça. Le tenancier annonça fermer pour la nuit et eu un petit rire à son tour en voyant face à lui deux moues boudeuses de demoiselles moyennement éméchées.
BARMAN – « Ne bougez surtout pas, ladies, je vous appelle un taxi. »
On n'est pas nécessairement conscient de ce qu'on dit ou fait quand on a bu un peu trop et si je protestais déjà pouvoir rentrer chez moi toute seule alors que lui claquais de la langue d'un air qui signifiait clairement qu'il n'en ferait qu'à sa tête, je dûs reconnaître que ce n'était pas une si mauvaise idée que ça. Mais j'aimais marcher, aussi, cela m'éclaircissait la tête... La moue boudeuse que je lui adressais n'avait pas disparu lorsqu'il revint satisfait de lui, mais un pourboire généreux était déposé sous mon verre vide, signe de reconnaissance vis à vis de sa sollicitude. Il n'avait pas été décidé que Maëlle vienne avec moi, il s'agissait plutôt d'une entente sous-jacente et à peine une demi-heure plus tard, l'ascenseur de mon appartement ouvrait ses portes et lui laissait découvrir mon domaine. Logan n'était plus là, avait tout éteint, s'était permis de quitter les lieux comme un voleur et d'une certaine manière, je lui en étais reconnaissant. Je n'avais pas envie de m'expliquer devant lui devant elle... Pourquoi l'avais-je ramenée chez moi, de toute manière ? Cette question, je ne parvins jamais à en trouver la réponse. Pourquoi ? Le penthouse ne semblait pas trop petit pour elle puisque je la retrouvais dix minutes plus tard face à la fenêtre surplombant la ville; je m'étais décidée sur un alcool un peu plus civil, plutôt que la bière ou le whisky et bien que ce n'était pas nécessairement conseillé de continuer malgré tout à nous faire boire, ce soir je ne voulais plus rien d'autre que faire avant de réfléchir et non plus l'inverse. Je lui offrais un verre, elle trébucha sur le même tapis qui fit presque chuter Logan lors de sa première venue ici et le tout sonna d'un air de familiarité effarant. Le tapis survécu sans trop de dommages, mais c'était plus que je ne pouvais en dire pour ma robe: rouge sur rouge, c'était toujours moins voyant qu'une robe blanche mais on devinait clairement une auréole plus foncée là où le breuvage s'était écoulé sur le tissu. Et Maëlle qui épongeait doucement avec sa serviette comme si cela allait avoir le moindre effet... jusqu'à ce que ses mouvements s'arrêtèrent au même titre que ma respiration. Sa main restait immobile sur ma poitrine et j'étais partagée entre la surprise et quelque chose d'autre, d'indicible. En temps normal, je me serais déjà reculée, pris la serviette de sa main et je me serais retrouvée à frotter frénétiquement mon vêtement. Mais nous n'étions pas en temps normal. Rayna avait battu en retraite vers son coin attitré, me laissant face à la jeune femme dont les gestes se faisaient de plus en plus familiers, alors que je me voyais incapable de réagir. Puis elle m'embrassa. Comme seule une femme pouvait le faire, avec une dextérité et une tendresse témoin de l'attention qu'on aime recevoir soi-même. Ses lèvres n'étaient pas les premières auxquelles je goûtais, mais cela faisait si longtemps que je n'avais plus passé de temps avec une femme que le sursaut, infime, fut là malgré tout.

Ma tête tournait, et j'ignorais parfaitement si l'alcool était à blâmer ou bien les virevoltes de sa langue contre la mienne alors que je capturais ses lèvres avec timidité, naissance d'une multitude de sensations contradictoires. Le prélude ne trompait personne, si nous nous laissions l'une et l'autre emporter ce soir, nous allions nous réveiller dans les bras l'une de l'autre. Et je n'étais pas certaine de considérer cela comme une mauvaise idée, dans le fond... Une main capturait mon visage, l'autre capturait la mienne pour finalement reposer sur ma nuque. Il y avait quelque chose de terriblement sensuel au développement de la situation, mais je n'était pas encore totalement détendue pour autant. Certes, je ne faisais rien pour l'empêcher, mais je ne me voyais pas l'encourager non plus... Au moins, jusqu'à ce que sa langue ne vienne caresser mes lèvres en clamant accès. Je suis particulièrement sensible, mais il n'y avait que quelques zones qui me rendaient particulièrement incapable de résister qui que ce soit. Je me laissais aller un instant, entamant un ballet lingual que Maëlle sembla plus que déterminée à suivre et rendre, et le tout dura quelques minutes jusqu'à ce que finalement je n'y mette fin.
CHEYENNE – « Attends... Attends. »
C'était à mon tour de capturer son visage entre mes mains, posant mon front contre le sien alors que je tentais doucement de libérer la brume causée par l'alcool et essayer de reprendre mes esprits. Machinalement, mon regard se fixa sur la chambre d'ami et si elle pouvait peut-être y interpréter un désir de ma part d'emmener les choses plus loin encore, je ne me souvenais vraiment que du fait que c'était là que Logan et moi nous étions unis pour la première fois. Il m'énervait, toujours à l'instant précis. Et la jeune femme allait être le réceptacle qui canaliserait cet agacement, l'être qui pourrait me permettre de l'évacuer pour de bon... Allais-je me servir de la jeune femme à de telles fins ? Elle ne me laissa pas exactement le temps d'y réfléchir, puisqu'à peine ma respiration retrouva-t-elle un rythme normal, aussitôt la jeune femme revint à l'attaque, ravissant mes sens, me perdant dans un océan sans logique, basé uniquement sur les sensations et l'instant présent. Elle était entreprenante, je pouvais au moins lui accorder ça mais à cette exception près, je restais apparemment l'aînée et la plus à même d'engager les choses entre nous. Mes mains libérèrent son visage, glissant le long de ses bras jusqu'à descendre et se poser sur ses hanches. Il y avait un moment que je n'avais pas été avec une femme, il me fallait réapprendre, m'acclimater à nouveau à la douceur d'un être alors que Logan se plaisait à partager brutalité et tendresse. Remontant une main sur l'un de ses bras, je vins à capturer la bretelle de son vêtement, profitant de la caresse pour venir frôler certaines courbes que je n'avais plus approché depuis le collège. La douceur, la pureté d'une femme. Si Salaun entrait à cet instant précis, je le voyais bien réclamer un show privé. Si Edward était seulement présent, il aurait déjà fait une attaque. La bretelle du vêtement de Maëlle tomba et à admirer le relâchement du vêtement, je venais à contempler la jeune femme tel que je ne l'avais encore fait auparavant: avec un appétit qu'elle semblait seule capable d'apaiser. Je voulais oublier. Oublier Logan, oublier qui j'étais, je voulais me retrouver un instant dans les bras de quelqu'un sans vraiment savoir où aller à partir de là. Seule une chose restait certaine: quoi qu'il se passait ce soir, cela ne représenterait jamais rien d'autre que ce que cela symbolise ce soir. Et uniquement ce soir... Et il fallait que la jeune femme le comprenne bien.


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MessageSujet: Re: Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  EmptyLun 20 Aoû - 17:03

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  • Essayant de réparer mon erreur suite à ce tapis ou étaient venus se prendre mes pieds, je ne sus pourquoi j’avais été entreprenante après avoir ressenti une drôle de sensation qui avait émergé de tout mon être, une bonne soirée en somme, une rencontre, quelques verres que je me sentais légère et comme si le monde pouvait m’appartenir, comme tout être ayant bu plus que raison. Mais là, j’étais debout face à Cheyenne cette sublime femme au regard presque félin, la situation avait fait que j’étais près d’elle, mes mains sur différentes parties de son corps que mes lèvre s’étaient venues se plaquer doucement contre les siennes avant de venir demander asile en sa bouche, ou ma langue s’immisça peu à peu…je n’avais pas eu plus de relations que cela avec une autre femme, certes des baisers échangés plutôt torrides étaient plus fréquents lors de soirées animées ou l’ambiance étaient souvent très chaudes aux airs latinos mais ici ce fut le contraire, le lieu était apaisé, écarté de tous regards indiscrets avec une parfaite inconnue jusqu’à ce soir…Elle ne semblait pas réfractaire à mon geste, bien qu’inconsciemment j’avais peur de la confronter à une situation gênante, mais il n’en fut rien du moins pour le moment. C’était tout à fait autre chose que de venir s’accoler contre un homme, plus de sensualité peut-être ou à un degré différent, plus de douceur en différents termes et aussi une irrésistible envie de partager un moment intense avec une personne du même sexe, car seule une femme est capable de donner un réel plaisir sachant que le corps de l’autre fonctionne de la même manière que le nôtre. Certes c’était incomparable avec la ration entretenue avec une personne de sexe opposée mais les sensations, les ressentis étaient autres…L’excitation de toucher, de gouter un autre corps qu’à l’habitude, autre que masculin était déstabilisant mais si tentant…Mais elle semblait aller en mon sens, sentant son souffle contre mon visage, mon cœur battant à tout rompre et de fortes intensités, quand soudainement elle me demanda d’attendre…avais-je franchi la limite à ne pas franchir ? je le crus sur l’instant avant de sentir ses mains sur mon visage la regardant stupéfaite alors que nos fronts se touchant elle laissant un moment de blanc, ou je ne bougeais pas, tentant également de reprendre un rythme cardiaque des plus lents, fermant un instant les yeux…avant de les ouvrir de nouveau suivant son regard vers une autre pièce probablement…mais les gestes reprirent le dessus guidés par les sens et le moment présent. Elle prit l’initiative sentant ses mains descendre peu à peu ou je frissonnais, n’arrivant pas réellement à me situer au final, comme s’il m’était impossible de réfléchir tout bonnement et ne voulant pas non plus le faire, tant j’appréciais ces échanges timides voir parfois maladroits ne sachant pas si être plus directe aurait été une sorte de frustration pour l’autre, pour Cheyenne. Je me laissais faire, sentant mon cœur bondir de nouveau en ma poitrine, la regardant faire avec sensualité, mes lèvres entrouvertes laissant échapper u filet d’air lourd et chaud…Mon vêtement relâché je la fixais de telle manière qu’elle comprenne que je n’étais pas là à la recherche d’une quelconque relation autre qu’intime, simplement une situation s’offrant à nous, si elle le souhaitais toujours sans rien attendre ou demander en échange, un moment intense partagé rien de plus, ni moins…

    Mais restée ainsi à ne pas bouger, si excitant que cela pu l’être je ne pouvais restée inactive que la laissant malgré tout agir à sa guise, l’une de mes mains vint se poser sur l’un de ses flancs, remontant doucement jusqu’au effleuré l’un de ses seins, remontant qu’à son cou, la caressant avec une extrême douceur, comme une chose fragile et délicate, humant sa douce odeur, comme respirant l’odeur enivrante d’une rose s’épanouissant avant de venir déposer le bout de mes lèvres sur sa joue, jusqu’au creux de son oreille, jouant la carte de la sensualité et de la tendresse. Mon corps semblait parfois se raidirent sous cette excès de désir que j’éprouvais pour elle, pour ses gestes, que ne voulant nullement la persécuter mes mains vinrent doucement épouser les courbes de son corps, ne sachant si elle voulait vraiment aller plus loin ou alors si elle se sentait comme prisonnière de cette situation alors mes lèvres vinrent se poser tout contre son oreille afin de lui murmurer quelques mots « Je peux m’arrêter ou alors continuer… »Mes mains toujours son corps j’attendis qu'une réaction de sa part surtout qu’elle venait d’avoir de la répartie alors ne sachant comment agir je préférais peut-être attendre qu’elle me guide, après tout on était chez elle, et c’est moi qui avait commencé…
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MessageSujet: Re: Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  EmptyLun 22 Oct - 11:22

corbeille
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MessageSujet: Re: Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne Le goût de la Bière sur tes lèvres [HOT] // Cheyenne  Empty

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