La tension entre els deux individus étaient intense. Ambrae en avait même de la difficulté à lui résister. C’est après sa tentation pour lui faisait désirer ses lèvres qu’elle retourna dans la cabine se changer. La jeune fille se regarda longuement dans le miroir. Sa silhouette reflétant dans le grand miroir devant elle. Ses jambes, étonnamment longues et fine pour sa petite taille, était bronzée comme si elle passait des heures et des heures à se faire griller sous le soleil brûlant d’un après-midi de juin – ce qu’elle faisait rarement, à vrai dire. Manque de temps ou de volonté ? – et sa taille était d’une minceur hors du commun. Après un certain moment de contemplation sur son corps – un peu trop à son goût – elle sorti de la cabine le sourire aux lèvres. Elle avait qu’une envie ; se blottir contre son corps et y rester pendant des heures. Ce qu’elle aimait des hommes était le simple fait de se sentir à l’abri des dangers les plus graves au monde. Comme si de ce trouver dans els bras d’un homme, que l’ont aime certes, effacer les risque probable des catastrophes sur notre vie. Ils agissaient comme un bouclier anti-malheur et Ambrae désirait bien avoir Anton comme bouclier anti-malheur.

Anton partie choisir quelques morceaux de vêtements qui, à première vue, étaient magnifique. Il lui demanda de choisir le tout. Ambrae lui sourit et avança un peu plus de lui, effleurant son bras de son sein droit. Elle sourit, comme si de rien n’était puis elle sélectionna deux ensembles qui lui irais comme un gant.

AMBRAE – Ceux-ci !

Dit-elle avec un adorable sourire. En fait, Ambrae avait choisit un jean bleu assez ajuster, mais pas trop quand même, ainsi qu’une chemise bleuté à carreaux qu’il porterait par-dessus un chandail simple blanc. Le deuxième ensemble, son préféré, était un jean foncé qu’il agencerait avec le même t-shirt blanc. La seule différence était l’adorable veste de semi-cuire noir à bouton argenté. Assez chic, mais décontracté à la fois. Anton entra dans la cabine et essaya le premier ensemble. La demoiselle fut touchée par la beauté de son corps moulé dans la chemise à carreaux. Le deuxième ensemble, par contre, la fit complètement chaviré. Elle se leva du sofa où elle s’était posé et le regarda de haut en bas. Elle s’approcha sensuellement de lui et posa une main sur son torse musclé.

AMBRAE – Wow, tout simplement craquant. Et tes yeux… tes yeux… ( elle sourit bêtement ) Ils sont magnifiques. C’est fou comme ils ressortent avec cette tenue. Les filles vont littéralement tomber à tes pieds ( plaisanta-t-elle )

Bien entendue, Ambrae plaisantait lorsqu’elle affirma à Anton que les demoiselles allaient tous craquer sous son charme fou dans cette tenue. En réalité, elles allaient réellement toutes craquer, mais Ambrae souhaitait être la seule à pouvoir profiter de quelques moments seul à seul avec le jeune homme.

Depuis toujours, ou du moins depuis le plus loin qu,elle se souvienne, elle avait toujours été une fille possessive et jalouse. Elle se rappela des journées o;u elle passait à acheter des vêtements totalement originaux dans des boutiques où les prix étaient aussi hallucinants – et élever – que les vêtements. Elle arrivait le lundi matin, vêtement neuf au corps, toute fière de ses trouvailles. Son monde s’écroulait lorsqu’elle apercevait d’autres filles portant les mêmes vêtements qu’elle. Elle devenait verte de jalousie et, d’un coup, essayait de s’approprier d mieux qu’elle le pouvait son propre style avec les vêtements, les portant d’une façon différente des autres. N’imaginons pas que serait sa réaction à la vue d,une homme qui l’attire dans les bras d’une autre poufiace.

Ambrae était une personne de sincèrement fidèle. La fidélité était, pour elle, la plus grande qualité qu’un couple devait avoir. Dans son passé, elle avait eu bien des idées tordus avec certains mecs. Il lui arrivait de s’amuser à els draguer, les embrasser, les faire languir, les faire désirer son corps. Pourtant, elle s’était juré que lorsqu’elle serait enfin dans une relation stable, tout c’est jeux de drague cesserait. C’est pourquoi, si la soirée était concluante et qu’Anton ai envie de la revoir, elle devrait mettre un terme à son petit jeu avec Keven. Il arrivait que les deux jeunes amis s’embrassent à plusieurs reprises, dans rien de plus. Mais après ce soir, plus rien de ceci n’arrivera. Elle s’abandonnerait à Anton, s’il le désirait bien sûre.

AMBRAE – Tu veux que l’ont aille se promener un peu, en se dirigeant peu à peu vers le restaurant. Et quand je dis peu à peu c’est… vraiiiiiiiment lenteeeeement.

Ajouta-elle en riant, avant de disparaître à nouveau dans la cabine pour se changer. Puis, ils allèrent payer et sortirent de la boutique, longeant le long de l’avenue principale.

La vie d’Ambrae n’avait pas toujours été simple. Tout d’abord, elle avait vécut dans une famille qui était assez demandant face à la cultivassions d’information importante. C’est-à-dire, avoir de grande connaissance sur tout, mais surtout sur la politique. Ses « parents », la famille Bass, l’avait toujours forcer à faire des choses qu’elle détestait. Elle avait pratiqué le piano, la danse, le ballet, le chant et bien d’autres disciplines artistiques encore. Puis, elle avait fait de la gymnastique durant un an. Côté intellectuelle, elle avait des connaissances en tous et n’importe quoi. Son enfance avait été livré à la réussite. Voilà pourquoi elle avait autant de facilité à l’école maintenant.

Elle voulait profiter de son jeune temps et ne plus être obliger de travailler dure. Elle voulait s’amuser. Ambrae fût sorti de ses pensés rapidement lorsqu’elle entendit la douce voie d’Anton lui résonner dans les oreilles. Sa voie qui la faisait chavirer, qui lui donnait des ailes et l’envie de poser ses lèvres sur les siennes. Il lui posa, d,un ton si craquant, une question à laquelle Ambrae était heureuse de répondre.

AMBRAE – Je suis totalement célibataire. J’ai longuement profité de ma liberté et je suis prêt à passer aux choses sérieuses. J’ai besoin de quelque chose de stable dans ma vie, quelque chose qui serrait me guider… tu comprends ? J’ai… un lourd passer.. et j’ai beaucoup de difficulté à vivre stablement, mais aujourd’hui c’est ce dont j,ai besoin. ( Elle arrêta de parler timidement et lui sourit ) et… toi ? Tu.. tu es seul ?

Ambrae croisa les doigts mentalement pour avoir un ‘’ oui ‘’ à la réponse du jeune homme. Elle posa sa tête contre le bras d’Anton et respira le parfum de con corps.

Ambrae se sentais de plus en plus en confiance avec le jeune homme. Elle venait de lui faire une très grosse confiance, chose qu’elle ne faisait qu’à ceux aux quels elle avait vraiment confiance. Pourquoi ? C’est simple, elle se méfie un peu des autres toujours et encore à cause de son passé lourd qui lui a fait réaliser le vrai sens de la vie. Elle lui avoua donc qu’elle était célibataire et avait besoin d’un relation stable. Puis, elle lui demanda si il avait une petite copine. Il commença à répondre à sa question en affirmant être en couple avec… Ambrae sentit son cœur se nouer. Il lui accordait tellement de petites attentions romantique, qu’elle pensait vraiment qu’il était libre. Sur le coup, elle lâcha son bras et le regarda légèrement triste. Elle fixa son regard quelques instants, puis Anton enchaîna. Il lui avoua donc qu’il était seul. Cette affirmation lui fit un soulagement. Elle ébaucha un sourire radieux et attrapa à nouveau la main d’Anton. Savoir qu’il avait besoin de quelque chose de stable était réconfortant et son rire dans ses oreilles était comme une joie que l’ont ne peu expliquer. Elle tourna son visage vers lui et enfouis ses yeux dans son regard azure. Elle pencha la tête, prête à faire un pas pour lui. Une sensation la forçait à faire durer le plaisir, mais une attirance comme un aimant l’attirait vers lui. Elle le regarda humidifier sa lèvre et perdu le contrôle de ses pensés.

Elle pouvait voir son visage se rapprocher du sien, ses main attrapa ses joue et ses yeux bleu se fermer pour lui donner un léger baiser. Elle était complètement perdu dans ses rêveries. Comme elle pouvait être bête cette Ambrae. La jeune fille était en compagnie d’une homme des plus adorable et elle, elle s’imaginait des scénarios dans sa tête au lieux de les réaliser. C’est la voie D’Anton qui al fit descendre de son nuage et la ramena parmi nous. Il lui demanda si elle allait, car elle semblait absente ajoutant à son commentaire une petite question. Ambrae se doutait qu’il allait la lui poser.

AMBRAE ▬ Oui oui, ça va. Je suis juste un peu perdu dans mes rêves. Oh, mon type d’homme ? Mmm, je dirais comme toi ! Attentionné, gentil, romantique, avec le sens de l’humour, jaloux – oui oui, j’aime bien que l’ont soit jaloux et protecteur, ça me rend complètement amoureuse – j’aime les garçons avec de l’imagination. Le genre d’homme qui sais me surprendre. J’aime pas faire toujours les mêmes choses. Surprendre n’égale pas néssécèrement me bourrer de cadeau, simplement être doux et attentionné avec moi. Un simple baiser par surprise me fait craquer.. Sinon.. eummh.. il faut qu’il sois beau et musclé, j,aime me sentir à l’abris dans ses bras. Mais le plus important, j’aime que son regard capte mon attention. Voilà.. ouais.. je coirs que c’est ça ! ( Elle lui sourit, timidement. Sa main dans celle d’Anton deviens moites et elle mordit sa lèvres inférieur ) Et toi, quel est ton genre de fille ?