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« Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT}

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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyMer 9 Fév - 22:29

    Sentir la main de la jeune femme sur la sienne lui fit du bien. Il appréciait quand elle prenait des libertés comme celle là avec lui. Ca n’était pas souvent et lui non plus n’était pas très démonstratif, mais c’était très agréable. S’excusant donc auprès de la jeune femme, il était vraiment sincère. Il voulait pouvoir reprendre sur de nouvelles bases et que leur amitié continue ainsi. Mais surtout, il voulait qu’elle comprenne qu’elle n’était pas n’importe qui à ses yeux. Seulement, il se rendit aussi compte aussi qu’il l’avait embrassé et qu’il était là à lui avouer à demi mots ses sentiments alors qu’elle avait déjà quelqu’un dans sa vie. Il n’avait vraiment pas réfléchit avant d’agir et il se rendait compte qu’il devrait vraiment faire des efforts de ce côté-là. Expliquant qu’il devait partir, pour ne pas tout gâcher entre elle et lui, ce Zach dont il ne voulait même pas dire le nom tout fort. Il avait donc passé sa veste et il était décidé à partir, même s’il savait aussi que ça lui ferait vraiment du mal de la laisser en sachant tout ce qui venait d’être dit. Allant donc vers la sortie, il se passa les mains sur le visage et soupirant. Se traitant d’imbécile, il entendit la jeune femme parler et fut surprit qu’elle lui demande d’arrêter. Il se stoppa net, surprit par la façon dont elle venait de lui parler, mais aussi parce qu’elle l’avait suivit. Pourquoi voudrait-elle le suivre ? Restant dos à elle, il n’osait pas affronter son regard. Ne disant absolument rien, Andrew fixa la porte, comme si tout d’un coup elle s’était mise à être la chose la plus intéressante de la pièce. Ecoutant alors les propos de la jeune femme, il se retrouva plutôt surprit. Bon d’accord, il n’était pas surprit sur le fait qu’elle aurait pû faire pire que la gifle qu’il avait reçu, mais pour le reste, il restait surprit. Non elle n’était pas une fille facile et ça il le savait parfaitement. D’ailleurs en trois ans de connaissance, il ne l’avait pas vu avec beaucoup d’hommes. Il avait alors pensé qu’elle était fidèle, quelque chose de tout à fait normal.

    Ne sachant donc pas trop comment il devait réagir, il essaya de trouver une façon de répondre. Seulement il n’eu pas besoin de parler, parce qu’il sentit la jeune femme passer ses bras autour de lui. Fronçant les sourcils, il croyait halluciner, alors il baissa la tête pour voir qu’en effet elle avait passé ses bras autour de sa taille. Sentant ensuite sa tête se poser dans son dos, il ne pû s’empêcher de sourire. Puis, l’entendant dire qu’il n’y avait plus de « lui », plus de Zach depuis des mois, Andrew leva vivement la tête et fronça les sourcils. Elle était donc célibataire ? Ils n’étaient plus du tout ensemble ? Depuis des mois ? Mais depuis quand ? Cette fois, il préféra réfléchir et il resta donc muet. Il ne le lui demanderait pas … ou en tout cas pas tout de suite. Seulement son cerveau était aussi en train de percuter vraiment à cet instant. Elle était célibataire, ils s’étaient embrassés, elle avait répondu à son baiser et elle avait prit l’initiative de l’embrasser une seconde, puis là elle se retrouver à l’entourer de ses bras. Se mettant alors à sourire, il relâcha ses épaules qu’il n’avait même pas imaginé avoir contractés et il bougea pour pouvoir se retourner vers la jeune femme. Se retrouvant face à elle, il posa une main sur sa joue et la fixa dans les yeux.

    J’espère que ma mâchoire n’aura pas besoin de glace cette fois-ci.

    Se rapprochant de la jeune femme, il vint l’embrasser aussi tendrement qu’elle l’avait fait quand ils étaient dans le canapé. Se collant à elle, il posa son autre main dans son dos. Seulement, il ne préféra pas aller plus loin et avoir les mains trop baladeuses. Rien que l’embrasser était déjà quelque chose qu’il voulait faire depuis longtemps. Pour le rester, ils auraient le temps de voir venir. De toute façon il n’irait pas contre la volonté de la jeune femme si elle ne voulait pas aller plus loin. Il ne voulait pas tout gâcher, il voulait les choses bien, dans les règles et profiter simplement d’une relation, si elle acceptait d’en avoir une avec lui. Se retrouvant donc collé à la jeune femme, il continua de l’embrasser, profitant simplement de l’instant. Il ne savait pas si elle allait le repousser et lui colle rune autre gifle, mais cette fois-ci, il était prêt à la recevoir et ça en vaudrait la peine.
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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyDim 27 Fév - 2:20



Un petit rire.

C'est tout ce qui parvint à passer la barrière de mes lèvres.... Je l'avais senti bouger, j'avais légèrement resserré mon emprise sur lui, comme si je craignais soudainement qu'il se décidait à partir pour de bon. Je lui ai dit, je lui ai murmuré dans le dos que s'il osait passer le pas de la porte, j'allais avoir le vigile au bout du fil avant même qu'il n'atteigne le rez de chaussée et m'assurer qu'il se fasse ramener par la peau des fesses jusqu'à moi. Ou bien ne l'ai-je que pensé? Je ne sais plus, pour l'instant, je suis seulement sûre du fait que je ne veuille pas qu'il s'en aille. Je l'ai senti réagir à la mention de Zach. Je l'ai vu tilter la tête de côté doucement, comme s'il exultait en silence et cherchait à assembler les pièces de ce que je lui annonçais une à une. Mais je m'en foutais. Je le maintenais à la taille comme si le fait qu'il était là m'était vital et, déposant ma joue contre son omoplate, je buvais simplement sa présence aussi longtemps qu'il me le permettrait.

Nous sommes restés là pendant un moment. Une minute? Dix? Une heure? Qui sait, c'est comme si je nous avais coupé du monde et que le temps passait différemment dans notre petite bulle. Mais son mouvement à lui me fit réagir. Il commençait à presque se débattre, et nombre questions se mirent à me traverser l'esprit alors que j'imaginais déjà qu'il cherchait à partir. Que j'en avais fait trop. Mais lorsqu'il pivota sur lui même, son corps encore capturé dans mon étreinte mais me faisant désormais face, je n'eus d'autre choix que de baisser les yeux. C'était automatique. Je n'étais pas le genre à me montrer si vulnérable, mais Andrew avait le don de remuer tout ce qu'il y avait de moins assurée en moi. Oubliez la prof sympa, sûre d'elle, kickass quand il le faut. Je n'étais que Cheyenne avec lui, explorant un monde que je ne m'étais jamais permis. Et ça me fichait une trouille monstre. Lui, devait apparemment chercher à capturer le regard que je lui refusais pour l’instant, désirant vraisemblablement comprendre autant que moi ce désir si important de ne pas le laisser partir. De mon appartement, de ma vie, de n’importe où. Parce qu’il avait d’une manière ou d’une autre forcé son chemin et trouvé sa place là où d’autres n’avaient jamais survécu.

Capturant ma mâchoire, posant sa main sur ma joue, il me força doucement à lever les yeux vers lui, à savourer ce pétillement de plaisir que je pouvais lire au cœur de ses iris bleus. Je pouvais presque imaginer son cœur faire des salto de joie derrière le miroir de son âme et rien que ça me fit sourire. Mais ce n’est vraiment que lorsqu’il mentionna l’état de sa mâchoire à lui, et son espoir non feint de ne pas l’avoir démolie à nouveau que le rire éclata vraiment. Doux. Cristallin. Terriblement honnête et plaisant à entendre. Je n’avais pas besoin qu’il me dise ce qu’il planifiait de faire, ses yeux dardant sur mes lèvres alors que mon propre regard s’offrait ce plaisir m’informait de tout ce qu’il m’était nécessaire de savoir. Et alors, seulement, me suis-je permis de réaliser à quel point ses lèvres étaient douces. A quel point il pouvait bien embrasser. A quel point j’avais envie que ça dure et que jamais rien ne vienne l’interrompre. Quitte à paraître bien égoïste pour l’instant. La chaleur de son contact et la douceur de ses gestes me donnèrent envie d’être encore un peu plus proche de lui ; je réalisais bien que la chasteté de ses mouvements était mue par un désir de préservation. Vis-à-vis de moi, auquel cas je le trouvais très attentionné, ou encore vis-à-vis de lui, craignant peut-être qu’un unique mauvais geste de sa part allait le laisser estropié pour le restant de ses jours. L’un comme l’autre avait un but commun, à la fois compréhensif et attentionné : il n’attendait rien de moi que je ne veuille lui donner. Il ne forcerait rien, c’était à moi d’offrir autant que je voulais.

Rien que ça, je lui en serais à jamais reconnaissante.

Il passa sa main dans le creux de mes reins, la posant là comme s’il craignait d’aller plus loin. Moi, je laissais mes mains parcourir ses épaules, embrassant d’un toucher sa carrure et ce que je pouvais atteindre de son dos. J’avais l’impression de ne pas avoir assez de lui. J’ai entrouvert mes lèvres quelque peu dans une invitation pour lui d’approfondir ce baiser qui à mes yeux ne semblait jamais finir, non pas que je m’en plaignais. Il sembla en tout cas recevoir le message et jusque là, c’était tout ce que je voulais. Lorsque l’apport d’oxygène devint un problème, je me suis séparée de lui, aspirant goulûment des bols d’air comme si ma vie en dépendait, même s’il ne me fallut qu’à plonger mon regard un instant dans ses yeux noirs de désir pour réaliser enfin ce que je voulais.
Quand j'ai clamé à nouveau ses lèvres comme miennes, et qu'il a pris mon visage en coupe, j'eus un mouvement de surprise. Il m'embrassa à mon tour, jouant dans mes cheveux avec sa main libre alors que l'autre me maintenait contre lui, toujours posée dans le bas de mon dos. Je me suis redressée un peu, quittant l'écrin de son épaule pour retrouver son visage en vis à vis du mien et de continuer à l'embrasser, la douceur laissant la place à quelque chose de plus urgent. De plus honnête. Comme si ce baiser traduisait à mes yeux une certaines forme de challenge, le mettant au défi de prouver qu'il serait toujours là pour moi. De démontrer qu'il était là pour moi ce soir. Passant mes mains dans l’intérieur de sa veste, je l’en débarrassais bien vite, la laissant choir à nos pied comme un vêtement malpropre dont on n’a plus besoin. De toute manière, il ne partirait pas ce soir. Avançant un pas décidé, le regard plongé dans ses yeux curieux, je le poussais doucement vers la porte avant d’offrir un repeat à la scène qui s’était déroulé il n’y a pas si longtemps que ça. Posant à nouveau mon visage proche du sien, fermant les yeux en tâchant de reprendre un souffle que je ne pensais pas avoir encore, je laissais ses lèvres toucher mon front pendant que je glissais une dernière phrase comme si je voulais accentuer cette hantise que j’avais eu peu avant.

    Je ne veux pas que tu partes…, dis-je doucement, d’une voix vibrant de ce qui venait de se passer, tremblant doucement sur ce que ça pouvait bien dire, mais résonnant d’incertitude quant à son intention de partir. Le double sens, se devait être évident, tant dans l’idée d’un futur départ comme celui qu’il m’avait servi ces derniers mois, ou d’un départ plus simple, de cet appartement qui s’avèrerait immédiatement plus vide sans lui…

Je l’entendis soupirer, ou du moins c’était ce qu’il me semblait, et je ne sais pas si c’était par rassurance de ne pas s’être fait transformer en eunuque ou bien parce qu’il considérait répondre. Peut-être n’avais-je rien entendu, aussi… Je n'étais plus sûre de ce que j'entendais. Les battements de son coeur, tambourinant dans sa poitrine. Mon souffle coupé. Un bruit sourd qui se fit entendre dans cette pièce que je savais être la seule qu'Andrew n'avait encore jamais vu, et qui provoqua en moi un sourire amusé à la possibilité de lui jouer une farce.... avant de me souvenir que le temps n'étais pas à ça.. Lorsqu'il bougea, je me figeais. Et je me félicitais qu'il prenne les choses en main parce que je doutais être en mesure de comprendre quoi que ce soit d'autre que le contact de sa peau contre la mienne... Heureusement, donc, qu'un geste parle plus qu'un millier de mots, non?



{HJ: Moi + migraine + rp en pleine nuit = post qui ne me plaît pas. Désolée... Le prochain ira mieux ><}
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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyDim 27 Fév - 14:59

    Une certaine incompréhension avait prit part dans l’esprit d’Andrew. Il s’était rendu compte que l’ami de Cheyenne pouvait arriver à tout instant et qu’il n’avait sans aucun doute pas le droit d’être ici. C’était la raison pour laquelle il s’était levé et qu’il était prêt à partir, quand elle lui avait fait clairement comprendre qu’il devait s’arrêter. Il l’avait donc laissé parler, pour savoir ce qu’elle voulait. Elle lui avoua qu’elle était célibataire, ce qui voulait donc dire qu’il avait une chance de lui prouver ses sentiments. En tout cas c’est ce qu’il cru comprendre. Son esprit mit un certain temps avant d’assembler toutes les pièces du puzzle. Il ne savait pas s’il aurait la possibilité de lui dire le fait qu’il l’aime et qu’il la veut dans sa vie, mais il devait essayer. Il ne voulait pas aller trop vite, il voulait juste lui faire comprendre ce qu’il ressentait. Ca n’était peut-être pas réciproque, mais au moins il aurait dit la vérité. Hésitant un instant, il finit par se détendre et se décida enfin à bouger. Se retournant vers la jeune femme, il la regarda. Elle venait de baisser la tête. Elle n’était pas très à l’aise apparemment, ce qui fit sourire Andrew. Normalement c’était lui qui était embarrassé d’habitude. Gardant son sourire, il posa sa main sous le menton de la jeune femme pour qu’elle le regarde et ensuite il fit glisser sa main sur sa joue. Parlant ensuite de sa mâchoire, il préféra préciser ce point là pour qu’elle comprenne où il voulait en venir. L’entend rire, il garda son sourire et finalement l’embrassa.

    Il n’osa pas être trop entreprenant. Il préférait aller à son rythme et suivre les mouvements de la jeune femme. Il ne voulait pas passer pour un pervers, même si ça devait être une des images qu’elle avait de lui depuis qu’ils se connaissaient. Posant simplement sa main libre dans le bas du dos de la jeune femme, il la colla à lui. Il voulait la sentir toujours plus proche. Il aimait cette femme et il était prêt à le lui prouver. Il ne savait pas comment, mais il trouverait le moyen de le faire. Il voulait la rendre heureuse. Même si elle le semblait déjà, il voulait faire partie de ce bonheur. C’était sans doute égoïste de dire qu’il pourrait même être le bonheur de la jeune femme, mais il voulait pouvoir dire qu’un sourire où un rire de Cheyenne était là grâce à lui. Sentant les mains de la jeune femme sur ses épaules et aller vers son dos, ça lui fit le plus grand bien. Elle semblait accepter ce baiser et l’apprécier autant que lui. La sentant alors ouvrir les lèvres, il comprit le message et n’hésita pas à approfondir le baiser. A cet instant le pire aurait été qu’ils soient dérangés où qu’elle s’arrête pour dire qu’ils faisaient une erreur. Il voulait profiter de l’instant et c’est ce qu’il fit. Seulement l’air arriva à leur manquer et ils firent une pause. Se fixant alors dans les yeux, il ne savait pas vraiment de son côté ce qu’elle pourrait dire ou faire. Il ne fit que regarder la jeune femme, avant de se décider à reprendre. Après tout, il n’avait plus rien à perdre. Bon d’accord si, il pourrait perdre la jeune femme, mais il n’avait pas envie d’arrêter maintenant.

    L’embrassant une nouvelle fois, il fit glisser sa main de sa joue à ses cheveux. C’était quelque chose d’assez étrange pour lui. Il aimait la jeune femme que ça soit physiquement et mentalement et là il pouvait toucher le physique. D’habitude il touchait le mental avec leurs discussions, mais cette fois-ci, il découvrait une autre partie de la jeune femme. Continuant à l’embrasser, il sentit les mains de la jeune femme venir contre son torse et il se laissa faire. Sentant sa veste bouger, il enleva ses mains de la jeune femme, pour que sa veste puisse partir plus facilement et qu’elle finisse à leurs pieds. Regardant la jeune femme qui venait vers lui, il se retrouva plaqué à la porte d’entrée. Il ne savait pas du tout à quelle sauce il allait être mangé, mais avec le regard qu’elle avait et toute la féminité qu’elle dégageait il était prêt à lui servir de repas pour ce soir et pour beaucoup d’autres soirs, voire même de matins, enfin autant de fois qu’elle le voudrait. La voyant avancer son visage vers le sien, il ferma les yeux et il comprit qu’elle ne l’embrasserait pas. Il ouvrit les yeux et se mit à sourire, sentant sa tête se poser contre lui. Déposant un tendre baiser sur le front de Cheyenne, il garda son sourire et l’écouta parler. Soupirant doucement, il devait avouer qu’il appréciait ce qu’elle venait de dire.

    Il n’avait pas du tout envie de partir. Il voulait rester là, auprès d’elle. Peu importe s’ils faisaient l’amour ou non. Tout ce qu’ils voulaient s’était rester à ses côtés. Si elle voulait simplement être dans ses bras, il la garderait près de lui. Peu importe ce qu’ils feraient, il resterait avec elle. Ce soir beaucoup de choses avaient été dites et Andrew savait désormais, qu’il avait une chance de prouver qu’il était un homme bien. Parfois totalement immature, mais bien. Les secondes passaient et il ne disait toujours rien. A vrai dire c’était un moment très sérieux et il ne voulait pas briser ça. Hésitant sur la conduite à tenir, il posa une main dans le creux des reins de la jeune femme et l’autre vint se loger sous son menton pour à nouveau lui faire lever la tête pour qu’elle le regarde. Une fois qu’il pû capter son regard, il se mit à sourire. Il ne fit que la fixer pendant plusieurs secondes avant de parler. Il voulait qu’elle puisse lire dans ses yeux qu’il était bien là désormais.

    Je ne partirais plus.

    Il aurait pû dire « pas », mais il avait voulu préciser un peu plus les choses. Il voulait qu’elle comprenne que oui il était partit, il se rendait compte de son et ses erreurs, mais désormais il ne partirait plus. En tout cas s’il devait partir, ça serait seulement avec elle et il ne la laisserait pas seule. Il ne voulait pas tout gâcher alors qu’il avait une chance d’être avec la femme qu’il aimait. L’embrassant sur le front, il se remit à sourire en la fixant dans les yeux. A vrai dire là il avait un certain blocage. Que devait-il faire ? Il ne voulait pas l’obliger à aller plus loin si elle ne le voulait pas. D’accord elle lui avait enlevé sa veste, mais ça ne voulait pas dire qu’elle voulait faire l’amour cette nuit. Il resta donc simplement la fixer dans les yeux, toujours avec un léger sourire au coin des lèvres. Non pas ce sourire narquois qu’il pouvait avoir parfois, mais plutôt un sourire bienveillant qui voulait dire qu’il était là et que c’était à elle de décider de ce qui allait se passer à partir de maintenant, que ça soit pour cette nuit et pour plus tard.
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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyLun 28 Fév - 2:03



C’était rare.

L’instant en lui-même débordait d’une rareté qui n’ajoutait que plus au caractère précieux de la scène. Il était exceptionnel de voir Andrew d’humeur aussi sérieuse, ou bien de m’observer moi faire preuve d’une vulnérabilité que je tentais toujours de ne garder que pour moi. Le simple ton doucereux de sa voix, honnête, tendre, attentionné, rien que ça suffisait pour me laisser soupirer d’aise là où avec n’importe qui d’autre j’aurais pu au contraire me voir offusquée. Je n’aimais pas être celle dont on voulait prendre soin, j’étais indépendante assez pour toujours vouloir me débrouiller seule et en règle générale les rares qui s’y tentent finissent chez eux avec un pack de glace posé sur un quelconque membre de leur anatomie. Mais pas avec lui. Lui, c’était plus exquis, plus facile à gérer ; je savais qu’il comprenait, ou essayait tout cas et il y avait chez moi cette impulsion qui me poussait à me laisser aller. A baisser ma garde. A le laisser entrer dans mon cœur comme il s’était immiscé dans ma vie.

Il embrassa mon front.

Je soupirais.

Était-il seulement possible que ça soit aussi simple ? Une petite voix en moi me susurrait qu’on devait probablement faire preuve de tout ce qui était connu en matière de «cliché» mais je m’en moquais. Il avait dit les mots. Ses yeux ne mentaient pas. Plus important encore, je me surpris à le croire. Profitant du regard qu’il appuyait dans le mien, je l’observais attentivement. Tâchant de préciser à quel moment exactement j’ai réalisé pour la première fois que d’emmerdeur fini, il était passé au stade de personne sans qui je ne pouvais affronter les lendemains. Quand donc m’était-il devenu si indispensable ? Quand donc a-t-il trouvé le temps de faire fondre le cœur de glace qui était devenu le mien ces dernières années ? Je ne le comprendrais jamais, je pense. Peut-être même qu’il n’y avait pas de moments spécifiques ; que ça avait toujours été là mais à attendre le moment opportun pour se faire savoir. Mon inspection de son faciès s’acheva sur la question qui me brûlait les lèvres. Depuis quand est-ce que lui éprouvait ça ? Depuis quand avait-il su passer de ce sale gosse infernal à l’homme d’une intensité extraordinaire en lequel il se métamorphosait ce soir ? Andrew se révélait plein de mystère et mon regard devait pétiller d’intérêt. Entre autres choses. Lui m’observait toujours avec ce petit rictus de satisfaction mêlée de patience.

Il m’attendait.

Attendait que je décide de ce que je voulais faire. Etant quelqu’un ayant vécu l’acte d’un homme se forçant à soi, le fait qu’il me laisse maîtresse des évènements m’alla droit au cœur. Je l’embrassais chastement, sans promesse de plus, mais juste assez pour le distraire et me permettre de verrouiller la porte contre laquelle je le maintenais.

    «Si tu veux sortir, il va falloir me passer sur le corps… » dis-je en secouant les clés devant son nez, arborant désormais ce rictus qui d’ordinaire n’appartenait qu’à lui. Avant de réaliser que me passer sur le corps était probablement la seule chose qu'il désirait pour l'instant...

Me détachant doucement de lui, regagnant propriété dans mon appartement, je me retournais doucement pour m’apercevoir que lui ne suivait pas. Que malgré le fait que je n’aie fait que trois pas, il resté collé à la porte de cet air incertain qui commençait franchement à m’attendrir un peu trop à mon goût. Bien. S’il n’allait pas prendre les choses en main, j’allais m’en charger avec plaisir. Étendant ma main pour qu’il l’agrippe, je l’ai attiré à moi d’une force que je ne me reconnaissais pas et soupirait d’aise lorsque son corps se retrouva à nouveau si proche du mien.

*****Oulà Cheyenne, calme toi ma fille. Trente secondes loin de lui et t’en fait déjà tout un plat ! Il faudrait vraiment qu…*****
Je la fis taire, cette voix qui me hantait au seul moment où je ne voulais rien d’autre que lui et moi. Glissant le trousseau de clé dans ma poche, je l’embrassais à nouveau non sans adjoindre un nouveau sourire au geste. Le baiser ne tarda pas à perdre de son innocence pour lentement prendre une allure plus urgente. Plus passionnée. Et je me réjouissais de le savoir aussi décidé que moi à faire de cette situation quelque chose de concret, quelle que soit la situation en question. Je l’emmenais. Il se laissa guider, porté par cette pulsion qui nous frappait tous les deux en même temps, prenant doucement la direction d’une pièce que jamais aucun homme n’a vu. Andrew l’ignorait probablement, mais je n’étais pas le genre de femme à laisser l’autre entrer chez moi, surtout si c’était pour y entrer la nuit. Je pense qu’il y a aussi un peu de ça à la liste des raisons qui m’ont poussée à le gifler. Zach n’avait jamais passé la nuit chez moi, c’était toujours moi qui allait chez lui. J’aimais l’idée d’avoir un lieu exempt de toute présence masculine ; un sanctuaire privé dans lequel je pouvais me retrancher sans risquer de voir un quelconque souvenir indésirable dans la vue d’un objet anodin. Andrew était différent. Il l’ignorait probablement, aussi. Il ignorait tant de choses, en fait, et pendant un instant, le soupçon de culpabilité vint pincer mon cœur. Nous avions tous nos secrets. Peut-être un jour apprendrais-je à partager les miens avec lui. Aujourd’hui, je préférais mener le bal, le laisser m’acculer contre la porte de ma chambre pour l’ouvrir et nous permettre d’entrer… Si moi je me sentais comme un poisson dans l’eau, je ne pu réprimer un très léger rire au sursaut qui fut le sien quelque 15 secondes après notre entrée dans la pièce. Peut-être était-ce suffisant pour briser l’ambiance, mais moi je voyais plutôt ça comme une taquinerie et assurément, comme une scène mémorable que je consignais dans une partie spécifique de mes souvenirs. Je n’avais pas pris le soin de lui rappeler que je partageais effectivement mon appartement avec quelqu’un : mon berger allemand de deux ans. J’avoue que pendant un moment, j’étais tellement perturbée par l’arrivée soudaine d’Andy que je n’avais plus songé à l’immense chienne qui avait déjà filé se reposer dans mes quartiers. Son grognement se fit entendre et à allumer la lumière de ma chambre, je pouvais la voir, poil hérissé, grondant avec insistance contre Andrew, sans pour autant aboyer jusque là.. Andrew lui, en tout mâle qu’il était, était parfaitement tétanisé un instant.

    « Rayna, je te présente Andrew. Andrew, voici Rayna., dis-je sur un ton joyeux et taquin de présentation, avant de croiser le regard d'Andy qui provoqua un nouveau sursaut de ricanements de ma part..Je suis désolée, je n’ai pas pu m’en empêcher… Et puis, elle n’a pas l’habitude de voir des hommes dans cette partie de l’appartement, j’imagine qu’elle doit te percevoir comme une menace pour l’instant. Elle ne mords pas, pas tant que je lui dis, mais je savais qu’elle allait grogner… J’ai juste pas pu résister à l’envie de te voir faire un bond… », terminais-je à la fois en ricanant doucement, et en rougissant faiblement pour le côté puéril et autrement mal placé de la situation. Espérant aussi, quelque part, qu'il ne soulève pas le fait que l'animal n'avait pas l'habitude de voir de compagnie...

D’un tourniquet spécifique de ma main, intimant un ordre de silence, le grognement cessa et le poil de l’animal retrouva son aspect normal. Elle s’avança même pour renifler la main d’Andrew avant d’y apposer une léchouille amicale. Elle disparut ensuite entre nos jambes pour rejoindre le salon…

    « Futée, hein ? J’ai l’animal de compagnie le plus intelligent au monde : Rayna qui file s’installer dans le salon parce qu’elle se doute que tu n’aimerais pas être observé, ça se fait pas souvent », dis-je en le taquinant un peu, avant de passer mes bras autour de son cou pour l’amener à moi à nouveau. « Où en étions-nous, déjà ? » terminais-je dans un sourire avant d’appuyer mes lèvres aux siennes à nouveau.

J’étais sûre que j’entendrais encore parler de cette mauvaise blague pendant un moment. Au pire, Andrew pourrait estimer nécessaire de me le faire payer tout de suite, ce à quoi je ne suis pas sûre de trouver d’objection. Cessant mes mouvements le temps de récupérer de cet air qui m’était aussi vital que lui, je plongeais mon regard dans le sien, noir de désir. Mordillant ma lèvre inférieure comme à chaque fois que je m’apprêtais à prendre une décision capitale, je souris et acquiesça doucement de la tête pour lui permettre de se laisser aller à ce qu’il désirait. Pour lui faire comprendre ce que je voulais.

Et comme si je voulais mettre une emphase sur ce que je voulais dire, je me mis à déboutonner doucement sa chemise. Un bouton. Deux boutons. Au troisième, son mouvement me surpris tant que j’en oubliais où j’en étais. A plonger dans ses yeux un regard plein de questions, je fus soudainement persuadée d’une chose…

Il n'y avait plus aucun doute: il avait compris.



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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyLun 28 Fév - 14:08

    Etre sérieux ça n’était pas une des qualités d’Andrew, mais il savait que parfois il se devait de l’être. Ce soir c’était le cas. Il devait prouver à Cheyenne qu’elle pouvait avoir confiance en lui et qu’il n’était pas qu’un gamin puéril. Evidemment il préférait s’amuser et être un gamin, mais avec Cheyenne il savait faire la part des choses. Il voulait grandir et elle était bien la seule à pouvoir l’aider à devenir un homme meilleur. Alors qu’elle l’empêchait de partir, il répondit à ses propos en expliquant qu’il ne partirait plus. Désormais il était là avec elle et il ne partirait qu’avec elle. L’embrassant sur le front, il la fixa dans les yeux. Il voulait qu’elle décide de ce qui allait se passer désormais entre eux. Elle voudrait parler, il le ferait. Elle voudrait dormir avec lui, il le ferait. Ce qu’elle voudrait faire, il le ferait. Il voulait prouver qu’il était à son écoute et que jamais il ne lui forcerait la main pour quoi que ce soit. Il attendait donc patiemment qu’elle décide, qu’elle prenne une décision sur ce qu’ils allaient devenir à partir de ce soir. Se laissant embrasser rapidement, il fronça les sourcils. Ne comprenant pas le message, il la fixa et l’écouta alors parler. Haussant les sourcils, un fin sourire illumina son visage. Mais il reprit bien vite son sérieux. Il ne voulait pas qu’elle pense que oui il était prêt à passer sur son corps pour sortir. Il préférait passer sur son corps et rester auprès d’elle, mais il ne voulait pas qu’elle pense une nouvelle fois qu’il voulait juste qu’elle fasse partie des femmes avec qui il avait couché et que ça serait ensuite terminé. La voyant avancer dans l’appartement, il ne bougea pas. Que devait-il faire ? A vrai dire il n’en avait pas la moindre idée et ça commençait un peu à l’énerver. Non pas qu’il en voulait à la jeune femme, mais c’était envers lui même qu’il était énervé. Il n’était pas foutu d’en placer une et il ne savait pas comment se comporter face à la jeune femme. La voyant lui tendre la main, il se mit à sourire en coin et attrapa sa main pour venir près d’elle. Se collant à elle, il garda son sourire en la regardant. Etre adulte était souvent bourré d’inconvénient, mais pas cette fois-ci. Il venait de dire beaucoup de choses qu’il avait gardées en lui depuis longtemps et ça lui avait fait un bien fou. Aujourd’hui les choses allaient sans aucun doute changer. Est-ce que ça serait positif ou négatif, ça il ne pouvait pas encore le dire. Mais il espérait vraiment que Cheyenne l’accepterait dans sa vie, à ses côtés. Se laissant embrasser à nouveau, il en profita pour poser ses mains sur les hanches de la jeune femme. Le baiser au départ doux et léger, devint vite plus passionné, ce qui plû beaucoup à l’homme. Il voulait profiter pleinement de tout ce qu’elle pourrait lui offrir cette nuit et en la sentant bouger, il se mit à sourire. Il ne savait pas où elle l’amenait, mais il se laissait faire. Ca n’était pas dans ses habitudes de se laisser faire par une femme, mais il devait avouer que Maria et Cheyenne étaient les deux femmes les plus douées dans ce domaine. Alors ce soir, il profiterait simplement de ce qu’elle lui ferait faire.

    La peur, une chose qu’en général nous n’aimons pas ressentir. Seulement après être entré dans la chambre de la jeune femme, Andrew entendit grogner. Il comprit qu’il ne s’agissait pas de Cheyenne et que donc il y avait quelqu’un dans la chambre de la jeune femme. Il avait fait un sursaut en voyant des yeux le fixer et grogner en même temps. Quand Cheyenne alluma la lumière, il vit son chienne où plutôt sa chienne. Il se demanda alors comment il avait pû avoir peur, vu que lui aussi avait un chien où plutôt deux chiens. Un Bouvier Bernois et un Labrador. Ca n’était pas non plus des petits chiens, mais là il devait avouer que voir ce Berger Allemand lui grogner dessus ainsi, ça n’était pas quelque chose d’agréable. Ecoutant alors Cheyenne parler, Andrew essaya de reprendre une certaine contenance et soupira doucement. Ecoutant donc le nom de la chienne, il le mémorisa et reposa à nouveau son attention sur Cheyenne. Faisant une grimace en hochant la tête pour montrer à Cheyenne que jouer à la plus maligne n’avait pas été très apprécié, il regarda la chienne venir vers lui. Cheyenne avait une sacrée poigne avec sa chienne et Andrew ne percuta alors à ses propos qu’à ce moment là. Aucun homme n’était venu dans sa chambre ? Il eu un léger sourire qu’il fit disparaître rapidement et il sentit la chienne lui lécher la main. Son sourire revint alors et il apprécia que la chienne prenne les choses ainsi. Laissant la jeune femme parler à nouveau, il l’écouta avec attention et fronça les sourcils.

    La laissant passer ses bras autour de son cou, il la fixa dans les yeux et se mit à sourire alors. Se laissant embrasser, il en profita pleinement et dû reprendre comme elle un peu d’air. La fixant dans les yeux, il la vit se mordre la lèvre inférieure et il se demanda alors à quoi elle pensait. Elle semblait vouloir prendre une décision, enfin il percevait ça ainsi et il comprit mieux quand elle se mit à déboutonner sa chemise. La regardant ouvrir sa chemise, il eu comme un blocage. Il n’avait pas envie d’aller trop vite, mais il avait envie d’elle. Il se décida donc à bouger et il la regarda avant de faire quoi que ce soit. La fixant dans les yeux, il se décida enfin à bouger et il posa ses mains sur ses hanches. Osant frôler la peau de ses hanches, il aventura ses mains dans son dos et il un coup de chaud. Il redescendit ses mains doucement et les passa devant pour caresser son ventre. Il savait qu’elle était une femme forte et pas fragile, enfin c’est ce qu’elle montrait, mais il avait cette envie d’être doux avec elle, de prendre son temps et de découvrir le corps de la jeune femme. La fixant toujours dans les yeux, il attrapa le bord de son haut et le souleva doucement pour finalement le lui enlever. Laissant le tissu tomber, il n’osa pas regarder ce qu’il venait de découvrir. Il préféra embrasser la jeune femme et descendre ses baisers sur ses épaules et aller à la rencontre de son décolleté. Il avait toujours rêvé de pouvoir l’embrasser ainsi, de découvrir chaque parcelle de peau. Enfin il pouvait le faire et il voulait le faire bien. Continuant ses découvertes, il caressant son ventre, tout en embrassant son cou et le haut de sa poitrine.

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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyLun 28 Fév - 20:42



Il me lança un regard qui promettait des représailles quant à la mauvaise farce d'avec Rayna, mais je dois dire que je ne trouvais rien à redire plutôt qu'à m'en mordiller la lèvre avec anticipation. Je ne doutais pas qu'il trouverait à me le faire "payer" d'une manière ou d'une autre et, fait qui méritait d'être mentionné ne fut-ce que pour sa rareté, je me sentais encline à le laisser faire. Fermant la porte sur le passage de l'animal, je nous enclavais dans un espace intime. Privé.

Il n'y avait que nous deux.

Nous avons maintenu un silence certain pendant un instant, et je le sentais presqu'indécis lorsque je me suis mise à ouvrir son vêtement. Mais juste le temps d'un instant, parce que quand j'ai accueilli son regard inquisiteur avec un sourire destiné à l'encourager, il se remit à réagir. A savourer le moment. Aussi chastes furent ses mouvements, le simple contact de sa peau sur la mienne eut pour moi un effet électrisant qui me parcouru entièrement. Il y avait une telle intensité dans ses gestes, un tel désir de tendresse et d'attention que j'en eu le souffle coupé, ne le récupérant qu'une fois le tissu de mon top m'étant passé devant les yeux alors qu'il me débarrassait de ce vêtement. Je repris contenance, je repris mon souffle, mais je ne pouvais que le perdre à nouveau lorsqu'il déposa ses yeux sur moi, clos, préférant apparemment éviter de me voir et laisser au plaisir du toucher ce qu'il ne se permettait pas de vivre visuellement.

Il passa ses mains dans mes cheveux -qui devaient être un véritable bordel, soit dit en passant- mais dans le fond, à ressentir sa main les caresser ainsi, je me sentais belle. Travailler à l'université est loin de ressembler à un concours de beauté, mais sous les mains d'un homme, n'importe qui se reconnaîtrait tout simplement. Femme. Qu'y-avait-il de plus merveilleux à ça? Ce simple mot tenait tant de pouvoir, et je me sentais puissante à nouveau, effaçant bien rapidement la Cheyenne fébrile et effrayée que j'étais depuis qu'il était arrivé pour retrouver celle qui savait se montrer déterminée au boulot et en privé. Le peu de tissu enrobant mon corps laissant place au niveau de mes épaules à une pluie de baisers effrénés, langoureux, qui n'eurent pour effet que de me donner envie de pencher doucement la tête de côté pour offrir un meilleur accès. Et s'il embrassait de temps à autre ce point vital où battait la vie en moi, je n'eus aucun problème à reconnaître quelque points de lui qui reprenait vie également... Attrapant le pan de sa chemise, la libérant du pantalon qui la retenait encore captive, je prenais possession doucement du vêtement dans le désir bien évident de le lui enlever.

Il ouvrit les yeux à nouveau, et je ne trouvais pas à décrire ce que j'y voyais. Reculant d'un pas, puis de deux, je m'approchais avec assurance de mon lit tout en l'entraînant avec moi. Lorsque le rebord cogna l'intérieur de mes genoux, je m'asseyais avant de m'étendre sur le travers du lit, l'invitant à me suivre. Je reconnaissais ce qu'il cherchait à faire, et ça me touchait. Jusque là, il semblait vouloir m'honorer, pas me donner l'impression de m'utiliser. Moi, en revanche, je jouais avec l'idée de l'utiliser lui et j'étais persuadée qu'il n'y verrait aucun inconvénient. J'étais couchée là, sur mon lit, à l'observer doucement me dévorer du regard, et très rapidement un grondement de frustration se fit entendre du plus profond de ma gorge: je n'avais aucun désir de le laisser là, aussi l'agrippais-je par la boucle de sa ceinture et l'ai attiré de manière à ce qu'il me rejoigne.

Je ne pouvais me soustraire à l'ivresse que m'offrait le plaisir de le toucher. Je ne me faisais pas prier, relevant doucement la jambe pour frôler sa hanche, même s'il y avait l'affront des vêtements qui nous séparaient toujours dans cette zone là. Je me cambrais néanmoins de plaisir, savourant tout ce qu'il était possible de profiter, le laissant recommencer à administrer ses baisers où bon il lui semblait, ma main dans la chevelure d'Andrew, l’autre main menaçant de doucement griffer l’épaule de ce dernier. Il me décocha un regard cajoleur… taquin. Et je lui fis comprendre ce que j'en pensais en appuyant doucement sur l’épaule, faisant de se fait rentrer ses ongles sur la chair musclée de ce (presque) amant.

Sa réaction me fit glousser.

Il n'y avait pas de Monsieur Holden ou de Miss Hutchinson. Ici, maintenant, nous n'étions que Cheyenne et Andrew

    Merci, murmurais-je.





{hj: je garde les choses sérieuses pour le prochain message. Donc, pas de spoiler... J'ai mis assez de temps pour écrire celui-là... xD}
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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyLun 28 Fév - 22:24

    Elle l’avait bien eu il devait l’avouer, mais il trouverait une façon de se venger. Il ne savait pas encore quand, mais il se vengerait. Seulement il revint au présent quand il entendit la porte se fermer derrière lui. Fixant alors la jeune femme, il se mit à sourire en la regardant. Le fait qu’elle prenne les devants était très plaisant, mais il avait l’impression de ne pas savoir comment faire. La regardant ouvrir sa chemise, il se décida finalement à réagir. Posant ses mains sur les hanches de la jeune femme, il caressa doucement sa peau, profitant de chaque parcelle qu’il découvrait. Puis, il remonta à son dos, puis il passa sur son ventre avant de lui enlever son haut. Il n’osa pas regarder la jeune femme de peur de passer pou un pervers, mais il avait tout le temps pour la regarder, la toucher et profiter pleinement d’elle, comme elle profiterait de lui. Relevant une main, il la passa dans les cheveux de la jeune femme et il l’embrassa, avant de descendre vers son cou et d’aller sur le haut de sa poitrine, pour descendre vers son soutient gorge. Il voulait pour le moment s’occuper de cette partie là de son corps. La sentant basculer la tête sur le côté, il apprécia le fait qu’elle lui laissa libre accès à son cou et sa peau. Continuant ainsi pendant quelques minutes, il sentit sa chemise être retirée de son pantalon avant de lui être définitivement enlevée. Aidant la jeune femme pour que la chemise lui soit enlevée, il laissa ses bras libre d’accès et regarda ensuite la jeune femme. La fixant, il la vit reculer pour aller vers son lit. Avançant face à elle, il la regarda s’allonger sur son lit et il eu du mal à déglutir. Il voyait ce corps qui lui était offert. Elle acceptait qu’il vienne à elle. C’était quelque chose qu’il voulait depuis très longtemps, mais l’avoir là, en vraie, il était assez impressionné.

    Sortant de ses pensées, il remarqua qu’elle venait d’attraper la boucle de sa ceinture, pour qu’il vienne à elle. S’allongeant sur la jeune femme, il fit attention à elle et la regarda. Sentant sa jambe venir le toucher, il inspira et expira fortement. En général il n’attendait pas pour sauter sur une femme, mais avec Cheyenne s’était différent. Il voulait bien faire les choses, mais il savait aussi que s’il continuait comme ça, elle penserait qu’il n’est pas capable de lui donner le moindre plaisir. S’activant alors, il reprit ses baisers dans son cou et il posa sa main sur la cuisse de la jeune femme. Hum, fichu jean ! Il aurait préféré sentir la peau de sa cuisse, mais pour le moment il y avait ce jean beaucoup trop encombrant à son goût. Sentant les mains de la jeune femme sur lui, il apprécia les caresses et il sentit ses oncles s’enfoncer dans ses épaules. Il se mit à sourire et la regarda. Il voulait tout voir de ce qui allait suivre. Chaque expression qu’elle arborerait, mais il voulait aussi entendre ses murmures, ses gémissements, ses cris et sentir ses mains sur lui. Ok stp ! Il fallait qu’il arrête de penser à tout sans quoi il ne verrait et ne ressentirait rien du tout. Se concentrant alors sur la jeune femme, il sentit à nouveau ses ongles dans son épaule, il lâcha alors un grognement de satisfaction. Ne pas penser, il fallait agir plutôt. L’entendant rire, il se mit à sourire et l’écouta le remercier.

    Tout le plaisir est pour moi.

    Se rendant compte de ses propos, il fit une grimace ce rendant compte du double sens. Alors pour ne pas revenir dessus, il embrassa la jeune femme et il fit glisser sa main de sa cuisse à son ventre. Caressant à nouveau sa peau, il descendit jusqu’à son jean pour venir toucher le bouton. C’était le premier rempart qu’il réussit à enlever, puis il s’attaqua à la fermeture éclair. Son pantalon était désormais ouvert, il ne lui restait plus qu’à descendre le pantalon, mais il ne le fit pas tout de suite. Il remonta sa main sur le ventre, puis vers le soutient gorge de la jeune femme, pour finalement venir jusqu’à son épaule. Faisant glisser une des bretelles du sous vêtement, il embrassa son épaule, sans le rempart de tissu. Il fit de même avec la seconde épaule. Prenant son temps, il voulait encore et toujours découvrir chaque parcelle de sa peau et elle semblait accepter cela.

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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyJeu 3 Mar - 2:25



Je suis tout simplement incapable de m'arrêter. Andrew se tenait si proche, si vibrant, et mon corps répondait de lui-même sans me demander mon avis... Nous nous approchions l'un de l'autre, sans faillir, comme mûs par un instinct qui était bien plus fort que nous, l'action d'Andrew et ses mains sur mon corps me poussant bien trop assurément dans un désir de me laisser aller. D'arrêter de toujours trop analyser la situation et de juste... savourer. Nos lèvres se retrouvèrent, de manière qui traduisait toute émotion à l'exception de la tentation. Nous étions passionnés, affamés de l'autre. En temps normal, je ne me serais jamais laissée aller à agir ainsi, encore moins de manière si irréfléchie, de façon si impulsive. Mais aujourd'hui, je me laissais aller à ce sentiment que je n'avais jamais éprouvé par le passé, ce désir de se rassurer et d'aimer et de simplement se prouver quelque chose. Mes dents capturèrent sa lèvre inférieure et attira cette dernière vers moi, doucement, alors que je me séparais de lui pour récupérer un peu de cet air qui me faisais tant défaut. Comme par opposition du mouvement de ma tête qui se séparait de lui, mes hanches, au contraire, trouvèrent une nécessité de se nicher un peu plus près de son corps à lui, découvrant avec plaisir qu'il sembler apprécier l'instant autant que moi.

    Je vois ça...

"Tout le plaisir est pour moi". Cela devait sûrement être une phrase clé de la soirée, mais ça me fit rire. Surtout la manière qu'il avait de froncer les sourcils et de jurer silencieusement, les yeux fermés, comme s'il se maudissait lui même de sortir des âneries... non pas que je m'en plaignais.

Je me sentais fiévreuse. Mais d'une fièvre dont on ne pouvait jamais se plaindre tant c'était bon. Tout se déroulait si vite, ses mains caressant ma peau, ses lèvres installant leur or sur l'écrin de mon cou, alors que je le maintenais au plus près de moi, pressant ma poitrine contre la sienne en déplorant la présence du trop plein de vêtements qui nous séparait. Et si lorsqu'il glissa sa main à la lanière qui maintenait mon soutien gorge, ce simple mouvement me fit frémir d'impatience... Plutôt que le laisser se battre avec ce qui semblait parfois être un casse-tête royal pour la gent masculine, je lui indiquais l'attache frontale, lui épargnant le souci d'avoir à se battre avec un clip dans le dos. Son visage maintenu à quelques centimètres du mien, ses yeux ne quittant pas mon propre regard alors que je réalisais de plus que la pression qui m'oppressait la taille avait disparu, signe avant coureur qu'il avait dû déboutonner mon jean alors même qu'il me distrayait. Flashant un coup d'oeil, il me répondit qu'avec un petit sourire en coin dont il semblait avoir le secret. Soulevant légèrement les hanches, je l'invitais par là à nous débarrasser de l'article textile encombrant, le brûlant du regard alors qu'il laissait glisser ce dernier le long de mes jambes. Lorsqu'il ne revint pas tout de suite réclamer possession de mes lèvres, j'eus un instant pour pondérer ce qui était occupé de se produire. Comment ses yeux ne me quittaient pas. Comment il semblait absolument adorer ça.

Rougissant doucement, réalisant à quel point je me trouvais en position de vulnérabilité soudainement, j'eus le réflexe d'amener un bras par dessus mon côté droit. Posé de travers, il dissimulait une cicatrice qui savait me rendre nerveuse juste en y songeant... ou bien était-ce la passion du moment qui me rendait si nerveuse? Il aurait beau dire que j'étais merveilleuse. Magnifique. La plus belle femme qu'il ait jamais vu... ou bien qu'il garde le silence parce qu'il ne trouvait pas ses mots, était-ce vraiment ce pourquoi j'étais nerveuse? Ou bien est-ce le fait que je me retrouvais là, à demie-nue, caressée du regard par l'homme qui me fascinait depuis que je l'avais rencontré? Déglutissant doucement, je priais pour qu'il brise le silence ou se remette à bouger... N'importe quoi pour mettre fin à ce supplice d'incertitude qui me vrillait la tête... Il m'observa attentivement tout en me caressant doucement, envoyant mon cœur battre à un rythme effréné alors qu'il m'adorait des yeux. Je me sentais comme un trésor, chaque parcelle de mon corps où se posaient ses yeux frissonnant comme s'il s'était s'agit de ses mains. Mes yeux quant à eux se posèrent sur son corps et admirèrent pour la première fois le galbe de ses muscles, le grain de sa peau, tout en laissant doucement mes doigts parcourir ce corps que je désirais mien, consignant le moindre souvenir de cette découverte dans un coin précieux de ma mémoire.

Je l'embrassais une fois de plus avec douceur et amour, comme je l'avais fait la première fois que je l'avais accepté tel qu'il était réellement. Que je l'avais reconnu en adulte, et pas en gosse immature comme il savait l'être parfois (ouais, bon, toujours). Fronçant à mon tour les sourcils dans une expression faussement ennuyée, portant mon index à ma bouche pour le mordiller doucement alors que je levais les yeux vers lui, je ne pus m'empêcher de remarquer une chose... Une chose primordiale et qui pourtant sonnait encore faux dans la perfection de cette scène.

    Dis... Tu ne penses pas que tu serais plus à l'aise sans ça?, dis-je taquinement en passant ma main à sa taille, pouce sur la boucle de ceinture, mais laissant mes doigts courir entre le jean et son sous-vêtement, provoquant une réaction physique telle qu'il n'avait pas d'autre choix que d'acquiescer à mes propos.

J'étais fière de lui. Il avait l'air de comprendre vite, et lorsque soudainement, il se libéra de l'entrave que formait son propre vêtement, je ne pus faire autrement que de laisser ma jambe glisser contre la sienne. Comme un signe appréciateur et annonciateur de ce qui allait venir...

Parce que la soirée ne faisait que commencer...
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MessageSujet: Re: « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} « Can the pain outweigh the pride? » - Andrew {HOT} - Page 2 EmptyJeu 3 Mar - 14:16

    Coucher avec des femmes ça Andrew l’avait déjà fait. Il avait cumulé les conquêtes d’une nuit, mais là c’était différent. Il voulait faire les choses bien et surtout il voulait qu’elle ait assez confiance en lui pour accepter sa présence. Ca ne serait sans doute pas simple, mais il espérait que ça serait le cas. Se retrouvant donc torse nu et en jean, il était allongé sur le corps à demi vêtu de la jeune femme. Il lui avait enlevé son haut et il l’embrassait, voulant prendre son temps. Sentant la cuisse de la jeune femme contre lui, il maudit ses vêtements, mais il posa tout de même sa main contre cette partie de son corps. Après avoir parlé, il se rendit compte de ce qu’il avait dit et il sentit le bassin de la jeune femme se coller au sein. Fermant les yeux, il soupira doucement. Si elle continuait comme ça elle allait le tuer sur place. Ouvrant les yeux, il ne û s’empêcher de sourire à sa remarque. Ouvrant le jean de la jeune femme, il remonta ensuite sa main pour faire glisser les bretelles de son soutient gorge et pouvoir ainsi embrasser ses épaules. Relevant la tête, Andrew regarda la jeune femme lui indiquer quelque chose. Baissant les yeux, il vit alors que l’ouverture du soutient gorge se faisait par devant. Ah ça c’était un homme qui avait dû l’inventer ! Mais il n’en fit rien sur le moment. Il préféra regarder la jeune femme dans les yeux et voir comment elle réagissait face à tout ça. Il se mit à lui sourire quand elle baissa la tête pour regarder son jean. Oui, il l’avait ouvert et elle souleva ses hanches. Il en profita alors pour se redresser et lui enlever son pantalon. Laissant le bout de tissu tomber au sol, Andrew fixa le corps de la jeune femme. Elle était magnifique. Il s’était toujours demandé ce qui se cachait sous ses vêtements et aujourd’hui il pouvait le voir et il en profitait pleinement. Caressant doucement les hanches de la jeune femme, il continua de regarder son corps. Il la laissa le caressa et il se mit à sourire. Il n’aurait jamais imaginé pouvoir être ainsi avec une femme et encore moins avec Cheyenne. Il était un gamin puéril qui était devant la fille qui lui plaisait. S’allongeant à nouveau au-dessus de la jeune femme, il se laissa embrasser, appréciant chaque attention qu’elle lui portait.

    La voyant d’un seul coup froncer les sourcils, il en fit autant. Apparemment quelque chose n’allait pas. Il avait fait quelque chose de mal ? De déplacé ? Attendant donc de savoir, il sentit les doigts de la jeune femme parcourir ses hanches pour venir jusqu’à son jean. Andrew esquissa alors un sourire aux propos de la jeune femme. Ayant le souffle coupé, il ne pû que hocher la tête. Il n’arrivait même pas à répondre et il se sentit un rien benêt sur le coup. Ouvrant alors son pantalon, il l’enleva et le laissa tomber, pour rejoindre le jean de la jeune femme, déjà au sol. Sentant la jambe de Cheyenne venir le caresser, il serra les dents. Il fallait qu’il se calme pour ne pas lui sauter dessus là, tout de suite. Prenant soin de ne pas lui faire de mal, il s’allongea à nouveau sur elle et il vint embrasser son cou. Posant sa main sur sa cuisse, il sentit enfin sa peau. En sentant cette peau si agréable, il sentit un frisson lui parcourir le dos. Elle allait le rendre fou, encore plus que d’habitude. Caressant sa cuisse du bout des doigts, il continua de l’embrasser, avant de remonter sa main de sa cuisse, à son ventre, puis vers son soutient gorge qu’il n’avait pas encore ouvert. Le faisant alors doucement, il eu du mal à déglutir. Il savait ce qu’il allait pouvoir voir là-dessus, mais si c’était comme le reste du corps de la jeune femme, il allait en avoir le souffle coupé. Retirant donc ce nouveau bout de tissu, il fixa la poitrine de la jeune femme. Secouant la tête au bout de quelques secondes, il se rendit compte qu’il était mal poli. On ne dévisage pas une personne, alors imaginez sa poitrine ! Jetant le soutient gorge, sans faire attention à où il atterrissait, Andrew embrassa à nouveau les épaules de la jeune femme, pour descendre cette fois-ci plus bas. Une nouvelle fois il refit son décolleté, pour finalement s’occuper de sa poitrine. Tout en embrassant ces nouvelles parcelles de peau, Andrew caressait la cuisse de la jeune femme d’une main et de l’autre, il caressait sa hanche. Il commençait à trouver les points sensibles de la jeune femme et il les notait dans sa mémoire pour ne surtout pas les oublier.

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