Sujet: da russo .we try to across the universe. Mer 26 Nov - 21:15
we try to across the universe
da russo ⊹ Le reflet de Roman se renvoyait à son regard pendant qu'il franchissait l'espace de ses lèvres du froid électrisant de la coupe en cristal qu'il tenait d'une main désinvolte. Prenant une légère gorgée du millésime Dom P, qu'il connaissait si bien, il éludait l'idée qu'il aurait peut-être dû retourner à ses bureaux pour travailler encore sur le dossier de presse futur de The Mating Mind, à défaut d'avoir des employés assez compétents pour pouvoir lui apporter un minimum de crédibilité surfaite. Mais ce soir, il avait décidé de s'octroyer une pause bien maritée au sein d'un emploi du temps qui ne l'épargnait visiblement pas depuis qu'il était rentré de vacances. N'aimant penser à cette époque qui le troublait bien plus qu'il ne l'avait jamais été depuis tout gosse, il leurrait son monde en parraissant toujours dans sa plus belle posture, inhibant les aversions qu'on lui assimilait par ce regard hautain, impossible à dénaturer tant il pouvait, en un simple coup d'oeil, dédaîgner le monde entier. Contact distrayant que la vue de San Francisco, plongée dans la nuit aux mille lumières qui l'englobait d'une aura divine, l'homme gardait une main dans sa poche, jouant entre ses doigts avec l'anneau d'or qui ne le quittait jamais depuis quatre longues années. Le geste était habituel mais l'habitude aurait dû se détruire depuis ces vacances. Mais Roman avait bien du mal à se contenter d'une vérité sordide qu'il n'était prêt à accepter en plein milieu d'un sinistre qui engloutissait peu à peu son entreprise. Mais l'epsilon avait toujours su rebondir et avec brio. Il était clair que, si monsieur Da Russo traversait pour l'instant une mauvaise passe, il saurait en tirer profil pour attérir sur une marche encore bien plus haute que celle qu'il avait bafouée par son arrogance suprême, jusqu'alors. Désertant l'espace qui le cloisonnait dans une solitude avancée, il s'expatriait en direction de l'immense salle qu'il occupait seul dorénavant, noyé dans ses désirs les plus profonds de sentir le silence planant, envahir son être. La baie vitrée s'effaçant de sa vue au fur et à mesure que ses pas s'éloignaient, il se demandait pourquoi il n'était pas parmi la foule d'invités prestigieux qui sévissaient en bas, clinquante dans ses habits haute couture, à se plaindre de la hausse des impôts juste pour le plaisir commode de se dire que finalement, ça ne changerait jamais rien à leur fortune. Sourire en coin, Roman savait pourtant qu'il serait vite rejoinds. Le plus appréciable dans sa manière de vivre, c'était qu'il était si fortuné qu'il pouvait se permettre le luxe de conquérir tout seul, l'immense dome du clubhouse qui offrait l'une des vues les plus emblématiques de la ville. Mais seuls quelques privilégiés, estimant leur compte en banque dans les milliards, pouvaient savourer cet espace réservé aux clients les plus convoités. Posant sa coupe de champagne, il délaissait ce plaisir pétillant pour se faire servir un whisky au moment même où il levait le regard vers le major d'homme qui se trouvait dans l'ombre pénétrante de la pièce. Prenant le verre, il finissait de plonger ses lèvres dans le liquide sucré et bien moins amer lorsque la porte s'ouvrait sur une silhouette alléchante, aux longues jambes ensorcelantes. Briséïs Monaghan Da Russo, venait de faire mon entrée dans la pièce et, espiègle il ne pouvait qu'accueillir son arrivée d'un doux sourire mesquin à ras bord. Content de voir que tu connais toujours le chemin... Qu'il disait comme pour souligner le fait que sa cousine, bien qu'ayant hérité de l'impressionnante démesure de son côté de la famille, faisait beaucoup trop la fête dans des endroits bien moins prisés. Habitués tous deux au clubhouse, il trouvait regrettable l'idée qu'elle ne prenne pas plutôt, ses habitudes dans ce genre d'endroit. Mais Roman avait appris au fur et à mesure du temps, qu'il ne pourrait jamais contrôler les femmes de sa vie bien qu'il essayerait toujours de corriger leur chemin par toutes les manières possibles que ce soit. Désolée de te décevoir, je n'étais pas d'humeur à faire la bringue avec un paquet de milliardaires irritables. Les histoires de la bourse qui avait descendu dans la journée, le système bancaire qui subissait de sévères crises. Bref, de quoi parler toute la soirée de futilités dont il se foutait éperdument pour être tout comme eux, bien loin de ces problèmes financiers. J'ai pas le droit à un accueil plus chaleureux ? Qu'il sort en haussant un sourcil en sa direction comme pour l'inviter à se faufiler dans l'atmosphère bien plus accueillante qu'il dégage dorénavant malgré leurs nombreuses disputes et chamailleries incessantes par le passé. Mais les habitudes impétueuses n'empêchaient pas Roman d'aimer sa cousine malgré la dernière altercation qu'ils avaient eu à la rentrée, en plein milieu d'une embuscade dont il n'avait toujours pas compris le sens... Souriant à la jeune femme, ses oreilles demeuraient bercées par la musique légère qui s'élevait dans la pièce tout à leur intention. L'atmosphère imprégnée du son du saxophone et des basses, lui faisait dorénavant, l'effet d'un retour en arrière, directement dans les années 80, un âge fort du jazz et de la contemplation du divin qui ne demandait qu'une chose, insuffler toute la fumée que représentait ses cigarettes et danser encore et encore en batiffolant à tour de bras avec les femmes les plus aguicheuses de la planête, danseuses dans des burlesques où l'on s'ennivrait sans jamais penser aux conséquences. Mais Roman, de par son ambition avait toujours grandit trop vite. En prise d'une société mondialement connue à seulement vingt quatre ans, il était clair qu'il n'aurait jamais vu vivre dans une telle source de désinquiétude désinvolte au plus haut degré...
Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Lun 1 Déc - 12:04
“ aucune somme d'argent et aucun succès ne vaut plus que le temps passé avec sa famille. ”
Bizarrement, la jeune Oméga avait reprit son ancienne activité qui n'était guère glorieuse. Elle avait retombé dans ses démons suite à sa rupture amicale avec Xavier. Il avait réussi à faire ressortir le mauvais côté de la jeune femme sans qu'il le sache réellement. Néanmoins, il n'avait pas que cet élément déclencheur qui avait poussé Briséis a reprendre cette activité. Surtout que si ça venait à s'apprendre la réputation des Da Russo pouvait en prendre un sacré coup. Peut-être qu'ils s'en relèveraient probablement pas. Toutefois, son but justement été que personne n'apprend cela. Malgré tout ce n'est pas l'argent qui faisait le moteur de son envie de reprendre ce travail qu'elle avait commencé à l'âge de quinze ans. Loin de là. Elle est déjà assez fortunée pour pouvoir conquérir le monde, d'un simple claquement de doigt. Toute cela grâce à la fortune inestimable de la famille Da Russo. Mais, aussi du butin qu'elle avait réussi à récupérer en côtoyant le père Caldwell. Briséis était irrévocablement riche, elle pouvait vivre jusqu'à sa mort sans le moindre problème financier. Sauf, qu'hormis Maxim personne ne savait qu'elle avait empocher un beau pactole sans avoir rien fait. Toutefois, ce soir elle devait se rendre au Clubhouse de la ville accompagnée d'un homme largement plus âgée qu'elle pour passer la soirée. C'est vêtu d'une magnifique robe d'un créateur de renommer qu'elle pénètre dans le Clubhouse tout en captivant les regards des hommes déjà présents. Faut dire, que Briséis à un charme et la classe incarnée. Plus aucun doute sur sa famille, vraisemblablement. Elle s'approche délicatement avec l'homme à son bras qu'elle accompagne dans une petite pièce ou se trouvait présentement son cher cousin. Roman Da Russo. Pas prête à répondre dans l'immédiat à son cousin, Briséis vient à attraper un verre de champagne qu'on lui tendait avec de l'apporter au creux de ses lèvres pour qu'elle absorbe quelques gorgées. « Il est extrêmement difficile de perdre ce chemin si convoitée. » Certes, elle apprécie faire la fête dans des endroits moins prisés. Ça lui permettait de passer inaperçue quand elle en sentait le besoin irrévocable. Pourtant, elle apprécie tout autant le Clubhouse. Peut-être qu'avec le temps, elle ferait de cet endroit son lieu de refuge dès qu'elle en aurait besoin. De dépenser de l'argent dans les bouteilles luxueuses d'alcool. Mais, avec un homme tel que Roman derrière votre dos constamment. La vie devient difficile à gérer, surtout quand celui-ci essaye par tous les moyens possibles de vous remettre sur le droit chemin qu'il en sent la nécessité. « Pourtant, tu apprécies faire la débauche avec ces personnes. » darda-t-elle ! Elle s'en fout de l'état d'âme de Roman ce soir. Elle est plus préoccupée par son petit confort, qui ne semblait pas si joyeux depuis quelques temps. De plus, l'homme qu'elle devait escorter c'était en fuir dans la foule monstrueuse du Clubhouse. Briséis n'irait pas à sa rencontre, il en était hors de question. Quitte a perdre cet homme fortuné dans son métier, elle s'en fichait comme de la dernière pluie. Étrangement, c'était l'attitude de son cousin qui commençait à l'inquiéter. Mais, elle ne lui avouera pas à vive voix. Elle préfère le laisser penser que ce soit lui qui s'exprime, que ce soit elle qui le questionne. Puis, Briséis n'est pas du genre à questionner quiconque dans la vie. Elle n'allait pas commencer avec son cousin ce soir. « Je ne sais pas trop, si tu mérites réellement mon attention. » réplique-t-elle en se faufilant dans l'atmosphère accueillante que son cousin dégageait. Lui offrant même un maigre baiser sur la joue une fois à ses côtés. Briséis aime son cousin malgré leur dernière chamaillerie qui avait eu à la rentrée, lors d'un traquenard dont, elle-même n'avait pas encore compris le sens de cette embuscade. Pourtant, elle reste extrêmement proche de son cousin. Même si leur dernière engueulade fut plus forte qu'habituellement. Briséis ne pouvait se régner à le bannir de sa vie intégralement. Sans lui, elle ne serait rien du tout comme il ne serait rien du tout sans, la tornade qu'était Briséis. Ils s'aiment comme ils peuvent se détester. Ils sont ainsi depuis leur plus tendre âges, ils ne changeront plus aujourd'hui. Il faut simplement réussir à vivre avec l'un comme avec l'autre, qu'on le veuille ou non.
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Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Jeu 4 Déc - 20:58
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da russo ⊹ Roman observe la nonchalance de la jeune femme pendant qu'elle s'approche de lui avec contentement, commençant une danse des plus suaves pour s'approprier l'espace dominant de l'homme qui s'est octroyé le droit de privatiser tout l'étage du haut par la seul force de son compte en banque, se chiffrant en milliards. Elle danse avec son regard, envoûte son esprit, méprise sa coordination et vient se planter à un espace assez stratégique pour qu'il ne devine encore ses intentions et son humeur. Roman était changeant chaque jour depuis qu'ils se connaissaient et elle aussi. Il pouvait un jour, être le salaud qu'il montrait aux regards de tous et le lendemain, être le cousin le plus adorable du monde. Protecteur désespérant et intransigeant personnage. Mais Coleen n'était plus à l'université et dorénavant, la seule personne de sa famille qu'il se devait de prendre garde, était bien Briséîs. A défaut d'avoir réussit totalement son rôle de grande frère avec sa soeur, il espérait réellement que Briséïs soit heureuse malgré le fait qu'il ne pouvait s'empêcher d'être désespérément détestable envers elle quand il lui ne prenait l'envie. Et puis l'année scolaire n'avait pas débuté de la meilleure des manières. Après tout, ils n'avaient pas eu le temps de se raconter leurs vacances respectives que déjà ils se faisaient prendre en otage par sept personnes qui confinaient les idées de Roman d'en abattre un, en l'espace d'une seconde. Ils avaient sortis des armes, des secrets inavouables et avaient disparu dans la plus grande des cacophonies. Autant dire qu'au milieu de cette agitation désespérante, Briséïs et Roman n'avaient pu encore s'empêcher, de se disputer. A cause d'Eileen évidement. Mais lui aussi n'avait plus l'envie de parler de la jeune femme. Ils n'étaient pas en mauvais terme mais c'était sur la bonne voix. Tout s'embrouillait dans sa tête, dans sa mémoire, venant remettre en considération la moindre parcelle de chaque souvenir qui tarraudait ses rétines avec la plus maigre des pitiés. Ils étaient comme ça. Jamais satisfaits, toujours à fleur de peau l'un et l'autre pour des broutilles en tout genre. Mais quand le jeu commençait à l'enfance, ça ne pouvait se terminer que par le sang. Je ne suis pas d'humeur ce soir. Qu'il disait, éludant sa remarque. Roman pesait le pour et le contre d'une discussion stoïque, loin des gris et autres obscénités qu'ils pouvaient s'envoyer au visage. Il ne trouvait rien à redire. Il ne voulait pas d'une nouvelle guerre. Pas au moment où il sentait la faiblesse, le taurauder depuis son retour de vacances. Alors elle s'avançait enfin et, quand il pensait qu'elle ne le ferait plus, venait se plonger dans ses bras. La surprise accueillit avec bienveillance, il l'encerclait alors de ses bras protecteurs et venait déposer un baiser sur le haut de son crane. Je sors le drapeau blanc. Je ne suis pas là pour me battre Briséïs, mais seulement pour parler. Qu'il disait de sa voix grave pendant qu'elle s'éloignait alors de la plénitude de sa souffrance. Il la regardait longuement, et continuait alors avec des questions qu'il aurait voulu lui poser s'ils ne s'évertuaient pas sans cesse, à se quereller. Et heureusement pour lui, Roman ne passait pas par quatre chemins. C'était comment tes vacances ? Du nouveau avec Xavier ? Voila qu'il tentait d'en savoir plus. Savoir si ce fumier, en plus de s'être tapé sa meilleure amie, avait tenté quelque chose avec sa cousine. Parce que Xavier avait beau être un ami précieux de Roman, il avait bien du mal avec le fait, qu'il jouait sur ses plats de bandes. Fatiguée par l'initiative d'une annonce qu'il ne supporterait pas, Roman l'observait dans le blanc des yeux, serrant fort son verre en main et pourtant, ne laissait rien paraître. C'était un homme différent qui se tenait face à sa cousine et il détestait ça. Il aurait mieux valut pour lui, qu'il soit en état de venir lui faire quelques remontrances et remarques mal placées au lieu de se laisser dispercer de cette manière. Eileen Rosenbach avait été un fléau qui avait sucé sa vie jusqu'à la moelle et maintenant, il tentait de projeter les dégâts qu'elle avait causé, jusqu'à sa propre famille...
Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Mer 10 Déc - 15:56
“ aucune somme d'argent et aucun succès ne vaut plus que le temps passé avec sa famille. ”
La relation qui lie Roman et Briséis n'étaient pas très saine. Ils peuvent passer d'une émotion à une autre en un simple claquement de doigt. Et, ce depuis qu'ils se connaissaient. Elle pouvait paraître comme la pire cousine qu'on pouvait avoir dans une famille. Que tout le monde renierait sans le moindre scrupule. Comme d'être la plus adorable le lendemain. D'un autre point de vue, Roman était certes un protecteur désespérant et intransigeant. Mais, étant donné que Briséis était la dernière femme de la famille. Il s'était mis en tête de la remettre sur le droit chemin et, de la protéger du monde qui les entouraient. Pourtant, il lui exposait la pire facette de sa personnalité dès que l'envie venait le prendre. Néanmoins, l'année scolaire ne s'était pas déroulé comme ils l'espéraient. N'ayant pas eu le temps de se décrire leurs vacances respectives, ils s'étaient fait prendre en otages par sept personnes. Tous munis d'armes, de secrets inqualifiables pour ensuite disparaître. En prime, pendant cette agitation démoralisante, ils n'avaient pas pu une nouvelle fois se restreindre, de se réprimander. Tout cela pour la même personne encore et, toujours. C'était devenu une sordide habitude pour eux. « Tu n'es jamais de bonne humeur, de toute manière. » Briséis ne voulait pas recommencer une nouvelle guerre. Elle faisait simplement une constatation à son égard. Après tout, elle s'en fichait comme de la dernière pluie que Roman prenne ses mots à la légère ou non. Briséis n'est plus à une dispute près maintenant. Toute sa vie s'écrit autour des disputes. Depuis l'enfance de Briséis, sa vie était ainsi. Ce n'est pas aujourd'hui que cela va changer, loin de là. Cependant, elle s'avançait vers lui d'une aisance inqualifiable. Briséis n'aurait pas pensé que son cousin l'aurait accueilli avec autant d'amabilité dans ses bras. C'est très rare de voir le jeune Da Russo dans ses moments-là. Pourtant, Briséis prenait chaque parcelle de cet instant avec précision. « Je n'étais pas venue pour causer une nouvelle bataille Roman. » héla-t-elle d'un petit sourire en coin ! C'était la toute première fois que Roman pouvait apercevoir sa chère cousine avec un sourire. Puisque ce n'est pas dans les habitudes de Briséis de sourire pour quoique ce soit. « Ce fut des vacances effroyables. Surtout que j'étais une partie de celle-ci avec Xavier. Mais, cela fut d'une très courte durée. » Ses mots en disaient longs sur les vacances qu'elle avait passées en compagnie de son ancien meilleur ami. Étant donné, que Briséis n'adresse plus le moindre mot à Xavier et ne lui accorde même plus un seul intérêt. Elle l'avait en quelques sortes banni de sa vie sans le moindre mal. Même si elle ressentait un manque dans sa vie, Briséis continue sa vie sans se retourner derrière. Elle n'avait pas réellement envie de rentrer dans les détails de ces vacances mais, pour Roman elle allait faire un effort considérable. « Lorsqu'on était dans une rue d'Orlando et, il m'a embrassé. Suite à cela on avait décidé de se mettre en couple. Sauf, que ça n'a duré que quelques semaines parce que je ne tolérai pas son comportement. Toutefois, j'ai mes petites parts de responsabilité mais, ne pouvant pas subir cette situation. Je l'ai quitté pour ensuite m'enfuir d'Orlando. Du coup, j'ai passé le reste de mes vacances entre Marbella et Ibiza à faire la fête ainsi qu'accumuler le tableau de mes conquêtes. » darda-t-elle tout en ne sachant pas, la réaction que Roman pouvait avoir. Elle sait pertinemment que Xavier est un ami précieux pour son cousin. Mais, après la révélation comme quoi Xavier avec coucher avec Eileen et qu'ensuite il s'était fait sa cousine. Devait très probablement pas enchanté des masses le jeune homme. D'ailleurs à l'annonce de cette mésaventure entre Eileen et Xavier. Briséis fut davantage blessé dans son orgueil. Puisque Xavier sait très bien la place que Rosenbitch porte dans le cœur de Briséis. C'était encore une nouvelle fois, une humiliation pour Briséis. En même temps, elle n'est pas très commode Briséis. Pourquoi n'apprécie-t-elle pas Eileen et Lysa ? Deux femmes qui semble si important dans la vie de Xavier Cavendish. Briséis n'en sait fichtrement rien. Du moins, peut-être qu'elle le sait mais, qu'elle ne veut clairement pas le dire à voix haute. Toutes ses histoires commençaient à peser lourd pour Briséis. Cela la fatigue de plus en plus ... Elle avait même l'impression de tomber malade en cause de tout ça. C'était trop lourd à porter dorénavant. De plus, Roman commençait à bombarder les dégâts qu'Eileen Rosenbach avait causé sur sa propre famille. C'était un fléau. Toutes ses histoires sont d'une niaiserie ahurissante.
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Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Mar 16 Déc - 18:55
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da russo ⊹ Elle avait raison, après s'être détachée de son étreinte et avoir prit une gorgée de l'elixir de jouvence dont il était si friand, Roman s'attardait à grogner un éleger acquicement devant ses propos. Elle avait raison. On ne le voyait qu'à de rares occasions sourire. Car pour lui, les preuves de plaisir ne pouvaient s'adresser qu'à des personnes dignes de son intérêt. Sinon, il ne se fatiguait pas à montrer des signes distinctifs de son allégresse. Infiniment comblé pourtant par la présence de sa cousine, il esquissait tout de même un léger signe de son contentement en hissant la commissure de ses lèvres dans une forme de sourire suffisant mais vrai. Roman n'avait pas l'intention de retourner se balader au milieu des convives présents ce soir car, avec tout le respect qui leur était dû, il devait dire qu'il était déjà au sommet d'un pyramide qu'il escaladait encore pour atteindre les cieux. Le Da Russo, avait de nouveaux projets en tête. Si le magasine The mating Mind, commençait à esquisser des signes de faiblesses, il était d'accord sur le fait que, il était temps de passer à l'étape supérieur malgré son nombre d'heures ahurissants de travail tardif dans les nuits qui s'étaient écoulées depuis son retour. Roman avait sortit des dossiers, passé un nombre incalculable de coups de fils et avait commencé à entreposer sa science et son esprit des affaires afin de dominer le sommet du milieu qu'il convoitait. Le charme et le sexe étaient vendeurs et ne connaissaient pas la crise. C'était sur quoi il misait tous ses espoirs de réussite et son regard ambitieux s'était posé sur le magasine de Playboy. S'il l'avait concurrencé un temps sans continuité pourtant, il s'était dit qu'il était temps de penser à le racheter et à se trouver à sa tête. Le vieux Heffner ne lâchait pas son emprise sur ce magasine important et si convoité mais Roman avait des cartes plein les manches et un horizon bien plus illimité que lui permettait dorénavant, le vieil âge de l'homme qui avait fait son temps. Il était temps de donner du renouveau à un magasine qui avait basculer dans un vulgaire encore plus immonde que le Da Russo ne pouvait le concéder et c'était pourquoi, sans Eileen dans les parages et les problèmes qu'elle engendrait dans sa vie, il finirait par obtenir ce saint graal. Mais pour cela, il était nécessaire de balayer devant sa porte et extirper de son âme, les noires pensées qui ne cessaient de le tourmenter. Et cela commençait d'abord par Xavier. C'était pourquoi Roman la questionnait sans répit car après s'être fié aux rumeurs qui courait, il ne pouvait longtemps se taire. Cet homme qui était censé être son ami, avait bien du soucis à se faire. Se taper sa meilleure amie, soit. mais sa cousine ? Et les deux ? Non. Roman était beau, charmant, parfait, mais même lui avait ses limites et cela se résumait à ce qu'il pouvait encaisser vis à vis des deux femmes qui l'avaient souvent comblé dans la pire des miséricordes. Alors sa mâchoire se serrait pendant qu'il écoutait dans un silence proche de la colère aigüe bouillant dans ses veines, le discours de Briséïs pour lui donner les détails de son histoire de cette escaparade qui avait eu l'air de tourner au fiasco. Peu fier d'entendre ce genre de remarques, il se disait qu'il était temps d'avoir une réelle altercation avec l'infâme Cavendish qui prônait un visage souriant mais si espiègle et hypocrite, que Roman devrait corriger rapidement son attitude. Tu devrais le savoir mais, il a aussi couché avec Eileen. Qu'il lui dit se disait à la minute où ses paroles sortaient, qu'elle était déjà au courant et que le redire ne viendrait qu'enfoncer le couteau dans la plaie. La berçant de son regard bienveillant, Roman soupirait longuement et posait sa main sur le bras de la jeune femme, en la dévisageant longuement. Je vais le tuer Briséïs. Il savait qu'il y avait bien une personne qu'il ne fallait pas blesser. Il l'a fait et il va me le payer. Qu'il dit, le regard noir et si ombré par la haine irrascible qu'il se contenait qu'à grande peine. Mais bizarrement, son ton semblait d'un calme olympien. Comme si tout était normal et qu'il n'allait que parler avec Xavier. Ce qu'on savait être une totale érésie. Tu aurais dû savoir que si j'appréciais Xavier, ce n'était clairement pas pour son côté honnête. Qu'il lui dit douceureux parce qu'il est vrai que les défauts des hommes importants, les rapprochaient bien plus que leurs qualités humaines. Roman était en plus, désespérant dans sa manière de parler de ses amis. Assez pour qu'on en vienne à douter de sa fidélité. Mais il s'en fichait bien. Sur tous les hommes qui te courrent après, tu as choisit ton meilleur ami. Finalement, je ne suis pas le seul ahurit de cette famille. Qu'il élague, un sourire peint sur le visage. Il se moque d'elle légèrement mais c'est pour couvrir le fait que lui aussi vivait légèrement la même chose. Et encore que lui, se voilait totalement la face.
Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Mer 24 Déc - 13:58
Le besoin d'un verre et d'une pause, voilà ce qui conduit mes pas vers le Clubhouse ce soir. C'est la première fois que je remets les pieds dans cet endroit depuis mon retour, comme beaucoup d'autres il n'a pas changé. J'ai l'impression que rien n'a changé, même si j'aimerais que ça soit le cas. Enfin dire que rien n'a changé c'est faux, à première vue les relations que j'entretiens avec ma famille ne sont plus les mêmes, ce n'est pas difficile de réalisé que tout le monde m'en veut pour ce départ précipité, et aussi pour le fait que je n'ai donné quasiment aucun signe de vie pendant un an. Oui on peut dire que j'ai lâché l'affaire, et que j'ai fui toutes mes responsabilités. Clairement j'avais besoin de voir autre chose, de faire autre chose, et de suivre mon propre mouvement, plutôt que l'influence de la Da Russo familly. Et il faut dire que je l'ai particulièrement bien évité depuis que je suis revenue, je n'ai passé que peu de temps avec mon frère -et en général ça c'est mal passé-, et ma cousine, je n'ai fait que l'apercevoir pendant une soirée qui remonte à plusieurs semaines maintenant... Mais quand on ne court pas vers son destin c'est lui qui vient à nous, et pas forcément d'une bonne façon. Jusque là je me suis défilé facilement, surtout que j'ai été pas mal occupé, à... D'autre chose dirons nous...
Je traverse le club pour arriver directement au bar. Et je commande la première boisson qui me vient à l'esprit. Pour me changer les idées j'aurais put penser à autre chose qu'à une soirée de ce genre, surtout que je n'ai pas vraiment en tête de me taper la première inconnue, mais je suppose qu'ici la musique est tellement forte qu'on ne peut pas réfléchir. En revanche j'entends très bien ce que me dit le barman, qui est un étudiant de Berkeley que je vois souvent sur le terrain de soccer. -J'ai vu ton frère et ta cousine en haut... J'hoche la tête, et pose l'argent sur le comptoir. Ca ne m'étonne qu'à moitié qu'ils soient là eux aussi. Je suppose que je vais devoir les rejoindre. Il faut décidément que j'arrête de fuir, en plus beaucoup trop de gens m'ont vu pour que je me défile. Ca paraîtrait étrange que je ne monte pas rejoindre les membres de ma famille, pourquoi serais je venu sinon ? Et pas besoin qu'on parle plus de moi que ça déjà, j'ai suffisamment d'autre chose à garder pour moi. Je prends mon verre, et je me dirige donc vers l'escalier. Personne ne me barre la route, tout le monde sait qui je suis. En quelques secondes je suis en haut, et il ne m'en faut que deux de plus pour savoir où sont les deux autre Da Russo... Briséis n'a beau pas porter le même nom que nous, elle a tout ce qu'il faut pour rentrer dans la famille et se voir affubler de la même appellation qui veut décidément tout dire.
-Vous faites des réunions de famille sans votre aîné ? J'ai l'impression d'interrompre une conversation intéressante, puisque ni l'un ni l'autre ne m'a vu arriver... Je m'avance vers eux nonchalamment, je n'ai pas des masses envie d'être là. J'ai l'impression que les choses pourraient être difficilement pire, les deux ensembles sont pire que deux vipères... Je sais que c'est le cas pour avoir moi même contribué à ça, et y avoir participer. Ô oui je sais faire moi aussi le Da Russo à la perfection.
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Sujet: Re: da russo .we try to across the universe. Dim 4 Jan - 17:02
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Sujet: Re: da russo .we try to across the universe.
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