Sur le tarmac il y avait un monde fou et surtout des policiers, ce qui ne faisait pas forcement plaisir au jeune homme, il n'allait pas tout de suite taper une crise, il allait tranquillement répondre aux journalistes avant de demander à voir son père, une dernière fois, lui rendre un dernier hommage, cet homme, cet exemple.
A peine un pied à New York, les flash crépitent, il devient l'homme à voir, l'homme à entendre et ils vont l'entendre, s'installant au micro, avec une assurance qu'il ne se connaissait pas il prend la parole. "En ce jour, la famille Walton vit un moment sombre de son histoire, mon père, le patron emblématique de l'entreprise a été lâchement assassiné par des personnes qui n'ont pas encore eut le courage d'assumer leurs actes. En ce jour je porte le deuil d'un père qui est parti trop tot, en ce jour l'Amérique perd une figure publique, une personne qui pensait beaucoup à ce pays, ce continent pour qui il était prêt à perdre la vie. C'est ce qui s'est passé dans la nuit, mon père a très certainement perdu la vie pour ce qu'il faisait et non pour ce qu'il était. Je condamne fermement cet acte et annonce dès aujourd'hui que je refuse toute protection de prêt ou de loin de la police, je n'ai pas peur. Je suis le nouveau patron de l'entreprise Wal-Mart et ne céderai à aucunes menaces ou pressions. Sur ce messieurs je vous donne rendez-vous quand mon père aura reçu l'hommage qu'il mérite. Je ne prendrai plus la parole jusqu'à ce moment-là. Pour la suite je penses que vous me verrez et m'entendrez bien assez..." Dit-il avec son léger sourire, avant de monter dans une limousine identique à celle qui avait vu les dernières secondes de vie de son père. Il se rendait à la morgue, même si on lui avait formellement déconseillé d'aller voir son père dans cet état il n'en avait que faire. Voir son père était important, qu'il soit beau ou pas, qu'il soit encore ensanglanté ou pas. Vingt longues minutes de route ou quoi qu'il en dise, il n'était pas à l'aise. Dès qu'il y avait un bruit, une voiture qui passait trop vite ou une moto en survitesse il levait la tête pour voir ce qu'il se passait. Entrant dans la morgue. "Bonjour messieurs, pouvez-vous me laisser seul avec mon père?" Attendant que les hommes sortent tous un par un de la salle. Il tourna une première fois dans la pièce voyant s'il y avait une camera, n'en voyant qu'une seule il posa sa veste dessus avant de s'enfermer avec son père. Il n'avait pas encore craqué, mais pouvait maintenant le faire, ce mettant à genoux à coté de son père, la tête sur son torse il éclata en sanglot. "Pourquoi papa, pourquoi toi? Tu étais trop jeune, j'étais trop jeune pour que tu me laisses, pourquoi tu m'as fait ça?" Prenant la main de son père, il la serra tellement fort qu'il y laissa sa marque, il était en train de dire au revoir à son père. La personne qui après son grand-père était un gros exemple, lui qui était privé de sa mère depuis longtemps avait tout mis sur son père. Il l'aimait tant, il en était fan de lui et allait certainement tout faire pour le rendre fier, il le savait là-haut il serait fier de lui et de ce qu'il allait faire de l'entreprise familiale. Comme il l'avait déjà pensé, le voilà devant le premier jour du restant de sa vie et il n'imagine même pas à quoi elle va ressembler.

Une heure avait passé et on retrouvait maintenant le jeune homme seul dans son tout nouvel appartement, il ne connaissait plus personne ici, ou les personnes qu'il connaissait ne savait pas encore qu'il était arrivé. Il passerait donc cette soirée seule, une soirée qu'il aurait pour une fois préféré passer accompagné. Il pensait même à sortir boire un coup, faire la fête, voir du monde, un moyen de tout oublier. Mais vu les circonstances et surtout vu le nombre de journalistes qui trainaient prêt de chez lui il était hors de question de leur offrir un cliché d'un Drew en train de faire la fête. Un verre de whisky à la main, la veste de son costume posé sur le canapé et le nœud de cravate desserré Drew regardait le tableau du salon, les larmes avaient séché, les yeux n'étaient plus rouges, mais il y avait cette peine qui n'arrivait pas à sortir. Il se servait le second verre quand l'interphone se mit à sonner, qui pouvait bien venir le voir? Personne ne savait qu'il était là, personne sauf peut-être ceux qui le connaissaient un peu et qui avait regardé la télévision au bon moment. Répondant il entendit la voix de la jeune et belle Théa, très surpris il raccrocha en ouvrant la porte. Elle était cette petite blonde de qui il prenait soin, une façon de prendre soin d'elle bien à lui puisqu'il lui fournissait de la drogue. Certains rirons en entendant ça. Mais lui pensait simplement qu'il n'était pas là pour la juger et que si elle voulait se droguer il ne pouvait que lui fournir de la bonne drogue histoire de ne pas se faire avoir. Une relation c'était installé entre eux, même si certain de ses amis ne cessaient de lui dire qu'elle profitait de lui et de son argent pour avoir de la drogue et de l'alcool, mais qu'elle ne le prenait pas comme un ami. Fin pour le moment, celle qui venait de franchir la porte c'était bien elle et personne d'autre. Ses amis, ses vrais amis eux ne l'avaient même pas appelé et étaient certainement en train de faire la fête. "Non entre, tu ne me déranges pas, bien au contraire ça me fait vraiment très plaisir de te voir ce soir. Surtout que là ce n'est pas la meilleure de mes soirées!" Dit il avant qu'elle l'enlace comme elle ne l'avait jamais fait, une étreinte longue, mais qui lui faisait énormément de bien. Il n'aimait pas être pris en pitié, mais avec elle ce soir, il venait de baisser les armes et la serra fort contre lui, sentir la chaleur humaine lui faisait grand bien, loin de cette main froide qu'il avait tenue en début de soirée et qui était celle de son père, mort, étendue sur cette table tout aussi froide que lui, deux balles dans le thorax. L'étreinte se relâchant petit à petit, le Drew toujours souriant et toujours actif allait petit à petit reprendre du poil de la bête. Mais pour le moment il avait l'impression de se réveiller d'une sieste, vaseux, presque perdu, voilà ce qu'il ressentait à ce moment-là. Proposant à la belle de prendre place sur le canapé il disparu quelques minutes avant de revenir, cette fois -ci la cravate bien remise et surtout deux verres de whisky dans les mains. Première chose, il n'était pas seul, deuxième chose, il n'allait pas boire seul, troisième chose il était très content de voir cette personne en cette soirée. Elle était très vite devenue importante à ses yeux, la voyant comme une petite sœur qu'il n'avait jamais eu, ni même voulu. "Merci, je vais pas te cacher que je suis bien content que tu sois là, je ne me voyais pas boire seul et passer la soirée seul. Sortir faire la fête? Encore moins, ce serait mal venu et mal vu! "Il la regardait dans les yeux et encore une fois la voyant mal à l'aise il voulait qu'elle sourisse un peu, il sentait bien qu'elle n'était pas bien pour lui et ce sentiment il ne l'aimait pas. Posant sa main sur le menton de la jeune femme il lui lança. "Arrête de faire la gueule, ce n'est pas de ça que j'ai besoin." Dit-il en descendant d'une traite son verre d'alcool, la soirée allait certainement lui faire très mal à la tête, mais il avait certainement besoin de ça.

Perdre son père était une difficulté qu'il ne souhait à personne, surtout quand vous n'avez déjà plus de mère et qu'ils n'ont pas trouvé bon de vous laisser un frère ou une sœur avec qui partager la peine. Mais quand votre père a été assassiné c'est encore pire, vous ne savez pas à qui en vouloir. Vous ne savez même pas si vous devez avoir peur pour votre vie. C'est un peu perdu et triste que l'on voit Drew, mais surtout inquiet, il pourra rapidement se remettre de la perte de son père puisqu'il a été élevé comme ça, ne pas trop perdre de temps avec le passé. C'est difficile à dire, mais après avoir appris la mort de son père il a revu l'une après les autres, les images des bonnes choses qu'il a vécues avec son père. Il ne retiendra que ça, les bonnes choses en oubliant volontairement les mauvais moments, les coups de couteau de sa mère, le mensonge de son père qui lui a fait perdre sa petite amie. Il y avait beaucoup de choses à reprocher à cet homme qui lui avait donné la vie, mais il lui devait surtout beaucoup d'autres choses. Maintenant il lui avait donné des choses, une entreprise florissante, des responsabilités à ne plus savoir qu'en faire. En disparaissant son père venait de faire disparaitre son insouciance et sa tranquillité, Drew allait mettre beaucoup de temps à pouvoir faire la fête. Et même quand il la refera ce ne sera plus la même chose, il est et sera le patron de Wal-Mart, il sera donc épié, photographier et ses faux-pas seront notés dans la presse. Dur pour une jeune de son âge qui en plus de ça aime les femmes et sortir bien plus que la moyenne. A son âge son père avait déjà un fils et passait pour un américain modèle, loin de l'image que peut déjà avoir Drew.
Fort heureusement pour lui il venait de comprendre qu'il était bien entouré et pas forcement par les personnes qu'il pensait. Aucun potes ne lui avaient donnés de coup de téléphone, dans pareil cas, il ne sait pas s'il aurait fait pareil. Les amitiés entre mecs c'est toujours délicat, il y a beaucoup de pudeur et le plus facile c'est la fuite. Avec Thea il ne pensait avoir qu'une relation de bon pote, même si elle était plus que ça à ses yeux. Voir la jeune femme en cette soirée lui tenir compagnie était quelque chose qui n'avait pas de prix. Elle n'imaginait même pas à quel point il était heureux de la voir là. Elle était un bon soutien, puis cette petite bouille, il ne pouvait pas lui dire non, alors il savait qu'elle était la bonne personne pour ce soir. Ils allaient boire, tellement boire qu'ils allaient s'écrouler sur le canapé comme des ivrognes qu'ils sont. Puis le lendemain, la bouche pâteuse, la vie reprendra son cours et même pire pour lui elle commencera. Sans son père, mais avec le souvenir que Thea est une amie sur laquelle il peut compter. Leur relation venait de prendre un autre sens, par relation ne pensaient pas couple hein. Mais cette amitié où ils s'amusaient sans se prendre la tête sans faire agir les sentiments venait de prendre une autre tournure, il voyait dans ses yeux qu'elle était touchée, il commençait à connaitre la vraie Thea, une fille sensible, une écorchée vive. Et elle commençait à voir que Drew se cachait souvent derrière une carapace, qu'il était fort, mais très tendre à la fois. En le voyant seul face à la perte de son père elle l'avait certainement compris. Descendant son premier verre, il en servi tout de même un second à la jeune femme et lui-même " Tu vas très mal finir tu le sais? Tu joues peut-être dans la cour des grands, mais le vieux Whisky va très vite te mettre à terre, moi je m'en fou je te laisse dormir sur le tapis" Elle avait beaucoup changé au contact du jeune homme, elle tenait beaucoup plus l'alcool, elle aimait aussi beaucoup plus le bon alcool. Elle savait se piquer toute seule et se faire un rail de coke, il ne lui avait pas appris que des choses intelligentes. Mais c'est ce qu'elle voulait, qui était-t-il pour juger? Personne, donc quand on est personne, si on veut se rendre utile on rend service un point c'est tout. Voilà ce qu'il avait fait avec elle, lui rabattant de se méfier de l'alcool distiller, de se méfier des produits coupés, de prendre que du bon. Le genre de conseil qu'un père ne donnerait jamais à son fils ou à sa fille. Il leva son verre avant de venir le frapper contre celui de la jeune femme, s'enfilant le deuxième verre d'une traite. Il sentait petit à petit l'alcool monter, boire cul sec, en étant fatigué, triste et en ayant manger pas grand-chose cela n'allait pas faire que de bonnes choses, il finirait vite bourré.
Puis vint la discussion, elle voulait savoir comment il allait, le savoir sans foncer dans le tas, elle n'était pas si maladroite que ça quand on y pense. Pourquoi cacher quelque chose à la jeune femme? Il n'en avait ni l'intention ni l'intérêt, il allait donc être franc avec elle et lui dire ce qu'il avait sur le cœur, rien de bien méchant en plus. " Je suis né ici, je suis parti d'ici au moment où ma mère a été en prison, donc je ne pensais pas revenir de si tôt, surtout que je savais que venir ici ça voulait dire prendre la tête de Wal-Mart. J'étais bien à Berkeley à boire et à m'amuser. Alors bien, je le serai c'est certain, c'est chez moi, j'ai une entreprise. On parle de moi à la télévision, j'ai reçu déjà un article sur moi il parait même que je suis devenu la huitième fortune mondiale donc je suis un super parti. Mais il va me falloir un peu de temps pour m'habituer à tout ça..." Il n'avait pas parlé de son père tout simplement parce qu'il était mort, pas la peine d'en discuter pendant des heures, il avait malheureusement passé l'arme à gauche. Il attendait maintenant avec impatience le verdict de l'enquête, savoir qui l'avait tué, pourquoi, surtout pourquoi. Après il fallait que justice soit faite, mais il n'avait pas de doutes du tout dans la justice de son pays, un pays qu'il aime et qu'il aimera toujours.

C'est vrai que durant toute sa vie le jeune homme c'est toujours demandé si ses amis étaient de vrais amis. Pour certains ils n'y avait pas de doutes, quand ils étaient pleins aux as, ils ne pouvaient pas en vouloir à son argent. Quand il les connaissait depuis tout petit il n'y avait pas de doutes non plus. Mais quand on est un mec ouvert et qui sort beaucoup on fait beaucoup de rencontres, ses rencontres deviennent des amitiés plus ou moins forte. Et là vient la question, est ce qu'elles en veulent à mon argent, est ce qu'elles sont potes avec moi pour l'argent, ou simplement parce qu'elle m'aime bien? Avec Thea la question se posait franchement, surtout que beaucoup d'amis à lui émettaient un doute. Elle était souvent avec lui, mais elle était là pour qu'il lui fournisse de la bonne drogue, du bon alcool. Drew lui ne voyait pas le mal partout, donc pour lui il n'y avait aucuns doutes, c'était une amie une vraie. Pour ses potes d'enfance, il fallait encore qu'elle fasse ses preuves, l'on peut dire que ce soir elle les avait fait. Elle était la seule a avoir fait le déplacement pour venir le voir, le premier soir de la mort de son père, alors qu'il venait tout juste d'atterrir. Aiden lui l'avait appelé et lui avait dit qu'il passerait le lendemain, histoire de lui laisser la soirée pour retomber. Il le connaissait parfaitement et avait certainement bien fait, Drew aime rester seul quand plus rien ne va. Thea, quant à elle avait fait le chemin sans être sûre qu'il soit là, sans être sure qu'il l'accueille et qu'il accepte de la voir, si ce n'était pas une belle preuve d'amitié... " Je n'ai jamais douté de notre amitié ni de notre intimité, je dois t'avouer que certains de mes pots oui. Je suis fier et heureux de pouvoir leur balancer en pleine gueule que tu étais là quand eux n'étaient pas là! Tu es très importante à mes yeux Thea!" oui l'alcool pouvait un peu jouer dans cette confidence, mais en dehors de ça il pensait totalement ce qu'il venait de dire. Elle avait toujours été souriante avec lui et il pouvait se vanter de lui avoir fait retrouver le sourire qu'elle avait perdu malheureusement. Ils n'étaient pas amis depuis longtemps, mais il la trouvait plus heureuse, plus souriante, plus rayonnante, peut être qu'il se faisait des films, ou peut-être que c'était vrai et que leur amitié lui faisait du bien à elle aussi. Alors la jeune blonde sur son dos comme deux enfants ils font les cons, chose qu'ils ne feraient certainement pas sans alcool. L'alcool aidant, ils se rapproche encore une fois, chose qui ne leur était jamais arrivé. Une fois dans la cuisine Andrew était lui aussi surpris, cet appartement il ne le connaissait pas et à travers ce qu'il voyait il apprenait des choses sur son père. Lui aussi ne crachait pas sur l'alcool à en voir les bouteilles qui étaient entreposées. Puis ils allèrent dans la salle de bain, Drew avait déjà reçu des photos de la part de son papa chéri. Cette salle de bain c'était son joyaux, le seul moment où il pouvait tranquillement se prélasser sans penser à rien. Andrew n'avait pas l'intention de n'avoir que cette salle de bain comme distraction, mais il savait déjà qu'il allait y passer un peu de temps et surement pas seul si vous voyez ce que je veux dire. " " Après tu sais New York n'est pas grand, je te vois bien en train de squatter ce jacuzzi tous les jours. Toute manière je ne suis jamais chez moi!" il y avait beaucoup de choses qu'il ne voulait pas reproduire. La première travailler tout le temps comme son père le faisait, non lui voulait mener tranquillement sa barque en jouant le vrai patron. Celui qui fait confiance à ses bras droits et gauches et qui leur laisse faire tout. C'est un moyen de les responsabiliser de leur donner l'impression qu'ils sont importants à la boite et qu'ils se sentent investit. L'autre chose c'était pour ses amis, il voulait être là pour eux, son père n'avait jamais été là pour sa famille donc lui ne voulait pas reproduire ça avec sa famille à lui, ses amis.

Puis le moment de rentrer dans la chambre, surement le moment le plus difficile pour lui. C'était tout de même l'endroit où son père passait toutes ses nuits et maintenant, bien il ne passerait plus aucune nuit dedans. L'émotion allait monter, pour stopper ça Drew prit une grosse gorgée d'alcool, sa tête tourna d'un coup, d'un seul. Il était de plus en plus ivre et buvait un coup à chaque endroit où son père lui remontait à la tête. " " Oui je vais dormir ici, je pense tout refaire, le lit je le trouve trop petit, la décoration ne me plait pas forcement. Mais je vais dormir ici à l'avenir c'est certain" Il se voyait très mal acheter un nouvel appartement alors que celui là portait toutes les garanties qu'il lui fallait. Il était proche du boulot, dans un des quartier les plus chers de la ville, il avait une vue magnifique et surtout c'était l'appartement que son père avait choisi. Hop une nouvelle gorgée d'alcool, Drew ne contrôlait plus rien, il était en mode pilote automatique, il ne tournait plus sa langue dans sa bouche avant de parler, il lançait ce qui lui venait en tête et irait aux résultats plus tard. Après l'avoir taquiné pour la millième fois depuis qu'ils se connaissent elle avança tant bien que mal vers lui, lui demandant alors si elle avait vraiment grossi. Andrew ne tenant pas forcement debout et surtout pour encore plus la faire rager posa une main sur son épaule avant de reculer sa tête pour regarder le corps de la jeune femme. Il faut avouer qu'elle était parfaitement proportionnée, elle avait beaucoup de choses pour elle, mais hors de question de lui dire. " " Et bien je ne sais pas si c'est les sucreries ou le fast-food, mais oui je suis formel, quelque chose a changé chez toi, tu as un peu pris des hanches. Tu me fais penser à ma grand-mère. Mais tu sais, je l'adorais ma grand-mère hein!" comment le jeu allait-il finir? Il en avait pas la moindre idée, mais il était avec une bonne amie. Il savait qu'ils ne risquaient rien, ils pouvaient tomber ivre de fatigue sans risquer de se faire tuer par un détraqué.