we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier)
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Sujet: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Ven 31 Oct - 22:53
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xavier cavendish et briséis monaghan.
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“ l'amitié requiert de la compréhension et non des compromis. cela signifie pardonner et non oublier. cela signifie que les souvenirs restent même si le contact est perdu. (...) la véritable amitié est comme la bonne santé ; c'est la valeur de celle-ci est rarement connue jusqu'à ce qu'elle soit perdue. (...) Quand une amitié vient de se briser, on se demande comment cela a pu arriver. Au fond, on a beau chercher, on ne trouvera jamais ce qui clochait. Comme nous ne nous parlons plus. Alors, à quoi bon chercher l'intrus. C'est peut-être moi qui ai créée cet abus. Ou bien ce qui s'est passé, le sais-tu? La douleur prend la place de la joie. Ma vie reprend son cours si loin de toi. Tu étais tellement pour moi. Jamais je ne me serai attendu à cette voie, je pensais que l'on serait encore longtemps. L'un présent pour l'autre tout le temps, je serais toujours pour toi toujours présente. Quoi qu'il t'arrive même dans dix ans. Tu étais bien plus qu'un ami, tu resteras chère à ma vie. Mon cœur est si meurtri, par ton silence qui gémit. ”
Même si un mois et demi s'étaient écroulés depuis, la dispute dans l'une des chambres Omégas avec une personne importante pour elle, cela restait encore dans la mémoire de Briséis. La vie n'est jamais comme on la prévoit. Surtout qu'il n'y avait qu'une seule personne en qui Briséis avait placé une confiance aveugle et inébranlable. Une seule personne à qui elle avait consciemment donné le pouvoir de la détruire avec une facilité enfantine. Une unique personne, seule et exceptionnelle qui avait eu le mérite de recevoir tout l'amour et, l'affection que la canadienne pouvait donner avec son petit cœur abîmé par les aléas de la vie. La seule à disposer entièrement des armes qui pourraient l'envoyer au tapis instantanément, qui pourrait inonder ses grands yeux lumineuses d'une tristesse sans pareille, mais qui possédait à la fois le pouvoir de voir son visage éclairé par une joie pure et simple. Un seul nom, une seule identité reliait Briséis à ce petit bout de bonheur qu'elle avait réussi à s'accaparer en bataillant durement contre son existence jalonnée d'erreurs et de faux pas. Huit lettres qui lui permettaient de sourire et de laisser une vieille causticité teintée de nostalgie revivre en elle et, l'embrasser pour mieux la ronger de l'intérieur. Xavier. L'unique. Le seul. Celui en qui elle avait placé tous ses espoirs perdus, celui pour qui elle se jetterait d'un pont, d'une falaise sans aucune hésitation. Pour qui elle serait prête à tout abandonner et partir faire le tour du monde. Celui qu'elle aurait suivi aveuglément n'importe où quitte à tout abandonner. Briséis avait l'intime conviction qu'une force invisible les liait fortement, que l'affection qui les liait ne pouvait être appelée que d'une manière. Ils étaient des âmes sœurs. Pour elle cela avait toujours été une évidence simple, visible, comme le nez au milieu de la figure. Pourtant, le destin avait décidé y a quelques temps maintenant de les séparer. Peut-être que c'était pour mieux se retrouver dans quelques années. Ou tout simplement, qu'ils devaient réellement qui s'abandonnent malgré la souffrance que ça procurait à l'un comme à l'autre. Or, le froid tapaient sur les carreaux pour y venir déposer une fine buée. Dehors le feuillage des arbres remuait, signe qu'il y avait du vent. Briséis terminait de rassembler ses affaires après avoir quitté le bord de la fenêtre mais, également ses rêveries tout cela pour s'emmitoufler dans une veste beige qui venait instantanément la réchauffer. Une écharpe noire autour du cou, la jeune femme était prête à affronter le grand froid. Elle traversait les couloirs de l'université d'un pas décidée, comme si elle était pressée. Pourtant, elle ne rentrait pas dans sa trinité et, n'allait même pas rejoindre quelqu'un. Elle semblait avoir envie de s'évader ailleurs, de ne plus penser à rien. Ses pieds la démangeaient. Poussant un dernier soupir, elle se dirigeait vers l'une des nombreuses sorties. Le froid venait fouetter son visage. Ses joues devenaient roses tout comme le bout de son nez. Rien ne venait la stopper. Pas, même l'air glacial. Surtout pas l'air glacial. Ses pupilles scrutaient le trottoir, le bitume. Elle souriait pour un rien. Briséis se tardait déjà de retrouver l'Absinthe Bar pour passer une soirée de tranquillité autour de plusieurs verres à la suite. Les vitrines défilaient devant la silhouette de la jeune femme. Elle levait la fête qu'en passant devant un bistrot qu'elle connaissait bien pour jeter un vif coup d’œil par la fenêtre. Il y avait du monde, quelques têtes qu'elle connaissait mais, personne de bien intéressant. Cependant, elle n'allait pas s'éterniser devant ce bistrot. La seule chose qu'elle désirait c'était de rejoindre avec empressement l'Absinthe Bar où elle pourrait passer une soirée de sérénité. C'est qu'une dizaine de minutes plus tard, que la jeune femme arrive finalement à destination sous ce froid Californien. Une fois à l'intérieur de l'établissement, celle-ci s'approche sans plus attendre du comptoir tout en jetant un vif coup d’œil autour d'elle. « Une margarita puis gardez la monnaie, c'est cadeau. » héla-t-elle à l'encontre du serveur, tout en déposant la monnaie sur le comptoir enfin que le barman récupère son dû. Elle aurait eu envie que Jessian ou encore Nicola soit là avec elle, qu'elles puissent se lancer des défis à la con, qu'elles se saoulent à deux, en se racontant leurs vies calamiteuses, en se foutant des gens, de petits gens communs, des têtes qu'elles regarderaient de haut, le sourire aux lèvres. De plus, elle aurait pu très bien contactés son cousin pour qu'il passe une soirée ensemble. Mais, elle ne voulait distinctement pas le perturber, essentiellement avec ses petits ennuis individuelles. Alors, que tout tourner autour de Xavier une personne que Roman ne peut pas tolérer, de près comme de loin. Il est toujours en train de rabaisser Xavier la personne que Briséis affectionne particulièrement. Elle ne pouvait pas concevoir qu'un membre de son entourage puisse juger, l'être le plus important à ses yeux. Malgré qu'ils ne s'adressent plus la parole suite à cette dispute qui résonne encore et toujours dans les oreilles de Briséis. Tous les soirs, cette dispute se transforme en cauchemar. Depuis, cette rupture absolue entre eux ... Elle n'arrive plus à dormir paisiblement. Heureusement que le maquillage existe dans ce monde, sinon elle aurait une tête abominable. Estimable d'une soirée Halloween. Cependant, elle patientait pour récupérer son verre. Le serveur mettait des plombs à fabriquer qu'une simple margarita. Briséis ne revenait pas les yeux, n'importe quelle personne aurait pu le faire en quelques minutes. Pourtant, lui semblait apprécié prendre tout son temps, de faire languir les autres sans aucune raison valables. Une situation qui ne réjouissait pas entièrement la jeune femme. Elle qui pensait passer une soirée de quiétude, le début de soirée n'était vraiment pas ce qu'il devait être. Toutefois, le barman revient à son encontre pour lui déposer sa Margarita sur le bord du comptoir. Briséis n'avait plus qu'à tendre la main pour obtenir ce qu'elle désirait tant.
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Lun 17 Nov - 20:47
everybody knows that I'm a mess
“Share my body and my mind with you that's all over now did what I had to do 'cause you're so far past me now share my body and my life with you that's way over now there's not anymore I can do you're so famous now got your bible, got your gun and you like to party and have fun and I like my candy and your women I'm finally happy now that you're gone” lana del rey ; cruel world
Il n'y a pas plus grande perte que celle d'un être cher. Xavier a entendu cette phrase toute sa vie. Quand sa grand mère maternelle est morte, quand son chien Fifou est mort, quand il est partie d'Angleterre pour la première fois en direction de Berkeley, quand il est revenue et est repartis encore. Il a entendu cette phrase toute sa vie et pourtant, c'est la première fois qu'il comprend vraiment le sens de cette expression, les sentiments et les émotions qui bouleversent votre existence et vous font la voir d'un oeil beaucoup plus triste et mélancolique qu'à l'accoutumé. Il a perdu sa meilleure amie en osant des gestes, des actes, des paroles, des étreintes plus charnelle que leur habitude. Xavier est un homme de parole, il dit et fait ce qu'il pense mais ce qu'il promet aussi. Les promesses sont des pactes qu'il respecte à la lettre, la moindre virgule, le moindre mot, la moindre tournure de phrase prend un sens incroyablement profond pour lui. Pas besoin d'être un génie pour savoir que Xavier avait promit à sa Briséis de ne jamais la blesser, de toujours la protéger, d'être toujours là pour elle et de toujours se battre pour leur amitié qu'il prenait si à coeur. Alors quand ils se sont disputés si férocement dans cette chambre de la confrérie, il savait pertinemment qu'il avait brisé sa promesse et ça le tuait littéralement à petit feu. Il l'avait blessé en aimant une autre à sa place alors qu'elle le méritait tant, il ne l'avait pas protégé en la laissant partir ainsi et en la laissant se marier avec le mec qu'elle ne supportait pas de voir en peinture, il n'avait pas été là pour elle quand elle avait besoin de lui durant cet été et le pire de tout, il n'avait pas fait tous les efforts possibles et inimaginables pour que leur amitié reste intacte après leur rupture chaotique et pleine de ressentiments. Il n'est plus vraiment lui même depuis. Entre Briséis et Lysa, il ne sait plus où donné de la tête. Son corps lui rappelle tous les jours le corps de la blonde sur lui, ses baisers sur sa peau et son coeur qui bat contre le sien sous le joug de l'effort. Son coeur lui rappelle à chaque battement la blessure qui le transperce et le taraude tous les jours un peu plus, le rendait faible et complètement irascible du à la séparation avec la brune. Le choix entre deux femmes, le choix entre deux extrême, la douceur langoureuse et la force brute. Xavier sait très bien que le chemin sera long avant qu'il ne puisse clairement avoir une vie parfaite. Enfin, autant qu'elle puisse l'être pour une personne telle que lui. Son corps ne souhaite qu'une seule chose présentement pourtant, allongé dans son lit kig size des omegas dans la chambre du président. Il avait fait changer son lit en le remplaçant par celui de son appartement en ville, il l'a toujours, surtout pour les moments où il ne supporte pas la vie en communauté. Mais son lit, il le garde, c'est une relique de son aventure avec Lysa et il ne compte pas le laisser souiller par d'autres personnes ou en le vendant. Non. Il prend d'un coup son portable, sa veste et enfile un jean avec une chemise blanche avant de sortir en trombe de la confrérie. Il aperçoit Nolan au téléphone. Absinthe, ça te dit ? Désolé mec, pas ce soir. Passant alors son chemin, il enfourche sa moto et prend la direction du bar. Il allait boire un peu - beaucoup - et ensuite échouer sur la plage pour regarder le levé de soleil en prétendant que sa plus colérique des meilleures amies était encore sa meilleure amie pour la vie. Le bar n'était qu'à quelques kilomètre du campus. Le vent dans ses cheveux dépourvu de casque fouettait son visage avec brutalité et sauvagerie. Il aimait ce contact violent de son corps avec les éléments de la nature. Il se sentait plus vulnérable ainsi mais aussi plus fort d'un côté. Ses connaissances le rendaient dangereux. Il contrôlait tout. Le bar en vue en à peine quinze minutes, il se gara avec la plus grande des classes et donna un pourboire de 50 dollars au videur pour garder un oeil sur sa bécane durant tout le temps où il était à l'intérieur. La moindre rayure sur son engin de malheur et le videur serait direct à la porte sans possibilité de revenir. L'absinthe bar, où le lieu qui a vu Xavier Cavendish dans des états critiques plus d'une fois durant toutes ses années à l'université. Le titre de Lana del Rey Summertime Sadness remixé par Cédric Gervais passait par les enceintes, procurant au club une ambiance particulièrement mélancolique et euphorique à la fois. Xavier alla directement au bar et commanda une tequila. Puis une deuxième. Et une troisième. Son estomac vide lui fit vite rencontré les affres légers de l'ivresse rapide et nonchalante. Et il la vit. SA Briséis, SA meilleure amie. Celle qui le rendait fou par son attitude de princesse et ses actes de guerrière enragée. Il commanda un autre verre de tequila et l'avala d'un coup avant de rejoindre Briséis et sa Margarita. Seule dans un bar ? Tu as bien changé. Ce n'était pas une bonne manière de la rejoindre après tant de semaine passé à ne pas se parler, à se chercher du regard mais à ne jamais franchir la barrière invisible qui les séparait. Mais c'était mieux que rien. Un premier pas, bien qu'il soit incroyablement maladroit. Dire qu'il fut un temps où on ne pouvait pas sortir dans un bar sans s'appeler avant. Et voilà, que l'on se retrouve, comme si c'était le destin de nous mettre sur la route de l'autre. Inlassablement ma petite Briséis. Xavier avec quelque coups dans le nez est un Xavier imprévisible, violent, langoureux, excentrique mais parfois très philosophe. Et ce soir, il ne voulait pas battre un mec parce qu'il l'avait bousculé, ou embrasser une pouffe dans les toilettes avant de la ramener chez elle et satisfaire ses besoins avant de repartir au petit matin, ou encore faire le fou et s'enfiler des lignes de coke à la chaîne. Non. Ce soir, il était d'humeur philosophe et étrangement calme bien que l'on ne sait jamais ce qu'il peut réserver avec son caractère et sa bipolarité. Néanmoins, il voulait pouvoir ressortir du bar et savoir qu'il avait encore une chance avec son amie. Une chance de rectifier le tir et de se réveiller un matin avec un sourire au lèvre car il aurait retrouvé sa meilleure amie.
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Dim 30 Nov - 21:39
Un seul être vous manque est tout est dépeuplé. Quand Jayan est parti à l'autre bout du pays, c'est exactement ce sentiment qu'elle éprouvait au plus profond de son être. Il était parti avec la moitié de Briséis sans s'en rendre compte. Il était la personne qui complétait l'existence de Briséis. LA personne pour qui la jeune femme était prête à décrocher la lune, franchir des montagnes infranchissables. De sauter d'un pont pour lui, même à mourir pour cette tiers personne. Pourtant, il n'avait pas regardé le mal qu'il laissait derrière lui. Toutefois, elle avait eu énormément de mal à se remettre de cette énième trahison. Sauf, qu'elle avait réussi à avoir le soutien total de son deuxième meilleur ami. Xavier. Heureusement qu'il était là pendant la rechute brusque de la jeune femme à l'époque. Cela avait davantage rapprochés les jeunes gens et, ils se comprenaient mieux également. Même s'ils avaient quelques disputes, elles ne duraient jamais bien longtemps. Cependant, la dernière avait été la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Suite à cette millième dispute entre eux. Ils eurent une coupure brutale entre eux. Plus qu'un contact entre eux, plus qu'un regard, plus qu'un geste. Elle venait à sortir seule dorénavant le soir pour aller boire un verre au bar huppé de la côte Californienne, comme pour aller s'éclater comme une petite fille dans une boîte de nuit luxueuse. Alors, que par le passé elle appelait Xavier à la seconde envie qu'il lui traverse l'esprit. De plus, il avait toujours promis qu'il tiendrait sa promesse quoiqu'il arriverait entre nous. Pourtant, Xavier avait fait le stricte opposé de sa promesse. Il devait protéger Briséis comme elle devait le protéger. Elle a essayé un bon nombre de fois or, lui il avait fuit. Alors, qu'elle se marie avec un homme qu'elle ne supportait pas de voir en peinture. Xavier aurait dû être présent pendant cette folie. Il aurait dû interdire sa soi-disant meilleure amie de commettre la bêtise ultime dans sa vie déjà si miséreuse. Toutefois, de son côté elle avait déjà chose à se reprocher. Elle aurait dû tout faire pour que cette amitié ne se termine pas dans une situation pareille. Elle devait passer outre le comportement irrespectueux de son meilleur ami pendant leurs laps temps de couple. Néanmoins, même si un mois c'était écroulé entre leur rupture d'amitié et, de leur dernière grosse engueulade. Briséis avait reprit le dessus petit à petit. Elle avait par ailleurs, décidé d'aller boire un verre seule à l'absinthe bar. Un petit moment de détente lui ferait le plus grand bien. C'est pour cela, qu'elle avait déposé son joli minois sur une chaise haute accoudée sur le comptoir. Commandant une Margarita pour entamer ce début de soirée dans les bonnes conditions. Elle ne se souciait pas des personnes qui pouvaient être présent dans ce bar. Toute manière, elle ne connaissait strictement personne dans ce bar. Alors, pourquoi essayer d'entamer une discussion quelconque avec un inconnu ? Puis, ce n'est clairement pas le genre de comportement que Briséis avait habituellement. Ne pensant pas voir ou même croiser le visage de son ancien meilleur ami. Elle se contentait simplement de prendre possession du liquide qu'elle avait commandé ultérieurement au serveur. Amenant délicatement le verre pour que ses lèvres s'y déposent tendrement avant d'adsorber une maigre gorgée de ce cocktail qu'elle apprécie particulièrement. Elle apprécie à sa juste valeur ce petit moment de tranquillité loin de la vie estudiantine de l'université de Berkeley. Pourtant, une voix qu'elle ne connaissait trop bien vint à résonner dans ses oreilles. Une voix, qui lui faisait un reproche ? Elle ne savait pas trop. Briséis savait seulement que le jeune homme commençait déjà à être saoulé alors, que le début de soirée venait à peine de pointer le bout de son nez. « Tu peux retourner d'où tu viens, avec des réflexions de ce style Cavendish. » darda-t-elle sans le moindre regard à son égard ! Il ne lui apportait plus rien de bon d'être en sa compagnie. Malgré cela, il la rendait folle avec son air supérieur et enfantin. Ça faisait des semaines qu'ils ne s'adressaient plus le moindre mot. Et, ce soir il avait trouvé que le moyen de faire un reproche pour recommencer à lui parler. Était-il vraiment abruti ? Était-il simplement bourré et, qu'il ne contrôle plus ses mots ? Elle n'en savait fichtrement rien et, elle s'en contre fout royalement. Mais, elle ne se laisserait pas avoir. Plus cette fois. Elle avait été très patiente et, attentive à son égard. C'était fini, elle en avait marre de devoir faire des efforts pour la moindre chose. « Sauf, que ça c'était avant. Le temps change et, les personnes changent avec le temps également. Il faut se faire à l'idée, qu'on le veuille ou pas. Ainsi va la vie. » réplique-t-elle d'un ton calme. C'était la première fois qu'elle parle de ce ton calme envers son ancien ami. Ça n'enlève pas le fait que Briséis ne veut pas pardonner à Xavier de l'avoir lâché sauvagement suite à une millième dispute entre eux. De l'avoir laissé se marier avec le premier nigaud qu'elle ne peut pas se voir en peinture. De l'avoir laissé s'enfoncer petit à petit, au fur et à mesure que les semaines s'écroulaient. Heureusement que son cousin Roman était présent pour elle. Puisqu'elle aurait pu finir dans un état pittoresque. Où même en prison ... connaissant le passé de la jeune femme, elle aurait été pleinement capable de tout. Le jeune homme va devoir ramer pour récupérer ne serait qu'une onde d'amitié de Briséis. Elle n'est pas prête à tout pardonner d'un claquement de doigt. Il ne risque pas, loin de là.
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Ven 5 Déc - 20:08
this land is where we became friend, where we became infinite. Rien n'est éternel. On vit chaque moment de notre vie de manière si monotone qu'on ne se rend pas compte que ces moments seront impossibles à un moment de notre vie. Xavier était dans ce bar, à l'aise et sans aucunes attentes particulières. Il vivait sa vie plus ou moins simplement, se bourrant la gueule presque chaque soir afin d'être sur d'oublier pour quelques instants que sa vie prenait un tournant des plus incompréhensibles. Il voyait qu'elle partait en lambeau et durant des mois, il l'avait laissé partir en vrille, se retrouvant pris dans cette tornade. Il avait du mal à supporter les murmures dans la confrérie, suite à cette réunion qui avait ébranlé toute l'université. A présent, il essayait d'oublié surtout son envie de casser tout ce qui passait sous sa main. Il avait envie de crier, encore et encore, de montrer au monde entier que sa vie était un désastre et qu'il faisait une journée porte ouverte pour la détruire encore plus. Il n'avait pas envie de rester prostré dans son immense chambre de président, seul et complètement désespéré. Il avait envie de sortir, de garder son esprit occuper afin d'oublier les horreurs qui se disaient sur son dos, les erreurs qu'il avait faite, les murmures sur son sillage, le suivant dans des endroits qu'il pensait impossible. Assis sur son tabouret, voulant avoir une proie pour la nuit, ne sachant pas vraiment arrêter son envie d'ivresse, il vit alors sa tornade brune. Seule, assise au bar, un cosmo dans son verre à moitié remplis. Il hésita, se posa mille et une question sur l'efficacité de cette approche. Ils ne cessaient de se disputer, de se battre, de se déchirer. Ils n'arrivaient pas à établir un contact, à s'entendre sur un seul point à part qu'ils avaient fauté et en beauté. Leur amitié semblait désespéré, indigne de rédemption. Xavier se posait la question si ils y survivraient, si ce déchirement allait prendre fin un jour ou l'autre. Mais il prit son courage et vint à sa rencontre. Il avait peur des conséquences et il avait bien raison. La voix calme et froide de la jeune femme le tétanisa. Il n'avait pas l'habitude d'aussi peu de réaction de sa part. Ces derniers temps, il suscitait plus de cris et de révulsion que de calme platonique. On change, c'est sur. Mais à quel point ? Au final, notre passé nous rattrape toujours à un moment ou un autre. Il avait envie de communiquer, de savoir le fond de sa pensée, de connaître les prochains mouvements de la brune. Il n'avait pas envie d'être continuellement dans ce noir complet avec elle, sans connaître vraiment le pire scénario mais sans connaître le meilleur non plus. Briséis était plus que son amie, que sa meilleure amie. Elle était une partie de lui et sans elle, il se sentait vide, brisé. A l'instar de Lysa, il voyait en elle un avenir brillant et plein de promesses. Du moins, il fut une époque où il voyait cela. A présent, il n'y avait qu'un noir brillant et plein de points lumineux impossibles à atteindre. Tu peux me dire ce qui c'est passé pour que tu deviennes si calme et si peu propice à me donner un coup en pleine face. La réunion, le temps, un amour inconnu, une erreur qui remet tout en question ? Xavier n'avait plus aucune idée de ce qui se passait dans la tête de l'omega. Habituellement, il savait tout, de la pire des erreurs à la plus grande des joies. Avant, tout était simple, tout avait un sens. A présent, il était à peine plus vivant qu'une limace écrasé par une voiture qui essayait tant bien que mal d'avancer sur une route pleine de graviers. Xavier commanda un énième whisky et l'allongea avec un coca cherry. Il l'avala d'un coup, ne voulant pas faire durer le suspense. Je ne t'ai pas beaucoup vu à Las Vegas. C'était bien vrai. Durant toute la durée du voyage que le jeune homme avait organisé pour sa confrérie, il ne l'avait pas vu seule plus de deux minutes. Ils étaient tous dans un état d'ébriété avancé, c'était sur, mais il avait espéré être au moins seul avec elle pour quelques minutes. Ecoute Briséis, la seule chose dont je suis sûre pour le moment, c'est que si on ne peut plus être amis, je ne veux pas que notre dernière entrevue face à face soit cet échange de cris dans ta chambre. Je ne veux pas qu'on soit deux personnes qui s'ignorent et qui ne savent pas quoi se dire quand ils sont l'un en face de l'autre. Quoi que tu décides, tu seras toujours ma meilleure amie. Xavier n'avait pas envie de se voiler la face. Il disait ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait. Briséis pouvait le prendre comme elle le voulait mais Xavier en avait marre de faire tous les efforts, il était fatigué. Fatigué de supporter toute la peine, la tristesse, le chagrin, il état fatigué de supporter les rumeurs à son sujet, les murmures désobligeants, les attaques gratuites. Il déménagerait, c'était sur. La vie en communauté n'était sûrement pas quelque chose à auquel il pourrait s'habituer. Je pars de la confrérie. Je suis toujours un membre, et le président, mais je déménage. Je repars à mon appartement. Il ne voulait pas non plus rester dans un endroit où sa meilleure amie ne voulait même être avec lui dans la même pièce. C'était trop douloureux et son cœur en supportait déjà bien trop pour le moment. Son état d'ébriété avancé n'en était pour rien dans sa décision. Cela faisait déjà des semaines qu'il y pensait, depuis la réunion à vrai dire. Il avait du mal à supporter la pression, il n'aimait pas les paroles inutiles. Tout ce qu'il voulait, c'était retrouver le calme de son appartement aux côtés de Milena.
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Mer 10 Déc - 19:39
« À un point de non retour. Certes mais, reste à voir si c'est bien ou mal que ce passé nous rattrape à un moment ou un autre. » Rispote-t-elle d'une voix calme et froide. Elle ne semblait pas d'attaque à entamer une quelconque querelle entre eux. Briséis en avait marre de toujours se disputer, se déchirer avec lui. Marre que cette amitié soit vouée à l'échec la plus totale. Leur amitié n'était clairement pas l'idéale. Elle ne faisait pas envier les autres. Y a de quoi en même temps. Elle est tout naturellement indigne de damnation. Après tout peut-être qu'ils arriveraient à survivre à ce déchirement constant. Pourtant, elle n'aurait pas imaginé un seul fragment de seconde qu'il puisse venir l'accoster de cette manière-là. Toutefois, cela faisait plaisir à Briséis qu'il prend cette initiative à son encontre. Puisqu'il faut l'avouer, Xavier était bien plus que son meilleur ami. Xavier est une partie d'elle et, sans lui elle était clairement dans le gouffre. « J'ai appris à prendre les choses avec légèreté depuis les malheurs consécutives que je vis depuis, le début de l'année. » Commenta-t-elle. Elle avait été naïve pendant les vacances de cet été. Pourquoi avait-elle accepté de se mettre officiellement en couple avec lui ? Tout en sachant, ce qu'il allait se tramait et ce qu'il se passait dans la tête de Xavier. Elle aurait dû s'abstenir et, l'envoyer valser à la première seconde de ce baiser échangé. Briséis avait fauté sur toute la ligne. Elle en était pleinement consciente qu'à l'heure actuelle. Elle aurait dû forcer Xavier d'aller davantage vers Lysa. Puisque c'était la seule et, unique femme qui hantait l'esprit du jeune oméga. C'était la seule qui avait le don de rendre heureux et comblé Xavier. Et, ça lui arrache le cœur de penser et, même de se dire cela. Ne pouvant pas tolérer ses idées, elle avait distinctement rejeté la faute sur Xavier. Sauf, que jamais ô grand jamais elle ne l'avouerait de vive voix. Il était hors de question. Même sous la menace ou la séquestration, elle ne le dirait pas. Pendant, ce temps de son côté Briséis sirotait délicatement son cosmo qui était encore plein dans le verre. Elle se contentait uniquement de regarder les gestes et, les mots que Xavier Cavendish pouvait sortir. « Je n'ai pas eu trop le temps de me promener à Las Vegas en cause de mon mariage inattendu. » Déclara-t-elle, tout naturellement. Comme pour lui montrer qu'il n'avait pas respecté la promesse qui lui avait faite auparavant. De plus, elle n'avait eu aucune envie de rester plus de deux minutes en sa compagnie. Puisqu'ils n'avaient plus rien à se dire ! Puis tout s'était réellement dit lors de leur énième dispute dans la chambre de Briséis. À quoi bon en rajouter une couche? « Pour l'instant, on est deux personnes qui ne savent plus quoi se dire vraisemblablement. Cependant, je ne peux pas te cacher que nos moments passés ensemble me manque terriblement. Mais, je n'arrive pas à passer par-dessus les mots qu'on a pu s'échanger lors de notre face à face dans ma chambre. » Siffla-t-elle. Elle se devait d'être la plus honnête envers lui. Et, elle venait de l'être impeccablement bizarrement, sans pour autant lever la voix comme à son habitude. Une toute nouvelle Briséis venait de naître. Une jeune femme qui ne se prendrait plus la tête pour des broutilles en tout genre. Elle avait un besoin impératif de souffler un peu et, de faire redescendre toute la méchanceté qu'elle pouvait accumuler dans ce petit corps. « Tu ne devrais pas déménager, surtout pas en cause de moi. Surtout si cela fait partir de tes critères pour retourner dans ton appartement. » Briséis pouvait essayer de faire un effort considérable. Un effort de pouvoir rester avec lui pendant plus de deux minutes dans la même pièce. D'avancer petit à petit vers lui, pour essayer malgré tout de retrouver la complicité qui les liaient y a pas très longtemps, maintenant. Briséis n'avait pas besoin de rajouter d'autres mots, il pouvait réussir à lire dans ses yeux ce qu'elle essayait de lui dire. Ce n'est pas parce qu'ils ne se parlent plus, qu'ils n'arrivent plus à lire dans le regard de l'un et, l'autre.
Il est possible de s'habituer à l'absence des gens qu'on aime à la seule condition que d'autres viennent prendre leur place. Mais il se trouve que parfois, une personne très particulière est étrangement irremplaçable.
Dernière édition par Briséis Monaghan le Mer 17 Déc - 16:35, édité 1 fois
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Mar 16 Déc - 22:54
summer is over, we'll go those bad times behind us too
L'alcool avait des effets différents selon les personnes, les déshinibant ou les rendant encore plus timides, les rendant philosophique ou encore plus cons qu'à l'accoutumé, il voyait bon nombre de ses amis passé du connard ambulant, à l'adorable gentleman bourré en quelques verres de vodka bien chargé. Xavier était un d'eux. D'habitude si distant, si peu abordable et très peu concentré sur autre chose que sur lui, il devenait bien plus sociable avec quelques verres dans le nez, ou encore pire qu'asociale, dépitant son monologue sur sa vie de misère au barman ou à la barmaid et si celle ci s'avérait être particulière charmante, il lui donnerai l'occasion de le connaître dans d'autres circonstances. Son verre à moitié vide, son coeur serré d'avoir fait tant de mal à la brune qui comptait tant dans sa vie, Xavier regardait le fond trouble et brun de son verre de whisky. Les glaçons avaient déjà fondu depuis un moment et Xavier voyait sa vie s'effondrer depuis un bon moment maintenant, à l'instar de ces petits cubes d'eau solides, si éphémère dans un verre d'alcool qui les aspirait tel une centrifugeuse. A t'entendre, on est arrivé à un point de non retour. Xavier vida son verre, en commanda de suite un autre. Son esprit voulait s'embrouiller avec l'alcool mais son système entier, son corps ne voulait pas ressentir les effet de l'alcool. Il voyait les autres s'enivrer au fur et à mesure que les secondes passaient. Il ressentait cette envie que son corps avait de se laisser aller à cette boisson démoniaque. Mais non. Son esprit restait clair car trop souvent sous le joug de cette substance courante. Depuis qu'il avait treize ans, il consommait des quantités presque industrielles d'alcool, alors à vingt-quatre ans, il y avait peu de chance qu'il soit complètement à terre avec trois verres de doubles whisky sur glace. Même avec un estomac vide. Le fait que je l'apprenne ici, dans un bar, est un manquement à notre pacte fondamental. Tu t'en rends bien compte j'espère ? Xavier était excédé par ses manières. Briséis était têtue, sure et certain. Mais il pensait que même en temps de crise, il serait la personne qu'elle viendrait voir en cas de soucis, quand la vie lui semblerait bien trop noire pour être vraie. Ce manquement à leur pacte lui fit mal au coeur. Il comprit vraiment en cet instant que leur chemin avaient dévié l'un de l'autre. Cette personne qu'il considérait comme son autre moitié avait pris le large, ne laissant presque aucun moyen pour qu'ils reviennent sur le chemin qu'ils s'étaient tracé, réussissant avec succès toutes les étapes de leur vie. Briséis ! Il n'en pouvait plus. Il voyait littéralement sa vie partir en lambeau et celle de sa meilleure amie semblait être au même point. Vegas ?! En plus d'être le summum du cliché, c'était incroyablement impensable qu'il n'en ai même pas entendu parlé au sein de la confrérie vu que ça c'est passé durant le voyage organisé par la trinité dont il faisait partie. Laisse moi clarifier quelque chose dans cette phrase parce qu'elle me semble trop fausse. Tu ne veux pas me parler, j'essaye d'établir un contact. Xavier s'énervait, sur et certain. Voir autant de choses se passer dans la vie de sa meilleure amie et n'être au courant de rien était incroyablement frustrant. Ses espoirs partaient en fumée. Je ne pars pas à cause de toi. Mais toute cette histoire avec la réunion, Lysa, Milena qui se sent de plus en plus mal et mon manque d'envie de vivre entouré de membres qui ne savent plus quoi faire pour se faire remarquer me tape sur le système. Et pas qu'un peu. Les rumeurs s'étendaient jusqu'à Jupiter à propos du jeune homme. Sa vie privée, qu'il faisait un soin de garder un tant soit peu privé, avait été exposé au grand jour, il n'en pouvait plus d'entendre les murmures sur son passage. Il faut vraiment qu'on parle Briséis. Entendre que tu t'es marié à Vegas, que tu ne m'as rien dit et que tous les jours, tu passes devant moi sans un regard me tue de jour en jour Bri. Tu sais que même si notre situation est des plus critique, tu pourras toujours venir te confier à moi. Il se tourna vers elle, ses yeux verts brillants à cause des vapeurs de cigarettes et d'autres substances flottant dans l'air du bar. Le fait que nos relations soient au plus bas ne veut pas dire que tu n'es plus ma meilleure amie.
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Mar 30 Déc - 12:15
« C'est absolument le cas Xavier. J'en ai plus que marre de toujours me battre avec toi. » disait-elle en vidant son cocktail avant d'en recommander un autre. Ce soir, Briséis voulait oublier tous ses problèmes, pouvoir penser à autre chose. Et, bizarrement l'alcool était le seul remède qui permet de tout oublier pendant un court instant. Puis, ne tenant pas vraiment bien l'alcool, elle se retrouverait rapidement saoule. Peut-être que ça lui permettrait aussi de se détendre un peu et, de parler calmement avec Xavier même, si elle s'en souviendrait pas le lendemain. « Je m'en rends parfaitement compte, ne crois pas le contraire. Pourtant, à Las Vegas tu semblais plus préoccupé à autre chose qu'à ma petite personne. » lançait-elle sans le moindre scrupule. C'était la vérité au fond, elle n'avait pas vu un seul fragment de seconde Xavier à ses côtés. Même s'ils ne se parlaient plus, heureusement que Briséis pouvait compter sur Grace pour la soutenir dans cette mauvaise passe. Avec du recul, Briséis aurait pu avoir un accident, ou quoique ce soit. Xavier ne s'en serait même pas rendu compte tellement qu'il était préoccupé à ce que ce voyage se passe divinement bien pour la confrérie Oméga. La preuve en elle-même, Briséis s'était marié à un homme qu'elle n'encaissait pas et, il n'avait rien fait pour l'aider à accepter cette idée ni pour la consoler. Il préférait de loin s'éclater tous les soirs de boire à flot l'alcool qu'on nous proposait. Toutefois, ayant un égo sur-dimensionné, Briséis même en guerre n'irait pas se confier à une personne qui ne lui accorde plus un seul mot. Malgré tout, cette insubordination à leur pacte, lui laisser un gout très amer dans la bouche et, son cœur la faisait souffrir atrocement. C'est qu'aujourd'hui que la jeune femme comprend réellement que le chemin qu'elle avait tracé avec son meilleur ami, venait de dériver l'un de l'autre complètement. Et, qu'elle avait profusément du mal à y revenir. Xavier lui manque, c'est un fait. Mais, serait-elle capable de lui pardonner ? Elle ne savait pas encore, malencontreusement. « Je n'ai pas dit clairement que je ne voulais plus te parler. Puis, si c'était bonnement le cas, tu crois sérieusement que je serais en train de te répondre, honnêtement ? » Il pouvait bien s'énerver ou quoique ce soit. Mais, Briséis était complètement paumé dans sa vie. Après tout, même s'il venait à s'énerver ... cela lui importait peu. Puisqu'elle pourrait aussi s'énerver dans ce cas précis. Mais, elle ne le faisait pas, elle reste stoïque face à lui. « Je sais très bien, que j'ai ma part de responsabilité dans ton envie de déménagement dont, ne le nie pas s'il te plaît. Après, fais comme bon te semble ... ton bonheur est le plus important dans tout ça. » En même temps, s'il ne faisait pas que des conneries, aucune rumeur ne circulerait à son égard. Des fois, on récolte que ce qu'on sème. « Tu voulais que je t'annonce cette nouvelle de quelle manière ? Même moi j'en reviens toujours pas de la connerie monumentale que j'ai faite en me mariant avec cet abruti. J'aurais tellement préféré que ce voyage se passe autrement, si tu savais ... Pourtant, j'ai un fort caractère. Donc, quand je suis énervée, je ne peux pas aller voir la personne et lui avouer tous mes problèmes comme ci rien ne s'était passée. » C'est vrai en même temps, la jeune femme n'allait pas avouer tous ses problèmes aussi facilement au jeune homme. Ils ne se parlaient plus, elle n'allait pas passer par-dessus pour un simple mariage. Surtout qu'elle allait très rapidement demandé le divorce. « Malgré toutes ses histoires, tu restes le mien également Xavier. Ne doute jamais sur ça mais, j'ai du mal ... tu peux le comprendre ? »
Spoiler:
ps: désolé pour cette réponse courte ma Gladys
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Sujet: Re: we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier) Dim 4 Jan - 17:02
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we became experts in the sabotage of our happiness. (xavier)
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