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Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL]

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MessageSujet: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyLun 27 Oct - 19:33

Ne crois pas toujours ce que tu vois



Cet après-midi j'avais cours comme parfois il m'arrivait en parallèle de tenir ma société donc m’apprêtant à mon allure sans aucune précipitation me voici à fouler les sentiers du Campus. J’étais d'humeur sereine, mon sac en bandoulière sentant l'air frais de cette demi-journée venir se plaquer sur mon visage. J'avais encore une bonne heure avant de venir m'asseoir dans l’amphithéâtre ou je devais me rendre. Je marchais donc seule, avec ma conscience et toutes ses pensées qui me traversèrent l'esprit depuis cette fameuse soirée passée auprès de Phil. Je m’étais pourtant jurée de ne plus y songer mais ce fut plus fort que moi. Inspirant profondément et fronçant les sourcils je vins à me convaincre moi-même que je devais avancer sans me retourner sur le passé et cette soirée au Motel ne devait pas être une exception. Ce fut à ce moment que je fus interpellée par une voix familière à laquelle je n'avais pas prêter attention sur l'instant.« Alors on fait la fière Conway ? »Me stoppant , je tournais le regard vers cette voix et j'aperçus un vieil ami. De suite mon sourire apparut. Je m’avançais vers lui, Travis que je n'avais pas côtoyer depuis un bon moment déjà, adossée à un arbre, assis un livre à la main. Quittant le sentier pour fouler l'herbe encore verte, je vins à sa hauteur.« Qu'est ce que tu fais là ? Je te croyais parti à la découverte du monde ? »Parti en voyage, pour une année ou deux, sabbatique.« Comme tu vois, je suis de retour. Allez viens ici que je voie à quel pont tu es toujours aussi ravissante. »Ne me faisant pas prier je vins m’accoler à lui une fois debout. Travis et moi ? Une vieille amitié basée sur le respect .on s’était connu en France, avant que je vienne sur le territoire américain. Ami de ma partie et à l’époque du lycée savait tout ou presque de moi. Et le revoir me fit un bien fou. Il ne se fit pas prier pour me prendre et me serrer dans ses bras, l'entourant à mon tour aussi fortement. Me déposant un baiser sur la joue il me regarda toujours ce sourire aux lèvres.
« Comment vas -tu après tout ça ? »Tout en soupirant. Je ne pouvais lui mentir il me connaissait et lisait en moi comme dans un livre ouvert. « Tu vois ça va, et puis la vie continue ».M’entraînant à sa place initiale nous primes soin de nous installer confortablement à même le sol. Il m’enlaça de façon qu'on aurait pu croire bien des choses mais il n'en était rien. On se racontait alors nos mois passés loin l'un de l'autre le tout dans une ambiance décontractée et sereine. Tout sourire nous étions heureux de nous retrouver. Qu'il arriva même à me faire oublier Phil le temps d’être en sa compagnie et cela faisait du bine de se replonger dans nos souvenirs d'enfance, à rire d'ailleurs de toutes les bêtises ou des choses invraisemblables que nous avions pu faire. Des défis débiles parfois voire dangereux grâce à l'insouciance que nous avions encore à cet âge ingrat qu’était l'adolescence. Adossée contre son torse, ma tête sur l'une de ses épaules, je devais avouer qu'avoir un ami avec se sentir bien et discuter était une chose précieuse. Partie dans cet élan de souvenirs que j'en perdis toute notion du temps et de tout ce qui pouvait nous entourer...





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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyLun 27 Oct - 20:30

Tu me hante...

"T'as plus besoin d'moi."

Les cours venaient de terminer, et bordel que j'avais déjà hâte de retourner dans ma chambre de glander longuement dedans à rien faire. D'un soupir, je logeais la longueur des couloirs en cherchant du regard un pote qui devait m'attendre dès la sonnerie. Il n'avait pas intérêt à partir, déjà que c'était trop lui demander, et que bon sang, je détestais avoir une compagnie à la fin de l'après-midi. Les mains dans les poches, de mon jean déchiré en avant, ainsi que mon pull bordeaux. Je m'avançais jusqu'aux escaliers où je pouvais voir l'autre débile m'attendre, une clope tendu vers ma personne. Au moins, il sert de temps en temps à quelque chose. Glissant le bâton de nicotine entre mes lippes, je finissais par taper ma paume contre la sienne, un léger sourire encré sur mes lippes. " Ce soir, on va au bar, tu veux venir ? " Je haussais un sourcil avant d'abaisser le regard. J'avais pas envie de sortir, j'étais complètement crevé et mes idées, elles déviaient sans arrêt sur un seul sujet. Toi, tu étais chaque seconde, chaque minute dans ma tête, comme si tu ne voulais pas y ressortir. Et putain que c'était frustrant. Je ne regardais pas ce qu'il m'entourait, avant d'ajouter, fumant ce produit toxique qui me menait de plus en plus vers la fin. < Non, pas ce soir. J'ai pas la motivation. > Il en était surpris, les yeux écarquiller, il vint à même me donner un coup sur l'épaule. Amicalement ? Faut pas s'ouvrir les ails avec moi. Je restais calme, tandis qu'il ne cessait de parler de ces soirées comme si elles étaient les meilleurs. Non, il ne sortait pas avec moi, les seuls instants où j'étais accompagné par mes potes, c'était au début, puis après, c'était clair que je me retrouvais ailleurs. De savoir qu'on puisse parler de moi à l'université, était quelque chose d'impardonnable, et il était hors de question que je trahisse l'étiquette du type normal. La clope au bec, je déviais soudainement sur les alentours, avant de poser mon regard sur ta... Personne ? Accrochée à un type ? Sérieusement ? Je lâchais le bâton de nicotine au sol, alors que j'enfouissais ma paume dans l'intérieur de ma poche. Très bien, je comprends rapidement que toi, tu es vite passée à autre chose. Et je vois surtout que le gars ne ce gênait pas de déposer ces mains, là où j'y avais poser les miennes. Une chaleur envahissait mon être, un dégoût de t'avoir offert sans doute trop vite une certaine importance alors que tu ne méritais sans doute pas, et surtout une certaine tendresse qu'aucune femme n'a jamais eu de ma part. Je pris un souffle, alors que je commençais à devenir nerveux, d'où les dires de mon ami. " Hé mec, ça va ? " Je ne prenais même pas le temps de répondre que mon regard se déviait rapidement de cette scène des plus dégoûtante. Tu veux jouer à ça ? Fuir ? Et te trouver aussitôt un autre mec ? Très bien. < Tu le connais lui ? > La mâchoire serrée, je plissais des yeux. " Ouais, c'est Travis ! Viens, je vais te le présenter. " Débile, si tu penses une seule seconde que je veux faire ami-ami avec. Je m'avançais, de quelques pas, en ta direction, alors que je me postais parfaitement devant toi. Et devant ton imbécile d'ami. " Travis ! Tu dates ! J'te présente Phil. Phil Travis, et... " Je lui coupais la parole. < Je l'a connais déjà. > Un sourire faux s'imposait sur mes lippes, alors que je serrai vaguement la main de Travis. Tout en lui annonçant d'un rire provocateur. < On ne veut pas plus vous déranger. > Je lâchais la main, alors que mon regard se reposait sur tes fins traits. Tu venais de t'éloigner, automatiquement de ma personne, ne pense pas que je vienne te chercher. Pas après ce que je viens de voir. < On vous laisse, amusez-vous bien. > J'avais la rage, mais faire du bordel devant l'université ? Non, c'était pas mon genre. Je me reculais de quelques pas, alors que je passais une main sur l'arrière de ma nuque tout en cherchant de l'autre un bâton de nicotine, putain. Je devais fumer, t'étais là, devant moi. Accrochée à un type. Je te regardais, silencieusement, tandis que les deux débiles se tapaient la discute.

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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyMer 29 Oct - 17:18

Je te fuis pour t'inciter à me suivre



Riant de choses et d'autres, plongés dans nos souvenirs de Lycéens ou tout semblait nous être permis, voilà qu'on fut dérangé par un jeune étudiant qui interpella Travis, ce fut à cet instant même que je perdis mon sourire. Un quart de seconde avait fallu à me refroidir et à me sentir ...gênée ? C’était une drôle de sensation. Mais je devais me ressaisir et je cachais les apparences, tout en saluant l'ami de mon ami ? Et comment si on se connaissait ?! Merde ! Je ne savais pas qu'il était à Berkeley.je le jaugeait et vit cet air différent dans son comportement. Je savais reconnaître quand il était crispé, comme ce fameux soir au bar avant que je ne quitte l'endroit . Fumer était une sorte d'anti-dépresseur ? Probablement ! Cela me fit sourire d’ailleurs. Je fus des plus cordiale et joviale envers celui qui venait de faire les présentations, Davy.
« Salut Dav ' » On se connaissait d’ici et là sans toutefois être proche. Alors tu voulais jouer à me provoquer?Nous n’étions pas dans un cercle fermé ou tu pouvais avoir le dessus sur ma personne et j'allais en profiter grandement, tout en te cherchant , en jouant la carte de indifférence, de l'oubli ? Comment pouvais-je l’oublier alors qu'il m'obsédait ?! Bien que j’arrivais encore à me contrôler quand il y avait une certaine distance entre nous comme maintenant et que nous n'étions pas seuls ...que risquais-je dans le parc du campus ? Rien, absolument rien?je ne répondis pas de suite aux provocations de Phil. Regardant brièvement l'heure sur mon portable je m’aperçus que si je ne bougeais pas fesse de là, d'entre les bras de Travis, que j'allais être en retard en cours. Prenant mon sac je tournais mon visage de moitié vers mon ami.
« Désolée mais je dois filer sinon je vais faire rappeler à l'ordre. »
Me levant d'un bond, Travis en fit tout autant et me rattrapa par la main afin de m'attirer jusqu'à lui, face à lui. Il me murmura deux trois petites choses avant de de me laisser partir. J'en riais doucement...
« Et n'oublie pas ma Mymy, je te veux demain soir sans faute sans quoi je viendrais personnellement  te botter les fesses! »
Je soupirais ne pouvant qu'accepter son invitation. Une soirée organisée chez lui avec tous ses amis. ceux de France seront même là et ceux qu'il s’était fait ici en Amérique. Également. Son père faisait parti de ces gens réputés et riches ayant plusieurs personnes à leur service, vivant dans une somptueuse demeure Mais au final c'étaient des gens très simples. Puis je me dirigeais dans la direction de Phil. Passant à ses côtés, je me stoppais tout en rangeant mon portable dans mon sac, tandis que Davy et Travis discutaient, riaient entre eux.
« Vous ne nous dérangiez pas, on avait fini notre petite discussion d'ailleurs et pour l'amusement ... »
tout en regardant mon ami et posant les yeux sur sa personne. 
«A demain soir Travis ...»
Voila comment me venger même si cela ne me plaisait guère. Mais j'étais tellement décontenancée par sa présence quand nous étions tous les deux que je pouvais aller à le provoquer un petit peu non ?arquant un sourcil, je fis un léger coup de coude à Phil, discret afin de ne pas se faire remarquer. C’était entre lui et moi...
j'avançais normalement vers le bâtiment ou mon cours aurait lieu dans une petite trentaine de minutes...Mains dans les poches de mon pantalon droit, noir, j'eus un sourire qui se dessina sur mon visage. Moi aussi je pouvais être provocatrice et ce dans tous les sens.D'une démarche souple, légère et féline je savais qu'il ne pourrait se contenir de me regarder partir. Ce qui me fit accélérer mon rythme cardiaque. Merde ! A le savoir, les yeux posés sur ma personne qui se déhanchait me fit me sentir désirable. Détestable également ! Un doux et fin mélange d'extase ; J'avançais jusqu'à bientôt pénétrer dans le bâtiment. Il n'y avait pas grand monde, le soleil était encore présent à cette période d’automne que les étudiants que nous étions profitaient encore de ces belles journées. Laissant une amie au passage sortir en lui maintenant la porte, nous parlions un instant avant de se quitter. Je vins enfin à me retrouver à l'intérieur. Ce qui me permettrait de réviser quelques peu mon dernier cours Si toutefois j'arrivais à me retirer de l'esprit ma rencontre avec Phil, ces souvenirs...et puis ces marques qui étaient encore présentes sur mon corps...une once d'érotisme m'envahissait. Ce n’est pas permis de subir un tel manque, même si je n’étais ainsi à me laisser dominée mais cela faisais de moi une toute autre personne... Non pas que j’étais une bougre d'élève au contraire mais j’avais un temps soit peu décroché depuis la création de ma société . Mes escarpins claquaient sur le sol, annonçant ma présence quand soudain mon téléphone vibra. Me stoppant, je lus mon message. Tiens mon père...il y avait longtemps..Je fronçais quelques peu de sourcils avant d’hésiter à répondre.Je le rappellerais ce soir...au calme...Mais je décidais tout de même de lui conforter afin qu'il ne se sente pas exclu de ma vie. Quelques mots simple, afin de lui dire que tout allait bien mais que je devais quitter, devant aller en cours. Le tout terminant pas un smiley, un simple cœur... j'allais enfin pouvoir reprendre le chemin de l'amphithéâtre...




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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyVen 31 Oct - 23:30

Tu me hante...

"T'as plus besoin d'moi."

À quoi tu joues ? Bordel que je détestais les femmes de ce genre, je te fixais longuement alors que ma clope tirait à sa fin, tout comme cette conversation qui était loin d'être intéressante, putain, si j'avais su que tu aurais réagi de la sorte, j'aurai sorti que tu étais qu'un inconnue, alors que là, tu venais à me foutre du sable dans les yeux. Je pris une certaine bouffée d'air, alors que rapidement les scènes défilaient, tu te levais, je ne voulais même pas entendre ce que tu disais puisque tes mots me traversaient rapidement le crâne. À croire que tu aimes bien fuir, mais il faudrait déjà que je te suive. Tu te déplaçais jusqu'à moi, non pas pour parler. Cela serait bien trop simple, mais pour me foutre un coup de coude ?! J'hallucine, les traits tirés, la mâchoire serrée, je te fixais longuement disparaître dans mon champ de vision. Tu voulais jouer ? Très bien, mais on va rapidement changer les règles. Je jetais la clope au sol, alors que je ne saluais même pas les deux mongoles. Tout en te suivant te de près, alors que tu étais arrêtée, devant moi, à quelques pas. Je venais m'approcher, les mains dans les poches. Tu vas avoir une secouer de dingue, tu as fui deux fois, et il n'y aura pas de troisièmes fois. Je me postais devant toi, mes yeux ne clignaient pas, aucun sourire, aucune joie se lissait sous mes traits, juste de l'énervement. < Tu sauras une chose, c'est la dernière fois que je te suis de la sorte, je suis pas ton chien, et je le saurais jamais, des nanas comme toi, y en n'a pleins. Tu m'as fuis la première fois au bar, et là tu me fuis en faisant la belle ? Compte plus sur moi pour assouvir tes désirs princesse, cherche en un autre. > Un fin rictus venait s'éclisper aussi rapidement qu'il était venu. Mon corps se reculait peu à peu, toujours en prenant soin de maintenir le contact de nos regards. < Tu as débutée le jeu, toute seule, comme une grande fille que tu es. Mais je pense que tu seras heureuse d'apprendre, qu'à partir de maintenant, le jeu, se fera sous mes règles. Et oublie de fuir comme tu l'as fais, et surtout évite les coups de coudes qui ne sont guères discrets. > Je te jettais un dernier coup d'oeil. C'était la dernière fois que je te suivais de la sorte, jamais aucune femme n'avait été suivit de la sorte par ma personne, et c'était pas aujourd'hui que cela irait à commencer. Dès que j'allais te tourner le dos, je voyais Travis rabouler, et aussitôt lever la main en ma direction. " Phil ! Tu fou quoi ?! "Je laissais un sourire vague apparaitre sur mes lippes, alors que je me tournais vers toi, les mains dans les poches. < Je venais dire au revoir à Ema ? Enfin Emy ? Tu me connais Travis, je ne manque jamais de respect envers les femmes, même si elles, n'ont pas vraiment en retour. > Il en riait, alors qu'il te regardait une dernière fois. " on y va ? J'ai dû monde à te présenter ! " J'avais juste envie de rentrer chez moi et dormir. M'enfin, le débile veut que je bouge alors que j'avais dis que j'allais rentrer. Je pris une dernière respiration, avant de me résoudre une nouvelle fois à déposer mon regard sur ta personne. < Au revoir Mme Emy. > J'hochais la tête, comme pour appuyer sur mes mots. Crois pas que tu me verras encore une fois, surtout si tu continuais ton jeu à me fuire. Mon regard dévalait la longueur de ton corps, ce corps qui avait été mien durant deux soirs, et pour qui j'en avait infligé du plaisir. Même si je me doutais que la marque de tes poignets seraient encore visible, je me doute que tu ailles des douleurs. Je me retournais rapidement, accompagné par mon pote qui lui me racontais des blagues, pas vraiment drôles. Mais pour qui je faisais un effort de dingue de rire pour lui faire plaisir. Je jettais une nouvelle fois un coup d'œil derrière, afin de me persuader que tu étais déjà loin. J'étais pas le type de tes rêves qui te suivait comme un chien, j'étais tout le contraire. T'avais un caractère explosant, mais de là à me fuir, c'était pas un caractère, c'était une faiblesse. Une faiblesse que tu cachais, mais qui finirait par me faire dégager aussi vite que je sois arrivé.

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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyMer 5 Nov - 18:26

 Tu me sens? Je suis si près de toi....



Le regard sur mon GSM pensant à mon père avec qui je devrais renouer que j'entendis la sonnerie retentir afin de rejoindre amphithéâtre pour mon cours d'histoire. Laissant glisser mon portable dans la poche de ma veste je vins à suivre mon cours auquel je ne prêtais aucune attention mes pensées étaient dirigées vers une seule et unique personne. Phil. Quelle idiote avais-je été ? Je me sentais bien sotte et un tantinet triste qu'il m'ait parlé de la sorte mais pourtant , une chose était sure, je ne voulais pas qu'il me laisse. Il était comme une drogue , accro et ne pouvant m'en passer désormais. Je voulais qu'il m'en donne encore. Du plaisir, de la jouissance, de la domination au point de ne plus pouvoir réfléchir. Me faire décoller de terre, de m’emmener ailleurs et seul lui en était capable. Griffonnant sur la feuille vierge soudain une voix m’extirper de mes rêveries. « A ce que je vois Mademoiselle Conway vous faites dans l'Art ? Ma  matière n'est pas  si éloignée que cela ...L'histoire a lui tout seul est un Art. »Ah ce cher professeur Arthur, ; Un peu austère mais sympathique au final. Que la sonnerie retentit.« Pour la prochaine fois, étudiez l'Art de la Renaissance sous tous les angles. Architecture, Tableaux, et Mademoiselle Conway se fera un plaisir de nous commenter tout ceci dans un résumé. »Sur ce, je me levais et quittais la pièce, amusée et sachant que je n'aurais aucun mal à constituer ce fameux dossier. Mais si j’avais été plus concentrée , j’aurais pris des notes sur le cours et non à faire une brève esquisse du faciès de Phil. Il me hantait tellement que je pus sans mal reconstituer son visage au crayon noir ...Marchant dans les couloirs je vins à recroiser ton chemin à la machine à café. Mon cœur prit une toute autre allure, battant à tout rompre. Je restais pourtant sereine allant même à baisser les armes. J’étais là derrière toi , sans un mot je t'observais, un léger sourire se dessina sur mes fines lèvres. Cette proximité si grande et si intense à la fois. Ton parfum que je pouvais respirer , tant de souvenirs , d'images qui me revinrent en mémoire. Merde ! Tu m'obsédait au point que j’étais en manque. Oui en manque de toi , de ton corps, de ta présence, de ton être tout entier que je donnerais n'importe quoi pour pouvoir à nouveau sentir tes mais sur mon corps. Je me penchais vers lui de façon qu'il n'ait que lui qui puisse m’entendre tandis que nous faisions la queue. « Je ne veux pas ne chercher un autre. Je ne veux que toi... Phil »J’étais franche et directe, avoir maintenant comment il prendrai la chose mais au moins j'aurais tenté de rattraper le coup et je ferais tout pour me faire pardonner de la manière qu'il jugera nécessaire d’être. J'avais fait exprès de l'effleurer sans le toucher. Me repositionnant de manière à recréer cette distance entre nous, nous avancions peu à peu la file se faisant moindre. Mais je n'en avais nullement fini avec lui que je poursuivis sur mes mots. Il savait désormais que j’étais là, tout près de lui. Ainsi donc je pouvais me livrer en parole à son encontre. « Quelles sont tes règles, je serais curieuse de les connaître ? »Bien que j'aurais pu ajouter « de les subir » Mais nous n'étions pas seuls, nous n'étions pas isolés, trop à la vue de tous même si parfois des endroits insolites peuvent être excitants. Comme dans cette rue, le soir dernier ...sachant que l'on pouvait être vu, surpris, doublant la dose d'adrénaline et d'excitation. Je m'amusais de lui, au contraire de le fuir j’étais prête à l'affronter. Se confronter tous les deux. J'aimais ce jeu, j'en avais besoin et peu importe ce qu'il voulait de moi, tant que moi je le voulais lui. Ce n’était pas que ce penchant sexuel qui m'attirait chez lui c’était autre chose...Cette part de mystère, qui faisait qu'on veuille le connaître davantage, comme jouer avec le feu comme j'avais voulu le faire, en osant le contact sur son torse....Ce qui m'avait valu d’ailleurs ces marques rougeâtres autour des poignets. Elles étaient encore légèrement présentes que je devais encore les cacher , C'était l’histoire de deux trois jours... Venant notre tour de nous servir, toujours derrière ta personne, je m'écartais un peu avant de te suivre des yeux jusqu’à oser m’approcher de ta personne pour te faire pivoter dans cette pièce, une classe de cours où la porte était ouverte, pour te plaquer gentiment dos au mur. J’étais sure de moi, osant te confronter. Que je vins doucement appuyer mon corps contre le tien ; le tout avec une profonde délicatesse et douceur.
Je le regardais, frôlais ses lèvres, tandis que ma main de libre, vint à remonter de son flanc jusqu’à l'une de ses épaules pour arriver sur ses lèvres que je caressas avec lenteur du bout des doigts. Les lèvres s’approchèrent des tiennes avant même que tu n’aie eu de réflexe. J'avais anticipé le moindre de tes mouvements avant de te souffler quelques mots que mon tu pouvais sentir cette chaleur qui émanait d'entre mes lèvres  sur ton visage. « Entre nous je ne pense pas qu'une autre soit ...comme moi... Mais c'est toi qui décide non ? »Mon corps vint se frotter contre le sien, ma poitrine contre ton torse, mon bassin tout contre le tien, te réclamant sans cesse tandis qu'à travers la porte on pouvait entendre derrière cette porte vitrée et floutée les voix mêlées des étudiants. Si l'on venait à nous surprendre collés ainsi, les rumeurs iraient bon train  mais tout ceci rendait la chose bien plus excitante. Et je n'étais pas comme toutes celles que tu pouvais  t'envoyer, je t’obsédais j'en avais la conviction même si jamais tu n'oseras l'avouer à haute voix, et il en était de même pour moi ? Un sourire s'étira davantage sur mes lèvres avant que celles ci s'entre mordent entre elles. Un doux et fin baiser sur cette bouche qui m’avait tant fait chavirer que je vins même à la prendre prisonnière d’entre mes dents, tirant dessus comme pour te montrer que j’étais encore sous ton emprise. Je savais comment tu procédais au lit avec une femme et j’étais tienne si toutefois tu le désirais. J’aime le jeu, j'aime le sexe, j’aimais être ta prisonnière, je t’aimais toi...dans ta façon d’être.
Je sentais les papillons venir me chatouiller le ventre. Merde comment était ce possible d’avoir tant envie d'une personne ?! C'était incompréhensible et pourtant...j’aurais donné n’importe quoi pour t'appartenir encore et encore... Sentant peut-être ton ardeur égalent, je me défie de toi lenteur et sans jamais quitter ton regard, un pas en arrière...Étais-tu prêt à me redonner une chance ?  A être ta partenaire de ces nuits endiablées ?? Voici le tournant décisif de ce que serait notre relation... « Et dernière petite chose, tu n'es pas mon chien mais tu n'es pas mon maître non plus...Même si je dois avouer avoir été agréablement surprise d’être ta prisonnière... »Ce fut comme une invitation à poursuivre. J’avais aimé contre toute attente être dominée et j’étais curieuse d'en voire plus en tout sens ."Mais si tu veux aller voir ailleurs, je t'en pris vas-y. Tu es libre et je le suis tout autant..."Je n'étais pas du genre à me rabaisser de la sorte face à un homme. il était l'exception et avait e choix de poursuivre ou non notre relation quelque qu'elle soit....




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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyVen 7 Nov - 14:37

Tu me hante...

"T'as plus besoin d'moi."

Tourner autour du pot, j'avais l'impression de ne faire que cela quand j'étais près de toi, de ne pas savoir où me diriger, ni comment atteindre mon but, tu hantais mes pensées, et tu essayais de me coller à la peau, et je pense que tu avais réussi. Je ne pouvais m'empêcher de revoir ton faciès, ton image suspendue à mes lèvres, et surtout la beauté de ta personne. Mes mots avaient été durs, certes, j'en prenais conscience, mais je voulais surtout te faire comprendre que non, je n'étais pas un chien, et surtout que la manière de fuir était pour moi une raison de partir aussi vite que possible. J'en soupirai, les phalanges pénétrant à l'intérieur des poches avant de mon jean, tendu que mon pote venait à se fondre la gueule par des conneries qui étaient à son goût. Je ne voulais guère écouter ces blabla qui défilaient dans mes oreilles et qui sortaient à une vitesse de dingue. Non, j'avais juste envie de me retourner vers ta personne et te mettre face à moi, pour prolonger l'excitation que dégageaient nos regards. Mais j'étais bien trop... Têtu ? Es-ce le mot adéquat ? Pas vraiment, je pense que c'était même le stric minimum. En vain, je relevais la tête alors, mes pupilles bleutés se dirigeant vers la machine à café, il y avait toujours une sacrée queue derrière ce truc, surtout qu'à la base c'était même pas pour moi, mais pour l'imbécile qui se trouvait à mes côtés. < Franchement, t'aurai pu te prendre un café ailleurs. On va devoir attendre 10h00 pour ton café. > Levant les yeux au ciel, je vins à expirer longuement en jugeant rapidement les personnes qui nous entouraient. Je connaissais pratiquement toutes les femmes, sans me vanter, elles avaient quasiment toutes passées sour mes mains, et il faut dire que celles qui n'étaient pas -encore- passée sous mes doigts, ne pouvaient qu'espéré cela. Comment elles faisaient pour ne pas venir me contacter ? Les règles, mes règles même. On ne joue pas avec le feu, surtout que je risque de me venger au plus haut point, sans jamais regretter mes actes ni mes paroles. Alors elles devaient se taires, ausssi simple que cela non ? Un plaisir pour un silence. Je secouais la tête de gauche à droite en revenant à cette triste réalité, tout en hochant la tête à mon pote pour qu'il avance et qu'il prenne son fichu café pour qu'on se barre d'ici. Mais cela ne fut guère le cas, je sentis une légère bise me caresser le bas de ma mâchoire, et aussitôt tes dires qui enivraient mes sens. Tu me voulais moi, personne d'autre. Bordel, Tu n'avais été la première à m'annoncer cela, mais tu étais la première à me faire un effet de dingue. Je serrai le tissu de mes poches entre mes doigts, tandis que j'abaissais rapidement mon regard sur le bout de mes chaussures en réfléchissant à mes mots. Pour ne pas te faire fuir, et surtout te faire comprendre certaines choses. < Tu aurais pu m'avoir, si tu n'avais pas fuis. > En détournant mon regard sur la machine, je pense que je vais en prendre un, de café. Je m'avançais vers ce dernier, avant d'entendre à nouveau a voix excitante. < Mes règles sont simples. Ne pas fuir. > Un sourire malin venait à se pendre sur le recoin de mes lippes. Quoi ? Je parle toujours de fuir ? Non sans blague ? Tu croyais réellement que j'allais me retourner et t'offrir des roses ? Lorsqu'au moment où j'allais insérer la pièce, je te sentis me pousser vers l'intérieur d'une classe. Bordel, à quoi tu joues ?! Surtout avec les gens qui étaient présents ? Je fronçais les sourcils en te voyant renfermer cette dernière, et dès lors, un fin soupir de soulagement venait à s'eclisper de mes lippes. Tu savais t'y prendre, tu savais comment être avec moi, même si tu ne connaissais rien de moi. J'allais ajouter quelque chose, avant de sentir le mur rencontrer ma silouhette, m'arrachant une plainte, heureusement que tu avais été doucement, parce que je pense très clairement que les choses ne se serait pas dérouler de la sorte. Tes lippes frêles et douces, venaient rencontrer les miennes par un plaisir divin, me laissant aller afin de te faire partager ce plaisir. Respirant ton parfum qui chatouillait mes narines et qui m'envoyait loin de cette réalité. Il en faut bien plus pour m'avoir. < Pourquoi devrais-je te complimenter ? > Te demandais-je en rapport avec le fait que tu sois " unique " Je souris, un sourire qui en voulait dire long sur la situation, ton bassin ondulant contre le mien, et ta poitrine généreuse caressant longuement mon torse, tant que cela ne soit pas tes mains. Je te regardais longuement faire, jusqu'à entendre tes dernières paroles. Respirant ton parfum qui chatouillait mes narines et qui m'envoyait loin de cette réalité. < Tu n'es pas la seule à être prisonnière, je le suis tout autant que toi. > Je me dégageais rapidement du mur, quand je te voyais peu à peu partir, même de quelques pas, je ne voulais pas. < Ne pars pas. > J'avais le souffle coupé, je m'en foutais que les gens puissent nous entendre, je voulais que toi, et uniquement toi, puisse réaliser que j'étais différent lorsque tu te trouvais à mes côtés. < Tu n'es pas libre. >

alors tes poignets, malgré la blessure de ceux-là, je t'attirais contre moi, plaquant une nouvelle fois ta bouche contre la mienne en n'hésitant guère à mouver celles-ci afin de prolonger intensément notre baiser, avant de reculer, mes pupilles gober par le désir, t'observant. Mes phalanges descendaient au niveau de ton fessier, afin de te soulever et de t'installer sur la table la plus proche. Nous mettant clairement en danger, surtout si un des élèves décidaient à pénétrer dans la classe. < Sois mienne. Uniquement mienne. > Ma bouche parcourait ta joue, ta mâchoire, descendant vaguement en direction de l'intérieur de ta nuque où je me perdais littéralement. La beauté que tu envoyais était à couper le souffle, et surtout lorsque je prenais en compte que je te tenais entre mes mains. J'entendis des voix s'approcher de l'intérieur de la classe, et aussitôt, je quittais l'espace de ton corps en happant ton poignet afin de te faire descendre de cette table. Je m'en fichais des gens, je voulais juste que tu réalises à quel point je te désirai. Je t'obligeais à te retourner, mes mains s'imposant sur tes hanches, afin d'accoler mon bassin contre ton fessier, t'incitant à onduler, en te faisant sentir l'envie à travers mes actes. < Je te veux, ici. > Dangereux ? Peut-être, mais il fallait juste fermer la porte à clef, et c'était jouer, mais de savoir que se tenait les gens derrière, était bien plus excitant qu'autre chose.

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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyVen 7 Nov - 17:27

 Regarde-moi, touche-moi...



J'avais été directe et sans aucune retenue à ton égard. Je te désirais, tu m’envoûtais, tu me rendais dingue au point que tu était devenue une réelle obsession. Je suffoquais à te sentir si près de moi sans avoir le moindre contact, c'était une désagréable sensation qui me serrait le cœur et pourtant. Maintenant tu étais là face à moi, tu es le seul maître du jeu désormais. Soit tu prenais la bonne décision soit la mauvaise. Je ne savais quoi faire ou quoi penser à l'entente de tes mots. Quelle révélation ! Je fis celle qui fut surprise et certes je l’étais mais une autre chose était que cela me fis me sentir mieux ; J'étais plus légère, plus rassurante et beaucoup plus envieuse. Mon appétit sexuel grandissait à l'intérieur de mon ventre qui papillonnait davantage. Gardant un air des plus réservé afin de ne pas lui donner toute la satisfaction espérée, j’esquissais un léger sourire en coin, jouant à l'ignorante même si je savais que toi et moi ...c’était différent...il y avait quelque chose d'inexplicable mais de si intense que je ne voulais pas que cela s'arrête car j'en voulais toujours plus. Tu m'attirais, tu me faisais de moi une autre personne...Et c'était excitant, je me sentais revivre, je t’avais dans la peau un peu plus chaque fois que je t'approchais. On aurait pu me dire que tu m’étais dangereux, que je m'en ficherais pas mal. M’éloigner de toi aurait été un supplice amer. Tu es ma dose d’héroïne, c'est comme ça je n'y peux rien, absolument rien  qu'il me faudrait une cure pour ne plus penser à toi, pour ne plus rêvasser à nous, pour ne plus te voir, ni même te sentir...non je luttais contre cette idée maussade car tu étais là, tout contre moi, à m'embrasser encore plus fortement. Je fondais littéralement. Merde qu'est ce que tu pouvais me rendre fébrile et si forte à la fois.. Serres moi encore plus fort, montre moi à quel point tu me désires...possède moi, montre moi que je suis tienne dans ce cas comme tu viens de le dire...une lueur brillante s'accrut dans mon regard. Si tu ne m'avais pas tenu ainsi les poignées, toujours marqués par notre dernier ébat, faisant au passage tomber mon gobelet de café que je t'aurais fortement agrippée de façon à te sentir plus proche de moi, que le plus infime espace n'aurait pu laissé passer le moindre filet d'air tant j'aurais été collé à ton corps. Ma poitrine se soulevait sous l’effet que tu me faisais ressentir...je fermais un temps soit peu les yeux...C’était si bon si libérateur. Tes mains posées sur moi pour une meilleure position ? Tu n'oserais pas si ? De me vouloir tout à toi dans cette classe ou quiconque pourrait entrer ? Que certains des élèves près de cette machine à café devaient deviner ou s’interroger de ce que nous faisions la dedans ? C’était à la fois flippant et excitant que la chaleur de mon corps grimpa en un temps record le tout mélangé à des frisons intenses. Ta demande formulée de façon indirecte ne put me faire retenir un léger rire allant même jusqu'à baisser le regard un court instant avant de remonter les yeux sur ta personne lentement. Scrutant ce corps, et cette partie interdite qu’était ton torse que je lorgnais avant de te faire face , mes prunelles dans les tiennes ; Non je ne fuirais pas, non je ne me démonterais pas au contraire, j’allais te bousculer, te persécuter jusqu'à ce que tu ne puisses absolument plus te passer de moi ! Mon corps ne cesse de te réclamer, mon âme est damnée par ta faute et j'aime ça je dois bien l'avouer. Cette douceur à contrario de tes paroles si dires de l'heure passée, fut un véritable revirement qui ne fit qu'augmenter mon envie pour toi. Je me délectais de ton touché sur mon visage, de par tes lèvres...Je me prêtais à te rendre le chemin de mon corps plus accessible, relevant la tête....ton souffle contre ma peau que je m'en mordillais la lèvre inférieure, avec un léger soupir. Que c'était...Frustrant ! Oui ces potentiels étudiants prêts à pénétrer dans cette pièce qui commençait à se réchauffer ! Je fronçais d’ailleurs les sourcils, prise de mécontentement , avec une once d’excitation revenu lorsque tu avouais vouloir m'appartenir dans ce lieu. Merde Phil qu'est ce que tu fais, Tu veux vraiment qu'on se fasse prendre...Mais oui...c'était une autre facette de tes petits jeux pervers mais s attrayants ? Tu avais le don pour me rendre parfaitement folle qu’une enivrance vint prendre possession de tout mon être, tel un tourbillon , prête à tomber en syncope par une sensation étouffante...oui j'étouffais de ne pas pouvoir exploser de plaisir, là, maintenant...Je te sentais, tu me provoquais mais je n’allais pas me défiler crois-moi. Ondulant de façon plus prononcée  cette fois-ci je me décollais de toi, te jetant un regard. Toujours sans un mot, allant vers cette porte. Que crois tu je vais faire ? Partir ? Rester ? Je savais ou se trouver la clef des salles de cours, planquée sur cette armoire servant de range-tout près de la porte. Je la pris, l'introduisis dans le trou de la serrure avec délicatesse et vint à la faire tourner lentement jusqu'à entendre le petit loquer de fermeture. Je me tournais vers toi, ma veste de toile que j’ôtais toujours avec une certain élégance, rejoignis bientôt le sol, puis d'un pas chasseresse, je fis un second pas, sans jamais te lâcher du regard, t'obligeant même à me regarder dans les yeux et non à me reluquer...du mois pas tout de suite. Mes mains vinrent sur mes hanches du bout des doigt avant de remonter jusqu’à ma poitrine...Avoue que ce côté à me dévoiler avec sensualité ne te déplaisait pas ? Mais tu venais d'ouvrir mon appétit. Je débordais d'impatiente à partager un autre moment avec toi, aussi ...inattendue que la fois précédente. Mais j’étais là à quelques pas de ta personne, un regard taquin quand d’un geste vif et précis, j'ouvris mon chemisier blanc, laissant voir une parte de ma peau dénudée et un sous-vêtement de fine dentelle. Approchant toujours de toi, sans faillir, à te provoquer.« Le spectacle te plaît j'espère ? »D'une voix sure et joueuse. Arquant un sourcil venant à retirer un à un mes escarpins noir verni, n’ayant pas eu le temps de changer de tenu à peine sortie de mon bureau d'affaire. Je vins tournoyant ensuite autour de toi, mon index faisant le tour de tes hanches au passage jusqu'à venir me stopper derrière ta personne pour un doux murmure. « N'es tu pas mon prisonnier également ? Heum j'aime beaucoup cette sonorité même si... »Je me remis face à lui, le scrutant. « Je préfère être ta source de fantasme assouvit »Et commet ! J’étais prête à en connaître davantage, à vivre de nouvelles expériences en sa compagnie. Je ne le connaissais pas plus que cela, mais j’avais une entière confiance en lui. Peu importe les artifices qu'ils y avaient lors de nos ébats, je savais que ce n'était nullement pour me faire du mal, au contraire ! Pour décupler certaines sensations que la plupart refoulerait peut-être à tout jamais...Mais mon esprit s'élargissait avec lui, avec toi Phil...« Tu me veux, ici ? Même si on devait se faire pincer ? Tu oserais prendre ce risque ? C'est très...courageux de ta part... »Oui enfin en même temps je pense que nous n'étions pas les seuls à avoir franchi les règles de biens d'autrui. ;Mais je m'en fichais pas mal quand j’étais avec toi plus rien ne comptait. Mon index se dressa contre ta personne sur ton torse sans réellement le toucher, juste pour t’inciter à reculer afin de poser tes fesses sur cette chaise, là, derrière toi . Une fois fait sans vraiment te demander la permission, je vins m'asseoir face à toi, chemise ouverte, t'offrant une vue sur les rondeurs de ma poitrine.  Mon index descendit pue à pue jusqu'à venir extirper le bas de ta chemise coincé entre tes hanches et ton jean. Je défie les boutons de ta chemise avec lenteur, un à un , sans te regarder cette fois ci. Un sourire rempli d'érotisme laissant paraître ton poitrail. Je n'allais pas y toucher rassure toi je ne souhaitais pas te mettre en colère mais m'associer à toi, à tes envies, tes désirs, tes pulsions. Je relevais mon menton du bout de mon doigt, l'obligeant à me regarder, un fin sourire se dessina sur mes fines lèvres, venant plaquer mon souffle contre le tien. Pour ensuite goûter tes lèvres, faisant en sorte de me faufiler en elle dans une danse suave et des plus sensuelles, rendant cela encore plus excitant...Se retenir pour mieux faire grimper la chaleur de nos deux corps...chacune de mes mains entourant ton visage que je caressais de mes pouces avec une effroyable douceur...Avant de me détacher de lui, à savoir s'il supporterait que je m'éloigne un peu de lui, même si ce n'était que de quelques centimètres de sa personne...Etait-il aussi accro que je l'étais de sa personne ? J'allais bientôt en connaître la réponse...


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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyVen 7 Nov - 21:23

Se fosse fácil, não seria nós.

"Se fosse fácil, não seria nós."

Tout ce que nous faisions étaient dangereux, chaque instant que nous passions dans l'intérieur de cette classe irait à attirer plusieurs regards, et nous savions parfaitement les deux que les rumeurs ici, passaient rapidement de bouche à oreille, et nous étions dès lors plus libres de faire mine qu'il ne se passait plus rien. J'étais un homme discret, je n'aimais en rien que les gens puissent discuter de ma personne pendant mon absence, alors que là, j'allais être obligé de redresser le visage et d'affronter les personnes qui iraient à me regard de travers lors de mon passage dans les couloirs. Qu'importe n'est-ce pas ? Dû moins, ce sont les mots que je me répétais sans cesse, et qui pénétraient mon esprit un peu plus à chaque seconde, comme si finalement, j'étais fier que les gens puissent avoir mon prénom glisser d'entre leurs lèvres, surtout en sachant que je ne serais le seul, tu serais avec moi, et Dieu sait à quel point cela serait bon. Une femme comme toi, aux bras d'un homme qui en dehors de ces règles était un homme totalement différent des autres, et qui agissais autrement ? Tout cela n'avait rien à voir, tu étais hautement placée, alors que je n'avais quasiment aucun moyen pour vivre, et pourtant, je réussissais ma vie, dans n'importe quel moyen, tu pourrais me retrouver vêtu d'une grande classe. Les conquêtes, dirons-nous, elles savaient être généreuses. Non, on ne me paye pas pour coucher, ne poussons pas le bouchon aussi loin. Mais seulement lorsque nous sortions avant, et que bizarrement cela ne leur gêne pas plus que ça, de m'offrir un petit truc pour me remercier de leur plaisir, bien qu'elles savaient qu'aussitôt un pas en dehors de la chambre d'hôtel, elles n'auraient plus de nouvelles de moi, encore moins si nous venions à nous croiser à l'université. C'est une de mes règles, aucun contact prolonger avec les dernières conquêtes, et surtout les maintenir en dehors de ma vie privé et professionnel. Mais toi, tu étais bien différente, tu étais un monde ailleurs, un paradis sur terre. Tu sentais le paradis, tu étais mon paradis dans ce monde de fous. Je te vis reculer pas à pas en direction de la porte, et ma conscience m'envoyait rapidement des signaux. Où allais-tu ? Vas-tu réellement partir après cet échange ? J'espérai que non, et heureusement que cela ne fut guère le cas. Tu enfouissais la clef à l'intérieur de la serrure, alors que nous entendions le bruit qui annonçait que désormais, nous étions tous les deux enfermés dans c'est quatre murs. M'annonçant surtout, libre de te conquérir une nouvelle fois, de te faire mienne, de t'avouer mes ressentis à travers mes actes et surtout de te montrer maintes plaisir différents. Ta silhouette féminine se retournait vers moi, et je ne pu contenir mon regard qui s'abaissait peu à peu en direction de tes boutons que tu vins à détacher, crois-tu réellement pouvoir maintenir mon regard dans le tien, alors que tu te déshabillais devant moi ? Je fronçais les sourcils en remontant progressivement mes pupilles sur la douceur de ton visage, alors que vins un sourire des plus pervers s'approprier la longueur de mes lippes. Tu étais une femme forte, tu étais une femme sublime aux courbes des plus... Exotique. Le tissu fin, et séduisant que tu montrais, était peu, bien trop peu à mon goût. Alors dès lors que tu t'avançais, et que tu m'incitais à m'installer sur la chaise se tenant derrière moi, j'eu une... Seconde d'hésitation, et si nous avions qu'un laps de temps ? Je voulais avoir le temps du monde entier, afin de te faire mienne à maintes reprises, et j'étais persuadé pouvoir le faire aux fils du temps. Mon corps installé, mon regard dressé à ton niveau, je rejetais un vague soupire d'excitation lorsque tu venais à déboutonner ma chemise et ainsi me bloquer un quart de seconde ma respiration. Je voulais que tu me montres à quel point tu pouvais m'appartenir, mais pas ici, pas dans ce lieux qui était loin d'être intéressant, malgré l'adrénaline que nous pouvions ressentir. Ma voix était éteinte, depuis le début, dû moins depuis le fait que tu venais de fermer la porte pour que nous nous retrouvions les deux. Pas que je ne savais pas quoi répondre, mais le fait de te faire languir de ce que je ressentais et se que je voulais, était une bonne façon de rebondir par la suite. Et ne doute pas que je ne reprendrai pas mes droits, tu avais eu de la chance que je venais de te laisser cela, mais il faut encore du chemin pour m'adoucir à tes actes. J'écarquillais des yeux, en sentant tes lippes s'appliquer une nouvelle fois sur les miennes, mes paumes remontant jusqu'à tes joues, afin de te maintenir contre moi, et d'envelopper ta muqueuse de la mienne afin de les laisser danser érotiquement entre elle. Jusqu'au moment où on venait à toquer violemment contre la porte. Oh non, il n'y personne ici. Je souris, aveuglément sans doute, avec une pincée de perversité. Je reculais mon visage, te faisant face. < Ne bouge pas, ne fais pas de bruit. > Moins on fait de bruit, mieux c'était.

Après deux petites minutes de silence, je vins à reposer mon regard sur ton faciès, tout en faisant glisser mes doigts masculins sur la longueur de tes longues jambes, avant de le remonter en direction de ta fermeture éclair que j'abaissais rapidement, tout comme le reste de ton jean que je te fis enjamber assez rapidement. < Garde le haut. Et n'oublie pas, aucun bruit. > J'étais sérieux, et je pense que tu pouvais très bien le voir sous les traits durcit de mon faciès. Mes paumes remontaient jusqu'à ton dernier tissu, que je jouais vaguement avec du bout de mes doigts. Dois-je te le retirer ? Ou puis-je le déchirer ? Je prenais bien entendu la décision la plus logique, celle de la déchirer. Je tirais d'un coup sec dessus, avant de la rentrer dans l'intérieur d'une de mes poches, dans un sourire des plus triomphant. Un cadeau, que j'irai à garder. Ne t'en fais pas pour elle. J'admirerai ton intimité, face à moi, puisque tu te tenais devant moi. J'approchais peu à peu mon faciès vers ce dernier, afin de déposer de maints baisers qui remontaient aussitôt jusqu'au niveau de ton ventre. Mes mains, elles, prenaient un certain plaisir à revisiter les formes de ton fessier. Dois-je réellement écrire à quel point elles étaient parfaites, elles aussi ? Ma bouche descendant à nouveau sur le dessus de ton intimité, titillant du bout de mon nez cette zone dès plus sensibles. Et je dis, dans un murmure sensuel. < Je vais te faire l'amour, maintenant. > Je me redressais immédiatement après mes dires, happant tes poignets en t'incitant à me suivre en direction du bureau, qui était plus élevé que les tables. Je t'aidais à monter dessus, jambes écartées, moi, placé entre celles-ci, mes mains voyageant sur tes cuisses d'en bas en haut. Sans réellement te quitter du regard. < Je te désire tellement Emy. > Le bout de ma langue passait sur mes lippes, alors que je vins prendre tes mains, en les déplaçant au niveau de mon jean, comme pour t'inviter à retirer mon érection de son endroit bien trop serré. Un soulagement, mon sexe tendu à ta guise, mes veines ressortant sous l'effet que tu me faisais. J'étais prêt. J'approchais de ta personne, enveloppant la base de mon entrejambe, tout en plaçant mon gland à l'entrée de ton intimité. La chaque de ton liquide venait dès lors accueillir ma verge, ce qui me fit lâcher un vague gémissement que je condamnais dans ma gorge. Et dans un coup de reins, je me retrouvais en toi. Écartant tes parois intimes, alors que mon corps vint à la rencontre du tien, mon visage face au tien, mes paumes passant sous ton soutien-gorge comme pour libérer ta poitrine. Échangeant nos regards, mais aussi cette union des plus parfaites.

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MessageSujet: Re: Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] Ne crois pas toujours ce que tu vois [PHIL] EmptyLun 10 Nov - 19:15

 De toute évidence, je t'ai dans la peau tout comme toi...  



Était-ce possible de s'afficher aux yeux de tous même indirectement ? Jamais je n’aurais fait une telle chose par le passé et pourtant ...je me retrouvais là, face à toi, après que tu m’aie demandé de ne faire aucun bruit ? Certes pour l’instant je pouvais encore me taire mais pour combien de temps ? Pensais-tu vraiment que je pourrais rester muette comme une tombe si tu venais à me satisfaire ? mais je ne le pourrais ! Tu était bien trop parfait dans ton rôle d'amant-dominateur. Rien ne pouvait être plus jouissif mais encore tenterais-je cette nouvelle expérience de prendre un réel plaisir tout en silence...Je ne te quittais pas du regard au point que le seul mouvement de mon corps fut celui de ma poitrine qui se soulevait sous cette respiration rapide et intense. Tu me faisais toujours ce même effet et même après avoir passer plusieurs moments intimes avec toi. Je ne me lassais guère au contraire, j'en voulais toujours plus à chaque fois qu'on se voyait et j'espèrerais que cela durerais encore  et encore...Me retrouvant avec juste un bout de tissu sur le haut du corps j’étais à ta merci. Et si on venait à nous surprendre dans cette position, dans cette pièce ? Cette pensée me gênait mais m'excitait bien plus ! J’étais presque mise à nue. Je fermais un cours instant les yeux avant de laisser filer mon souffle des plus lourd d'entre mes lèvres quand tes lèvres remontèrent jusqu'à mon ventre doucement tandis que mes mains passèrent avec une infinie tendresse dans tes cheveux. Si je pouvais je te garderais tout près de moi, chaque jour, chaque minute, chaque instant pour me sentir comme maintenant. Vraiment bien. Oui en ta compagnie j’étais comment dire....Vivante et heureuse de l'être. Je ne savais pas comment tu arrivais à me faire ressentir tant de choses que cela en devenait une pure souffrance quand je me retrouvais loin de toi, trop loin comme tout à l'heure à te voir si distant faisant exprès de te tromper de nom. Je savais que tu avis fait cela pour me blesser et pourtant on était là en ce moment même .Moi à ta merci et toi à la découverte une fois encore de mon corps qui ne cessait de te réclamer sans cesse. Comment lutter contre cela, Contre toi, il m'était bien plus difficile de me battre contre la raison que contre mon cœur et puis au fond en avais-je réellement envie ? Non, bien sur. Je te voulais pour moi et moi seule bien que  jamais je n’évoquerais cette idée à haute voix ne pensant également  pas à toutes ces autres qui subissaient ce même supplice en cet instant ? Non Emy retire toi cela tout de suite de la tête ; c'est toi, il te l'a dit pas une autre...Vis intensément chaque moment que la vie t'offre ! Nous n’avions pas le temps de traîner surtout en pareil lieu que je te vis pressant ce qui attisait davantage mes ardeurs. Me laissant guider à t’obéir, s mes fesses, sur ce bureau légèrement froid, que tu te plaquais face à moi. J’étais ouverte, prêt à t’accueillir Te regardant je fis cette signe .je serrais mes lèvres entre elles afin de ne laisser sortir aucun sons comme tu me l'avais demandé. Je devrais les serrer vraiment fortement pour ne pas crier face à toute cette jouissance que j’allais ressentir... je pris ton visage entre mes mains, Mon regard toujours dans le tien, à m'y perdre d'ailleurs après tes doux mots ; « Alors comble moi, maintenant., Phil»Mon cœur manqua un battement. Et cette sensation je la connaissais pour l'avoir déjà vécu ...a moins que ce n’était que sur ses mots ? Tu étais d'un érotisme ! Merde tu me faisais me déconnecter de tout ce qui nous entourait que notre bulle revint à se reformer. Juste toi et moi, comme si le monde nous non-appartenance toute à toi, et tu étais tout à moi, même si tu avais toujours ces hésitations à te laisser entièrement approcher mais e ne désespérais pas qu'une jour je viendrais à t'approcher davantage, à venir te soulager de ses blessures que te hantent, tel un animal blessé, ayant peur de revivre une telle chose. J’étais sure d'y arriver  avec du temps, de la patience, de la douceur et une profonde tendresse. Te voir te passer cette langue humide sur tes  lèvres me fit frémir, elles avaient tant parcourut mon intimité...La pièce regagnait en degré que nos corps souffraient de ne pouvoir s'assembler l'un avec l'autre. Mon ventre me tiraillait de plus en plus, mon souffle venait se plaquer sur ton visage, alors que je venais à te libérer, pour qu'on puisse enfin se soulager de ce poids. Je me prêtais davantage pour ta venue cela me parut être une éternité. Je sentais ta chaleur en moi, ton envie grandissante au point de serrer de me pincer les lèvres. Je ne sus comment me mettre pour ne pas attirer l'attention dans ce couloir , de l’autre côté de la porte. Tes mains sur mon corps ne m’aidaient en rien pour rester dans ce mutisme que tu nous imposais. Je me penchais quelque peu en arrière, maintenu sur mes mains, ou je pouvais accompagnais dans tes mouvements, leur donnant plus de profondeur. Je dansais doucement du bassin pour ne pas se faire remarquer, tout en te regardant  et te laissant ainsi une liberté totale de tes mains sur mon corps. « Phil... » Je rejetais doucement. Mes prunelles dans les tiennes, chaque sensation était décuplée. La situation, le lieu, l'excitation de peut-être se faire prendre, un tout explosif et la chance de t'avoir devant moi, en moi...Sans m'en rendre réellement compte, mon corps suivait ton rythme, plus rapide, mais toujours avec cette ardeur qui nous était propre ! Mais bien vite les secousses m’entraînèrent sur ma route du paradis que mon souffle vint à se faire légèrement entendre. Je me pinçais les lèvres pour ne pas désobéir mais c'était presque insurmontable ! Ne pas pouvoir exprimer à haute voix le plaisir qu'on prenait était frustrant je devais me redresser et trouver une solution de ne pas exploser aux oreilles de tous ; Je vins me planquer tout contre Toi, ma poitrine contre ton torse, sas y prêter attention mais je devais me contenir,je ne le pouvais pas, autant trouver autre chose afin d'exploser autrement...Je agrippais à toi , mes bras autour de ton cou, mon bassin encore plus proche sentant de nouvelles sensations jusqu'à venir t'entourer la taille des mes fines jambes alors que emprisonnais tes lèvres, afin de goûter à ta langue, laissant échapper de petits gémissements sourds en ta bouche. Tiraillée entre la jouissance et cette envie d'hurler de plaisir, mes ongles vinrent à s'enfoncer dans ta chair. Mon corps vint à te serrer davantage. Mais même ce baiser fougueux partagé ne serait peut-être pas suffisant à me contenir. J’étais du genre expressive et ne m'en cachait pas, j’aimais exprimer mon envie, mon désir et faire entendre que j'étais satisfaite. La pression fut de plus en plus grande que peu à peu le son sortait de ma bouche. Non pas jusqu’à m'entendre de l'extérieur mais tout contre toi, si. Je savais que tu m’avais demandé de garder le silence mais comment le pouvais-je ? Te mordillant la lèvre inférieure, je me faisais violence pour ne pas crier toute ma jouissance, tu devais vite m'achever avant de me voir perdre tout contenance. Mes mains descendirent jusqu'au creux de tes reins avant de remonter pour venir encercler ton cou, t’obligeant à m'étouffer de tes baisers comme pour me couper le souffle et me faire taire. Voilà que vint enfin la libération. Mes jambes tremblotaient, je frissonnais , j’étais essoufflée par tant d’effort à savoir me contenir du mieux que je pus, avant de venir poser mon front contre l'une de tes épaules. Respirant ton odeur, alors que tu étais toujours en moi.... je repris un rythme cardiaque moins affolé sans bouger toutefois. j’étais bien là, tout contre toi à entendre et ressentir le moindre de tes battements de cœur. « Oh Phil si tu savais... »murmurais-je...avant de me reprendre et d’éclaircir mes pensées. Avant que tu ne me libères a contre cœur de toi. Regagner le sol , avait été étourdissant. J'aurais peut-être du attendre avant de poser un pied à terre. Je me tenais au bureau avant de prendre une profonde inspiration. J’étais encore sous le choc de cette rencontre, ou tu venais encore de me faire perdre tous mes moyens. Venant à récupérer mes vêtements il me manquait mon shorty...cela m'étira un léger sourire avant de remettre mon soutien gorge en place, mon chemisier que je refermais de trois quart des boutons avant de me tourner vers toi. Puis d'un pas feutré je vins face à toi sans un mot avant de me mettre sur le bout des pieds étant plus petite que ta personne. Sur ce, je vins délicatement t'embrasser, rien à voir avec un acte sexuel cette fois-ci, mes mains plaquées sur ton visage que je laissais ensuite descendre en même temps que mes pieds retrouvent le plat du sol, sur le haut de ton torse avant de me retourner pour enfiler mes vêtements au mieux...je ne pouvais remettre mon short Phil me l’ayant déchiré. Me voilà fin prête à le quitter lui et cette salle ayant été le témoin de nos ébats. Je revins face à  toi. « La prochaine fois que tu m'arraches mes sous-vêtements de la sorte, je t’obligerais à me suivre pour en acheter de nouveau. »Me passant la langue sur la lèvre inférieure, afin de l’humidifier . Et puis cette invitation pourrait être des plus agréable, il viendrait à les choisir avec moi pouvant voir l'effet que cela pourrait lui produire...pourquoi pas, S’il était partant ...Je sortirais avant lui ,mais je me devais également de ramasser mon gobelet qui s’était retrouvé jeter par terre et mettant le tout dan la poubelle...je pris donc la direction de la porte , tournait la clef de la serrure faisant attention que personne ne se trouve présent dans le couloir du moins pas en grand nombre.


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