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"Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva

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MessageSujet: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyMer 23 Oct - 12:45

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"Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!"
 « Des bon moment qu’on a passé et qui continue encore aujourd’hui. »

feat Alsheva et Maelle

Pas très loin d’ici, je me loge dans un petit pub pour boire et passer le temps en étant assise sur le tabouret. Mon bras allongé sur le comptoir et ma tête allongé par-dessus. Je regarde la bouteille d’alcool, ma deuxième bouteille d’alcool. Il est 22 heures, il est bien tard et ma mélancolie prend le dessus.  Une envie d’isolement et l’histoire avec ma sœur Lisbeth me perturbe, je suis sa sœur, sa sœur biologique et non la fille biologique des Vondelsson. Je serre mon poing encore enragé par cette situation.

Ma tête se relève et je bois délicatement la bouteille regardant quelque personne autour de moi. J'ai envie de sexe. J’ai envie de faire l’amour pour oublier tout cela et de me bourrer la gueule. J’ai envie d’être la petite Alsheva bourré pour casser ma distance que je mets souvent en place…juste une femme qui aimerait se faire prendre devant tout le monde. Qu’est que je peux être salope parfois…Mais je m’en fou des gens. Risque d’avoir un scandale ? Pouarf, un autre scandale ne me dérange pas. Je termine ma seconde bouteille commençant à me sentir bien.

Puis un garçon m’attire l’attention, un garçon plutôt beau gosse et je regarde tout le monde. Visiblement, il est là pour se détendre avec son ordinateur. Est-ce un travailleur ? je vais  le déranger et je sais comment le faire. Je me lève délicatement marchant vers lui. Un sourire provocateur avec son regard fixé sur moi.  J’avance lentement pour me retrouver en califourchon sur lui, il est surpris, limite. L’individu pose son regard sur me bustier pour ensuite poser ses yeux sur  la  jupe courte accompagner par un port jarretelle.  Sans tardés, je colle mes lèvres aux siennes avec passion et remplie de désir. L’homme reste encore stoïque avant de répondre au baisé.

Les clients nous regardent avec des yeux hébétés et le barman ne sait plus comment faire. je continue encore de l’embrasser et caresser son torse. Mon regard se pose sur l’homme encore trop surpris. Je soupire longuement, visiblement il ne m’intéresse pas. Il est trop timide et je m’ennuierais très vite.

« Retourne sur ton ordi »


Je me relève retrouvant ma bonne vielle place avec tout ce regard tourné sur moi. Je les emmerdes, car ils ne sont pas capables de faire la même chose. Ils sont  trop bloqué, trop coincer pour faire quoi que ce soit. Je fais signe que je voulais une autre bière. Une fois la bouteille servie,  Je le remercie avec un grand sourire.

La bière ouverte en train d’être vidé par mes soins. Mon regard se porte sur une jeune femme, une belle brune aux yeux bleus. Une fille qu’on reconnait parfaitement. Je m’approche d’elle venant collé ma tête au creux de son épaule.

« Maelle….Maelle ma brune….Je vais te violer….Oui, je vais te violer.. »

Je la regarde avec les yeux brillant de joie amplifier par l’alcool, je suis un peu plus chaleureuse et ma libido est encore plus développée. Mon premier réflexe est de l’embrasser, de gouter ses petites lèvres et je croise mes bras.

« Alors t’ai-je manqué depuis tant d’année ? Mhhh ? Allez avoues que tu es contente de retrouver ta femme ! Ta chère Amante ! Ta blonde ! »


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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyJeu 24 Oct - 16:23

"Faut croire que nous sommes liées, toi et moi!" !  

 
Je venais de terminer une journée éprouvante à l’hôpital et je n’avais pas très envie de rentrer au château aussitôt. Je m’y sentais en ce moment bien seule dans cette bâtisse. Certes c’était un lieu paradisiaque et Dieu seul sait que beaucoup aimerait avoir cette chance mais j’avais besoin de m’entourer de monde, même si je n’étais pas au sein de mes amis, mais simplement ne  pas me sentir isolée.
Franchissant les rues de San Francisco je marchais d’un pas presque las mais décidé à aller prendre un verre je ne sais où, histoire de décompressée de tous ces moments de ma vie bancale ? Oui peut-être. Pourquoi tout ne pouvait-il pas être simple ? C’était surtout le domaine personnel qui me faisait réagir ainsi, sans oublier les dures études de médecine, ou il ne fallait pas compter ses heures pour venir en aide aux malades. Certes cela me plaisait grandement mais je devais aussi me reposer, dormir pour être au meilleure de ma forme. Enfin oui, mais je m’octroyais une dernière soirée à souffler un verre à la main dans un des bars de la ville. Pas besoin d’envoyer un sms à James, il devait travailler probablement encore très tard. On se verrait demain matin au réveil, comme souvent…
Soupirant je poussai l’une des portes de cette brasserie, m dirigeant vers le comptoir et allant prendre place avant de poser mon sac sur le bar. Commandant une tequila Sunrise, exténuée je sentie soudain qu’on ne colla à moi. Tournant la tête je vis que ce n’était autre qu’Alsheva, une ex-amante. Il y a bien longtemps de cela lors de soirée, on s’était allée à flirter et alors ? J’étais contente de la revoir, enfin si elle n’avait été dans un tel état. Elle devait avoir eu de fêter quelque chose ou bien de noyer ses soucis dans l’alcool à coup sûr ! Me fixant et vice versa, un sourire aux lèvres, contente de revenir de vieilles connaissances ou amies, elle m’embrassant après ses quelques mots à mon attention. Certes je n’étais pas d’humeur à festoyer ni même d’humeur jovial tout court !
« Alsheva ça faisait longtemps ! Contente de voir que tu te portes bien et… »Me tournant de trois quart vers elle, je poursuivis, le regardant droit dans les yeux.
« Ne…refais...jamais...ça…tu t’entends ? Je...je ne suis plus la même... »Sur ce, je me remise face au bar, prenant place sur l’un des grands tabourets avant de prendre le verre que le barman vint me servir. J’en bus une gorgée pour me désaltérer et fermant les yeux un bref instant je savourais cette délectation !
« Alors que fais-tu là ? »Tandis que mon attention se porta sur sa tenue des plus affriolantes, sexy et aguicheuses ! Je vis ensuite que nous étions observés par les individus ici présents. Me doutant qu’au vue de son état, elle avait dû jouer la carte de l’extravagance en bien des sens. Mais je n’en dis rien, je la connaissais et savais comment elle était. Après sois on la prenait telle qu’elle ou bien non.
 
 
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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyDim 17 Nov - 19:13



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"Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" !
« L'amour est beau comme elle peut être de la pire enflure.»

feat Maelle et Alsheva

Je la fixe en étant un peu surprise, très surprise même. Maelle en train de refuser mon baisé. Une légère frustation apparait sur mon visage. Je ne dis rien.

« Plus la même…..Mouais….. »

Assis à côté d’elle, un léger sourire aux lèvre.J regarde le barman avec un regard lucide. Je fais signe que je voulais la même bière. Mon attention se porte sur la belle Maelle, la belle jolie femme que je convoite avec avidité. Je m’attarde un peu sur sa poitrine puis son visage mordillant ma lèvre inférieur.

« Je fais quoi ici…Mhhh »

Une longue réflexion et surtout une question que je préfère rester évasif. C’est mieux, beaucoup mieux. Je n’avais pas envie de répondre le pourquoi de la question.  Je dis de manière amicale et taquine

« Pour mieux te faire l’amour mon enfant et de t’entendre gémir une nouvelle fois…Mhh non, ce n’est pas la bonne réponse. Et bien j’avais envie de déménager et vivre aux states….Je détiens un tout petit atelier duquel je donne des cours du soir pour la peinture. C’est aussi un lieu pour faire mon travail.. »


Puis je me tourne vers elle ignorant le barman en train de me servir l’alcool. Je fixe avec attention cette petite brune, cette brune qui a refusé mon baisé. Ce n’est as normal ! Ce n’est pas la Maelle que je connais d’habitude.

« En quoi tu as changé ? Un homme ? Un amoureux ? »

C’est intriguant, très intriguant. Lors de nos retrouvailles, on part de suite dans un grand dérapage, un jeu sexuel, un jeu sensuel ! Mais aujourd’hui, c’est différent, je risque de m’ennuyer. L’ennuie, il ne le faut pas, il faut le rejeter comme la peste. L’ennuie me tue et je ne supporte pas l’ennuie depuis toute petite. Je penche ma tête sur le côté, réfléchissant quoi faire.  Puis, je m’attarde encore sur cette nouvelle Maelle. Au fond, je voulais savoir plus et si l’individu est vraiment bien. Je soupire, je soupire longuement pour enchainer sur d’autre  question.

« Il est bien ? Ou elle est bien ? Tu es heureuse avec la personne. Si tu as changé c’est que tu tiens vraiment à l’être aimé…L’amour. Quelque chose que je préfère oublier, je ne veux pas même voir ce mot dans un dictionnaire. »

La joie laisse placée une légère mélancolie, une trahison. Un cœur perdu dans cet amour futile. Une année à être avec un homme, un abrutit de première. Je sens une colère en train de monter, je respire lentement, reprenant peu à peu le calme. Puis un nouveau sourire apparait.

« Mais c’est la vie. J’espère que tu es heureuse…Si c’est le cas..je partagerai ta joie.»


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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyJeu 21 Nov - 17:37

"Faut croire que nous sommes liées, toi et moi!" !


Je venais de lui dire clairement les choses que je n’étais plus celle qu’elle avait connu par le passé car des évènements dans ma vie avaient faits que j’avais pris une toute autre direction : J’étais tombée follement amoureuse d’un homme…Mon verre en main après cette dure et longue journée, que Alsheva ne semblait pas convaincu par mes dires. La regardant donc, j’insistais de façon à lui faire comprendre que j’étais des plus sérieuses avant de reposer mon verre sur le comptoir du bar, m’essayant ensuite la bouche d’une serviette en papier prévue à cet effet.
« Je t’assure que c’est vrai et il faudra bien t’y faire, j’en suis désolée pour toi mais…écoute toi aussi un jour tu changeras peut-être pour une personne que tu aimes et je te le souhaite. »Je lui lançais un léger sourire de compassion. Ne pas croire à l’amour était une sottise, même si une vie de couple n’était pas toujours facile. Il y avait des bons et des moins bons côtés et après ? Si c’était pour rester célibataire et être triste de ne rien partager avec une personne était-ce vraiment l’idéal ? Après un instant de réflexion je pensais que les gens comme nous, Alsheva et moi-même, à une époque étions très libérée, profitant de la vie et de tous ses bienfaits, sexuellement également, une liberté telle que rien ni personne ne pouvait nous mettre de barrière, repoussant toujours les limites de l’amusement à prendre du bon temps. Mais cela pour ma part appartenait au passé…
Avant de m’intéresser à sa personne mais aussi à ce qu’elle était devenue depuis tout ce temps. J’étais étonnée de la retrouver ici après une si longue période d’absence. Elle avait toujours ce côté taquin et charmeur mais je n’entrerais pas dans son jeu, pas cette fois-ci étant avec quelqu’un désormais et le mot d’ordre dans une relation était la fidélité entre d’autres…comme la confiance, le respect …un sourire aux lèvres la regardant avec insistance afin qu’elle daigne me répondre.
« Comme ça tu peints ? Je n’en savais rien, tu m’avis caché cette facette de ta personnalité. Je serais curieuse à l’occasion de voir tes œuvres ? Si toutefois tu veux bien me garder dans ton cercle d’amis ? »Cercle d’amis platoniques j’entends bien…
« J’ai toujours été nul dans ce domaine. Je ne suis même pas fichue de dessiner correctement la moindre chose. »Par contre j’étais douée dans un autre Art, celui de la photographie. La preuve en était que j’avais eu une bourse pour intégrer Berkeley ce qui m’avait valu ma place en cette université. J’ai obtenu en juin dernier, mon diplôme de photographe professionnel. Ma passion première mais j'avais décidé de ne pas en vivre pour l'instant et d’entamer un nouveau cursus…tout autre…Mais Alsheva revint sur ce sujet, celui du changement, ce qui semblait la perturber ? Ou alors la gêner ?
«Les deux à la fois et je suis pleinement heureuse. »Je levais mon verre à mes fines lèvres. Bien sûr que tout n’était pas rose entre James et moi, mais je ne tenais pas à m’étaler sur les détails de ma vie sentimentale. Ce n’était pas comme si l’on parlait de nos relations libres d’un soir…
« Oui c’est quelqu’un de bien. Non que je l’idéalise mais il me convient et tous les deux on se complète. On est bien ensemble, on a trouvé un juste équilibre. Je l’aime beaucoup, vraiment beaucoup que je ne me verrais pas vivre sans lui, tu comprends ? »Je savais que l’amour ne pouvait être éternel en bien des façons. Si l’on perdait l’être aimé, emporté par la mort, ou encore s’il nous quittait tout s’arrêtait non ? Je voulais vivre pleinement cette relation et laisser une chance à cet amour qui au départ était improbable. Alsheva semblait ne plus croire en de réels sentiments d’une personne pour une autre, en tout cas en ce qui l’a concernait.
« Alsheva…allez ne sois pas si pessimiste et puis ça ne veut pas dire qu’on ne pourra plus débouler ici et là. Du moins, plus comme avant mais on peut toujours errer dans les rues et faire la tournée des bars. Tiens vas-y ! Dis-moi ce que ut aimerais que l’on fasse, là maintenant, un truc totalement délirant et...et je te suis pour preuve de ma bonne foi !»Je pris un second verre, qui ne tardait pas à me rendre « joyeuse » ayant affilé plusieurs heures de garde à l’hôpital sans oublier les cours des jours précédents. De la fatigue, beaucoup de travail, deux verres et me voici en ébullition heureuse de retrouver l’amie qu’elle était et ancienne amante…

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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyDim 5 Jan - 17:08

Alsheva la regarde avec un air hébété. Cercle d’amis ? Bien sûr elle apprécié Maelle. Le sexe est un jeu, rien de plus. Maelle est une femme belle, cultivé et amusante. Ce n’est pas pour rien que parfois la jeune suédoise la rends visite. Elle ne ferait pas tant de trajet pour rien. La jeune suédosie de boire pour calmer son petit pique d’énervement.

« Je te le montrerais. Quand tu as le temps, passe dans mon atelier à L’université de Berckeley. »


Ne soit pas pessimiste ? Un léger rire échappe des lèvres de la jeune femme. Non, la jeune femme ne l’est pas. Elle déteste juste le mot amour ! Ce n’est pas dans les valeurs de la jeune femme, préférant sa liberté indomptable prenant le risque de plus en plus inhumain. Puis, l’être humain à ces yeux n’a pas trop de valeur. L’homme est une merde, un être putride. Le choix est fait, elle s’amuse avec les êtres humains sauf avec les gens qu’elle apprécie. Contradictoire n’est-ce pas ?


« Tu sais que je suis Lokera….Plutot, Hell Anarki…La fille rebelle ! La fille qui n’aime pas être là sans rien faire. »

Oui Lokera, Hell Anarki ! Son personnage de son propre histoire. La fille de son imagination devenue elle. Une femme qui ne se plie devant personne, la femme ouverte à tout. La liberté de faire ce qu’elle veut sans se plier à une personne quelconque. Un personnage avec une liberté totale ! Un rêve de ne plus appartenir à quelqu’un.
Un léger sourire apparait sur le visage de la jeune blonde, un sourire un peu malsain cherchant quoi faire pour s’amuser. S’approchant délicatement de la belle approchant délicatement ses lèvres contre les siennes pour ensuite reculer. Taquin ! Elle est toujours taquine

« Ramène tes fesses. »

Saisissant sa main par la même occasion. Première idée qui vient est d’acheter d’autre alcool après le temps nous le dira. Plutôt on verra ce qu’on fera par la suite. Le regard d’Alsheva se porte sur un magasin de nuit. Cette boutique doit vendre surement de l’alcool. Surement.

Quelque minute après, Alsheva rentre dans le magasin avec sa démarche aguicheuse pour ensuite s’arrêter devant une paque de bière de 6 bouteilles. Prenant une avec sa main, l’autre vient claqué les fesses de la pauvre Maelle. Mon dieu que le fessier de cette femme est bombé, un cul de mannequin à ses yeux. Son chérie doit bien s’amuser avec ! Quel absurdité de ne plus s’amuser avec. C’est de la frustration. Une horrible frustration pour la jeune suédoise.

« Voilà une simple Pack de bière nous fera l’affaire.
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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyVen 10 Jan - 16:55

"Faut croire que nous sommes liées, toi et moi!" !


« Ok j’y penserais alors. »
Alsheva et l’amour, chose incompatible après avoir tant souffert par le passé. Amis il faut parfois faire confiance aux autres, hommes et/ou femmes pour repartir sur de bonnes bases, ouvrir son cœur, savoir se faire confiance, et se faire entendre et écouter. Sans oublier le sexe, qui bien évidemment fait partie intégrante d’une liaison, non d’une histoire d’amour bien qu’il peut y avoir parfois des exceptions…Un amour platonique …est-ce vraiment possible de vivre ainsi ?Bref…Alsheva avait choisi de vivre pleinement et de profiter de la vie et de ses bienfaits, comme je le faisais il y a encore quelques mois de cela, mais étant en couple avec James, tout avait changé même si parfois j’éprouvais certains manques…
« Oui pour l’instant mais après ? Que deviendras-tu ? Tu ne pourras pas toujours vivre ainsi, tu le sais ? Mais je ne suis pas là pour donner des conseils que peut-être je ne suivrais pas moi-même… »Dis-je tout en soupirant au final.
Je regrettais déjà ce que je venais de dire, qu’allait-elle me dire ou chercher à faire à cette heure tardive, étant toutes les deux alcoolisées ?!Et puis désormais j’avais une conduite à tenir étant la petite amie du richissime homme d’affaire qu’était James O’Malley. Il ne fallait pas me faire me remarquer pour ne pas apparaitre en première page du journal de la ville. Puis cette approche à la vue de tous dans ce bar, mais fort heureusement, Alsheva venait de se stopper et m’invita à la suivre.
Je la suivis dans cette superette nocturne avant d’en ressortir avec un pack de bière. Je ne me sentais pas trop à mon aise dans ce lieux, si tard et surtout après avoir bu quelques verres surtout n’ayant pas dormi depuis des heures…Elle me fessa gentiment ce qui me fit sursauter sur l’instant avant de la regarder comme si je la réprimandais, reposant ce que je tenais en main –un paquet de bonbons basique- avant de la suivre jusqu’à la caisse pour payer cet achat et ressortir.
« Alsheva tu devrais faire attention, état d’ébriété sur la voie publique tu sais ce que cela t’en couterait ? »
Rabat-joie ? Oui je l’étais désormais, non pas que l’idée ne me déplaise mais comme je l’ai dit précédemment, il me fallait me tenir convenablement ne sait-on jamais ? Puis marchant nous voici à longer différents petits shop en tout genre avant de voir une enseigne lumineuse ou était inscrit « tatoos », encore ouvert ou étaient exposés sur les vitres différents motifs et dessins, pour certains d’une beauté inégalable…

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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyMar 21 Jan - 23:17

Je la regarde avec un soupire. Maelle ne me connait vraiment pas du tout sur ma rébellion envers toute la société. Une colère, une haine envers le monde qui m’entoure. Je fais partie de ces artistes torturé par la colère énivrante de la vie. Je souris, je la pique un peu.

« Me parle ni d’amour et arrêtes de faire la mère qui protège la fille. Quoi je me ferais arrêter ? Et bien je me ferais arrêter…Encore une fois, je ne respecte pas les règles. C’est mon corps je fais ce que je veux. »


Prouvant encore plus que j’ai le droit complet sur mon corps, je m’approche d’elle doucement saisissant sa main avec une certaine dureté dirigeant sa main vers la cicatrice de mon avant-bras.

« Ces petites cicatrices que tu vois là. Presque fine comme d’autre disparaissent…sont des mutilations de ma jeunesse. Donc franchement, je m’en fou un peu ce que je fais.»

Puis mon regarde s’attarde sur l’atelier de tatouage. Encore envouter par l’alcool, par ce plaisir de ne plus être complètement soit même mais encore lucide. Je me mets à sourire voulant sentir la douleur enivrante de ces multiples piqures de ce pistolet. Je m’approche d’elle relevant un peu son menton.

« On va gouter une autre mutilation. »

Mes mains glissent de manière sensuelle sur son corps frêles de la jeune femme avant de les saisirs avec force et douceur à la fois. Ouvrant la porte apercevant le tatoueur, je lui adresse un sourire enjolivé, un sourire taquin. Lâchant mon emprise sur le corps de Maelle je m’approche de l’artiste avec un tatouage précis. Un tatouage remplie de sens symbolique et sémantique. Je prends une feuille, un crayon gribouillant un rapide esquisse.
Le trait représente au début une fleur, une rose posé sur un motif tribal enroulé par les racines piquante de la fleur. Un dessin fait pour maelle. Maelle est à la fois douce et piquante, la rose lui convient parfaitement. Je la regarde avec un sourire taquin.

« Ce tatouage pour la fille là. »

Puis le mien encore plus complexe, aussi complexe que mon caractère aussi déjanté que je suis. Des traits de construction symbolisant la tête de mort recouvert de fleur. Un petit tatouage ou je pourrais mettre en bas du. En arrière-plan du crâne et des fleurs, une semi elle d’ange et de racine faites sous forme de tribal en noir. En haut du crane il y’a écrit Anarki et en bas Hell. Anarki Hell , Hell Anarki mon moi ! Mon moi anarchique.

Souriante toujours, je dépose les deux feuilles en face du tatoueur. Montrant le mien et celui pour Maelle. Un tatouage qui va nous lier à la vie, encrer dans notre chaire souffrant de douleur comme un rite d’un nouveau commencement.

« Celui-là est pour la jeune fille et celui-là le miens. J’y tiens beaucoup à ces deux tatouages, il a une valeur très symbolique. »

Je me retourne me mettant face à la belle demoiselle.

« L’heure de la souffrance est là ma belle. »

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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptySam 25 Jan - 13:09

"Faut croire que nous sommes liées, toi et moi!" !  


Elle avait vraiment une dent contre tout ce qui pouvait toucher de loin ou de près à l’amour avec un grand « A ». Même si ma relation était tendue ces derniers temps, je n’en restais pas moins éperdument amoureuse de James. Alsheva se moquait de tout, vivant comme bon le lui semblait même si j’avais tenté de la raisonner un tant soit peu, ne voulant nous faire remarquer en pleine nuit en état d’ébriété. Quelques verres, beaucoup de fatigue que mon corps se sentait comme divaguer. Aucune force morale pour me battre contre l’idée qui la pressait en ce moment même devant cette façade offrant de se faire tatouer.
Elle se sentait libre, elle était libre. Le résultat d’une réelle souffrance de son passé. Me montrant ces signes distinctifs qui avaient marqué sa peau. Je fus étonnée de l’entendre m’avouer qu’elle s’était mutilée ?! J’écarquillais les yeux ; Comment pouvait-on se faire de telles choses ?!
« Alsheva… »
Je m’apprêtais à la sermonner ? Non, à simplement lui faire remarquer qu’elle ‘n’était pas seule, qu’elle avait des amis sur qui compter mais je ne souhaitais pas me disputer avec elle. Ma vie n’était que discorde ces temps-ci alors je préférais me taire –pour l’instant- avant de profiter pleinement de cette soirée qui ne faisait que commencer. Soupirant je la vis me montrer cette boutique ou était vendus piercing et toute chose se rapportant au physique d’une personne, avec des propos qui me décontenançait avant de comprendre où elle voulait en venir.
« Quoi ?! »
Que faisait-elle à me frôler de la sorte, fronçant les sourcils avant qu’elle ne m’attire à l’intérieur de cet établissement. Ok elle voulait se marquer la peau, qu’elle le fasse mais je ne m’étais nullement douter qu’elle m’entrainerait avec elle dans son délire ! Elle ne se fit pas prier, se sentant comme toujours à l’aise et griffonnant un premier motif, magnifique soit il en passant.
« Quoi pour moi ? ! »
Je jetais un œil presque paniqué sur l’un des tatoueurs avant de revenir sur mon amie et ex-amante.
« Alsheva…Je ne suis pas sûre de… »
Puis j’ôtais ma veste car au final se dessin me parlait, il reflétait tout à fait mon être et qui j’étais !
« Dans ce cas je choisis où me faire tatouer et j’ai ma petite idée ! »
Me voici donc suivre l’homme sur le siège approprié, ôtant également mon chemisier et défaisant également mon pantalon à sa demande, m’indiquant la pose à prendre me demandant si je le voulais en couleur ou non.
« Tel quel sans artifice »
Dis-je tout en regardant Alsheva à son tour s’installer. Je sentis les mains du tatoueur se poser sur son corps. Depuis combien de temps n’avais-je pas senti un autre homme que James me toucher ? Oh Maelle ! Cela me rendit un peu nostalgique pensant à ce qu’avait été  notre relation et ce qu’elle était devenue, que je ne sentais qu’à peine les entrées et sorties de la piqure ou l’encre commençait peu à peu à se mêler à ma peau claire ;
Alsheva était installée à mes côtés, je la regardais avec un air curieux.
« Tu aimes ce genre de choses ? Toutes ses formes de souffrance indélébiles ? Tu ne penses pas regretter un jour ? »
Et moi ? Regretterais-je de mettre fais tatouer le lendemain matin à mon réveil, étant alcoolisée, comme si j’étais en train de rêver mais la réalité me rattraperait bien vite au lever du soleil.
Après un certain temps et une pause afin de se dégourdir les jambes tout en buvant une bière ou deux fraichement acheter, l’heure de la délivrance arriva enfin. Il était temps de voir le résultat terminé ! Me dirigeant vers un grand miroir, je me tournais de trois quart et vis ce magnifique tatouage sur mon corps. Je le regardais, me regardais sous tous les angles comme soucieuse, fronçant les sourcils avant de me plonger dans les yeux dans ceux de mon amie.
« J’adore ! Il est magnifique Alsheva ! »Lançais-je accompagné d’un clin d’œil.


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MessageSujet: Re: "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva "Faut croire que nous sommes liés, toi et moi!" Maelle et Alsheva EmptyVen 14 Fév - 17:59

Allongée sur le ventre mon dos dénudé laissant apparaitre mon string à dentelle. Je ferme délicatement les yeux sentant la multiple piqure imbibée d’encre. L’encre se mêlant à ma peau pour laisser une trace pérenne. Je ne dis rien et je réponds à sa question.

« LA souffrance physique me fait croire que je suis toujours en vie…JE ne sais pas j’aime sentir la douleur. C’est un moyen…puis ce tatouage n’est pas la référence à la souffrance…c’est compliqué très compliqué. »

Compliquer…je crois que la douleur ne s’explique pas. Quand on aime souffrir,on ne peut pas l’expliquer,c’est juste un plaisir.Je ferme délicatement les yeux me laissant guider par le savoir-faire de l’homme. Je serre un peu les dents sentant la douleur un peu m’emparer. J’inspire, j’expire, j’inspire répétant ce même rythme au naturel pour supporter la douleur de chaque piqure, surtout celui de la colonne vertébral qui est très douloureux.

Une fois le tatouage terminée, je me lève remettant mes habits. Je tourne légèrement le dos apercevant le dessin, la marque. Symbole de la rupture avec mon ancien moi pour voir apparaitre ma nouvelle moi. Je remémore tout mon passé. Un passé douloureux mais tout aussi intéressant. La découverte d’une liberté au prix de certain sacrifice. Dans le fond, je suis fière de moi. Contente de devenir ce que je suis. De la blonde fragile je suis devenue une blonde plus forte. Je souris de cette évolution, de mon évolution. Je reste la scotché devant mon dessin encrer dans ma peau avant de m’interrompre dans l’avis de cette dernière

Je m’avance vers Maelle lui tapotant son cul et j’hoche la tête doucement. Je rigole un peu croisant mes bras par la même occasion

« You’re beautiful girl and Booty »

Je tourne autour de la belle brune avec les yeux amusé, avant de m’attarder sur ces cernes. Regardant l’heure, il était tard ! Très tard. Je penche la tête sur le côté réfléchissant ce qu’on pourrait faire. Mhh..Serait-il mieux qu’elles viennent dormir chez moi. Oui c’est mieux ! Faire un délire à deux sans pour autant allez loin.

« Viens dormir à la maison. NE t’en fais pas, je ne coucherais pas avec toi. Tu es fidèles et je respecte ta fidélité mais. Oui il y a un mais ! On s’amuse dans mon appart ! Sauf si tu as peurs…la je ne serais pas quoi dire»


Je saisis doucement sa main avec lenteur et délicatesse. Au fond, je serais heureuse d’être là à côté d’elle. De dormir dans ses bras. Juste dormir comme dans le bon vieux temps. Je penche la tête sur le coté et je dis d’un ton franche.

« Tu m’as manqué….juste d’être dans tes bras comme une amie me suffit…juste être la cote à cote…e veux juste profiter de ta présence..Ma petite Maelle »
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