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Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide)

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MessageSujet: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyMer 13 Juil - 8:11


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Cours avec monsieur Van Stexhe
« Le désir reste le désir. Où qu'on aille, il n'est pas plus desséché par le soleil que délavé par la marée. »

Une aurore admirable s'allouait a Lena. Elle concevait a peine les yeux entrouvert que son cours antérieur serait octroyé par le beau professeur de psychologie Alcide. Monsieur Van Stexhe subsiste aux yeux de la jeune et délicieuse ambrée, le fantasme, l'hallucination et l'extravagence dans toute sa splendeur. Lena avait disposé d'une simple préparation de cours avec celui-ci, une malheureuse petite heure pendant laquelle il épiloguait sur les différentes méthodes de travail qu'il aimait appliquer et les fournitures a avoir impérativement au prochain rendez-vous. Durant tout ce temps, Lena avait analysé ses errements dans la pièce, ses moeurs impulsives mais réfléchies et avait conjecturé sur la virilité de cet enseignant. Lena n'avait pas la réminiscence que cet individu l'avait regardé avec intensité mais tout de même. Il lui avait offert des rictus fort charmants et lui avait plaisamment nantit quelques livres de psycho' qu'elle avait charrié dans sa chambre. Lena considérait la beauté de ce professeur comme ésotérique, impénétrable et a la fois a sa portée. Comment diable un sourire déprédateur pouvait t-il la rendre convulsive a ce point? Son désir n'était autre que de le flatter physiquement. Palper sa chair chaude et douce qu'elle pouvait élucubrer dans ses désirs les plus charnels devenait obsession. Lena se ausser contre sa tête de lit ornée de roses marquant son goût pour la féminité puis se mouvait jusque la salle de bain pour s'y nourrir de beauté. Après une douche frisquette la jeune femme se dirigea vers son armoire a trésors. Un tas d'affublement, robe, t-shirt, decolleté plongeant ou pantalon tout y figurait. La muse plébiscita pour un top noir échancré en profondeur, elle l'enfila avec jublilation car elle savait que son professeur ne pourrait faire autrement que de la reluquer avec envie d'y déguster. Quel homme résisterait a un tel corps? Les atouts de Lena ne demeuraient pas uniquement physiologiques ou sexuels, la jeune disciple disposait d'une richesse intelligible indéchiffrable mais réèllement présente. Prise pour une flavescente malavisée contamment, elle ne se laissait pas offenser par la gent féminine. Oui Lena est une femme épatante, de part sa joliesse fortement prononcée mais également son discernement et ses facultés intellectuelles et cela enfante une rivalité constante avec d'autres femmes.

En string et en top noir, elle se brossait les dents en se questionnant sur ce qu'elle enfilerait sur ses gambettes. Son visage s'inspira a l'instant, elle venait de savoir ce qui ferait d'elle la numéro un au cours de monsieur Van Stexhe. Une minie jupe en cuir insuffisante mais qui allait pourtant satisfaire aujourd'hui. Lena se hâta de l'enfiler puis elle s'admira dans le grand miroir de sa chambre universitaire avant de fourrager sa trousse de grimage. une touche de fard a joues frugalement pêche pour réhausser les pommettes de son visage presque sépulcral de part sa longueur et ses marques accentuées depuis enfant, elle passa ensuite au kohol pour cerner ses yeux céruléens immenses qui faisaient chavirer un bateau en mer. Voyant que l'heure passait la jeune Lena se précipita sur son rouge a lèvre fétiche " rose-orangé peche glacé " de dior qu'elle glissa sur ses lèvres duveteuses et pulpeuses. Lena laissa sa chevelure couleur chataigne libre retomber sur ses épaules dénudées puis enfila des bottes en cuir brun avant de prendre ses affaires de psychologie. Arrivée devant la salle d'Alcide, Lena se parfuma rapidement et le vit arriver. Elle était la première a le voir en ce si doux matin et elle éspérait vivement être la dernière. D'une voix érrailée et libidineuse, Lena lui dit.

" - Bonjour monsieur Van Stexhe, excusez-moi je suis un peu en avance, ca me permettra de vous rendre les ouvrages que vous m'avez gentiment prêté. "
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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyMer 13 Juil - 16:07

    Avez-vous déjà eu l’impression très curieuse d’être sans cesse observé, guetté et scruté quoi que vous fassiez et où que vous alliez ? Cela se rapproche fortement de ce que d’aucuns nomment le délire de persécution. Et, à vrai dire, c’est en pensant à la définition du terme « délire » qu’Alcide préféra ne pas penser à cela. Il n’était pas délirant, non, il se faisait juste des idées, voilà tout. Il n’y avait pas à avoir peur de cela, c’était humain et cela pouvait arriver à n’importe qui. Une sorte de rêve semi-éveillé, en somme…

    Lorsque son réveil avait sonné ce matin-là, van Stexhe avait émergé d’un sommeil lourd et frustrant, peuplé de réminiscences que l’homme aurait préféré oublier une bonne fois pour toutes. Seul dans son lit, il s’était étiré en essayant d’occuper un maximum d’espace sous les draps, mais non, rien n’y faisait, cette solitude au réveil le consternerait décidément chaque matin.
    Elyott dormait chez un copain et le professeur pouvait donc jouir d’un peu de temps pour lui en ce début de journée. Mais non, il fallait qu’il s’inquiète de son filleul. Ayant déjà appelé la mère de Bryan la veille, Alcide n’osa pas déranger en téléphonant à nouveau. Il devait se faire violence et espérer que tout se soit passé au mieux, qu’il n’y ait eu aucun problème et que les deux petits garçons avaient pu jouer ensemble de manière saine.

    Devant sa tasse de café, le journal posé sur une chaise à côté de lui, van Stexhe avait le regard vide d’un homme à qui on aurait arraché une partie de lui-même. Il s’était habitué à vivre avec un enfant… et l’absence de ce dernier constituait chaque fois une épreuve. Jamais Alcide n’aurait pensé s’attacher à ce point à un gamin de sept ans qui n’était pas le sien. Au fond, à force de vivre ensemble, les deux hommes s’étaient mutuellement apprivoisés et l’adulte considérait de plus en plus son filleul comme son fils. Il ne devait pas, pourtant, il fallait expliquer à Elyott ce qu’était la mort, ce qui s’était passé pour ses parents, Théodore et Juliet, et ne pas essayer de prendre leur place… non, Alcide ne remplacerait jamais le couple Weelsher, mais il faisait de son mieux pour que l’enfant orphelin dont il était le tuteur légal puisse mener une vie normale. Et pour van Stexhe, eh bien, c’était un peu comme s’il était un père célibataire, désormais.
    Il avait oublié à quel point il était déprimant de prendre son repas du matin en solitaire. Chaque jour, le quinquagénaire prenait un plaisir véritable à préparer des pancakes pour Elyott, ou des gaufres ou n’importe quoi, du moment que cela plaisait à l’enfant et que l’homme pouvait le voir rayonner de cette joie ineffable qui inondait la pièce et ensoleillait les journées de l’adulte. Heureusement qu’Alcide ne devrait pas se séparer d’Elyott pour les vacances, il était certain que si cela avait dû avoir lieu, l’homme n’y aurait pas survécu ou en tout cas, il ne s’en serait certainement pas sorti indemne…

    Al se leva. S’il continuait ainsi, il allait finir par passer la journée entière chez lui, devant sa tasse de café, à penser à son filleul sans rien faire d’autre. D’une main, il porta son café à ses lèvres et l’avala d’une traite, se brûlant la langue au passage. Il était temps qu’il se prenne en main pour amorcer convenablement sa journée. Certes, la fin de l’année était proche, mais il fallait tout de même passer à l’université et donner des consignes aux étudiants de chirurgie pour qu’ils puissent s’organiser au mieux pour le cours de psychologie qu’ils auraient à suivre dès septembre…
    L’homme passa à la salle de bains pour se doucher. L’eau tiède avait le don d’apaiser les craintes, comme si la cabine de douche était un refuge quasi utérin… Cette idée fit sourire l’enseignant tandis qu’il se massait le cuir chevelu avec un shampooing au parfum légèrement musqué. Ce geste, ces doigts pétrissant le crâne, ça avait quelque chose de relaxant. Alcide aimait beaucoup cette sensation de détente qui l’envahissait lorsqu’il se lavait les cheveux. Cependant, rester sous l’eau à se shampooiner, ce n’était pas une option possible aujourd’hui, alors le professeur de psychologie dut bien se résoudre à quitter ce havre de paix et de bien-être qu’est la salle d’eau pour s’aller vêtir dans sa chambre. La saison étant plutôt belle, van Stexhe préférait choisir un costume gris clair. Avec une chemise noire taillée dans un tissu léger, cela ne devrait normalement pas être trop chaud. Nul t-shirt sous la chemise, par un temps pareil, c’eût été du masochisme pur et simple. Pas de cravate, c’était bien un accessoire que l’homme ne supportait que difficilement, ça. Lui, il préférait – et de loin – laisser le col de sa chemise ouvert, deux ou trois boutons n’étant pas fermés. Celui permettait de ne pas étouffer par une forte chaleur et puis, ça avait aussi l’avantage d’apporter un petit sentiment de liberté.

    Un autre petit café avant de partir et Alcide constata qu’il n’aurait pas le temps de se raser. Tant pis. Il avait trop traîné dans son lit puis dans sa douche et il allait donc devoir aller exercer sa profession avec une barbe de deux jours. En soi, cela n’avait rien de grave, puisque van Stexhe y était plus ou moins habitué et que, d’après certaines personnes, les femmes aimaient bien les barbes de quelques jours. Peut-être devrait-il en profiter pour essayer de voir Eileen après ses derniers cours. Il ne savait pas bien ce qu’il éprouvait pour cette jeune femme, mais il aimait passer du temps avec elle et il avait l’impression que c’était réciproque. Mais, cette fois encore, peut-être se faisait-il tout simplement des idées.
    Après tout, ces derniers temps, Alcide van Stexhe s’était souvent surpris à rêver, à être perdu dans ses pensées, à errer mentalement dans une réalité toute autre que celle qui s’étalait sous son regard… Ses distractions habituelles avaient d’ailleurs tendance à augmenter et à prendre des proportions un peu plus importantes, même si, entendons-nous bien, Elyott n’avait rien contre le fait que son parrain lui glisse deux goûters au lieu d’un dans son cartable.

    Une fois le café bu, l’homme attrapa quelques documents, son portefeuille et ses clefs, puis il quitta son domicile pour rejoindre son véhicule. Bientôt, il pourrait cesser ce petit manège quotidien, dormir plus tard, ne plus avoir à se dépêcher pour être à l’heure, voire à l’avance, et puis surtout, il n’y aurait plus cette pression imbécile d’avoir à travailler. Au fond, l’année était bien découpée, au goût d’Alcide. Il n’était pas sûr de pouvoir continuer à se passionner pour les matières qu’il enseignait s’il n’y avait cette pause amplement méritée durant les vacances d’été.
    Il en était là dans ses pensées quand il gara son Audi sur le parking des professeurs. Jetant un bref coup d’œil à l’heure qu’il était, il se rendit vite compte qu’il était plus que probable qu’il soit en avance. Parfait, il préférait cela. Arriver en retard, en tant que professeur, c’était un manque de respect flagrant envers les étudiants. Van Stexhe accordait beaucoup d’importance à la ponctualité pour cette raison.

    Il se dirigea vers le bâtiment où il devait retrouver les futurs chirurgiens et là, dans le couloir de l’amphithéâtre, Alcide constata la présence d’une jeune femme dont l’attitude au dernier cours l’avait quelque peu interpelé. C’était une demoiselle de la confrérie Gamma, s’il ne se trompait pas. Elle avait eu, la fois précédente, l’air tellement absorbée par ce que le professeur racontait qu’il avait fini par lui laisser quelques ouvrages intéressants pour le cours de psychologie. Après tout, une passion pour un tel sujet, cela devait s’entretenir et c’était l’un des rôles des enseignants que d’éveiller et d’alimenter de telles découvertes. Alors, de fait, cette jeune personne, déjà présente plus d’un quart d’heure avant le début du cours, cela n’avait rien d’étonnant.
    S’approchant, Alcide sentit dans l’air une fragrance douce et légèrement sucrée. Un parfum de femme, à n’en pas douter. Il sourit en arrivant à la hauteur de la jeune fille.


    "Bonjour, mademoiselle. Ne vous excusez pas d’être à l’avance, généralement les excuses sont prononcées plutôt dans le cas contraire…" Van Stexhe glissa sa clef dans la serrure de la porte de la salle, qu’il ouvrit avant de s’effacer sur le côté pour laisser entrer Lena avant lui. "Après vous… Vous pouvez déposer ces livres sur mon bureau."

    Quand elle passa devant lui, il ne put s’empêcher de la détailler du regard. L’échancrure de son haut laissait deviner une poitrine ferme et bien galbée sous le tissu noir… quand à cette mini-jupe de cuir… hum… le cuir, ça donnait toujours des idées un peu tordues à l’enseignant. Et ces bottes… Miss Plenske devait avoir chaud avec de telles chaussures. Mais la vision d’elle restait harmonieuse. Les filles avaient souvent un véritable don pour se vêtir de manière agréable aux yeux masculins. En l’occurrence, la tenue de l’étudiante était à la fois plaisante à regarder et, sans nul doute, elle devait avoir certains atouts qui échappaient à l’homme pour le moment.
    Pénétrant à son tour dans la salle de cours, Alcide rejoignit la jeune femme près de son bureau où il posa les documents qu’il portait sous le bras.


    "Alors, qu’avez-vous pensé de ces lectures ?" Ils allaient devoir attendre ensemble les autres étudiants. Autant mettre à profit ce laps de temps pour discuter un peu ensemble.

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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyJeu 14 Juil - 9:17

La moiteur de son corps présageait un désir de plus en plus présent. En effet , la jolie Lena respirait l'air chaud qui émanait du quinquagénaire et elle demeurait immobile quelques instants quand il l'invita d'un geste de main délicat et contrôlé vers son bureau ou elle y abandonna ses ouvrages qu'elle avait consumé en n'ayant pour seule pensé " embrasser au moins une fois ce pédagogue érotique et plus si affinités ". Lena l'admira de haut en bas, pourquoi diable ce professeur était l'unique de cette université a ne pas opter pour une cravate? Pourquoi il laissait paraitre le haut de son torse en y cédant quelque boutons? Etais-ce par canicule ou etais-ce une tournure lourdement animale que l'enseignant hasardait insensiblement? Lena remit les bouqins a Alcide qui par inadvertance lui effleura les doigts en ayant pour unique dessein de chopper les manuels. La mitoyenneté de leurs mains jointes demeurait bien plus qu'accueillante pour la jeune femme ardente qui n'en quémandait pas moins et qui prolongea l'amoralité censurée entre un prof et une elève en récidivant sa miniardise. Son index féminin se musardait sur celui de l'éducateur viril. Pour ne pas fonder trop de suspicion, Lena eu un sourire affriolant mais tout de même farouche. D'une voix suave et luxurieuse a la fois, elle allégua.

" - Vous savez, ces livres m'ont vraiment appris beaucoup de choses sur la psychologie que j'ignorais encore avant. Je me suis attardé sur " 'les prodigieuses victoires de la psychologie" de Pierre Daco. J'ai beaucoup apprécié la manière que cet auteur belge a d'écrire sur la psychologie, Je pense que la psychologie n'est pas une matière, c'est un don, un don de voir les personnes différements, un don que vous avez monsieur Van Stexhe. Je vous observais pendant tout le cours de préparation et je dois dire que je vous trouve admirable. Un homme plein de ressources qui sait voir les gens différement des autres. Je suis ravie que vous m'ayez prêté vos livres, il m'ont étés d'une grande aide."

Lena se racla la gorge et skia sa main dans sa chevelure légèrement blondie par le soleil. Elle évinca une mèche incommodante et lui soummit son déléctable regard insatiable. Elle avait la concupiscence qu'il détrône les étudiants de cet amphithéâtre, qu'il les banissent de ce cours qu'il lui aurait privilégié. Elle passerait un moment lascif en sa compagnie et que cette heure ne soit que débauche, dérapage sexuel. Oh oui ca résumait bien l'utopie pour la jeune et délicieuse Lena. La jeune femme se leva alors qu'il lisait ce qui se trouvait là ou Lena avait glissé un marque-page, elle se fila derrière lui mielleusement et pouvait désormais augurer son parfum mâle qui se fusionnait avec le sien. Une fragrance si harmonsieuse qu'elle sentait que l'arôme de leurs chair nues l'une contre l'autre n'aurait qu'un effet capiteux. Lena inclina son buste proche de lui et s'accouda sur l'écritoire d'Alcide, ainsi il avait une vision impérieuse de sa poitrine galbée,libérale et vénérait qu'il déguste la totalité d'elle-même. Lena respirait lentement et elle assimila qu'il n'était pas si dédaigneux face au désir de la jeune femme. Après une inspiration forte, Lena se recula doucement.

" - Voilà, c'est a cette page là...j'ai beaucoup aimé ce passage et je tenais a vous le faire savoir. Bon, je vais m'installer dans les gradins...merci encore pour les livres monsieur Van Stexhe et bon courage pour cette heure de cours. Puis-je ouvrir la fenêtre? Je trouve qu'il fait un peu chaud vous ne trouvez pas? "
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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyJeu 14 Juil - 23:05

    Même en étant professeur de psychologie, il y avait des signes gros comme des maisons à côté desquels on pouvait passer sans les remarquer vraiment. Aussi, Alcide voyait en cette jeune femme au physique agréable une étudiante assidue, sans doute studieuse et désireuse de réussir son cours pour avoir de bonnes bases dans les relations avec les patients qu’elle aurait plus tard. Nul désir trouble, hormis celui de laisser son regard glisser le long des courbes qui passaient à portée des yeux havane de van Stexhe.
    Lena Plenske était une étudiante passionnée, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. Elle avait donc lu les ouvrages que lui avait confiés le professeur et, toute souriante, voilà qu’elle les lui rendait. Pour l’homme, le bref contact qui eut lieu entre leurs doigts ne signifiait absolument rien, à part peut-être une petite maladresse de sa part, car il fallait bien avouer qu’il n’était pas des plus adroits et que ce genre de petites gaffes étaient légion ces temps-ci, la fatigue d’une année complète aidant. En réalité, il n’aurait rien remarqué si l’index de la jeune femme ne s’était aventuré en retour sur le sien.

    Regardant alors Lena en arquant un sourcil, Alcide remarqua un sourire étrange sur les traits de l’étudiante qui se mit aussitôt à lui expliquer combien elle avait apprécié la lecture des livres de psychologie qu’il lui avait fournis la fois dernière… Van Stexhe aurait répondu, rebondissant sur Pierre Daco, mais la jeune femme continua, avec un glissement de sujet : elle parlait à présent de lui, Alcide van Stexhe, comme d’un… non, il ne savait pas dire de quelle manière elle parlait de lui, exactement, mais il sentait bien une sorte de ferveur dans les propos de Lena. Il se devait d’y répondre, sans prendre la grosse tête et sans froisser l’étudiante non plus. L’homme fit glisser doucement sa main, pour la récupérer tandis que la demoiselle terminait son panégyrique à son égard, car, oui, ça ressemblait tout de même beaucoup à un éloge, tout cela…


    "Je… vous remercie, mademoiselle Plenske… mais je ne pense pas mériter de telles paroles… Je n’ai fait que vous confier quelques ouvrages qui pouvaient vous intéresser, vu l’engouement dont vous avez fait preuve au cours passé… Je suis ravi que vous y ayez trouvé votre bonheur, mais le mérite vous revient, vous étiez libre de lire ou non ces livres."

    La voix, le sourire et le geste qu’elle fit dans ses cheveux, tout cela avait quelque chose d’enivrant. Comme si un envoûtement était à l’œuvre. Mais pour le moment, Alcide se posait plus de questions qu’autre chose. Il s’était penché au-dessus du livre, là où se trouvait un marque-page glissé par la demoiselle, et lisait un passage consacré à la synergologie. C’était un domaine intéressant, ça aussi, et la jeune femme avait bien fait de le souligner, car si elle bossait dans un hôpital, il serait important pour elle de pouvoir décoder un peu le langage non-verbal… quoique, à vrai dire, elle semblait plutôt bien maîtriser certains registres de ce langage-là.

    Il fallut quelques instants pour que l’homme réalise que l’étudiante était passée derrière lui. Il avait senti son parfum avant de constater qu’elle n’était plus en face. Elle se pencha alors à côté de lui et là, van Stexhe n’eut d’autre choix que de regarder sur sa gauche, portant sans vraiment le vouloir un regard sur la poitrine de la jeune femme à son côté. Une poitrine ferme, mise en valeur par l’échancrure un peu osée de son haut.
    Il toussota. Si Alcide n’avait pas été aussi peu certain de ce qu’il pensait déceler, il aurait sans doute essayé d’en toucher un mot à Lena, mais pour l’heure, il n’avait nulle certitude, hormis celle que cette jeune femme lui apparaissait petit à petit comme une étudiante pas comme les autres. Elle se recula alors et prit la parole, au grand soulagement silencieux du professeur qui commençait à tout doucement perdre les pédales dans cette histoire.


    "Bien, allez-y, installez-vous. Pas de problème pour ouvrir la fenêtre, il est vrai que cette chaleur risque bien de ne pas être supportable très longtemps…" Et comme pour souligner ses paroles, Alcide ôta la veste grise qu’il portait par-dessus sa chemise noire et la déposa soigneusement sur son bureau.

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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptySam 16 Juil - 18:34

Comme pour souligner le désir de Léna, pour l'accroître et le stimuler Alcide ôta sa vareuse. Il faisait une chaleur a y laisser sa peau alors ce n'était certainement pas pour élargir sa libido. L'astre chauffant innondait la pièce et il est vrai que ce n'était que peu endurable malgrès le petit matin. Lena avait omniscience que le professeur venait de pénétrer dans son entendement a but peu orthodoxe. Elle s'était pourtant éxigé culminante de sagacité et elle n'avait été que trop loin. Lena ouvrit donc l'embrasure de la pièce et inspira l'oxygène qui venait des lieux éxterieurs. Au moment ou elle se dirigea vers les gradins pour y prendre place, une foule d'étudiants déchargea brusquement dans l'emplacement ou ils se trouvaient. Les leçons psychologique pouvaient désormais préluder et elle était quelque peu désillusionné l'espace d'un instant. Alcide attendit que la foule en délire s'installe pour hasarder son précepte. Il se présenta brièvement et dériva directement sur le vif du sujet. " La psychologie et ses effets bénéfique chez tout être ". Lena tendit l'oreille, attentive et captivée par les lèvres charnues de monsieur Van Stexhe. Elle n'avait pas forcément le désir d'acquir une conaissance autre que celle de son corps entièrement en ce jour caninuleux. Lena ne tenait pas a passer pour une ecervelée, elle participa donc vivement au cours d'Alcide avec beaucoup d'autres élèves. Enseignement achevé, Lena revint a la charge insatiablement. Elle laissa la salle se vider et fit mine de ranger ses affaires lentement dans son sac. Elle se dirigea tout droit vers Alcide.

" - Je suis nouvelle dans cette université, je ne connais pas vraiment les bons plans...pouvez-vous juste m'aider, enfin me dire ou je pourrais bien manger pour pas cher dans cette magnifique ville? Je prefère manger a l'extérieur qu'ici..."

Oui elle aurait pu trouver autrechose mais bon, c'était déjà un bon début, Lena était seule dans le coin depuis son arrivée d'une semaine et elle aurait aimé avoir un peu de compagnie. Jamais elle n'oserait demander a un professeur autre chose qu'un renseignement, l'accompagner? Jamais, trop peur d'un refus. Elle tenais son cahier sous son bras tout en le regardant de haut en bas. Attendant qu'il lui dise même brièvement, ou trouver de quoi se nourrir correctement pour peu d'argent. Lena n'était pas une femme qui roulait sur l'or pour le moment.
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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyLun 18 Juil - 15:09

    Dans le monde médical, la psychologie peut être intéressante pour l’approche du patient, de manière générale. Imaginez un chirurgien qui vous parlerait d’emblée de l’organe nécrosé qu’il faut absolument vous enlever et remplacer par je ne sais quel autre organe venu d’on ne sait où… eh bien, comme ça, d’entrée de jeu, ça peut être très mal perçu par un patient. Même si celui-ci est vraiment mal en point. Il faut procéder par étapes successives et permettre à chaque patient de prendre conscience, à son rythme et à son aise, de la réalité de ce qui lui arrive.
    C’était le sujet du cours d’Alcide, aujourd’hui, devant cet amphithéâtre rempli de futurs chirurgiens. La plupart devaient déjà maîtriser pas mal de bases en chirurgie et en médecine, mais la psychologie demeurait bien souvent une matière absconse pour ces jeunes gens qui préféraient généralement le côté pratique et terre-à-terre du scalpel et de l’anatomie humaine. Pour éviter une quelconque démotivation chez ses étudiants, van Stexhe axait ce cours sur des cas concrets, des patients qu’il avait lui-même suivis avant qu’ils ne subissent une opération ou un traitement draconien. Quand on partageait des expériences vécues personnellement, ça passait généralement bien mieux auprès du public.
    Ce qu’Alcide se garda bien de dire, c’était que lui-même allait bientôt devoir subir une opération dans le bas du dos et que ça lui fichait une trouille pas possible de se dire que Gabrielle Taylor, sa collègue et presque amie, allait voir comment il était fait à l’intérieur. Elle ne serait pas la première femme à le voir nu, mais elle serait bien la première à voir sa chair et ses os. Brrrr… cette idée lui filait une chair de poule relativement conséquente, malgré la chaleur de la saison.

    Bref. Discutant avec ses étudiants de diverses méthodes d’approche pour aborder des patients en visant des effets bénéfiques, agrémentant ses propos par des exemples et sortant de temps en temps une petite blague, comme il le faisait toujours, van Stexhe ne vit pas vraiment le temps passer. L’heure de cours fila à une vitesse grand V et il fut presque surpris lorsque, jetant un coup d’œil à sa montre, il constata qu’il avait dépassé l’heure de cinq minutes. L’homme libéra alors les étudiants, en s’excusant d’avoir été distrait et d’avoir laissé passer l’heure, puis il se mit à ranger un peu ses papiers qui s’étalaient sur son bureau.

    Et là, relevant le nez en entendant des pas, Alcide vit que l’étudiante qui était arrivée à l’avance pour lui rendre ses livres était à nouveau face à lui. Elle lui parlait, expliquant qu’elle était nouvelle à Berkeley et qu’elle ne connaissait pas vraiment les parages ni les trucs pour s’en sortir à moindre frais dans le coin… Elle lui demandait des conseils, précisant qu’elle préférait manger à l’extérieur que dans l’université.


    "Si votre budget est réduit, je vous conseille tout de même d’acheter quelque chose au sein de l’université… Vous pourrez toujours emporter votre repas et manger dans un parc ou n’importe où… C’est dans Berkeley même que vous trouverez les plats à meilleur marché…" A part ça, eh bien, l’homme devait avouer qu’il ne s’y connaissait pas trop en « bons plans ». Puisqu’il n’avait pas trop à se préoccuper de ses finances, il s’autorisait régulièrement de petites escapades dans des restaurants sympathiques… "Ou alors, faites comme moi : vous remplissez votre réfrigérateur au maximum et vous rentrez manger chez vous chaque midi. C’est encore le meilleur moyen de ne pas gaspiller votre argent… Et puis, c’est aussi l’occasion de faire une pause dans votre journée."

    Chaque fois que c’était possible, van Stexhe profitait du temps de midi pour aller chercher Elyott à l’école et ils pouvaient manger ensemble, se raconter leurs matinées respectives, rire entre hommes et passer un bon moment, tout simplement.

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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyMar 19 Juil - 18:40

Lena au fond d'elle acquiescait qu'un patient avait besoin de coudoiement très réfléchi, même si Lena est une adepte de la franchise, jamais elle ne s'hasarderait a dire abruptement " Et bien, c'est simple, soit tu te fais opéré de la rate soit tu crève". Même si le cas présenté était sans espoir et que la personne n'avait plus qu'une maigre période de vie, jamais elle ne s'experimenterais à être avilissante. Lena est une individue droite et complaisante dôtée d'un valide caractère depuis sa jeune enfance. La blondinette a toujours eu ce qu'elle désirait étant petite de la part de sa mère, elle se commémorait un passage de sa petite vie gâchée par ce peter qu'elle haissait tellement. Un matin de juillet alors qu'elle se fondait l'espoir d'être près de sa mère a table, son beau père réfuta sa demande et la glissa dans une chaise attachée tel un cabot. La gosse maltraitée se risqua a défier le jeune homme du regard et s'était enhardit elle venait à le provoquer en lui disant " Toi! t'es pas mon papa! ". Elle avait cet arrière-goût dans le coeur qui l'annihilait entièrement. Cette nasarde qu'il lui avait infligé et qui avait provoqué le sang qui s'était immédiatement répendu de ses petites narines d'enfant de quatres ans jusque la commisure de ses lèvres fine et délicates. " Ne touches pas a mon bébé! " avait invectivé la maman de Lena dans tout ses états. Ce n'était pas tant la gifle phénoménale qu'elle avait empoché qui avait déclenché chez elle une pleurnicherie infinie et des vomissements a peine quelque secondes après, c'était l'effroi qu'elle ressentais en voyant peter fracasser sa mère qui avait osé la défendre. Alertés par les hurlements de l'enfant et de la mère au foyé enceinte de surcroit, les voisins avaient appelé la police qui conduirent Lena et sa mère a l'hôpital. Elle avait la reminiscence qu'a sa sortie secrètement, maman lui avait acheté la poupée qu'elle désirait le plus au monde. Ce fût la dernière fois que sa mère la défendait de ce batard sans morale ni aucune valeur qu'elle disait aimer. Lena était désormais forgée, elle avait un caratère doux et aimant mais ne se laissait en aucun cas amadoué ou maltraiter et ce par personne. Alcide disposait d'une grande classe, la vision de Lena n'avait pas l'air si alléchante que cela finalement peut-être qu'elle se mystifiait avec la plus intense des maladresse. La jeunette louangait monsieur Van Stexhe de son regard céruléen et l'écouta lui parler de nourriture, ma fois c'est elle qui avait engendré une conversation sur ce qu'elle devait faire pour se nourrir convenablement.

" - Bien, je vous remercie beaucoup monsieur Van Sex...Tex...Stexhe excusez-moi j'ai écorché votre nom...je suis navrée. Oui alors je vais donc faire comme proposé, je vais remplir au maximum mon frigidère et je ferais une petite pause dans mon petit appartement. "

Lena n'était pas du genre agglutinante mais elle devait s'avouer vaincue a son plus grand regret, Alcide ne voyait en elle qu'une petite elève blonde de plus parmi tant d'autres. Un véritable défilé pour lui a coup sur demain il ne saurait même pas son prénom. Lena devait mettre en place un plan très rapidement, il se levait en la saluant. L'elève ahurit qu'il ne voit pas ce qu'elle attendait de lui s'asseya sur la chaise en se tenant le ventre et en grimacant de douleur.

" - Aie...ouhh..."
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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyJeu 21 Juil - 10:16

    Une fois le cours terminé, Alcide était prêt à s’en aller, mais l’étudiante qui était arrivée à l’avance était encore là, lui demandant quelques conseils au sujet de la meilleure manière de se nourrir à bon marché dans le coin. Van Stexhe ne pensait pas être la personne la plus avisée pour ce genre de conseils, mais il avait tout de même répondu de son mieux, en tenant compte de sa propre expérience personnelle. Il n’était pas évident pour lui de trouver le meilleur moyen de ne pas trop dépenser, puisqu’avec son salaire et son compte en banque, en réalité, Alcide n’était pas vraiment dans le besoin avec tout ça.
    Mais ça n’avait pas toujours été le cas. Lorsqu’il était étudiant, il était plutôt difficile pour lui de profiter pleinement de la vie à l’époque. Van Stexhe avait même dû jouer le cobaye pour l’une ou l’autre expérience qui pouvait lui rapporter un peu d’argent. La meilleure expérience, dans tout ça, avait été celle qu’il avait faite pour aider une certaine Barbara à boucler sa thèse de sexologie. Bon, il ne s’en vantait pas, mais Barbara, même si elle ne l’avait pas énormément payé pour son rôle de cobaye, avait tout de même aidé Alcide à gagner à un tout autre niveau.
    À l’époque, le jeune homme qu’était van Stexhe aurait été prêt à tester n’importe quel produite, pour peu que ça lui rapporte un peu. Certains de ses potes avaient aussi certains plans plutôt sympathiques pour se faire un peu de fric, mais Alcide n’acceptait pas tout. Ainsi, il n’avait jamais fait le gigolo, par exemple. Mais soit, tout cela était une autre histoire.

    La jeune femme avait écouté les conseils du professeur de psychologie et de critique. Et, avec un sourire, il l’entendit écorcher son nom et lui dire qu’elle allait suivre ces conseils.


    "Van Stexhe, mademoiselle. Je me doute que les patronymes néerlandophones ne sont pas évidents à prononcer…" Enfin, pas pour tout le monde, en tout cas. "La pause dans votre appartement gagne en intérêt si vous partagez le repas avec un ou une colocataire, bien sûr."

    Mais ça, elle devait s’en douter. La solitude, c’était rarement quelque chose de très épanouissant…
    Alcide avait lancé la fin de ces paroles avec un petit clin d’œil et un sourire. Il ne savait pas trop pourquoi c’était à lui que cette jeune femme s’était adressée, mais au fond c’était peut-être une sorte de marque de confiance ou quelque chose comme ça.
    Il était prêt à sortir, maintenant, à verrouiller l’amphithéâtre et à regagner son bureau. Cependant, il semblait que le sort en ait décidé autrement.

    Sans que rien n’ait pu laisser présager quoi que ce soit, alors qu’il avait tourné les talons pour s’en aller, Alcide entendit très clairement un cri de douleur. Il se retourna et vit aussitôt que son étudiante se tenait le ventre, assise sur une chaise, avec une expression de douleur peinte sur le visage. Laissant tomber ses effets personnels, l’homme se précipita auprès d’elle, craignant le pire, comme très souvent.


    "Mademoiselle… Qu’est-ce qui vous arrive ?"

    Van Stexhe s’était pratiquement jeté à genoux près de la jeune femme et, ne sachant pas du tout de quoi il s’agissait, il s’attendait à n’importe quoi. Un peu comme lorsque son ancienne patiente, Emely, avait sombré dans l’inconscience sous ses yeux, sur le poussier du chemin hors de l’université. Cette fois-là, il avait eu une peur horrible, craignant que la jeune fille ne lui claque entre les mains, comme on dit… Ici, apparemment, c’était un peu moins grave, puisque l’étudiante était restée consciente, mais on ne savait jamais.

    Alcide posa une main sur l’épaule de la demoiselle, comme pour l’inviter à se détendre un peu.


    "Vous avez déjà eu ce genre de malaise, mademoiselle ?" Bon sang, ça commençait à le stresser, cette histoire. Une douleur qui surgissait comme ça, de nulle part et sans prévenir, cela pouvait être n’importe quoi. Une appendicite, peut-être. Ou même une péritonite. À moins que la jeune femme n’ait des problèmes au niveau de l’estomac… ou de n’importe quel organe interne, à vrai dire. Alcide n’était pas médecin et il ne se souvenait pas avoir un jour dû faire face à une situation pareille durant un cours. Par contre, il lui semblait bien que chaque mois, sa sœur avait eu pendant des années des douleurs abdominales assez importantes chaque fois que commençaient ses menstruations. Il était même arrivé que Gwendoline doive rester couchée durant quelques heures avant que la douleur ne se calme un peu.

    Repensant à cela, l’homme retira sa veste pour la poser sur le sol, comme un drap ou une couverture. Il n’avait pas mieux sous la main et ça lui semblait être la chose la plus logique à faire. Cherchant des yeux le regard de son étudiante, van Stexhe lui proposa alors son idée.


    "Peut-être devriez-vous vous coucher quelques instants. Je peux vous apporter un verre d’eau et de l’ibuprofène si vous voulez…"

    Mais ça ennuyait le professeur d’avoir à laisser cette jeune fille ici toute seule et dans un tel état pendant que lui allait chercher de quoi l’aider à aller mieux. Non, il ne pouvait pas la laisser, en réalité. Son rôle était de rester près de cette jeune femme et de s’occuper d’elle, pour éviter que son état n’empire.
    Et si rien n’allait en s’améliorant, eh bien, alors, il appellerait les urgences.


    "Ma veste n’est pas ce qu’il y a de plus confortable, mais je n’ai rien de mieux sous la main pour que vous puissiez être un peu plus à l’aise…" Il aurait bien voulu avoir un autre vêtement à plier pour lui servir d’oreiller, mais il n’avait que sa chemise et il doutait fort que ce soit la solution la plus adaptée. "Vous n’avez pas froid ?"[b] La porte était fermée, mais la fenêtre était ouverte. Le courant d’air n’était pas des leurs, mais une personne qui se sentait mal était bien plus sensible au chaud et au froid… [b]"Vous arrivez à bien respirer ?" Quand il avait suivi des cours pour les premiers soins et les premiers secours, il avait toujours été question d’être attentif à la respiration de la personne mal en point. Quitte à lui dégager la gorge des vêtements qui pouvaient constituer un barrage. Mais il fallait toujours demander l’autorisation avant de faire ça. Juste au cas où. Cela dit, vu le décolleté qui garnissait à peine la gorge de la jeune femme, Alcide se demanda bien pourquoi il posait cette question. Car si elle avait des difficultés à respirer, cela ne devait rien avoir à voir avec ses vêtements.

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MessageSujet: Re: Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) Captiver ses prunelles, désir charnel ( Lena&Alcide) EmptyJeu 21 Juil - 11:59

Lena n'était pourtant pas du genre a ça mais elle devait admettre que malgrès la culpabilité qui la corrodait elle demeurait aux anges qu'il soit si concentré pour elle-même. Alcide Van Stexhe avoisina Lena et finit par se flanquer a ses pieds, son visage jeaugeait troublé et anxieux. Peut-être avait il la phobie des malaises chez ses élèves, si tel était le cas présent, Lena se réservait d'une risette triomphante pour ne pas qu'il s'en aille et que son regard ne se plonge plus dans le sien. La jeune étudiante discernait bien que sa poitrine l'embarassait un peu et que son décoleté affriolant ne le laissait pas vraiment de marbre. Sans qu'elle n'ai a dire quoi que ce soit, il découvrit a nouveau son corps masculin et viril en ôtant sa veste. En chemise elle pouvait admirer ses formes a l'aspect mâle. Oui l'homme magistral dans toute sa splendeur. Sa voix dodelinait Lena, une élocution sirupeuse et enchateresse. "Mademoiselle… Qu’est-ce qui vous arrive ?"
Lena n'était que trop bien, chouchoutée par son enseignant en psychologie aux cheveux grisonants elle ne pouvait disjoindre ses prunelles azur de celles d'Alcide. Il ne fallait ni en faire trop ni trop peu, elle agréa à une petite simagrée de douleur en plissant son visage.
" - Je...je ne sais pas j'ai une intense douleur au niveau du ventre..."
Comme le veux le naturel, Alcide déposa doucéreusement une de ses mains sur l'épaule de Lena gracile, a cet instant elle se sentit comme sur un nuage. Ses pensées devinrent indescriptibles, inexprimables mais elle était certaine qu'elles n'étaient pas écrites dans la bible. Lena ferma les yeux comme pour intensifier ses divagations mentales et s'imaginait nue contre sa chair tout en profondeur, elle revint a elle quand il l'interrogea.
"Vous avez déjà eu ce genre de malaise, mademoiselle ?"
Prise de désir, elle l'aurait bien empoigné par le col de sa chemise, l'aurait bien aimanté a elle pour qu'ils soient encore plus proche tout les deux et de la meilleure des manières. Lena avait l'intuition que cet être était adroit et habile de ses mains pourrait être en mesure de lui prodiguer une jouissance extrème, encore fallait t-il qu'elle tente de se rapprocher de lui. Elle n'osait pourtant pas, les fantasmes parfois restent fantasmes.
" - Non, d'habitude je ne ressens pas de douleur aussi intense...mais...merci beaucoup je..."
Elle n'eut a peine le temps de dire sa phrase que l'homme mit sa veste par terre et fit allonger Lena qui n'en demandait pas tant. il était si vigilant et si sexy qu'elle n'arrivait a chasser les idées malsaines de son crâne.
" Peut-être devriez-vous vous coucher quelques instants. Je peux vous apporter un verre d’eau et de l’ibuprofène si vous voulez…"" - Non merci, ca va passer je vous remercie et je m'excuse de vous avoir fait cette frayeur...j'ai eu un petit malaise mais je pense que c'est la chaleur..."
La chaleur, quoi de plus réel? Commencait-elle a se sentir tellement chaude qu'elle en ferait un malaise incontôlé. L'histoire de l'arroseur arosé? Non il fallait qu'elle reste calme et réfléchisse comme une adulte, Alcide n'était pas attiré par son corps autant qu'elle ne l'était par le sien. Il lui demanda avec la plus grande des douceurs.
"Vous n’avez pas froid ?"
Lena avait envie de rire cette fois-ci mais elle retenait pour ne pas se faire piéger. Non elle n'avait pas froid loin de la, d'ailleur elle dégoulinait de sueur. Des gouttes qui s'échappaient de son front et coulaient doucement jusque la raie de ses seins. Elle balaya celles-ci d'une main rapidement quand il lui demanda complètement panniqué.
"Vous arrivez à bien respirer ?"
" - J'ai un peu de mal a respirer mais ca va passer...ne vous inquiétez pas, je ne veux surtout pas vous retenir pour le dejeuné...ou si vous avez un autre cours...je ne veux pas vous obliger a rester ici...je vais tenter de me relever...ouhh ca tourne, je suis sure que fais un malaise du a la chaleur, je transpire...j'ai la gorge sèche mais j'ai une bouteille d'eau..."
Comprenant son envie par pur reflexe de dégager sa gorge pour qu'elle respire, elle dirigea son regard vers sa poitrine dégagée de tout vêtements et dit d'une maigre voix.
" - J'ai de plus en plus de mal a respirer, mon soutien gorge me compresse...ca me donne une douleur dans l'estomac, je crois que je vais vomir..."
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