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Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy

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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyLun 20 Oct - 19:07

Tu aurais mieux fait de fuir...


A défaut de ne pouvoir t'avoir de manière proche avec ton comportement plutôt immature aux côtés de cette blondasse te donnant en spectacle, je t'avais provoqué de façon plus brutale, par a parole certes mais d'une froideur incomparable que cela te déplut fortement ; Jusqu'à a ce que je n'arrive lus à me contenir, allant à te plaquer sur le mur, ce mur ou tu me fis virevolter me retrouvant de nouveau « soumise » ? Comment faisais-tu pour avoir ce pouvoir sur moi ? Me faire aller en ton sens ? Ma raison me disait de fuir, de te fuir mais mon cœur et m tout mon être ne souhaitait qu'une seule chose : rester auprès de toi, te sentir tout contre moi...c’était comme un besoin vital. Merde ! Qu'est ce qui m’arrivait, m'avais-tu jeter un sort ? Comment expliquer cette emprise que tu avais sur moi ? Le pire de tout ça c'est qu'une fois dans tes filets, je n'arrivais jamais à m'en sortir de moi-même. Tu était telle un poison, non, une drogue, ressentant le manque dès que tu t'éloignes et ce soir encore même si nous n’avions pas fait l'amour, ou plutôt coucher ensemble -j'avais toujours su faire la différence entre les deux. L'amour quand les sentiments sont partagés et coucher quand ce n'est qu'une relation d'un soir sans lendemain- je suffoquais. Tu ne voulais pas partir, et moi j'en étais incapable. Je fronçais les sourcils mais tout s’enchaînait si vite que je me retrouvais à tes côtés, bientôt ma main dans la tienne, après un baiser intense et fougueux  ne pouvant te refuser, bien au contraire, je te désirai même si tes paroles avaient eu le don de me faire peur...Mon corps, mon regard me trahissaient. Mais à défaut de moi, Phil, toi tu as su être honnête. Notre rencontre te perturbait, cela t'effrayait et il était hors de question que je t'avoue à haute voix que je me sentais bien avec toi...que je souhaitais passer le plus de temps possible avec toi, ce soir...Mais ce n’était pas possible ? Il ne fallait pas tenter le diable. Et depuis ma rupture, blessée, anéantie , détruite depuis ces derniers mois me poussaient à faire tout et n'importe quoi les soirs. Traîner les bars, rencontres des gens, des hommes, me vider la tête en buvant, sans toutefois jamais me droguer. Mais pas besoin de cela quand je vois à quel point mes pensées divaguent lorsque tu es à proximité de moi, quand tu poses tes lèvres sur les lèvres, quand je sens tes mains sur mon corps, avec cette façon de faire qui t'es propre et si franche. Je frissonnais sous ton toucher, t'en redemandais quand tu m'embrassais, me battant toujours ma raison qui ne cessait de me dire de partir, de ne plus t'approcher ...Mais j'étais trop faible pour te résister ou encore te repousser. Et succomber, te succomber me plaisait. Je vivais encore ce moment intense de la ruelle alors que je marchais à tes côtés, ne sachant si je devais laisser ma main dans la tienne .Mes yeux se posèrent dessus avant de remonter vers son visage. Le cœur battant et le souffle court, repensant au fait que tu me désirais. je le savais par ton comportement et par tes aveux...Merde! Merde ! Merde ! Rêvais-je ? Si oui je voulais poursuive ce rêve mais si c'était la réalité, alors que je devais ...je devais quoi ? Me laisser porter par l'envie ou t'éviter, ne plus jamais te rencontrer, Mon sang bouillonnait en mes veines. De l'extérieur on pouvait paraître tel un couple ? Ciel ! Non ! Puis cette question  qui me fit revenir de mes songes.
« Pardon ? » Fronçant les sourcils, je repensais également au fait de s'être montré entreprenant avec cette blonde une fois que j'étais arrivée avec Jude. Marchant et atteignant bientôt le lieu d'attente pour les transports en commun. « Et toi, tu fais moins l'enfant ? Avec tes plans de provocations ? »J'avais bien vu son petit manège et puis le fait qu'il me parle de « MON » Barman. Tout ceci était étrange qu'une fois arrivés et assis sur le banc je lui lâchais la main, me sentant tout à coup mal à l'aise. Je repensais à Stephen, qui me manquait toujours autant malgré tout et puis je n'avais jamais été montré en public avec un homme autre que lui, mon fiancé et ex-futur époux alors me balader dans les rues en compagnie d'un autre même si cela n’allait pas nous lier pour al vie avec Phil -pensais-je- je n’étais pas prête à me rapprocher d'un homme. Se donner à quelqu'un était facile du moment que les sentiments ne venaient à compromettre cet échange purement sexuel, non ?je posais mon sac sur mes genoux, la tête posée contre la paroi de verre de cet abri regardant ici et là quand une scène vint à interpeller. Un couple, en train de discuter, les voix s'élevaient avant de voire chacune des personnes partir dans deux directions différentes, la fin d'une histoire probablement. Regardant toujours droit devant moi, pendant un instant je repris envers Phil. « C'est malsain. »
peut-être ne comprenait-il pas ? « L'amour s'est malsain, c'est destructeur et puis ça ne sert qu'à a souffrir « dis-je tout en voyant la jeune femme disparaître dans la pénombre. « Rien ne vaut une telle souffrance, et dire que certains croient encore au grand Amour, ou rien ne peut arriver , vivant encore dans un monde enfantin comme si un jour ils allaient se marier, avoir des enfants et vivre heureux jusqu'à la fin des temps. »tout en ayant un rictus.
« Foutaise ».Puis vint cette question en le regardant sans le lâcher du regard. « T'attends quoi de moi ? Car tu n'auras rien, strictement rien, je suis morte de l''intérieur »Façon détournée de lui dire que jamais plus je ne pourrais ressentir quoi que ce soit pour un homme, pensant que tous ses ressentis vis à vis de lui, Phil, n'étaient que du désir, une attirance sexuelle rien de plus. je tentais de me convaincre de cela. Je paraissais sure de moi, comme indémontable sur l'instant avant de flancher certainement bientôt. Il avait eu mon corps, un moment partagé et après ? Oui il me faisait vibrer mais peut-être parce qu'il avait été l'un des rares avec qui j'avais couché après l'abandon de mon fiancé ? Je n 'aimais pas ressasser le passé, alors sans aucune gêne , je vins à me lever et à venir me plaquer contre lui ,sans un mot, le regardant et venant à emprisonner ses lèvres avec fièvre et envie. Peu importe qu'il me repousse ou non le sachant dominant j'en avais envie, j'en avais besoin. Et je ne voulais pas rentrer. Il avait dit me désirer, que on corps lui manquait, dans ce cas, on était sur la même longueur d'onde. Lui prenant la main et l’entraînant , nous quittâmes ce lieu pour aller ailleurs.je connaissais ces petites ruelles reculées ou se trouvaient pas loin un petit café-restaurant ainsi qu'un petit motel qui faisant l'angle. L'emmenant à vive allure et l'obligeant à me suivre, je vins à prendre une chambre, l'échange se fit rapidement, un billet contre la clé ou était numéroter la pièce avant d'arriver enfin devant cette porte que j'ouvris. Je fis entrer Phil le premier avant de refermer la porte derrière moi. Je le regardais, l'observais et le déshabillais du regard. Sans attendre le moindre mot de sa part, j’ôtais ma veste ;, et mes escarpins et allais vers lui.je lui défis son cuir à son tour, Sans toutefois lui retirer sa chemise. j'avais ressenti cette gêne ou plus tôt cette frustration à l'avoir touché sous la douche. Le faisant basculer sur le lit de cette chambre, je me retrouvais à califourchon sur lui, à venir rejoindre tes lèvres, Me posant sur toi, reportant toute ma frustration sur lui. J'avais besoin de me sentir de nouveau vivante, sans qu'on ne me pose de questions. L'alcool et le sexe était devenu pour moi ma drogue, ma façon de ne pas penser, d'oublier, en étant elle que je ne souhaitais pas être. Cette facette de moi que je refoulais depuis trop longtemps, ce côté sombre et détaché à contrario d’être cette jeune femme souriante, agréable et sympathique avec mon entourage. Mes mains passèrent de chaque côté du visage, de ton visage, tous deux assis, je sentais son souffle venir se plaquer contre ma peau. Ton odeur m’enivrait, j’avais besoin que tu me fasses tout oublier, que tu me possèdes, tel un objet si tu le souhaitais, peu m'importait, après tout ce n’était que du sexe entre toi et moi...je devais me focaliser sur cette idée, ne rien voir d'autre. Je m’oppressais contre lui, que je t'en fis tomber à la renverses, sur le dos, mes fines lèvres vinrent à explorer ta mâchoire comme tu me le faisais, avant de descendre sur ton cou, Me redressant je défie un à un les boutons de ta chemise sans te quitter des yeux, avec sensualité et envie. Le seul reflet de la lune au travers de la fenêtre était source de lumière, j’étais précise et rapide dans mes gestes, jusqu'à découvrir ton torse qui se bombait à chacune de tes respirations. Je le savais, j'évitais donc te trop te toucher, avant de t’inviter à venir t'asseoir face à moi, toujours assise sur ta personne, t’enlaçant de mes jambes, autour de tes hanches, pour ensuite, venir te déposer un baiser chaste et presque tendre , baiser qui bifurqua peu à peu jusqu'à ta mâchoire, ton cou, pour venir se déposer sur 'lune de tes épaules que je venais de dénuder avec lenteur, faisant expressément attention, te frôlant pour plus de sensations ou j'oubliais pendant un temps que toi seul décidais si je pouvais oser le contact, je pensais que cela était plus une habitude, une sorte de rituel te sachant dominant et non pour un autre motif alors parti dans l'intensité du moment, mes mains vinrent se poser toutes deux sur le haut de ton torse, à la naissance de te épaules, te caressant doucement sous mes baisers, qui exploraient le haut de ton buste, le creux de ton cou...


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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyMar 21 Oct - 21:08

Je ne veux pas partir.

"« Il y a des gens qui fuient la jalousie par paresse, d'autres qui l'écartent par orgueil. »Tristan Bernard "

Je ne voulais même pas commenter, je n'avais pas agi comme un enfant de cinq ans, mais par un adulte qui était... Jaloux ?Je ne voulais même pas commenter, je n'avais pas agi comme un enfant de cinq ans, mais par un adulte qui était... Tu auras beau me dire tout ce que tu désires vis-à-vis de mon comportement, le tien n'avait guère été mieux. Me lancer des pics, seule, ou même avec Jude, c'était de loin une façon attirante, et pourtant, nous voilà en train de marcher en direction des transports, dû moins l'abri. Je me postais à tes côtés, lorsque tu vins à déchirer notre étreinte, m'obligeant à remettre ma phalange à l'intérieur d'une des poches de ma veste en cuire. Je voulais juste que tu viennes près de moi, et que t'arrête de penser que je te voulais du mal. J'abaissais un court instant mes pupilles, lorsque ta voix venait à se faufiler dans mes oreilles. Un vieux couple se disputait, et nous avions en face de nous une séparation, ou une simple dispute. Je levais le regard sur toi. Je ne croyais pas en l'amour, mais j'aimais le voir à travers les autres, bien que j'étais le genre de type qui se mettrait entre, pour draguer la nana et l'avoir vite sous les draps. Mais je pris une voix calme, tout en suivant du regard l'homme qui disparaissait dans la noirceur de la nuit. < Tous ce qui est malsain est bon. > Il est vrai non ? Tous ce que nous aimons n'est pas vraiment bon pour la santé, que cela soit la clope, l'alcool. Même le sexe, cela pouvait facilement ravager une personne, tout comme l'amour. < Mariage, ce n'est qu'un bout de papier, si les gens s'aiment, ils n'ont pas besoin de ce papier pour montrer leur amour. > Je parlais... Alors que je ne connaissais rien de cela. Mais là, une question vint à me chiffonner la tête, les sourcils froncés, un fin soupir venait s'évader de mes lippes alors que tu osais dire haut et fort, cela. Moi, je posais mon regard sur toi. Tout simplement. < Je ne veux rien de toi. Je n'ai jamais voulu quoique se soit. Je ne te demande rien. Je ne t'ai pas obligé à me suivre, je ne t'ai pas obligé à coucher avec toi, et encore moi à être là. > Tout cela est vrai, tu as pris tes decisions, sans me poser cette question. Pourquoi se tourmenter l'esprit ? Pourquoi ne pas laisser la vie nous guider ? J'ai toujours été de la sorte, me laissant aller par les jours qui venaient, et par l'instant que je vivais. Non seulement que maintenant, mais depuis de longues années. Où je priais Dieu de me sortir des griffes de mon père, au plus vite. Malgré les jours que je comptais, c'était sans cesse un enfer à vivre. Mais je ne voulais pas penser à ça, dû moins pas maintenant, c'était une douleur qui était sans cesse présente, mais qui diminuait peu à peu sous ta présence. Tu me faisais du bien, dû moins, tu me relâchais l'esprit de mes problèmes. Mais soudainement, je te vis te tourner vers moi, et rapidement, je posais mon regard sur ta personne. Et là, tes lèvres sur les miennes, je fermais quelques secondes mes paupières afin de prolonger ce baiser avec ardeur. Avant de me retrouver debout, où tu vins à m'inciter à te suivre en direction d'une ruelle. Tu vas où ?! Je passais une main dans l'intérieur de mes cheveux avant que tu ouvres une porte, et que tu me pousses à l'intérieur, tout se passait tellement vite que les seuls sons que tu entendais étaient des " Em ?! " Je me retrouvais assis, sur un lit. Putain, on est où ?! Un soupir venait s'évader quand tu vins à t'imposer sur ma personne, embrassant mes lippes, encore et encore sans relâche. Mais dès lors où tu commençais à me déshabiller, c'était une sensation étrange, ne me touche pas, pas le torse. Tout, mais pas ça. Tu fis le tour, avant de sentir tes lippes sur mes épales, et tes mains descendantes au niveau de mon torse. Je fermais les paupières, en serrant la mâchoire, si seulement tu savais, c'était loin pour me donner un genre. Cette partie avec quelque chose de fort. J'happais tes mains violemment, afin de te faire basculer pour que je puisse me faufiler entre tes cuisses, mes paumes happant les tiennes que j'immobilisai au-dessus de ton faciès. Mon regard dévorant le tien, mes lippes effleurant les tiennes. < Tu me veux ? Tu me veux, n'es pas Emy ?! > Je relâchais tes mains, avant que les miennes viennent à se poser dans l'intérieur de ton décolleter. Tu l'as voulu, à me provoquer de la sorte. Je tirai d'une certaine manière, ni trop fort, ni trop doucement afin que le tissu craque sous mes doigts. Montrant immédiatement ta poitrine recouverte par ton soutien-gorge. Je remontais ta robe au niveau de tes hanches, d'une main, vins se glisser entre tes cuisses, et mes doigts se faufilant sous le tissu de ton bas, titillant tes lèvres vaginales. Tout en te fixant intensément du regard. Tu me voulais, et je te voulais, c'était aussi simple que ça. Passant ma muqueuse sur mes lippes, je vins plaquer celles-ci sur les tiennes, t'embrassant avec un désir de dingue, passant ma main libre sur ta poitrine. < Je te ferai l'amour, lorsque tu me l'aura demandé. > Il y a une différence entre faire l'amour et baiser. Clairement, je n'avais pas honte de dire que l'échange que nous avions eux étaient une partie de jambes en l'air, alors que là, j'étais près à mettre de côté une certaine facette de ma personnalité, afin de te faire réfléchir, que tu ne me servais pas de... Vide couille. Vulgaire ? Et pourtant, c'était le terme de plusieurs femmes. Je reculais, entièrement. Passant mes doigts humides de ta liquide, que j'avalais, érotiquement devant tes yeux.

Tout semblait calme, tu étais à moitié nue, et je l'étais aussi, sauf que moi, tu ne m'avais qu'effleurer. Je pouvais te faire plaisir, mais tant que tu ne me demandais pas ce que tu voulais, il était hors de question que je prenne. Que cela soit en douceur, ou avec violente. Bien que la douceur eût quelque chose de fade à mes yeux. Je m'approchais de toi, ôtant ma ceinture de mon jean. On ne joue pas à me provoquer, et surtout à toucher, où tu savais qu'il était quasiment interdit d'y poser les mains. M'appliquant sur ta personne, je tendais tes bras, avant d'envelopper tes fins poignets ensemble et de les maintenir de la sorte en les serrant à l'aide de ma ceinture, ainsi dans un sens, j'étais persuadé que tu n'allais pas partir, mais surtout que tu allais m'écouter. Mes mains descendaient jusqu'au niveau de ton bas, où je fis glisser jusqu'à tes chevilles, alors que je descendais au même temps, tout en déposant de multiples baisers sur ton ventre, tes hanches, puis tes cuisses. M'arrêtant, là. Près de ton intimité dénudée et humide. Ma bouche, l'effleurant, déposant des baisers doux et délicats. < Tu es prête à me recevoir en tout cas... > Un sourire malsain venait se placer sur mes lippes, alors que je venais glisser ma muqueuse sur la longueur, écartant légèrement tes lèvres vaginales, pour que le bout de ma langue vienne à la rencontre de ton clitoris. Jouant avec, m'amusant avec ton plaisir. Entendre tes gémissements était l'un des meilleurs sons au monde. Mes bras encerclaient tes cuisses, te maintenant, pour que tu ne bouges, que tu ne puisses faire d'autre mouvement que celui d'onduler des hanches. Ma muqueuse tournait, tapotant sur ton point de désir, alors que je suçotais, avalais avec gourmandise ton liquide qui s'échappait. < Je bande... Rien que pour toi. > Je me redressais rapidement, sur mes genoux, imposant mon bassin contre le tien, ma verge encore couverte par le tissu de mon jean, alors que tu pouvais parfaitement sentir la bosse qui s'était formée. Tu me donnais envie de te prendre, contre le mur, sur un meuble, peu importe l'endroit, tout me semblait parfait pour un échange intime avec ta personne. Mes mains, se posant sur les tiennes, tandis que je vins à nouveau t'embrasser, te laissant alors goûter à ton propre goût, un sourire pervers qui vint à s'encrer sur la longueur et largeur de mes chaires. < Tu es mienne Emy. Tu le sais, tout autant que je le sais. > Je déposais de petits baisers sur ta bouche, avant que j'ondule mes hanches, j'attendais qu'une seule chose, que tu me réclame. C'était tellement bon d'entendre une femme nous réclamer, et surtout crier haut et fort combien elle nous voulait ? C'était pas n'importe quelle femme qui se tenait sous moi, c'était toi. Et bordel que je vais t'en faire découvrir des choses. Si tu étais une simple accro au sexe, je vais te lancer dans une obsession, que tu en voudrais, encore et encore sans relâche. Je n'attendais que cela, pour que je puisse enfin te faire à nouveau découvrir un plaisir si fort. Et si intense.


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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyMer 22 Oct - 22:21

Mauvais endroit, mauvais moment




Je fus étonnée par ses propos même s'il avait eu relation tout est malsain est bon qu'on en redemande, la preuve étant que je l’avais attirée dans ce motel du coin de la rue. Je l’avais jeté littéralement sur ce lit où j'étais à le couvrir de baisers, le caressant osant même cette partie qu'il 'm’avait refusé la fois d'avant, par jeu ? Par provocation ? Apparemment il ne tenait absolument pas à ce que je dépose quoi que ce soit sur cette partie de son anatomie mais n’était ce pas excessif ? Au point de me ceinturer les mains ? Les mains ligotées n'ayant pas eu le temps de reprendre mes esprits après son discours. Mon cœur battait à tout rompre, toi au dessus de moi, je frissonnais, mon corps se raidissait quelque peu sous ta façon d’être, dominant une fois encore...ce n'est pas ce que je voulais, je souhaitais t’utiliser, te prendre moi comme mon objet du désir et non l'inverse. Te faire subir toute cette frustration que je ressentais en cet instant. C’est toi qui m'avait mise dans cet état, avec ton jeu de séduction auprès de cette blonde alors que tu me désirais moi et pas une autre. Te sentir, là, entre mes jambes, tes prunelles dans les miennes, ton corps au dessus du mien, nos souffles chauds mélangés. Merde ! Je te détestais de me faire ressentir une pareille sensation/ mon bas-ventre te réclamait déjà. Je me sentais me démunir de tout mon être et pourtant ...Je devais te résister. Ne pas céder. C'est moi qui avait eu cette idée de t'emmener pour te combler à ma manière mais chaque fois tu prenais les rênes. Non, Non pas cette fois-ci ! Je te provoquerais à ma façon. Tu me détesteras. Tu me désireras. Comme jamais. Ma poitrine se soulevait, redescendait, J’allais braver les interdits crois-moi. J'aurais bien de cause je t'en assure. Tu jouais avec ma libido, que ce désir ardent s’enflammait encore et encore en moi. Sas réellement m'en rendre compte, mon bassin vint entrechoquer doucement le tien . Je devais lutter, ne pas te céder. Faisant batailler ma raison avec mon cœur, et surtout mon corps qui brûlait d'envie. L’envie de te sentir en moi, contre moi. Je suffoquais, comme si je n'avais plus d'oxygène, me sentant comme partir, telle une dose d’héroïne qu'on s'infiltrait dans les veines, jusqu'à obtenir cette plénitude, cette sensation d'ennivrance, atteignant le Nirvana.
« Merde !Lutte Emy ! »Je t'affrontais du regard, pour ne pas faiblir. Tu voulais entendre que je te voulais, alors accroche toi bien car aucun son ne sortira d'entre mes lèvres. Tu serais bien trop satisfait de me l'entendre dire. J’étais pendant quelques instant ton objet , ta chose, celle que tu découvrais de tes mains.
Lutte ! Ne cède pas ! »
Je déglutissais regardais ailleurs, mais ce serait signe de faiblesse non ? La provocation, soutenir ton regard, ne pas réagir sur l'instant à tes désirs, aux miens. J'avais envie d'hurler sous tes caresses provocatrices mais ce baiser ne fit qu’accroître mon envie. J'aurais beau te dire que je ne te désirais pas, mon corps me trahissait, que j'aurais pu enrouler ton bassin de mes longues jambes, mais je n'en fis rien. J'étais essoufflée, la tête me tournait, l'ivresse de l’alcool à celle que tu me procurais, un doux mélange pour un jeu malsain ? Que c'était bon ! Et cette nouvelle provocation me fit retrouver un temps soit peu mes esprits. Fronçant les sourcils, il se leurrait. C’était comme abdiquer en pleine guerre ? Rendre les armes, se laisser faire prisonnier sans même s’être défendu ? Il en était hors de question ! Je lutterais jusqu'à ce que j’obtienne gain de cause, c'est a dire toi, de la manière et la façon dont il me conviendra. Mais tu étais si borné a vouloir toujours diriger que cela en devenait un vrai défi. Tu avais trouvé preneuse, car j’avais envie me battre pour gagner la partie tout du moins. Mais quel était ce revirement de situation. Tu disais vouloir faire l'amour et non pas s'envoyer en l'air ? Merde ! Je fus décontenancée que j'en perdis toute méfiance, toute résistance, tandis que mes yeux se laissèrent aller à te regarder te dévêtir en partie ; j’étais ailleurs, me déconnectant du monde réel, comme cette fois là, dans la chambre d'hôtel. Je me sentais partir bercée par une douce chaleur due à ton être tout entier. « Que tu es sexy ! « 
On pourrait être dégoutté par ton geste, à me goûter de la sorte mais pour moi il n'en était rien. Je me mordis la lèvre inférieure, omnibulée par ta personne. Mon corps était déjà à ta disposition , prêt à t'avoir mais ma raison se dressait contre cette envie. Tu ne gagneras pas cette fois. Enfin je crois...puis cette ceinture...Je n’aimais pas cette sensation d’être prisonnière, de ne pas pouvoir bouger...Faire l'amour signifiait il se laisser faire et apprécier avec lenteur et douceur ? Je n’étais pas partisante de ce genre de jeu sexuel, trouvant cela presqu'à la limite de la perversité. Je me contractais songeant à cette vision proche du sado masochisme non ? Mais me dévoilant comme tu le faisais, je perdis le fil de mes pensées. j'eus un léger sourie aux coins des lèvres t'aidant dans ta descente de mon sous-vêtements et après ? J'ondulais sous tes baisers, je te détestais et te détesterais à coup sur même dans l'avenir. Tu étais le diable incarné, tu étais malsain mais si attrayant! Quel supplice de te sentir contre ma chair, sans que je puisse réellement bouger. Alors je n'en ferais rien je resterais immobile le plus longtemps possible Mais cela ne dura guère longtemps que je gémissais déjà sous les mouvements de ta langue. Retenue par tes bras, subissant ton châtiment, je me délectais. J’étais ta seule source de plaisir ! Que c'était excitant au final de se sentir soumise et désirée de la sorte. La tête penchée en arrière , mon bassin qui vaguait au rythme de ton ardeur, je suffoquais de nouveau, serrant la mâchoire pour me laisser aller à gémir davantage. J’étais telle une tigresse, mise ne cage, pieds et poings liés ne pouvant me défendre mais ne pouvant que subir ! Une douce et terrible torture ! « Sois damné Phil ! Bon sang ! »
Quelle était donc cette souffrance si délicieuse que tu m’imposais ?  je ne voulais pas exploser , je devais me préserver, ne pas succomber , ne pas te faire ce plaisir. J'allais bientôt atteindre l’orgasme à son apogée, mais j'eus cet instant de répit. Je te lançais un regard noir, toujours à ta merci , reprenant ma respiration mon corps repu sous ta torture, ce baiser aux saveurs qui m’étaient propres. Mon excitation remonta en flèche. Il y a avait ce côté doux et tendre quand tu m'embrassais et cette domination qui provoquait un contraire de sensations. Tu m’envoûtais que de laisser filer tes lèvres, fut presque décevant...il me possédait ! Non pas corporellement mais psychiquement.il avait cette emprise sur mon être tout entier, quand nous étions seuls. Plus je voulais m'échapper de son emprise, et plus ce fut le contraire ! « libérez-moi de tout ceci mon Dieu ! »
C’était si bon que cela en devenait irréel. Je n’avais jamais rencontré d'homme comme lui par le passé, à ce stade avancé de la domination et jamais je ne me serais laisser allée à ce genre de pratique ? De jeu ? Tentait-il de me soumettre malgré ma véritable volonté ? Pourtant j’étais là, à subir, oui à subir avec envie. Verrais-je d'autre facette de lui ? Avait-il d'autres pratiques plus poussées? Han comment pouvais-je penser à de pareilles choses ? Ce n'était pas moi ! Et pourtant...Mais j'avais de la répartie, que le jeu continue retrouvant mes esprits.
« Je serais tienne quand tu seras mien. »
A mon tour de te provoquer, qui succombera à l'autre en premier ? Je n’étais pas dupe, je savais tenir tête maintenant que j'étais plus aisée à réfléchir, à agir un minimum et à t'avoir lancé à mon tour cette provocation. Et cela n’allait pas s’arrêter ainsi. Je continuais jusqu’à ce que tu flanches, que tu cèdes à es pulsions, à tes envies, à moi tout bonnement...
Je vins chercher tes lèvres, les mordillant , un sourire ravageur afin de te narguer...de te faire languir à ton tour.
« Tu me veux ? » tout en m'opposant à lui, me dressant de façon à être supérieure à sa personne, nous faisant nous basculer. J’étais de nouveau sur toi, ma longue chevelure en cascade retombante sur toi. Je passais mes mains nouées sur ton visage , te caressant la mâchoire du bout des doigt allant encore te persécuter . Je ne lâcherais rien. Et puis pourquoi d’ailleurs agis-tu de la sorte ? Me demandais-je . Sous la douche tu n'avais rien dit, n'est ce pas ? J’étais un peu perdu, toujours à te regarder dans les yeux, désormais assise sur toi. Mes mains descendirent peu à peu jusqu'à cette fameuse limite. Puis me stoppant je revins vers la hauteur de ton cou, laissant mes doigts glisser sur tes lèvres si douces. Allongé sur ce lit était à ma merci mais une chose venait de changer, ma façon de te voir quand tu étais ma proie et non l'inverse, j'aimais beaucoup cette image de ton être sous mon emprise. Un sourire se dessina sur mon visage. Je me penchais et avec une extrême douceur, je vins à t'embrasser, d'un baiser des plus chastes et tendre, avant de forcer lentement le passage de tes lippes afin de venir retrouver ta langue, celle qui avait su me rendre totalement folle. Était-ce une manière de te dire de me faire l'amour ? Inconsciemment peut-être. ..avec toi je ne savais jamais par avance comment j’allais être et c’est ce qui m'attirait, d’autant plus que tu ne cessais de me désirer moi et pas une autre. Je bougeais légèrement mon bassin afin de t’exciter davantage même si tu avais encore certains de tes vêtements. Après ce baiser échangé d'une passion endiablée mais profondément sincère, je vins à papillonner sur son visage, , ton cou , tes épaules sans toutefois venir te contrarier.je vins à te découvrir de mes lèvres, m'abaissant à ton corps, évitant tout toucher de ton torse, pour venir te libérer de ton jean. Les mains attachées ensemble ne m’empêchaient pas pour autant de ne pas pouvoir m’en servir un minimum. Alors une fois tes derniers vêtements retirés d'un geste plus vif cette fois ci, je fis à ta manière, longeant, remontant jusqu'à ton bassin pour venir goûter au fruit descendu, ou ma bouche fut le seul contact avec ton inimitié viril. Lentement, doucement, profondément, je vouais te faire succomber à mon tour, sans jamais cesser de te regarder. je menais la danse, faisant grimper la température de la pièce à mon tour. Tandis que ma bouche engloba ton membre dresse, parfois ce ne fut que ma langue qui se chargeait de t’électriser, ressentant le moindre de tes spasmes. Sans se presser je voulais que tu profites toi aussi de ce petit plaisir. A genoux sur le sol pour plus de aisance, et penchée sur ta personne , je pouvais ainsi voir toute l'ampleur du désir que tu ressentais en cet instant.

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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptySam 25 Oct - 0:36

Je ne veux pas partir.

"« Il y a des gens qui fuient la jalousie par paresse, d'autres qui l'écartent par orgueil. »Tristan Bernard "

T'étais le genre de femme qui savait ce qu'elle voulait et qui ne se laissait pas faire malgré les multiples avertissements, et j'aimais ça, bien que toutes celles qui se passeraient sous les draps, c'est moi, et entièrement moi qui tiendrai les contrôles. Mon regard se posait sur ta poitrine, cette poitrine qui a mon goût n'a pas assez été visitée par mes doits, comme la totalité de ton corps, même si je dois avouer qu'il doit rester une certaine marque de mon dernier passage. Je fronçais les sourcils lorsque tu vins à annoncer que pour t'avoir, il faut également que tu m'ailles. Mais Emy, je t'ai déjà. Que tu le veuilles ou non, je t'avais entre les mains, et je ne cachais pas l'étrange sensation qui se passait en fond de mon être lorsque tu étais dans les parages. Je ne disais rien, le silence suffisait et un sourire provoquant par la même occasion. Tu étais belle, avec ton air dominante, bien que j'aille sentis ton orgasme passer sous mes doigts, je t'accordais que de le maintenir en toi, durant un petit moment n'avait pas dû être si facile que ça, je me trompe ? Néanmoins, quand tu vins à nous basculer sur l'autre sens, je ne fus de loin surpris, et même, j'en étais ravi, voir une femme que je venais d'attacher, essayer par tous les moyens d'être au-dessus était une vision pas mal, une vision qui ne me gênait pas, pas comme d'habitude ou la femme veut commander, je pense qu'elle gicle directement par la fenêtre. Je te voyais te mouver, je pouvais te sentir déposer des baisers sur chaque recoin de ma peau, avant de te sentir abaisser mon jean, et mon boxer. Te montrant alors l'érection imposante que tu me donnais. Tu m'excitais, j'avais envie de toi, j'avais envie de te faire crier mon prénom, jusqu'à user l'intégralité de ta voix. Mais alors que je pensais que tu allais venir m'enterrer en toi, ton visage glissait peu à peu en dessous de ma ceinture, me faisant alors écarquiller des yeux. Ce genre de gâterie, c'était quelque chose de magique, faire en sorte de donner du plaisir à l'autre, sans être égoïste, c'était le top. Bien que je me doutais que tu me renvoyais simplement l'assenceur lors de ton dernier orgasme. Je gémis, soudainement, mordant violemment ma lippe inférieure en essayant en vin te maintenir quelques cris qui pouvaient être à mon goût un peu trop fort. Et mes mains, elles, se faufilaient jusqu'à tes longs cheveux que je vins tenir en chignon, la vue de ta bouche gobant l'intégralité de ma verge en débutant des allers et des retours, ciel ! C'était tellement.... Excitant que dès que mes yeux se posaient sur cela, mon buste se rabaissait, relâchant un soupir d'extase sous cette intensité que tu fis preuve en me masturbant de la sorte, tout en gardant cette part de tendresse dans tes actes. Ma main tenait tes cheveux, alors que l'autre, venait à frôler du bout des doigts ta mâchoire en remontant peu à peu sur ma tête, comme si je voulais réaliser à quel point tu pouvais me faire du bien. Ta bouche, ta bouche était magique, la chaleur enveloppait le volume de mon sexe, m'infligeant des sensations des plus intenses, comme des brûlures, ou tout simplement mon rythme cardiaque qui vint monter en flèche. Si tu continuais de la sorte, il allait être clair que j'allais finir par me lâcher entre tes lippes, mais il était hors de question que je termine par cela, je voulais surtout te prendre, t'avoir entre mes mains, t'offrir un plaisir, et une union parfaite de nos deux corps. T'entendre hurler mon prénom, putain que c'était affolant. La mâchoire serrée, je redressais mon visage après quelques bonnes minutes où tu avais débuté cela, mes mains venaient les deux se poser sur tes tempes, d'un coup de reins, je vins te faire gober le volume entier de mon sexe, entre tes fines lippes. Avant d'éjaculer à plusieurs jets entre tes lippes, hurlant d'un plaisir sauvages, où l'orgasme venait à se maintenir en moi, des spams, ton visage bloqué par mes mains qui te maintenaient de la sorte. Et je ressortais de tes lippes, je m'en fichais si tu avalais ou non, putain, je te voulais encore. Je ne voulais pas qu'une simple fellation, je voulais ton corps qui réclamait le mien, tout comme le mien réclamait le tien.


J'happais tes poignets, t'obligeant à te mettre pardessus ma personne. < T'es complètement timbrée. > Te dis-je dans un sourire, je changeais rapidement de position, t'installant sur les genoux, appuyer sur les coudes. Je maudis la personne qui ose dire que cette position n'était pas l'une des meilleurs pour la femme. Je me postais également sur les genoux, derrière ta personne, excité, et hors de contrôle. Ma main tenant la base de mon sexe pour le diriger contre l'entrée de ton intimité. Ma main libre venant caresser néanmoins, avec tendresse ton ventre, tendit que ma voix, venait à nouveau se fondre dans l'atmosphère érotique que nous avions créée. Sans oublier, cette bulle de sexe ou personne ne pouvait s'y incruster. < Fais un coup en arrière. Fais-moi te pénétrer. > Je visais simplement, mon gland, contre tes parois intimes, alors que dès ton mouvement en arrière, tu vins à me pousser à l'intérieur de toi, écartant tes parois, tout en sentant aussitôt ta mouille glisser sur ma verge, en lâchant un juron par tant de plaisir. < C'est tellement bon.. > C'est tellement bon, tellement bon avec toi. Je m'en foutais de mes pensées, je m'en foutais de ma conscience, je voulais simplement profiter de cet instant pour me faire avouer que tu étais quelqu'un d'hors du commun, et que bordel, jamais j'aurai pensé prendre autant de plaisir avec une femme. Mon bassin s'accolait contre ton fessier, alors que mes bras venaient entourer ta fine taille en posant mes paumes sur tes deux seins. Mmh... Parfaitement arrondit, et la taille parfaite pour les avoir correctement entre mes doigts. < Tu me sens Emy hein... Je te veux. > Mes mots étaient murmuré, enfin le début, mais pas vraiment la faim. J'appuyais mon torse contre ton dos, alors que grâce à cette position, mes lippes prenaient la liberté de déposer plusieurs baisers sur la largeur de ton dos, ainsi que la longueur de ta colonne vertébrale, sans mouver. Cela serait bien trop rapide et trop simple. Ton intimité prenait forme, vis-à-vis de la grosseur de ma verge ainsi que la longueur. Mes doigts titillaient fermement tes tétons qui pointaient à ma guise, tout cela mener par notre désir, par nos besoins. Tu me rendais bizarre, je ne peux pas vraiment expliquer, mais juste le fais de te faire l'amour une deuxième fois était pour moi un grand miracle, pour qui, aucune fille n'eu la chance d'avoir à nouveau. Mais toi, je pouvais te faire l'amour autant que tu veux, partout, passant par un banc, une ruelle contre un mur. Et même si tu n'étais de loin une fille de ce genre de lieux, je suis persuadé arriver à te convaincre de coucher avec moi, partout, sans aucune gêne. Lentement, mais fortement, je débutais des va-et-vient, profonds, d'où les claquements de mes bourses contre la fin de ton intimié, qui ne cessait d'ailleurs de rejeter ton liquide d'excitation. Je me mouvais, ou plutôt ondulait érotiquement, laissant des gémissements prendre place, alors que je ne gérai quasiment plus déjà mon état, et d'ailleurs, cela, ce n'était rien, tu avais encore de la chance. Être dominant n'était pas un jeu pour moi, c'était quelque chose que j'avais en moi, et cela, depuis bien longtemps déjà. La mâchoire serrée, je rejetais ton prénom sans arrêt, ton doux prénom qui se faufilait entre mes lippes qui s'attaquaient le sommet de ton dos. Mes mains ne cessant leur activité sur tes seins, et mes ondulations de plus en plus féroces, toujours autant lentes, mais de plus en plus profondément.
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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyDim 26 Oct - 12:07

Tu as fait de moi ta soumise et j'ai aimé...


J'avais beau vouloir prendre le dessus de ta personne mais à chaque fois tu avais ce don de diriger, de me diriger malgré moi. C’était comme si j’étais incapable de te résister, de te dire non. J'avais pourtant lutter à ne pas te céder mais en vain. Même te faire faiblir en te procurant ce que la plupart des hommes aiment tu arrivais encore à avoir le dessus. C'était frustrant, énervant, excitant que de nouveau je me retrouvais piégée face à ton plaisir qui m'arriva en une fraction de seconde. Tes mains me maintenant, te lâchant pleinement avant de me faire revenir à ta hauteur, essoufflé, le cœur battant à tout rompre. Ciel que c'était jouissif d'entendre son partenaire prendre un tel pied et d'y participer. A mon tour je vins à te faire goûter sa propre semence avec douceur et envie. Un regard plongé dans le tien cherchant à savoir d’où pouvais te venir cette domination extrême alors que tu me disais être timbrée ? Mais pourquoi ce que je venais de faire apprécier t'avais tant déplu ? Arquant un sourcil sur l'instant je vins ensuite à te lancer un sourire en coin. Soudain je fus positionnée autrement,, m'offrant totalement à toi , à ta demande silencieuse. C'était insoutenable avec toi. Dans le bon sens certes, que plus je faisais l’amour avec toi et plus j'en redemandais. Cet effet de drogue revint en mon être, comment pouvais-tu avoir un tel pouvoir sur moi ? J'étais, je le savais, déjà accro à ta personne, à ton corps tout entier. Merde ! C'est pas possible qu'une telle chose puisse m’arriver. Jamais je n’avais été ainsi même pas avec mes petits-amis. Je pensais que ce genre de pratique n’était pas faites pour moi, mais je ne souhaitais qu'une seule chose en découvrir davantage tant mon plaisir regrimpait en flèche. Cette sensation de suffoquer à chacune de tes caresses, de ton souffle sur ma peau qui se hérissait était une réelle torture des plus magistrales. Dans cette position des plus délicieuses, avouons le te sentant derrière moi, tout près m’exécutant à tes désirs. Ta voix me fit d'ailleurs frémir elle aussi. Je frissonnais. Doucement je collais mon fessier contre ton intimité qui avait retrouvée toute sa virilité. Mon ventre semblait crier famine, j’étais comme perdue, n’ayant plus aucun notion du temps, ni du lieu, cette atmosphère qui nous était propre vint même à me faire retourner la tête. Avec lenteur je te fis entrer dans mon antre, l’excitation était à son comble, une plénitude et une sensation de bien-être me parvint. C'était impensable a quel point j’étais bien là, avec toi, ton être plongé en ma personne. Je me délectais de cet instant. Une chaleur m'envahissait, à fut et à mesure que tu venais en moi. Un soupir de pur bonheur, s'échappa de d'entre mes lèvres, qui se trouvaient meurtries sous la morsure que je m’infligeais à ne pas te faire accélérer. Une douleur se fit ressortir en mon bas ventre . L'envie et ce désir ardent qui me consumait de l'intérieur. Une douce et intense brûlure. j’étais damnée en cet instant même et ce par tes soins. M’enveloppant de façon à m'appartenir qu'a toi et toi seul, je me cambrais peu à peu pour mieux te sentir tout en gémissant. Allant même à me laisser aller à te répondre malgré moi. «Oui...Alors possède-moi »Dans un essoufflement que mon corps s'offrait totalement à toi. J’étais éprise, sous le charme et en ce moment peu importait , j’étais réellement moi. Un moi dont je ne connaissais pas l'existence jusqu'à présent. Tu me faisais voir une facette de ma personnalité que j'ignorais. Un nouveau volet s'ouvrait à moi. Je n'aurais pu imaginer que de se laisser contrôler pouvait être si bon. Tout cela avait eu un impact sur moi, sur ma vie quotidienne. Que je repenserais à tout cela à tête reposée, à me voir rêvasser et ressentir ces pulsions à ton encontre. Tu étais telle une bouffée d'oxygène, et j’aimais ça plus que tu pouvais le croire même si parfois je pouvais sembler réfractaire dans mon attitude ou mes paroles car au fond, j’aurais vendu mon âme pour diable pour que cela ne s'arrête jamais, pour que cela perdure encore, et encore à te sentir en moi aussi intensément! Gémissement de plus belles à bouger mon bassin pour venir te chercher plus fortement, plus profondément, ce fut telle une vague qui m'ensevelit que je n'étais plus maître de mon corps. Il réagissait au tien, se complaisait à te satisfaire me rendant également la pareille ; un plaisir partagé et apprécié. Attachée, poignets liés, je pouvais tout de même jouer de mon corps. Mon bassin vint à entrechoquer le tien encore et encore et n'étant qu'un homme, tu ne pourrais tenir encore bien longtemps à te contrôler ; Ma voix qui se faisait entendre à l’unisson avec la tienne vient à se perdre dans la noirceur de la nuit, dans cette chambre seul et unique témoin de notre danse tumultueuse, celle de nos deux corps qui s’assemblaient parfaitement l'un dans l'autre. Que nous atteignions ensemble cette fois -ci l’orgasme. Repue, je me laissais aller sur le ventre, essoufflée par tant d'effort physique, la tête venant à me tourner , je venais de te quitter, reprenant possession de mon corps. Quelques spasmes se firent ressentir malgré tout perdant de nouveau cette chaleur que j'éprouvais a être avec toi, tout contre toi. Me tournant sur le dos, sous ta personne, je te regardais intensément repassant mes doigts sur ton visage en dessinant le moindre de tes traits, posant mon index sur la lèvre inférieure avant de venir y déposer un baiser d'une douceur incroyable. Moi qui était si rebelle, si indépendante, au caractère fort, tu venais de me prouver une fois encore que j’étais tienne, ne te refusant rien. C’était frustrant de voir à quel point tu avais de l'emprise sur moi, sur mon être tout entier. Mais je devais également avouer que d'avoir découvert cette nouvelle façon de pratiquer l'acte sexuel était malsain pensais-je mais si bon. Sur ce, tu me retirais cette ceinture de cuir qui entouraient mes mains, pour enfin me libérer. Sur l'instant de nos ébats je n'avais même pas fait attention que cela puisse me gêner en quelques manières excepté celle de ne pas pouvoir te toucher . Désormais me libérant de toi, m'asseyant sur le lit m'enveloppant un temps soit peu de la couverture du lit, je vins à voir ses marques rouges autour de mes poignets. Une légère sensation de brûlure se fit ressentir que j'y passais tour à tour l'une de ms mains, comme pour me soulager de cette « blessure ». Mes yeux étaient virés sur ces marques rougeâtres. si j'avais pensé qu'un jour on arrivera à me faire faire ce genre de choses, jamais je ne l'aurai cru. Mais Ciel que cela était divin ! Un léger soupir avant de me rendre à la salle d'eau pour une douche bien méritée. « Tu m'accompagnes ? » Tout en tournant le regard de trois quart vers lui. Phil. Ce manque me revint peu à peu. Tu étais si spécial, notre « relation » était si malsaine que je ne souhaitais qu'une chose. Te garder près de moi, pour continuer à ressentir cette enivrance, c'était comme un besoin vital. Me montrant mal gré tout « détachée » de toi, je vins à aller sous la douche l’entraînant avec moi, sans un mot. Laissant la couverture rejoindre le sol , je pénétrais dans la douche. L'eau chaude coulait sur mon corps. Certes, ici ce n’était pas le palace de la fois dernière mais c'était relativement propre et accueillant bien que plus petit. Produit à disposition bien que pas de grandes marques, que je me savonnais faisant désormais face à Phil. Pas aussi spacieuse que la précédente, qu'on aurait été vraiment serrée dans cette cabine vitrée, bien que tout fut possible, quand on veut on peut non ? Mes mains passèrent de ma longue chevelure à mon cou, jusqu’à descendre sur ma poitrine , mon ventre. De réelles caresses sensuelles. Non ce n’étaient pas tes mains sur mon être mais les miennes. C'était relaxant, et probablement excitant pour toi, pour cette vue que je 't’offrais... Même mon intimité subi le passage de ma main qui effleura cette partie qui t'avais accueilli en moi. Jamais sans te lâcher du regard, où tu étais à me regarder à l'entrée de cette douche. Une petite scène qui ne dura pas que quelques minutes, mais l'effet escompté était là. Je pouvais lire dans la prunelle de tes yeux...Et rien que cela me satisfaisait surtout après que tu m’aie eu entièrement ou presque. Me rinçant je vins enfin à sortir un sourire en coin, avant de me faufiler dans une serviette de bain, te laissant ainsi la place. « La place est chaude... »Sous-entendu ? A votre avis? Sur ce, je vins à quitter cette pièce pour rejoindre la chambre, qui était séparée d'une simple porte. Me séchant les cheveux je les remontais le long de ma nuque, dégagée désormais avant de ramasser mes sous-vêtements au sol. Mais mes yeux revinrent sur mes poignets...Je m’étais laissée aller à penser a une multitude de choses en rapport avec ce genre de pratique et avec Phil. Être dominant est une chose, mais en jouer pleinement avec des accessoires, était réellement une façon d’être. Je ne le connaissais pas en réalité même s'il me pensait être une bonne personne...car il était n’était pas brutal loin de là. Soupirant et enfilant mon shorty de dentelle blanc, je vins à ramasser ensuite ma robe blanche, qui avait subi quelques préjudices....Mais avec ma veste refermée sur ma poitrine rien n’apparaîtrait aux yeux des autres...perdue dans mes pensées, que je ne t'avais pas entendu revenir...Combien de temps avais-je été à réfléchir ainsi ? Comme inerte, debout face à cette fenêtre qui donnait sur un petit parc boisé à l'arrière du motel ? Je n'en savais strictement rien ...Si ce n'est que mon regard s'attardait sur cette place qu’avait occupée ta ceinture de cuir...

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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyDim 26 Oct - 19:38

Je ne veux pas partir.

"« Aquela vontade de deitar do teu lado e esquecer do mundo lá fora. "

Plus je m'approchais de l'orgasme plus je sentais mon corps partir dans tous les sens, un plaisir si divin pour qui je ne pouvais faire face, bordel.. Tu me rendais fou, je ne savais pas quelle magie tu venais de me faire autant du bien, et surtout par quel miracle tu arrivais à me redonner envie de te voir encore et encore sans relâche, comme si je voulais passer mon regard sur la totalité de ton corps, et ainsi frôler du bout des doigts ta peau blanchâtre, telle qu'une poupée fragile. Tu l'étais, entre mes mains, j'avais l'impression d'avoir une personne si délicate que je n'avais pas envie de la blesser, je n'avais pas envie de te blesser, je ne sais pas pourquoi, je ne sais comment cela vient de m'arriver, et je ne sais pas comment je vais pouvoir y faire face. Lors de mes mouvements en toi, des actes lents et profonds, mes mains venaient à nouveau découvrir le creux de tes hanches où mes doigts pianotaient vaguement dessus, dessinant chaque creux que ton corps avait. Une femme était sans doute mille fois plus belle lors de ce genre de moment, surtout quand je pouvais entendre la douceur de tes gémissements me signalant du plaisir parfait que tu pouvais sentir. Ma verge, entrait et sortait de ton intimité, rythmé par mon rythme cardiaque qui ne cessait de se développer au fur et à mesure des secondes passaient. Je le sentais, je n'allais pas tenir longtemps. Mon corps m'envoyait des brûlures au niveau de mon bas-ventre, ainsi que ma colonne vertébrale qui venait à subir des décharges électriques qui étaient de plus en plus régulières. Que c'était bon, notre bulle était construite, j'avais l'impression que personne ne pouvait l'effondrer, que nous étions maîtres de notre moment, et pourtant, je savais que dès que tout cela serait terminé, la réalité venait à se planter devant notre nez, et je ne voulais pas, je voulais faire durer ce moment le plus longtemps possible. Mais qu'est-qu'il se passait ? Pourquoi pensais-je à cela ? Tu devais être qu'une amante, certes bizarrement régulière, mais tu ne devais être plus, c'était impossible, tu n'étais de loin comme ma mère, tu avais un caractère si fort et le contraire de moi, que je ne comprenais pas comment tu avais pu arriver à ce stade. Le stade ou aucune fille n'avaient réussit à arriver, tu étais déjà au sommet. Mon regard s'abaissait sur ton faciès aux traits défigurés par le plaisir que nous recevions tous les deux. L'une de mes mains remontaient lentement sur ta colonne vertébrale jusqu'à arriver à ta nuque où je déposais quelques fines caresses, comme pour t'avertir de ma venue, que je n'allais plus tenir que c'était impossible de faire plus longtemps. Mes pulsions venaient à s'annoncer, j'allais perdre pied, mais je ne voulais pas te faire du mal, je ne voulais pas te faire fuir ! Alors avec une force inhumaine, je me concentrai à retenir mes pulsions à l'intérieur de moi, d'où mes pressions assez prononcées sur tes hanches, je suppose même que tu irais à avoir des marques de mon passage. Mais soudainement, lors d'un dernier coup de reins, je fermais les yeux en tapant pleinement dus bout de mon gland contre ton point le plus sensible. Je gémis, je lâchais un cri des plus puissant, avant de me lâcher à plusieurs jets en toi, qui me fit aussitôt basculer en avant, pardessus ton être, mais sans t'écraser, bien évidemment. Je profitais de ce contact pour déposer des baisers passionnés sur la largeur de tes épaules. Tu étais collante, tu sentais le sexe. Tu avais mon odeur. Et j'avais le tien. Je me reculais de ton intimité, avant de me redresser quelque peu. Tu avais encore ma ceinture qui entourait tes poignets, et avec rapidité, je vins te retirer cela, je savais que tu allais avoir des marques, mais je supposais que celles-ci iraient vite s'en aller. Tu me posais une question, couverte par les draps du lit, et moi, à tes côtés, dû moins, moi, j'avais ton corps en champ de vision. < Je t'accompagne. > Je me redressais alors, derrière toi, les draps tombant au sol, ton fessier se montrait, ta taille de guêpe où je rêvais de reposer mes phalanges. < Tu es belle. > Dis-je dans un léger murmure, je ne sais même pas si tu venais de comprendre. Je passais l'une de mes mains derrière le crâne, essayant de reprendre mes esprits, bien que cela fût... Inexplicable tant je n'y arrivais pas. Je marchais peu à peu, vers l'intérieur de la douche, où je me collais contre la porte d'entrée. Dès là, j'avais une vue des plus sublimes... Ta main descendante jusqu'à ton intimité, me faisant accrocher un fin sourire sur le coin de mes lippes. Tu me provoquais, et le pire, c'était que tu y arrivais. Avant que tu sortais, je me regardais quelques secondes dans le miroir, j'avais l'air bien, et bizarrement je l'étais... Tes mots, bordel. J'en lâchais un faible rire, double sens ? Oh, je l'ai vite compris. < J'en doute absolument pas, j'aime bien, quand c'est chaud. > Je m'avançais à l'intérieur de la douche, me rinçant assez rapidement, je n'avais pas forcément envie de tarder ici, mais plutôt profiter de ta personne dans le bon sens.


Je sortais quelques minutes après, passant une serviette autour de ma taille en m'avançant vers la chambre où tu m'attendais, dû moins, je l'espérais. Je te voyais, dos à moi, pensant à des choses sans doute. Je m'approchais, enveloppant doucement ta taille de mes bras, mes mains glissantes sur ton ventre plat, que je venais à frôler du bout des doigts. < Mais je préfère ce coin-là, qui est aussi chaud. > Je disais bien évidement en rapport avec ce qu'on a dit avant, et surtout le fait que ton corps était également chaud et que c'était bien plaisant d'y être accolé. Ma bouche visitait la longueur de ta nuque, avant de remonter vers l'intérieur de tes cheveux où ton parfum venait à se faufiler sous mes narines. Tu portais encore mon odeur. Et c'était bien évidemment ce que je désirai. D'un geste, je t'aidais à te retourner et me faire face, yeux dans les yeux. < Je pense que tu n'as pas dû entendre, avant. Alors je te dis maintenant, même si je suppose ne pas être le seul à te l'avoir dit. Tu es belle, et les marques vont disparaître, je te le promets. > Je glissais mes paumes autour de tes poignets où les blessures étaient néanmoins présentes. Je n'ai pas fait cela par plaisir de faire mal, mais par simple plaisir. Je voulais te rassurer, et te faire comprendre que ce genre d'activité pouvaient avoir des plaisirs. Je posais mes lippes tout autour de tes poignets, en y laissant de délicats baisers. Comme si je voulais que tu me pardonnes, et que tu oublies que ma ceinture te maintenait. Bien que j'étais plutôt persuadé que cela ne t'as pas déplu. < Tu devrais mettre de la crème dès que tu arrives chez toi, puis sur tes hanches. > J'abaissais mon regard sur tes hanches marquées. Certes, je n'étais pas franchement brutal avec toi, mais tu ne connaissais pas encore mes pulsions, et j'espérai que jamais tu ne puisses les connaître. Je me laissais tomber à genoux, devant toi. Je respectais les femmes, pour cause de mon passé, mais également qu'aucune femme ne devrait être marquée par un homme. Aucune. Posant mes chaires humides sur quelques marques sur tes hanches, je finissais par me lever, avant de m'avancer vers la chambre et d'enfiler mon boxer, tout en l'ajustant sur mes hanches. < Je te raccompagne. Il est tard, et même si tu m'as prouvé que tu pouvais très bien te débrouiller seule, je ne désire pas te laisser sortir de la sorte. > J'étais sérieux, les sourcils froncés, je t'observais longuement tandis que je venais à me rapprocher à nouveau de ta carrure féminine. J'étais bien plus imposant que toi, j'avais même sans doute une tête en plus, mais pourtant, c'était incroyable comment je pouvais retenir chaque trait de ton faciès, à quel point tu étais belle, élégante. Douce, frêle, fragile. Je vins déposer un baiser sur le sommet de ton front, en accolant mon corps contre le tien. Ne me demande pas pourquoi je fais ça, je ne sais pas pourquoi, et crois-moi que je me reconnaissais pas. Loin de là. < Habille toi. > Te demandais-je avant de faire de même. Je pensais à tout, mais surtout à toi, ton parfum, tes mots, tes gestes. Tout me revenait à toi, je devenais dingue. Complètement timbré, je raclais la gorge avant de te regarder du coin de l'œil, lorsque tu vins à remettre ta robe un peu.. Détruite. J'en relâchais un rire, très fin, avant de m'asseoir sur le lit et de mettre mes baskets. Dès cela fait, je pris ta veste, en la tendant vers toi, pour que tu puisses la mettre. J'avais beau faire le gros dominant, mais je restais un homme qui avait du respect et qui savait traiter les femmes. Pas comme certains. Puis je ne pouvais garder mes mains dans les poches, elles venaient à effleurer les tiennes, dans un léger sourire. C'était dangereux ce genre de relation. Mais je ne préférais pas penser à une relation, mais juste au moment.
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MessageSujet: Re: Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy Mauvais endroit, mauvais moment. - Phil & Emy  - Page 2 EmptyLun 27 Oct - 18:16

Toute bonne chose à une fin? Vraiment...


Je ne sus combien de temps s'était écoulé avant de te revoir auprès de moi, de te sentir de nouveau. Tes mains sur ma peau me firent frissonner mais que c’était agréable.
C'était étrange cette « après coucherie » car à voir cette situation de l'extérieur, on aurait cru d'un couple, s’enlaçant après avoir fait intensément l’amour. Mais je m'en fichais, Je profitais seulement du moment présent. Je ne voulais pas ouvrir les yeux, je te sentais contre moi, que j'en souriais bêtement. La chaleur de ton être me réchauffait le corps et le cœur par la même occasion.
« Pas de question Emy laisse toi porter par l’émotion du moment. Tu as le droit de vivre toi aussi, d'aimer ces petits instants intenses et faire que cela te soit propre. Sois égoïste « me dictait ma conscience et pour une fois je ne cherchais pas à lutter contre elle mais a aller en son sens. Je me laissais à me poser contre toi, une situation érotique que j'aurais pu t'en redemander encore mais tu étais un réel danger pour moi je le sus à cet instant précis dans la rue ou tu m'avais donné la main. Je me faisais docile, te laissant encore me parcourir de tes lèvres, avant de te voir pleinement. Mais soudain mon cœur s'emballait. « ne viens pas à gâcher tout ceci par des mots, qui pourraient changer la donne... S'il te plaît mais je ne pus rien faire à part t'écoute ». les lèvres à demi-ouvertes, je t'écoutais attentivement. J'eus un sourire presque gênée et timide et c’était le cas au final. Comment un compliment de la sorte, pouvait autant m’atteindre ? Je le savais car ils sortaient de ta bouche. Mais mon visage changea du tout au tout , mes prunelles se posant sur mes poignets. J'eus tout de même un sentiment de dégoût? Non de totale perdition. Je n'en revenais toujours pas d’avoir été ainsi, ta soumise...Et pourtant ...cela avait été des plus excitants après avoir surprenant. Et mes hanches ?étonnée je ne m'en étais même pas aperçu. Te voyant te mettre à hauteur de mon bassin pour me panser ses marques rougeâtres avant de revenir à la réalité. Celle ou nous allions devoir nous quitter. Déjà ? J’avais voulu te fuir, jouer l’indifférente mais pourtant je ne souhaitais qu'une seule chose, rester à tes côtés. Mais cela semblait impossible et il ne le fallait pas ; partager un bon moment ne signifierait pas avoir une vraie relation avec quelqu’un si ? Non, plus jamais je ne donnerais mon cœur à un homme. Mon corps, mon âme mais plus jamais cet organe qui avait été brisé et piétiner de la sorte. Soupirant légèrement me passant une main dans les cheveux encore humides, noués en chignon fait à la va vite, Je repris enfin la parole.
« Tu n'es pas mal non plus » avant de lever une fois de plus mas mains sur son visage sur lequel je voyais du bout de doigts., un léger sourire en coin.« Oui je le ferais » dis-je sur un ton de plus mélancoliques ensuite.. Je ne devais pas faire voir ma déception de devoir reprendre chacun un chemin différent. C’était la première fois que je ressentais une telle sensation de ...manque ! Tel un poignard qu'on m’enfonçait doucement en plein corps avant d'en retirer la lame avec toute la lenteur du monde pour avoir cet effet de douleur atroce. Incompréhensible. Puis cette affirmation. Quoi ? Mais pourquoi faire ? Je suis une grande fille et je sais me défendre voyons ! Oui le corsage de ma robe avait subi quelques préjudices mais je pouvais parfaitement rentrer sans qu'il ne m'arrive quoi que ce soit. ? Encore à vouloir s'imposer ?! A quoi bon s’entêter avec lui puisque je n'aurais jamais le dernier mot.
« Comme Monsieur voudra »Ne jouant pas à être sa dominée mais à double sens on pouvait également le comprendre ainsi. Levant les yeux sur ta personnage étant plus grand que moi, je te vis te rapprocher ? Mais tu osas de nouveau ce genre de contact qui n'était pas permis. Tu dois arrêter d’être si tendre. Tu étais à toi tout seul un personnage différent. Si dominateur et directionnel en pleine acte et là si attentionné et si tendre. Non pas que tu m’aie brutalisé mais c'était à s'y perdre ; utilisée comme un objet du plaisir tu savais également prendre soin de moi et cela me frustrait davantage. Ton corps contre le mien, ton torse dénué contre ma poitrine dressée par les frissons de l'ambiance refroidie...Un doux mélange en soit, que je vins à peine à passer mes bras dans ton dos pour une ultime caresse. Puis cette distance se récréant de nouveau. Me vêtissant de nouveau et m’apprêtant afin d'être plus présentable, je pus apercevoir ton regard vif et rapide dans le reflet de la fenêtre.
« Tout ira mieux quand tu seras sortie de cette pièce Emy » me souffla ma conscience. Mais mon cœur se resserra en ma poitrine. Fin prête j'enfilais cette veste que tu me tentais faisant en sorte de ne pas que les manches frottent sur mes poignets. Ressortant de cet endroit, je ne sus pourquoi à mon tour, je vins à entremêler mes longs doigts fins avec les tiens avec un regard silencieux, comme te demandant la permission à ce geste ? Nous primes un taxi, qui celui-ci me déposa à l’entrée de mon quartier. Après tout tu ne savais pas ou je vivais et c'était aussi bien ainsi. Pas un mot durant le trajet, en seul murmure cette musique qui passait dans l'autoradio. Arrivant à destination pour ma part, je te jetais un dernier regard avant de me pencher vers toi, te scrutant un petit moment et osant un dernier contact , celui de mes lèvres sur les tiennes te faisant ainsi comprendre que je n'étais blessée en rien du moins pas physiquement. Car mentalement tu venais de me chambouler plus que la dernière fois une fois avait évolué entre nous...chose donc je ne mettrais pas de nom...De peur que cela ne soit réel ?
« Merci pour tout... »Peut-être...je te vis repartir dans ce taxi, et mi marchant encore à deux ruelles pour enfin rentrer à ma villa , me changer, mettant la crème sur toutes ces marques et rejoignant ce grand lit vide et froid repensant à toute cette soirée, à toi …

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