C'était pas compliqué avec Ebony et c'est pour cela que j'aimais bien cette fille. Elle me prenait pas la tête, me posait pas des centaines de question et disait jamais non pour qu'on couche ensemble. D'ailleurs, la plupart du temps, c'est elle qui me sautait dessus. Parfois, on était à la limite du bviol. elle se jetais sur moi, me plaquait contre un mur et m'arrachait mes vêtements. Je dirais pas que ca me gêne, vu que c'est pas le cas. C'est pas tous les jours qu'une fille magnifique, une déesse du sexe par la même occasion, vous attrape pour vous violer pendant de longs moments. Elle savait y faire avec moi, elle avait plus ou moins réussi à m'apprivoiser la Asher-Grey. elle avait un sex-appeal incroyable, sans rien faire de vraiment spécial à vrai dire. Même habillée comme un sac, j'aurais envie de goûter au plaisir de la chair avec elle. Même si je préfèrais la voie nue sous mes yeux à vrai dire. C'était le cas dans cette douche. La douche où le fantasme féminin par excellence. Et je dis ça en connaissance de cause. Nombre de femmes m'avaient conduit jusqu'à cette prison de plastique dans leur salle de bains. Mais, jamais encore, Ebony n'en avait fait de même. Même si je connaissais quasiment toutes les pièces de sa petite maison désormais, à vrai dire. L'endroit que je connaissais le mieux était le plafond vu que couché avec la gamma au dessus de moi, c'était ce que je voyais le plus quand je venais chez elle. C'est ainsi que je rejoignais la magnifique gamma, en tenur d'Eve, dans la douche. Enlevant mon dernier sous vêtements et me retrouvant à mon tour complètement nu. Je m'approchais d'elle, et commencais à embrasser langoureusement la demoiselle. Cela avant d'embrasser le corps tout entier de la gamma. Son cou. Son épaule. Sa poitrine. Son ventre. Je revenais à ses lèvres, et tandis qu'elle attrapait ma nuque pour me rapprocher d'elle encore plus, elle passa sa jambe vers la mienne, et je pus commencer les choses sérieuses. J'offrais de légers coups de bassin à la demoiselle, lui retirant quelques soupirs. Je mordillais l'oreille de la demoiselle avant de revenir à sa bouche. Ca lui arrivait souvent, mais elle avait quelques fois, un bloquage de peut être deux secondes et me regardait autrement que d'habitude, avant de revenir à la normale. Ca ne me souciait pas plus que ça, et je n'étais pas vraiment en position de réfléchir à cela. Heureusement que je cotoyais quasiment aucune personne qui avait des enfants. Car si cette personne venait me rendre visite à l'improviste avec un bambin, il y avait une chance sur deux pour que je ne sois pas seul, et que je ne sois pas en train de coucher avec une fille. Ouais, je passais la moitié de mon temps à faire l'amour avec un nombre incalculable de demoiselles et ca m'allait bien. Certaines personnes penseraient surement que j'ai un problème, surement que j'ai un problème, une addiction au sexe mais je préfère ne pas penser à cela et plutôt me dire que 'est mon charme et le fait que je sois irrésistible qui mettait toutes les demoiselles dans mon lit. Et à vrai dire, ca devait pas être complètement faux. Si j'avais la gueule de Mickey Rourke après ses opérations de chirurgie ratés, y'a pas beaucoup de filles qui me regarderaient avec des sourires et en train de se mordiller la lèvre inférieur. Le signe qu'envoie les filles pour dire j'ai envie de toi. Enfin, pas Ebony. Elle c'était le regard qui voulait tout dire. Elle me mordillait la lèvre inférieur tandis que mes mains quittèrent sa poitrine pour soulever ses jambes, et ainsi être toujours plus collé à elle. Mes mouvements de bassin s’accélérèrent jusqu'à ce qu'elle parle. Un esclave sexuel contre de la drogue ? Mais c'était le plan parfait pour moi. Bad joke, même si ce plan avait l'air plutôt sympathique en fait. Si tu gardes ce corps de déesse et ces coups de bassin, j'accepte et je signe mon contrat quand tu veux. dis je en souriant, avant que mes lèvres ne retrouvent les siennes. Ma respiration comme la sienne était toujours plus saccadés, tandis que je la sentais frémir. Le septième ciel qu'elle m'avait promis avant de rentrer dans la douche avec son regard de braise n'était plus très loin..

Pourquoi coucher avec un grand nombre de filles différentes ? Je ne faisais pas cela par défi. Non, je ne voyais pas l'intérêt de faire l'amour à une femme juste pour dire de lui faire l'amour. Par excitation de faire quelque chose qui serait surement déconseillé par n'importe qui d'un minimum censé ? Non, si j'avais envie de sentir l'adrénaline; même si j'en ressentais à coucher; je braquerais des banques ou un truc débile du genre. Non, la raison pour laquelle j'avais cette envie mais surtout ce besoin de faire l'amour, c'était que ca me donnait enfin l'impression d'être vivant. Je ressentais du bien être, du plaisir à partager les plaisirs de la chair avec une femme. Et je me sentais aussi un peu utile. Je donnais à des demoiselles qui apparemment n'en ont pas assez le plaisir qu'elles recherchent. dis comme ça c'est carrément bizarre, mais c'est comme ça que je le ressentais. Coucher me faisait me sentir vivant, plus que d'aller en cours, de manger ou de parler avec des potes. Faire l'amour à Ebony me donnait l'impression d'être désiré. Me donnait l'impression que quelqu'un a besoin de moi. Elle pouvait très bien séduire n'importe quel mec de cette Terre tant elle était belle. Mais non, c'était sur moi qu'elle sautait littéralement. C'est moi qu'elle violait quasiment des fois. enfin, comme j'étais plus que consentant, c'était pas vraiment du viol même si l'état de mes vêtements après y ressemblaient. Elle me donnait de la drogue mais c'était pas celle du violeur, donc c'était juste du sexe ... wild. Dans ces bras, contre sa peau; je me sentais vivre. On avait pas de sentiments plus fort que l'amitié, elle et moi. On couchait ensemble pour se faire plaisir mais surtout donner du plaisir à l'autre. On avait vécu un peu la même chose, nous deux. J'avais perdu ma femme, Coleen, et elle avait perdu son petit ami. J'offrais à la demoiselle des coups de bassin de plus en plus profonds, ce qui fit crier quelques peu la demoiselle. Elle m'embrassait partout tandis que je soulevais ses jambes et qu'elle se retrouvait maintenant en l'air, entre la paroi de la douche et mon torse musclé. Elle ne faisais plus que ressentir mes mouvements de bassin et ne faisait plus vraiment d'efforts. Elle était parfois feignasse sur les bords mais ca ne me gênait pas, d'habitude elle prenait plutôt les devants, à mon plus grand plaisir. J'aimais à croire que j'étais tellement empli de sex-appeal qu'elle ne pouvait pas contenir ses envies lorsqu'elle était avec moi, et c'était peut être même le cas. Je sentais la chaleur monter, augmenté aussi par l'eau qui ruisselait sur mon dos. Elle n'e pouvait plus et son corps se cambrait de plus en plus. Elle ne retenait désormais plus ses gémissements qui me donnaient envie de lui faire encore plus plaisir. Tandis que nos langues se retrouvaient à nouveau, je sentais ses doigts appuyer sur mon dos et ses ongles rentrer légérement dans ma peau. J'étais habitué à cela et ne sentais plus vraiment les griffures. Je soulevais davantage ses jambes, jusqu'à me retrouver le plus proche possible d'elle tout en n'accélérant mes coups de bassin. Quelques secondes plus tard, le gémissement de plaisir de la gamma qui avait surement du ameuter tout le quartier précéda de quelques secondes un rale de ma part, qui fut suivi du lâcher des nageurs dans la gamma. Je relachais la gamma pour que ses pieds retouchent à nouveau le sol et embrassais la demoiselle tandis que mes mains se baladaient entre ses seins et ses fesses. Je me disais que la connaissant, elle ne tarderait pas à demander le dessert.

On avait déja couché ensemble un nombre incalculable de fois moi et Ebony. Il est vrai qu'on le faisaist quasiment tout le temps chez elle, vu qu'elle vivait toute seule et qu'ainsi les bruits occasionés par ces parties de jambes en l'air mémorables ne dérangeaient personne d'autre que les voisins mais on s'en moquait un peu. Dans ma chambre chez les deltas, c'était un peu plus chiant vu que je la partageais avec Estevan, et qu'il serait mal venu que je fasse crier une fille durant le sommeil de La Tour Dubois. Donc j'avais fait le tour du propriétaire de la gamma, et on avait baptisé ensemble toutes les pièces de la maison qui était peut être jusque là prudes et encore chastes. Il me semblait que chaque pièce avait été le théatre de nos petites escapades nudistes. C'était pas bien difficile vu que cette maison n'était à vrai dire pas bien grande comparé à celle que j'avait cotoyé de nombreuses années à Cannes mais c'était suffisant lorsqu'on vit tout seul. La douche demeurait le seul endroit encore non visité par nos deux corps nus en même temps, et elle avait désiré terminer par cette cage de plastique, histoire d'enfin boucler la boucle. J'avais directement donné le tempo à la gamma, en la plaquant contre le mur et en laissant rapidement nos deux intimités se rencontrer dans un soupir mutuel. Mes coups de bassin s'étaient montrés lent et précis, pour faire durer la plaisir de la jeune femme avant tout. Je sentais ces lèvres, territoire de plaisir, rencontrer la peau de mon cou tandis que ses mains se crispaient de plus en plus à mesure que la plaisir montait, dans mon dos. Je sentais ses ongles quelques peu rentrés dans ma peau, mais les demoiselles s'agrippant souvent pour tenter de résister au plaisir, je ne ressentais plus vraiment de mal à être griffer. Tandis que j'accélérais mes coups de bassin, je l'empêchais de toucher terre et elle s'accrochait à moi, tandis que ses dents venaient mordiller le lobe de mon oreille et me faire frissonner. Je sentais l'extase monter en elle, autant qu'il montait en moi. Je continuais mes coups de bassin jusqu'à sentir que ca arrivait, je m'arretais, embrassant le cou de la demoiselle et relachant tous mes muscles. J'avais laché mes petits nageurs alors qu'elle avait crié le plaisir qu'elle avait ressenti tout d'un coup. elle m'avait quelques peu essouflé, et je l'embrassais après l'avoir posé à terre, histoire de reprendre mon souffle. Une epetite phrase faisant remarquer que je n'avais pas perdu la main me fit sourire. J'avais de l'expérience, et pas mal d'entraînement par semaine dans cette pratique. Elle m'offrit un baiser, un vrai baiser, pas ceux que l'on se donne pour accompagner l'acte sexuel mais bien un baiser qui signifiait le plaisir non pas charnel, mais bien la plaisir que la personne à qui on le donne soit avec nous. Elle s'écarta avant d'enrouler une serviette autour d'elle et d'enfiler une chemise et un string, qui permettait à mes yeux d'avoir une jolie vus sur cette paire de fesses. Des défilés assez incroyables ? J'allais venir plus souvent je pense. T'as vraiment envie que je reste j'ai l'impression... Elle me regarda de haut en bas, s'arrêtant sur mon torse un long instant ainsi qu'un peu plus bas, évidemment. Elle était pas le genre de sainte-nitouche à être choqué au vu de l'entrejambe d'un homme, c'était même plutot le contraire. Elle m'offrit au bout de quelques instants une serviette pour cacher ma nudité et je pus sortir de la douche. Je m'essuyais rapidement avant de me rhabiller. Tandis qu'elle tirait à nouveau sur le joint, je posais mes mains sur ses fesses et continuer de l'embrasser dans le cou. J'avais envie de la chauffer, comme je le faisais toujours juste avant de partir. Ainsi, dés la prochaine fois que l'on se verrait, elle n'aurait qu'une idée en tête. Me sauter dessus telle une lionne. Je l'embrassais donc, tout en déboutonnant la chemise qu'elle avait enfilé. Tout en embrassant sa poitrine, je passais toujours ma main sur ses fesses. La sentant à nouveau excité par la situation, je m'écartais d'elle et arborai le plus grand de mes sourires. Je dois y aller ma belle. Je lui fis un baiser sur la joue et avanca vers la porte. Alors ma belle, tu vas me laisser partir ou me sauter dessus ? Décide toi. Vite !

Le sexe, que de sexe, toujours le sexe, c'était ce qui rendait deux amis encore plus proche j'en étais sûr; Avouez, lorsque vous voyez deux amis ensemble en soirée, la plupart du temps, il y a toujours une pensées un peu malsaine vis à vis de l'autre. Me dîtes pas que ça ne vous étiez jamais arrivé, je ne l'aurais pas cru. Tout le monde pensait à son ami comme d'abord une personne qui serait toujours là pour vous mais à des moments, il devait bien arriver à un moment, pendant une brève seconde, lors d'un regard échangé ensemble ou d'un toucher, notre pensée vagabondait de l'autre côté du fleuve de l'amitié. Ainsi si on traversait la rive ça donnait une relation comme celle que j'entretenais actuellement avec le beau brun qui me faisait face. Une amitié avec quelques bénéfices. Et ce n'était pas plus mal ! Ainsi, nous avions tous les avantages que pouvaient avoir deux amis comme la loyauté où les fous rire qui ne cessaient de nous lier mais aussi nous pouvions comme nous voulions où nous le souhaitions, attiser cette tension sexuelle palpable entre nous. Bon bien sûr, beaucoup auraient pu parler des inconvénients comme le fait que beaucoup ne pouvaient coucher aussi souvent avec une personne sans commencer à avoir des sentiments pour elle. Pour la plupart, cela restait inévitabe, mais je n'étais pas d'accord. Certe, en nous regardant, l'on aurait pu démontrer cette thèse, nous étions proches dans tous les sens du therme mais lorsque nous faisions l'amour, il s'y dégageait aussi en plus de l'image bestiale que nous pouvions donné, une grande tendresse. C'était con à dire mais je le considérais comme un peu tout, un ami, un amant, un frère ... Mais dire cela aurait été étrange, je ne pratiquais pas l'inceste, encore heureux ! Mais j'étais sûr qu'il partageait mon point de vut ou du mon qu'il devait comprendre ce que je ressentais. Il était l'homme idéal et pourtant je ne pourrais envisager un jour tomber amoureuse de lui puisqu'il ressemblait bien trop à Jamie pour que je puisse y penser ... Nous avions finis de nous pocurer du plaisir (bien que sa seule présence m'apportait beaucoup de plaisir aussi) et il s'était entouré d'une serviette recouvrant ainsi, les parties de son corps que je me vantais d'avoir approcher une bonne centaine de fois ! J'étais même sûr que bien qu'il couchait avec nombre de fois, je devais être la seule avec laquelle c'était aussi souvent ! De mon côté c'était pareille, nous étions des piles à retardement, nous ne pouvions nous passer l'un de l'autre même en prenant du plaisir autre part. Nous avions dorénavant nos habitudes et du moment que celles-ci continuaient à m'apporter autant de plaisir je n'étais en rien contre que cela continue ainsi ! Il vint enfin se rapprocher de moi et je ne broncha pas lorsqu'il posa ses mains contre mon corps, l'une sur mon sein, l'autre au sud de ma taille. Je souffla quelques ronds de fumée, la nuque arquée de plaisir pendant qu'il embrassait de ses lèvres encore humides et brûlantes, ma peau tiède. Hum ... J'en frissonais de nouveau. C'était un vrai celui-là, je l'avais bien choisi, il était comme moi, il ne pouvait s'arrêter. Ma foi, ton impression me semble juste ... Dis-je avec un sourire pendant qu'il m'exitait de plus en plus de ses caresses loin d'être amicales. Comme pouvais-je lui en vouloir après tout ? Deux personnes irresponsables qui aimaient faire l'amour ensemble ... Puis il s'éloigna de moi alors que je sentais le désir monter de nouveau. Déjà ? J'eus un sourire, il me testait comme à son habitude, et loin de me déplaire, j'en éprouvais une certaine satisfaction. Me questionner, je ne le faisais pas souvent, il n'y avait que lui pour retourner la situation puisqu'il savait qu'en sortant d'ici j'étais sûrement la pire manipulatrice au monde ! Je le vis s'éloigner et ce fus mes hormones qui m'obligèrent à le rattraper, prenant le pas sur ma fierté. A moi de jouer ! Je le retourna vers vers et l'embrassa sauvagement l'attrapant par la nuque et le forçant à me suivre de nouveau vers l'intérieur ... La table de la salle à manger se trouvait juste derrière moi. J'arqua un cil, l'après-midi ne faisait que commencer apparemment ...

Le sexe est une lutte de pouvoir entre les hommes et les femmes, c'est un fait. Chacun veut prendre la mesure de son amant pour lui montrer qui est le boss. Le sexe n'est qu'une représentation grossière de ce qu'est la vie. Le sexe est bien plus excitant évidemment, mais ne ressent-on pas les mêmes émotions, les mêmes choses ? Ce frisson lorsque l'on se mélange à une personne que l'on connait dans tous les recoins n'est il pas celui que l'on retrouve lorsqu'on rencontre LA fille ? Ces évacuations de la chaleur provoqués par l'autre n'est il point le même que nous procure le soulagement d'une nouvelle réconfortante ? Le sexe, c'est la vie en miniature. Une vie où tout va plus vite, où tout est décuplé, où tout est plus enivrant. Qui peut résister à cela ? Vivre une sorte de vie où l'on peut faire ce que l'on veut. Où l'on a pas besoin que quelqu'un nous dise qu'il nous aime. Où l'on a pas besoin que quelqu'un nous fasse tomber au fond du gouffre. Personne ne peut résister à la tentation que nous offre le corps d'une femme, la chaleur qu'il procure. L'enivrement du parfum d'une jolie dame, le frisson de sa peau contre la nôtre. Le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder. Oscar Wilde. Lorsqu'une femme comme Ebony, si belle, si sexy, si attirante; n'a ne serait-ce qu'une seconde envie de coucher avec vous, vous ne pouvez vous défiler. Ce corps de la gamma, mêlant la douceur de cette fille paraissant si frêle à l'enthousiasme d'une fille qui demande juste une chose. Se sentir aime, et vivante. J'étais un peu comme elle. C'était ce que je voulais aussi, après tout. Qu'on m'aime. Et qu'enfin je me sente vivante, aux côtés de quelqu'un. Je ne ressentais plus cette étincelle, depuis maintenant quelques temps. C'est pour ça que je couchais avec de nombreuses femmes. Blondes, brunes; epsilons, alphas, gammas; aucune importance. Tant quand elle, je me sentais vivre quelque minutes de cette petite vie qu'est le sexe. Je faisais du mal autour de moi, je m'en rendais compte. J'étais devenu quelqu'un de mauvais, c'était indéniable. Une fumée épaisse, semblable à celle qui se dégage de ma bouche lorsque je fume un joint se trouvait autour de moi, je ne voyais rien d'autre que ma petite personne et peu importante ce qui arrivait aux autres. Avec Ebony, c'était assez différent. Nous voulions tous deux la même chose, du sexe. Pas de disputes, pas d'histoires, pas de jalousie. Une partie de jambes en l'air de temps en temps et voila, nous étions heureux ainsi. Il ne nous fallait pas plus. Nous étions amis et nous couchions ensemble, on baisait devant des vieux films et entre de deux joints, il n'y avait aucun mal à cela. C'est ainsi qu'elle me rattrapa, avec toujours cette furieuse envie de me sauter dessus comme une tigresse. J'aimais la chauffer avant de feinter de partir. Je savais que la faire bouillonner avant de la frustrer ne la rendait que plus sauvage. Elle m'attrapa par la nuque avant de prendre à nouveau possession de mes lèvres. Elle me fit aller vers la table de la salle à manger. J'eus un grand sourire, lorsqu'elle poussa tout ce qui trouvait avant de me pousser dessus. Ne se gênant pas pour me monter dessus, elle se baissera sur moi, posant sa poitrine contre mon torse musclé avant de m'embrasser à nouveau. Je passais mes mains sur ses fesses, tandis qu'elle m'embrassais toujours. Lorsque je sentis mon pantalon s'enlever, je compris que c'était à mon tour d'être dominé par la gamma, qui commenca par donner de légers et lents coups de bassin. Ne me laissant pas me relever à ma guise, je devais me laisser faire par la tigresse gamma. A mon plus grand plaisir... Mes mains toujours positionnés sur les fesses de la belle brune accompagnait ses mouvements de bassin tandis que je me mordais un instant la lèvre inférieure. Tirant une taffe du joint qui était resté entre mes doigts, je lui soufflais la fumée dessus avant de mettre le joint constitué, évidemment, de substances illicites, dans la bouche. Le joint rapetissait à mesure que ses mouvements s'accéléraient...

Être attiré physiquement par une fille, c'était une chose. N'avoir aucune chance de résister à une fille, quoi qu'elle fasse, c'en était une autre. Parce que quand je me trouvais en la charmante et enthousiasmante compagnie de mademoiselle Ebony Asher-Grey, et qu'elle ne me lançais rien qu'un sourire aguicheur ou un regard brûlant de passion, on savait tous les deux qu'il se passerait moins de quinze secondes avant de se retrouver tous les deux complètement nus en train de s'embrasser. C'était comme ça entre nous. En plus d'une attirance physique certaine entre le grand brun musclé et la petite brune parfaitement formée, un vrai cadeau de dieu cette fille tellement elle était belle, sexy, attirante; il y avait une très grande tenson sexuelle entre nous, à notre plus grand plaisir, partagé évidemment. Entre la sexy Ebony et moi, il y avait une alchimie assez spéciale. On pouvait avoir des fous rires alors qu'on regardait un film et une minute plus tard, en train d'offrir un plaisir tant attendu à l'autre. Ca ne nous dérangeait pas, et nous ne voyons pourquoi ca devrait. On avait pas envie de tomber amoureux, et on ne le ferait pas. J'avais des sentiments pour elle, mais ceux ci ne dépasserait jamais le stade de l'amitié. Je savais que de prendre les commandes, d'exciter la gamma avant de feinter un départ précipité ferait que mademoiselle Ebony retrouverait sa fougue. Elle dégagea violemment ce qui se trouvait sur la table de la salle à manger, et me poussa dessus avant de monter sur moi. Faisant glisser mon pantalon, j'en fis de même avec son string et, doucement, nous fûmes à nouveau mélangés, dans un soupir. Je me laissais faire, comme elle l'avait fait dans la douche, laissant Ebony donner des coups de bassin, se cambrant sous le plaisir ou se baissant, posant sa poitrine contre mon torse pour que nos lèvres brûlantes se retrouvent. Ses mouvements de bassin s'accéléraient et mes mains, positionnés sur ses hanches, accompagnaient les mouvements de la belle. Elle soupirait de plaisir, sa respiration était de plus en plus saccadés, mademoiselle Asher-Grey avait du mal à tenir la route ? Ca m'étonnerait bien à vrai dire. D'un coup, je me relevais, positionnant mon corps contre celui d'Ebony, pour participer aux mouvements de la belle, tandis que nos langues se retrouvèrent pour une danse endiablée. J'attrapais le visage d'Ebony pour l'embrasser tendrement cette fois ci, avant de la regarder dans les yeux alors que ses mouvements s'accéléraient toujours. J'embrassais la belle pour cacher mes quelques soupirs. Mes lèvres descendirent cette fois sur sa poitrine, gâtant celle ci de doux baisers, avant de remonter et d'embrasser longuement le cou d'Ebony, je la sentis frissonner de tout son frêle petit corps, je la sentais bouillonner de plaisir. D'un geste habile, j'échangeais à nouveau les rôles. Je me retrouvais au dessus d'Ebony, mon torse contre sa poitrine, mes lèvres contre les siennes. Offrant à nouveau un baiser à Ebony, accrochant mes lèvres aux siennes, je sentis l'apothéose de notre relation arrivait. J'embrassais son cou tandis qu'elle montait dans les aigus, réveillant surement les voisins qui devaient faire la sieste. Je me retirais d'Ebony après l'avoir embrassé une dernière fois, et me positionna à côté d'elle... sur la table de la salle à manger. Tentant de reprendre mon souffle, j'attrapais la main de la belle, passant mes doigts sur la paume de celle ci. Je parcourais ensuite tout son bras, effleurent celui ci de ma main, sentant frissoner encore la belle. On se faisait mutuellement un sacré effet tous les deux, il fallait bien se l'avouer que le simple fait d'être dans la même pièce ne nous laissait pas indiffèrent. Je tournai mon regard vers elle, lui sourit avant de rapprocher mon visage d'Ebony et de l'embrasser. Je décidais maintenant de me rhabiller, cherchant non sans mal mes vêtements qui avaient rapidement volés dans les pièces de la maison d'Ebony. Revenant après avoir trouvé mon caleçon, je souris à la demoiselle. Ebony, bébé, ca te dirait de venir manger dehors avec moi ? Je t'invite, où tu veux. Tu préfères quoi ? Mon sourire s'était transformé en rire étouffé. On était comme ça, on venait à peine de coucher ensemble et je lui demandais si elle voulait manger avec moi. On avait aucune gêne, on se faisait plaisir de temps en temps mais on était avant tout des amis, de très bons amis.