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| Sujet: Un pas de trop amène à se perdre; MCDLT Lun 25 Mai - 4:56 | |
| « On cherche ce qui est trop près » C.C
C'était une de ses belles journées qui s'étendaient sur San Franscico.Il y a avait bien quelques nuages gris qui cachaient le soleil éclatant, cependant une après-midi chaude et humide se faisait tout de même ressentir sur la métropole américaine.La jeune Hammersmith errait à sa guise dans les rues du centre-ville, entrant à quelques reprises dans les boutiques qui longeait Lombard Street.Pour profiter de ce temps magnifique, Catahleen avait laissé sa voiture à l'universitée.Elle pris tout de même le transport en commun pour se rapprocher du lieu de rencontre qu'elle s'était donné avec son amie française, Marie-Charlotte.Les deux jeunes femmes avait rendez-vous près d'un petit café, ce qu'elles avaient prévue depuis quelques semaines déjà, ayant chacunes d'entre elles un emploie du temps chargée, entre les cours, les devoirs et les autres proches qu'elles possédaient.Par contre, elles étaient habituées à communiquer seulement par téléphone ou par courriels, ce qu'elle avaient appris à faire au lycée alors qu'elles correspondaient ensemble.Cat' avait quitté plus tôt sa chambre pour profiter du fait qu'elle était près des boutiques pour faire quelques emplettes, mais elle acheta seulement ce qu'elle avait besoin.Pas question pour elle de faire du shopping.L'heure avançait et la brunette fit de même.L'alpha enchaînait les pas à une vitesse fulgurente, ayant peur d'être en retard.C'était une de ses manies, elle détestait ne pas être ponctuelle, donc elle s'énervait lorsque les auguilles avançaient plus vite qu'elle, mais cette fois, comme toutes les autres, elle allait être à temps, car elle était arrivée.Elle leva les yeux à le recherche de la zeta, sauf qu'elle ne vit aucun signe de sa présence dans les parages, et étrangement aucune du fameux café non-plus.Le décors était ponctuer de restaurants et d'édifices qui semblaient être des boîtes de nuit.Un décors qui faisait oublier la richesse du centre-ville.Elle essaya de retrouver son chemin, mais elle tournait en rond, elle revenait au même point de départ.Son téléphone sonna au même d'une autre tentative.Elle ne laissa pratiquement pas placer un mot à Marie-Charlotte, qu'elle lui racontait sa situation.La pauvre Catahleen agitais ses bras énervés au millieu de tous les passants qui utilisait cette rue pour ce déplacer.Depuis qu'elle avait quitter sa confrérie, l'enchaînement de ses pas la mena à ce point, un énigme totale. « Je sais pas où je suis MC ! Ça fait deux ans que je suis à San Franscico et je suis incapable de me retrouver dans le centre-ville.C'est bien foutu ! »
Expliqua Catahleen en gesticulant anxieusement parmis tous ses passants.Il est vrai que l'orientation n'a jamais été son point fort, mais de là à se perdre dans la métropole ? D'accord, vu comme ça, il est normale de s'égarer dans une ville de cette envergure, remplis de rues allant dans toutes les directions, peupler d'habitants ayant tous une têtes qui se ressemble.Elle cache pleins de ruelles, d'endroits, de passages, qui est si facile de se tromper de directions.On fait un pas de trop, et on ne peut plus reculer, on est pousser pas la vague urbaine.Et surtout c'est hors de question de demander des indications, ici c'est chacun pour soi.On continue notre chemin sans faire attention aux autres,sans leur adresser un boujour ou un maigre sourire, ici c'est un environnement indépendalisme.Il y a des millions de personnes, mais aucune ne te connaît, aucune ne te donne quelques instants de sa vie et toi tu suis le mouvement, ici on est solitaire.Plus t'avances, plus tu t'égares.
Catahleen angoissait.Elle avait encore son portable bien ancré entre ses doigts attendant l'aide de Marie-Charlotte tant espéré.Seule, elle n'y arriverait pas.Elle abandonnerait avant, prenant le premier taxi pour retourner dans sa confrérie, où tout irait pour le mieux.Cat' n'est pas débrouillarde dans de telle situation.Elle passa par-dessus tous les problèmes de mathématique qu'on lui donne, mais retrouver son chemin seule, c'est trop pour elle.Elle s'énervait, imaginant les pires scénarios qui pourraient arriver dans ce coin lugubre de San Franscico.Il n'y a pas si longtemps, elle était dans une boutiques entourées d'hommes d'affaires et de touristes et maintenant plus rien de tout cela à l'horizon.Elle était parmis d'adolescents à l'air louche, de passants trop pressée, les édifices ouverts seulement lorsque le soleil tombe.Elle ne bougea plus, peureuse de s'éloigner davantage.Et si ce qu'elle cherchait était tout près ?
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