« Fais-toi simplement aussi plaisir que tu le peux. Profites, et arrête de te prendre la tête, d’accord ? Non, je n’ai pas de MST, t’as pas à t’en faire de ce côté-là, Neela.» Il se demandait d’ailleurs pourquoi elle pensait qu’il puisse simplement avoir une MST. Mais elle le disait elle-même, elle couchait avec pleins de mecs également. Bon, pas autant que lui, mais quand même. D’ailleurs, il se demandait si elle avait couché avec d’autres hommes, depuis qu’eux deux s’étaient retrouvés. Après tout, il faisait tellement fréquemment l’amour, que Berny se demandait si Neela avait ne serait-ce seulement le temps d’aller voir ailleurs. Puis.. Berny serait extrêmement jaloux si elle allait voir ailleurs. Ce qui prouverait qu’il ne la satisferait pas. Ce qui ne lui plairait pas trop, comme idée, en fait. M’enfin. Après tout, elle ne lui appartenait pas.. Malheureusement. Ensuite il fronça les sourcils aux parole de sa bien aimée. M’enfin, « bien aimée », c’était sûrement exagéré. Il devait vraiment lui être arrivé quelque chose de grave, pour qu’elle parle carrément de « calvaire ». Abandonnée et trahie. C’était ce qu’elle avait été. Du moins, c’est ce qu’elle disait. Et il n’avait pas été là pour elle, à l’époque. Non, il n’avait pas été là pour elle, et il s’en voulait. Il aurait dû. A la place, il était au canada, à jouer au hockey comme un couillon.« Je suis là pour toi, maintenant. Tu n’as plus besoin de ça pour ne plus te sentir seule. Tu ne seras plus jamais seule Neela, tu as ma parole. » Plus jamais il ne la laisserait seule. C’était hors de question, de toute manière. Il serait là pour la protéger, pour toujours. Il fallait qu’elle aille bien. Il fallait qu’elle aille mieux. Il ne fallait pas qu’elle l’abandonne, ni rien. Puis vint le chantage. La seule solution qu’il avait trouver pour ne serait-ce la convaincre d’arrêter l’alcool. Et.. comme predis, elle piqua une crise. Il ouvrit grand les yeux. « J’suis peut être un enfoiré, mais c’est pour ton bien que je fais ça, ne l’oublies pas, d’accord ? » Sa mine boudeuse était vraiment trop craquante. Il se pencha pour l’embrasser, un baiser bref et doux. A ses paroles, il fit un grand sourire et hocha la parole. « Je ne coucherai plus avec Flavia, je ne l’embrasserai plus, je ne l’a toucherai plus. Promis. Mais à partir du moment où tu touches la moindre goutte d’alcool, je m’en vais la voir, ca marche ?».Jagger espérait que ça marcherait. Le beau gamma lui caressa la joue, en espérant qu’elle ne boude pas aussi longtemps. Puis il haussa ses épaules musclés à ses paroles « Ca arrive, tout le monde faire des erreurs. Ne pense plus à ça, d’accord ? » Il caressa sa joue avec son pouce, en lui faisant un sourire rassurant.
« Je relève le défi… On pari combien que j’y arriverait ? aussi grande ta villa soit elle, je suis inépuisable de ce côté-là, tu m’as bien vu faire pendant une semaine ! Tu verras, tu verras, je te ferai l’amour partout, à chaque endroit de ta villa, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus » il lui fit un clin d’œil, puis ria à ses paroles « Cherche pas d’excuse, tu dis juste ça parce que t’as peur, t’es la frouuuuuse ! et que t’en ai même pas capable. Tu sais très bien que je te ferai crier tellement fort que ça empêcherai tes voisins de se concentrer. Mais bon, comme t’es une froussarde, je peux pas te faire l’amour sur l’herbe. » Il aimait la provoquer, c’était particulièrement amusant. Evidemment, c’était pas une provocation « méchante », c’était pour s’amuser, et elle le savait bien. « Je te satisfairai tout les jours, et toute les heures s’il le faut, Neela. C’est pas ça qui va me déranger, tu sais » Il lâcha un petit rire à cette perspective.

Berny était aller sous la douche, pour se laver, mais aussi pour se calmer de la vue qu’il avait vu sur le magnifique et parfait corps de Neela. Il était tout sauf indifférent à la brunette carrément sexy. Il avait toujours eu cette attirance folle pour elle. Et jamais rien n’avait changer cette attirance physique. Comme si elle était un aimant, en fait. Un aimant, auquel personne ne pouvait résister. C’était comme ça. Peut être un autre signe sur le fait qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Ou pas. Le beau brun avait dit à la jeune oméga d’aller se reposer, que c’était mieux pour sa santé. Et qu’une douche avec lui n’arrangerait rien à son état, en fait. Il ne voulait pas qu’elle se fatigue... Berny ne voulait pas qu’elle se sente mal, ou quoi que ce soit. Dans sa douche, alors qu’il se lavait, et bien sûr, pensait à la belle Di Marco, celle si vint dans la douche. Surpris au début, il mit vite ce sentiment de côté pour la serrer contre lui et l’embrasser comme il se doit. « C’est tout bonnement impossible de te résister, de toute façon… ah oui ? Et qu’est-ce que tu veux ? » Il lui en fallait peu, et là, elle qui était là, dans son tee shirt blanc trempé, il pouvait déjà plus tenir. Elle était tellement…waw. Il la plaqua contre la paroi, comme il avait fait la première fois qu’ils avaient fait l’amour. Berny l’embrassa, lui caressa la cuisse, d’une façon enflammer. « Non… tu n’es pas interdite de me toucher, ni de te déshabiller… Mais tu es quand même malade » Parole en l’air, parce que malgré le fait qu’elle soit malade, il l’avait regarder enlever sa culotte, tout en se mordant la lèvre inférieur. Il l’embrassa sauvagement, puis en l’entendant, il sourit… « D’accord.. tu me dis quand ça ne va pas, promis ? » Bien sûr, Berny s’inquiétait pour elle. Comment ne pas s’inquiéter ? Elle venait de sortir de l’hopital, et ils s’apprêtaient à coucher ensemble, sous la douche. L’eau coulant sur leur deux corps, Berny enleva en vitesse, presque sauvagement, le tee shirt de Neela, pour enfin pouvoir poser la paume de sa main sur sa poitrine, son ventre, ses cuisses. Jagger ne tenait plus vraiment, il la voulait, maintenant tout de suite. Il la souleva, posant une main sous sa cuisse pour la, il fut enfin en position pour unir leur deux corps qui fut en fusion total. Il commença à lui faire l’amour comme un dingue, d’une façon ardente, fougueuse et sauvage, sussurant de temps à autre le prénom de Neela , le souffle coupé par le désir , et le plaisir qu’elle lui procurait.