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Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey]

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MessageSujet: Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] EmptySam 21 Jan - 20:23

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Les sirènes d’ambulance perçaient le son de la ville, les voitures se tassaient sur son chemin. Il était près de six heures du soir, et la journée était loin d’être terminée. Assise sur un banc au coté d’une civière, je tenais la main de Pacey qui tremblait. Le trajet semblait horriblement long. J’avais peur qu’il ait une seconde faiblesse. J’étais terrifiée, paniquée et je n’osais même pas imaginer son état. Je serrai ma main un peu plus fort. Pour lui donner une force que moi-même je n’avais pas. «Ça va bien aller, ne t’en fais pas. » Je voulu lui faire un sourire franc, mais il fut faible et triste. J’avais peur. Excessivement peur. Même si c’était moi qui nous avais placés dans cette situation, je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir envie de pleurer. «Je suis là, ne t’en fais pas. Ça va bien aller. » Je répétais ça, pour lui, mais pour moi aussi. Pour me convaincre que j’avais fais le bon choix. Que j’avais bien fait de m’inquiété. Que j’avais bien fait d’appeler les urgences sans sa permission. Il n’y a même pas de cela vingt quatre heures, je débarquais chez mon ex totalement bourrée pour passer une nuit interdite. Le tout s’était poursuivit au réveil. Nous avons eu une longue discussion, plus douloureuse qu’utile. Moi qui voulais mettre notre relation au clair, nous avions fini par nous avouer que tout deux étions encore amoureux l’un de l’autre mais que je pouvais plus lui faire assez confiance pour me mettre en couple avec lui. Moi qui croyais que cette discussion mettrait fin à notre idylle a jamais, nous avions au contraire fait suite à cela l’amour d’une façon aussi passionnel et fusionnelle que torride. Une dernière fois, comme Pacey me l’avait dit. Mais tout cela n’avait fait qu’empirer mes sentiments amoureux pour lui, et sa condition physique faible. Lorsque je l’ai vu s’écrouler alors qu’il voulait se lever, j’avais pris la décision d’appeler le 911. Après devoir habiller celui qui brisait mon cœur, me voilà à le suivre à l’hôpital avec une unique pensée; je ne supporterais pas qu’il parte. J’étais totalement amoureuse de lui. Moi qui croyais réussir à taire mes sentiments pour lui, voilà que la situation les faisait imploser au centuple. Je n’avais envie que de lui dire une chose. Je t’aime. C’était tout ce que mon corps avait envie de lui crier. Mais le peu de ma raison qui me restait m’en empêchait.

L’ambulance arriva enfin a sa destination; l’hôpital général de San Francisco. On le sortit du véhicule et je le suivi a travers la salle d’attente. Les gens qui devaient attendre depuis des heures nous regardaient intrigués, se demandant pourquoi cet homme était dans une civière. S’inventant des centaines de scénario. Et pestant car sa venue retiendrait sans doute un médecin consultant, allongeant leur temps d’attente. Je le soulevai totalement tremblante. Pacey arrivait à peine à répondre au question d’usage de l’infirmière préposée. Je m’appliquai donc à lui répondre. Disant son nom, son âge et la raison de sa venue ici. Les ambulanciers complétèrent leur rapport et on emmena directement mon ex petit copain dans une salle de consultation après l’avoir mis ans une civière. Je vint pour le suivre mais on refusa, «Pourquoi?» Demandais-je en regardant l’ex professeur disparaitre sous les battants de la porte. «Selon les papiers des ambulanciers, vous êtes son amie, c’est ça.» Je jetai un regard confu à l’infirmière devant moi. «O…oui c’est bien ça. Enfin…je suis son ex petite amie» Mes yeux se remplirent d’eau. «Désoler, seulement la famille peut assister aux examen préliminaire » Elle me tendis une boite de mouchoir alors que des larmes coulaient sur mes joues. Je n’étais sans doute pas la première personne à qui elle annonçait cela, ma réaction était sans doute très usuelle pour elle. «Ne vous en faite pas mademoiselle….» «Pedersen» reniflais-je en épongeant mes yeux humide. «Mademoiselle Pedersen.» Poursuivit l’infirmière. « Il est entre bonne main. Vous aurez des nouvelles aussitôt que possible. Vous pouvez allez dans la salle d’attente, je demanderais au médecin de vous informer la situation de M. Stenfler.» J’hochai la tête, totalement confuse. J’ignorais qu’est-ce qui se passait avec Pacey, mais je savais en voyant le regard compatissant de l’infirmière et des préposé qui s’afféraient dans la salle, que j’avais fait le bon choix en forçant Pacey à venir ici. Tout ce que j’espérais, c’était qu’il soit soigné et retrouve sa santé. C’était tout ce qui importait en ce moment. «Merci.» Soufflais-je à l’infirmière en prenant un autre bout de tissus. «Ça va prendre combien de temps environs?» Je voulais savoir si j’avais le temps d’aller pleurer un coup dans les toilettes et d’appeler quelqu’un pour me confier. Car présentement, j’étais sur le point d’exploser. J’avais besoin de parler à quelqu’un, de laisser tout ça sortir un instant. «Nous sommes assez débordés ce soir. Mais il est prioritaire. Avec les tests et tout, je ne peux vous dire de temps précis. Mais attendez vous à patientez quelques heures. Mais comme je le dis mademoiselle Pedersen, ne vous inquiétez pas. Dès que vous pouvez le voir, vous serez appelée. » J’hochai la tête, remerciant une seconde fois l’infirmière qui me demanda d’aller dans la salle d’attente. Elle avait surement d’autres personnes a voir. J’acquiesçais puis je partis dans la salle bondée. Je me dirigeai immédiatement vers les toilettes où je m’y enfermai un moment. J’éclatai immédiatement en sanglot et ne réussis à me calmer qu’après un long moment et beaucoup d’eau dans le visage.

J’avais faim. Je n’avais rien dans le ventre depuis la veille, sauf deux cafés à la cannelle pris lors de notre discussion. Bien que la peur me coupait les entrailles, je ne pouvais ignorer se grondement dans mon ventre. Me retrouver comme Pacey par force de sous alimentation était la pire des choses à faire en ce moment. Je demandai à un employé et on m’indiqua la cafétéria. Après avoir marché dans une multitude de corridor, je me mis à paniquer. Bon sang, j’espérerais que Callum ne travaillait pas en ce moment. Je ne voulais pas lui expliquer le pourquoi du comment je m’étais retrouvé à l’hôpital. Je réalisai alors que je n’avais pas la force de l’appeler. Et encore moins mon frère. De un il serait furax que je sois allez chez Pacey et de deux il en avait encore plein les bras avec Payson. Il me dirait sans doute de me débrouiller. Et même si ce n’était pas le cas, quelque chose m’empêchait d’appeler mon frère en panique. Pas après tout ce que je lui avais fait subir avec Mikael. Soupirant, je regardai mon cellulaire et je vis le contact de Lunabee. Une nouvelle amie que je m’étais fait il y a deux semaines de cela. Elle était d’une bonne écoute. Je décidai donc de l’appeler après avoir mangé. Je fini par aller commander une soupe avec une salade de fruit et un thé. J’avais besoin de me calmé et le café était proscrit pour l’instant. Je mangeai sans grand appétit le maigre repas que j’avais puis pris mon gobelet de thé et sortit à l’extérieur. Les cellulaires étant interdis à l’hôpital, je du me trouver un banc non loin de l’édifice et m’y asseoir. Tremblante, j’appelai Lunabee en éclatant en sanglot. Plus je racontai mon récit, moins j’avais de retenue. Au bout d’un moment elle fini par me calmée et racrochai en la remerciant. Un type a mes cotés me fis un sourire triste. «Bonne chance.» Me souffla-t-il avant de traverser la rue. Je lui fis un sourire reconnaissant. C’était fou comme un peu d’encouragement venant d’un inconnu pouvait illuminer un moment sombre de ma vie. Je revins dans l’hôpital, me pris un second thé et me dirigeai vers la salle d’attente. Elle semblait encore plus pleine qu’a mon arrivée. Je m’assis sur un des sièges inoccupé, n’ayant pas la force de regarder les gens autours de moi. Je n’avais que l’image de Pacey dans la civière qui s’incrustait en moi comme un mauvais souvenir. Je pris au passage une revue à potin datant d’il y a quelques temps et me mis à la feuilleté sans intérêt. Mon cœur se déchira en voyant que j’avais pris par hasard la revue contenant l’article qui avait provoqué ma séparation avec celui qui était avec les médecins maintenant. Je la remis à sa place, déposai mon gobelet fumant au sol et mis ma tête entre mes mains avant d’éclater d’un sanglot silencieux. Je n’avais cure que les gens autours de moi me regardaient. J’étais au bout du rouleau. Incapable d’en prendre d’avantage. Je voulais mourir. Je ne voulais pas que Pacey, lui, meurt.
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MessageSujet: Re: Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] EmptyDim 22 Jan - 20:23



Moi qui, vendredi soir, était sortie en boite sur un coup de tête pour tromper une solitude trop pesante, me voilà dimanche matin à l’hôpital attendant un mauvais café après avoir passer un test de dépistage. C’est de là que me venait la question : mais qu’est-ce qui s’était passé bordel? Tout semblait à la fois illogique et pourtant il était arrivé tout cela dans un ordre précis qui faisait du sens. Vraiment, la vie parfois était une salope. Je baillai lourdement, me demandant quel heure pouvait-il être lorsque je vis qu’il était dix heures passés. Je soupirai. Finalement j’avais passer un weekend pourris et j’allais retourner à l’école demain absolument chamboulée et allait devoir raconter un peu n’importe quoi à mes amis d’école pour ne pas leur dire que j’avais fini par passer le weekend avec mon ex petit ami et que j’avais en poche grâce à cela un billet pour aller voir un psychologue. Prenant la tasse fumante, je soupirai lourdement. Elle était où la Viktoria insouciante et joyeuse? Sans doute enterrer avec Mikael. Mais je commençais à en avoir vachement marre d’être cette boulle d’émotion qui fut incapable de profité au maximum d’une relation amoureuse merveilleuse par peur de son frère. Je trempai mes lèvres dans le liquide infect en essayant de chasser ces pensées sombres de ma tête. Je posai un sourire plus faux que je ne le voudrais et j’entrai dans la chambre de Pacey. Maintenant assise, je voyais ses yeux rouges et me sentis dépasser par les évènements. Je savais que mes confidences auraient eu cet effet, mais je n’avais pas plus le courage de géré les dégâts. J’étais épuisée, au bout de nerf, j’avais mal partout et je me sentais aussi fragile qu’un flocon de neige. J’avais le sentiment que si Pacey pleurait, j’allais me fâché contre lui. Ce qui serait inutile et le ferait encore plus pleurer. Non. Franchement. J’allais mettre au clair tout de suite la situation et refusé d’en discuter durant des heures. Je n’avais ni la capacité physique et mentale pour enduré une autre de ses crises d’angoisse. J’en avais trop donné ce weekend. Mais avant, je répondis à sa question. «On fait passer.» dis-je pour ne pas lui avouer que j’étais dans un état lamentable et je n’avais qu’une envie; dormir et pleurer dans une douche d’eau chaude. «Et ne t’inquiète pas. C’est pas la fin du monde. Et je devais bientôt aller passer ce test, ca sera fait. » Je lui fis un petit sourire réconfortant. J’essayais de voir du positif dans la situation, car j’étais persuadée que lui n’en verrais aucun.

«Ecoute Pacey.» Je bus une gorgée de mon café avant de le regarder droit dans les yeux. «Tu as compris que ce que j’ai dis a l’infirmière ce n’était pas totalement vrai. J’ai couché avec personne entre Mikael et toi. C’est juste que…. » Comment formulé cela? « Comme tu as dis que nous étions un couple, je ne pouvais pas dire que depuis que tu avais rompu j’ai enchainé les conquête pour t’oublier. » Je baissai les yeux, honteuse. Entre le penser et le dire a voix haute, cette réalité était épouvantablement difficile à faire face. «Et je sais que tu te pose la question alors je te le réponds; non ça ne fonctionne pas.» Je l’aimais toujours. À en crever. J’écoutais une chanson en boucle ces derniers jours qui décrivais bien ce que j’avais essayer de faire, sans succès. Dave Matthews chantais one more drink and I move on, mais j’avais beau boire, je n’arrivais pas à l’oublier. La chanson commença à jouer dans ma tête, me calmant d’un seul coup. J’adorais son effet anesthésiant sur ma douleur. «Mais ça ne change rien de tout ce qu’on a discuté hier. » Voilà, c’était dit. Et j’espérais sincèrement ne pas a avoir à essuyer une crise épouvantable.
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MessageSujet: Re: Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] EmptySam 28 Jan - 19:49


On fait passer... C’était sûr que pour aucun des deux, le moral était au beau fixe. Pacey s’en voulait d’avoir entrainé sa compagne ici à l’hôpital. Et que par sa faute elle devait aussi subir des examens.

    Pacey : " – Ce n’est pas une raison. C’est… C’est de ma faute si tu dois subir tout ça. Si on ne… Si on ne l’aurait pas fait… Jamais fait, tu… Tu n’aurais pas eu des examens à faire aussi… Car bon en y réfléchissant ta pilule te protège juste d’une grossesse, mais euh… Pas d’une… D’une maladie… Si tu… Si tes tests reviennent positifs, ce… Ce sera de ma faute… ‘Fin je crois… A moins que tu… Tu ne mets pas de préservatifs avec les autres non plus… “


Si Pacey avait réellement choqué une infection, il refusait de croire que ce soit la Sampi qui l’ait contaminé. Pourtant cette hypothèse était tout à fait possible puisque la jeune femme a eu d’autres partenaires contrairement à lui. Et même si elle se protéger comme il fallait, personne n’était à l’abri qu’une capote qui craque ou autre. Viktoria avait légèrement menti sur l’historique de sa vie intime à l’infirmière. Quant à l’enseignant, il s’était déjà fait tout un tas de film comme quoi elle l’avait trompé… Mais visiblement lorsque l’étudiante remit les choses au clair, le Workers se sentit bien bête. Elle lui expliquait pourquoi elle avait eu autant de partenaires et les conséquences. Elle revint brièvement sur leur conversation de la veille pour conclure. Tout cela brisa le cœur de l’acteur plus qu’il ne l’était déjà. Lui qui espérait très naïvement que cette épreuve de l’hôpital les aurait rapproché au point qu’ils forment de nouveau un « nous », il s’était bien trompé.

    Pacey : " – Alors si je résume bien, tu… Tu bois, tu te drogues et tu couches avec le premier venu uniquement pour m’oublier mais pourtant tu refuses que l’on… Je ne comprends pas ta logique Viktoria. Visiblement on s’aime tous les deux, certes j’ai fait une grosse erreur, que tu me punisses ça je ne peux t’en vouloir, mais pourquoi te détruire de la sorte ? Tu vaux mieux que cela Vik… Si tu… Ca me fait horriblement mal de penser ça mais si tu t’autodétruis de la sorte pour moi, c’est peut être qu’au fond j’avais raison lors de notre rupture. Je ne suis rien de bon pour toi. Je ne suis qu’un poison qui démolit ton existence. Excuse moi d’avoir dit à l’infirmière que nous étions un couple. Je… Je pensais sincèrement que toi et moi, on… Qu’après qu’on ait fait l’amour tu avais changé d’avis. Je suis vraiment le dernier des idiots… Pourquoi est ce que je me tête à espérer qu’un jour on retrouvera tout ce qu’on a perdu ? Pourquoi ? “


Le patient se frottait les yeux pour essuyer ses maudites larmes qui étaient sur le point de couler encore et toujours. Il aimait cette fille. Totalement perdu, il ne savait pas quoi faire, quoi dire, comment réagir tout simplement. Le silence se faisait d’une lourdeur insupportable. Pacey prit quelques minutes pour essayer de se calmer un minimum. Ne serait ce que pour ne pas craquer pour la énième fois devant l’étudiante. Il se faisait déjà assez pathétique comme ça.

    Pacey : " – Je t’ai réellement cru quand tu… Quand tu me disais que tu voulais que je sois le dernier... “ Evidemment il parlait des relations sexuelles. " – C’était très difficile pour moi de… De sauter le pas te sachant expérimentée de la sorte. Je ne pouvais pas t’en vouloir d’avoir un passé amoureux que je n’avais pas. En te faisant l’amour hier, je me doutais un peu que tu… As été voir d’autres hommes après notre rupture. Mais j’espérais de tout mon cœur qu’on reste ensemble. Que tu étais revenue vers moi dans l’unique but qu’on reforme un couple toi et moi. Mais visiblement non. Alors pourquoi avoir fait ça ? Pourquoi être revenue chez moi et avoir couché pour ensuite me rejeter ? Tu n’aies pas la seule à souffrir de la situation Viktoria. Contrairement à toi, je ne sors pas et je n’essaye pas de t’oublier dans le lit d’inconnus, mais ce n’est pas pour autant que je n’ai plus aucun sentiment envers toi. Cette rupture je ne l’ai jamais souhaité. Si c’était à refaire, j’aurai agi autrement. J’aurai démissionné sur le champ pour continuer à avoir cette chance inespérée d’être encore dans tes bras. Malheureusement on n’a pas toujours le choix. Maudit soit l’argent surtout lorsqu’on en manque cruellement. A Berkeley je n’avais que le statut de stagiaire et en dehors étudiant tout comme toi. Lorsqu’on n’est pas titularisé, que l’on n’a pas le diplôme adéquat, le salaire perçu n’est qu’une misérable qui aide à payer qu’une partie des charges. Si je me retrouvais définitivement sans emploi, ce maudit studio humide je ne l’aurai déjà plus. J’ai le propriétaire sur le dos qui n’attend que ça pour me mettre dehors. Durant ma mis à pied, j’espérais fermement trouver un autre job, mais la santé n’a pas suivi. Mais si cela aurait été à refaire, j’aurai préféré perdre ça et tout ce qui est matériel plutôt que te perdre toi. Car en te perdant, j’ai tout perdu. Hier j’ai cru que la vie valait peut être la peine d’être vécue. Mais finalement je m’aperçois que non. Alors pourquoi tu m’as fait amener ici ? Je n’ai plus aucune raison de vivre sans toi. Et si je ne suis plus là, tu n’aurais plus aucune raison de te détruire comme tu fais. Je comprends que tu puisses être déçue pour avoir trop pardonné par le passé. Mais je n’ai fait qu’une erreur Vik. Je suis peut être beaucoup plus âgé que toi mais je n’en reste pas moins un débutant en matière de relation amoureuse. T’avoir perdu une fois a été la pire des leçons qui puissent exister. Jamais je ne referai cette bêtise. Pour moi tu es tout. Tu as été la première mais tu resteras aussi la dernière… “

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MessageSujet: Re: Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] Making plan to change de world while de world is changing us. [Pacey] EmptySam 28 Jan - 21:32

Lorsque Pacey fini de parler, je ne le regardais plus, mon café était vide et je jouais avec le carton jusqu’à le détruire. Voilà, il venait de porter le coup final. J’étais officiellement anéantie et brisée. Je ne me sentais plus capable de subir ce genre de conversation. J’avais tenté d’être calme et adulte, mais je voyais que mes efforts étaient inutiles. Quoi qu’il arrive, nous revenions toujours au point de départ. J’avais envie de vomir. Et ce n’était pas une image. La nausée me pris autant que le découragement le plus absolu. Je n’allais pas bien. Pas du tout. Je fus incapable de parler durant cinq minutes, trop concentré à contrôler mes émotions. Je me sentais brisée psychologiquement. Je n’étais plus capable de supporter le poids de ma propre vie. Mon verre était à moitié déchirer lorsque je me mis à parler. Je ne relevai pas la tête, ca ne valait pas la peine. Je ne voulais faire qu’une chose; partir. Tout ce weekend n’était qu’une grossière erreur et j’allais sentir les conséquences pour les semaines à venir. «Finalement, tu n’as rien compris de la discussion qu’on a eu. Ça t’es rentré par un oreille et t’es sortit par l’autre.» dis-je très amèrement. Je lui avais pourtant ouvert mon cœur, lui avait expliqué que je l’aimais mais que je ne pouvais plus faire confiance. Et que s’il voulait que je revienne, il allait devoir regagner ma confiance. Ce n’était pas une question de pardon. Loin de là. J’avais envie de tout détruire dans la pièce, mais j’étais beaucoup trop épuiser pour cela. «Je ne vais pas passer ma vie à répéter ce que je t’ai dis à ton appart. Je ne sais pas pour toi, mais moi ce que j’ai dis c’était vrai. » Décidément, son attitude me prouvait encore une fois que je ne pouvais pas croire tout ce qu’il me disait. «Tu sais mes sentiments pour toi, et tu sais pourquoi j’ai dis non. Même si, pour moi, ca été une des choses les plus dure à faire de toute ma vie, je ne démorderai pas de ma réponse et tu sais pourquoi. » Punaise, j’en avais tellement mare. Je souffrais. Et bien que mon visage se voulait passif, on le lisait très bien. «J’ai mis mon âme a nu à ton appart. Maintenant prend ce que tu veux, crois ce que tu veux. Mais moi, j’en peu plus. Je ne peut plus tolérer cela. Ca fait trop mal… et je suis en train de comprendre que si on ne peut être ensemble, on ne peut pas non plus être des amis. En tout cas, pour moi. Pourquoi? Parce qu’on a des sentiments partagé mais que je refuse de me remettre en couple et tu sais très bien pourquoi. Ce n’est pas juste une question de pardon. Et si tu n’as compris que ça, c’est que tu ne m’as vraiment pas écouté. » Je faisais des efforts surhumain pour ne pas éclater en sanglot, mais je refusais de me montrer vulnérable une fois de plus devant lui. J’en avais simplement marre. J’étais en colère et totalement dévaster. Tuer moi, quelqu’un. «Et que chaque fois que je vais poser un geste envers toi, tu vas croire qu’on est ensemble. Je…non… c’est trop dur Pacey. Je… je ne suis pas capable de supporter ça. Pas maintenant. Je comprends que tu souffre…. Mais je dois me protégé. Car présentement tu ne sais pas dans quel état je suis.» Ma voix tremblait, trahissant mes émotions. Je me levai et j’allai jettai le restant de carton qu’était au paravent un goblet. Je tremblais comme une feuille. Je mis mon manteau en continuant à parler. «Alors je vais te laisser ici. Réfléchir un peu a tout ce qui vient de se passer. Mais surtout a tout ce qu’on s’est dit. Repose-toi. » Je mis mon foulard, les larmes aux yeux. «Et tu n’es pas le seul à devoir réfléchir. Je suis autant dans le tord que toi et je vais le faire. Mais pas là, pas ici. Ma présence te détruit et me détruit tout autant. J’ai…J’ai besoin de retourner à la maison, prendre une douche et décompressé de tout ça. C’est égocentrique, je le sais. Mais tu as aussi besoin que je ne sois pas là. Pour que tu cesses de te poser des centaines de questions sur mes actions et que tu te concentre sur ta guérison.» Mon discours était confus, je le savais bien. Mais j’avais l’impression d’étouffer en ce moment. Chaque respire m’était douloureux tant j’avais envie de mourir en ce moment. «Et si jamais j’apprends que tu te laisse mourir, je vais comprendre que tu es un sale égoïste qui préfère mourir plutôt qu’affronter la réalité. » J’essuyais mes yeux. J’avais craqué finalement. Et je m’en voulais horriblement. «Putain Pacey je t’aime okay? C’est ce que tu veux entendre? T’as gagnée. Je t’aime j’suis totalement dingue de toi. Je rêve chaque nuit d’être dans tes bras. Mais je… je peux pas ok? Je ne vais pas te redire pourquoi, tu le sais. Mais je t’interdis de croire que j’ai tourné la page. C’est faux. Mais là… je dois partir. J’en peux vraiment plus. » Je souffrais tellement. «Si tu ne veux pas que je reviennes plus tard dis le moi. Si tu veux que je revienne, dis le moi. Mais je ne te dirais pas quand je passerais, et tu dois me promettre de penser à ce qu’on s’est dis chez toi. Sans quoi, je n’y arriverais tout simplement pas. Et tous les efforts que je fais présentement pour te garder dans ma vie malgré tout, je les abandonnerais. » J’écoutais sa réponses et je hochai la tête avant de me diriger vers sa porte de chambre. Je me retournai vers lui, les yeux ruisselant de larmes. «J’suis a bout Pacey. Mais je t’aime trop pour te laisser partir. Alors bat toi, je t’en pris. Bat toi avec moi.» Je sortis de la chambre et hélai le premier taxi que je vis. Une fois dans la voiture, je m’écroulais en larme. Ce que je venais de faire était pire qu’une rupture.
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