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Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède.

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MessageSujet: Re: Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. - Page 8 EmptyVen 11 Sep - 11:12

Psychologie : maladie qui
se fait passer pour un remède
benedikt & leyla


Soudain, l’étau de fer faiblit. La prise lâcha. Des frissons envahirent son corps, et elle eut presque l’impression de sentir son sang ré-affluer correctement dans ses veines comme une vague déferlante.  Une grande bouffée d’air s’infiltra d’un seul coup dans ses narines, et même dans sa gorge. Roulant par légitime défense sur le côté, probablement rouge comme une tomate, elle toussa fortement à plusieurs reprises, manquant de peu de rendre son déjeuner au passage. Plaçant ses mains autour de son cou endoloris, elle mit plusieurs minutes avant de retrouver ses idées et une respiration à peu près normale. Et ce n’est qu’après une dizaine de minutes qu’elle rouvrit les yeux, ayant encore un peu d mal à avoir une respiration complètement nette. Elle n’avait pas suffisamment de force pour être hors d’elle, mais la colère montait. Surtout maintenant qu’il lui « reprochait » ce qui venait de se passer. Non mais il se fichait de la gueule du monde ? Il venait de l’étrangler comme un malpropre, et ça allait être en prime de sa faute ? Une minute de plus et il lui faisait faire un aller simple vers le jardin nuageux céleste. Serrant les poings, elle se massa un instant la nuque, se saisissant d’un verre d’eau sur la table de nuit pour tenter vainement de réhydrater sa trachée. Elle n’était même pas sure de pouvoir émettre un son. Était-ce le choc ? Ou simplement le fait d’avoir eu les cordes vocales écrabouillées ? Oui, bon, c’était sans doute un délicat mélange des deux. Quoiqu’il en soit, assise sur le lit, elle l’observa longuement sans broncher, sans lui répondre, sans même chercher à le rassurer sur son état de santé. Elle l’observa juste, semblant le regarder sans le voir, en se massant toujours compulsivement la gorge. En réalité elle réfléchissait. Elle tentait de maîtriser ses ardeurs. Elle avait envie de se jeter sur lui et de le rouer de coups. Mais en même temps, elle savait que ce n’était pas entièrement sa faute. Elle était très bien placée pour savoir quel mal le torturait. Elle toussota une nouvelle fois en mettant son poing devant ses lèvres. « Bien sûr que ça se reproduira. » prononça-t-elle d’une voix à moitié éteinte, très rauque, comme si elle couvait une bonne angine. Ils allaient être amené à passer du temps ensemble dans les semaines à venir. Beaucoup de temps. Et cet incident se reproduirait, à moins qu’il ne se guérisse du jour au lendemain, mais elle en doutait un peu. Doucement, elle bascula ses jambes sur le côté du lit, et se hissa sur ses deux jambes. Sans même lui adresser un regard, elle ajouta d’une voix égale. « Et si c’était à refaire, je reprendrais le risque sans hésiter. » Déjà elle avait disparu dans la salle de bain, où elle passa ses mains glacées sous l’eau chaude pour se revigorer un peu. Avait-il compris où elle voulait en venir ? Peut-être pas. Cette fois-ci, elle ne s’était pas attendue à la violence de sa réaction. Elle ne s’était pas préparée. Mais maintenant qu’elle savait dans quel état le sommeil le mettait, si cela devait se reproduire, elle saurait quoi faire. Et surtout, elle saurait comment se prémunir. Elle n’avait pas été assez prudente cette fois-ci, et cela, elle ne le ferait plus. Mais elle ne trouvait pas tolérable de le laisser dans un tel état d’inconscience. Pour elle, c’était trop dur. Il pourrait bien, ensuite, en penser ce qu’il voulait et la détester de faire intrusion dans ses songes cauchemardesques, mais elle ne pouvait tolérer une telle souffrance alors même qu’elle avait le pouvoir de faire cesser des images insoutenables en le réveillant.

Quelques minutes plus tard elle réapparaissait avec l’attirail de secours dans la main. « Asseyez-vous. » prononça-t-elle d’un ton presque autoritaire, vraisemblablement légèrement énervée, voire excédée par la situation. « Vous avez tout ré-ouvert en dormant. Il faut que j’enlève les anciens fils et que je vous en remette des nouveaux. » Sans crier gare, elle examinait déjà l’ampleur des dégâts. Le pansement était imbibé de sang. Autant dire qu’en dessous, cela ne devait pas être du joli. « Ça ne va pas être très agréable. » Avec précaution, elle tira sur le sparadrap qui encerclait le pansement, sachant déjà que le sang coagulé collait par endroit la plaie. Ça lui donnait presque envie de rendre son déjeuner. Il avait de la chance qu’elle n’ait pas peur du sang, et qu’elle en ait vue d’autres. Une fois le pansement enlevé, elle découvrit quelque chose qui ne lui plus pas du tout. La plaie était effectivement ré-ouverte, et ce n’était pas beau à voir. Elle entreprit donc de la nettoyer, au moins pour y voir plus clair avant d’entreprendre d’enlever les vieux fils éventrés. Silencieuse, concentrée, ses mains ne tremblaient pas, et son visage demeurait impassible. « Contre qui luttiez-vous ? » lui demanda-t-elle d’une tonalité qui ne semblait pas laisser place à une absence de réponse. Il lui devait bien ça, après avoir failli la tuer, nan ? « Qu’est-ce que vous voyiez à ce moment-là ? » En même temps, elle s’était armée d’une à épiler pour enlever mauvaises croûtes et fils collés. C’est le moment qu’elle choisit pour lui tendre une flasque d’alcool qu’elle avait trouvé dans le bar. « Tenez. Les minutes à venir ne vont pas être agréables du tout, ça vous aidera peut-être un peu. » Et le premier morceau de fil était enlevé, tiraillant sur la peau ensanglantée à vif. Une peau d’ailleurs qu’il faudrait vérifier de près. Elle avait vraiment peur que ces rafistolages élémentaires ne permettent pas à la plaie de cicatriser correctement, et qu’elle s’infecte.



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MessageSujet: Re: Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. - Page 8 EmptySam 17 Oct - 7:38




Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède.

Je vous dis que non, ça ne se reproduira pas. Des mots qui, au lieu de sortir dans un grondement furieux de ma gorge, passèrent inaperçu dans le silence du coup d’œil que je venais de lui lancer. Je dormirais dehors la prochaine fois, tant pis. C’en était presque ironique. Mais ça n’avait rien de drôle au fond. Quoiqu’il en soit, je ne comprenais pas ce pourquoi si elle devait reprendre ce risque, elle reviendrait mettre sa gorge autour de mes doigts. Masochiste ? Suicidaire ? Réelle envie de m’aider ? Ce n’était pas comme ça qu’elle y parviendrait. Mais Leyla venait au moins de toucher un point sensible. La confiance que je pensais ne plus obtenir, et qu’elle-même semblait ne plus vouloir m’accorder avait pointé de nouveau le bout de son museau. Et quelle que soit sa forme, j’étais rassuré de savoir qu’il y avait au moins une personne sur laquelle je pouvais compter dans le pétrin qui nous ensevelissait à chaque pas que nous faisions vers l’issue de cette histoire. « C’est quoi ç… Ah non, vous allez pas encore me … !! » Mes plaintes venaient trop tard et surtout n’arrivaient pas au bon moment. Un seul regard dans sa direction m’indiquait qu’elle n’était pas d’humeur à subir mes protestations. De plus, par réflexe, j’avais posé une main sur ma blessure, qui s’était rouverte pour l’occasion. Quelques tâches de sang maculaient même le drap, m’obligeant à grommeler dans ma barbe que la prochaine fois qu’on se rendrait dans un motel, on prendrait deux chambres séparées pour éviter que je doive me coltiner une infirmière à domicile. Comme si c’était de ma faute si j’avais rouvert la plaie ! Si tu ne m’avais pas sauté dessus… Roulant des yeux dans leurs orbites en poussant un profond soupir agacé, je gardais pour moi mes remontrances, sachant pertinemment que la faute ne lui revenait en rien au fond. L’ego du mâle dominant dans toute sa splendeur. « Sans blague. » Déjà que la première fois qu’elle avait glissé cette saleté d’aiguille sous ma peau, j’ai dégusté, je savais très bien que cette fois non plus ce ne serait pas une promenade de santé, pas besoin de toi pour me le rappeler. Ok OK, je vais me calmer. On respire, et on inspire. On pense à quelque chose d’heureux. Immédiatement, mon souffle devient plus léger, je reprends des couleurs et mon regard d’encre retrouve le large. Je me demande quelle robe elle va porter ce matin. Ma fille a l’art de faire collection de tout ce qui me parait totalement insignifiant, particulièrement des tonnes et des tonnes de robes de toutes les couleurs, bouffantes et qui manquent généralement de la faire capoter en arrière à cause du poids du tissu. Bon, je reconnais que la plupart de ces choses viennent de moi. Mais toutes les robes de couleur rose, - une couleur que j’exècre au plus haut point – proviennent vraisemblablement de son grand-père. Le pire dans tout ça, c’est que Natacha semble affectionner de plus en plus cette couleur. Sa mère tout cracher. « Pardon ? » Retour sur la planète Terre, et sur la douleur de l’instant présent. « Contre vous, je pensais que c’était limpide. » Bah quoi ? J’avais ses mains autour de son cou, non ? Oui je sais que ce n’était pas à ça qu’elle faisait référence ! « Moi-même. J’étais impuissant à aider ceux que j’aime, ça vous va ? » grognai-je comme si le fait de l’évoquer oralement rendait mon impuissance plus vraie encore. « Merci fillette, mais je peux pas boire ça. » Encore une chose qu’elle ignore sur mon compte, et que je ferai bien de lui dire pour éviter d’avoir de nouveau à subir sa mauvaise humeur, ma maladie. Reposant la flasque sur le lit en inspirant autant que faire se peut, je grinçai tellement des dents qu’on aurait dit un concerto de criquets. « Je suis malade du cœur. Cardiopathie congénitale. » Parler me permettait d’oublier la douleur, ou en tous cas de ne pas y penser. « Et vu que j'ai une malformation cardiaque de longue date, on va dire que tout ce qui est bon à la bouche n'est pas bon pour ma santé. » concluai-je pour la forme.  

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MessageSujet: Re: Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. Psychologie : Maladie qui se fait passer pour un remède. - Page 8 EmptyJeu 29 Oct - 14:12

Psychologie : maladie qui
se fait passer pour un remède
benedikt & leyla


Son cœur eut un raté dans sa poitrine, et malgré elle, son poing qui tenait jusqu’alors l’aiguille se referma, devant tirer d’un coup sec sur le fil qui lui sillonnait la chair. Son sang n’avait fait qu’un tour dans ses veines face à son « indication ». S’il n’avait pas été maculé de sang et blanc comme un cadavre en cours de zombification, elle l’aurait frappé. Si elle n’avait pas mis le sujet sur la table, il aurait attendu combien de temps avant de lui faire part de ce petit … Désagrément physique ? Elle ne savait pas bien de quoi il en retournait, mais une malformation cardiaque, ce n’était jamais de bon augure. Sa maladie avait un nom à coucher dehors, mais elle la pénalisait au quotidien. C’était à la fois flippant, et affligeant. Mais l’heure n’était pas aux explications plus détaillées, ni aux lamentations et aux regards larmoyants. Elle n’avait aucune empathie pour lui, et éprouvait davantage de la colère. Elle était énervée qu’il ne l’ait pas prévenue avant, bien avant. Et pourquoi ce léger détail n’avait-il jamais été évoqué sur son dossier médical hein ? Encore un coup de leurs « supérieurs » qui leur avait transmis les informations qu’ils voulaient bien. Ou alors Benedikt s’était-il arrangé pour passer entre les mailles du filet ? Il ne serait certainement pas sur le terrain si ce n’était pas le cas. Un agent dont le cœur est susceptible de lâcher à la moindre surdose d’adrénaline, ou dose d’alcool, cela n’était pas très fiable. A la mine qu’elle affichait, elle était furieuse. Furieuse de se retrouver avec un soi-disant agent qui au final, avait une faiblesse. Une grosse faiblesse qui pouvait se manifester à tous instants, et sur laquelle il n’avait pas forcément d’emprise. Elle ne savait déjà pas dans quoi elle mettait les pieds, là, c’était la cerise sur la tarte à la crème. La plupart des flics de New York devait déjà avoir déployé les chiens pour les retrouver, sans parler de ce tueur psychopathe qui leur faisait les yeux doux. Bref, tout allait bien. Tout allait très bien même. Ah oui, et dehors, la tempête ne semblait pas se calmer, et elle ignorait combien de temps ils allaient être bloqués ici, alors même qu’ils devraient bouger en permanence.

« Et vous comptiez m’informer quand de ce petit détail ? Quand j’vous aurais retrouvé raide mort après que votre palpitant ait eu un mouvement plus haut que l’autre ? » En parlant, elle fit bien exprès de serrer les fils. Ah ceux-là, s’ils se décrochaient, elle changerait de métier. Oh il avait mal ? Bagatelle, elle n’en avait rien à faire, trop énervée pour maîtriser ses doigts et leurs ardeurs vengeresses. « Vous êtes … Inconscient. » maugréa-t-elle en se levant, lui balançant une serviette pour qu’il nettoie sa plaie à la figure. « Je sors, je vais nous trouver à manger. Tâchez de vous reposer, vous ressemblez à un mort avant le stade de décomposition. » Elle n’attendit même pas qu’il réponde. Ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre. Il devait se reposer, et si elle sortait, elle ne risquerait pas de la réveiller. Il en avait besoin, autant qu’elle avait besoin de prendre l’air.

Leyla ne revint dans la chambre de motel que quelques heures plus tard, portant sur son dos un grand sac à dos en toile verte. Même si tout était fermé, elle avait réussi à trouver ce qu’il fallait. De quoi manger pour deux jours, quelques vêtements chauds comme une veste pour elle, un pantalon digne de ce nom pour lui, et des pulls pour eux. La porte se claqua derrière ses pas dans une bourrasque. Apparemment, une tornade était en préparation à la périphérie de la ville, et n’allait pas tarder à s’abattre sur les quartiers voisins. Autant vous dire que cela allait mettre une joyeuse pagaille. Le gardien du motel, qu’elle avait croisé en route, lui avait même conseillé d’aller trouver un abri plus sur. Les bâtisses n’étaient pas suffisamment solides pour résister, surtout sur la tornade décidait de frapper à leur porte. Ne regardant même pas si Benedikt dormait ou non, elle alla s’enfermer dans la salle de bain une nouvelle fois, se faisant couler un bain brûlant. Les mains de part et d’autre du lavabo, elle se remémora les règles qu’elle avait dû enfreindre pour obtenir ces vêtements, et toutes ces choses dont ils auraient besoin. Inutile de préciser que cela ne lui plaisait pas. Mais … C’était désormais devenu une question de vie ou de mort. Ils étaient trop repérables, elle le savait. Elle savait aussi comment le FBI fonctionnait. S’ils restaient ici, dans cet état, trop longtemps, ils ne finiraient pas être retrouvés en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. La tornade les préservait pour l’instant, mais cela ne durerait pas. Prenant une longue inspiration, elle essuya la buée sur la glace, et observa son reflet pendant quelques secondes. Cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas vue avec un regard aussi dur, aussi … Sombre. Et puis on entendit un bruissement … Comme un cisaillement. Dans le fond du lavabo blanc venait de tomber la première mèche brune. Puis ce fut une autre, et encore une autre. Jusqu’à ce que son crâne lui semble devenir léger. Son cœur se serra face à l’image qu’elle renvoyait. Elle n’avait jamais eu l’habitude de porter les cheveux courts, c’était comme si on lui avait arraché quelque chose … Cela lui faisait une coupe un peu garçonne, désordonnée. Elle gardait une épaisseur suffisamment importante pour ne pas ressembler à un militaire, elle restait féminine, mais cela durcissait ses traits, et la changeait considérablement. Pour se rassurer, elle se répéta que ce n’était pas si mal, qu’au moins elle n’aurait pas de problèmes pour les coiffer le matin … Et que … cela repousserait. Au moins ainsi elle n’était plus reconnaissable. Les traits dur et le teint fade, après un bon bain réconfortant, elle finit par sortir de la salle de bain vêtue d’une chemise (elle n’arrivait pas à se résoudre à mettre la chemise de nuit qu’il lui avait ‘acheté’ devant lui, trop gênant).  Sans rien dire au sujet de son changement capillaire, elle retourna dans la chambre, farfouilla dans le sac à dos, e en sortit une coloration, les ciseaux qu’elle venait d’utiliser, et un peigne. Elle les laissa retomber sur le matelas, et dit d’un ton assez froid : « Vous êtes trop reconnaissable avec votre crinière. Il faudrait arranger un peu ça. Je vous aide si vous voulez, dites-moi juste … ce que je dois faire. » Autant dire que ce n’était pas le moment de lui chercher des noises, elle n’était pas d’humeur. Sa féminité venait d’en prendre un coup, inutile d’en rajouter avec des remarques superflues ou des protestations inutiles.




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